It's New York City bitches ! And it's my motherfucking dream
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welding a family

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MessageSujet: welding a family welding a family EmptyMar 6 Nov - 22:43

De tous les enfants qu'Aileas avaient gardé, il y en avait bien une qui lui tenait prticulièrement à coeur. Marilys était sa petite préférée. Elle la gardait deux fois par semaine et à chaque fois la petite était un petit ange et un vrai délice à garder. De plus, Nastazià, la mère de ce petit bout de chou est meilleure amie avec la tanzanienne, alors garder son petit ange ne lui pose vraiment aucun soucis. Malheureusement, la grand mère de la mannequin a interdit tout contact avec sa petite fille, par peur que sous l'emprise de la drogue elle ne fasse du mal à Marilys. Or Aileas sait que Nastazià ne ferrait jamais de mal à sa fille. c'est pour cela qu'aujourd'hui elle avait organisé un super rendez vous top secret. Ses plans machiavéliques, vous les connaissez; elle y passe la nuit et le journée elle les applique. Le lendemain elle gardait la petite toute la journée, et elle savait que Nasty était là. C'était même étonnant que la russe ne lui aie pas demandé. Enfin bon. Vous avez une petite idée de ce qu'elle allait faire hein ! Bon. Elle envoya un texto à sa meilleure amie. Coucou ma poule, on se retrouve à Central Park, devant la cage des lions à 14h demain ? J'ai des taaaas de trucs à te raconter. xoxo Elle put dormir sur ses deux oreilles quand la blonde lui confirma sa réponse.

Le lendemain, Aileas se rendit à l'appartement où logeait Marilys. Comme d'habitude, elle lui fit la fête dès qu'elle franchit le seuil de la porte. Les embrassades commencèrent, même si cela faisait un peu mal au cœur à la tanzanienne, comme si elle comptait plus pour la petite que sa mère. Elle la voit peut-être plus que sa mère, c'est bien triste. Enfin bon, toute la matinée elles firent de la cuisine, pour le goûter. Des cookies. Elles prirent le déjeuner et l'heure de la rencontre entre Marilys & Nastazià approcha à grands pas. Alors que la brune mettait les cookies dans un tupperware pour les emporter plus facilement, la petite demanda. « Qu'est-ce que tu fais Aileas ? » « On sort ma puce, on va à Central Park pour voir les lions, ça te va ? » « Youpi ! » La tanzanienne lui sourit de toutes ses dents : si elle était contente pour ça, alors dans quel était serait-elle quand elle verrait sa mère ! Aileas se réjouissait d'avance. Elle habilla la petite et elles sortirent de l'appartement.

Central Park était le lieu idéal. La brune avait bidouillé un de ses rendez vous, comme une potion magique dont elle était vraiment fière, elle aimait aider les autres et encore plus si il s'agit de sa meilleure amie. Devant la cage des lions à 14h, elles y étaient. Nastazià arrivait à pas tranquille alors que Marilys lui tournait le dos, trop occuper à observer le moindre fait & geste du lion et de sa lionne. Aileas se baissa légèrement pour souffler à l'oreille de la petite. « Hé, ma puce j'ai une surprise pour toi : et si tu te retournais ? » Elle sourit quand la jeune demoiselle s'exécuta et qu'un sourire se dessina aussi sur ses lèvres tandis qu'elle se mettait à courir pour se loger dans les bras offrants de sa mère.


Dernière édition par Aileas Borthwick le Mer 7 Nov - 17:39, édité 1 fois
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MessageSujet: Re: welding a family welding a family EmptyMer 7 Nov - 15:19





Cette semaine c’était le repos total. Oui le repos car j’en avais marre de travailler, mais surtout, je faisais de mon mieux pour ne plus me droguer autant. Je tentais tant bien que mal de diminuer les doses. Ça marchait, et parfois ça ne marchait pas. Je tenais cependant, plus de temps qu’avant sans me droguer. C’était déjà une bonne chose, je présume. Je me devais de faire de mon mieux. C'était pour mon bien mais aussi pour pouvoir récupérer ma fille, ne plus avoir de souci, et avoir une vie paisible. De plus je voulais que Chad puisse vivre avec moi, sans avoir à se soucier de si je suis en manque ou pas. J’avais ruiné ma vie il y a deux ans en faisant un détour pour rentrer plus vite, j’étais responsable de la mort de ma fille et je me devais d’assumer les conséquences. Il fallait que je cesse de me droguer et de fuir la triste réalité. Inspirant profondément, je coupais l’eau de la douche avant de rester inerte écoutant simplement le bruit de l’eau s’écoulant dans les tuyaux pour filer vers les égouts de la ville. Sortant de mon mutisme j’attrapais une serviette pour me sécher rapidement et envelopper mes cheveux dans une serviette. Il faisait froid dans l’appartement, je n’avais pas encore allumé le chauffage, il vaudrait mieux, peut-être ? Oui, peut-être. Sinon Solanà allait encore hurler qu’il faisait plus froid dedans que dehors. Allez savoir pourquoi, en ce moment j’aimais être au froid. Il parait que le froid ça rend la peau plus dur. J’étais totalement en train de divaguer moi. Entendant mon téléphone sonner, je tournais la tête pour le voir clignoter, signe que j’avais un message. J’avais une flemme intense pour aller voir ce que c’était mais j’y allais quand même. C’était ma meilleure amie, Aileas, mais aussi, la baby-sitter de ma petite fille adorée. C’était bien la seule en qui j’avais une entière confiance pour la garder. « Coucou ma poule, on se retrouve à Central Park, devant la cage des lions à 14h demain ? J'ai des taaaas de trucs à te raconter. xoxo » Demain ? Mais demain, elle ne gardait pas Marilys ? Je mis un long moment à comprendre le sens de son message. Le sourire s’immisça entre mes lèvres. Sans perdre de temps je me mis alors à lui répondre. « Hey ma cocotte ! Pas de souci, demain je serais là, j’espère que tes taaaas de trucs sont biens croustillants et drôle, je suis en manque de divertissement. Xoxoxoxo. » Une fois le message envoyé, je filais dans ma chambre pour prendre un cachet d’ecstasy. Autant être clair, je ne voulais pas péter un plomb devant ma fille et cela signifiait, ne pas être en état de manque. Le cachet faisant effet, j’échouais lentement sur mon lit pour une longue nuit de bien être, délire et j’en passe.

