Des passions communes rapprochent les gens.

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Ah le plaisir de travailler. Diego ne connaissait que ça depuis quelques temps déjà. Il se fondait dans son travail pour en retirer le meilleur. Pour lui-même et pour ses clients. Entre les mariages et les communions qui étaient en ce moment, il avait eut une demande bien différente. Il s’agit de plusieurs personnes qui avaient besoin d’un coup de pouce pour organiser un salon du livre. C’était la première fois qu’il s’y collerait. Une vraie première pour lui. Il avait donc besoin de se renseigner et il le fit pendant plusieurs jours. Un de ses employés avait déjà couvert un tel événement, du coup, c’était bien d’avoir un point de départ. Il avait écouté ses paroles sans l’interrompre. Puis, ils avaient décidés ensemble de comment serait disposé les stands. Bref, toute une organisation qui prenait vie quelques semaines plus tard. Leur projet ayant attiré l’œil des organisateurs, ils avaient tout été mettre en place dans la salle prévu pour l’évènement. Donnant les ordres et aidant, il faisait toujours aussi attention que sa prothèse ne se voit pas. Il était respecté pour faire peur et être un type dur en affaire. Pas besoin que tout le monde sache qu’il avait perdu un bras à la guerre. Toujours avec ses manches longues, il aidait donc à mettre en place des tables et écoutait ce que les autres disaient quand il y avait des problèmes. A la fin de la journée tout était en place. Quelques heures plus tard, les personnes venant présenter leurs ouvrages étaient là, prenant place à leurs stands pour vérifier qu’ils avaient tout. Diego et son équipe, plus les personnes s’occupant de l’évènement, étaient là pour aider au besoin et répondre aux questions de tout le monde. Le lendemain matin, l’évènement ouvrait ses portes et les gens de New-York pouvaient donc venir prendre plaisir à découvrir de nouveaux livres et parler avec les auteurs. Ils pouvaient même demander des photos et des autographes. Bref, tout le monde semblaient contents et en coulisses, Diego veillait que tout se passe pour le mieux. Il eut juste un problème au niveau des endroits prévus pour pouvoir manger et boire. Des ruptures de stock, heureusement que Diego avait des gens à appeler et qui étaient arrivés assez rapidement avec de quoi sustenter tout le monde. Appuyer contre un des murs, Diego regardait les gens qui semblaient apprécier leurs visites dans le lieu. Répondant parfois dans son talkie walkie, il donnait des instructions, ou donnait des réponses quand certains en avait besoin. Croisant quelques clients, il les salua, reconnaissant parfois des clients pour des mariages, baptêmes ou autres évènements qu’il avait organisé. Se retrouvant finalement à l’entrée, il regarda les dépliants fait pour l’évènement. Il n’avait pas prit le temps de le faire avant et il laissa la place aux personnes en voulant également.

Invité

❝ Des passions communes rapprochent les gens. ❞

Le salon du livre de l’année ! Oui, il y en avait un organisé et il me disait que je devais y aller pour mon bien. Je trouvais donc que je devais m’y précipiter afin de trouve ce que je cherchais. Tout d’abord, j’avais appris que je pouvais donc y aller pour un prix abordable. Je prenais donc une place pour moi. Il fallait juste que trouve de quoi faire et vendre dans ma boutique. En général, j’allais voir les petites maisons d’éditions afin de ne pas trop me ruiner. Puis, mes petites économies qui avaient des petits me serviraient à m’agrandir, et donc, avec la dernière nouvelle de la mairie, je pourrais donc avoir la chance de le faire sans trop me ruiner. Pas de prêt, juste un chèque, et mon banquier était au courant. Il avait même trouvé que l’idée était fortement agréable et très utile pour mon commerce. J’en avais parlé à Gaspar, qui était donc venu m’aider pour les futurs travaux. J’avais une porte pour rentrer chez moi directement, et cela me convenait bien mieux. Donc, il me fallait des livres à vendre et il s’agissait de la raison pour laquelle je me trouvais devant ce salon. Passant donc la porte, je mettais le badge que l’on m’avait envoyé par la poste. Je voyais donc un homme, apparemment d’après son badge, il avait préparé le salon. Faisant un pas de plus, je prenais un dépliant, et je voyais qu’il y avait une erreur dans mon nom de famille, je disais alors simplement frustrée.

