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First date between two strangers [pv Nastazià] -terminé-

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MessageSujet: First date between two strangers [pv Nastazià] -terminé- First date between two strangers [pv Nastazià] -terminé- EmptyMar 10 Jan - 0:29


It's just the beginning

When she was just a girl, she expected the world, but it flew away from her reach, so she ran away in her sleep. And dreamed of para-para-paradise, Para-para-paradise, Para-para-paradise, Every time she closed her eyes. When she was just a girl, she expected the world, but it flew away from her reach, and bullets catch in her teeth. Life goes on, it gets so heavy, the wheel breaks the butterfly. Every tear, a waterfall. In the night, the stormy night, she closed her eyes. In the night, the stormy night, away she flied. And dreamed of para-para-paradise, Para-para-paradise, Para-para-paradise, Whoa-oh-oh oh-oooh oh-oh-oh. She dreamed of para-para-paradise, Para-para-paradise, Para-para-paradise, Whoa-oh-oh oh-oooh oh-oh-oh. (x2) La, la, la... And so lying underneath those stormy skies. She'd say, "oh, ohohohoh I know the sun must set to rise" This could be Para-para-paradise Para-para-paradise Para-para-paradise Oh oh oh oh oh oh-oh-oh This could be Para-para-paradise Para-para-paradise This could be Para-para-paradise Oh oh oh oh oh oh-oh-oh-oh This could be Para-para-paradise Para-para-paradise This could be
Para-para-paradise Oh oh oh oh oh oh-oh-oh-oh


Y’avait-il une raison pour laquelle je me sentais aussi nerveux, en dehors des émotions puissantes qui me submergeaient, à l’idée des heures à venir ? Il me semblait bien que non. Non, je n’avais pas la moindre raison valable, d’être dans un tel état de nerf. Que je sache, je commençais à bien connaître Nastazià et j’étais bien conscient du fait qu’elle était une femme parfaite. Parfaite pour être la mienne, la femme de ma vie, celle avec qui je passerai le restant de mes jours. Penser cela à l’heure actuelle, n’était-il pas un peu précipité ? J’osais espérer que non mais étais bien conscient que si, pourtant. J’allais vite en besogne et était incapable de me ralentir. Tout simplement parce que j’avais pu réaliser, quelques temps plus tôt, qu’elle avait tout autant envie de moi que moi j’avais envie d’elle. Certes, ses sentiments n’étaient peut-être pas les mêmes ou pas aussi puissants que les miens. Mais c’était déjà un excellent début et je ne pouvais pas le nier. J’étais absolument fou d’elle et elle, de son côté, me voulait. Que demander de plus ? Rien, strictement rien. Tout me semblait on ne peut plus parfait ! J’étais sur le point de passer mon après-midi avec la femme dont j’étais fou amoureux depuis trop longtemps en secret, je ne pouvais donc pas me permettre de me montrer stressé et donc complètement idiot. Elle méritait le meilleur de moi-même, non ? Nous étions convenu de nous retrouver devant chez elle puis je nous emmènerai jusque dans un parc de la ville, pour un pique-nique rien qu’entre nous. Un repas qu’elle avait tenu à composer elle-même, en grande partie. Je n’avais rien d’autre à amener qu’un Tiramisu, fait maison. En toute logique, la jeune femme était au courant du fait que je mangeais comme quatre et que, par conséquence, il ne fallait pas apporter seulement un peu de nourriture. Quantité de nourriture, que je compensais avec une activité sportive forte et régulière. Pompes, abdo, footing et j’en passe. Bref, quand je ne travaillais pas, ni ne flemmardisais chez moi, je faisais du sport et encore du sport. Je n’étais pas le genre d’homme à se focaliser sur son physique et sa musculature. Mais je ne désirais pas vraiment finir avec une petite bedaine et tout ce qui allait avec. Je préférais rester mince et juste musclé. Assez pour éviter de me ridiculiser, lorsque j’en arrivais à me battre avec des crétins de première catégorie. Chose qui, il fallait bien le reconnaître, arrivait tout de même assez régulièrement. Au vu du métier que j’exerçais, il était d’ailleurs préférable de savoir se défendre, si je ne voulais pas finir mort dans un caniveau de la grande pomme.

Bien que j’eus travaillé en tournant dans les rues de New-York, jusqu’à cinq heures du matin, je me levai a dix heures heure, pour pouvoir arriver à l’heure que nous avions convenu tous les deux. Je devais passer la récupérer à onze heures trente et n’étais pas du genre à me laisser désirer lorsque j’étais attendu quelque part. Malgré mes cinq petites heures de sommeil, je me levai donc et pris une longue douche froide, pour terminer de me réveiller. Et terminai cette dure tâche de me réveiller, avec une tasse de café noir. J’enfilai enfin un jean taille basse noir, un débardeur ouvert sur les côtés gris et une large chemise à carreaux, blanche et rouge, que je gardai ouverte. J’enfilai ensuite par-dessus un perfecto clouté au col et une paire de rangers dans lesquelles je laissai l’ourlet de mon pantalon. Mon portable dans une poche, mes clés et mes papiers dans l’autre, je quittai mon appartement pour filer à ma voiture. Voiture à la fois discrète et puissante, que je m’étais évidemment offerte avec l’argent des ventes de drogues. Je conduisis rapidement, tant j’avais hâte de retrouver Nastazià et arrivai même en avance sur l’heure prévu. Nous avions dis onze heures trente mais j’arrivai avec un quart d’heure d'avance. Incertain quant à savoir si elle était déjà prête ou non, je préférai demeurer en bas de son immeuble, à attendre un peu histoire de ne pas avoir trop d’avance non plus. Finalement, je craquai cinq minutes plus tard et envoyai un message à Nastazià, pour la prévenir que j’étais déjà là. L’instant d’après, je descendis de voiture et allai l’attendre sur le trottoir, contre la portière côté passager. Lorsque je l’aperçu, un franc sourire étira mes lèvres. Elle n’eut pas le temps d’arriver jusqu’à moi, que j’allai à son encontre pour enrouler mes bras autour de sa taille et la soulever faiblement de terre sous la force que j’employai pour la serrer contre moi. « Ma petite russe ! » Marmonnais-je doucement en la reposant à terre, avant d’enfouir franchement mes mains dans ses cheveux pour les caresser lentement. Je me penchai pour déposer un lent baiser sur sa joue, avant de presser la mienne, contre, en fermant les yeux. « Tu m’as manqué jolie blonde. » Soufflais-je d’une voix douce, en souriant franchement. Je me détachai ensuite d’elle pour récupérer ses sacs et aller à l’arrière de ma voiture, pour les ranger dans le coffre. Je revins ensuite pour lui ouvrir la portière côté passager et lui faire signe de monter, sans me départir de mon léger sourire taquin.


Dernière édition par L. Rafaello Viscenti le Sam 5 Mai - 0:35, édité 1 fois
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MessageSujet: Re: First date between two strangers [pv Nastazià] -terminé- First date between two strangers [pv Nastazià] -terminé- EmptyMer 11 Jan - 23:19


₪ FIRST DATE BETWEEN TWO STRANGERS

Rafaello & Nastazià




« Maman ? » « Oui ma puce ? » « Tu pourras me faire des crêpes ? » « Avec du chocolat et de la chantilly ? » « Oh oui ! Oui, t’es la meilleure maman du monde ! » Un rire éclate dans la voiture, je relève le regard pour la voir à travers mon rétroviseur. Je croise son regard, je souris, elle est belle, très belle, son regard me rappel moi, elle me ressemble atrocement et j’en suis fière. J’inspire, je détourne le regard je cale ma tête sur l’appui tête puis un bruit survint des explosions, le trou noir. Je meurs.
Sursautant dans mon lit, je poussais un faible cri en tournant le regard circulairement dans la chambre. La sueur sur mon corps, je me pinçais les lèvres en posant mes mains sur mon visage avant de me laisser tomber sur le matelas, cherchant à calmer les battements de mon cœur, et ravaler mes larmes. Mes yeux fermés, je pensais a Rafaello que j’allais voir dans la journée même. Mon cœur s’emballa alors cette fois de plaisir et d’envie. Un sourire se logea sur mon visage. C’était si bon de penser à autre chose… Alors que d’habitude, je me serais jeté sur ma dose, une petite piqure afin de me soulager et de me sentir ailleurs… Mais non, non je ne pouvais pas le faire. J’allais voir Raf, je ne pouvais pas tout gâcher… J’avais même pris le soin de me droguer la veille afin de tenir aujourd’hui. Poussant la couverture d’un coup de pied, je sorti de mon lit pour ouvrir mes volets clignant des yeux en plissant le nez. L’heure était surement déjà avancée. Dix heures. Baillant longuement je m’étirais en allant dans ma douche. C’est fou comme bizarrement je n’avais pas envie de drogue, alors que le matin c’était normalement mon dada. Une fois nue, je filais sous l’eau chaude, restant un long, très long moment, me lavant franchement comme si ma vie en dépendait, et fit de même avec mes cheveux. C’était l’effet Rafaello ! Une fois bien lavée, je m’enroulais dans ma serviette faisant les cent pas dans mon appartement. Je pouvais croiser Dimitri qui lui déjeuné dans la cuisine. Sans même parler, je lui ébouriffais les cheveux avant de prendre des pancakes les beurrant rapidement avec de la pâte à tartiner et prendre un grand bol de café. M’installant à côté de lui, je mangeais en regardant la télévision écran plat du salon juste en face de nous. Suivant à moitié, je bus tout mon café, avant d’engloutir trois grands pancakes avant de ranger le tout et de faire la vaisselle. Marylis me manquait, atrocement. Je ne l’avais pas vu depuis deux jours et c’était terriblement frustrant. Soufflant fortement, je filais dans ma chambre avant de jeter la serviette sur le sol avant de me plonger dans mon dressing. Qu’est-ce que j’allais mettre ? Qu’est-ce que je pouvais mettre pour paraitre chic et pas trop… Dénudé ? J’avais pris l’habitude de mettre toujours des mini robes… Mais j’étais… J’étais réservée ! J’allais devenir celle de Rafaello, l’homme italien jaloux ! Et j’acceptais ce point-là… J’attrapais rapidement un string en dentelle noir et rose l’enfilant avant de mettre le soutiens gorge push-up assorti, celui-ci me comprimant bien la poitrine la faisant remonter comme jamais. Un sourire aux lèvres, je pris un short en jean noir l’enfilant pour mettre un top blanc décolleté mettant quelque peu ma poitrine en valeur.