Le lendemain, se fut le soleil qui me réveilla, me caressant doucement le visage. Je n’avais pas fermé les stores, ni même tirés les rideaux. Eblouit totalement par la luminosité, je pris le temps d’enfouir mon visage quelques instants dans l’oreiller. Dur le matin de se réveiller de la sorte. La bouche pâteuse, les yeux endormis, il fallait vite que je me motive et me lève pour me préparer. Déjà, peut-être regarder l’heure afin de voir si je n’étais pas à la bourre. Tâtant autour de moi pour attraper le réveil sur la table de nuit, je le mis avec moi sous l’oreiller pour constater qu’il était déjà treize heures. Outch ! Heureusement que je vivais en face de central park ! Sinon on pouvait clairement dire que je serais à la bourre. Me levant tant bien que mal, je fis craquer les articulations de mon pauvre corps avant de me diriger vers mon dressing. Qu’allais-je mettre ? Un truc simple… Un jean noir, un pull blanc et j’allais prendre ma veste en cuir noir. Ça ferait l’affaire, avec une bonne grosse écharpe pour couvrir mon cou. Une fois habillée, je filais en cuisine pour me préparer rapidement un quelque chose à manger. Avec ce foutu froid, je me mis une bonne soupe agrémentait de Vodka. Que serait un russe sans sa Vodka ? Je me le demandais bien… Nous buvions ça comme de l’eau… C’était affolant. Une fois ingurgitée, je filais en salle de bains pour finir le tout. Brossage de dent, maquillage, parce que oui, sincèrement j’en avais bien besoin. Cacher mes cernes et ma fatigue, ne pas faire peur était l’essentiel. Un maquillage simple mais efficace tout de même ! Brossage de cheveux, je laissais mes boucles naturelles ressortir et les laissa détachés. Parfum mis, j’enfilais une paire de botte sans talons avant de prendre mon sac et partir. Le temps de tout faire, il était déjà pratiquement quatorze heures. Marchant vers la cage aux lions, je les vis. Elle était là, ma fille était avec Aileas. Mon cœur s’emballait déjà. J’étais tellement heureuse. Je vis ma meilleure amie se baisser faiblement vers ma fille. Elle lui annonçait que j’arrivais. Heureuse comme jamais je m’arrêtais et me baissais pour tendre les bras. Si tôt, une fusée me sauta dans les bras, manquant de me faire tomber les fesses au sol. « Mamaaaaaaaan » J’en avais les larmes aux yeux. J’avais toujours aimé son entrain des que nous nous voyons. Mais alors là… « Ma puce… Tu m’as manqué ! » soufflai-je en déposant des tonnes de baisers sur son petit visage d’ange. La prenant bien dans mes bras, je marchais en direction d’Aileas avant de la prendre elle aussi dans mes bras pour la serrer aussi fort que je pouvais. « Toi… Mais toi ! Je pourrais presque t’embrasser sur la bouche tellement je suis heureuse ! » Lâchai-je en riant doucement. « Mais maman, si t’embrasse la bouche d’Aileas alors c’est qu’elle est ton n’amoureuse ? » Prise d’un fou rire, je reculais faiblement de ma meilleure amie avant de pincer le nez de la petite. « Mais non, mais non… » soufflai-je en lançant un regard brillant de malice vers Aileas.

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MessageSujet: Re: welding a family welding a family EmptyMer 7 Nov - 18:59

Aileas était vraiment heureuse d'avoir "reconstitué" une famille. C'était vraiment sans cœur de ne pas laisser voir sa fille à une mère, elle ne comprenait pas comme ont pouvait avoir l'audace de faire cela, il faut vraiment ne pas avoir de cœur. Malgré tout la grand mère est gentille, après tout elle s'inquiète juste pour sa fille. A vrai dire la jeune brune aussi a toujours ce vague sentiment de peur lorsqu'elle croise son amie, bien qu'elle aie une totale confiance en elle, elle a toujours peur qu'elle aie un peu trop de drogue dans les veines mais Nastazià lui avait répété mille fois que elle fait bien attention de bien réglementer sa dose de drogue, elle est néanmoins jamais sure de ses gestes même si elle semble parfaitement sobre ou autre. Il faudrait qu'elle lui parle de ses inquiétudes et qu'elle lui demande surtout pourquoi elle n'arrête pas cette substance qui la tue de jours en jours. Il le faut pour le bien de tout le monde. Peut-être que par la suite, Aileas ne serait plus la fille qui fait se rencontrer à nouveau sa mère et sa fille, même si elle a le beau rôle de la fille qui a du cœur et de la pitié, mais elle veut que les deux filles s'épanouissent ensemble, c'est tellement cruel. Il est tout à fait normal qu'une mère élève sa fille. Pendant un court instant cela lui fit penser -n'allez pas chercher le rapport- à un épisode de NCIS où ils retrouvaient les parents d'une petite morte et qu'ils découvraient en fait qu'elle avait été adoptée par un gentleman et une mère droguée. Ils ont tenté de retrouver les parents biologiques et ont alors trouvé une belle jeune femme épanouie niant avoir eut l'enfant. A la fin elle la "ré-adopte". Charmant. Mais quel rapport ? Bref.

Ce moment que seul une mère et sa fille pouvaient comprendre se passait sous les yeux de la tanzanienne. Elle aurait tellement aimé avoir un enfant... Aileas entendait d'ici leur discussion, qui était tout à fait simple, comme lorsque l'on trouve des mots pour décrire ses sentiments. « Mamaaaaaaaan ! » En ce moment, la jeune brune aurait tellement aimé être à la place de sa meilleure amie, avoir sa fille lui courir dans les bras serait tellement un de ses rêves les plus fous. Mais pour le moment pour l'enfant il faudrait un papa et peut-être qu'Angus ferra l'affaire. La jeune femme imagina un instant sa tête s'il apprenait qu'elle était enceinte de lui... Cela la fit sourire. « Ma puce… Tu m’as manqué ! » La blonde prit la petite dans ses bras et lui fit mille baiser sur le visage, et la petite fut parfaitement docile et ne broncha pas. D'ailleurs celle ci s'accrocha au cou de sa mère tandis qu'elle s'approchait de la brune. « Toi… Mais toi ! Je pourrais presque t’embrasser sur la bouche tellement je suis heureuse ! » Nastazià était tellement heureuse qu'elle en disait des âneries -ou du moins presque, si elle le pensais vraiment (welding a family 1656269883)- d'ailleurs la petite traduisis ses paroles avant même qu'elle n'aie le temps de répliquer. « Mais maman, si t’embrasse la bouche d’Aileas alors c’est qu’elle est ton n’amoureuse ? » Les deuc adultes rigolèrent doucement alors que Nastazià plaisantait avec sa fille en lui pinçant le nez. « Mais non, mais non… » Cette fois la tanzanienne pu enfin en caser une, pour continuer sur cette touche de bonheur qui s'était installé. « Tu vois Marylis, maman est tellement contente de te voir qu'elle veut me faire un énooorme câlin à moi aussi. » Dit-elle en ouvrait les bras pour les prendre dans ses propres bras. Câlin groupé. « Merci Aileas, j'ai retrouvé ma mamaaaaaan ! » Aileas desserra son étreinte et répondit simplement. « De rien ma choupette. Au fait vous voulez qu'on aille quelque part ? J'peux vous payer une gaufre ou un truc du genre ? » Proposa-t-elle avec malice.


