LINDSAY & VITALY

On peut choisir la personne que nous voulons être.

Je lui en voulais de ne pas m'avoir avoué sa virginité plus tôt ... Et en même temps, je ne pouvais que comprendre ses motivations. Le fait était que ça me donnait forcément la grande envie de reculer. Or, c'était là ce qu'elle redoutait tant et cherchait à éviter. C'était logique et parfaitement légitime. Simplement, j'étais gêné à l'idée de lui ôter ce bien des plus précieux à mon humble avis. Mais je n'étais pas non plus assez fort d'esprit à ce sujet là, pour continuer de reculer quand elle même insistait pour que nous continuions sur cette voie là. J'avais beaucoup trop envie d'elle pour ça de toute façon. « Ne m'en veux pas, je t'en prie... » Comment rester fâché contre elle après tout ça, hein ? Surtout dans un tel moment, alors que baisers et caresses étaient échangés avec une réelle tendresse et une envie évidente. Alors est-ce que je la boudais ? La question ne se posait même plus alors que je finissais par faire glisser mes lèvres dans son cou pour y déposer de tendres baisers. J'eus un sourire en coin quand je sentis qu'elle se crispait de façon à peine perceptible et oubliait de respirer, alors que j'entreprenais de mouvoir à un rythme lent, mon bassin contre le sien. J'aimais ses réactions. C'était pour le moins rafraîchissant en comparaison de celles des femmes habituées à cela et avec un minimum d'expérience. Alors que je tentais encore un peu de lui faire entendre raison, sa réponse ne se fit pas prier, puisqu'elle enroula ses bras autour de moi en continuant de m'embrasser avec délicatesse. Sa réponse était déjà bien claire. « Je préfère mille fois ça à n'importe quel autre contexte... » Je laissai échapper un léger grognement de contentement alors qu'elle se rallongeait en m'entraînant avec elle. Un dernier regard sur son visage avant que je ne laisse de nouveau mes mains s'attarder sur son corps. J'entrepris de déboutonner son pantalon sans la quitter du regard et me redressai pour le lui ôter avec lenteur. Comme si j'espérais la voir se figer et me demander d'arrêter.

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Même si je ne devais surtout pas oublier que Lindsay était vierge, j'étais incapable de me raisonner tout à fait. La preuve, j'étais maintenant en train de lui ôter son pantalon pour continuer à la dévêtir peu à peu, dans l'attente du moment où nous ne ferions plus qu'un. La tension allait grandissante à mesure que nos baisers se faisaient plus passionnés et nos caresses plus précises. Je n'avais pas souvenir d'avoir déjà ressenti quelque chose d'aussi incroyable, pour qui que ce soit. C'était juste complètement dingue ce désir qui me gagnait et s'affirmait de seconde en seconde. Le simple fait qu'elle vienne doucement refermer ses doigts sur mon pantalon pour l'ouvrir tranquillement, me rendait complètement dingue. Je l'arrêtai malgré tout dans son geste, pour glisser une main dans la poche de mon pantalon et en sortir un préservatif. Oui, j'étais du genre très prévoyant. Pour un célibataire coureur de jupons à ses heures perdues, comme moi, c'était une réelle nécessité. Et la preuve que je faisais vraiment bien de penser à ce genre de détail, en toutes circonstances. Ne serait-ce que parce qu'étant vierge, Lindsay ne prenait probablement pas la pilule. C'était donc doublement plus important d'utiliser un préservatif pour nous. Parce qu'il ne manquerait plus que je la mette enceinte tiens. Difficile de cacher une grossesse puis un avortement, à ses parents eux mêmes, alors qu'elle vivait sans doute encore sous leur toit. Une fois le préservatif mis de côté, je la laissai m'ôter mon pantalon, avant de revenir tout contre elle sans me faire prier et reprendre notre baiser avec toujours plus de passion.

