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« L'amitié est un sentiment aussi mystérieux que l'amour. » | Alice

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MessageSujet: « L'amitié est un sentiment aussi mystérieux que l'amour. » | Alice « L'amitié est un sentiment aussi mystérieux que l'amour. » | Alice EmptySam 27 Oct - 17:32

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Si on avait dit à Aaron qu’il retrouverait autant de monde à New York il ne l’aurait pas cru et encore moins si on lui avait dit qu’il retrouverait les deux blondes de sa vie. Il avait tout d’abord croisé accidentellement Athena et la soirée avait fini de manière torride mais il avait aussi retrouvé Alice. Alice c’était sa petite blonde depuis des années. Sa meilleur amie depuis l’école primaire, il l’adorait et cela n’avait jamais changé, il s’en était même beaucoup voulu de la laisser comme il l’avait fait à ses dix huit ans lorsqu’il avait été mis à la porte de l’orphelinat et qu’il avait décidé d’aller à Seattle. Il s’en était voulu oui mais il n’était pas revenu près d’elle. Il l’avait laissé entre de bonnes mains, il avait constitué un cercle de protection autour de la petite demoiselle avant de partir mais cela ne changeait pas les choses il n’était plus là près d’elle et surtout il ne l’avait plus près d’elle et elle lui manquait énormément. Malgré cela, il n’avait coupé tous les ponts, non ce n’était pas possible, il lui avait écrit des tonnes de lettres. Pendant des années, même lorsqu’il avait été à la guerre, il avait écrit des lettres et il en avait reçu de sa part. C’était grâce à cet échange qu’il avait appris le mariage de son meilleur ami et sa Lili, c’était comme cela qu’il avait appris qu’ils avaient eu une petite Charlotte, sa petite Charlie, sa filleule chérie qu’il n’avait malheureusement jamais vu mais à qui il avait renfloué le compte pendant des années, la petite devait avoir une belle somme pour plus tard vu ce qu’il lui avait mis mais il était bien conscient que cela ne remplaçait pas sa présence. Lorsqu’il était arrivé à New York, il avait écrit à Alice après plusieurs mois de silence car il était en soin pour sa blessure et ne pouvait écrire à personne et il lui avait dit qu’étant de retour à New York, il était maintenant libre de voyager. Il voulait voir la petite Charlie. Alice lui avait répondu assez surprise et à la grande surprise d’Aaron qu’elle était à New York. Depuis qu’elle y vivait sa mère lui faisait suivre son courrier, il n’avait donc pas vu qu’elle avait changé d’adresse. Rapidement il lui avait donné son numéro de téléphone et ils s’étaient revus. C’était fin juillet peut être tout au plus et Aaron avait emménagé avec elle. Alice avait su le convaincre que son appartement était grand et qu’ils pouvaient largement y vivre à trois mais aussi que cela leur permettrait de rattraper plus rapidement le temps perdu ainsi qu’avec sa filleule. L’ancien militaire n’avait pas mis longtemps à accepter, totalement convaincu par les arguments de la jeune femme. Depuis presque autant de temps qu’il était donc arrivé dans la grosse pomme, ils s’étaient donc retrouvés et Charlie adorait son parrain, elle s’était très bien adaptée à lui. Il n’était pas son papa mais il était un homme important dans sa vie d’autant plus qu’il aidait considérablement Alice avec la petite pour la soulager car elle avait aussi son travail. La petite Charlie était adorable tout comme sa mère mais elle savait aussi faire ses petits caprices et ce n’était pas rare qu’elle veuille que ce soit son parrain qui fasse ceci ou cela avec elle plutôt que sa maman. Ce soir, elle n’avait cependant pas le choix, c’était Aaron qui s’occupait d’elle car Alice était rentrée avec une violente migraine et elle avait directement était au lit après une bonne douche chaude sous les conseils de son meilleur ami. La jeune femme dormait déjà surement depuis quelques heures mais Aaron n’avait pas oublié qu’elle n’avait pas diner et après avoir douché, fait manger et lu une histoire à Charlotte, il avait préparé quelque chose pour Alice qu’il avait mis sur un plateau pour lui amener. Il avait toqué à la porte et avait entendu sa petite voix l’autorisant à entrer. Il avait alors passé la tête dans l’entrebâillement avec un sourire. « Ça va mieux Lili ? Charlie dort déjà, je t’ai préparé un petit plateau pour que tu puisses dormir avec quelque chose dans le ventre.» Il ne lui demanda même pas si elle avait fin et entra dans la pièce allumant la petite lumière et déposant le plateau sur le lit, s’installant près d’elle. Il allait s’assurer qu’elle engloutisse tout ce qu’il lui avait préparé.