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MessageSujet: Re: welding a family welding a family EmptyMer 7 Nov - 23:32





L’amitié c’est quoi ? Parfois je me le demandais. Ça va, ça vient, ça trahit et j’en passe. Surtout lorsque l’on a du fric comme j’en avais. Je savais que la plus part des gens ne s’intéressait qu’à moi pour mon compte en banque et autant dire que c’était parfois frustrant et vexant de voir comme la race humaine pouvait être. Mais ce que j’avais appris depuis quelques temps, c’était pour sûr que la vraie amitié se distingué de suite de la fausse. Lorsque l’on rencontre la personne qui vous tient à cœur, on le sait de suite. Et c’était bien ce qui s’était produit lorsque j’avais rencontré Aileas. Elle était une meilleure amie, la toute première de toute ma vie, elle était à la fois une meilleure amie et une confidente, elle était… comme une grande sœur. Je la connaissais depuis peu, mais je lui vouais une amitié forte, loyale, sincère et franche. Elle savait parfaitement ma situation et c’est si facile de parler avec elle que s’en était parfois déconcertant. Mais le fait qu’elle puisse organiser un rendez-vous arrangé, de façon à ce que je puisse voir ma fille chérie, autant dire que là, c’était la meilleure de toute. Qui ferait ça ? Qui enfreindrait les règles ? Pas grand monde, et pourtant elle, elle le faisait avec aisance et simplicité. Je l’admirais surement pour cela. Je savais que tout ce qu’elle faisait pour moi, jamais, non ô grand jamais, je n’aurais assez de temps dans ma vie pour la remercier tellement tout ce qu’elle faisait été parfait. J’avais envie de pleurer, pleurer parce que j’étais enfin réuni avec ma fille et surtout en dehors de chez Lucy, elle était là dans mes bras, je la serrais comme jamais, tout comme je le faisais avec Aileas. « Tu vois Marylis, maman est tellement contente de te voir qu'elle veut me faire un énooorme câlin à moi aussi. » Riant sans pouvoir m’en empêcher, je la pris dans mes bras, quand elle fit de même pour faire un câlin collectif. C’était un moment qui, je le savais, serait gravé dans mon cœur à tout jamais. Il me donnait envie de pleurer tant c’était beau et parfait. Le fait qu’Aileas soit si gentille avec moi, qu’elle puisse me comprendre. Je portais à son égard une amitié profonde et sincère que rien ni personne ne pourrait briser. Pas besoin de me poser des questions ou autres, mon cœur le savait. Aileas était la meilleure amie qui soit pour moi. « Merci Aileas, j'ai retrouvé ma mamaaaaaan ! » Les larmes me montèrent alors aux yeux. Mon cœur lui se serrait petit à petit, comme une forte envie de pleurer. Oui, le fait que je puisse retrouver ma fille, l’avoir dans mes bras, sentir ses cheveux chatouiller ma peau, son odeur titiller mes narines, sa chaleur enveloppant mon corps.

Oui, Marilys était bien là. Je ne voulais plus la relâcher, je ne voulais plus la perdre de vue, c’était tellement bon de la voir en dehors de chez Lucy, de pouvoir enfin, vivre comme si de rien était. Je ne trouverai surement jamais les mots pour remercier infiniment ma petite Aileas, mais en tout cas, je lui devais beaucoup pour ce petit cadeau qui réchauffait mon cœur et m’emplissait de joie. Je me sentais apaisée, totalement légère, ailleurs, comme si plus aucun problème ne m’entourait, comme si tout était parfait. Oui, l’espace d’un instant, je me sentais bien. « De rien ma choupette. Au fait vous voulez qu'on aille quelque part ? J'peux vous payer une gaufre ou un truc du genre ? » Me reculant à mon tour, alors qu’elle desserré l’étreinte, un soupire s’échappa d’entre mes lèvres, alors que mon regard se plongea lui dans celui de ma meilleure amie. Mes lèvres n’avaient pas été aussi étirées depuis si longtemps. Un sourire franc, sincère qui sortait du cœur. Oui, décidément aujourd’hui c’était une bonne journée, elle commençait terriblement bien. Pourtant, je n’avais pas les moyens de parler, ma gorge, elle nouée sous l’émotion, me disait clairement que si j’ouvrais la bouche j’allais pleurer. Je n’y pouvais rien. Remontant un peu plus Marilys dans mes bras en lui fourrageant les cheveux d’une main, j’attendais qu’elle réponde quelque chose, car je savais bien que des trois, c’était surtout elle la plus gourmande. « Moi je veux plein de gaufre ! Avec du chocolat dessus ! Dis Aileas je pourrais en avoir deux grosses moi ? » Ne pouvant pas m’empêcher de rire, je lui pinçais lentement le nez avant de rire encore plus. Ne surtout jamais laisser trainer des gâteaux dans l’appart, vous pouvez être sûr qu’ils seront dévorés par la petite… C’était affolant, et je me demandais même d’où elle sortait ce côté si goinfre et gourmand. Surtout de son père. Que je ne connaissais pas puisque c’était qu’un simple coup d’un soir. « Mange déjà une gaufre et après on en reparlera ! Grosse goinfre ! » soufflai-je en attrapant le bras de ma meilleure amie. L’enroulant autour du sien, je me mis à marcher pour quitter les lieux et surtout la petite foule qui nous encerclait pour voir les lions. « T’aurai pas dû dire le mot gaufre devant elle, t’as oublié que c’est un gouffre sans fin ? Je ne sais pas d’où je l’a sors mais elle pourrait nous ruiner en sucrerie… » soufflai-je avant de rire doucement en resserrant mon bras autour du sien. J’étais tellement contente et heureuse d’être là… Là avec elles deux qui me rendaient terriblement heureuse comme pas permis.