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A guetter la moindre de ses réactions, avec grande attention, je ne pouvais passer à côté de grand chose concernant Lindsay. Ainsi, je fus bien conscient de la tension qui la gagna quand je sortis un préservatif de la poche de mon pantalon. Bien sûr, ça se comprenait. Elle était vierge. Et cet état de fait ne l'empêchait aucunement de comprendre que si je sortais ça, c'était que les choses étaient bien en train de se préciser. Même si elle devait bien s'en douter déjà avant ça, alors que nos vêtements continuaient de déserter nos corps un à un. Je fermai faiblement les yeux quand ses lèvres glissèrent dans mon cou et que ses mains entreprirent de parcourir délicatement mon corps. Une caresse qui me fit longuement frissonner alors que je la laissais prendre le contrôle des choses durant quelques minutes. Histoire qu'elle puisse s'habituer à tout cela. A cette étreinte. A ces échanges. Mais plus encore, à moi. Je ne perdais surtout pas de vu que c'était sa première fois. Et ce, quand bien même elle avait ardemment insisté pour poursuivre ces échanges passionnés. Après quelques secondes de baisers et caresses de sa part, je finis par laisser mes lèvres errer dans son cou où je déposais de délicats baisers. Je glissai ensuite ma bouche un peu plus bas, avec lenteur. Et parsemai ainsi son corps de légers baisers, passant brièvement sur sa poitrine avant de descendre encore un peu plus bas. Je m'attardai quelques secondes sur son ventre plat avant de descendre encore un peu plus bas. Je finis par m'arrêter en cours de route pour lever les yeux vers elle et l'interroger du regard. Je ne tenais pas à faire quoi que ce soit qui serait susceptible de lui déplaire.

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A chaque nouveau baiser que je déposais sur sa peau, je pouvais sentir Lindsay y réagir plus ou moins vivement. Il suffisait que je l'embrasse doucement et parcours son corps de délicats baisers, pour qu'elle laisse échapper quelques gémissements. Qu'elle tentait d'ailleurs vainement de réprimer. Ce qui n'était pas une si mauvaise idée en soit. Parce qu'il ne fallait pas oublier où nous nous trouvions et le fait que ma secrétaire était encore derrière la porte. Même s'il était vrai que la pièce était plutôt bien isolée. Finalement, après l'avoir questionné en silence, je laissai glisser mes lèvres encore un peu plus bas, pour les loger sur son intimité. J'y jouai de mes lèvres et de ma langue durant quelques secondes avant de remonter le long de son corps pour me loger tout contre elle et reprendre notre baiser. Quand bien même mon envie d'elle était sans cesse grandissante, je ne tenais vraiment pas à accélérer les choses. Quitte à y passer des heures avant d'en arriver à l'acte lui même. C'était pas si important dans le fond. Tant qu'elle était bien et n'avait pas peur. C'était complètement idiot de m'inquiéter autant pour elle alors que je ne la connaissais pas le moins du monde et qu'elle était en grande partie responsable de tout ça. Mais ce n'était pas une raison. Je fondais littéralement devant cette jeune femme. Et c'était bien pour ça que nous en étions là actuellement, alors même que j'aurais du reculer et prendre la fuite devant sa virginité. Je n'étais pas à un âge où l'on ôte sa virginité à une femme. J'en étais parfaitement conscient. Et c'était bien pour ça que j'avais commencé par éprouver le besoin de reculer. Avant de finalement me laisser ouvertement tenter pour elle. J'osais espérer que ça n'allait pas tout foutre en l'air. Elle allait passer un mois ici. Et si elle regrettait ?

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Les choses entre nous, se faisaient presque tout naturellement. Le genre de naturel que je n'étais même pas sûr d'avoir déjà partagé avec qui que ce soit jusqu'à maintenant. Et le tout, avec une réelle lenteur. Parce que je craignais toujours autant de lui faire peur ou même mal. Or, ce n'était évidemment pas ce que je souhaitais. Tout sauf ça. Je désirais plutôt qu'elle soit à l'aise au possible. Ne serait-ce que parce que c'était sa première fois. Alors que ce n'était évidemment pas la mienne, à moi. Loin de là même. Et c'était là une très bonne raison de prendre tout mon temps. Le fait que j'avais, contrairement à elle, pas mal d'expérience en la matière. J'étais donc supposé être apte à rendre les choses les meilleures possibles pour elle. Oui, j'étais quand même en mesure de prendre un tant soit peu sur moi. Assez pour la préparer physiquement à la suite de notre étreinte que je peinais à conserver à une allure lente et tendre malgré tout. Néanmoins, quand je revins à sa hauteur, se fut pour l'embrasser de nouveau avec lenteur. Et pour la laisser m'ôter mon dernier vêtement qui s'avérait être mon boxer. Une fois totalement nu, je vins me presser doucement contre elle, plus aucune entrave ne nous empêchant d'être totalement en contact désormais. Même si mon envie de ne faire qu'un avec elle, était vraiment très très forte, je prenais encore et toujours sur moi en continuant de l'embrasser avec tendresse. Je préférais attendre pour être tout à fait certain d'aller plus loin, uniquement quand elle serait fin prête. Vraiment très prête.

