« T’es sérieux là ? Ca pue ta pisse en plus, je suis sûre… » Ziggy haussa les épaules en tournant la tête. Elle n’avait cas le dire si elle n’en était pas capable, pourtant au moment où il pensa qu’elle allait refuser, elle se leva et se dirigea vers cette poubelle. Allongé dans l’herbe Ziggy était écroulé de rire, versant quelques larmes tellement il trouvait la situation drôle. Entre deux éclats de rire, il vit Maria courir jusqu’à lui et lui dire de le suivre, il n’eut pas besoin de lui demander pourquoi quand il aperçu un agent de sécurité s’avancer vers eux, il se leva d’un bond et commença à courir derrière Maria. Un peu plus loin il se laissa tomber dans l’herbe pour reprendre son souffle. Maria lui annonça alors qu’il allait payer, « C’est toi qui a commencé. » Il parvint à rigoler malgré son manque de souffle. « Vérité. »
Maria reprit son souffle, puis s’assit dans l’herbe fraiche, à l’ombre sous cet arbre. C’était elle qui avait commencé, mais pour qui se prenait-il ! Elle soupira. Alors qu’il venait de lui dire ‘vérité’, elle se mit à réfléchir à ce qu’elle pouvait bien lui poser comme question. « C’est quoi le truc le plus fou que tu as fait par amour pour une fille ? Ou pour un garçon… t’es sûrement bi, toi. » lui demanda-t-elle alors.
Elle réfléchit un instant avant de lui demander ce qu’il avait fait de plus fou par amour. « Je t’arrête tout de suite, je suis pas bi. » Il se mit à réfléchir, revenant longtemps en arrière, Ziggy était célibataire depuis un petit bout de temps et n’était pas non plus tombé amoureux depuis belle lurette. « Je me suis cassée la jambe pour une fille. Double fracture. J’ai testé un saut en skate que je ne maitrisais carrément pas, mais pour l’impressionner j’ai dit que je pouvais le faire. C’était complètement stupide mais assez marrant. » Il ponctua sa phrase d’un petit sourire en souvenir de ses trois mois à ne plus pouvoir rien faire. « Ton tour, action ou vérité ? »
Elle avait pris son air des plus sérieux pour lui poser cette question. Ziggy la corrigea, en lui disant qu’il n’était pas bisexuel. « C’est marrant parce que j’pensais que j’avais raison à ce sujet… » affirma-t-elle. Puis elle se tut, écoutant le récit de son ami. Elle ne put s’empêcher de rire, et surtout de commenter. « Se casser une jambe pour une nana ? Je crois… que c’est le truc le plus ridicule que je n’ai entendu de toute ma vie là ! ». Puis elle pouffa de rire. Après quelques éclats de rire, elle tenta de reprendre son sérieux et lui lança un « vérité ! ».
Il haussa un sourcil. « J’ai vraiment une tête à me taper des mecs ? » Il lui raconta ensuite ce qu’il lui était arrivé la seule fois où il avait vraiment fait quelque chose de fou par amour, la seule réaction de Maria fût de rire et il ne l’en blâmait pas, il y avait de quoi rire. « J’étais pas censé me casser la jambe au départ. » Quand elle réussit à réussit à reprendre son sérieux et lui annonça ‘vérité’, il chercha un petit instant. « Ok, à moi de rire, c’est quoi t’as plus grosse gamelle ? »
« J’ai vraiment une tête à me taper des mecs ? ». Maria hocha la tête. « Tous les blonds sont gays, honey ! ». Après quoi, elle écouta les aventures hilarantes de monsieur St-James. Elle riait. Elle avait l’impression que la vie de Ziggy était rythmée d’évènements comiques. Puis c’est alors qu’il lui demanda quelle a été sa plus grosse gamelle. Elle réfléchit un long moment. « La première fois où j’ai mis des talons, j’avais seize ans. C’était pour le bal de fin d’année du lycée, mon cavalier était venu me chercher… et j’ai couru jusqu’à l’entrée pour l’accueillir… et je me suis lamentablement cassé la gueule en glissant sur le parquet… elle marqua une brève pause. Il avait tellement ri ce connard… ». Après avoir conté sa mésaventure, elle lança un regard à Ziggy et lui demanda ‘action ou vérité’.