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MessageSujet: Re: welding a family welding a family EmptyJeu 8 Nov - 9:34

La petite faisait vraiment monter les larmes aux yeux de sa mère, c'était tellement un moment émouvant pour toutes les filles présentes ici. Aileas se demandait ce que cela changeait d'être mère à être une personne normale, enfin normale, sans enfants. Peut-être sa façon de penser, peut-être sa façon d'être. Les hormones doivent jouer là dessus. Elle est très loufoque et parfois son frère lui fait des remarques gentilles pour le lui rappeler et surtout pour lui dire qu'il ne faut pas dépasser les bornes tout de même. Mais là, elle ne voulait pas passer pour une jeune femme méchante et égoïste, et puis c'était tout à fait dans sa nature de faire ce genres d'actions bénéfiques pour les relations. Quand une relation avec la brune commence à se dégrader déjà, elle le remarque tout de suite et ensuite elle s'arrange pour qu'elle s'arrange. C'est pour cela que les relations avec William -son frère- sont un peu revenues à la normale; depuis un certain temps il sortait avec une jeune femme prénommée Lexie, et Aileas avait un très mauvais souvenir de Tamsin ayant tout à fait ravagé le coeur de son frère; elle l'avait abandonné juste une semaine avant le mariage et William avait emporté sa soeur dans sa chute, trop démoli. La jeune brune avait dut faire des efforts considérables pour le ramener à une vie normale. Mais depuis que cette Lexie est là, la tanzanienne l'avait assez souvent mise à l'épreuve et elle avait peur pour son frère. Enfin bon, par la suite leur relation avait un peu dégringolé et dernièrement elle avait organisé une "Golf Party" à Central Park et elle espérait que leur relation se reconstituerait. Enfin bon, assez parlé de sa petite famille; on a tous des soucis familiaux, on ne vivrait pas sans. Donc voir sa meilleure amie avec sa fille dans un moment de pure joie était vraiment réconfortant pour Aileas, elle sentait en elle cette impression d'avoir fait une bonne action pour l'humanité même si ce n'était que pour Nastazià et Marilys.

« Moi je veux plein de gaufre ! Avec du chocolat dessus ! Dis Aileas je pourrais en avoir deux grosses moi ? » Marilys ou le ventre pattes reprenait surface. Aileas avait l'habitude de faire des gâteau ou des cookies (d'ailleurs elle était presque quasiment sure que dans sa boîte les contenant se trouvant dans son sac, il y en avait deux de moins) et à chaque fois la petite main de la fille de Nastazià venait chiper une part ou un cookie. Il fallait mettre des caméras de surveillance dans l'appartement ! « Mange déjà une gaufre et après on en reparlera ! Grosse goinfre ! » Sa meilleure amie lui ôta les mots de la bouche. La jeune russe ne perdit pas son temps et elle enroula son bras autour de celui de la tanzanienne et elles commencèrent à se retirer tranquillement du zoo de Central Park. « T’aurai pas dû dire le mot gaufre devant elle, t’as oublié que c’est un gouffre sans fin ? Je ne sais pas d’où je l’a sors mais elle pourrait nous ruiner en sucrerie… » La jeune brune ria doucement, oui elle le savait cela, il ne fallait surement pas laisser traîner n'importe quelle sucrerie dans l'appartement car on peut être sur qu'elle finira dans le ventre de Marilys. Ainsi les trois jeunes filles s'en allèrent, d'un pas tranquille. « Je sais, je sais. Mais je ne peux jamais résister à ses petits yeux d'ange! », se justifia-t-elle en rigolant doucement. Rapidement, elles trouvèrent une boulangerie dans Central Manhattan, ne faisant pas de gaufres mais de délicieux pains au chocolat. C'était certainement moins calorique. Enfin bon, elles s'installèrent sur un banc dans un petit parc pour les enfants avec des toboggans et Marilys se jeta littéralement dedans. Les deux jeunes femmes commencèrent à parler tranquillement. « Bon alors ma poulette, quoi de neuf dans ta petite vie ? Moi j'ai pas tant de choses que ça à te raconter c'était surtout pour te faire venir. Ah si, Angus, tu sais mon collègue, me fait toujours la cour... », trouva-t-elle. Elle attendit ensuite que son amie lui réponde et elle jeta un rapide coup d'oeil vers la petite car elle était tout de même sous sa responsabilité. Elle releva aussi une mèche de cheveux qui lui cachait la vue avant de revenir plonger ses yeux dans ce de Nastazià et de l'écouter.
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MessageSujet: Re: welding a family welding a family EmptyDim 11 Nov - 17:52





« Je sais, je sais. Mais je ne peux jamais résister à ses petits yeux d'ange! » Riant doucement, je levais vaguement les yeux au ciel. Cette petite savait y faire pour ne pas que les adultes lui résistent. Je ne savais pas comment elle s’y prenait, mais le fait est, qu’elle savait y faire. Si seulement j’avais été comme elle, peut-être que j’aurai eu une toute autre vie ? Je n’en savais rien, mais ça aurait été drôle de savoir… « Elle va te bouffer une fois qu’elle sera plus grande, j’espère qu’elle deviendra pas une délinquante… va savoir ce qu’il y a dans les gêne du géniteur, j’aurai du poser la question… » soufflai-je l’air de rien avant de rire à nouveau. Marchant tranquillement nous arrivâmes bien rapidement dans une boulangerie du central Manhattan. Je laissais la petite passer une commande, ils faisaient de très bon pain au chocolat, ce qui était une bonne chose et lui permettait d’oublier les gaufre que ma très chère Aileas avait annoncé. Marilys aurait pu faire une crise si elle n’avait pas vu les pains au chocolat. Une vraie capricieuse. Une fois les sachets en main, je suivis le mouvement pour nous installer au parc afin de pouvoir déguster pleinement nos petits encas. Mais à la vue des jouets la petite en oublia carrément celui-ci et parti jouer. Tant mieux, elle le mangerait plus tard. « Bon alors ma poulette, quoi de neuf dans ta petite vie ? Moi j'ai pas tant de choses que ça à te raconter c'était surtout pour te faire venir. Ah si, Angus, tu sais mon collègue, me fait toujours la cour... » Relevant le regard vers elle, j’haussais un sourcil à son histoire avec Angus avant de rire doucement. Attrapant une cigarette de mon paquet je m’en allumais une rapidement avant de poser le dit paquet et le briquet sur le banc au cas où la jeune femme à mes côtés en voudrait. Soufflant la fumée avant de relever le regard vers le ciel, je me mis à réfléchir. Qu’est-ce qu’il y avait de neuf dans ma vie ?

