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"C'est seulement quand on a tout perdu qu'on est libre de faire tout ce qu'on veut " Enorah & Loris

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MessageSujet: Re: "C'est seulement quand on a tout perdu qu'on est libre de faire tout ce qu'on veut " Enorah & Loris "C'est seulement quand on a tout perdu qu'on est libre de faire tout ce qu'on veut " Enorah & Loris - Page 2 EmptyMer 22 Aoû - 19:05


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    Alors que la jolie pianiste était parfois distante et peu coutumière des grandes embrassades, Loris était toujours le premier à démontrer son affection. Disons qu’Enorah avait ses grands moments et ses grandes absences. Le matin était un moment de solitude pour elle depuis trois ans. Elle se préparait son petit déjeuner, celui de Thaïs, mais n’avait personne avec qui échanger quoi que ce soit, hormis la nounou qu’elle avait embauchée depuis un moment déjà. D’ailleurs, après s’être longuement blottie dans les bras du jeune homme, elle fut légèrement étonnée par sa question à propos de ça. Après tout, elle ne savait toujours pas très bien à quoi s’en tenir, ni même quand il souhaiterait rencontrer la petite. C’était particulièrement nébuleux entre eux. « J’ai une nounou attitrée. Encore heureux vu que je suis très souvent en voyage dans d’autres pays ! Pourquoi ? » Enorah ne savait pas s’il s’inquiétait comme n’importe quel père le ferait ou s’il s’agissait juste d’une petite curiosité. Après tout, il la connaissait et avait vent de son inquiétude légendaire dès qu’il s’agissait de sa famille ou même de lui… il possédait la jalousie, elle avait son don particulier pour s’inquiéter, chacun son rôle ! Cela dit, jamais elle n’aurait pu lui demander de jouer les baby sitter alors qu’elle hésitait depuis plusieurs longues minutes pour l’inviter à cette fameuse soirée. Elle n’était pas sûre qu’il s’agirait d’un moment agréable pour lui, surtout que la plupart des convives étaient aussi peu francs que l’on peut l’être, mais ce serait leur première sortie en public. La pianiste ne savait pas encore si elle comptait annoncer leur couple, cela étant : ils avaient été bien trop médiatisés et cela avait fini par les détruire. Hors de question de faire cette erreur une seconde fois, pas alors que leur histoire n’en n’était qu’à ses balbutiements. Pour cela aussi, ils avaient grandement besoin de temps. « Tu accepterais d’être mon cavalier à cette soirée ? » osa-t-elle finalement demander, un sourire malicieux marquant ses traits de poupée de porcelaine. « D’accord, c’est un peu étrange de se pointer à un tel gala au bras de son ex, mais je n’ai jamais rien eu à cirer des ragots, tu me connais. Si tu acceptes qu’on te trouve un beau smoking également… » Il pouvait refuser, elle ne s’offusquerait pas. Du moins allait-elle essayer.

    Enorah n’avait pas bougé et se trouvait toujours sous Loris. Elle ne se rendait compte que maintenant de la position dans laquelle ils se trouvaient, et que celle-ci n’était pas réellement faite pour la parlotte. Elle mit donc cela de côté, non sans laisser échapper un léger rire, avant de prendre délicatement possession de ses lèvres. Tout ceci avait un goût étrange, du reste. Comme s’il s’agissait d’un rêve et qu’elle craignait de fermer les yeux afin de ne surtout pas s’apercevoir que ce n’était qu’un rêve. Aussi, à la fin de son baiser, son visage reprit une expression résolument sérieuse, tandis qu’elle tâchait de calmer les battements effrénés de son cœur. « Ca fait vraiment si bizarre que ça ? Tu sais bien que je n’arrive jamais à te déchiffrer et qu’il faut que tu me guides… »
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MessageSujet: Re: "C'est seulement quand on a tout perdu qu'on est libre de faire tout ce qu'on veut " Enorah & Loris "C'est seulement quand on a tout perdu qu'on est libre de faire tout ce qu'on veut " Enorah & Loris - Page 2 EmptyMer 22 Aoû - 20:04

"C'est seulement quand on a tout perdu qu'on est libre de faire tout ce qu'on veut " Enorah & Loris - Page 2 Tumblr_lqzphyrGNG1qb3z80o2_250 "C'est seulement quand on a tout perdu qu'on est libre de faire tout ce qu'on veut " Enorah & Loris - Page 2 23314373
Enorah & Loris
" C’est seulement quand on a tout perdu qu’on est libre de faire tout ce qu’on veut."

    Thaïs, Loris était entre deux émotions. Il avait une folle envie de la connaître mais d'un autre côtes cela lui fessait peur. Après tout ce n'était pas sa fille. Et si elle deviens jalouse a l'idée de devoir partager sa maman. Loris ne voulait absolument pas qu'elle le vois comme un méchant " sorcier" qui fait tout pour retiré la belle princesse de son enfant. Au contraire, si il le pouvait il fera son maximun pour que les deux jeunes filles soient encore plus proche, plus présente l'une pour l'autre. Avec son travail, Enorah était souvent prise. Elle voyager et ne voulait pas que Thaïs la suive de peur que les médias se mêlent de leur histoire, Loris la comprenait parfaitement, il était bien placé pour savoir ce que c'est. Mais tout ça était certainement dur a supporter. Être mère et ne pas pouvoir voir sa fille tout les jours, là voir grandir comme tout les autres enfants. ça ne touche pas à l'amour qu'elles se portent entre elle mais la distance peut par fois être difficile. « Non comme ça pour savoir... Sa ne te manque pas de pas lavoir avec toi quand tu voyage ?!»Cette question n'était pas réellement une question. Mais plutôt une affirmation. Au fond de lui Loris connaissait déjà la réponse, comme tout parent qui aime son enfant aurait répondu : Oui. Lorsqu'on est dans le milieu de show il est difficile d'avoir une vie priver, mais ce n'est pas pour autant qu'il faut s'arrêter de vivre et de se cacher. Il la regarda avant de reprendre la parole après un long moment d'hésitation.« Tu devrait la prendre avec toi, je sais que tu ne veux pas que les médias viennent entre vos pattes mais j'en suis sur que Thaïs serais la plus heureuse de voir sa maman au travail... »Pour les médias Loris avait sa petite idée, elle n'était pas forcément excellente mais c'était mieux que rien. Si Enorah annonce comme une fleure qu'elle a une fille depuis trois ans tout les médias vont se jetait sur la petite fille sans même lui laisser le temps de respiré. «Pour les médias il suffis de leur dire que c'est le père qu'il avait la garde jusqu'à présent que vous avez garde alterner donc tout ça est rester assez discret.. »

    La soirée de se soir, se remontrait en sa compagnie après toutes ses années passer. Loris eut un moment d'hésitation, les médias, la presses, les journalistes, tout ça aller être diffuser au grand jour et il n'avait encore prévenus personne de ses proche sur sa relation avec la belle blonde. Il ne voulait pas qu'ils l’apprennent pas un magazine. « C'est ok, mais avant de me trouver un costume, je dois faire quelque petit truc » lui dit-il avant de lui déposer un baiser sur les lèvres et de se lever du lit. Etant en glaçon, Loris enfila un short. Il sortit de la chambre pour se rendre a la cuisine et préparé le petit déjeuner, il mit tout ce qu'il faut sur la table. Il y en avait pour deux, en espérant juste que c'est gout n'en pas changer. Il prit son café qu'il but en quelques minutes, son téléphone en main il envoya un message a son meilleur ami ainsi qu'a Savannah sa meilleure amie, c'était les deux seule personnes à qui il devait lui raconté sa fameuse soirée. Certes il y avais également son père, mais ce dernier se sentait pas forcément concerner des relations de son fils.
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MessageSujet: Re: "C'est seulement quand on a tout perdu qu'on est libre de faire tout ce qu'on veut " Enorah & Loris "C'est seulement quand on a tout perdu qu'on est libre de faire tout ce qu'on veut " Enorah & Loris - Page 2 EmptyMer 22 Aoû - 20:27


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    « Hors de question que j’expose Thaïs. » Le couperet était tombé plutôt froidement, certes, mais Enorah connaissait bien trop ce monde de requins pour laisser passer la chose. D’autant que c’était risquer de faire apprendre au père de Thaïs son existence et ça, il n’en n’était pas question. Mais avant même que la demoiselle n’ait pu répliquer quoi que ce soit d’autre, Loris avait déjà disparut dans le salon, la laissant en plan sur le lit. Autant dire qu’elle ne mit pas une éternité avant de se relever et de le rejoindre, l’entourant de ses bras tout en se calant contre son dos, découvrant sans vraiment le chercher qu’il envoyait des messages à ses deux meilleurs amis, sans doute pour les tenir au courant de la situation d’avec son ex. Son meilleur ami en avait déjà eu un avant goût la veille, puisqu’il était présent dans ce bar lorsqu’ils se déchiraient, mais Enorah ne s’attendait pas à ce qu’il ne fasse un véritable compte rendu. De quoi avait-il peur, au juste ? Qu’ils ne lui en veuillent pour cent ans parce qu’il n’en n’avait pas parlé illico presto ? « Impossible de garder un semblant d’intimité pendant vingt-quatre heures, tu étais obligé de les tenir au courant maintenant ? Non parce que ce n’est pas pour dire, mais tu viens de me laisser en plan dans un lit froid et vide… pas très agréable comme sensation ! » La jeune femme n’avait pas dit cela d’un ton désagréable, bien au contraire, cela l’amusait plus que cela ne la vexait. Elle n’avait pas ce genre de relation avec qui que ce soit hormis son frère Camille. Et si elle comptait lui raconter quelques détails de ce qui s’était passé, ce ne serait pas pour tout de suite, pas avant qu’elle ne soit absolument sûre que leur histoire soit à nouveau sur les rails. « Tu ne veux pas que l’on soit sûrs de nous avant de sonner la fanfare et de prévenir le monde entier ? » Enorah était quelqu’un de prudent, il le savait pourtant. Loris lui avait même reproché, parfois, car c’était ce qui lui avait empêché de lui avouer sa grossesse pendant plusieurs jours. Il lui en avait même voulu pour cela. Guère longtemps, certes, mais tout de même. « Je vais finir par croire que tu as peur de moi pour demander la bénédiction des autres… » C’était évident, elle le défiait légèrement, mais uniquement en vue d’avoir à nouveau son attention. Et d’ailleurs, elle n’hésita pas à lui prendre le téléphone des mains sans aucune violence pour mieux le déposer contre sa table et dévorer son cou de baisers. Restait à savoir s’il allait remettre sa petite mission « message » à plus tard ou se ruer dessus malgré cette délicieuse torture qu’elle était en train de lui faire subir.