Attrapant mes Santiag noir je les enfilais rapidement avant d’aller dans ma salle de bains. Posant mes mains sur le lavabo, je me fixais longuement en me demandant quel genre de coiffure j’allais me faire. J’allais garder les boucles oui… Un petit chignon libre ferait l’affaire, un petit collier descendant vers ma poitrine et je serais belle. Du maquillage en plus et voilà. Prenant de la mousse pour accentuer mes boucles je pris mon lisseur afin de lisser ma frange et la rendre plus souple. Une fois coiffé, je pris mon maquillage pour me l’appliquer avec attention, mettant mes yeux bleu en valeur d’un maquillage assez clair, quelque peu orangé. Me contemplant un long moment je pris mon parfum pour m’en mettre avant de sortir et me laisser tomber sur le lit. J’étais stressée, j’avais mal au ventre, c’était l’angoisse la plus totale. Je ne savais pas quoi faire, ni quoi dire, de toute façon j’étais seule. Attrapant mon paquet de clope, je pris une cigarette l’allumant avant de trembler franchement tirant dessus comme une pauvre fille en manque. Je l’étais. De drogue. Entendant mon téléphone vibrer, je boguais dessus avant de tourner le regard vers mon réveil. Ce n’était pourtant pas encore l’heure. Me levant je pris mon téléphone et un sourire se logea dessus en voyant qui me l’envoyait. Mon Italien ! Mon cœur se mit à battre franchement vite avant que je n’aille à la fenêtre pour le voir en bas. Souriant comme ne idiote, je finis mon clope l’écrasant dans mon cendrier avant d’enfiler ma veste en cuir mon téléphone, portable et alla chercher la bouffes que j’avais fait la veille pour aujourd’hui. Des petites spécialités Russes, vu que la dernière fois j’avais mangé italien chez lui. Sortant, je filais vers les escaliers, sortant avant d’arriver dans la rue, le voyant s’approcher de moi. Ses bras s’enroulant autour de ma taille je le laissais faire en riant doucement sentant mes pieds se soulever du sol. Il en avait de la force le petit ! Même si j’étais loin d’être une fille avec du poids… « Ma petite russe ! » Frissonnant a sa voix, ce surnom, je fermais les yeux, sentant ses mains dans mes cheveux suivit d’un baiser sur ma joue. Sa joue contre la mienne je me mis à ronronner longuement me sentant défaillir sur le coup. Tout était parfait. « Tu m’as manqué jolie blonde. » souriant en coin, mon cœur luttant pour ne pas mourir, je le laissais prendre mes sacs les mettant dans le coffre avant qu’il ne vienne m’ouvrir la portière. Un homme modèle et parfait ! Montant je m’attachais rapidement avant de le regarder monter à son tour, le regardant s’attacher. « Tu sais que tu es un homme parfait ? Toute femme rêverait de t’avoir à leur côté… » Soufflai-je doucement avant de me tourner bien vers lui pour me pencher et déposer un rapide baiser sur sa joue avant de me caler bien dans le siège. Croisant doucement les jambes je restais tournée vers lui en inspirant profondément. « Toi aussi tu m’as manqué… Terriblement… » Rajoutai-je l’air de rien en détournant le regard pour voir la route devant nous. Tout était parfait, trop parfait. Tremblant quelque peu, j’évitais de regarder mes mains avant de tourner mon regard vers lui. « Alors quoi de neuf ? Le boulot ça va ? Pas trop fatigué ? tu as pu dormir assez ? »
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MessageSujet: Re: First date between two strangers [pv Nastazià] -terminé- First date between two strangers [pv Nastazià] -terminé- EmptyVen 13 Jan - 0:26


It's just the beginning

When she was just a girl, she expected the world, but it flew away from her reach, so she ran away in her sleep. And dreamed of para-para-paradise, Para-para-paradise, Para-para-paradise, Every time she closed her eyes. When she was just a girl, she expected the world, but it flew away from her reach, and bullets catch in her teeth. Life goes on, it gets so heavy, the wheel breaks the butterfly. Every tear, a waterfall. In the night, the stormy night, she closed her eyes. In the night, the stormy night, away she flied. And dreamed of para-para-paradise, Para-para-paradise, Para-para-paradise, Whoa-oh-oh oh-oooh oh-oh-oh. She dreamed of para-para-paradise, Para-para-paradise, Para-para-paradise, Whoa-oh-oh oh-oooh oh-oh-oh. (x2) La, la, la... And so lying underneath those stormy skies. She'd say, "oh, ohohohoh I know the sun must set to rise" This could be Para-para-paradise Para-para-paradise Para-para-paradise Oh oh oh oh oh oh-oh-oh This could be Para-para-paradise Para-para-paradise This could be Para-para-paradise Oh oh oh oh oh oh-oh-oh-oh This could be Para-para-paradise Para-para-paradise This could be
Para-para-paradise Oh oh oh oh oh oh-oh-oh-oh


Blonde, des yeux bleus, une peau très pâle, très grande, très fine, un visage à la fois félin et d’ange … Elle était définitivement la femme la plus belle et la plus sexy qu’il m’avait été donné de voir. Il était vrai qu’elle n’avait vraiment rien à voir avec toutes ces femmes que j’avais pu connaître dans le passé. Aucune de mes ex n’avait été blonde, à la peau pâle et au corps de mannequin. Non pas que je trouvais ces filles moches. Mais elles n’attiraient nullement mon regard. Jusqu’à Nastazià. Une ruelle, un soir, elle m’avait abordé, j’avais craqué. Il m’avait bien fallut plusieurs semaines avant d’accepter cette attirance violente et inexplicable. Et plusieurs mois pour réaliser que j’étais définitivement et irrémédiablement amoureux d’elle. J’aurai peut-être tenté quelque chose bien plus tôt, si je n’avais pas eus l’inquiétude qu’elle me rejette. Après tout, qui me disait qu’elle-même s’intéressait à moi un tant soit peu ? Qu’est-ce qui me faisait croire qu’une riche et célèbre mannequin, pourrait me porter un quelconque intérêt ? Elle était trop belle, trop intelligente, trop tout, pour être avec moi. Sans compter que j’ignorais tout de sa vie. Elle aurait pu être mariée, mère de famille ou du genre à cumuler les aventures sans lendemain, sans que je ne le sache. Et puis contre toute attente, il avait fallut un malaise de sa part et que je l’héberge toute une nuit durant et m’occupe d’elle, pour apprendre que l’attirance était totalement partagée et qu’elle aussi, voulait une aventure avec moi. J’avais de suite sauté sur l’occasion pour proposer que l’on se revoie en dehors des ventes hebdomadaires. Et elle n’avait pas longtemps hésité elle-même, pour accepter. Pourquoi l’aurait-elle fait de toute façon, au vu de nos rapprochements physiques et psychologiques, des plus flagrants ? Je ne doutais nullement du fait qu’elle me voulait dans sa vie, tout autant que je la voulais dans la mienne. Et cela me semblait d’une évidence claire et nette. Chose qui me faisait un bien fou. Deux ans d’amour secret, sans jamais pouvoir le lui avouer. Et enfin, elle allait m’appartenir. Certes, elle ignorait encore combien j’étais fou amoureux d’elle. Mais je comptais bel et bien le lui dire par la suite, lorsque notre relation aurait suffisamment avancée pour que ma déclaration ne la fasse pas fuir. Fuirait-elle si je le lui disais dès à présent ? Je le craignais beaucoup trop, pour tenter quoi que ce soit. Lui avouer que je la voulais plus que tout, comme jamais je n’avais eus envie d’une femme, était déjà un grand pas en direction d’un avenir prometteur. Certes elle était mère de famille, était une droguée et avait un passé des plus compliqués. Mais ce n’était nullement un frein à mes ardeurs. Je l’aimais, la voulais et étais certain de pouvoir aimer sa fille comme si elle était la mienne. Il était vrai que, jaloux comme je l’étais, je risquais de souvent penser au père de sa fille. Et je le serai plus encore, si elle refusait de me faire un enfant, à moi. Mais je préférais ne pas penser à cela tant il était bien trop tôt encore. Beaucoup, beaucoup, trop tôt !

Malgré le fait que j’étais arrivé en avance sur l’heure que nous avions prévu, je ne pu attendre plus longtemps et lui envoyai un message, pour qu’elle descende au plus vite. Ce qu’elle fit sans se faire prier puisque, deux minutes à peine plus tard, elle était devant moi. Je souriais franchement, lorsque je la pris dans mes bras pour la soulever quelque peu de terre pour la serrer fortement contre moi. Je déposai un lent baiser sur sa joue, avant d’y poser faiblement la mienne, pour profiter au maximum de son corps si proche du mien. Je lui soufflai doucement qu’elle m’avait manqué, avant de prendre ses sacs pour aller les mettre dans le coffre. Je la rejoignis ensuite pour lui ouvrir la porte côté passager et l’inviter à s’installer. Un bref instant plus tard, j’étais derrière le volant et attachais ma ceinture. « Tu sais que tu es un homme parfait ? Toute femme rêverait de t’avoir à leur côté… » Je levai les yeux au ciel en souriant franchement, avant de tourner un regard taquin vers elle. Pourquoi pensait-elle à cela, alors que je me fichais bien des autres femmes ? N’étais-je pas là, avec elle et rien qu’elle ? « Je m’en fous des autres femmes. Je suis à tes côtés à toi et non pas aux côtés d’une autre. Non ? » Lâchais-je d’une voix taquine, avant de lever une main pour caresser sa joue du dos de celle-ci, de façon tendre et lente, avant qu’elle ne s’approche de moi pour déposer un lent baiser sur ma joue, ce qui me fit soupirer de plaisir et de bien être. Par la suite, je mis le contact pour démarrer et m’éloigner lentement en direction d’une entrée du parc qui se trouvait vraiment non loin de là. Quelques petites minutes à peine. Je n’oubliais pas son accident de voiture qui avait coûté la vie de sa fille. Raison pour laquelle je conduisis avec lenteur en demeurant toujours très prudent, pour éviter ne serait-ce qu’une petite accroche avec une autre voiture. « Toi aussi tu m’as manqué… Terriblement… » Je souris en coin en profitant d’un feu rouge pour tourner un regard attendri vers elle. Je tendis à nouveau une main, cette fois ci pour prendre la sienne. Je la caressai avec lenteur en me tournant à nouveau en direction de la route que j’empruntais. « J’aime ça. » Soufflais-je doucement en conduisant de façon toujours aussi lente. « Alors quoi de neuf ? Le boulot ça va ? Pas trop fatigué ? tu as pu dormir assez ? » Je plissai quelque peu le nez à la pensée des trop peu nombreuses heures, que j’avais dormi. Non je n’avais pas assez dormis et si, j’étais trop fatigué. Mais aucune rien n’aurait pu me faire annuler ce moment que j’allai partager avec cette fille parfaite, qui se trouvait à mes côtés. « Le boulot ça va oui. Mais non, je n’ais pas assez dormis et je suis crevé. Je compte sur toi pour m’empêcher de m’endormir. » Lui répondis-je d’une voix taquine en posant nos mains entremêlées, sur ma propre cuisse. Je continuai de la caresser avec lenteur sans cesser de conduire lentement. « Et toi quoi de neuf ? Le travail ? Tu as eus des nouvelles de Marilys ? » Lui demandais-je ensuite, d’une voix douce. Je pressai doucement sa main, comme pour lui montrer que j’étais là pour elle, craignant qu’il ne s’agisse d’un sujet sensible. Je ne tardai pas à me garer non loin d’une entrée du parc. J’arrêtai le contact et détachai ma ceinture, avant de quitter et contourner la voiture. J’ouvris la portière côté passager, pour la laisser sortir. « Quel homme parfait … » Lâchais-je d’une voix légèrement moqueuse, avant de rire doucement en baissant un regard amusé et clairement amoureux, vers elle.
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MessageSujet: Re: First date between two strangers [pv Nastazià] -terminé- First date between two strangers [pv Nastazià] -terminé- EmptyVen 13 Jan - 8:44