- « Oh, il y a une erreur dans mon nom de famille. Pourtant, je l’avais bien précisé. A croire que personne ne sait lire. Enfin, l’erreur est humaine. Du moment que j’ai accès au salon tout me va. »

Etant nouvelle sur le marché, le maire avait demandé que je vienne afin de présenter ma boutique. Et surtout vu qu’il avait fait son projet pour le quartier, il s’agissait plus d’une promesse de mandat qui finalement allait s’avérer exacte. Et donc, je devais alors dire toutes les bonnes nouvelles qui m’étaient tombées sur le coin de la figure. Prenant donc le dépliant, je devais voir une personne à l’accueil qui me ferait visiter le salon. Je patientais donc le temps que la personne vienne me voir. Il ne fallait pas que je m’énerve. J’étais plus comme une enfant devant un gros Père Noël qu’autre chose. Je regardais le plan, et je voyais même qu’il y avait les stands des petites maisons d’éditions que je voulais aller voir. Souriant face à cela, j’entendais alors la personne qui devait venir me voir m’appeler. Levant la tête, je tombais sur la personne qui se trouvait en face de moi devant le dépliant.

Invité

Beaucoup de choses à faire aujourd’hui, mais pour l’instant pas de gros dégâts. Même ce truc avec la nourriture et les boissons avaient été réglé en peu de temps. Du coup, le jeune homme était partit vers l’entrée. Attrapant un dépliant, il le regarda tranquillement. Diego n’était pas un fan de livres pour rien. En plus de cela, avec des parents adoptifs lui ayant transmit une partie de leur argent et son entreprise grandissante, il avait de quoi s’acheter un tas de livres. Il en avait beaucoup, qui étaient des éditions originales. Peu de personne pouvait s’en venter. Lui, ne le faisait pas, sachant que les voleurs étaient partout. C’était sans doute être paranoïaque, mais il avait déjà été volé une fois et il ne voulait pas que ça recommence. Entendant une jeune femme parler, il leva la tête et la regarda. Faisant quelques pas plus loin, il alla en parler à deux femmes qui étaient là et qui s’occupait de l’accueil des lieux et des renseignements pour les personnes qui en avaient besoin. Il savait que les dépliants ne pouvaient pas être réimprimés, donc il faudrait la proche vérifier chaque nom et ne pas commettre d’erreur. Il entendit alors un homme l’appeler. Se tournant, il attrapa une feuille et lu le nom de la personne qu’il devait aider à installer. Levant la tête, il regarda autour de lui.

Olive Denali ?

Voyant la jeune femme tourner la tête, il lui sourit poliment.

Je suis Diego, je vais vous amener à votre stand.

Il n’avait pas l’habitude de faire ce genre de choses, mais plus il aiderait et mieux il saurait où étaient les fautes et ce qui ne devrait pas être refait pour les années suivantes si on lui proposait à nouveau ce genre de projet.

Je vous ai entendu tout à l’heure. Qu’est-ce qui se passe avec votre nom ?

Fronçant les sourcils, il ouvrit son dépliant et attendit que la jeune femme lui explique.

Nous avons reçu les identités de tout le monde via la mairie. Nous n’avons pas vérifié s’il y avait des erreurs.

Chose qui n’arriverait clairement plus, pas sous l’autorité du jeune homme.

Invité

❝ Des passions communes rapprochent les gens. ❞

Un homme vint se présenter à moi et me demanda si je m’appelais bien Olive Denali. Souriant, je lui répondais amusée par la situation. - « Aux dernières nouvelles, il s’agit bel et bien de moi. »

Il se présenta comme Diego, il y avait bien une personne de ce prénom qui avait pris des renseignements auprès de la marie. Je l’entendais me dire que j’aurais droit à un stand. Alors comme ça, il sera possible pour moi de parler de ma librairie. Curieuse de voir ce qu’ils avaient prévus, je me demandais bien si je pourrais donc alors avoir une petite chance de faire quelques affaires. Le suivant, il me demandait ce qu’il n’allait pas à mon nom de famille, je répondais alors patiemment.