    « Et au fait, je n’ai pas eu le temps de finir tout à l’heure… j’évite d’avouer l’existence de Thaïs car je sais qu’elle pourrait en souffrir à l’école ET être la cible des paparazzis à son tour. Elle n’a que deux ans. Je veux qu’elle puisse vivre dans son innocence aussi longtemps que possible. D’autant que le coup de la garde alternée… tu crois franchement qu’ils ne vont pas croire que c’est toi le père ? Ils risquent de t’emmerder et ça, je ne le veux pas non plus. Tout comme je ne veux pas que le père biologique de Thaïs me retrouve non plus. » Enorah avait ses raisons de garder ses distances, dont beaucoup étaient légitimes. Loris ne comprendrait pas forcément, mais elle comptait continuer à agir ainsi aussi longtemps que possible. Par la suite, si sa fille voulait ne plus se cacher, la musicienne changerait évidemment son fusil d’épaule. Mais pour l’instant, c’était encore un bébé… son bébé. « Et bien sûr qu’elle me manque. Ca m’arrive de la prendre avec moi, d’ailleurs. Elle est ma famille, et jusque très récemment, elle était tout ce que j’avais. Mais c’est moi ou tu t’inquiètes pour elle ? Ou est-ce pour moi ? » Enorah serra Loris plus fortement contre elle, alors qu’elle était toujours collée contre son dos. C’était touchant, et sans grand étonnement, cela lui faisait un bien fou. « Tu sais qu’un jour on fondera notre famille ? Tu le sais ? Je tiens mes promesses et je me souviens t’avoir fait cette promesse. Mais pour l’instant, je te laisse finir tes messages. » La jeune femme s’écarta doucement de Loris, tournant les talons afin de retourner vers la chambre où elle comptait se rhabiller, mais avant, elle se tourna une dernière fois vers lui : « Oh et si tu ne veux pas m’accompagner… tu peux me le dire, aussi. Je ne me vexerais pas. »
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MessageSujet: Re: "C'est seulement quand on a tout perdu qu'on est libre de faire tout ce qu'on veut " Enorah & Loris "C'est seulement quand on a tout perdu qu'on est libre de faire tout ce qu'on veut " Enorah & Loris - Page 2 EmptyJeu 23 Aoû - 18:48

"C'est seulement quand on a tout perdu qu'on est libre de faire tout ce qu'on veut " Enorah & Loris - Page 2 Tumblr_lqzphyrGNG1qb3z80o2_250 "C'est seulement quand on a tout perdu qu'on est libre de faire tout ce qu'on veut " Enorah & Loris - Page 2 23314373
Enorah & Loris
" C’est seulement quand on a tout perdu qu’on est libre de faire tout ce qu’on veut."

    « Pas question d'intimité, je sais ce que c'est apprendre des choses par la presses et je ne veux pas qu'ils l'apprenent par quelqu'un d'autre que moi, ça me semble tout à fait normal. Je ne suis pas partie comme un voleur non plus...»Lui dit-il tout en gardant son calme. Elle voulait de l'intimité, il comprenait mais dans ce monde dur et d'en avoir. Il ne voulait absolument pas que ses proches apprennent qu'il est de nouveau en couple ou même en contacte avec Enorah par les médias. C'était la moindre des choses de les prévenir. En tout cas, il voyait les choses ainsi. Certes, ils n'allaient pas mal le prendre s'il ne les avait pas de tenu au courant mais c'était toujours mieux de savoir les évènements de ses proches.« Être sur ? Dans ma tête tout est clair, je sais ce que je veux. Jusqu'à présent je ne suis jamais retourner vers une de mes exs, si je l'ai fait hier c'est bien pour une raison Enorah ! » Loris n'avait pas vraiment bien prit le faite qu'elle est des doutes, il le fit comprendre sans même hausser le temps. Il la connaissait, elle était prudente, elle avait bien raison. Mais si elle n'était pas sur d'eux pourquoi lui avait-elle proposer de l’accompagner à son gala alors que toutes la presses sera présente ? Le jeune homme se tourna pour se retrouver face à elle tout en la prenant à son tour dans ses bras. [b]« Tu sait à quel point mes amis son important pour moi, j'aime leur demander leur avis, mais en aucun cas j'ai besoin de leur accord pour quelque chose.. Je suis assez grand pour faire mes propres choix.» Loris eut un petit sourire lorsqu'il sentit ses lèvres contre son coup, quelques petits frison lui parcourut le corps. Une sensation des plus agréable.

    [b]« Perso, ils peuvent croire ce qu'ils veulent, moi sa ne me dérange pas.
    et ça ne changera rien.. Je comprend que tu ne veux pas que son père prenne contacte avec elle mais tu sais un jour ou l'autre il va l'apprendre et ce jour là sera encore pire que si il l'apprend maintenant. Je te parle en tant qu'homme on peut se montrer très rancunier, il risque de un de tout faire pour la voir et de deux se battre pour avoir le droit de garde. Tu devrais peut être essayer de l'appeler ou même le voir et lui en parler... »
    Loris le grand jaloux qui était d'accord pour qu'elle retourne voir son ex ? Et oui vous ne rêver pas. Loris était près a faire d'énorme efforts pour lui prouver qu'il avait changer et qu'elle pouvait avoir confiance en lui. Il lui donner juste l'idée, un conseil après elle le en fait ce qu'elle veux. Ce que Loris avait peur c'est le faite que le père l'apprenne tard et que tout disjoncte. L'avoir priver de sa vie pendant de trop nombreuse années ne promettait pas des retrouvailles joyeuse. Puis même pour Thaïs, connaitre son vraie père serait mieux que connaître le petit ami de sa mère tout en croyant que c'est son père. Loris se mettait à la place de la petite, il n'aurait pas aimait qu'on lui cache la vérité. « Je m’inquiète pour vous deux... Je n'ai pas envies que tu te prive de ta fille a cause des médias, tout comme je n'ai pas envies que la petite vive dans un océan de mensonges... D'ailleurs elle te pose pas trop de question par apport à son père ? » A deux ans, elle n'était pas encore à l'école, elle ne devait certainement pas trop lui posé de questions. Mais lorsque l'école allait arriver les questions aller se multiplier. Voir des enfants avec leur deux parents lui émettra des soupçon. « Oui je sais que tu tiens toujours tes promesses, j'espère que tu a fait cette promesse qu'à moi » dit-il avec humour avant de reprendre. « Tout comme je sais que tu est la bonne et que je finirais ma vie a tes cotes, et ça aussi je peut te le promettre » Lui dit-il avant de lui déposé un tendre baiser sur ses lèvres. Il la regarda partir tout en la matant au passage, et oui l'oeil de l'homme a toujours son regard bien placé. Elle était vraiment sublime. Il sortit assez vite de ses pensés lorsqu'elle se tourna pour reprendre la parole, il émit un petit rire car il n'avait pas vraiment était discret en la regardant. « Non, non sa ne me dérange pas de venir au contraire.» Il lui adressa un sourire avant de s'installer sur une des chaises pour finir d’écrire ses messages. Il prit par la suite son petit déjeuner, un café avec deux sucres.
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MessageSujet: Re: "C'est seulement quand on a tout perdu qu'on est libre de faire tout ce qu'on veut " Enorah & Loris "C'est seulement quand on a tout perdu qu'on est libre de faire tout ce qu'on veut " Enorah & Loris - Page 2 EmptyJeu 23 Aoû - 22:35


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    « Tu penses vraiment que je ferais cette promesse à quelqu’un d’autre ? Je suis vexée ! » Et pour le coup, elle l’était vraiment. Enorah n’était pourtant pas une femme à faire ce genre de promesses à tout le monde. Ses relations avec les hommes restaient toujours mouvementées à cause du fait qu’elle soit souvent incapable de faire confiance… ce n’était donc pas pour jurer ses grands dieux à quelqu’un qu’elle serait la mère de ses enfants. « Pourquoi tu me poses toutes ces questions ? Tu as peur que mon ex vienne te refaire le portrait ou quoi ? Je gère la situation, pas de panique. Quant à Thaïs, elle sait à propos de son père. Je ne cache rien à ma fille, et dès qu’elle grandira, je lui expliquerai plus en détails. Satisfait ? » La musicienne n’avait aucune envie de subir une sorte d’interrogatoire et encore moins que celui-ci ait pour unique sujet son ex. Une page s’était tournée et elle savait très bien ce qu’elle faisait… après tout, il s’agissait du meilleur ami de son frère, ayant exactement le même travail de trader : instabilité, femmes à perte de vue… pas une vie où la petite Thaïs avait sa place, c’était une certitude. Mais Enorah n’avait pas envie non plus de rentrer dans les détails à propos de tout ça, à vrai dire. Elle tenait ses distances avec son ex, qui apparemment vivait toujours en Nouvelle-Zélande d’après les dires de Camille. Aucun risque qu’il ne se pointe un beau matin pour dire bonjour, le frère de la jeune femme ayant une stricte interdiction de lui parler de la petite. Même si Camille était tête en l’air, il se trouvait bien trop gaga devant Thaïs pour trahir sa jeune sœur, c’était une certitude… mais il était assez culotté pour appeler Enorah de bon matin pour savoir où elle se trouvait, par contre. « Tu te rends compte que je n’ai plus cinq ans et que tu devrais arrêter de m’appeler sur mon portable dès que j’ai le malheur de découcher ? D’autant que tu as un appart’ Cam’ ! Ah d’accord tu avais besoin de mon aide… mais t’es barjo ma parole !! Je ne peux pas venir à ta soirée ce soir, je suis déjà prise. Gala super chiant. Non, je ne peux pas décommander et ne commence pas avec le chantage ! BIEN je vais voir ce que je peux faire… ! Tu vas m’en devoir une sévère, frérot, et tu sais que je suis chiante quand on me doit une faveur ! » A peine raccroché, la jeune femme se rhabilla en quatrième vitesse avant d’attraper son sac à main et ses clefs. Autant dire qu’il valait mieux qu’elle aille à la rencontre de son frère avant qu’il ne trépigne d’impatience et ne fasse une connerie.