₪ FIRST DATE BETWEEN TWO STRANGERS

Rafaello & Nastazià



« Je m’en fous des autres femmes. Je suis à tes côtés à toi et non pas aux côtés d’une autre. Non ? » Entrouvrant la bouche, en me sentant rougir, je baissais faiblement le regard en me sentant tout à coup mal à l’aise. Merde c’était on ne peut plus plaisant de l’entendre me dire ce genre de chose… J’avais envie de lui dire que de toute façon il était à moi et a personne d’autre. Mais ça faisait un brin possessive… Et je trouvais cela… Excessif alors que nous ne sortions même pas officiellement ensemble… Je ne voulais pas le faire fuir… Peut-être qu’il était jaloux et possessif, mais peut-être qu’il ne supportait pas cela venant de sa copine ou futur copine… Je ne voulais pas l’effrayer avant l’heure… « Hum… Certes, c’est vrai, tu es avec moi là et pas une autre… donc… J’en conclu que tu es parfait qu’avec moi ? » Soufflai-je doucement en lui lançant un regard amoureux avant de rougir à nouveau faiblement baissant le regard mal à l’aise en souriant en coin. Autant j’étais sans tabou, autant quand il s’agissait de dévoiler mes sentiments… C’était nouveau à vrai dire… donc il était normal que je sois mal à l’aise… Je pense. Sentant sa main passer sur ma joue, je souris un peu plus en fermant les yeux, profitant de cette douce caresse, me mordant alors les lèvres avec envie. Une fois le contact mis et sur la route, je le regardais un peu plus pour lui avouer alors qu’il m’avait terriblement manqué… S’arrêtant à un feu rouge, il prit ma main pour entrelacer nos doigts, mon cœur subissant alors un raté. « J’aime ça. » Souriant en coin en l’entendant dire cela, je baissais un faible regard sur nos mains en sentant mon petit cœur s’emballer un peu plus. C’était… Magique, intense, l’effet qu’il me produisait, et le bien être qui m’envahissait me faisait un effet monstre. Autant dire que l’amour que je ressentais pour lui, valait tout l’or du monde à mes yeux. Il était devenu… Il devenait… Une sorte d’oxygène… Sans perdre de temps, je lui demandais alors s’il avait bien dormi, comment allait le boulot, et surtout… Surtout… S’il avait tout de même assez dormi, je ne voulais pas qu’il se prive par notre sortie même si là, c’était un peu trop tard… « Le boulot ça va oui. Mais non, je n’ai pas assez dormis et je suis crevé. Je compte sur toi pour m’empêcher de m’endormir. » Plissant quelque peu le nez je m’en voulais atrocement de lui avoir retirée quelques heures de sommeil alors qu’il en avait terriblement besoin, je le savais en plus, puisqu’il bossait de nuit, il devait dormir pratiquement toute la journée en fait… Inspirant longuement, je regardais nos mains entrelacées, serrant faiblement mes doigts en caressant l’intérieur de son poignet de mon pouce avec envie. Ça faisait terriblement couple et ça me rendait folle de joie. Aucun homme ne m’avait tenue la main comme cela. Hormis au travail pour certains shoot, mais ça, ça ne comptait pas du tout.


« Et toi quoi de neuf ? Le travail ? Tu as eus des nouvelles de Marilys ? » Frissonnant longuement, je sentis sa main se serrer sur la mienne ce qui me fit un bien fou. Il me rassurait, cet homme était on ne peut plus parfait… Souriant faiblement en coin, je baissais quelque peu la tête en repensant à ma fille. Deux jours, c’est long, c’est terriblement long surtout quand on sait qu’on ne peut pas la voir comme on peut tout cela à cause du procès… J’étais capable de m’en occuper, je n’étais pas idiote, je n’avais jamais rien foiré… « T’empêcher de t’endormir ? Et si je ne le fais pas ? Et si je me blottis dans tes bras et qu’on fait une petite sieste ensemble ce n’est pas mieux ? » Demandai-je doucement en tournant le regard vers lui souriant en coin en détaillant bien son visage. Je voulais bien faire une sieste avec lui moi, me blottir contre lui, me sentir rassurer, me sentir bien dans ses bras tout simplement. Serrant faiblement sa main à nouveau je poussais un long soupire avant de regarder la route pendant un long moment. Il conduisait lentement et prudemment. Il était encore plus parfait… « Moi le travail, ça va…Ils m’ont demandés de prendre du repos, c’est ce que je fais pendant cette semaine… Et Marylis… Je ne l’ai pas vu depuis deux jours donc elle me manque atrocement mais je fais avec, je n’ai pas le choix de toute façon… » murmurai-je à voix basse en souriant à peine. Plissant le nez, je me détournais pour le voir se garer. Regardant aux alentours, j’espérais sincèrement ne pas me faire déranger par des jeunes qui voudraient des photos, ou des journalistes ou autre… Je ne voulais pas non plus ruiner ma journée… Mais surtout, surtout, celle de Rafaello. Une fois garé, je me détachais en le voyant quitter la voiture pour faire le tour de celle-ci et venir m’ouvrir la portière. Un vrai gentleman. « Quel homme parfait … » Riant doucement je me tournais vers lui en croisant son regard, me sentant faiblir en voyant un regard on ne peut plus… amoureux ? Sortant de la voiture, je me levais me trouvant vraiment face à lui coller en lui lançant un regard taquin mais aussi amoureux. « Très… Très… Parfait… Et t’es à moi… Pour toute la journée… » Murmurai-je doucement en me penchant pour déposer un doux baiser sur la commissure de ses lèvres restant là pendant quelques seconde avant de remonter mes lèvres a sa joue puis frotter la mienne contre la sienne en souriant un peu plus. Me détachant de lui je filais vers le coffre sans attendre sa permission pour prendre les sacs, fermant le coffre me tournant alors vers lui pour m’approcher de lui. Posant un de sacs par terre pour qu’il le prenne j’attrapais une de ses mains pour entrelacer nos doigts l’air de rien en me collant faiblement à lui, tournant un regard vers le parc. « On se met dans un coin tranquille ? J’ai pas trop envie d’être dérangée par les gens… N’oublie pas que malheureusement, je suis connue… Alors autographes photos et j’en passe, sont souvent de rigueur… Et j’aimerai éviter ça pour aujourd’hui mon italien… » Soufflai-je doucement en posant lentement ma tête sur son épaule, comme pour lui montrer qu’il était là pour me protéger au cas où. Comme pour lui dire en silence que j’avais réellement besoin de lui, de sa présence, et j’en passe. Tremblant faiblement, je serrais on ne peut plus sa main, avant de déposer un faible baiser dans son cou, inspirant profondément son odeur, un sourire en coin.
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MessageSujet: Re: First date between two strangers [pv Nastazià] -terminé- First date between two strangers [pv Nastazià] -terminé- EmptyMar 17 Jan - 12:03


It's just the beginning

When she was just a girl, she expected the world, but it flew away from her reach, so she ran away in her sleep. And dreamed of para-para-paradise, Para-para-paradise, Para-para-paradise, Every time she closed her eyes. When she was just a girl, she expected the world, but it flew away from her reach, and bullets catch in her teeth. Life goes on, it gets so heavy, the wheel breaks the butterfly. Every tear, a waterfall. In the night, the stormy night, she closed her eyes. In the night, the stormy night, away she flied. And dreamed of para-para-paradise, Para-para-paradise, Para-para-paradise, Whoa-oh-oh oh-oooh oh-oh-oh. She dreamed of para-para-paradise, Para-para-paradise, Para-para-paradise, Whoa-oh-oh oh-oooh oh-oh-oh. (x2) La, la, la... And so lying underneath those stormy skies. She'd say, "oh, ohohohoh I know the sun must set to rise" This could be Para-para-paradise Para-para-paradise Para-para-paradise Oh oh oh oh oh oh-oh-oh This could be Para-para-paradise Para-para-paradise This could be Para-para-paradise Oh oh oh oh oh oh-oh-oh-oh This could be Para-para-paradise Para-para-paradise This could be
Para-para-paradise Oh oh oh oh oh oh-oh-oh-oh


« Hum… Certes, c’est vrai, tu es avec moi là et pas une autre… donc… J’en conclu que tu es parfait qu’avec moi ? » Je ris faiblement en levant les yeux au ciel, avant de tourner un regard taquin vers Nastazià, assise près de moi. Cette jeune femme avait le don de tirer des conclusions hâtives de mes propos, dans l’espoir qu’elles soient vraies. Et je devais bien reconnaître que dans l’immédiat, elle ne se trompait pas le moins du monde. Oui, j’étais parfait uniquement avec elle. Même si je trouvais que, dire que j’étais parfait, était exagéré. La vérité était plutôt que je faisais bien plus d’efforts avec elle. Non pas pour lui plaire mais pour la satisfaire, plutôt. Je voulais être présent pour elle, gentil, généreux, calme, patient et j’en passe. Et tout cela, pour tenter de contrebalancer avec ma violente jalousie à venir. Car je savais parfaitement que dès qu’un homme oserait poser le regard sur elle, je risquais de devenir tout bonnement incontrôlable. Et le jour où elle voudrait sortir avec des amis mâles, je risquais fortement de ne pas pouvoir l’accepter le moins du monde. Dans le meilleur des cas, je demeurerai froid et distant durant quelques jours, avec elle. Dans le pire des cas … Eh bien je la séquestrerai chez moi. Ni plus ni moins. Oui, il y avait de quoi avoir vraiment peur et changer d’avis sur une éventuelle relation. Mais, loin d’être du genre à mentir, j’avais clairement expliqué tout cela à Nastazià. Sans doute n’avait-elle pas véritablement comprit à quoi elle s’exposait. Mais au moins, ma conscience était apaisée. Je l’avais prévenu et n’aurais rien pu faire de plus. Je n’allais pas non plus lui donner un échantillon de ce dont j’étais capable, uniquement pour lui prouver que, tôt ou tard, elle craquerait et me quitterait, tant je serai insupportable. Aussitôt que cette pensée eut franchit le seuil de mon esprit, je me promis de faire un tant soit peu d’efforts et de prendre sur moi. La perdre à cause de ma jalouse et possessivité maladive, serait un sacré choc pour moi. Je n’étais pas certain de pouvoir le supporter. Non … A la vérité, j’étais certain que je ne pourrais pas me pardonner une chose pareille. Elle était la meilleure chose qui me soit arrivée. Je n’avais donc pas le droit de tout foutre en l’air, à cause d’un caractère aussi stupide que le mien. Je soupirai doucement et reportai mon attention sur elle, me forçant à me souvenir de ses dernières paroles et à reprendre le fil de la conversation, qui n’en n’était pas vraiment une encore. « Je suis loin d’être parfait … Mais oui, je n’agis comme cela qu’avec toi. J’essaie de te montrer mes bons côtés, avant que n’arrive le jour où tu verras les plus mauvais. » Lui avouais-je sans détour, en haussant vaguement les épaules. Comme si c’était sans importance, alors que je venais clairement de faire montre de pessimisme sur mon propre compte, pour le coup. Mais je ne regrettais pas cette franchise à toute épreuve.