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MessageSujet: Re: « L'amitié est un sentiment aussi mystérieux que l'amour. » | Alice « L'amitié est un sentiment aussi mystérieux que l'amour. » | Alice EmptyMar 30 Oct - 22:22


Le coeur ignore le prix du lien d'amitié lorsque cette amitié est heureuse; Tout le monde pense qu'un meilleur ami, c'est quelqu'un d'irréprochable. Quelqu'un qui a toujours été là en cas de coup dur, à qui on a toujours tout dit, qui peut tout entendre. Quelqu'un avec qui il n'y a jamais eu de problèmes, de cris. Mais un meilleur ami, c'est juste quelqu'un d'humain. Quelqu'un qui dit parfois ce qu'il ne faut pas dire, quelqu'un qui est parfois jaloux, parfois égoïste, quelqu'un qui est de mauvaise foi, quelqu'un comme tout le monde. La seule différence avec les amis en général, c'est que c'est la seule chose qui dure. C'est la seule personne, le seul évènement, le seul rire, qui reste une certitude. Aaron et Alice



En venant à New York, je n’aurais jamais pensé retrouver la personne qui compte le plus pour moi après ma fille. Cependant, j’ai lu un jour qu’il a des amitiés tellement fortes que malgré la distance et le peu de nouvelles, elles resteront jusqu’à la mort. Aaron et moi, c’était ça. L’enfance magique à Londres, la complicité qui grandit malgré trois frères hyper protecteurs et une différence d’âge de deux ans, nous étions deux adolescents qui ne furent jamais unis par l’amour, mais qui vécurent des moments magiques quand même. Cependant, comme partout, il y a eu des bas, un en particulier qui nous toucha plus que les autres, mais qui au final, nous rapprocha aussi beaucoup. Le départ d’Aaron et les dix années où on ne s’est pas vu m’ont beaucoup marqué. Pourtant, malgré ces années d’absences et pourtant, il était le parrain de ma fille et surtout mon colocataire – chose que je lui avais rapidement proposé dès notre première rencontre dans un restaurant de Big Apple. Sa présence m’étais vraiment indispensable, autant pour moi que pour l’organisation de mes journées. En effet, le jeune homme m’aidait beaucoup avec Charlie. Il s’occupait d’elle la journée quand je travaillais, il la couchait le soir quand j’étais trop fatigué, il la gardait parfois quand je voulais sortir. Bref, Aaron était vraiment un ange. D’ailleurs, il me l’avait encore prouvé aujourd’hui. Editrice dans une petite maison indépendante, il n’y avait pas beaucoup de personnel. Nous étions une quinzaine tout au plus, ce qui fait que certaines fois, nous avions plus de travail et trop de concentration sur une longue durée me donnait souvent de violente migraine. C’était donc avec mon cœur battant dans mes tempes et de violents maux de tête que j’étais rentrée à l’appartement. Mon meilleur ami avait tout de suite compris. « Va te coucher, je m’occupe de Charlie. », avait-il dit en extirpant la petite tête blonde de mes bras. Il m’avait déposé un baiser sur la tête et m’avait laissé gagner ma chambre. Là-bas, je m’étais débarrassée de ma veste et des accessoires qui l’accompagnaient. Mes chaussures volèrent à travers la pièce et je glissai dans mes draps toute habillée. Je me tournai et me retournai. Le sommeil ne vint pas rapidement et je somnolai plus qu’autre chose. Soudain, on frappa à la porte. J’articulai une invitation à entrer. Aaron passa la tête dans la chambre et m’adressa quelques mots. « Ça va mieux Lili ? Charlie dort déjà, je t’ai préparé un petit plateau pour que tu puisses dormir avec quelque chose dans le ventre. » Il avança dans la pièce, il posa le plateau sur le lit avant d’allumer la lampe de chevet. Je me relever. « C’est très gentil, Aaron, mais je n’ai pas vraiment faim. Par contre, une aspirine me ferait extrêmement plaisir. » Je me frottai les yeux encore endormi. « La petite n’a pas demandé après moi ? Excuse-moi de ne pas t’avoir prévenu et de t’avoir laissé seul pour t’occuper de Charlie. Tu l’as déjà souvent la journée, je suis désolée de te l’imposer encore le soir. » Je fis une moue désolée en faisant tournée la fourchette dans l’assiette.