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Même si je prenais tout mon temps pour ne pas brusquer Lindsay, je me savais incapable de laisser les choses perdurer ainsi dans le temps. Je n'étais pas un saint et j'avais assez d'expérience pour avoir envie d'atteindre enfin le moment tant attendu. Mais je ne tenais pas à accélérer les choses. Alors je prenais tout mon temps désormais. Et pourtant, nous n'avions pas l'éternité devant nous. Très peu de temps même, puisque nous nous trouvions dans mon bureau. Ainsi finis-je par ouvrir le préservatif, l'enfiler et revenir tout contre elle pour reprendre notre baiser. Je caressais son corps du bout de mes doigts ou du plat de mes mains, comme un rappel du fait que j'étais et me montrerais doux. Et enfin arriva le moment où j'unis nos corps avec douceur, avant d'entamer des mouvements tout aussi lents et doux, pour ne pas lui faire mal ou la faire reculer. Même si pour le coup, il me serait bien impossible de tout arrêter, alors que nous étions allés déjà si loin. Tout en me mouvant en elle avec un rythme lent, j'enfouis mon visage dans son cou pour parsemer sa peau de délicats baisers et mordillements, maintenant mon corps au plus près du sien aux courbes toujours aussi envoûtantes pour moi.

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Pour moi, rien de bien compliqué dans la situation actuelle. Coucher avec une femme, je savais parfaitement faire. Et fort heureusement d'ailleurs, du haut de mes trente quatre ans. Ce à quoi j'étais beaucoup moins habitué en revanche, c'était au fait de coucher avec une mineure. Mineure qui s'avérait être vierge tant qu'à faire. Histoire que tout ça soit encore plus tordu et compliqué. Et puis, évidement, ça se déroulait sur le canapé de cuir noir de mon bureau. Tout était parfaitement normal. Ou pas d'ailleurs, certes. Mais soit, nous ne pouvions faire autrement, alors que le désir était tout simplement plus fort que tout le reste. Raison pour laquelle je finis par unir nos corps, sans pouvoir attendre cet instant plus longtemps. Et une fois en elle, ce fut avec lenteur je me mouvais, pour ne pas lui faire le moindre mal. Mais contre toute attente, elle répondit on ne peut plus favorablement, en bougeant également le bassin avec lenteur et en ayant de cesse de caresser mon corps de ses mains et en embrassant ma peau du bout de ses lèvres délicates. Je soupirais de bien être, continuais de bouger avec douceur et enfouis même mon visage dans son cou pour humer son odeur avec grand plaisir. Une fois assez confiant pour ça, j'accélérai mes mouvements peu à peu tout en laissant échapper quelques doux gémissements d'aise alors que le plaisir menaçait d'exploser pour de bon, tant il arrivait à grands pas. L'une de mes mains fini même par se refermer sur l'une de ses cuisses, pour la ramener contre ma taille et la maintenir là.

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Ce qui était en train de se passer entre nous, me paraissait presque normal. On ne se connaissait pas franchement et pourtant, nous étions en train de partager une étreinte tout ce qu'il y avait de plus parfaite et de plus passionnée, sur le canapé même de mon bureau. Et pour sûr, c'était vraiment vraiment très agréable. Raison pour laquelle une fois que je fus assez confiant quant aux réactions de la jeune femme, j'accélérai la cadence. Peu à peu, alors que le plaisir montait en flèche, je me contractais et laissais échapper davantage de démonstrations de plaisir. Jusqu'au moment tant attendu où je fus submergé par une vague de plaisir bien plus virulente que les précédentes. J'en lâchai un grognement d'aise à travers mes mâchoires contractées et demeurai figé au dessus d'elle, pendant de longues secondes. Avant de soupirer doucement et m'allonger sur elle avec lenteur, avant bras en appuie sur le coussin de cuir du canapé pour ne pas peser de tout mon poids sur elle. Je fermai les yeux et vins poser mon front en sueur, sur son épaule, paupières closes. J'ignorais si ce que nous venions de faire était ou non une très bonne chose. Sans doute que non dans le fond. Mais je ne me sentais pas du tout en mesure d'en éprouver le moindre regret. J'étais trop heureux de cet échange, pour ça. Et j'étais encore bien trop sonné par le plaisir ressentis quelques secondes plus tôt à peine, pour trouver la force et le courage de parler. Et l'une de mes premières pensées fut ma surprise de découvrir que la perfection pouvait bel et bien porter un nom. Tiens. Etrange songe. Stupide également. Et un peu trop fleur bleue pour être tout à fait moi.