En voyant les rougeurs sur ses joues, j’affichai un sourire attendri et passai lentement le dos de ma main, sur sa joue. Par peur de craquer et de ne pas pouvoir me contenter de cela, je me détournai pour mettre le contact et filer rapidement. Au premier feu rouge, je m’emparai de sa main, entrelaçai nos doigts et lui appris que j’aimais le fait que j’ai pu lui manquer. A vrai dire, c’était presque trop bon pour demeurer impassible. Tout en posant nos mains entrelacées, sur l’une de mes cuisses, je répondis à ses questions, quant à savoir comment ça allait au boulot et si j’avais suffisamment dormi. La chaire de poule recouvrit mon bras, lorsque je la sentis caresser mon poignet de son pouce. Ce qui amena un léger sourire de bien être, à mes lèvres. Lorsque je lui posais la question concernant sa fille, je resserrai ma main sur la sienne. A la fois pour m’excuser de la mentionner et à la fois, pour lui montrer que j’étais là. Plus ou moins comme un soutiens dirons nous. « T’empêcher de t’endormir ? Et si je ne le fais pas ? Et si je me blottis dans tes bras et qu’on fait une petite sieste ensemble ce n’est pas mieux ? » Je ris doucement, en tournant un bref regard vers elle, avant de me concentrer à nouveau sur la route. Etant au courant de l’accident de voiture qui avait coûté la vie de sa fille, je ne voulais pas lui faire peur en voiture, avec moi. Au contraire, je voulais qu’elle se sente le plus en confiance possible et sache que nous ne risquions rien, car je serai toujours très prudent avec elle, à mes côtés. Certes, lorsque j’étais seul, j’avais tendance à passer outre les limitations de vitesse. Mais pas avec elle, jamais. « Je trouve que c’est une meilleure idée et j’attends ça avec impatience ! » Lui répondis-je en souriant en coin et caressant faiblement le dos de sa main, de mon pouce. « Moi le travail, ça va…Ils m’ont demandés de prendre du repos, c’est ce que je fais pendant cette semaine… Et Marilys… Je ne l’ai pas vu depuis deux jours donc elle me manque atrocement mais je fais avec, je n’ai pas le choix de toute façon… » Je soupirai doucement en plissant le nez. Le fait que la garde de sa fille lui ait été retirée, ne m’étonnais qu’à moitié. A la vérité, je ne savais trop quel parti prendre. Après tout, il me semblait d’une évidence imparable, qu’une personne droguée ne pouvait pas avoir la garde de sa fille. Mais dans un même temps, elle m’avait l’air parfaitement apte de s’en occuper. Et l’histoire qu’elle avait avec cette femme qui avait été une figure de mère pour elle, me laissait pantois. Comment cette femme, pouvait-elle à ce point la priver de sa raison de vivre ? Il me semblait évident qu’elle n’allait pas se battre pour cesser ses drogues, si sa raison de le faire, lui était retirée aussi brutalement et totalement. Et moi dans tout cela, je ne pouvais strictement rien faire pour l’aider. Nous n’étions pas un couple suffisamment affirmé, pour que je puisse l’aider à récupérer la garde de sa fille. Pas encore du moins …

« Quand tu dis prendre du repos … C’est lézarder chez toi entre ton lit, ta salle de bains et ta cuisine ? Ou c’est me réserver une journée ou deux dans la semaine, pour que nous passions du temps ensemble ? » Demandais-je d’une voix taquine, en souriant en coin. Je lui lançais un bref regard taquin en serrant un peu plus fortement sa main dans la mienne. L’idée d’avoir encore une journée ou deux, au minimum, avec elle, dans les jours à venir, rendrait notre séparation de ce jour là, moins douloureuse. Au moins, j’aurai la certitude que j’allais la revoir très vite. Si tant est que cette idée lui convienne à elle aussi. Chose que j’ignorais encore dans le fond. J’avais cru comprendre qu’elle n’exprimait pas facilement ses sentiments. Cela pouvait-il signifier qu’elle ne voyait pas l’intérêt de passer plus de temps avec une personne qu’elle appréciait ? J’avais peur que oui. « Et comment allait-elle ? » Voulus-je ensuite m’informer, concernant sa fille. Je lui avais déjà dis que si je la prenais elle, c’était avec sa fille. Et l’idée était toujours aussi présente et tenace en moi. L’idée même de vouloir éloigner sa petite fille d’elle, pour n’avoir qu’elle, me faisait horreur. C’était tout ou rien et je préférais amplement avoir tout. Sans compter que j’adorais les enfants et étais persuadé que je l’adorerai elle aussi, lorsque la rencontre arriverait. Si notre relation allait jusque là bien entendu. Ce dont je ne voulais pas douter. Surtout pas ! Enfin, nous arrivâmes sur l’un des parkings près du parc, où je me garais, avant de descendre de voiture et venir lui ouvrir la portière. J’exagérais amplement dans mon rôle d’homme galant et cela m’amusait plus qu’autre chose. L’air de rien, je lâchais un « quel homme parfait », pour la taquiner. Elle qui s’amusait à affirmer que je l’étais, alors que moi-même je ne le pensais pas le moins du monde. Je lui adressai un regard franchement amoureux pour le coup, soupirant de bien être lorsqu’elle se leva pour se coller à moi. Je frissonnai franchement de bien être en croisant son regard tout aussi amoureux que le mien. « Très… Très… Parfait… Et t’es à moi… Pour toute la journée… » Je ris faiblement en m’approchant d’elle pour frotter faiblement mon nez contre le sien. « Seulement la journée ? » Demandais-je d’une voix taquine, avant de soupirer de bien être, lorsqu’elle déposa un lent et long baiser sur la commissure de mes lèvres. Je profitai pleinement de ce baiser, avant de tourner un regard attendri vers elle, lorsqu’elle se recula pour filer au coffre et récupérer nos sacs. Le temps qu’elle revienne, je verrouillai la voiture puis récupérai les sacs et d’une main, pour resserrer l’autre sur sa main à elle.

« On se met dans un coin tranquille ? J’ai pas trop envie d’être dérangée par les gens… N’oublie pas que malheureusement, je suis connue… Alors autographes photos et j’en passe, sont souvent de rigueur… Et j’aimerai éviter ça pour aujourd’hui mon italien… »Je plissai le nez à l’idée que des idiots de fans puissent venir interrompre un doux moment de calme et de quiétude. Je la voulais toute à moi et ne supporterai pas que l’on vienne nous déranger. Elle était à moi et à moi seul … Non ? Je la laissai déposer un baiser dans mon cou, avant de tourner le regard vers elle et déposer un faible baiser sur sa joue. L’instant d’après, je filai dans le parc en l’entrainant avec moi, par la main. « Tu veux dire qu’on ne pourra jamais faire des choses pas très catholiques, à l’extérieur ? » Demandais-je l’air de rien, avant de rire doucement. Je la taquinais plus qu’autre chose à vrai dire. « Et ne t’inquiète pas. Tu peux compter sur moi pour dénicher l’endroit du parc le plus susceptible d nous laisser un tant soit peu de tranquillité. » Ajoutais-je ensuite en accélérant quelque peu le pas, pour filer en direction d’un endroit de pelouse, quelque peu dissimulé par de longs bosquets bien feuillus. « Genre, ici ? » Demandais-je en posant nos sacs par terre.
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MessageSujet: Re: First date between two strangers [pv Nastazià] -terminé- First date between two strangers [pv Nastazià] -terminé- EmptyJeu 19 Jan - 13:16


₪ FIRST DATE BETWEEN TWO STRANGERS

Rafaello & Nastazià



« Je suis loin d’être parfait … Mais oui, je n’agis comme cela qu’avec toi. J’essaie de te montrer mes bons côtés, avant que n’arrive le jour où tu verras les plus mauvais. » Souriant faiblement, je baissais le regard en fixant alors nos mains. Caressant doucement son poignet de mon pouce, il ne se doutait pas une seule seconde que ces mauvais côtés je m’en fichais royalement… Je n’avais pas de souci pour cela… Il pouvait bien se montrer jaloux, possessif, crier à tout va, m’interdire de faire certaines choses, j’étais prête à accepter… Si c’était là, la clé du bonheur, la clé de la délivrance, celle qui me mènerait vers la paix et l’amour, j’étais prête à cela. Je savais qu’avec le temps, je m’y ferais et je m’y habituerais… Je l’aimais… Je l’acceptais tel qu’il était… N’était-ce pas beau ? Bien sûr que si… ça l’était… « Tu sais Rafaello, j’ai besoin de toi, de ton caractère, de tes mauvais côtés comme tu dis… Je suis au plus bas aujourd’hui… J’ai besoin de toi pour me remonter, me mettre sur le droit chemin, me faire réaliser certaines choses… Je te l’ai déjà dit… Ta jalousie ne me gênera pas, ta possessivité non plus… Je l’accepte, je te prends en entier… T’es mon petit italien… Que serait un italien sans son caractère de merde ? Moi je l’aime déjà ton caractère de cochon ! Tu as pris tous les tickets tu as posé réservation. Raf ? Je suis tienne… ça veut donc tout dire… » soufflai-je en serrant franchement sa main lui lançant un regard on ne peut plus franc et amoureux pour qu’il comprenne que c’était loin d’être des paroles en l’air. Je disais vrai, je voulais qu’il sache que j’étais prête à tout cela… J’étais sienne, et à partir de ce moment-là, il avait tous les droits sur moi… tout comme moi sur lui… Parlant par la suite de lui, je lui demandais s’il n’était pas trop fatigué vis-à-vis du fait qu’il n’avait pas dormi beaucoup. Il faudrait donc que je l’empêche de faire une sieste… moi je préférais faire la sieste avec lui, dormir contre lui dans ses bras. Chose que je ne tardais pas à lui dire… « Je trouve que c’est une meilleure idée et j’attends ça avec impatience ! » Serrant doucement sa main je tournais un regard vers lui en poussant un faible soupire de bien-être. Dormir avec lui… paradis… Je me voyais parfaitement collé à lui, à moitié sur son corps, ses bras m’encerclant… son souffle sur ma peau… J’en frissonnais d’avance...