Tous les blonds sont gays ? C’était quoi cette phrase à deux balles ? « C’te cliché tout pourri. » Qu’est-ce qu’il ne fallait pas qu’elle invente pour prouver qu’elle disait vrai. Vint ensuite le moment où elle dût lui raconter sa pire gamelle, plus Maria avançait et plus Ziggy riait de ses dires. « Je le comprend tellement. J’aurais payé pour voir ça. » Il essuya une larme qui perla au coin de ses yeux avant de lui répondre « Hum… action. » Elle allait surement se venger du coup de la poubelle et lui trouver un truc encore plus tordu, mais qu’importe, la vie était pleine de défis (yolo )
Ziggy lâcha qu’il aurait payé pour voir cela, ou quelque chose du genre, Maria le fusilla du regard. Bah bien sûr ! Comme si elle l’aurait laissé voir cela. Elle haussa les épaules, puis lui demanda de choisir entre une action ou une vérité. Il opta pour une action… Maria regarda longuement autour d’elle. Ce nouveau petit coin de Central Park. « Tu vois la fille là-bas qui roule une pelle au gars là ? Tu vas les voir, et tu te fais passer pour son copain. Tu lui tapes un gros scandale, genre le mec blessé, jaloux, enfin tu vois le délire. Et en bonus, tu fous une torgnole au gars. »
En attendant qu’elle se décide à lui proposer quelque chose, Ziggy s’occupait comme il pouvait en des brins d’herbes. Nouveau coin du parc, nouveau brin d’herbe, un rien le rendait heureux. Maria parla alors « Tu vois la fille là-bas qui roule une pelle au gars là ? Tu vas les voir, et tu te fais passer pour son copain. Tu lui tapes un gros scandale, genre le mec blessé, jaloux, enfin tu vois le délire. Et en bonus, tu fous une torgnole au gars. » Il la regarda en haussant un sourcil, puis il se leva et avant de partir, se tourna vers elle « Tu sais que t’es tarée ? » Le blond se dirigea alors vers le couple, essayant de prendre un air sérieux. « Hey ! Tu fais quoi là ? Je te regarde depuis tout à l’heure, en train de l’embrasser et le tripoter partout ! Je croyais en notre amour. Toi et moi… c’était pour la vie, tu me l’as dit tellement de fois et maintenant tu fricotes avec un autre mec. » Il fit une pause un instant, se retenant de ne pas rire. « Je fais quoi moi maintenant que tu viens de briser mon cœur en mille morceau ? » Taper une crise de jalousie fait. Ziggy se tourna alors vers le mec et lui fila une baffe à s’en faire mal à la main. Foutre une torgnole fait aussi. « C’est fini entre nous. » Puis il repartit en accélérant le pas, de peur que l’un des deux ne le rattrape, il se posa alors de nouveau près de Maria et pu enfin se libérer de ce fou rire qu’il avait réussi à retenir. « Ça c’est fait. Action ou vérité ? »
Maria le regarda du coin de l’œil après qu’il l’est jugé de tarée. Tarée ? Non, elle avait juste un esprit assez ouvert et grand pour trouver des défis ridicules. Un sourire se dessina alors sur ses lèvres lorsqu’elle vit Ziggy se mettre à l’œuvre. Elle rigola doucement, entendant les fausses paroles. Elle fit une légère moue de satisfaction lorsqu’elle vit le jeune homme revenir vers elle. « Tu es plutôt bon acteur dis-moi… » dit-elle alors, rictus coincé entre ses dents. Elle soupira avant de réfléchir à ce qu’elle allait bien pouvoir lui répondre. La question était en soi pourtant simple. Action ou vérité. Mais dans l’un de deux cas, Ziggy chercherait à se venger. « Action… lâcha-t-elle. Mais je te préviens, pas de poubelle ou je ne sais trop quoi de dégradant à faire. ».