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MessageSujet: Re: « L'amitié est un sentiment aussi mystérieux que l'amour. » | Alice « L'amitié est un sentiment aussi mystérieux que l'amour. » | Alice EmptyLun 5 Nov - 13:47

Depuis que Charlie était venue au monde, il n’avait jamais pu être là pour elle et depuis qu’elle était là, il n’avait jamais pu être là pour aider Alice lorsqu’elle en avait besoin alors vivre avec elles deux maintenant à New York était juste une formidable opportunité pour rattraper un peu le temps qu’il avait passé bien trop loin d’elles d’eux. Elles avaient une importance immense dans sa vie et elles ne devaient pas en douter, elles étaient juste des piliers de sa vie, Alice depuis des années, la petite Charlotte depuis sa naissance même si il ne l’avait connu que lorsqu’il avait découvert qu’il vivait dans la même ville que sa meilleure amie. Ce soir, c’était simplement un exemple de scène qui se passait souvent dans le petit appartement dans lequel les trois personnes cohabitaient. Aaron s’occupait de Charlie lorsqu’Alice rentrait. Si la jeune maman était en forme elle profitait de sa fille si elle ne l’était pas c’était le parrain de celle-ci qui continuait à la gérer. Le plus souvent, la maman faisait bien son rôle mais le jeune parrain adorait s’occuper de sa filleule et lorsqu’elle n’était pas en mesure de le faire car elle était trop fatiguée, car elle n’était pas bien ou parce qu’elle avait ramené du travail du bureau, il était enchanté de pouvoir le faire. Aujourd’hui c’était une vilaine migraine qui lui avait valu d’envoyer sa Lili directement au lit en rentrant du boulot, et celle-ci ne s’était pas fait priée, et qui lui avait valu de manger en tête à tête avec sa petite Charlie qui n’avait pas fait la difficile ni à table, ni pour se brosser les dents, ni pour dormir et pourtant elle n’avait pas eu le droit au baiser de sa maman ce qui pouvait être un véritable manque pour une petite fille. Lorsque le calme était revenu dans l’appartement, qu’Aaron avait été le seul être réveillé du logement, il avait préparé quelque chose pour Alice et s’était introduit dans sa chambre. Bien sur, elle rechignait et elle ne voulait pas manger mais il était bien décidé à ce qu’elle avale au moins un petit truc, et juste pour lui faire plaisir il espérait qu’elle le ferait. Bien sur, il avait pensé à l’aspirine, il avait mis la plaquette dans sa poche n’ayant plus assez de mains une fois le plateau dedans pour les prendre. Il en décapsula un et le mis dans le verre d’eau qui tronait sur le plateau. « Tu sais que je n’aime pas lorsque Charlie ou toi vous ne mangez pas… Prend ton aspirine attend un peu mais mange au moins le petit yaourt que je t’ai amené. » Il lui faisait un peu les yeux de biche pour qu’elle prenne pitié et se plie à sa volonté. Et puis il fallait bien dire que le temps qu’elle passerait à manger, elle ne le passerait pas à dire des bêtises comme elle le faisait actuellement. Il lui fit signe de se taire avec un léger sourire aux lèvres. « Chut ! Si c’est pour dire des bêtises pareil tu ferais mieux de ne rien dire, puis ça pourrait te donner encore plus mal à la tête ! Tu sais que j’aime m’occuper de Charlie et que ça ne me dérange alors ne t’excuses pas ! Sinon, non Charlie a compris qu’il ne fallait pas réveiller maman puis parrain l’avait épuisé alors elle s’est très vite endormie ! » Il ne lui disait pas qu’il lui avait lu une petite histoire et qu’il était resté près d’elle jusqu’à ce qu’elle s’endorme mais bon ce n’était pas essentiel c’était un tout petit détail. « Qu’est ce qui t’as valu cette fâcheuse migraine ? Trop de boulot ? Trop de pression ? C’est ma chère psychologue qui cherche à tout comprendre qui me déteint dessus alors ne te moque pas ! » Tout en disant cela et en tentant de la faire sourire il lui tendit le yaourt dont il lui parlait quelques minutes auparavant mais la jeune femme fit de la résistance. Il prit donc la petite cuillère et fit l’avion jusqu’à sa bouche. « Allez ouvre ton bec ou c’est un masque du visage au yaourt que tu vas avoir, tu sais très bien que je ne lâcherais pas ! Après promis je te laisse tranquille ! » Il était un véritable papa poule enfin là plutôt un ami poule mais il s’épanouissait dans ce rôle alors pourquoi en changer ?
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MessageSujet: Re: « L'amitié est un sentiment aussi mystérieux que l'amour. » | Alice « L'amitié est un sentiment aussi mystérieux que l'amour. » | Alice EmptySam 29 Déc - 12:08