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D'accord, ce que nous venions de faire était illégal et serait très très mal vu si jamais ça venait à se savoir. Mais comme nous en étions parfaitement conscients tous les deux, nous trouverions quand même la force de garder ça pour nous. C'était en tout cas ce que j'osais espérer. C'était d'autant plus risqué, que je ne connaissais pas du tout Lindsay dans le fond. Je ne savais même pas si elle était ou non digne de confiance. J'espérais sincèrement que oui du coup. En fait, il était trop tard pour faire marche arrière. Alors il ne me restait plus qu'à attendre pour voir ça par moi même. Ce n'était pas comme si j'avais mille autres solutions. Perdu dans mes pensées, je la laissai totalement faire lorsqu'elle plaça une main sous mon visage pour me faire relever la tête et qu'elle vint loger à nouveau ses lèvres contre les miennes. Et je ne me fis évidemment pas prier pour répondre à son baiser avec lenteur et tendresse, l'embrassant de la sorte durant de longues minutes avant d'afficher un sourire et redresser la tête pour la contempler. « Voilà une rencontre qui aura été pour le moins intéressante ... » Soufflai-je d'une voix douce et amusée, avant de me pencher pour déposer de rares et doux baisers sur ses lèvres, du bout des miennes. Une rencontre qui allait se poursuivre par un stage, à coup sûr. Maintenant, restait à voir ce qu'il en serait pour nous deux. S'il y en aurait un déjà ...

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« A qui le dis-tu ?! Je ne suis pas prête d’oublier ce stage… » Un léger rire amusé m'échappa aussitôt, avant que je ne fasse mine d'être parfaitement outré, en haussant les sourcils et en entrouvrant faiblement la bouche, regard fixé sur elle et alors que je me redressais légèrement en appuie sur mes mains. « Juste le stage ? J'aurais préféré t'entendre dire "le patron" » Remarquai-je sur un ton faussement vexé, avant de lui lancer un regard narquois. Et enfin, je trouvai le courage de me redresser pour me détacher d'elle et quitter le canapé. Si je ne le faisais pas maintenant, je ne le ferais sans doute jamais tant j'étais bien ainsi tout contre elle ! Une fois à nouveau debout, je récupérai et enfilai mon boxer et mon pantalon, avant de lui tendre ses vêtements. Et pendant qu'elle même se rhabillait, j'achevai de renfiler mes vêtements et remettre de l'ordre dans mes cheveux légèrement en pagaille après ... Tout ça. « Est-ce que tu serais disponible ce week-end ? » Demandai-je assez soudainement, avant même d'avoir seulement prévu de poser pareille question. « On pourrait ... tenter de se voir ... Quelque part ... Un coin discret et tranquille ... » Proposai-je en lui lançant un bref regard, avant de l'éviter. C'était étrange de sembler si gêné du haut de mes trente cinq ans et après ce que nous venions de faire. Mais c'était plus étrange encore, d'inviter une femme de son âge, à sortir. Et c'était justement là la raison de ma gêne que j'osais espérer juste passagère. Inviter des femmes, je savais faire. Inviter une femme aussi jeune ... Pas franchement. D'autant plus que j'ignorais ce qu'elle même pensait de tout ça.

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« Ça, c’était déjà une évidence… Ceci dit, j’espère que le patron à prévu de rendre la totalité de mon stage aussi inoubliable que ce premier entretien… » Sourire au coin des lèvres, je lui lançai un regard pour le moins amusé et taquin. J'ignorais de quoi précisément il était question. De partager à nouveau ce que nous venions de vivre, tous les deux ? Ou juste du contenu même de son stage ? Je ne le savais pas. Et dans l'immédiat, j'étais trop occupé à réfléchir à comment j'allais pouvoir l'inviter sans me couvrir de ridicule, pour me poser davantage de questions de ce genre. Et finalement, je lui demandai si elle était disponible au cours du week end qui arrivait. Quitte à me prendre le râteau du siècle, autant tenter quand même. Je n'avais rien à perdre dans le fond ... « Heu… Oui, samedi après midi, je devrais être dispo… » Elle avait l'air profondément surprise. Et en même temps, c'était on ne peut plus logique et normal. Je venais moi même de me surprendre à vrai dire ... Je finis par préciser le côté discret de ce rendez-vous. C'était là une obligation. Il ne faudrait tout de même pas que l'on se fasse prendre ... « Oui… Avec grand plaisir… Dis-moi juste où et quand et je serais là… » Je souris de plus bel et hochai la tête. Avant de la rejoindre pour emprisonner son visage entre mes mains et venir l'embrasser avec lenteur. Je la raccompagnai à la porte de mon bureau où je pris une nouvelle fois le temps de l'embrasser. A croire que c'était déjà plus fort que moi. « J'ai ton numéro. Dans ton dossier. Alors je t'appelle ce soir pour en reparler. »

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