    « Désolée, mon frère a cinq ans d’âge mental bien qu’il ait trente piges en vérité, et il a besoin de moi. Tu veux bien me retrouver chez moi à sept heures ? » Très léger baiser sur les lèvres et Enorah disparaissait déjà comme une flèche hors de l’appartement de Loris. Elle avait juste eut le temps de griffonner son adresse et son numéro de téléphone sur une carte de visite portant son nom avant de se ruer littéralement vers les escaliers : cette fois-ci, pas le temps d’attendre que cet ascenseur affreusement long ne pointe le bout de son nez. Autrement dit, la journée fut bien remplie. Elle n’eut même pas cinq minutes pour aller se choisir une robe hors de prix chez un grand couturier et dû se rabattre sur son immense placard prenant l’équivalent d’une pièce dans son imposant appartement. A sept heures tapantes, elle ne fut pas étonnée d’entendre la sonnerie de sa porte retentir : Loris était ponctuel ! « Pile à l’heure, je suis flattée ! Mets-toi à l’aise dans le salon, je suis en plein choix cornélien de robe. » Le salon d’Enorah n’était pas seulement immense, il comportait de nombreuses photographie d’elle et de sa fille, ainsi que de Camille, bien qu’un magnifique cadre comporte une photo de Loris et d’elle, riant aux éclats. Sa photo préférée. On évitera de mentionner le fait qu’Enorah était venue lui ouvrir la porte en sous-vêtements tant elle était concentrée sur son choix de robe ! « On va finalement aller à une fête où je vais retrouver mon frère ! N’aie crainte, vu que tu ne l’as jamais rencontré en face à face, tu n’es pas obligé de lui dire qui tu es si tu ne le veux pas. Ou si tu le veux, tu peux lui dire la vérité, ton choix darling ! » Qu’il n’aille pas croire qu’elle voulait le cacher…
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MessageSujet: Re: "C'est seulement quand on a tout perdu qu'on est libre de faire tout ce qu'on veut " Enorah & Loris "C'est seulement quand on a tout perdu qu'on est libre de faire tout ce qu'on veut " Enorah & Loris - Page 2 EmptyDim 26 Aoû - 21:06

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Enorah & Loris
" C’est seulement quand on a tout perdu qu’on est libre de faire tout ce qu’on veut."

    « Bon beh tu sais quoi tu en entendra plus jamais parler, fait ce que tu veux ! »Loris voulait juste prendre soins d'elle, que rien ne lui tombe d'un coup sur la tête. Mais elle ne le comprenait pas, cela servait a rien de se battre encore plus, elle ne voulait pas parler de son ex, le père de la petite, ok il n'y a aucun soucis. Mais si un jours il lui arrive des ennui a cause de se dernier elle ne pourra pas dire qu'il ne l'avait pas prévenue... Il n'eut le temps de rien dire, que la voilà déjà partie, il prit la carde de visite et la regarda pendant quelques secondes avant de la poser sur la table. Il soupira légèrement, il regarda sa table où se trouvait encore un tas de chose à manger et boire, il re rangea le tout sans avoir l'envies de manger. Il alla se mettre devant la télévision pour fumer sa cigarette matinal avant de se préparé.La journée aller être longue pour monsieur Hermès-Stanford. Il devait se trouvait un costume pour ce soir, pour le gala de la jeune blondinette. Il fit plusieurs boutique en compagnie de sa meilleure amie, pour en finir il a plutôt bien apprécier cette sortie. Faire le mannequin durant les essayages lui aller parfaitement bien. Après de longues heures il trouva enfin le costume qui lui convient.

    17h30, Loris était de retour chez lui. Il se prit une bonne petite douche avant de se vêtir et de se faire tout beau. Il se rasa, mit quelques gouttes de parfum, du déodorant, sa gourmette. Il partie de chez lui avec sa voiture sport noir, un très beau bijoux. Un grand fan des voitures et des motos. D'ailleurs le jeune homme a également une moto dans son garage. Mais ce soir là il préféra prendre sa voiture, il faisait fait puis conduire en costume ce n'était pas vraiment pratique pour le garder propre. Ce ne fut pas compliqué a trouver le domicile de la jeune pianiste, il sonna deux petit coup a la porte après s'être garer non loin de là. A peine la porte ouverte Loris put admirais un magnifique corps. Il alla s'installer dans le salon, tout en regardant la jeune femme.«Mais ton gala ? Il était pas important ? Je ne compte pas me cacher, j'assume ce que j'ai fait » Loris est une personne très franc, il ne se cache pas et ne joue pas un double jeux. Il reste simplement lui avec ses qualités comme ses défauts et son passé qu'il soit bon ou mauvais, il reste lui même. Il avait peut être fait une erreur, mais il ne comptait pas mentir à son frère. La vérité éclate toujours un jours. « Je peux t'aider si tu veux ? » Il suivis la jeune femme jusqu'à son dressing. Elle avait vraiment une maison magnifique, elle avait de très bon gout. En tout cas, Loris se sentait bien ici. Tout en se rendant dans la pièce, Loris put apperçevoir une photo prise il y a maintenant quelque longues années d'eux deux. Ce qui lui mit le sourire aux lèvres. « En tout cas, c'est très jolie chez toi ! C'est toi qui a décider de tout, ou tu t'es fait aider ? » Dit-il tout en regardant les nombreuses robes qui s'offret à lui. Laquelle choisir ? Tellement de choix et de model différent que le jeune homme ne sut par ou commençait. Il en fit passer plusieurs devant ses yeux avant que son choix ne s'arrête sur l'une d'entre elle. Une magnifique robe rouge, le rouge la couleur préféré du jeune homme. De plus le rouge sur une fille la rendait encore plus sexy, enfin en tout cas Loris voyait la chose comme ça.« J'aime beaucoup celle la, mais j'ai peur que tu soit un peut trop belle et sexy dedans ..» Dit-il en grimaçant légèrement, il l'imaginait déjà dedans. Il jeta un autre coup d'oeil à ses robes. Elles étaient toutes plus belle les une que les autres, mais elles étaient pour la plus par toute sexy aussi. Il attrapa l'une de ses robes mais cette fois-ci la couleur était sombre, du noir pour que les regards se porte moins sur elle.« Elle aussi, elle est pas mal du tout ! »
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MessageSujet: Re: "C'est seulement quand on a tout perdu qu'on est libre de faire tout ce qu'on veut " Enorah & Loris "C'est seulement quand on a tout perdu qu'on est libre de faire tout ce qu'on veut " Enorah & Loris - Page 2 EmptyDim 26 Aoû - 23:14


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    « Mon appartement, mes règles ! J’ai décidé qu’ici personne d’autre ne déciderait de quoi que ce soit à ma place, surtout pour la déco… ! » Enorah était presque trop enthousiaste à l’idée que Loris soit d’accord pour l’accompagner à la petite soirée de son frangin. Ce n’était pourtant pas sans savoir à quel point Camille Lacroix était surprotecteur envers sa sœur… mais elle espérait qu’il mettrait ce trait de caractère de côté pour profiter d’une soirée agréable en compagnie de ses potes les plus proches ; la rencontre avec Loris était pour ainsi dire la cerise sur le gâteau. La musicienne était certaine qu’une fois qu’il le connaîtrait mieux, le néo-zélandais allait l’adorer. Du moins, c’est ce qu’elle espérait. Mais pour l’instant, le choix de la robe était cornélien et c’était une chance que Loris soit là pour lui sauver la mise : il connaissait ses goûts, les couleurs lui allant le mieux, tant et si bien qu’il mit aussitôt son talent à contribution pour lui choisir LA robe avec laquelle elle ferait sûrement fureur. D’ailleurs, à l’entendre, cela risquait d’être un problème. Mais Enorah mit cela de côté tout en se dirigeant vers la salle de bain, cintre contenant la robe en main, afin de se changer pour voir ce que cela donnait réellement sur elle. La couleur qu’il avait choisie risquait de moins attirer les regards sur elle, mais plutôt que de la vexer, cette vérité la fit sourire : du noir, cela amincissait, rendait ses courbes plus divines encore et la coupe du vêtement semblait avoir été pensée pour sa plastique. En un mot comme en cent, il semblait que cette robe soit la gagnante entre toutes. La jolie pianiste espérait que Loris aurait une réaction similaire en la voyant sortir de la salle de bain, magnifique bien que sa coiffure et son maquillage ne soient pas encore au rendez-vous. Manifestement, elle n’avait pas besoin de ces « accessoires » pour paraître d’ors et déjà parfaite. Mais plutôt que de s’en persuader elle-même, quelque part, elle voulait l’entendre de la bouche du jeune homme lui faisant face, tandis qu’elle tournait légèrement sur elle-même pour lui donner une vue d’ensemble de sa tenue. « Alors ? Qu’est-ce que tu en penses ? Dis-moi… tu as choisis une robe noire pour que je n’attire pas trop l’attention, hein ? » Enorah haussa un sourcil largement amusé tandis qu’un léger sourire se dessinait contre ses lèvres rosées. Il n’avait décidément pas changé d’un pouce, pas même du côté de la jalousie.