Le coeur ignore le prix du lien d'amitié lorsque cette amitié est heureuse; Tout le monde pense qu'un meilleur ami, c'est quelqu'un d'irréprochable. Quelqu'un qui a toujours été là en cas de coup dur, à qui on a toujours tout dit, qui peut tout entendre. Quelqu'un avec qui il n'y a jamais eu de problèmes, de cris. Mais un meilleur ami, c'est juste quelqu'un d'humain. Quelqu'un qui dit parfois ce qu'il ne faut pas dire, quelqu'un qui est parfois jaloux, parfois égoïste, quelqu'un qui est de mauvaise foi, quelqu'un comme tout le monde. La seule différence avec les amis en général, c'est que c'est la seule chose qui dure. C'est la seule personne, le seul évènement, le seul rire, qui reste une certitude. Aaron et Alice



Qu’est-ce que je ferais sans Aaron ? Que serais-je sans mon meilleur ami ? Je ne sais pas du tout. Maintenant que je l’ai retrouvé et que j’habite avec, je ne verrais pas ma vie sans lui, impossible. Il avait pris la place de Lennon au sein du foyer et me déchargeait de certaines tâches quand j’étais fatiguée ou que j’avais trop de travail. C’était le cas ce soir. Rentrée avec une migraine épouvantable, je n’avais pas d’autre choix que d’aller dormir. Mon valeureux chevalier s’était alors occupé de notre appartement et surtout de la petite princesse de trois ans qui y vivait. Charlotte était un vrai petit ange ; toujours souriante et de nature à vouloir tout le temps aider, elle était pourtant un vrai petit diable quand on lui refusait quelque chose ou qu’on était trop occupé pour jouer avec elle. Enfin, c’est ce qu’elle faisait avec moi parce que j’avais pu voir qu’avec son parrain, ce n’était pas du tout le cas. « Ma filleule est vraiment l’enfant le plus sage que je connaisse. », me répétait tout le temps Hastings. Je levais les yeux au ciel et ne répondais rien quand il prononçait ces mots. Il n’avait pas vraiment tort, mais en même temps, j’étais sa mère donc j’avais un avis plus pointu sur la personne de ma Charlotte. Je l’entendais toujours rire avec son parrain et même s’il n’avait pas été présent les trois premières années de la vie de Charlie, le jeune homme se débrouillait très bien avec la petite brune haute comme trois pommes. Jamais je n’ai regretté le choix que j’avais imposé à Lennon, lui qui n’était pas très chaud pour que le parrain de son bébé soit à Houtsiplou-les-bains-de-pieds. Aaron était vraiment quelqu’un d’exceptionnel et il me l’a encore prouvé avec cette migraine. Je m’étais endormie très rapidement et je n’avais donc pas entendu ma fille aller au lit. J’aurais tant voulu l’y emmener, c’était notre petit rituel même quand j’avais beaucoup de travail. J’espérais juste qu’elle n’avait pas demandé trop après moi. Cependant, je ne posai pas la question tout de suite. Bien