Bonne question, je ne le savais pas moi-même… C’était assez complexe et bizarre. Toujours en mode, diminution de drogue, mais j’en revenais toujours au même point, même si je tenais plus longtemps sans me droguer… ça allait me prendre pas mal de temps toute cette merde. « Bah, tu sais… Toujours dans le désespoir quoi… Je tente de m’en sortir mais ce n’est pas si facile, même si je tiens bien plus longtemps sans drogue maintenant… » Marmonnai-je doucement en évitant son regard pour me focaliser alors sur ma fille. Elle était ma force, elle était tout ce qu’il me restait de plus cher, et j’espérais ne jamais la perdre. Je ne le supporterai pas et ça je le savais bien. Plissant le nez rien qu’à cette idée, j’avais envie de vomir et de pleurer. Mais non, je n’en ferais rien. Soupirant faiblement, je pris une autre bouffée de ma cigarette avant de croiser les jambes et m’affaler un peu plus sur le banc. « Alors comme ça Angus te fait la cour ? Il l’a fait toujours de façon si bizarre ? » Demandai-je en tournant un vague regard vers elle, me retenant doucement de rire. Mais mon rictus sur mes lèvres me trahissait plus qu’autre chose. J’aimais bien qu’elle me raconte ses soucis, ses peines et ses moments de joies. Après tous les amies c’est fait pour cela, et parler avec elle était tellement facile, s’en était presque déconcertant. Raclant ma gorge je me redressais faiblement avant de la détailler un court instant. « Et toi ? à part Angus, comment sont tes élèves en ce moment ? Pas trop chiant ? Ça doit être barbant d’être prof quand même… » Soufflai-je en l’imaginant en tailleur devant un bureau et une tonne d’élève. Fallait que je la voie au boulot… Oui une visite surprise, je voulais absolument la voir à l’œuvre, voir comment elle s’en sortait et tout ça… Elle avait l’air de faire prof sexy… Oui ! J’étais même sûre que ses élèves bavaient pour elle ! Après tout, Aileas est une femme sublime, qui aurait même pu faire mannequin tout comme moi…
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MessageSujet: Re: welding a family welding a family EmptyMer 21 Nov - 21:32

« Elle va te bouffer une fois qu’elle sera plus grande, j’espère qu’elle deviendra pas une délinquante… va savoir ce qu’il y a dans les gêne du géniteur, j’aurai du poser la question… » A vrai dire cela n'étonna pas vraiment Aileas, c'était même très possible que la petite Marilys aie hérité un peu trop tôt des "qualités" de son père. Mais elle verrait bien au cours du temps si celle ci reste un petit ange ou tombe du côté obscur de la force. Elle rigola de bon coeur. Après s'être assises sur ce petit banc tandis que la fille de Naztazià jouait avec de nouvelles amies, la brune avait questionné son amie pour en savoir plus sur elle. La mannequin sortit son paquet de cigarettes et en prit une. La brune ne fume pas spécialement mais quand l'envie lui prend, elle fume mais arrive à s'arrêter, trop forte. Elle décida qu'elle voulait fumer aujourd'hui alors elle se servit et s'alluma une cigarette. « Bah, tu sais… Toujours dans le désespoir quoi… Je tente de m’en sortir mais ce n’est pas si facile, même si je tiens bien plus longtemps sans drogue maintenant… » A vrai dire, entre les deux jeunes femmes le sujet de la drogue que prenait la blonde n'était pas aussi souvent que cela mis sur le tapis alors dès qu'elle en avait l'occasion, Aileas lui en parlait, il ne fallait pas qu'elle la rate. Elle s'inquiétait pour Nastazià, elle n'y pouvait rien, c'était sa meilleure amie. Elle tira une bouffée de sa cigarette, avant de répliquer, en tournant la tête pour pouvoir plonger son regard dans celui de sa meilleure amie. « Ouais, c'est de mieux en mieux ! Mais pourquoi... Tu n'arrêtes pas tout court ? Pourquoi tu veux pas aller en désinto, je pense que ça te ferrais le plus grand bien, et puis tu pourras voir plus souvent Marilys ! Je me fais du soucis pour toi ! », s'exclama-t-elle.

« Alors comme ça Angus te fait la cour ? Il l’a fait toujours de façon si bizarre ? » Aileas rigola à nouveau tandis que Nasty s'était un peu plus affalée sur le banc. Elle répliqua aussitôt. « Oh bah oui, il a encore tenté d'intervertir nos courriers avant hier. » Sa meilleure amie tentait de cacher son sourire, car effectivement Angus avait une façon étrange de faire la cour à une demoiselle, mais cela faisait bien rire notre tanzanienne. Mais cela ne nuisait en aucunes manières à son travail. Elle aime son travail, elle le vit à fond. Elle ne peut pas rester une heure assise sans bouger alors elle n'aime pas les contrôles, et puis même. Elle aime voir les réactions de ses élèves lorsqu'ils comprennent enfin quelque chose, et puis leurs parenthèses totalement hors contexte... C'est fabuleux. « Et toi ? à part Angus, comment sont tes élèves en ce moment ? Pas trop chiant ? Ça doit être barbant d’être prof quand même… » Aileas tira une bouffée de sa cigarette et scruta le ciel en songeant. Elle haussa les épaules. Non pas tant que cela. Chaque jour est différent, les élèves sont de plus ou moins bonne humeur chaque jour et elle de son mieux pour les aider dans leurs soucis extrascolaires ou autres. « Tu sais pas tant que ça, on s'y fait. Et toi, t'as fait des shoots dernièrement ? Faudrait que je passe un de ses autres, j'aimerais bien apprendre... » Elle sourit, en s'imaginant prendre la pose, mitraillée de clichés.
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MessageSujet: Re: welding a family welding a family EmptyJeu 22 Nov - 14:32





« Ouais, c'est de mieux en mieux ! Mais pourquoi... Tu n'arrêtes pas tout court ? Pourquoi tu ne veux pas aller en désinto, je pense que ça te ferrais le plus grand bien, et puis tu pourras voir plus souvent Marilys ! Je me fais du souci pour toi ! » Plissant doucement mon nez, je relevais le regard vers le ciel pour le contempler sans rien dire. Restant silencieuse, je repensais à ses paroles. Ce n’était pas aussi facile… Je ne voulais pas aller dans ce genre de centre… Je n’aurais droit à aucun contact avec l’extérieur tout le temps de mon hospitalisation là-bas… Ne plus voir ma fille était un vrai calvaire, je ne supportais pas d’être éloignée d’elle, et inversement, elle tenait affreusement à moi. En même temps, c’était ma fille et elle avait besoin de sa mère. Elle était privée de père vu qu’elle n’en avait pas, alors elle ne voulait pas perdre sa mère. Au vu de son âge et de son intelligence, autant dire que ma petite Marilys était bien plus évoluée que les enfants du même âge. « Je sais… Je sais… Mais je pourrais plus voir la petite si je vais là-bas… les visites sont interdites ! Puis… Avec le contrat que j’ai signé et tout pour Prada tu te rends pas compte, partir pour plusieurs semaines ils vont m’arracher la tête… » marmonnai-je en plissant le nez. Tout le monde pense que le métier mannequin est facile, qu’on soit simplement poser et sourire devant l’objectif, mais c’est faux ! Ils ne connaissent pas l’arrière du métier et j’en passe… Par la suite, je lui demandais des nouvelles du petit Angus, pour savoir s’il l’a dragué toujours de façon… Bizarre. « Oh bah oui, il a encore tenté d'intervertir nos courriers avant hier. » Haussant un sourcil, je détaillais ma meilleure amie avec une folle envie de rire à en perdre mon souffle. Fallait dire qu’il en tenait une couche le petite Angus ! Je ne savais même pas que ce genre de méthode se faisait encore ! Il était bien le seul à faire ce genre de truc bien stupide et idiot… De nos jours fallait aller voir la personne et lui parler, pas faire trainer les choses pendant des lustres et des lustres comme il était en train de faire… Le pauvre, il devait être timide pour agir de la sorte.