- « Ils ont mis deux « L » à mon nom de famille alors qu’il n’y en a qu’un seul. Enfin, ce n’est pas grave. La personne de la mairie a du mal l’écrire. Je vais les appeler tout à l’heure. De toute façon Mr le Maire doit passer pour parler du projet concernant mon quartier. »

Souriant, je me disais bien qu’il devait sans doute y avoir une explication des plus plausibles. De toute façon, il était préférable d’attendre que tout se passe normalement. Tandis que je suivais donc mon guide, je regardais autour de moi. Il y avait pas mal de stand, et donc, je pouvais bien voir que pour le moment, il y en avait bien des gens que je ne connaissais pas du tout. Des maisons d’éditions que je désirais voir me saluaient sur le chemin. Ils prenaient donc leurs cartes, et me les donnant à chaque fois, je les rangeais dans ma pochette que j’avais amenée à cette occasion afin de ne pas perdre les informations. Continuant de me trouver aux côtés de mon guide, je lui demandais.

- « Il y a du monde, c’est génial. Il y a des animations de prévues ? Comme des séances de lectures ? »

Dans ce genre de lieu, il y avait toujours des rendez-vous entre professionnels, et il y avait aussi des conférences afin de parler du métier. De plus, je me doutais que je devrais sans doute parler de ma librairie. Mais bon, cela n’est pas bien difficile. Il faut toujours avoir les réponses dans sa poche. Et pour le moment, je préférais donc réfléchir à ce que je dirais.

Invité

S’occupant d’une jeune femme, il alla la chercher et se présenta. Il l’invita donc à le suivre pour aller à son stand. Lui demandant ce qui se passait avec son nom de famille, il hocha la tête. La prochaine fois, il faudra faire plus attention aux noms, quitte à avoir une équipe qui rappelle tout le monde pour être sûr que les orthographes soient bonnes.

Un projet ? Je peux me permettre de demander de quoi il s’agit ?

Son côté chef de projet était de sortie, mais également sa curiosité. Il se demandait ce que la mairie avait de prévu dans le quartier de la jeune femme. Tout en marchant, il regarda la jeune femme qui recevait des cartes et autres papiers. Il prit donc le temps de s’arrêter et il l’écouta parler.

Il y en a, attendez.

Sortant un plan de sa poche, il le montra à la jeune femme.

Au fond de la salle.

L’indiquant sur la feuille et lui montrant la direction dans la salle, il reprit finalement la parole.

Ce sont les espaces pour tout ce qui est dédicaces et discussions. On y trouve également quelques personnes qui sont nouvelles en ville et qui veulent présenter leurs commerces.

Arrivant au stand de la jeune femme, il se tourna en lui souriant.

Voici votre place.

Il vérifia la feuille qui indiquait son nom et vit que là il n’y avait pas de faute dans son nom.

Apparemment certains ne sont pas très coordonnés.

Il montra la feuille et sourit à la jeune femme, à nouveau.

C’est donc votre espace. Si jamais vous voulez aller participer à tout ce qui se passe au fond de la salle, il faudra me prévenir, que je puisse savoir où vous êtes si jamais quelqu’un veut vous parler.

Il savait que ça pouvait paraître ennuyeux de devoir lui rendre des comptes, mais c’était la façon de procéder pour tout le monde. Récupérant son plan, il le replia et le mit dans sa poche avant de regarder la jeune femme.

Vous avez besoin de quelque chose ? Des questions peut-être ?

Invité

❝ Des passions communes rapprochent les gens. ❞

- « Le Maire de la ville a décidé de relancer le quartier où je vis et donc il va y avoir plus de commerçants. Il aide les jeunes commerçants à s’installer. Et il faudrait que je voie des maisons d’éditions afin de trouver d’autres livres à vendre. Le projet est que je vais m’agrandir et qu’il faut que je fasse attention à tout. »

Je voyais donc le plan qu’il me donnait, et regardant alors de quoi il s’agissait, je lui répondais en souriant. - « Merci pour votre aide. »

Je l’entendais me donner les explications afin de mieux savoir ce qui allait se passer durant la semaine. Je répondais alors sachant que je pourrais donc en profiter un peu plus.

