Je profitais pleinement de ma journée de congé aujourd’hui en pensant que j’étais pour me sentir très mal si je ne commençais pas à faire mes achats pour noël. Je connais très bien ma sœur qui adore être une scène pour les citoyens d’Espagne lorsqu’elle n’est pas du tout contente. Je compte bien faire ceci très rapidement mes cadeaux de noël parce que les magasins ne vont plus me donner des choix comme je le désire. Même si je regarde sur internet, ce n’est peut-être pas ce qu’elle désire le plus, car elle est très perfectionniste et surtout qu’elle est difficile. Je vais prendre une chance de l’appeler, mais elle n’a pas mis de côté son habitude de jeune fille de faire une liste pour noël. Il y a bien une chose que je n’avais pas oublié que s’était mon entrevu avec une personne que je connais très bien et pour la première fois, je vais pouvoir raconter aux gens le pourquoi que je ne suis pas devenu un grand sportif. Beaucoup connaisse mon père et ma famille en Espagne avec les exploits que nous avions eu avec le temps, mais la plupart était déçu de ne pas me voir sur l’échelle de la victoire et de la gloire. Mon père avait mis les médecins au clair de ne pas dire que j’avais une maladie. Ceci a été tabou pendant plusieurs années avant que je décide de m’ouvrir le cœur. Pouvoir avoué ce que j’ai, ceci me rend un peu nerveux, mais je me fais assez confiance pour supporter les commentaires par après. Je m’habillais assez chaudement et même si la chaleur du soleil était dans les alentours, ceci ne changea pas le fait qu’il fait froid dans certains états des États-Unis. J’arrivais à l’endroit que Suil m’avait demandé et nous nous échangeons une poigner de main à fin de commencer.

« Merci à toi. Disons que je me sens un peu nerveux… »

Il faut surmonter ses plus grandes peurs pour pouvoir touché à la chance et surtout à la liberté. En ce moment, je ne demande pas grand-chose pour sortir de mes plus grands secrets. Le monde du soir doit savoir et je suis prêt à m’ouvrir le cœur en ce moment. L’homme avec qui je vais passer plusieurs heures à parler de ma vie et de la pathologie qui m’empêche de faire plusieurs choses pour toucher à la gloire, mais je le fais quand même lorsque l’Euro, la FIFA et les jeux olympiques d’été cogne à la porte de l’Espagne. Lorsque je suis arrivé à l’endroit qu’il m’avait donné rendez-vous, je me sentais un peu nerveux. Je me sentais très anxieux avec tous mes souvenirs que j’avais en tête. Je ne voulais rien oublier et je devais me concentrer pour abaisser mon rythme cardiaque. Je le sais que ce n’était pas la meilleur des choses à être nerveux, mais quand tu as fait une promesse à toi-même pour oublier des souvenirs que tu ne voulais pas te souvenir dans le futur, s’est très inconfortable.

« C’est l’anxiété. Disons que j’ai fait la promesse à moi-même d’oublier les plus horrible souvenir pour me concentrer sur autre chose. » Dis-je en desserrant mon foulard.

Je le sais que je vais mieux aller après cette entrevue. Faire sortir le méchant de sur mon cœur va me donner une meilleure chance de respiré tranquillement et librement. Mon père m’a toujours dit que s’était important de parler de nos problèmes, mais j’avais toujours peur de me faire juger si je parlais de ma pathologie. Prendre de la médication, ceci n’a jamais été mon fort, car je n’aime pas la drogue de un et de deux, les coûts sont dispendieux. Une chance que j’ai une assurance pour ma médication.

« Mon père au début avait fait une entente avec les journalistes sportifs et aussi de d’autre réseaux sociaux de ne pas parler de mes résultats, car il fallait que le propriétaire et l’entraîneur sache de ce qui m’était arrivé. Mon père n’était pas encore le propriétaire du Real Madrid lorsque j’ai participé au camp d’entraînement. Je n’avais que 18 ans lorsque j’ai su que j’avais la maladie des os de verre. »

Chaque entrevue est différente l’une de l’autre. C’est de pouvoir s’exprimer librement et de ne pas prendre les questions trop personnelle, mais beaucoup ne comprenne pas se concept. En ce moment, je vais de sortie un bout de mon discourt en un seul souffle et la pression avait descendu de sur mes épaules, mais pas assez pour aller rejoindre les nuages. J’ignorais comment me sentir, mais je me dis que c’est des émotions que l’on retrouve partout dans la société et surtout peu importe dans qu’elle endroit on se rend, car il faut toujours connaître avant d’appuyer sur la douleur ou d’enfoncer le couteau dans la plait. J’ai souvent été craintif par les journalistes. Depuis plusieurs mois, les médias envahissent le bureau de mon père à Madrid en essayant de savoir pourquoi je ne suis pas devenu un joueur de foot comme mon frère David. Tout le sais qu’Alex a laissé tomber le foot après avoir été tirée à bout portant durent une partie de foot. La balle avait resté dans l’os de son fémur avant la chirurgie. Il est devenu le policier le plus énergique et le plus courageux que je puisse connaître. Il en a vue beaucoup de chose et surtout qu’il a été tirée dessus plusieurs fois, mais une chance que la plupart du temps, il portait une veste anti-balle. J’avais une vague de souvenir dans ma tête avant d’entendre la question la plus direct que je pouvais entendre. Je venais de dire que j’étais atteint de la maladie des os de verre, mais de me demander à coup sec pour savoir si j’étais malade, ceci était bien une première fois. Je vais peut-être me faire voir comme un athlète bizarre, mais j’adore ressentir ce sentiment en ce moment.

« Ne te sens pas mal pour ça. Voie cette maladie comme une maladie qui non existence dans mon non verbale. Je ne plein pas et surtout que même si ça peut me coûter des blessures graves, je m’entraîne ti-peu par ti-peu, parce que je ne veux pas me sentir faible. Me gardé un pourcentage de masse musculaire m’aide à passer de bonne journée. » Dis-je en souriant un peu en coin.