    « Le gala n’était important que pour un collègue musicien. N’aie crainte, il y en aura bien d’autres où nous serons forcés de nous ennuyer… mais là, c’est mon frère qui me le demande, ça change la donne. Je ne peux rien lui refuser… pas après tout ce qu’il a fait et continue de faire pour moi. D’ailleurs, je suis flattée que tu veuilles te présenter avec moi comme… un couple. Vraiment, ça me touche. Et même si je suis quasi certaine qu’il risque de jouer au grand frère protecteur, ne t’inquiètes pas : je couvre tes arrières. Comme au bon vieux temps ! » Pour sûr, Camille allait probablement tester Loris comme jamais, afin de s’assurer qu’il ne ferait plus jamais de mal à sa petite sœur bien aimée, mais ils n’avaient pas à s’en inquiéter pour l’instant. Pas alors que la jeune femme s’approchait histoire de déposer un frêle baiser juste au coin de ses lèvres. « Tu es très élégant. » C’était la stricte vérité. Il avait toujours eu un charme fou vêtu d’un costume, et ce n’était pas la première fois qu’elle le lui disait… ou qu’il devait entendre cela tout court, d’ailleurs. « A propos de ce matin… désolée si j’ai été un peu froide vis-à-vis de mon ex, mais ce n’est pas un sujet avec lequel je suis très à l’aise. Et je ne vois pas pourquoi tu t’en inquiètes tant. Le passé c’est le passé, pas vrai ? Je ne voudrais surtout pas que cela nous implique dans une nouvelle dispute. Tu as confiance en moi, non ? Je peux gérer. Et de toute manière, il est loin de mon existence pour l’instant. Si jamais il réapparaît, on en reparlera, deal ? » Cela paraissait être un bon compromis… Loris était chanceux, habituellement, Enorah n’était pas une femme de tant de compromis !
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MessageSujet: Re: "C'est seulement quand on a tout perdu qu'on est libre de faire tout ce qu'on veut " Enorah & Loris "C'est seulement quand on a tout perdu qu'on est libre de faire tout ce qu'on veut " Enorah & Loris - Page 2 EmptyLun 27 Aoû - 22:01

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Enorah & Loris
" C’est seulement quand on a tout perdu qu’on est libre de faire tout ce qu’on veut."

    Elle avait bien raison, pourquoi devrait-on lui faire sa déco ou autre ? Ce n'est pas parce que c'est une célébrité qu'elle ne devait plus rien faire non plus. Ce que Loris adorait chez la jeune femme c'est que malgré sa célébrité elle n'a jamais prit la grosse tête, et ça ce n'est pas donner à tout le monde. En général une personne qui part de rien et deviens du jour au lendemain une star, une personne connus au yeux de tout le monde, une vie ou tout vous sourie ou presque, peut d'entre eux arrive à gardait le sang froid et de ne pas pété plus haut que son c*l. Enorah faisait partit de ses rares personnes, et Loris appréciait vraiment ça. D'autant pus que la jolie pianiste avait eut d'excellent gout, sa villa était des plus magnifique. Il n'y avait rien a dire, rien a changer, tout était absolument parfait aux yeux du jeune Loris.

    « Je vois que tu me connait toujours autant ! » Dit-il en rigolant. Et oui, le beau jeune homme n'avait en aucun cas changer, toujours Fidèle a son poste de grand jaloux. En lui donnant une robe noir à la place d'une robe rouge, Loris était prévoyant, il ne voulait pas que cette soirée se passe mal. Et avec une robe aussi sexy et flashy tout les regards aller se posés sur la blondinette, choses qui à le dont d'énerver le petit Loris. Même si au début voir les autres regards sur sa femme le fait bien rire, car c'est lui et personne d'autre qui à le droit de la toucher, l'embrasser etc, la situation peut très vite déraper et finir en règlement de compte. Enorah le savait, Loris lui avait déjà fait quelques scène de jalousie au paravent. « Il a besoin de ton aide pour quoi faire ? Oh je sais ce que c'est être grand frère ne t'en fait pas pour ça. J'en suis sur que tout vas bien se passer.» Loris alla lui déposa un bisous sur le front en signe qu'elle n'avait pas a s'inquiété pour son frère. Tout aller bien se passer, en tout cas Loris l'espérait vraiment.
    Enorah était vraiment magnifique dans cette robe, elle aller encore en faire succombé plus d'un. Pauvre Loris, il aller encore devoir être sur ses gardes, a ce qu'il y en ait pas un qui s'approche de trop près de la belle pianiste. Il la regarda de haut en bas, sans aucune gène, après tout elle était de nouveau à lui comme Loris était à elle. « Je te retourne le compliment, tu est vraiment radieuse dans cette robe ! »Elle était aussi pas mal en sous-vêtements, mais bon il aura certainement le plaisir de la revoir ainsi ce soir Razz. Le beau Loris lui déposa un tendre baiser sur les lèvres avant de la faire tourner sur elle même pour regardait ces magnifique courbes.« Beau fessier mademoiselle ! » Dit-il en posant sa mains sur se dernier avec un sourire amuser. Il lui donna par la suite une très léger tape pour lui faire comprendre que si sa continuer ainsi ils allaient être en retard.« Aller file, avant que je te dévore ! » Il alla se poser sur le lit de la jeune femme en attendant qu'elle soit enfin presque et qu'ils puissent partir. Loris ne souhaitait pas arriver en retard, il avait horreur de ça. Surtout qu'il s’agissait de son frère..« C'est pas grave, t'en fait pas je comprends. J'ai confiance en toi mais pas en lui ..» dit-il en parlant de son ex petit ami, le père de sa fille. Loris savait très bien qu'il pouvait avoir totalement confiance en Enorah elle ne l'avait jamais trahit. Mais le père de Thaïs, il ne le connaissait pas et ça sa lui faisait un peut plus peur. Après tout il ne sait pas de quoi il pourrait être capable pour récupéré sa fille.
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MessageSujet: Re: "C'est seulement quand on a tout perdu qu'on est libre de faire tout ce qu'on veut " Enorah & Loris "C'est seulement quand on a tout perdu qu'on est libre de faire tout ce qu'on veut " Enorah & Loris - Page 2 EmptyLun 27 Aoû - 23:27


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    « Me dévorer ? Même pas cap ! » rétorqua-t-elle tout en arquant un sourcil de défi tandis qu’elle lui faisait signe de la suivre. Ce soir, il n’y avait pas de chauffeur qui tienne, pas de limousine et donc pas de tralala. Enorah voulait jouer la carte de la sobriété, et pour cela, elle s’occupa de s’emparer de ses clefs de sa Chevrolet presque flambant neuve. Dans l’immense parking de son immeuble, où elle avait un garage privé, il y avait également sa moto, mais habillée comme elle l’était, il ne fallait pas espérer qu’elle puisse la conduire de quelque manière que ce soit. Une autre fois, peut-être. Loris aurait alors une idée précise de son goût très prononcé pour les choses dangereuses bourrées d’adrénaline. Mais ce soir, carte de la sobriété, aussi l’invita-t-elle à prendre place du côté du co-pilote, puisqu’elle n’aurait jamais supporté de voir quelqu’un d’autre qu’elle conduire SA voiture. Fierté mal placée, sans doute, mais elle n’y pouvait rien. Elle ne supporterait pas la moindre remarque machiste dans un moment pareil, aussi, si le jeune homme en avait une, il valait mieux qu’il ne la garde pour lui. « C’est parti mon kiki ! Et pour te répondre, comme je ne suis pas sûre de t’avoir parlé réellement de ma famille avant-hier, mon frère est trader. Dans le genre très connu dans le monde de la finance, puisqu’il est très doué. Seulement il lui arrive d’avoir d’importants contrats prendre un virage passablement délicat, et c’est le cas aujourd’hui. Quand cela arrive, il peut compter sur moi pour disons… rassurer les potentiels actionnaires du talent incontestable de mon frère. J’ai un talent inné pour la persuasion, fais-moi confiance. » Enorah s’en amusait, d’ailleurs. Il suffisait d’une coupe de champagne, d’un sourire et d’une conversation stimulante pour qu’elle ne gagne l’attention d’une foule de financiers frileux. Camille la vénérait pour ça. En échange, il était toujours présent pour l’aider avec Thaïs quand il fallait, et n’hésitait jamais à la défendre en cas de problème avec la presse. Un bel échange de bons procédés entre un frère et une sœur, il n’y avait pas de doute, puisque contrairement aux apparences, la jolie musicienne ne brillait que par sa présence dans les soirées de son frère, et pour rien d’autre. Il n’y avait pas marqué « call-girl » sur son front !