- « C’est une bonne idée d’avoir mis cela en place. J’irai sans doute y faire un tour, je n’hésiterais pas à vous prévenir que j’irai. J’ai un ami, le Père Sanchez qui viendra tout à l’heure donc si je ne suis pas là, il sera à mon stand. »

Je voyais donc mon stand, il était de taille moyenne mais utilisable pour moi. Je pouvais donc mettre mes livres et surtout présenter ma boutique. Je trouvais donc que je pouvais alors faire attention à tous les futurs clients et éditeurs qui voudraient mettre leurs livres chez moi. Je savais donc que je devais une fois de plus savoir comment la suite viendrait. Mais pour le moment, je voyais qu’il était nécessaire pour moi de comprendre comment est-ce que j’allais alors apprécier le reste de la journée. M’asseyant derrière ma table, je posais donc mon dossier et j’enlevais ma veste. Je répondais à mon interlocuteur.

- « Il est possible de savoir où acheter de l’eau et à manger ? Je n’avais pas prévu que cela durait une semaine, et il est possible de se nourrir sur le salon ? »

Invité

Visiblement, la ville avait des projets pour le quartier de la jeune femme. Diego n’étant pas du tout dans ce domaine, écoutait les propos de la jeune femme en hochant la tête.

Ca a l’air d’être un projet prometteur et ça va visiblement vous donner beaucoup de travail.

Il esquissa un sourire en regardant la jeune femme. La mairie avait de grands projets pour ce quartier. Ca intéressa le jeune homme, mais il n’en dit rien, répondant d’abord aux questions de la jeune femme. Lui montrant un plan que les accompagnateurs possédaient, il lui indiqua ce qui se trouvait exactement dans ce grand bâtiment. Quand elle le remercia pour son aide, il ne fit que sourire poliment en retour. L’écoutant expliquer qu’une autre personne pourrait venir à son stand, il regarda ses papiers. Il ne vit pas tout de suite le nom de l’homme dont elle parlait, avant de finalement le trouver.

Il est en effet sur la liste. Dans ce cas, si jamais il a besoin de renseignements à son tour, il n’aura qu’à me joindre.

Sortant une carte de sa poche, il l’a donna à la jeune femme.

Avec ça, vous aurez mon numéro de portable et si vous avez besoin de quoi que ce soit, n’hésitez pas.

Après avoir donné sa carte à la jeune femme, il la laissa donc regarder son stand. De son côté, il vérifia ce qu’il avait à faire par la suite. D’autres personnes à aller voir, mais il n’en avait pas avant un moment, donc ça allait. En entendant la jeune femme lui parler, il se retourna, attentif à tout ce qu’elle lui disait.

Il y a tout ce qu’il faut ici. Boissons en tout genre, y comprit boissons chaudes. Pour la nourriture également. Ce sont plus des sandwichs, c’est plus facile pour tout le monde, mais les desserts viennent de plusieurs endroits en ville, donc là vous aurez du choix.

En effet, entre les viennoiseries, les cupcakes, des bonbons en tout genre. Il y avait de quoi se servir et faire un stock.

Pour les personnes qui ont un stand comme vous, ça se trouver à l’étage. Vous avez un espace spécial pour tous ceux qui présentent des livres.

En effet, ils avaient fait deux espaces distincts. Un pour les exposants et un autre pour les clients.

Est-ce qu’il y a des maisons d’éditions en particulier que vous voudriez voir. Comme j’ai le nom de tout le monde et un plan détaillé des lieux, je peux vous y amener si vous le souhaitez. A moins que vous préfériez d’abord sortir vos affaires ou faire tout autre chose sans moi et que je vous laisse tranquille ?