Lui ? Plutôt bon acteur ? La blague… Il avait juste assez d’expérience pour faire le con, assez pour réussir ses trucs débiles dans ce genre là. Maria lui répondit ‘action’ tout en ajoutant « Mais je te préviens, pas de poubelle ou je ne sais trop quoi de dégradant à faire. ». Ziggy rigola « Comme si c’était mon genre. » Il tourna alors la tête pour pouvoir trouver la victime de son défi. « Pour rester dans le thème de l’amour. Le mec là bas. Tu lui sautes au cou et tu lui dis que tu l’aimes etc etc bref, le blabla bien dégueu. » Rien d’humiliant là dedans, il n’était pas si cruel que ça.
Elle lança un regard suspicieux à Ziggy, attendant avec une certaine hâte ce qu’il allait bien pouvoir lui demander. Elle le guetta, ayant une certaine crainte de ce qu’il allait bien pouvoir lui demander. Plus le secondes défilés, plus elle le fusiller du regard. « Pour rester dans le thème de l’amour. Le mec là bas. Tu lui sautes au cou et tu lui dis que tu l’aimes etc etc bref, le blabla bien dégueu. » Un sourire de satisfaction se dessina alors sur ses lèvres. A croire qu’elle approuvait ce qu’il venait de lu demander. « C’est partie ! » lâcha-t-elle tout en se levant. Le sourire aux lèvres, elle se dirigea vers le jeune homme que Ziggy avait montré. Un jeune homme, d’une vingtaine ou peut-être trentaine d’année, tête à lunette, raie sur le côté, costard-cravate, limite le gendre idéal… enfin tu vois le délire. Lorsqu’elle fut à sa hauteur, elle se jeta à son cou, l’embrassant par la même occasion. Autant ne pas faire les choses à moitié… Elle planta ses prunelles dans les blancs de ses yeux, et se lança dans un discours mielleux. « Je t’aime… sache que depuis la première fois que je t’ai vu, j’ai toujours su que c’était toi… tu sais l’élu de mon cœur… Dés que je te vois, j’ai cette putain de boule au ventre… je t’aime mi amorr. » lâcha-t-elle. Un délicieux sourire se dessina sur ses lèvres. Elle retira ses bras du cou de ce gars dont elle ignorait totalement le prénom. Puis elle partit comme si de rien n’était. Elle rejoignit Ziggy, avant de lui lâcher un ‘action ou vérité ?’.
Il la regarda à son tour, lui donner un défi aussi simple était en quelque sorte sa façon à lui de se faire pardonner de lui avoir fait fouiller dans une poubelle, même si elle, elle ne se serait pas gênée pour lui faire faire. Ziggy rigola devant la tête que le mec tira, un air de totale incompréhension sur le visage, se demandant surement qui était cette cinglée pendue à son cou. Cela fait, Maria revint vers lui et lui posa cette question redondante. « T’as vu, je suis pas si cruel. Vérité. »
« T’as vu, je suis pas si cruel. Vérité. ». Pas si cruel… mouais. Elle haussa les épaules, puis se mit à réfléchir durement afin de trouver ce qu’elle allait bien pouvoir lui poser comme question. Elle ponctua sa recherche de petits ‘hum’ répétitif puis pris alors la parole. Elle s’assit en tailleur, et se place bien en face de son ami, Ziggy. « Si tu devais te retrouver sur une île déserte, et tu pourrais n’emmener que 5 objets avec toi… qu’emmènerais-tu comme objets ? ».