    « Ne t’inquiètes pas, en général j’attire rapidement l’attention de ces messieurs frileux et après mon frère prends le relais. Ca ne devrait pas s’éterniser et par conséquent, nous pourrons faire ce que tu veux après. Tu as ma parole. Bon compromis pour toi, non ? » Enorah avait beau avoir les yeux rivés sur la route et sa concentration toute vouée à sa conduite, il n’en demeurait pas moins qu’elle lui jetait de petites œillades de temps à autres, ponctuées de sourires, afin qu’il sache que ce soir, elle n’aurait évidemment d’yeux que pour lui. De toute manière, ce n’était pas d’elle dont Loris devait avoir peur, mais plutôt de Camille. La preuve, à peine s’étaient-ils pointées à la petite soirée que son frère les accueillaient déjà, très chaleureux vis-à-vis d’Enorah puisqu’il la serra aussitôt dans ses bras, très froid envers Loris dont il reconnut le visage illico presto. Après tout, il avait été servi niveau articles sur leur couple dans la presse… « Tiens donc. Tu peux me dire ce que tu flanques avec ton crétin d’ex, Nono ? Si ma mémoire est bonne, il s’agit du même homme qui t’a mise à la porte en pleine tempête de pluie, jetant la moindre de tes affaires par la fenêtre tout ça pour un « crime » que tu n’avais pas commis ? Je ne pense pas me tromper, après tout, j’oublie difficilement tous les idiots qui osent blesser ma sœur… » « Camille, mollo. Il est avec moi ce soir, que cela te plaise ou non. Si tu veux qu’il parte, sache que je partirai avec. Pourquoi ne m’écouterais-tu pas pour une fois, histoire que je t’explique tous les tenants et les aboutissants de l’histoire ? Pour que tu ne t’enflammes pas trop vite. » Malheureusement, Camille n’oubliait pas non plus les longs jours où il avait essuyé les larmes de sa petite sœur, inconsolable. Il ne mettait pas non plus de côté ce soudain goût pour les sports dangereux, qui lui avait valut un grave accident et trois jours de coma. En bref, la liste était longue au niveau des griefs ressentit à l’égard de Loris. « Qu’il me donne une seule bonne raison de lui faire confiance. Je suis toute ouïe. Qu’est-ce qui me dit que vous n’allez pas recommencer à la seconde où vous en aurez l’occasion, hein ? Sauf que cette fois, je ne suis pas certain d’avoir la chance d’intervenir pour sauver ma sœur à temps. Je suis sûr que tu ne lui as même pas dit ce qui t’es arrivé après, hein ? La vérité sur non pas ton avortement mais ta fausse couche, ton petit accident ensuite et… ta maladie, hein ?! Assez de silences, Enorah ! Ce type ne t’a pas seulement lâchée comme un objet usé, il t’a démolie ! Assez de mensonges !! Si tu ne lui dis pas, c’est moi. » C’était bien la première fois que la jolie musicienne était aussi silencieuse face à son frère. Mais Camille n’était pas un monstre, il ne voulait pas blesser ouvertement sa sœur, il souhaitait simplement qu’elle n’avoue toute la vérité histoire que les torts soient partagés.

    Le jeune trader s’était éloigné quelques instants pour leur laisser de l’air, mais autant dire qu’Enorah peinait tout de même à respirer. Deux options : Loris allait avoir une crise cardiaque, ou il allait mortellement lui en vouloir parce qu’elle ne s’était pas confiée sur tout. Sans lui mentir, elle n’était pas allée au fond des choses, il est vrai. Mais à sa décharge, et comme l’avait largement souligné son frère, elle avait des dizaines de raisons pour cela. « C’est vrai, je n’ai pas avorté. Quelques semaines après notre rupture, j’ai été agressée disons… plutôt violemment. Et ne me questionne pas là-dessus parce que je n’ai aucune intention ou désir de t’en dire plus. J’ai effectivement fait une fausse couche. J’ai passé un certain temps à l’hôpital, et après… j’ai eu beaucoup de mal à m’en remettre, ou même à me dire que m’en remettrai. Je ne voulais pas te le dire parce que je ne voulais pas qu’il y ait davantage de culpabilité entre nous. Je voulais juste… un peu de paix. Je pense que je la mérité, et toi aussi. Quant à ma « maladie », on l’a découverte à ce moment là. Disons simplement que j’ai de petits soucis au niveau de mon cœur. Rien de macabre, pas de quoi s’inquiéter. Mais mon frère voulait… me protéger. Et pour cela, il voulait simplement que tu sois au courant de tout. » Ce n’était pas l’idée première d’Enorah, pourtant. Garder un jardin secret, c’était son crédo autrefois. D’autant qu’elle était malade depuis son adolescence, d’après ses médecins… et n’allait donc pas s’arrêter de vivre. « Tu as toutes les raisons du monde d’être en colère. Je suis désolée. »
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Enorah & Loris
" C’est seulement quand on a tout perdu qu’on est libre de faire tout ce qu’on veut."

    « Un défis mademoiselle ? Ne me tante pas trop ! »A cette heure-ci, si il n'avait pas rendez vous avec le frère d'Enorah il lui aurait son aucun doute sauter dessus. Mais la carte " raisonnable" prit le dessus, il ne voulait pas arriver en retard et se faire ainsi encore plus remarquait. Le jeune homme redoutait un peut l'affrontement avec son dit beau frère, mais il restait tout de même assez sur de lui. Après tout il savait qu'il aller passer un mauvais quart d'heur, il lui suffisait de rester calme face à la situation et ce justifier comme bon le semble et tout allait bien se passer enfin, c'est ce que croyait Loris... Le trajet fut assez rapide et pourtant, il n'était pas aussi rassurait que ça, la voiture il en avait un peut peur lorsqu'il n'ai pas au volant. A l'inverse, derrière un volant Loris est un véritable enfant aimant le danger, insoucieux et inconscient. «Le compromis me vas, mais qu'on ne s'apprendre pas trop de toi non plus, tu sais comment je suis... » Comme elle avait put le voir a propos de la robe, Loris n'avait en aucun cas changer ses manière de faire. Toujours aussi jaloux et possessif, elle était à lui est à personne d'autre, il ne partageait pas ce genre de choses. Si il y a bien un truc que son père lui a enseignait c'est de prendre soins de la femme que tu aime et de tout faire pour la gardait, son père avait perdus sa mère qui n'éprouvait plus de sentiments envers ce dernier. Jusqu'à présent Loris n'avait pas vraiment réussit cette mission qu'il lui avait donner mais il avait décider de changer, de changer pour son père, pour lui et surtout pour la femme qu'il aime : Enorah...

    A peine sortit de la voiture que l'ambiance fut aussi tôt glaciale. Il ne s'attendait pas à ce qu'il lui saute dans les bras mais il aurait espérait un minimum de politesse au moins en bonjours de loin, il ne demandait pas plus. Le jeune homme prit toute de même sur lui, si il rester calme c'était bien pour Enorah et personne d'autre. Il attendus qu'il termine de parler, avant de prendre la parole à son tour.« Déjà pour commençais bonsoir. En suite oui c'est bien moi le " crétin d'ex". C'est vraie que je l'ai faite souffrir et j'en suis conscient et aussi désolé, j'en ai déjà parler avec Enorah donc je ne vais pas tout redire maintenant, cependant si tu veux en savoir plus on se prévois un jour il y a aucun soucis. Mais je te demande juste de réfléchir à un truc, d'après toi pour qu'elle raison j'ai accepter de venir ici en sa compagnie alors que je savais très bien que tu n'allait pas forcément apprécier ? Je pense que la réponse et simple et précise, j'aime ta soeur et ça que sa te plaise ou non personne ne pourra me faire changer d'avis. On fait tout des erreurs, elles nous permettent d'avancer dans la vie, et de réagir autrement la prochaine fois. Je sais maintenant qu'Enorah compte vraiment pour moi et que je n'ai plus envies de la perdre, moi aussi j'en ai souffert... » La vérité ? Mais de quoi parlait-il ? Loris regarda Camille et Enorah a tour de rôle sans comprendre ce qu'il se passait, petit à petit son visage changea, on pouvait y voir de l'inquiétude.

    Il regarda son frère partir avant de se tourner face à Enorah et lui faire signe comme quoi il l'écoutait, apparemment elle ne lui avait pas tout dit. Le jeune homme fut complètement sous le choc de ce qu'elle venait de lui dire, il émit même un léger rire nerveux. Il se passa une main dans les cheveux. Pourquoi ? Pourquoi elle ne lui avait pas dit des le débuts. Il resta muet pendant un certain temps le temps que toutes les informations monte bien au cerveau et qu'ils les comprennent bien. «J'ai juste une question part apport a ton agressions je te demanderais plus rien après même si j'en meurt d'envies.. Tu a porter plainte ? ... T'aurait du m'en parler des le début Enorah, on forme un couple oui ou non ? Désolé ais pour moi un couple n'a rien à ce cacher, surtout pas des choses importante comme ça... » Loris lui en voulait mais ne voulait pas déclencher une dispute. Il garda son calme même si celui-ci était dur à faire. Elle n'avait donc jamais avorté mais fait une fausse couche, tout ça changea le point de vus de Loris. Il comprenait un peut mieux pourquoi elle avait gardait Thaïs. Loris s'en voulait plus à lui même qu'il en voulait à Enorah de ne lui avoir rien dit, pourquoi personne ne l'avait tenus au courant, ce n'est pas comme si il était un inconnus au yeux de la jeune pianiste. Il la prit dans ses bras pour la serrait contre lui, comme pour lui dire que ce n'était pas grave, qu'ils étaient bien plus fort que ça.

    Il s'alluma une cigarette, même il aurait préférait fumer un bon petit joint. L'endroit n'était pas le plus approprier surtout que son frère n'était pas loin de là, il ne voulait pas être encore plus mal vus. Il fuma alors sa cigarette tout en ayant son regard posé un peut par tout. « Je fini et on rentre, ils doivent nous attendre..» Il fit en sorte de ne pas l'enfumer, avec sa maladie au coeur, Loris allait faire d'autant plus attention à elle.