« Hum… Heureusement que j’ai pris de quoi nous allonger… Une grande serviette ! Et si jamais on a froid… J’ai pris une couverture… » soufflai-je doucement l’air de rien en souriant franchement, mon regard se faisant taquin. Ne pas craquer, et ne rien faire sous une couette seraient tout de même un gros effort… Mais je savais que c’était faisable… Passant rapidement ma langue sur mes lèvres, j’en vins à parler boulot, lui annonçant alors que j’avais une semaine de repos et que ma fille, elle par contre je ne l’avais pas vu depuis deux jours… Et autant dire que c’était on ne peut plus douloureux. Elle me manquait atrocement, et je devais, malheureusement faire avec. Sentant sa main se resserrer sur la mienne, je compris qu’il voulait se montrer présent pour moi, et c’était bien là une chose qui me plaisait atrocement. « Quand tu dis prendre du repos … C’est lézarder chez toi entre ton lit, ta salle de bains et ta cuisine ? Ou c’est me réserver une journée ou deux dans la semaine, pour que nous passions du temps ensemble ? » Sentant sa main se resserrer sur la mienne, je relevais le regard pour croiser le sien on ne peut plus taquin. Passer des journées en plus avec lui ? J’étais totalement pour… Rester dans ses bras, sentir sa main tenir la mienne, son souffle contre ma peau, apprendre à se connaitre de plus en plus, rire, me sentir bien avec lui… C’était des envies que je voulais à tout prix. Je voulais qu’on évolue. Certes doucement à notre rythme, mais je savais que l’on finirait ensemble quoi qu’il arrive. Et lorsque le moment arriverait, cela serait une journée magnifique, grandiose, fabuleuse… Je ne doutais en rien des capacités de Rafaello à me rendre heureuse, j’avais confiance en lui. Serrant doucement sa main, je le regardais longuement avec passion et amour. « Ça aurait pu être ça… ça aurait été pas si mal, vu que je ne l’ai pratiquement jamais fait… Mais non… Si je peux passer pas mal de temps avec toi… Alors oui… Mais attention, je ne veux pas te fatiguer… Tu bosses la nuit et je sais que là, tu n’as pas beaucoup dormi… Alors les prochaines fois on se rejoindra plus tard ? Je me sentirais fautive de te voir fatigué… » murmurai-je doucement en plongeant bien mon regard dans le sien, caressant sa main de mon pouce avant de descendre à son poignet l’air de rien.

J’imaginais déjà les sorties… Nos rendez-vous, les câlins, les regards, les rires, l’envie qui grimpe en nous… J’imaginais surtout la première fois qu’on le ferait… Un ébat sauvage, intense, sous l’envie et la frustration de l’attente… Des cris de la sueur, des regards… Fermant lentement les yeux, je préférais ne plus y penser… Je ne voulais pas non plus me rendre toute chose. « Et comment allait-elle ? » Boguant sous le coup, je tournais lentement le visage vers la route avant de détourner à nouveau le regard. Ma fille… Mon petit bébé… « Elle va plutôt bien… Je lui manque atrocement, déjà qu’elle me réclame non-stop un papa… Alors là on l’a prive de sa mère, elle a peur… Peur de me perdre… C’est une petite fille intelligente pour son âge, trois ans passés, elle réalise beaucoup de chose… Tu verras quand je te l’a présenterai un de ces jours… Tu vas fondre… » murmurai-je doucement. Ma petite Marilys… Je savais qu’elle aimerait Rafaello, il n’y avait pas de doute. D’autant plus si elle me voit proche de lui, c’est fou comme elle comprenait vite cette petite… Se garant rapidement, il sortit de la voiture pour venir m’ouvrir la portière. Surprise et totalement accro à lui, je descendis tout en lui susurrant qu’il était un homme vraiment parfait et bien entendu à moi… Nos nez se caressant je le laissais faire tout en fermant lentement les yeux. « Seulement la journée ? » Souriant en coin en le voyant si taquin, je m’approchais bien de lui passant lentement mes bras autour de sa nuque, penchant alors ma tête pour le détailler longuement. « Non… La nuit, demain, après-demain, t’es à moi jusqu’à ce que… T’en ai marre de moi… en espérant que cela n’arrive jamais… » soufflai-je doucement en lui lançant un regard franchement amoureux, me collant bien à lui, fourrageant lentement ses cheveux avant de déposer un doux baiser sur la commissure de ses lèvres. Frissonnant de bien être, je me détachais de lui avec peine avant de filer vers le coffre de la voiture pour prendre les sacs. Une fois fait, je m’approchais de lui pour poser les sacs au sol. C’était vraiment un homme parfait, du fait qu’il pouvait les porter sans rechigner, d’autre n’auraient surement pas voulu…

Attrapant nos mains en même temps, entrelaçant nos doigts je serrais bien ma main contre la sienne, mon cœur s’emballant lentement. Me pinçant les lèvres, je lui fis alors remarquer qu’il nous faudrait trouver un coin tranquille parce que j’étais tout de même connu… Et je ne voulais pas gâcher ce moment, je voulais le passer avec lui, je ne voulais pas que l’on nous prenne en photo ou autre… Déposant un doux baiser dans son cou, je restais près de lui, je ne voulais vraiment pas m’éloigner de lui, je n’en avais pas la force de toute façon… « Tu veux dire qu’on ne pourra jamais faire des choses pas très catholiques, à l’extérieur ? » Surprise, je tournais le regard vers lui, avant de rire doucement. Faire des choses pas très catholiques dehors ? Je n’avais jamais pratiqué, et il fallait dire que ça ne m’avait jamais traversé l’esprit… Je n’étais pas du genre accro au sexe à la base alors pour avoir l’envie de le faire dehors… Plongeant mon regard dans le sien, je le regardais de façon plus ou moins coquine. « Je suis sure qu’on saura être très discret… Et que tu dois connaitre les meilleurs recoins de la ville pour faire des choses pas très catholique dehors… » soufflai-je l’air de rien en lui lançant un regard on ne peut plus complice pour le coup. « Et ne t’inquiète pas. Tu peux compter sur moi pour dénicher l’endroit du parc le plus susceptible de nous laisser un tant soit peu de tranquillité. » Souriant en coin en marchant à ses côtés, je serrais longuement sa main l’air de rien en regardant autour de nous. Le parc était tellement beau, et me rappelait tellement de souvenir avec Camilya… Sentant mon cœur se serrer dans ma poitrine, je me sentis faiblement blêmir. J’avais totalement oublié que le parc était un lieu que j’évitais au grand maximum. Dans un sens s’était bien que je puisse avoir oublié… Le laissant nous amener dans un coin du parc, je ne regardais même pas ou il nous amenait exactement avant de relever un regard vers lui serrant bien sa main en me collant à lui. Des bosquets tout autour de nous, je tournais faiblement la tête vers Rafaello pour le regarder. « Genre, ici ? » Suivant ses mouvements, regardant les sacs au sol, je frissonnais doucement en passant lentement ma langue sur mes lèvres. C’était tout bonnement parfait. Ici on ne serait pas dérangé, non, on était totalement entouré de buissons, et ça serait encore plus parfait lorsque nous serions assis, ou bien même allongé. Me rapprochant de lui je passais lentement ma main sur sa tempe, avant de déposer un doux baiser sur son front, inspirant longuement son odeur. « C’est parfait Rafaello… » soufflai-je avant de lâcher lentement sa main. Me penchant je pris le sac pour sortir la grande serviette. Une serviette de plage plus exactement. L’étalant au sol je tirais Raf dessus le faisant tomber au sol avant de rire suivant le même chemin atterrissant sur ses cuisses le regardant longuement avant de m’assoir de profil a lui toujours sur ses cuisses pour tirer les sacs près de nous. « Tu as faim ? Ou tu veux que l’on discute avant de se mettre à manger mon petit ogre ? » Demandai-je en lui lançant un regard on ne peut plus taquin avant de caresser son nez du mien, déposant lentement mes lèvres sur son front par la suite, le prenant dans mes bras l’air de rien. « Le parc est une hantise pour moi à la base… Avec Camilya on venait souvent ici… tu m’as fait oublier cette peur, et là… J’ai l’impression… D’être en sécurité… »
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MessageSujet: Re: First date between two strangers [pv Nastazià] -terminé- First date between two strangers [pv Nastazià] -terminé- EmptyJeu 26 Jan - 14:05


It's just the beginning

When she was just a girl, she expected the world, but it flew away from her reach, so she ran away in her sleep. And dreamed of para-para-paradise, Para-para-paradise, Para-para-paradise, Every time she closed her eyes. When she was just a girl, she expected the world, but it flew away from her reach, and bullets catch in her teeth. Life goes on, it gets so heavy, the wheel breaks the butterfly. Every tear, a waterfall. In the night, the stormy night, she closed her eyes. In the night, the stormy night, away she flied. And dreamed of para-para-paradise, Para-para-paradise, Para-para-paradise, Whoa-oh-oh oh-oooh oh-oh-oh. She dreamed of para-para-paradise, Para-para-paradise, Para-para-paradise, Whoa-oh-oh oh-oooh oh-oh-oh. (x2) La, la, la... And so lying underneath those stormy skies. She'd say, "oh, ohohohoh I know the sun must set to rise" This could be Para-para-paradise Para-para-paradise Para-para-paradise Oh oh oh oh oh oh-oh-oh This could be Para-para-paradise Para-para-paradise This could be Para-para-paradise Oh oh oh oh oh oh-oh-oh-oh This could be Para-para-paradise Para-para-paradise This could be
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« Tu sais Rafaello, j’ai besoin de toi, de ton caractère, de tes mauvais côtés comme tu dis… Je suis au plus bas aujourd’hui… J’ai besoin de toi pour me remonter, me mettre sur le droit chemin, me faire réaliser certaines choses… Je te l’ai déjà dit… Ta jalousie ne me gênera pas, ta possessivité non plus… Je l’accepte, je te prends en entier… T’es mon petit italien… Que serait un italien sans son caractère de merde ? Moi je l’aime déjà ton caractère de cochon ! Tu as pris tous les tickets tu as posé réservation. Raf ? Je suis tienne… ça veut donc tout dire… » Je ne pu m’empêcher de frissonner à ces quelques mots, réalisant enfin pleinement tout ce que sa façon de me dire qu’elle était mienne, impliquait. Ainsi, elle était vraiment prête à accepter et supporter ma jalousie maladie et ma possessivité des plus flagrantes et présentes. Je voulais sincèrement la croire mais dans un même temps, j’avais peur d’être déçu. Pas par elle bien entendu. Mais par le fait qu’elle puisse ne pas avoir suffisamment bien mesuré l’ampleur de mes deux plus gros défauts et qu’elle soit finalement choquée et dérangée, le jour où elle s’en rendrait compte. J’étais déjà un tant soit peu jaloux à l’idée des hommes avec qui elle avait pu coucher. Et je l’étais bien plus encore, de ceux avec qui elle bossait régulièrement, dans son milieu. Sans compter ses fans, ceux qui devaient très certainement fantasmer sur elle tout comme moi et tous les abrutis qui osaient poser le regard sur elle et qui avaient ne serait-ce qu’un sourire en retour, venant d’elle. C’était clairement idiot et j’avais encore suffisamment de retenue pour ne pas le lui dire. Je craignais qu’elle ne découvre de suite la force de mes deux principaux défauts. Et dans un même temps, je voulais qu’elle s’en rende compte, dans l’espoir d’être vraiment rassuré sur le fait qu’elle ne partirait pas pour cela et ne changerait pas d’avis sur mon compte. C’était idiot. J’étais très compliqué et je m’en rendais bien compte. Mais c’était ainsi et je n’y pouvais strictement rien dans le fond. J’étais victime de mes sentiments et de mon caractère de merde. « Ma façon de te remonter, sera de te recadrer totalement, de t’interdire certains trucs et de t’ouvrir les yeux sur quelques points. Ca ne te fait pas peur ? » Lui demandais-je donc l’air de rien. Il était certain que je ne l’aiderai pas à remonter la pente en la laissant faire tout ce que bon lui semblerait. Il me semblait qu’elle avait plutôt besoin de quelqu’un pour la refoutre sur le droit chemin, quitte à ce qu’elle se dispute régulièrement avec ladite personne. Et, sans prétention de ma part, je pensais avoir les épaules suffisamment solides pour supporter cela. « Alors … Ca ne te fais pas peur si je te dis que dans quelques temps je serai incapable de supporter que tu fasses des photos presque nue ou avec les seins découverts et que je t’interdirai d’en faire ? Que je t’interdise aussi de porter des fringues qui dévoilent trop ton corps à mon goût, pour sortir sans moi ? Que je t’interdise les contacts physiques avec des hommes lors de tes shooting ? Qu’il m’arrive d’utiliser le chantage affectif pour que tu ne sortes pas avec tes amis certaines fois ? Que je te demande de limiter tes contacts physiques avec n’importe quel homme ? Tout ça, ose me dire que ça ne te dérange pas le moins du monde … » Lâchais-je enfin d’une voix faible et douce, accompagné d’un sourire nerveux au coin des lèvres. J’étais certain, cette fois ci, de lui avoir fait peur pour de bon. Je ne voulais pas qu’elle me fuit, loin de là. Mais je voulais qu’elle sache dans quoi elle se lançait avec moi.