En espérant tout de même qu’un jour il puisse tout de même franchir le pas et avouer son amour à Aileas… Sinon, elle y était encore pour pas mal d’années-là ! « Ma pauvre t’es pas sortie de l’auberge… Tu crois qu’un jour il se décidera à venir te voir en face ? » demandai-je curieuse, tout en riant doucement. Non mais sérieusement, ce petit Angus en tenait une sacré couche à lui tout seul… Par la suite, tout en fumant et m’avachissant encore plus sur le banc, je lui demandais alors comment se passait les cours et ses élèves. Après tout elle était prof, alors ça ne devait pas être facile tous les jours… « Tu sais pas tant que ça, on s'y fait. Et toi, t'as fait des shoots dernièrement ? Faudrait que je passe un de ses autres, j'aimerais bien apprendre... » J’avais tout de même du mal à voir Aileas en professeur, un jour faudrait vraiment que je m’immisce dans son école afin de la voir à l’œuvre. J’aimerai bien voir sa tête lorsqu’elle me verrait apparaitre au pas de la porte. J’étais surtout sûre de me faire enguirlander comme pas possible, surtout vu la cohue que je créerais en venant… Une mannequin à l’école j’osais à peine imaginer les élèves… Tirant longuement sur ma cigarette, je me mis doucement à rire. Si je ramenais Aileas à mon boulot, elle était sûre de pouvoir trouver du boulot, elle était parfaite pour faire du mannequinat, elle avait un beau corps, un beau visage, autant dire qu’elle ferait vite succès même… « Moi à ta place, j’aurai surement déjà tué un gosse ou deux avec ma patiente… Moi ça va, en ce moment je ne fais pas grand-chose, j’ai pris des vacances histoire de me reprendre un peu, mais j’ai un grand shoot pour Prada pour la collection du printemps qui arrive, alors je risque d’avoir pas mal de boulot… » Marmonnai-je doucement en plissant lentement le nez. Si je le pouvais je prendrais bien plusieurs mois de vacances, mais je ne le peux pas. Mon contrat m’interdit de prendre plusieurs semaines d’affilé de vacances, autant dire que j’étais coincée pour pas mal de temps… « Ça serait un plaisir de t’avoir sur le lieu du travail ! Tu risques de te faire embarquer pour un shoot ou deux ! T’es tellement belle… tu sais que tu serais parfaite pour le mannequinat ? » avouais-je en tournant un regard vers Marilys, la regardant alors jouer avec d’autre enfant.


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MessageSujet: Re: welding a family welding a family EmptyDim 2 Déc - 21:32

« Je sais… Je sais… Mais je pourrais plus voir la petite si je vais là-bas… les visites sont interdites ! Puis… Avec le contrat que j’ai signé et tout pour Prada tu te rends pas compte, partir pour plusieurs semaines ils vont m’arracher la tête… » Aileas sourit faiblement. Franchement elle ne comprenait pas. Si elle allait en désintoxication au moins juste après son nouveau contrat, comme ça pendant deux semaines elle ne voit pas sa fille, mais après ce n'est que deux petites et misérables semaines après elle pourra la voir autant qu'elle et même peut-être en avoir la garde exclusive ! Elle ne voyait pas comment elle n'arrivait pas à se faire à l'idée que tant elle serait shooter la mère de Nastazià ne lui ferrait pas confiance. D'ailleurs la tanzanienne aurait fait la même chose, c'était même assez héroïque ce qu'elle faisait la petite mamie. Elle protégeait sa petite fille. Mais elle était partagée certainement, entre sa petite fille et sa fille. Se faire arracher sa gamine doit être un déchirement. « Réfléchis. Tu finis ton truc Prada là. Ensuite dès que t'as finis tu cours en désintoxication et pendant aller... Deux semaines tu vois pas Marylis. Ça va c'est pas si long que ça. Et ensuite tu obtiens sa garde exclusive à condition de ne pas sombrer à nouveau dans la drogue et j'y veillerais. Je prendrais soin de la tête blonde ! Je veux que tu ailes mieux et je ferrais n'importe quoi pour que cela arrive ! » Elle mima les étapes rien que pour illustrer ses paroles, avec une main, l'autre étant occupée à tirer sa cigarette. Elle fronça des sourcils, légèrement contrariée que Nastazià ne comprenne pas sa logique des choses.

Le discussion revint sur Angus. « Ma pauvre t’es pas sortie de l’auberge… Tu crois qu’un jour il se décidera à venir te voir en face ? » Aileas sourit avant d'hausser des épaules en contemplant le ciel. Oui peut-être mais ce n'était pas sûr. Il faudrait bien qu'un jour il se lance tout de même, mais elle a tout son temps. « Je pense que oui. Il sera bien obligé. S'il faut je lui tendrais un perche ! » Elle s'imagina alors lui tendre une vraie perche dans un piscine. Autant dire qu'elle prenait ses expressions au pied de la lettre ! Elle rigola faiblement avant de prendre une bouffée de fumée venant de sa cigarette et d'écouter sa meilleure amie. « Moi à ta place, j’aurai surement déjà tué un gosse ou deux avec ma patiente… Moi ça va, en ce moment je ne fais pas grand-chose, j’ai pris des vacances histoire de me reprendre un peu, mais j’ai un grand shoot pour Prada pour la collection du printemps qui arrive, alors je risque d’avoir pas mal de boulot… » La brune afficha un air très compréhensif en hochant doucement la tête, tout en regardant dans les yeux la blonde. Être mannequin semblait ne pas être si difficile que cela mais pourtant physiquement -plus la drogue- cela devait être assez dur à supporter. En plus des régimes et tout ça, Aileas serait certainement morte de faim au bout de deux semaines. « Je me doute... Ça a l'air fatiguant. » Elle fit un faible sourire avant de replonger ses yeux dans ceux de la russe. « Ça serait un plaisir de t’avoir sur le lieu du travail ! Tu risques de te faire embarquer pour un shoot ou deux ! T’es tellement belle… tu sais que tu serais parfaite pour le mannequinat ? » Le regard de la tanzanienne s'attendrit et elle pencha la tête avec un sourire non dissimulé. Elle se serait presque sentie rougir sous ses compliments. A vrai dire être mannequin plairait certainement à Aileas. Elle aime la diversité, alors oui pourquoi pas. A l'occasion Nasty pourrait lui montrer quelques ficelles du métier. « Merci t'es trop chou. Oui à l'occasion !Quand est ton prochain shoot ? Que je voie si je peux me libérer... » Elle lui sourit avant de prendre une des dernières bouffées de sa cigarette. C'est fou comme les bonnes choses sont éphémères !
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MessageSujet: Re: welding a family welding a family EmptyJeu 6 Déc - 14:30