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    Parler de son passé n’était jamais une chose évidente pour Enorah, et les raisons qu’elle avait pour le surtout pas le faire étaient nombreuses. Le décès de ses parents, sa carrière, l’intérêt pesant que lui vouait la presse, sa fille… et maintenant la présence de Loris dans sa vie. Tout ceci devenait de plus en plus complexe de jour en jour et si la jolie musicienne avait l’intention d’évoquer ces choses en présence du jeune homme un jour, tout ceci arrivait un peu trop vite à son goût. Sans l’intervention de Camille, sûrement aurait-elle mis plusieurs semaines avant de ne se sentir à nouveau en confiance en sa présence, du moins suffisamment pour lui ouvrir complètement son cœur et sauter le pas. Pour l’instant, leur nouvelle histoire n’en n’était qu’à ses balbutiements et Enorah reprenait juste ses marques… il ne fallait donc pas sauter trop d’étapes et attendre de cette jeune femme toujours discrète sur son passé qu’elle ne veuille en dévoiler tous les attraits d’un simple claquement de doigt. Il lui fallait du temps, et ce bien que ses sentiments à l’égard de Loris n’aient pas changé d’un pouce en trois ans. Il lui fallait du temps pour se rendre compte qu’effectivement, il n’allait pas à nouveau l’abandonner comme un objet usé, ni la laisser pour compte sur le bord de la route. Ce genre de prise de conscience allait sûrement lui demander une patience d’ange, tant chez la musicienne que chez le jeune homme. « Je crois que j’ai surtout besoin de temps » plaida-t-elle simplement, avant même que de répondre à LA question qu’il s’était permis de poser et qui somme toute était légitime. Ceci dit, cette question la fit se raidir légèrement, bien qu’elle apprécia énormément la présence de ses bras puissants et rassurants contre son corps devenu soudainement bien frêle. Ce sentiment de fragilité la paralysait souvent, et elle le haïssait. Mais il lui fallait admettre que Loris était de lui à savoir la calmer d’un sourire ou d’une étreinte. Un pouvoir dont elle ne se souvenait que maintenant… « Tu as enfin admis que je n’avais rien fait qu’il y a deux jours, Loris. Et là, on parle sûrement de l’un des évènements les plus traumatisants de ma vie, si l’on met de côté le décès de mes parents et notre rupture. J’allais finir par t’en parler… mais il me fallait du temps. Tu me connais, je n’ai pas changé : je me concentre sur le positif et j’essaye d’oublier tout ce qui m’a blessée. D’autant qu’après cette agression je suis restée plus de trois jours dans le coma. Alors la réponse est non, je n’ai pas porté plainte. Cela n’aurait servi à rien, je n’ai pas vu le visage de l’agresseur. » Qu’il n’aille surtout pas lui demander des détails. Enorah n’était pas prête à lui fournir, tout en sachant qu’elle n’en n’avait jamais parlé à personne, pas même à Camille. Il ne savait que la version globale des faits.

    « Je n’ai rien voulu te cacher. Mais ça ne m’empêche pas d’en avoir honte. Cela dit… au-delà de ça, je ne voulais pas non plus que tu te sentes coupable. C’est la vie, d’autant que c’est du passé et que je t’avoue que je me passerais bien de m’en souvenir. Sincèrement. Ne m’en veux pas... » Enorah tenta de minimiser les choses, tandis que sa soudaine nervosité l’obligeait à se passer une main contre sa nuque. Elle n’avait plus réellement envie de retourner à l’intérieur et de filer un coup de main à son frère comme si de rien n’était. Même si elle comprenait la raison l’ayant poussé à agir comme il venait de le faire, il allait lui falloir quelques jours pour digérer. Ce fut sans doute ce qui poussa Enorah, le plus soudainement du monde, à s’emparer du visage de Loris à l’aide de ses mains avant de prendre possession de ses lèvres à l’aide de toute la passion dévorant littéralement son corps. Elle faisait parler chaque sentiment ressentit en trois ans : amour, douleur, regret, manque, passion… tout se mélangeait délicieusement tandis qu’elle ne voulait pas se séparer de lui, pas même pour reprendre son souffle. Ce fut d’ailleurs à regret qu’elle n’en vint à cela, sans pour autant s’écarter vraiment de Loris, ne le lâchant pas du regard. Était-ce une diversion face à ce qu’il venait d’apprendre ? Peut-être. Mais une délicieuse façon d’y parvenir, alors. « Tu n’as qu’un mot à dire et on s’en va… personne n’est irremplaçable, à commencer par moi. Et si on rentrait chez moi pour s’occuper de nous, plutôt ? » D’accord, elle l’avait contraint à mettre un smoking et à lui choisir une tenue à la hauteur de la soirée… mais elle saurait se rattraper pour le dérangement causé. « A moins que tu ne préfères me voir bavasser avec des financiers… »
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Enorah & Loris
" C’est seulement quand on a tout perdu qu’on est libre de faire tout ce qu’on veut."

    Du temps, elle avait donc besoin de temps. Ce que Loris comprenait parfaitement, après trois ans de séparation ils leurs faillaient du temps a tout les deux pour retrouver leurs repères, leurs habitudes. Le jeune homme la garda dans ses bras, Enorah a eut un passer douloureux mais tout ça est le passer. Maintenant Loris est présent pour elle et compte tout faire pour la rendre la plus heureuse possible, la protéger, et lui donner tout son amour. « Je suis là maintenant Enorah.. Tout ce passera bien.» Loris avait une folle envies d'en savoir plus sur cette agression, il aurait aimé en savoir plus sur cette personne, avait des informations pour la retrouvait, pour lui réglé son compte. Les nerfs de Loris était bien présents, entre son frère et cette nouvelle Loris avait de quoi être énerver. D'autant plus qu'elle était rester dans le coma. Il laissa échapper un long soupire tout en se passant la main contre sa nuque. Il recula légèrement sa tête pour pouvoir la regardait dans les yeux. «Tu n'a pas a avoir honte, c'est rien. Aller on n'en parle plus...» En parlait aller la rendre encore plus mal, et Loris ne voulait pas que leur soirée se passe ainsi. Il apprécia son long et savoureux baiser pendant de longues secondes. Un baiser plein de passion et de tendresse, un baiser que Loris n'avait pas reçut depuis de nombreuses années. Lorsque ses lèvres se sépara des siennes il eut un beau sourire accrocher sur son visage d'ange. Il eut l'envies de lui dire je t 'aime, mais les mots ne voulait pas sortir de sa bouche et pourtant son coeur le pensait vraiment. Cependant son regard en disait long.

    Rentré à l'intérieure ou passer une soirée en amoureux ? Le choix fut difficile, mais il ne mit pas longtemps avant d'avoir fait le choix. Il n'avait qu'une envies c'est de se retrouvait seul avec Enorah, devant un bon petit film, enfin une soirée tranquille entre amoureux. Mais malheureusement ils devaient aller rejoindre Camille, il avait appelé Enorah pour une bonne raison, il avait besoin d'elle. Elle ne pouvait pas partir comme ça, même si le début de la soirée c'est mal passer.« On devrait rentré à l'intérieure, ton frère à besoin de toi.. On reste pas longtemps si tu veux mais tu ne peut pas lui en vouloir, il fait ça pour ton bien.. Et j'aurais pareil pour ma petite soeur; » Loris était lui aussi grand frère, même si il ne voyait pas souvent sa soeur il était toujours présent pour elle, et ça quoi qu'il arrive. Même si la distance les sépares les deux jeunes gens sont vraiment très proche. Il lui prit la main pour se diriger ensemble vers l'entrée.


    Avant d'entrée à l'intérieure, Loris jeta au sol sa cigarette, il se tourna une derniere fois vers la plus belle des femmes pour lui déposé un tendre baiser sur ces douce lèvres.« Je viens de pensé, j'ai toujours un défit a réalisé » Dit-il amuser. Il n'avait pas oublier sa proposition. Sans pour autant parler de faire l'amour, Loris avait une seule envies retrouvait son corps contre le sien. La serré fort contre lui, l'embrasser à ne plus avoir de souffle. Sentir sa présence, l'avoir rien que pour lui. Il ne voulait pas la brusquer, Loris voulait faire les choses bien. En tant normal lorsqu'il est avec une fille, si elle ne passe pas a la casserole deux trois jours après il lui dit au revoir. Mais là avec Enorah tout était différent, il voulait plus qu'une partie de jambe en l'aire, il voulait finir sa vie a ses cotes et pour ça il se devait de la respecter.


    Loris entra en compagnie Enorah à l'intérieure. Il la laissa faire ce qu'elle avait à faire, tout en jetant de temps en temps des petits coups d'oeil, pour voir si tout se passait bien. Il se prit un boisson alcoolisé en attendant que la jeune femme finisse le service qu'elle devait rendre à son frère. Une fois fait, ils sortirent de cette endroit, pour se rendre chez la pianiste... De retour à la maison Loris retrouva un petit sourire. Il prit la veste de la jeune femme ainsi que la sienne pour pouvoir les ranger. Loris est un homme assez maniaque, il aime lorsque les objets sont a leurs places. « Bon pour en finir ça va il m'en veux pas t'en que ça ton frère» De l'humour, toujours de l'humour. Camille ne portait pas Loris dans son coeur. Mais loris trouvait la situation normal, il allait regagner sa confiance mais il fallait du temps. Le temps qu'il voit que Loris est sincère avec sa soeur.