« Bien sûr la réciproque est vraie aussi. Tu as le droit de m’obliger à limiter mes contacts physiques avec la gente féminine. Et si on était en Italie, je te dirai même que tu as le droit de m’interdire de me promener torse nu. Mais c’est pas à New-York que je me baladerais ainsi. » Ajoutais-je ensuite pour ajouter une pointe d’humour à ce discours qui, je le craignais, avait sans doute un tant soit peu calmé ses ardeurs. Ce que je ne pourrais que comprendre et accepter d’ailleurs. Changeant de sujet, nous en arrivâmes à mentionner le fait que j’étais clairement en manque de sommeil. Alors que je lui demandais de m’empêcher de dormir pour profiter pleinement d’elle, elle préféra me proposer une sieste. Avec elle bien entendu. Impossible de refuser une offre aussi alléchante ! « Hum… Heureusement que j’ai pris de quoi nous allonger… Une grande serviette ! Et si jamais on a froid… J’ai pris une couverture… » Je ris faiblement en tournant un regard attendri vers elle. J’aimais l’idée qu’elle soit si prévoyante. D’un autre côté, étant une mère de famille, je ne doutais pas que c’était presque un réflexe chez elle, que d’agir de la sorte. « Parfait ! On pourra se blottir l’un contre l’autre sous cette couverture. » Lui dis-je alors, l’air de rien, en frissonnant quelque peu d’envie à cette perspective alléchante. Alors que nous parlions, ensuite, de sa fille mais aussi de sa semaine de vacances, je lui demandai l’air de rien, si elle comptait passer plusieurs jours de cette semaine, avec moi dans les parages. Avec moi tout court même, tant qu’à faire. J’imaginais parfaitement les longs moments de complicité parfaite, que nous ne pourrions que partager, si nous venions à nous voir si souvent. La regarder, lui parler, l’écouter, sentir son parfum, sentir sa présence, son corps près du mien. C’était une envie persistante que je voulais réaliser au plus vite. « Ça aurait pu être ça… ça aurait été pas si mal, vu que je ne l’ai pratiquement jamais fait… Mais non… Si je peux passer pas mal de temps avec toi… Alors oui… Mais attention, je ne veux pas te fatiguer… Tu bosses la nuit et je sais que là, tu n’as pas beaucoup dormi… Alors les prochaines fois on se rejoindra plus tard ? Je me sentirais fautive de te voir fatigué… » Je souris faiblement en caressant le dos de sa main de mon pouce, avec lenteur et tendresse. Je n’étais pas franchement tenté par l’idée de la voir plus tard, simplement pour mieux convenir à mon besoin de sommeil. Je voulais la voir le plus longtemps et le plus souvent possible. Quitte à manquer de sommeil et m’écrouler ensuite. « Ou alors tu viens dormir chez moi, comme ça à mon retour tu es là … Et on peut dormir ensemble. » Proposais-je finalement, l’air de rien. Bien que conscient qu’il s’agirait de prendre de grands risques, au vu du désir fou qui nous poussait l’un vers l’autre. Il ne faudrait pas que nous craquions trop rapidement. Mais je ne doutais pas que si nous étions assez forts, l’un comme pour l’autre, pour attendre quelques temps, le jour J serait … Explosif. Et bien plus encore ! Pour en revenir au sujet de sa fille, je lu demandais doucement comment elle allait. J’étais réellement intéressé par la réponse bien entendu, sinon je ne l’aurais pas posé. Tout simplement parce qu’à mes yeux, si Nastazià entrait dans ma vie, ce n’était pas sans sa fille. Il s’agissait d’un tout que j’acceptais avec grand plaisir ! « Elle va plutôt bien… Je lui manque atrocement, déjà qu’elle me réclame non-stop un papa… Alors là on la prive de sa mère, elle a peur… Peur de me perdre… C’est une petite fille intelligente pour son âge, trois ans passés, elle réalise beaucoup de choses… Tu verras quand je te la présenterai un de ces jours… Tu vas fondre… » Je souris en coin à la pensée de cette petite que j’aimais par avance. Même si, dans l’immédiat, leur situation me révoltait grandement. Je ne supportais pas de voir et d’entendre qu’une fillette de cet âge était autant privée de sa mère. C’était à peine si elle avait le droit de la voir ce qui était, il fallait bien le dire, grandement révoltant. Ce n’était pas une chose qui aiderait Nastazià à cesser les drogues et je comptais bien le faire entendre à sa pseudo mère de cœur.

« Elle te réclame un papa ? Je pensais que les enfants de parents célibataires, étaient plutôt du genre à vouloir que leur parent soit à eux et rien qu’à eux. » Lui dis-je alors, quelque peu amusé à l’idée d’une gamine de cet âge, qui réclamait autant d’avoir un papa. D’un côté, j’étais ravi d’apprendre qu’elle ne piquerait pas des crises de jalousie en prétextant que je lui volais sa maman. Ce qui était loin d’être vrai dans le fond. Je volais davantage Nastazià à ses prétendants et sans doute même à ses amis. Mais pas à sa fille. Clairement non ! « Et je ne peux que fondre. Il suffit de voir comme sa mère me fait fondre. » Ajoutais-je d’une voix taquine en lui lançant un regard amusé en coin, pour tenter d’alléger l’atmosphère qui s’était faite nostalgique et triste à l’évocation de sa fille. Trop à mon goût en tout cas. Une fois arrivés devant la par cet en dehors de la voiture, elle me souffla que j’étais à elle pour la journée. Je souris en coin tout en frottant mon nez du sien et, d’une voix taquine, je lui demandais si ce n’était que pour la journée. « Non… La nuit, demain, après-demain, t’es à moi jusqu’à ce que… T’en ai marre de moi… en espérant que cela n’arrive jamais… » Je frissonnai doucement et posai mes mains sur sa taille avec lenteur, sans la quitter un seul instant du regard. « Prépare toi à m’avoir dans les pattes très très très longtemps dans ce cas. » Soufflais-je doucement, mon souffle se heurtant à ses lèvres avec douceur. Un moment plus tard, nous filions dans le parc, à la recherche d’un endroit tranquille. J’avais pris les sacs qu’elle avait abandonnés à mes pieds, sans rechigner un seul instant. Après tout, j’étais l’homme non ? Taquin lorsqu’elle mentionna le fait qu’elle ne voulait pas être dérangée, en tant que jeune mannequin connu, je lui demandais l’air de rien, si nous n’aurions donc pas le droit de faire des choses pas très catholiques, dehors. « Je suis sure qu’on saura être très discrets… Et que tu dois connaitre les meilleurs recoins de la ville pour faire des choses pas très catholiques dehors… » Je ris doucement en songeant que, en effet, grâce à mon métier, je connais tous les coins et recoins les plus discrets de cette grande ville. Sans doute même mieux qu’un natif de New-York. « La preuve, les magazines n’ont jamais sorti une photo de nous dans les rues de New-York, malgré que tu sois connue. Tu peux donc compter sur moi pour trouver ce genre de coins, de jour comme de nuit … » Lâchais-je l’air de rien, en lui lançant un regard chargé de promesses. L’idée de lui faire l’amour dans une rue, contre le mur de briques, me plaisait plus que de raison et me donnait véritablement envie et hâte d’y être. L’air de rien, je nous emmenai dans un coin reculé du parc, derrière un tas de bosquets qui nous cacherait à la vu de tous. Même si je ne doutais pas que nous ne ferions rien. Pas cette fois ci du moins … Je soupirai de bien être et fermai les yeux, lorsqu’elle s’approcha de moi pour déposer lentement sa main sur l’une de mes tempes et déposer un lent baiser sur mon front. Je lâchai un bref soupir de contentement avant d’inspirer son odeur avec délectation. « C’est parfait Rafaello… » Je souris en coin en lui lançant un regard clairement attendri. Je la suivis ensuite du regard lorsqu’elle déposa la serviette à terre mais fut tout de même surpris lorsqu’elle revint vers moi pour me faire tomber sur ladite serviette. Je la laissai faire toutefois, la regardant ensuite s’installer tranquillement sur mes cuisses. Je souris en coin en parcourant lentement son corps du regard, sans me priver. « Tu as faim ? Ou tu veux que l’on discute avant de se mettre à manger mon petit ogre ? » Je soupirai doucement en glissant une main sous sa veste en cuir, pour caresser ses reins du bout des doigts, glissant ensuite sous son haut pour lui caresser lentement le dos. « J’ai faim. Très faim … Mais je suis un régime draconien. On parle en mangeant ? » Commençais-je entre mes dents serrées, avant de lui poser cette question l’air de rien. Le sous entendu était plus que clair et je ne doutais pas qu’elle l’avait compris. Je retirai ensuite ma main, pour lutter contre la tentation. Je la laissai s’allonger ensuite sur moi pour me prendre dans ses bras et déposer un lent baiser sur mon front. Je fermai les yeux en souriant franchement sur le coup et enroulai mes bras autour de sa taille, passant une jambe autour de l’une des siennes, l’air de rien. « Le parc est une hantise pour moi à la base… Avec Camilya on venait souvent ici… tu m’as fait oublier cette peur, et là… J’ai l’impression… D’être en sécurité… » Je soupirai faiblement en passant cette fois ci franchement mes mains sous son haut, pour lui caresser lentement le dos. Sa peau douce à souhait et son corps chaud. « Je veux que tu gardes tous les bons souvenir avec Camilya et que tu enregistres tous les autres à venir. Avec moi, avec Marilys … Nous. » Soufflais-je doucement en continuant de la caresser du plat de mes mains, remontant parfois jusqu’à l’attache de son soutien-gorge. « Et tu es en sécurité ma poupée russe. Sur tous les plans ! » Lui promis-je ensuite d’une voix douce.
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MessageSujet: Re: First date between two strangers [pv Nastazià] -terminé- First date between two strangers [pv Nastazià] -terminé- EmptyJeu 26 Jan - 22:34