« Réfléchis. Tu finis ton truc Prada là. Ensuite dès que t'as fini, tu cours en désintoxication et pendant aller... Deux semaines tu ne vois pas Marylis. Ça va ce n’est pas si long que ça. Et ensuite tu obtiens sa garde exclusive à condition de ne pas sombrer à nouveau dans la drogue et j'y veillerais. Je prendrais soin de la tête blonde ! Je veux que tu ailes mieux et je ferais n'importe quoi pour que cela arrive ! » Soupirant longuement, je me pinçais les lèvres avant de regarder vers le ciel. C’était tellement compliqué, mais elle n’avait pas tort… J’avais réellement besoin de faire une cure… Mais j’étais surement trop faible pour faire ce choix toute seule et être séparé de tout le monde autant de temps… J’avais envie de pleurer tout à coup, parce que j’avais une amie, j’avais Aileas qui s’occuperait de moi et ça ce n’était pas à négliger… Non… Reniflant fortement, je tournais un regard vers ma meilleure amie, en souriant. Les lèvres tremblantes, j’essayais de lutter pour ne pas craquer. Autant dire que c’était dur. Me frottant les yeux rapidement pour chasser les larmes qui commençaient à monter, je lâchais un rire nerveux. « Tu vas me faire pleurer ! Tu sais, je ne sais pas ce que je ferais sans toi… Je suis quand même contente de t’avoir rencontré… T’es une fille en or, tu mérites tellement une vie parfaite ! Je crois que je t’aime Aileas ! » Lâchai-je en la regardant du coin de l’œil pour voir sa réaction. Certes je l’aimais, mais ce n’était pas un amour, amour quoi ! C’était de l’amimour si je pouvais dire. Rah c’était ma best chérie ! L’irremplaçable Aileas ! Par la suite on se mit à parler de son dragueur, de ce petit homme qui l’a dragué d’ailleurs… de façon bizarre, il fallait l’avouer. Il serait peut-être temps de sauter le pas… « Je pense que oui. Il sera bien obligé. S'il faut je lui tendrais une perche ! » Imaginant une vraie perche, je ne pu me retenir de rire. Mince, qu’est ce qu’elle ne me mettait pas en tête ! Mais c’est bien pour cela que je l’aimais et l’adulais ma petite Aileas. Elle était tout pour moi, ma meilleure amie. « Arrête, je t’imagine avec une vraie perche accrochée au bout un papier lui disant d’arrêter de te draguer et de passer à l’acte ! » Lâchai-je en riant doucement avant de lever la tête. Elle avait déjà pas mal de chance de se faire draguer. Il le faisait depuis tellement longtemps qu’au moins on pouvait voir que les sentiments de cet homme étaient sincères. Par la suite, on se mit à parler de nos boulots respectifs, à savoir, elle professeur d’histoire et géographie et moi mannequin.

« Je me doute... Ça a l'air fatiguant. » Soupirant lentement, je portais ma main sur le dessus de sa tête pour lui caresser les cheveux. Elle n’avait pas idée… C’était éreintant et bien fatiguant. Mais bon tous les métiers étaient fatiguant à leur façon. Tout dépendant de la personne aussi. Sans plus attendre je lui fis remarquer qu’elle serait bien, elle pour le monde du mannequinat. « Merci t'es trop chou. Oui à l'occasion ! Quand est ton prochain shoot ? Que je voie si je peux me libérer... » Quand était mon shoot ? Bonne question, je savais qu’il avait lieu dans quinze jours, mais les jours exactes ça c’était un pur mystère, je regardais toujours deux trois jours avant… J’étais une vraie tête en l’air. Plus ça allait et moins j’avais envie de poser dans le mannequinat. Je savais que dans le futur, je cesserai et je ferai bien un autre boulot. J’adorais peindre alors je savais que je pourrais me reconvertir à tout moment. « Dans une quinzaine de jour par-là, je te dirais la date exacte par message, parce que là, tu me poses une grosse colle… » soufflai-je avant de rire faiblement. J’avais assez d’argent pour vivre tranquillement. Entre mon métier, l’argent que j’avais eu lorsque mes parents moururent, plus l’argent que me donner quotidiennement mon grand-père, j’étais loin de crouler sous des dettes ou de finir dans la rue. Inspirant profondément, je tournais un vague regard vers ma meilleure amie, avant de lui sauter dessus et de la prendre dans mes bras. La serrant fortement contre moi, je claquais un bisou sur sa joue avant de rire doucement. J’étais folle d’elle, de ma meilleure amie. Elle était terriblement importante pour moi, ce n’était pas nouveau, mais parfois j’avais besoin de câlin et de papouille. Alors je ne me gênais pas pour le faire. Après tout j’avais le droit non ? « Roh j’ai envie de gros câlins ! Allez, tu m’en fais ? Serre-moi fort dans tes petits bras ma brunette ! » Lâchais-je avant de rire et de lui faire des chatouilles l’air de rien. De vraies gamines. Dans le fond, pourquoi grandir ? On était bien comme deux gamines là, non ?
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MessageSujet: Re: welding a family welding a family EmptyJeu 6 Déc - 21:05

« Tu vas me faire pleurer ! Tu sais, je ne sais pas ce que je ferais sans toi… Je suis quand même contente de t’avoir rencontré… T’es une fille en or, tu mérites tellement une vie parfaite ! Je crois que je t’aime Aileas ! » Ses paroles avaient dût particulièrement toucher Nastazià. Aileas voulait le mieux pour sa meilleure amie et son état d'après elle se dégradait. la drogue n'est jamais la solution aux problèmes de toute manières et sombrer dans ce genres de choses n'est pas vraiment conseillé. Certes, perdre son enfant est la pire des choses qui pourrait jamais arriver à une mère et cela reste tout à fait compréhensible, mais cela fait un peu trop longtemps que la blonde n'a pas eut de vie "normale" sans soucis de drogue et tout cela. Bien sûr, la mannequin n'entendait pas par ses paroles qu'elle aimait la brune en amour genre 'I'm in love with you' mais plutôt 'je t'aime tellement'. Une marque d'affection en quelques sortes. « Mais non pleures pas ! Faut te prendre en main ma puce ! Moi aussi je t'aime tellement... » Elle sourit avant que la conversation ne se centre sur Angus. Ah sacré Angus. « Arrête, je t’imagine avec une vraie perche accrochée au bout un papier lui disant d’arrêter de te draguer et de passer à l’acte ! » Les deux jeunes femmes ne purent s'empêcher de rire de bon coeur. Elles devaient être connectées ou bien tellement proches qu'elles pensaient aux même choses, c'était assez déconcertant mais amusant à la fois. Malgré tout, Aileas ne sut pas quoi répondre à cette affirmation et elles se mirent à reparler du métier de Nasty.