Invité

❝ Des passions communes rapprochent les gens. ❞

Assise, je me disais bien que je pouvais donc alors avoir une chance de tout faire comme il fallait. Mon interlocuteur me demandait donc si le projet serait alors important. - « Oui assez, en même temps cela va me permettre aussi d’avoir plus d’opportunité de m’agrandir. Puis, une fois cela fait, je ne bougerais plus donc, je trouve que c’est un bon choix. »

Je l’entendais me dire que si le Père Sanchez voulait quelque chose qu’il fallait qu’il aille le voir. Souriant, je savais que mon ami n’irait pas le voir et donc qu’il fallait juste qu’il arrive. Il avait tout prévu mais bon, au cas où, le connaissant il allait plus m’aider à mon stand. Il était venu de Puerto Rico avec moi. Il était comme un père pour moi et il m’avait aidé à trouver un local et donc lorsqu’il avait appris pour le projet de la Mairie, il m’avait encore aidé.

- « En tous les cas, je lui dirais d’aller vous voir s’il a besoin de quelque chose. »

Donc tout en ayant alors la certitude que tout se passerait bien, je me disais donc qu’il fallait juste que je n’oublie rien dans toute cette histoire. Afin de savoir si j’avais tout, j’avais fais une liste. Je cochais donc au fur et à mesure. Une méthode qui m’avait aidé à chaque fois que je commençais quelque chose.

- « Chouette, tant mieux, comme ça, je vais pouvoir me régaler. »
Souriant, je me demandais bien ce que je pourrais donc continuer sachant que la journée serait vraiment formidable. Je me disais donc qu’il fallait que je réponde à ses questions.

- « D’accord merci pour vos réponses. Hum, oui j’aimerais bien aller voir Nabu Press, j’ai quelques livres anciens que j’ai de Puerto Rico et j’aimerais savoir si cela les intéressez. Puis, je dois voir VIZ Media, ils m’ont envoyé une lettre afin de vendre leurs produits et je dois aller les voir pour confirmer que j’accepte. »

Sortant ma feuille, je voyais donc une dernière maison d’édition que je devais aller voir. - «Valiant Comics est la dernière que je dois voir. J’ai juste des papiers à récupérer. En fait, je n’en ai pas pour longtemps. Si vous voulez vous pouvez venir avec moi. » Reprenant mes affaires, je ne voulais pas qu’on me les pique. Je voulais donc juste continuer cette belle journée.

Invité

Préparer des évènements, c’était quelque chose d’important pour Diego, ça l’avait toujours été, c’est pour cela qu’il tenait une entreprise de ce genre. Alors, en entendant parler d’un quartier qui allait s’agrandir, ça serait des clients potentiels pour lui. Se renseignant, il écouta ce que la brunette lui disait et il hocha la tête.

Si ça vous plaît, c’est le plus important.

Esquissant un sourire poli, il en prit note mentalement. Son assistant aurait donc à se renseigner à ce sujet. Finalement, la jeune femme lui expliqua qu’il y aurait peut-être une autre personne au stand, il lui expliqua comment faire avec lui et surtout de la prévenir. Diego était là pour aider, donc il fallait se référer à lui, sans avoir peur de déranger.

Parfait.

Notant le nom du Père Sanchez sur ses papiers, il ne voulait pas oublier cet invité. La jeune femme demanda comment se sustenter au besoin et il expliqua donc les différents endroits possibles. Celui pour les personnes qui venaient se renseigner était au fond de la salle et pour les exposants, c’était à l’étage. Proposant ensuite d’aller voir certains exposants en particulier, il écouta et nota ses réponses. Sortant son plan, il nota les numéros de rangés des deux noms cités par la jeune femme. En l’entendant donner un dernier nom, il les chercha et eut un sourire amusé.

Ils ne sont pas trop loin les uns des autres, donc ça devrait aller.

Ramassant le plan, il regarda à nouveau la jeune femme.

Vous préférez attendre le Père Sanchez avant d’y aller ou on commence par vos visites d’abord ?

Invité

❝ Des passions communes rapprochent les gens. ❞

- « Au moins cela va me permettre de pouvoir avancer dans mon travail. »

Je réalisais que je pouvais donc trouver d’autres partenaires pour le travail. Depuis que Kelly m’avait contacté afin de racheter sa librairie. Je me rendais compte qu’il était important pour moi de faire tout dans le bon ordre. Je comprenais juste qu’il fallait que je trouve comment m’arranger. Mais j’avais une longue de listes de choses à faire, et pour ma part, je trouvais donc que la situation allait sans doute partir dans un mauvais sens. Puis, pour la simple et bonne raison, que je ne voyais pas trop comment faire, je demandais alors patiemment.