₪ FIRST DATE BETWEEN TWO STRANGERS

Rafaello & Nastazià



« Ma façon de te remonter, sera de te recadrer totalement, de t’interdire certains trucs et de t’ouvrir les yeux sur quelques points. Ca ne te fait pas peur ? » Fronçant les sourcils, je me pinçais les lèvres en le regardant longuement cherchant alors à comprendre certaines choses. « M’interdire certaines choses ? Genre ? Ouvrir les yeux sur quoi ? Je n’ai pas peur, je suis curieuse en fait… » soufflai-je doucement en me demandant ce qu’il allait bien pouvoir me faire dans tout cela… Inspirant, je serrais doucement sa main dans la mienne, caressant son poignet de mon pouce. « Alors … Ca ne te fais pas peur si je te dis que dans quelques temps je serai incapable de supporter que tu fasses des photos presque nue ou avec les seins découverts et que je t’interdirai d’en faire ? Que je t’interdise aussi de porter des fringues qui dévoilent trop ton corps à mon goût, pour sortir sans moi ? Que je t’interdise les contacts physiques avec des hommes lors de tes shooting ? Qu’il m’arrive d’utiliser le chantage affectif pour que tu ne sortes pas avec tes amis certaines fois ? Que je te demande de limiter tes contacts physiques avec n’importe quel homme ? Tout ça, ose me dire que ça ne te dérange pas le moins du monde … » Clignant des yeux, je me tournais vers lui, en restant alors silencieuse pendant un très long moment, tout comme lui d’ailleurs. Le fait qu’il me sorte cela ne me gênait pas, dans le fond ce qui me gênait c’était plus le fait qu’il avait l’air de l’avoir déjà fait avec d’autres femmes… Il avait l’air habitué… Combien de femmes avait-il aimé ? Mon cœur se serrant dans ma poitrine je détournais le regard en serrant ma mâchoire comme jamais. « Bien sûr la réciproque est vraie aussi. Tu as le droit de m’obliger à limiter mes contacts physiques avec la gente féminine. Et si on était en Italie, je te dirai même que tu as le droit de m’interdire de me promener torse nu. Mais ce n’est pas à New-York que je me baladerais ainsi. » riant nerveusement, je détournais le regard posant mon coude contre le rebord de la vitre regardant alors la route en serrant de plus en plus la mâchoire. Qu’il m’interdise tout cela ok, mais de le voir si habitué me tuée… Je n’étais donc pas si unique que cela dans le fond… Déglutissant longuement, je restais au fond de mon siège en soupirant lentement. « Tu sais ce qui me choque dans tes paroles ? Pas tant le fait que tu veuilles m’interdire tout cela, car je le ferais surement… Mais le fait que tu ais l’habitude… Tu le faisais avec tes ex petites copines ? Tu étais aussi jaloux avec elles ? Car j’en ai bien l’impression… »[/color]

Moi jalouse ? Pas du tout… Claquant ma langue contre mon palet je baissais le regard en soufflant fortement. « Et ouais... Evite de te balader torse nu… Même si je n’avais pas le droit je te l’aurais interdit… ça me ferait chier de voir que tu peux m’interdire ce que tu veux mais que moi, je ne puisse pas… » Il me rendait jalouse, chose que je n’avais jamais été auparavant… C’était un tout nouveau sentiment en moi et ça me faisait bizarre tout de même… Préférant changer de sujet je soupirais lentement en lui disant que je ne l’interdirais pas de dormir mais qu’au contraire je ferais une sieste avec lui et que ça tombait bien puisque j’avais amené serviette et couverture… « Parfait ! On pourra se blottir l’un contre l’autre sous cette couverture. » Inspirant longuement rien que le fait de nous imaginer sous la couette, j’avais une toute autre vision des choses, j’imaginais déjà des choses totalement sexuelle, et dans un sens j’étais persuadée que lui aussi ! C’était même obligé… « Hum… Oui, on pourra… » Soufflai-je sans rien dire de plus, mes pensées me suffisaient amplement. Parlant par la suite de mon congé qui durée la semaine, il me demanda si j’avais prévu de le voir dans cette semaine ou si je comptais rester chez moi à lézarder dans mon coin. Je lui appris alors que je voulais bien le voir mais que bossant de nuit je ne voulais pas non plus le fatiguer, donc le voir plutôt un peu plus tard que si tôt le matin… au bout de trois jours il serait fatigué… « Ou alors tu viens dormir chez moi, comme ça à mon retour tu es là … Et on peut dormir ensemble. » Entrouvrant la bouche surprise d’une telle proposition, je tournais le regard vers lui avant de déglutir longuement et lentement, souriant en coin. Mon dieu qu’il me rendait totalement folle. Dormir chez lui ? Dans son lit, enfouir mon visage dans ses coussins pour sentir l’odeur mourir de plaisir… J’en rêvais… Je voulais me blottir contre lui a son arrivée, je le voulais terriblement… Passant brièvement ma langue sur mes lèvres je déglutis avec difficulté, ce n’était pas chose aisé… « C’est une bonne idée ça… Dormir chez toi ? Dans ton lit ensemble ? Je vote bien évidemment pour… » soufflai-je doucement d’une voix on ne peut plus prometteuse. J’avais envie d’y être… Parlant par la suite de ma fille, j’en vins à dire qu’elle me réclamait un père, chose affolante au vu de son âge… « Elle te réclame un papa ? Je pensais que les enfants de parents célibataires, étaient plutôt du genre à vouloir que leur parent soit à eux et rien qu’à eux. » Souriant faiblement, je serrais quelque peu sa main. Il n’avait pas tort, mais l’avantage, ou bien même l’inconvénient, c’était que je ne vivais pas seule, puisque mon frère et ma sœur étaient présent chez moi. Donc elle avait l’habitude d’être entouré, elle avait tonton, tatie et maman, et parfois grand-mère. Il lui manquait juste papa comme elle me le disait si bien. Elle le disait surtout depuis qu’elle allait à l’école la coquine… De voir tout le monde ou presque avec deux parents, alors qu’elle, elle n’en a qu’un. « Et je ne peux que fondre. Il suffit de voir comme sa mère me fait fondre. » Riant doucement en me sentant alors rougir, j’inspirais longuement en posant bien ma tête sur l’appui tête. Je le faisais fondre, alors si moi je le faisais fondre, oui ma fille le ferait tout aussi fondre…

« Ben je ne vis pas seule, je suis avec ma sœur et mon frère, donc, je ne suis pas seule avec elle, je pense que c’est ça… Puis le fait d’entrer à l’école et de voir que certains ont des pères… Je pense que c’est surtout ça… » soufflai-je doucement en souriant en coin lui lançant un regard on ne peut plus amoureux. « Je te fond beaucoup ? » Demandai-je en souriant en coin avant de descendre de la voiture une fois arrivée. Lui annonçant alors qu’il était à moi pour toute la journée, la nuit et autant de temps qu’il le voudrait, je me collais un peu plus à lui l’air de rien. « Prépare toi à m’avoir dans les pattes très très très longtemps dans ce cas. » Tournant un regard en coin vers lui, je le détaillais de haut en bas me mordillant lentement les lèvres avec envie. Je le voulais dans mes pattes pour autant de temps qu’il voulait… Il pouvait bien me séquestrer même que je serais bien d’accord, c’était loin de me déplaire, il avait ma bénédiction pour ce genre d’acte, bien entendu… « Pauvres petite pattes, j’espère que t’es pas trop mauvais et que tu sauras te montrer tout mignon tout gentil avec mes pattes ! » Souriant en coin je serrais l’air de rien sa main comme pour me foutre de lui. Au contraire, il pouvait abuser de mes pattes autant qu’il voulait, il pouvait bien me faire chier, faire ce qu’il voulait, j’étais pour. Je savais que sa présence m’était presque vitale à présent. Et je doutais fortement qu’il soit le genre d’homme saoulant et j’en passe, au contraire je buvais ses paroles comme si c’était les paroles d’un évangile. M’entrainant vers le parc, je le laissais faire, lui faisant alors remarquer que je voulais qu’on soit dans un coin tranquille puisque j’étais une mannequin et que par conséquent on pouvait vouloir une photo de moi, ou bien même un autographe et j’en passe, alors autant le prévenir. « La preuve, les magazines n’ont jamais sorti une photo de nous dans les rues de New-York, malgré que tu sois connue. Tu peux donc compter sur moi pour trouver ce genre de coins, de jour comme de nuit … »

Je restais quelques peu idiote sous sa remarque. Il n’avait pas tort du tout… Il était vrai que en général quand je sortais on me bombardait de photos et j’en passe, mais jamais, absolument jamais en train d’acheter de la drogue. Je crois que Rafaello m’aurait tué… Mais si nous venions à nous afficher ensemble, il allait devoir subir les photos lui aussi, car les journalistes allaient vouloir savoir ce que faisait Rafaello avec qui trainait la mannequin et j’en passe… « Oui, c’est vrai je n’y avais pas pensé sur ce point-là… Mais tu sais qu’il suffira d’une fois ? Une fois et les journalistes vont te traquer toi aussi ? Qui est le beau brun ténébreux ? Que fait-il dans la vie… Et tout ça… Mais je compte sur toi, hum, si tu n’assures pas attention… » soufflai-je doucement en mordillant lentement mes lèvres en lui lançant un regard quelque peu taquin tout en serrant ma main sur la sienne, comme pour lui faire comprendre qu’il n’avait vraiment pas intérêt de me décevoir sur ce point-là. M’entrainant dans le parc, en silence, il nous dégota un endroit assez tranquille, entre plusieurs bosquets histoire que l’on ne soit pas vu. Posant les affaires, je regardais autour de nous en souriant en coin, mettant alors la serviette au sol avant de lui dire que c’était parfait, avant de le faire tomber dessus pour m’assoir sur lui, lui demandant alors s’il voulait manger maintenant ou parler ou après. « J’ai faim. Très faim … Mais je suis un régime draconien. On parle en mangeant ? » Baissant furtivement le regard sur son corps, je lâchais un bref râle d’envie sous le coup. Son régime draconien me concerné, je n’étais pas dupe, ni même abrutie, je savais qu’il parlait de cul. Il crevait d’envie de moi, tout comme moi je crevais d’envie. Sa main s’en allant de ma taille je compris qu’il résistait plus que de raison. Posant mes doigts sur son torse, je les montais lentement a sa gorge, un par un comme une petite bête sur lui souriant en coin. « Un régime ? Hum… On est deux à suivre ce foutu régime… Mais oui, mangeons en parlant… » soufflai-je doucement en m’allongeant alors sur lui l’air de rien pour déposer un lent et doux baiser sur son front fermant brièvement les yeux sous le plaisir que me procurer ce contact.