« Si tu devais te retrouver sur une île déserte, et tu pourrais n’emmener que 5 objets avec toi… qu’emmènerais-tu comme objets ? ». Ziggy regarda droit devant lui tout en réfléchissant. Cinq objets sur une île déserte, le choix était difficile. Il commença sa phrase par un long ‘hum’ avant de prendre enfin la parole. « Je prendrais d’abord mon skate, on peut pas rouler sur du sable, mais bon, c’est un peu toute ma vie. Ensuite je prendrais un téléphone portable avec un truc pour le recharger à l’énergie solaire, on sait jamais, il y a peut-être du réseau là-bas. Donc ça fait trois, j’emmènerais aussi un couteau suisse, je suis pas Robinson Crusoé, mais je pense pouvoir me débrouiller avec. Et en dernier… » Il passa une main sur son menton en guise de réflexion. « Un briquet peut-être, c’est toujours utile non ? » A vrai dire, il y avait tellement de chose qu’il emporterait que n’en choisir que cinq relevait du véritable défi. « Action ou vérité ? »
Maria écouta comme à son habitude la réponse de Ziggy avec une certaine hâte et curiosité. C’est alors qu’il commençait à répondre en mentionnant son skate… elle pouffa légèrement de rire, cela ne l’étonnait pas. Pas du tout même ! Elle était presque sûre que s’il pouvait avoir une relation physique avec, il le ferait. Ce mec était plus que dingue de skate. Puis elle écouta la suite des réponses, elle hocha la tête à chaque élément cité par Ziggy. « Bon choix, futur Crusoé ! » lâcha-t-elle d’un air rieuse. Puis ce fut son tour de répondre… elle prit un certain temps avant de répondre, puis « Action ! ».
« Bon choix, futur Crusoé ! » Ouais surement, mais bon, s’il pouvait éviter de se retrouver sur une île déserte, c’était encore mieux, se la jouer Lost n’était pas franchement son délire. Ziggy se mit alors à réfléchir à ce qu’il pourrait lui demander de faire, un sourire sadique s’afficha sur son visage signifiant qu’il venait de trouver la chose horrible qu’il lui ferait faire. « Il y a une gamine qui pleure là bas, va lui dire que c’est pas de sa faute si elle est moche et qu’elle devrait pas en pleurer. » Là, il était cruel et ça le faisait beaucoup rire.
Maria approuva le défi donné de Ziggy et se leva aussitôt sans se rechigner. Mains dans les poches de son petit short en jean, elle se dirigea jusqu’à la jeune fille, sûrement d’une quinzaine d’années. Elle s’assit sur le banc à ses côtés. Elle la regarda quelques secondes, puis commença à prendre la parole. « Tu sais… ça ne sert à rien de pleurer. Ce n’est pas de ta faute si tu as un physique franchement désagréable… au pire, plains-toi à ta mère, c’est ce que j’avais longtemps fait… enfin, arrête de pleurer quoi. T’es moche, t’es moche, et t’y peut rien. » Elle se tut. Et la petite se mit à pleurer de plus bel, se levant et s’éloignant de Maria. Assise sur son banc, elle fit un clin d’œil à Ziggy puis lui fit signe de venir s’asseoir à ses côtés. « Et en plus de ça, je nous ai gagné un banc ! Ne me remercie pas…». Puis elle lui demanda « action ou vérité ? ».
Ziggy se tourna complètement pour être sûr de bien entendre ce que Maria dirait à la jeune fille en pleure. Il était trop loin pour tout entendre correctement, mais il arrivait à capter quelques mots, et le peu qui lui parvenait aux oreilles le remplissait de honte, le tout mélangé avec une envie de rire. La fillette finit par partir du banc, pleurant encore plus qu’avant et il fixa alors Maria qui lui fit signe de venir la rejoindre, ce qu’il fit bien évidement. « Je crois qu’on vient de condamner cette gamine à des années chez les psy. Action. »
« Je crois qu’on vient de condamner cette gamine à des années chez les psy. Action. ». Elle le regarda, arquant un sourcil. « C’est de ta faute ça… si t’avais pas eu cette idée tordue de défi. » souffla-t-elle. Puis elle se mit à réfléchir à ce qu’elle allait bien pouvoir lui demander. Elle regarda tout autour d’elle… jusqu’à s’arrêter sur une brochette de jeunes hommes assis par terre. « Tu vois le groupe de mecs là-bas ? Eh bien, tu vas en embrasser un…. A pleine bouche, avec la langue et tout ! ».