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    Enorah n’avait pas aidé Camille aurait qu’elle ne l’aurait fait si d’aventure Loris n’avait pas fait partie de l’équation. Il s’agissait d’une légère séduction verbale évidemment, jamais la jolie musicienne ne se serait lancée dans un quelconque bourbier sans espoir de pouvoir en sortir, mais ce soir, elle s’était contentée de sourire, serrer des mains à en avoir le tournis pour mieux complimenter certains actionnaires résolument importants pour l’avenir professionnel de son frère aîné. Sa petite manœuvre avait porté ses fruits, à en croire les nombreux messages laissés par Camille sur son téléphone, alors qu’elle était en route pour son appartement en compagnie de Loris. D’un côté, elle était ravie que son frère voit en cela un avantage considérable pour la suite, mais elle était désolée de l’accueil glacial réservé au jeune homme : il avait été plus ou moins mis à l’écart le temps qu’Enorah avait parlé avec lesdits actionnaires. Pour un peu, il avait été collé au bar… impossible de ne pas largement écourter les conversations entamées en sachant qu’il l’attendait impatiemment. Elle aurait détesté qu’il ait l’impression de faire potiche alors qu’il était censé être à son bras, sans se cacher ou même avoir honte de leur relation. En somme, elle n’était pas fâchée elle-même d’être de retour dans son environnement personnel, qu’elle connaissait par cœur et où ses repères étaient bien pu nombreux. Comme quoi, ce genre de soirée pince-fesse commençait définitivement à lui courir sur le haricot de la pire des façons. « Mon frère ne te déteste pas… il a simplement peur pour moi. Il voudrait que ma vie soit simple, me protéger de toute blessure et être un peu l’armure qu’il estime devoir être en tant que grand frère. Il est comme ça depuis la mort de nos parents, tu ne le referas pas ! Mais je pense que d’ici quelques semaines je vais organiser un dîner ici, juste pour nous trois. Pas de tralala, pas d’actionnaire, de show-biz ou de ce genre de connerie… juste nous trois. Histoire qu’il se rappelle aussi qu’il appartient à la race humaine ! » Enorah esquissa une ébauche de sourire avant de frôler la joue de Loris du bout des doigts pour mieux s’éloigner et défaire la coiffure qui lui avait pris tant de temps à faire. Tout ce qu’elle voulait, c’était oublier cette soirée désagréable pour se concentrer sur quelque chose de bien mieux… leur couple, leur nouvelle histoire et, surtout, la reprise de la confiance qu’ils avaient autrefois et que tout le monde leur enviait.

    « Par contre, d’ici trois jours il va falloir que je m’envole pour Paris, je dois donner un concert au théâtre du Chatelet. Comme je suppose que tu dois avoir un emploi du temps assez booké de ton côté… je suppose que tu ne vas pas pouvoir m’accompagner mais est-ce que tu accepterais que je te recommande auprès d’une amie actrice ? C’est une demoiselle assez désagréable quand on ne la connait pas mais ça peut te faire un sérieux pied à l’étrier. Après, si elle est satisfaite, elle te recommandera sûrement, et c’est comme ça que tu pourras te faire un nom. Considère ça juste… comme un tout petit coup de main. » Enorah restait à bonne distance, juste pour observer sa réaction et savoir s’il allait bien prendre la chose ou refuser son coup de main. Il aurait bien tort… surtout avec le carnet d’adresses que possédait la musicienne. « Ne t’inquiètes pas, je rentrerai rapidement de Paris. Et puis tu pourras m’appeler quand tu veux, tu sais bien. Mais au fait, tu n’avais pas un défi à réaliser ? Ou alors c’est un effet de mon imagination… » Provocation, provocation !
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Enorah & Loris
" C’est seulement quand on a tout perdu qu’on est libre de faire tout ce qu’on veut."

    «Oui pourquoi pas, après tout ça peut être une bonne idée un petit dînerµ.» Enorah avait eut une bonne idée, faire un diner ne pouvait pas mieux tomber. C'était l'occasion de prouver qu'il était là pour Enorah et qu'il ne comptait plus faire d'erreurs. C'était le moment de montrait à Camille que Loris est sincère avec sa petite soeur et qu'il ferait tout pour la gardait a ses côtes et la rendre heureuse. Comme on dit, lorsqu'on aime on ne compte pas et Loris ne comptait pas. Enorah était la femme parfaite, une des rares femmes a tout possédé. La beauté, l’intelligence, la gentillesse, Enorah avait toutes les qualités que Loris rechercher chez une femme, douce et attentionné avec une pointe de piment lorsqu'il le faut, que demander de plus. Rien la femme parfait est devant lui.

    Paris, une ville si loin d'ici. Loris était content pour elle, mais ne voulait pas la laisser s'échapper de peur de ne plus la revoir. Elle allait beaucoup lui manquait ça c'est sur. Malgré la distance il espérait qu'ils allaient être fort, puis ce n'était pas non plus la fin du monde elle partait juste quelque jours rien de bien dramatique. Comme elle venait de le précisé Loris avait un emploi du temps assez charger. « Tu part combien de jours ? Ah bien sur que je veux. J'arrive bien a te supporter sa sera pas bien difficile d'en faire autant avec elle» Dit-il en rigolant. La taquiner il adorait ça, il lui déposa un petit bisou sur les lèvres.« Non sérieusement, je veux bien si ça peut m'aider je prends ! Merci Enorah »Loris apprécier qu'elle lui donne un coup de main dans son travail. Loris n'était pas un bourreaux du travail mais son travail compte tout de même pour lui, il lui tien a coeur de réussir dans ses projets que se soit des projets de travail ou de famille.

    Il émit par la suite un rire, elle n'avait pas perdu le nord. Le défit était toujours présent et il ne fallait pas lui répété deux fois. Il attrapa la jeune femme par la taille pour la coller à lui. Il l'embrassa alors langoureusement tout en passant sa main dans les doux cheveux blond de la jeune pianiste. Son autre main alla se placer dans le creux de son dos, petit à petit elle fit son chemin pour se retrouvait sur son fessier. Tout ses petits geste lui avait énormément manquer. En trois ans de séparation Loris en a connus d'autres femmes, mais ce n'était pas pareil, les sentiments n'étaient pas présent. Faire l'amour avec des sentiments à rien avoir, la sensation était mille fois mieux. Il lui attrapa par la suite la main pour pouvoir se diriger vers la chambre de la demoiselle. Il l'installa doucement sur le lit avant d'enlever sa chemise et se retrouver torse nue. Il se mit a califourchon au dessus d'elle, il plongea son regard dans le sien pendant un petit moment, un regard plein d'amour et d'envie. Ses lèvres contre les siennes, une frisson parcourut le corps de Loris. Il fit par la suite déraper ses lèvres pour lui faire un tas de bisous sensuelle dans le coup. Son corps était coller au sien, il ressentit sa chaleur. Il ne mit que quelques minutes avant de lui retiré sa robe, elle se retrouva alors en sous-vêtement, ce qui offrait une vus magnifique à Loris.« T'es magnifique»Lui chuchotât-il en se mordillant la lèvre inférieure.


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    Enorah savait exactement à qui recommander les services de Loris. Certes, elle ne l’avait jamais vu à l’œuvre en tant qu’agent de sécurité, mais elle avait confiance en lui, c’était donc suffisant. Après tout, même si elle donnait son nom à une actrice très en vogue, il aurait sa part de boulot à accomplir : ladite actrice était réputée pour ses sautes d’humeur imprévisibles, et parvenir à se frayer un chemin dans son quotidien n’était pas donné à tout le monde. Loris allait donc devoir faire preuve de malice, d’intelligence et de brio. Sachant qu’Enorah ne lui aurait jamais proposé si elle n’avait pas été absolument sûre qu’il soit prêt ou capable d’y parvenir. Elle aurait d’ailleurs pu le lui expliquer dans de longues phrases, mais le temps n’était plus vraiment à la parlotte. Il serait toujours le moment de fixer les détails quand ils auraient pris le temps de s’apprivoiser à nouveau. D’ailleurs, la jolie musicienne n’émit aucune réserve ou recul lorsqu’elle sentit Loris prendre les devants : au contraire, elle se laissa complètement faire, s’abandonnant à ses bras puissants et protecteurs qu’elle avait cru ne plus jamais sentir se refermer contre elle. Chaque baiser était une brûlure et un délice de chaque instant, lui rappelant tout ce qu’elle avait manqué en trois ans et tout ce qui aurait pu lui échapper à jamais si elle avait continué à l’éviter. De seconde en seconde, sa respiration s’intensifiait, au rythme endiablé de son palpitant faisant d’impressionnants bonds dans sa poitrine. Il faut dire qu’un simple regard du jeune homme l’avait toujours rendue toute chose. Elle appréciait de voir que rien de tout ceci n’avait changé malgré leur séparation… leurs réflexes tendres demeuraient les mêmes, et à chaque caresse, c’est comme s’ils redessinaient le contour de leurs corps respectifs. Enorah se colla plus encore contre Loris dès lors qu’il lui eut enlevé sa robe, d’ailleurs. Non pas qu’il fasse froid dans cette grande chambre qu’était la sienne, mais elle ne supportait pas la moindre séparation entre eux, même de quelques millimètres. Et bientôt, ce fut à son tour de prendre les choses en main, comme à chaque fois qu’ils s’étaient retrouvés dans la même chambre lors d’un soir comme celui-ci. Enorah savait donner de la passion et de l’amour autant qu’elle en recevait. « Toi aussi tu es magnifique » lui murmura-t-elle avant que d’appuyer sur ses poignets pour le faire pivoter et plaquer son dos contre le lit encore fait.

    Bientôt Enorah émit un léger sourire, maintenant ses poignets tandis qu’elle se trouvait sur lui, le regard brillant d’émotion et d’un désir qu’elle ne voulait plus contenir. Mais rien ne pressait… elle passa ses lèvres longuement contre son torse, avec toute la délicatesse et la lenteur qu’il méritait à cet instant précis, ne revenant vers les siennes que plusieurs minutes après. Un baiser, comme s’ils se découvraient. Un autre, plus prononcé, comme si sa vie en dépendait. Leurs lèvres s’adonnèrent bientôt à un véritable ballet, tant et si bien qu’elle peinait à recouvrer son souffle lors de leurs rares moments de repos. Mais elle ne voulait pas prendre de repos… tout ce qu’elle voulait, c’était profiter de cette seconde chance qu’ils avaient, qui leur était offerte. « Loris… je te veux » lui murmura-t-elle finalement avant de lui mordiller légèrement l’oreille.
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Enorah & Loris
" C’est seulement quand on a tout perdu qu’on est libre de faire tout ce qu’on veut."