qu’il se fût un peu atténué, le mal de crâne dont je souffrais était encore bien présent. Je demandai après les aspirines et Aaron en sortit une plaquette de sa poche. Il en mit une dans l’eau et je laissais le médicament se décomposer dans le liquide transparent. « Tu sais que je n’aime pas lorsque Charlie ou toi vous ne mangez pas… Prend ton aspirine attend un peu mais mange au moins le petit yaourt que je t’ai amené. » Je soufflai un petit peu. Je savais qu’il avait raison. Je me résous donc. « Oui, mais non, je t’assure que je suis loin d’avoir envie de manger. D’ailleurs, je suis désolée de t’imposer mon manque d’appétit alors que tu as préparé ce plateau avec amour. » Je souriais tout en fixant le verre d’eau trouble. J’enchainai avec ma fille, mais mon meilleur ami me fit très vite comprendre que je devais me taire. « Chut ! Si c’est pour dire des bêtises pareil tu ferais mieux de ne rien dire, puis ça pourrait te donner encore plus mal à la tête ! Tu sais que j’aime m’occuper de Charlie et que ça ne me dérange alors ne t’excuses pas ! Sinon, non Charlie a compris qu’il ne fallait pas réveiller maman puis parrain l’avait épuisé alors elle s’est très vite endormie ! » Je tournai la tête vers le parrain et souris « T’es un ange, Aaron, sincèrement. Qu’est-ce que je ferais sans toi ? Je me le demande vraiment. » J’attrapai le verre et bus en quelques gorgées le contenant. Les médicaments pour la tête avaient un goût dégueulasse et mon visage trahissait mon dégoût pour ceux-ci. « Beurk ! Pourquoi faut-il que j’aie mal à la tête ?! », pestais-je. Il ouvrit le yaourt et me le tendit. « Qu’est ce qui t’as valu cette fâcheuse migraine ? Trop de boulot ? Trop de pression ? C’est ma chère psychologue qui cherche à tout comprendre qui me déteint dessus alors ne te moque pas ! », dit-il tout en prenant la cuillère parce que je refusais de manger ce qu’il me donnait. « T’inquiète, je ne me moque pas. Sinon, je ne sais pas. Sûrement trop de boulot, les derniers mois de l’année sont avec la fin des vacances, la période où les auteurs envoient le plus d’écrits donc on se bats pour tous les lire à temps pour les sortir soit avant les fêtes, soit début janvier. » Il commença à faire l’avion comme on le faisait parfois avec Charlie quand elle refusait d’avaler son assiette. Je souris. « Allez ouvre ton bec ou c’est un masque du visage au yaourt que tu vas avoir, tu sais très bien que je ne lâcherais pas ! Après promis je te laisse tranquille ! » Je rigolai et obtempérai aux ordres de papa Hastings. J’avalai. « Tu sais, un masque de yaourt pour le visage, c’est très bon hein ! » Je lui fis mon sourire de petit ange, le même que ma fille quand elle avait fait une bêtise et qu’elle venait près de vous comme si de rien n’était.