- « Je vous suis alors pour trouver la scène enfin l’estrade. »

Puis tout en gardant mes affaires avec moi, je trouvais qu’il était plus que préférable que je prenne le temps de bien faire les choses. Il y avait pour une fois une situation qui me permettait de faire en sorte que tout aille bien. Je trouvais juste que le fait de me répéter dans ma tête que tout irait bien me rassurait à mort. Je lui répondais alors patiemment.

- « Bien, je vais donc vous suivre sur ce terrain-là. »

Je répondais quand même à sa question : - « Hum, et bien il a mon téléphone et donc s’il arrive ici pendant que je ne suis pas là cela n’est pas bien grave. »

Enfin, je préférais une fois de plus faire avancer les choses. Le projet de la mairie pouvait donc me permettre de réussir ma vie. Et tandis que je demandais conseils à Gaspar, je savais que je pouvais donc compter sur lui en tant qu’ami. Je prenais le temps de le laisser réfléchir sur ce que je venais de dire. Je regardais autour de moi, et je remarquais qu'il y avait de plus en plus de monde. Je posais donc une question.

- « Et donc, si j'ai bien compris, je vais rester pendant la conférence de presse sur l'estrade avec les autres commerçants et Monsieur le Maire ? »

Invité

Aujourd’hui ? Je n’en ai pas la moindre idée.

Attendez, je me renseigne.

Donc apparemment oui. Vous serez derrière le maire, avec les autres commerçants. C’est pour que les gens sachent qui fait partit du quartier et qu’ils puissent visualiser vos visages et donc plus tard vous voir dans vos commerces.

Invité

❝ Des passions communes rapprochent les gens. ❞

« Aujourd’hui, oui, je ne sais pas, on m’a juste demandé de me trouver ici aujourd’hui. »

Tout en voyant alors qu’il n’était pas au courant, je me demandais bien comment est-ce qu’il fallait donc pour je sois aussi maladroite. Je m’interrogeais alors sur la suite des évènements. Alors que je trouvais que je devais comprendre le sujet de conversation : est-ce que j’avais fais une gaffe ou pas ? J’entendais alors mon interlocuteur me dire que j’allais me trouvais derrière le maire. Souriant un peu, je me demandais bien ce que je devais faire. Apparemment, rien de grave, juste attendre que cela passe. Je répondais alors patiemment.

« Merci pour le renseignement. Donc, il suffira juste de le laisser parler, vu comme il est bavard, il y a des chaises sur l’estrade ? »

Une simple question qui pouvait porter à sourire, sauf que je ne tenais pas à me prendre des fourmis dans les jambes. Tout en regardant autour de moi, je demandais quand à même à mon interlocuteur. « Cela fait longtemps que vous faites cet évènement ? » Tant qu’à faire, autant faire la causette ! Souriant en sachant que la suite serait bien plus drôle, je demandais : « Vous avez le trac sur la scène ? Si je dois parler je fais quoi ? On m’a souvent dit d’imaginer une personne en tutu rose, vous en pensez quoi ? » Ne sachant pas ce que je pouvais faire d’autre, je patientais donc le temps qu’il me dise quelque chose. Ensuite, tout en me demandant si j’allais réussir ou pas à faire tout cela, je voyais donc les gens qui venaient de plus en plus dans le festival. J’avais donc la sensation que tout ira bien mieux par la suite.

Invité

Oui, elles seront juste derrière.

Non, je suis nouveau. J'organise des évènements en tout genre, mariages, baptêmes, anniversaires. Cette année, on m'a proposé d'aider à organiser le salon du livre et me voici.

J'ai fais du théâtre étant plus jeune, j'avais le trac à chaque fois avant. Il paraît que c'est normal. Pour le reste, je ne sais pas trop. C'est à vous de voir ce qui vous rend le plus à l'aise ou non.