    Ce fut un moment magique qui s'offrait à eux. Un moment remplit de tendresse, d'amour et d'envie. Loris avait enfin retrouver sa moitié, la personne qui lui manquait pour se sentir bien pour se sentir vivant. Cela peut être impressionnant comme une personne peut comptait pour quelqu'un, Enorah comptait plus que tout aux yeux de Loris et pendant ses trois dernière année, dieux seul sait à quel point il n'était pas bien, d'où le faite qu'il c'est droguer, ne sortait plus, pour résumer Loris n'avait plus vraiment le gout à vivre, ses pensés étaient toujours pour elle, quoi qu'il arrive elle ne sortait pas de sa tête. L'avoir revus dans ce pub, fut l'un des plus beau jour de sa vie, l’occasion était enfin venue Loris ne perdit pas une seul seconde pour reconquérir le coeur de la belle, par chance ce fut une réussite.

    Loris ne perdit pas une seule seconde de l'instant qu'il était entrain de partager avec Enorah, ses mains ne savait plus où se mettre, tellement d'endroit les l'un les plus intéressant que les autres. Il eut un sourire amuser lorsqu'elle lui attrapa les mains, Loris adorait lorsqu'elle prenait les devants. Il se laissa faire tout en appréciant les tendre baiser de cette dernière. Ayant toujours ses mains dans les siennes, Loris ne pouvait rien faire et pourtant l'envies n'était pas des moindres. L'envie était de plus en plus forte, dur était de lui résister. Et ce qu'elle venait de lui avoué ne fit que augmenté son envie. Le beau Loris décrocha ses mains des siennes pour pouvoir lui caresser le corps entier. L'une de ses passa alla se fourrait dans ses cheveux, leur corps étaient complètement coller l'un à l'autre. Loris mit sa main sur les fesses d'Enorah, ses fesses en toujours était la partie préféré de Loris, et elles n'avaient pas changer, elles étaient toujours aussi ferme, douce et bombé, un fessier des plus parfait.

    L'envie était bien trop présente, le jeune homme se laissa emporter par l'envies sans plus pouvoir la retenir, la tentation était trop présente. Il tourna la jeune femme pour se retrouver dans la position du départ. Il commença a l'embrasser, puis dans le coup, sur la poitrine et sur le ventre. Ses mains elles, étaient toujours entrain de parcourir tout le corps de la jolie blonde. Ses lèvres continuèrent leurs chemins, Loris savait faire plaisir a sa partenaire lorsqu'elle en faut le coup, et Enorah en valait bien plus que ça. Il voulait lui donner un maximum de plaisir avant de passer à l'acte. Après quelques minutes Loris remonta tout en laissant son corps coller à elle, il lui embrassa le coup tout en la pénétrant avec douceur et tendresse. Ce moment était un moment de partage, un moment de tendresse et d'amour. Cela faisait bien longtemps qu'il n'avait pas ressenti une tel sensation en faisant l'amour.


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    Autant être honnête, Enorah était ravie que Thaïs soit chez Camille pour la soirée. Ils avaient ainsi pu profiter de leur premier vrai moment avec Loris. Et elle ne parlait pas seulement de ce qui venait juste de se passer, mais de tout le reste. Actuellement, la jolie pianiste reprenait son souffle, allongée sur le dos et le corps couvert de sueur ainsi que de l’odeur du jeune homme présent à ses côtés. A plusieurs reprises, leurs regards s’étaient croisés et ils avaient laissé échapper un léger rire complice : effectivement, ils venaient de se donner l’un à l’autre comme si leur vie en dépendait et il y avait très longtemps qu’Enorah n’avait pas mis la moindre barrière entre sa personne et quelqu’un. Elle n’avait pas vendu son âme au diable, elle s’était simplement donnée sans réserve, sans précaution, comme au grand temps de leur histoire d’amour. Pourtant, elle peinait encore à croire qu’une telle chose soit en train de leur arriver. Même le frère d’Enorah n’avait pas réussi à l’empêcher de voir leur seconde chance d’un excellent œil. La preuve, elle avait même écourté la soirée qu’elle était censée réserver à son frère aîné pour en profiter en compagnie de Loris. Et rien n’aurait pu la déloger de là, pas alors qu’elle venait tout juste de se blottir à nouveau dans ses bras, faisant fit de la nudité de leurs corps respectifs en rabattant la couverture sur eux. Elle aurait pu s’endormir dans ses bras là, tout de suite, sans attendre, mais cela n’aurait pas été de très bon goût… ce n’était pas son genre, surtout maintenant qu’elle savait qu’elle pourrait s’endormir chaque soir en sa compagnie. Il allait sans dire que la jeune femme n’était pas encore prête à entendre parler de nouvel emménagement, mais cela viendrait. Chaque chose en son temps. « Je vois que tu n’as pas perdu la main » murmura-t-elle malicieusement avant de déposer un baiser aussi léger qu’une brise contre ses lèvres. Au départ, Enorah ne voulait pas bouger de là et avait pour plan de rester une éternité entre ses bras rassurants et protecteurs, mais elle prit soudainement le drap présent sur le lit, en plus de la couverture, pour la couvrir et l’inciter à se lever. « Je reviens dans une seconde » reprit-elle avant d’esquisser un petit clin d’œil et d’aller leur chercher un petit quelque chose à grignoter. Certes, il n’était pas tôt, mais qu’importe… ce n’est pas exactement comme s’ils avaient quatre-vingt dix ans !

    « Magnifique soirée, magnifique soirée… fraises fraîches et champagne ! Ca te tente ? » D’ordinaire, lorsqu’ils étaient ensemble depuis un moment, Enorah ponctuait la plupart de ses phrases par des noms affectueux, ou des tics de langage, mais là c’était encore trop tôt. Tout comme pour les trois mots fatidiques qui autrefois avaient littéralement changé sa relation avec Loris… ils reviendraient forcément, mais pas tout de suite. Pour l’instant, elle s’occupait simplement de leur servir deux coupes sur un plateau stable qu’elle venait de déposer sur le lit, tout en gardant le drap contre elle pour ne pas avoir froid. « Je viens de me souvenir que je n’avais même pas pris le temps de te répondre tout à l’heure… je vais partir deux bonnes semaines. Le temps de répéter mon concert, d’assurer mes trois dates et de rencontrer un propriétaire de théâtre à New York, avec qui j’ai rendez-vous en fin de voyage. Mais ça va passer très vite, et puis avec le nouveau contrat que tu vas avoir, tu vas être aussi occupé. Et si jamais c’est trop insupportable… tu peux toujours me rejoindre sur Paname. » Enorah leva son verre pour trinquer, mais elle dissimulait l’horreur que serait sûrement son absence. Ces deux semaines allaient sembler horriblement longues… « A toi ! »
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MessageSujet: Re: "C'est seulement quand on a tout perdu qu'on est libre de faire tout ce qu'on veut " Enorah & Loris "C'est seulement quand on a tout perdu qu'on est libre de faire tout ce qu'on veut " Enorah & Loris - Page 2 EmptyJeu 30 Aoû - 14:14

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Enorah & Loris
" C’est seulement quand on a tout perdu qu’on est libre de faire tout ce qu’on veut."

    La soirée ne pouvait pas mieux se terminer. Ce retrouvait avec Enorah lui fit le plus grand bien. Tout ses petits gestes de tendresse lui avait énormément manqué. Loris prit dans ses bras la jeune femme, leurs corps toujours nue coller l'un à l'autre. A ce moment même, il était sur un petit nuage, cela faisait un moment qu'il n'avait pas ressentit une tel sensation de bien être. Il eut un sourire à ce qu'elle venait de lui dire, elle aussi n'avait pas perdu la main, bien au contraire Loris avait prit beaucoup de plaisir. Il resta un long moment coller à elle, leurs corps encore transpirant. Il la laissa s'échapper le temps de quelques minutes sans savoir ce qu'elle est partie faire. En la voyant revenir avec du champagne et des fraises, Loris eut un petit rire. Elle avait toujours ces petites attentions, qui fait toujours chaud au coeur. Il l'embrassa tendrement. «Deux semaine ? ça va être long tout ça..» Deux semaines en réalité ses cours mais deux semaines loin d'une personne qu'on aime parait une éternité. Loris savait qu'avec leurs travail il allait être dur d'avoir une vie comme tout les couples, mais ça n'avait pas d'importance, tant qu'ils sont heureux.« A nous !» Dit-il en en prenant la coupe de champagne. Il but par la suite quelques petites gorgées. Il prit une fraise, elle était délicieuse. « ça te dérange si je fume dans la chambre ?» Loris avait toujours fumer dans les chambres, mais ici ce n'était pas chez lui. Il ne voulait pas que ça la dérange, il préférait lui demander avant d'allumer sa cigarette. La cigarette du matin et elle d'après l'amour étaient celles qui passait le mieux.

    Après avoir siroté tranquillement leur champagne accompagner de délicieuse fraise, Loris et Enorah s'endormirent dans les bras l'un de l'autre. La nuit fut courte pour Loris, il devait se lever pour se rendre au travail. Le réveille fut tout en bonne humeur, il avait de quoi être heureux se réveiller dans les bras d'Enorah il ne pouvait pas mieux demander. Une fois prêt le jeune homme embrassa sa douce pour pouvoir enfin partir travailler. Aujourd'hui Loris avait une journée assez charger, le matin il devait terminer de remplir quelque papier pour devenir garde du corps et l'après midi il devait faire la sécurité dans un cinéma où il y avait des avants première avec les acteurs du film.


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