« Dans une quinzaine de jour par-là, je te dirais la date exacte par message, parce que là, tu me poses une grosse colle… » La russe rigola faiblement tandis que la brune se contentait de sourire. Ce n'était pas dans ses habitudes de faire ce genres de choses mais apparemment elle l'avait fait sans faire exprès, Nasty lui pardonnerait forcément ! « Haaaa bah ça va alors, on a le temps tu me tiendras au courant de toute manière hein ! Il faut que tu m'inities je vais pas m'en sortir toute seule ! » Elle fit un grand clin d'eil à son amie avant de jeter un petit regard vers Marilys qui s'amusait comme une folle sur le tourniquet. Cela fit sourire la brune. Alors que celle ci surveillait la petite blondinette, Nastazià se rua sur Aileas et la tanzanienne fit un bon d'au moins trente centimètres prise d'une grande surprise. La mannequin lui claqua ainsi un énorme baiser sur la joue de la brune avant de se mettre à rigoler puis de déclarer. « Roh j’ai envie de gros câlins ! Allez, tu m’en fais ? Serre-moi fort dans tes petits bras ma brunette ! » Sur ses paroles la blonde se mit à lui faire des chatouilles de partout et Aileas ne put s'empêcher de rire en lui demandant d'arrêter. Enfin le calvaire fini elle reprit deux secondes son souffle avant de s'exécuter et de prendre sa meilleure amie dans ses bras et de serrer très fort, mais pas trop pour ne pas l'étouffer. Elle sourit tandis qu'elle aussi claquait un baiser sur la joue de la russe. Mais elle se rendit compte qu'elle avait laissé une trace de rouge à lèvres et elle l'effaça en rigolant. « Voilà ta dose je t'en referais pleiiin ! »

Elle sourit de toutes ses dents avant de jeter sa cigarette qu'elle avait totalement oubliée mais tant pis. Elle sortit son portable de sa poche et constata l'heure avec affolement. Elle se leva précipitamment tout en faisant des mimiques étranges. « Merdouille ! Je suis en retard ! Si ta mère ne me tues pas je suis quelqu'un de chanceux ! » Elle parlait de la grand mère de Marilys. Elle n’était pas censée l'emmener à Central Park mais si elle découvrait qu'elle y était allée avec la petite pour y retrouver sa mère elle était une femme morte. Elle coura chercher la tête blonde en la prenant par la main et la ramena vers sa mère. « On y va ma petite puce, dis au revoir à maman ! » Un air très triste s'afficha sur le visage d'ange de la petite. « Au revoir maman, je t'aime très fort. » Elle s'aggripa à sa mère et lui colla deux gros baisers. Son air triste incita Aileas à prononcer ses mots. « Ne t'inquiètes pas Marilys, on rendra visite à maman très bientôt. » Sur ses paroles la brune arracha sa fille à sa mère, en ayant fait la bise à Nastazià, la laissant dans un piteux état totalement abasourdie de la tournure des choses.
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MessageSujet: Re: welding a family welding a family EmptySam 15 Déc - 12:06





« Mais non pleures pas ! Faut te prendre en main ma puce ! Moi aussi je t'aime tellement... » Reniflant doucement, je soupirais avant de fixer le ciel bleu au-dessus de nos têtes. Non je n’allais pas pleurer, bien évidemment que non, mais il fallait sincèrement que je me prenne en main, il était tant que je mette le turbo pour accélérer les choses, sinon j’allais jamais m’en sortir et je ne pourrais pas profiter de ma fille… surtout avec Lucy qui était à mon gout trop mauvaise avec moi… Par la suite on se mit à parler de nos emplois du temps et du fait qu’elle pourrait être mannequin et qu’elle devrait donc venir lors d’un de ms shoots. Ce qui se fit puisqu’elle me demanda la date du prochain. Surement dans une quinzaine de jours, fallait que je regarde, je ne connaissais pas mon emploi du temps par cœur… « Haaaa bah ça va alors, on a le temps tu me tiendras au courant de toute manière hein ! Il faut que tu m'inities je ne vais pas m'en sortir toute seule ! » riant doucement, je lui donnais un faible coup de coude dans les côtes, rien de bien alarmant, pour ne pas qu’elle ait mal quand même, avant de soupirer faiblement. « Bien sur ma belle ! » j’allais pas la lâcher dans la fausse aux lions et la laissait se débrouiller toute seule quand même… Par la suite, je ne pus m’empêcher, il fallait que je fasse un câlin à Aileas et je le fis, bien évidemment en prenant le temps de la chatouiller un peu au passage. Elle en fit de même me serrant alors tout contre elle. « Voilà ta dose je t'en referais pleiiin ! » souriant franchement, je me reculais en lui lançant alors un regard tendre et affectif en même temps. J’aimais les câlins ! Fallait dire que j’étais tactile… ça arrangeait la chose… « Merdouille ! Je suis en retard ! Si ta mère ne me tues pas je suis quelqu'un de chanceux ! » Je n’avais pas moi-même vu l’heure… En effet, si Lucy s’apercevait de quelque chose, on pouvait être sûr que pour le coup, Aileas allait se faire gronder voir même virer, elle ne rigolait pas avec ça… Elle m’énervait d’ailleurs d’être si strict, comme si me priver de ma fille allait faire bouger plus vite les choses. Ça ne faisait qu’empirer ouais… « On y va ma petite puce, dis au revoir à maman ! » Baissant le regard sur Marilys qui était à présent avec nous puisque qu’Aileas était allée la chercher, un faible sourire se logea alors sur mon visage. Je n’avais pas envie de la voir partir… mais il le fallait malheureusement. « Au revoir maman, je t'aime très fort. » Me baissant pour l’agripper contre moi en même temps qu’elle, je sentis ses deux gros bisous sur mes joues avant de lui en donner tout plein sur son visage d’ange que j’aimais tant. Si je m’écoutais, je la pouponnerai non-stop tellement je l’aimais comme une folle. C’était ma fille après tout … « au revoir ma puce… » marmonnai-je doucement en lui tapotant alors la tête avec douceur. « Ne t'inquiètes pas Marilys, on rendra visite à maman très bientôt. » Plissant le nez, je tapais la bise à ma meilleure amie avant de les regarder partir, loin, trop loin de moi malheureusement. Soupirant longuement, je me laissais tomber sur le banc pour les regarder s’éloigner encore plus de moi, je détestais cette vue, je détestais les voir partir, sans que je ne puisse marcher à leur côtés… Je voulais tellement pouvoir voir ma fille quand bon me semblait, ça me paraissait lointain la dernière fois ou ça avait été le cas. Me mordillant les lèvres, j’attrapais une cigarette pour la porter à mes lèvres et l’allumer. J’allais la récupérer, coute que coute !



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