Invité

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« Bien, au moins, on risque de ne pas s’ennuyer. » A ma tête, on avait bien deviné que pour le moment, je ne voulais pas m’attarder sur ce truc. Il fallait bien l’avouer, mais je désirais juste rester à mon stand. Mais bon, parfois, il fallait bien faire des choses que l’on ne voulait pas faire. Entendant mon interlocuteur me dire qu’il était tout nouveau dans le métier, je lui disais gentiment.

« Pour le moment, c’est pas mal, je trouve que c’est très bien fait. » A vrai dire, je ne savais pas trop que la suite serait donc assez mal placée pour ce que je venais de dire. Il y avait en effet, une coupure de courant qui venait juste d’apparaitre. Bien que les fenêtres fussent sur la rue, et qu’il y avait un peu de lumière, je voyais donc que la panique allait sans doute venir doucement. La climatisation et le fait que tout était plus ou moins sur l’électricité, je me rendais compte que je venais de parler trop vite. Je disais alors à Diego : « Je crois que j’ai parlé trop vite…. »

Je prenais donc le temps de bien tenir mes affaires, je voyais aussi que mon ami le Père Sanchez venait d’arriver. Il était assez fatigué, et lui donnant ma chaise, il disait avec humour : « Et bien, c’est l’heure de dormir ? » Je prenais quand même le temps de répondre à Diego : « Allez courage, je vois à votre visage que vous allez paniquer. Il ne le faut pas. Vous allez y arriver. Pour le tract, je prendrais votre conseil. Il me parait judicieux. » Tout en attendant que cela passe, je voyais des gens qui commençaient à paniquer. Il ne fallait pas oublier que depuis le 11 Septembre, les gens prenaient tout aux pieds de la lettre.

Invité

Merci.

Ca n’est pas moi qui m’occupe de ça. Je ne vais pas paniquer, ça n’est pas ma partie. C’est ça d’avoir des gens qui veulent plusieurs contrats avec différentes boites. Personne n’est synchronisé.

On va peut-être attendre un peu avant d’y aller finalement.

Invité

❝ Des passions communes rapprochent les gens. ❞

Il fallait bien l’avouer mais pour l’instant, je devais juste avancer afin de savoir où est-ce que je devais aller. Il y avait bien cette petite chose que je pouvais faire, mais dans le noir comme cela, j’avais un peu plus de mal. Je voulais juste savoir comment lire un peu, mais bon, vu le noir, il était préférable d’attendre que tout aille bien mieux. Alors que j’allais parler, je voyais donc des flashs de lumières. Ils essayaient donc de la remettre mais apparemment, ils n’arrivaient pas à le faire. Je voyais donc le père Sanchez, et l’aidant à s’asseoir, je disais à mon interlocuteur.

« Bon, il faut juste attendre que cela passe ou est-ce que l’on doit sortir par mesure de sécurité ? »

Je ne voulais pas non plus m’attendre au pire, mais voyez-vous, être dans ce salon me permettait donc de pouvoir trouver des solutions pour ma boutique. Je réalisais alors que le voyais donc les lampes clignotaient une seconde fois, je voyais donc que la suite serait alors pour une fois assez complexe. Je prenais aussi en plus sur moi afin de ne pas non plus me tromper. Mais il fallait bien que cela se termine bien.

« Je trouve que l’on va devoir attendre encore un peu. A moins qu’ils n’arrivent à tout remettre à temps. Je suis étonnée que l’alarme ne se soit pas mise en route. »

Tandis que je m’asseyais sur ma chaise, je voulais que la suite aille bien. Prenant mes affaires avec moi, je désirais juste savoir comment continuer. Il y avait alors pour moi une petite chance pour que les lumières reviennent doucement.

Invité

Attendre suffira. Ca doit être juste une panne imprévue, mais rien de grave.

L’alarme ne se met pas en route pour cela. Elle est programmée pour les intrusions, pas les pannes de courant.

Tenez, si ça peut vous rassurer.

Je vous laisse, je vais aller voir si je peux aider.

Voilà qui est réparé pour de bon. Que fait-on maintenant ?

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