« C’est de ta faute ça… si t’avais pas eu cette idée tordue de défi. » Il haussa les épaules, gardant toujours son petit sourire sadique. Après, qu’est-ce que ça pouvait bien lui faire ? Ce n’était pas sa gamine. Après un court silence, Maria lui montra un groupe de mec, annonçant ensuite la couleur en lui disant qu’il devrait rouler une pelle à l’un d’eux. « Too easy darling. » Ziggy se leva du banc, et après un dernier regard à son amie, il se dirigea vers le groupe de mec et sans dire, il se jeta littéralement sur lui et l’embrassa pendant plusieurs secondes avant de revenir tranquillement vers le banc, il savait qu'il n'avait pas besoin de se presser, le mec devait être un peu trop sous le choc pour avoir envie de le poursuivre. « Je crois qu’il a apprécier. Je vais peut-être virer gay. » Après cette pseudo révélation, il lança à Maria le fameux ‘action ou vérité’.
Maria enfila ses lunettes de soleil, derrière ses verres teintés, elle observa Ziggy avec un sourire coincé au bout de ses lèvres. Elle eut envie de rire, mais elle se retint. Elle était quasi-certaine que par fierté masculine, il ne le ferait pas… enfin, ça c’était ce qu’elle avait pensé avant qu’elle le voit embrasser un des garçons. ‘oh mon dieu…’ songea-t-elle alors à elle-même. Lorsque Ziggy revint à ses côtés, il lui lança quelques mots. « J’ai toujours su que tu kiffais les mecs… » songea-t-elle à haute. « Vérité ! »
« J’ai toujours su que tu kiffais les mecs… » Ou pas. Il n’y avait vraiment que l’alcool ou les défis de ce genre qui pourraient le pousser vers un mec, il aimait beaucoup trop les femmes pour soudain changer de bord du jour au lendemain. A sa question, Maria répondit ‘vérité’ et Ziggy ne se cassa pas la tête plus longtemps, lui posant la première question qui lui venait en tête « Ok. Si tu n’avais pas pu être sportive, qu’est-ce que tu aurais voulu être à la place ? Tu peux même dire un truc complètement con, comme éleveuse de poney barbie. »
Maria tourna légèrement la tête vers le blondinet qui était entrain de lui poser sa question. « Ok. Si tu n’avais pas pu être sportive, qu’est-ce que tu aurais voulu être à la place ? Tu peux même dire un truc complètement con, comme éleveuse de poney barbie. ». Elle écarquilla quelques secondes, sûrement un peu surprise par la question… enfin disons plutôt qu’elle ne s’y attendait pas. « Euh… ». A vrai dire, elle n’y avait jamais pensé. Depuis toute petite, elle était déterminée de vivre de son rêve, de sa passion. « Sûrement aurais-je fait comme ma mère… j’aurais élevé des lamas au Pérou. ». Elle vit un léger sourire amusé se dessiner sur les lèvres de son ami, aussitôt pour le faire taire, elle reprit de nouveau la parole. Lui demandant THE question, action ou vérité.
Des lamas au Pérou. Il trouvait cela plutôt amusant en fait, il n’y avait rien de drôle dans le fait d’élever des lamas, c’était un métier comme un autre après tout et qui devait surement être très rependu dans ce pays là. Non, ce qui le faisait sourire était plutôt d’imaginer la fille élégante assise à côté de lui au milieu d’un troupeau de lama et oui, là il rigolait, sans se moquer évidement. Maria coupa court à son imagination en lui posant cette question à laquelle il répondit ‘vérité’.
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