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MessageSujet: Re: « L'amitié est un sentiment aussi mystérieux que l'amour. » | Alice « L'amitié est un sentiment aussi mystérieux que l'amour. » | Alice EmptySam 5 Jan - 1:46


Aaron prenait très à Coeur son rôle maintenant qu’il avait retrouvé celle qui avait toujours été là pour lui. Alice était sa meilleure amie depuis des années et malgré l’éloignement qu’ils avaient connu pendant longtemps, leur amitié n’avait pas flanché. Depuis qu’ils s’étaient retrouvés, elle était même devenue de plus en plus forte et ce n’était pas pour déplaire au jeune homme. Il l’adorait et être dans sa vie à sa place, à la place qu’il avait occupée pendant des années avant de partir à l’armée était plus qu’important pour lui. En plus de cela, il était maintenant le parrain de la petite Charlie et même si il n’avait pas pu être là, près d’elle, dans les premières années de sa vie, il était présent maintenant. C’était un devoir pour lui alors s’occuper de ses deux petites femmes étaient loin d’être une corvée. Même si parfois Charlotte faisait des petits caprices à sa mère qu’Aaron n’aimait pas bien et qu’Alice n’était pas toujours de la meilleure humeur pour discuter, ou bien qu’elle n’en était juste pas capable à cause de la fatigue ou d’une migraine. C’était tout simplement les aléas de la vie et l’ancien soldat les comprenait bien. II les acceptait même tant que c’était pour être près des deux femmes qui ne sortiraient jamais de sa vie. Après avoir rassuré Alice par rapport à la petite et lui avoir fait prendre un cachet et un yaourt, le jeune homme sourit à sa réflexion. Que ferait-elle sans lui ? Elle s’en sortirait très bien comme elle avait pu le faire avant. Elle était forte, elle n’avait pas besoin de lui. « Tu ferais aussi bien que tu le fais maintenant ma Lili ! Tu es une maman formidable que je sois là ou non et une femme tout à fait normale qui a le droit d’avoir des coups de mou ! » Avec ses mots, le jeune homme avait passé sa main doucement sur son visage. Il était sincère, cette femme méritait l’admiration, elle savait jouer sur tous les tableaux, tout gérer et c’était donné à peu de personne. « Et mange ton yaourt ! Je ne veux pas qu’il finesse sur ton visage, sit u veux faire ça, je t’en amène un autre mais j’insiste pour que celui là finisse au fond de ton estomac! » Le jeune homme était peut être lourd parfois mais il savait à quel point c’était désagréable parfois de se faire réveiller en pleine nuit par une petite faim. C’était pourquoi il insistait autant pour qu’elle mange mais aussi parce qu’avec le rythme de vie qu’elle menait et le peu de temps qu’elle devait avoir à midi pour manger, il voulait qu’elle se remplume un peu. Elle n’avait donc pas le choix et pourtant la jeune femme prit la liberté de prendre le choix puisqu’elle écrasa une cuillère de yaourt sur le nez de l’anglais qui secoua la tête et fronça les sourcils d’un air désapprobateur mais tout de même avec un petit sourire en coin. Il prit alors ce qu’il avait sur le nez avec son doigt et tenta d’atteindre sa figure à son tour… Son doigt termina sur sa joue… Ils étaient maintenant beaux comme cela. « On est mignon comme ça ! Imagine toi si Charlie se réveille… Quel exemple on va lui donner de jouer à la nourriture ! » Le jeune homme n’eut pas terminé sa phrase que la jeune femme essuyait de ses lèvres les dernières traces de yaourt sur le bout de son nez et qu’il en fit de même sur sa joue. Mais là une étrange sensation s’empara de lui, une sensation qui le conduit jusqu’aux lèvres de la demoiselle, des lèvres qu’il regarda de très près pendant plusieurs secondes avant de briser les derniers millimètres qui les séparaient. N’importe quoi, il faisait n’importe quoi, il le savait, il en était conscient mais il ne pouvait faire autrement que de suivre cette pulsation et si elle voulait tout stopper c’était à Alice de le faire car Aaron lui en était incapable.
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