Sentant ses mains se faufiler sous mon haut dans mon dos, je me mis a déglutir avec difficulté. C’était terriblement bon de sentir ses mains sur mon corps, on ne pouvait pas dire qu’il me laissait insensible… Loin de là même… Je lui appris alors, sans perdre de temps qu’ici était le parc ou j’amenais Camilya, là où je ne venais plus depuis quelques temps… mais que grâce à lui j’avais pris le courage de venir et c’était déjà cela… « Je veux que tu gardes tous les bons souvenir avec Camilya et que tu enregistres tous les autres à venir. Avec moi, avec Marilys … Nous. » entrouvrant la bouche je soupirais lentement en sentant ses mains dans mon dos, caressant faiblement ma peau remontent carrément sur la fermeture de mon soutiens gorge. Déglutissant lentement, j’essayais tant bien que mal d’ignorer ses mains qui me rendaient totalement folle. Il était non, il venait de m’exciter, j’étais excitée… Je crevais d’envie de faire l’amour avec lui, là, tout de suite… « Et tu es en sécurité ma poupée russe. Sur tous les plans ! » Mordillant lentement ma lèvre inférieure je m’approchais de lui pour frotter lentement mon nez du sien ne le quittant pas du regard une seule seconde. C’était très tentant, terriblement tendant de l’embrasser, de bouger contre son corps, de glisser ma cuisse sur son entre jambe, de le frotter, de l’exciter tout simplement… Mais non, il fallait que je me tienne, tout comme lui se tenait à ce moment présent. Déposant un doux baiser sur son front, je posais alors mon menton sur le sommet de son crâne, me fichant que ma poitrine puisse être sous son menton. Restant silencieuse un long moment, je fourrageais alors ses cheveux tout en fermant les yeux. « Je garde les bons souvenirs, crois-moi…. Et je vais enregistrer les nôtres à venir… Celui d’aujourd’hui par exemple ! Puis les futurs à venir, hum, surtout ceux à trois… Il me tarde que tu connaisses Marilys, tu as l’air si… Doux, si… Je suis sûre que ça collera bien et qu’elle voudra plus te quitter ! Je l’a connais cette petite maline… » Soufflai-je doucement en mordillant lentement mes lèvres avant de caresser du bout de mes doigts sa joue en ronronnant lentement. Je profitais au maximum de ce moment, autant dire que c’était notre premier moment ensemble, et que je n’allais en rien le faire capoter ou autre… et pour cela… il fallait vraiment que je fume… Me redressant lentement je pris mon paquet de cigarette, sortant une clope pour la glisser entre mes lèvres l’allumant rapidement tout en m’asseyant sur lui. A califourchon, espérant que cela ne puisse le gêner… Posant ma main libre sur son torse, je la glissais sous son haut l’air de rien pour taquiner sa peau, remontant à l’un de ses pectoraux pour caresser son téton avec envie. « T’es mon garde du corps…Mon tout… » soufflai-je en lui lançant un regard entendu avant de me tourner plus ou moins vers les sacs, les tirant pour les mettre à nos côtés. Ouvrant celui contenant la nourriture, je sortis le saladier remplit de condiment, une bonne grosse salade bien nourrissante. Deux assiettes, des couverts je sortis aussi les verres et la bouteille de coca. Me laissant tomber à ses côtés je lui lançais un regard taquin avant de tirer longuement sur ma clope, sentant la fumée inhaler mes poumons. « J’espère que t’aime la verdure ? Par la suite y’a plein, tout plein de charcuterie et viande froide… Je ne sais pas pourquoi, t’as une tête à aimer ça… pas vrai ? » Dis-je l’air de rien en riant doucement, m’étirant en faisant craquer lentement mon dos, ma main libre, se posant alors sur l’une de ses cuisses pour la lui caresser. Nous n’étions pas officiellement un couple, mais j’avais l’impression que si, à notre façon.
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MessageSujet: Re: First date between two strangers [pv Nastazià] -terminé- First date between two strangers [pv Nastazià] -terminé- EmptyMar 31 Jan - 15:12


It's just the beginning

When she was just a girl, she expected the world, but it flew away from her reach, so she ran away in her sleep. And dreamed of para-para-paradise, Para-para-paradise, Para-para-paradise, Every time she closed her eyes. When she was just a girl, she expected the world, but it flew away from her reach, and bullets catch in her teeth. Life goes on, it gets so heavy, the wheel breaks the butterfly. Every tear, a waterfall. In the night, the stormy night, she closed her eyes. In the night, the stormy night, away she flied. And dreamed of para-para-paradise, Para-para-paradise, Para-para-paradise, Whoa-oh-oh oh-oooh oh-oh-oh. She dreamed of para-para-paradise, Para-para-paradise, Para-para-paradise, Whoa-oh-oh oh-oooh oh-oh-oh. (x2) La, la, la... And so lying underneath those stormy skies. She'd say, "oh, ohohohoh I know the sun must set to rise" This could be Para-para-paradise Para-para-paradise Para-para-paradise Oh oh oh oh oh oh-oh-oh This could be Para-para-paradise Para-para-paradise This could be Para-para-paradise Oh oh oh oh oh oh-oh-oh-oh This could be Para-para-paradise Para-para-paradise This could be
Para-para-paradise Oh oh oh oh oh oh-oh-oh-oh


« M’interdire certaines choses ? Genre ? Ouvrir les yeux sur quoi ? Je n’ai pas peur, je suis curieuse en fait… » Je souris faiblement en restant silencieux un long moment. Je craignais véritablement de lui faire peur. J’étais beaucoup trop franc selon moi et je pensais sérieusement que ça n’allait pas jouer en ma faveur du tout. Surtout que j’étais loin de lui dire des choses positives, sur mon propre compte mais bel et bien, tout ce qu’il y avait de plus négatif. « T’interdire de sortir en short, jupe, robe, sans moi. Je pourrais bien t’interdire parfois, de sortir tout court. Et t’ouvrir les yeux sur ce que tu es et vaux vraiment. » Lui avouais-je une nouvelle fois, sans ciller. Comme si je ne craignais pas ses réactions mais étais persuadé qu’elle n’aurait pas la moindre objection. Alors qu’en réalité, j’avais vraiment peur. Peur qu’elle ne supporte plus d’apprendre tout ça sur moi, qu’elle se décide à fuir à l’annonce de tous ces défauts et de tous les risques qu’elle encourait à vivre une relation avec un italien tel que moi. J’étais intimement convaincu que malgré toutes mes mises en garde, elle ne réalisait pas vraiment ce qu’il en était et ce qu’elle allait devoir vivre et subir avec moi. C’était bien pour cela que je me montrais tant pessimiste au sujet de notre avenir, quand je lui affirmais qu’elle ne supporterait pas ceci ou cela. Au moins, si elle venait à partir avant qu’il ne se passe quoi que ce soit entre nous, je serai moins déçu. Enfin non, pas du tout en fait. Mais j’aimais à le croire un tant soit peu … Ca me donnait une once d’espoir. Et l’espoir, même s’il pouvait détruire, était tout de même bon, selon moi. Alors que je conduisais en direction du par cet qu’elle me caressait la main, je finis par lui avouer toutes les petites choses que je ne pourrai plus supporter et que je ferai, une fois en couple. Cela allait du fait que je pourrais la retenir sexuellement parlant, dans une chambre, pour la dissuader de sortir avec ses amis. Au fait de lui interdire les photos de nue ou presque nue, au fait de poser avec un homme. Bref, des choses parfois abracadabrantes mais je n’y pouvais vraiment rien, c’était ainsi. J’étais ainsi, tout simplement. C’était ma jalousie et ma possessivité qui voulaient ça, et j’avais terriblement peur de la faire fuir. Pourtant, je préférais quand même la prévenir à l’avance, quitte à la perdre dès maintenant, plutôt que la faire souffrir plus tard. Ca me paraissait plus honnête et plus juste pour elle. Bien entendu, comme je lui en fis d’ailleurs part, tout cela s’appliquerait forcément à moi aussi puisque ça n’allait pas que dans un sens.

Son rire nerveux fit totalement disparaître le semblant de sourire qui se trouvait sur mes lèvres un instant plus tôt. J’étais déjà en train de la perdre. Et je n’avais pas le droit de la retenir, si c’était ce qu’elle voulait. Peut-être accepterait-elle de passer la journée avec moi mais ne voudrait plus que l’on se revoit par la suite, refusant tout rendez-vous futur, que je pourrais lui proposer. Je devais la laisser agir à sa guise même si mon envie était et resterait toute autre. « Tu sais ce qui me choque dans tes paroles ? Pas tant le fait que tu veuilles m’interdire tout cela, car je le ferais surement… Mais le fait que tu ais l’habitude… Tu le faisais avec tes ex petites copines ? Tu étais aussi jaloux avec elles ? Car j’en ai bien l’impression… » Je me figeais à ses mots, totalement choqué et surpris par le fil de ses pensées. Je m’étais attendu à ce qu’elle se plaigne du fait que je pouvais être à ce point et donc, que je foute nos chances en l’air. Je m’étais attendu à ce qu’elle me fasse remarquer que je n’aurais pas la moindre raison d’être aussi jaloux puisque je pouvais lui faire confiance. Mais ça ? Jamais ! Etait-elle jalouse ? J’avais l’impression que oui, mais n’osais pas me faire de faux espoirs pourtant. « Et ouais... Evite de te balader torse nu… Même si je n’avais pas le droit je te l’aurais interdit… ça me ferait chier de voir que tu peux m’interdire ce que tu veux mais que moi, je ne puisse pas… » Oui, elle l’était. Elle ne supporterait pas que je puisse me balader torse nu, ce qui signifiait clairement, qu’elle était jalouse. Je ne pu retenir un léger rire de soulagement, à cette question. Je m’étais attendu à tout, sauf à cela. Et j’étais grandement soulagé. Soupirant doucement, je serrai sa main de la mienne, en entremêlant fortement nos doigts, l’air de rien. « Nastazià … Serais-tu jalouse ? A l’idée que d’autres pourraient voir mon torse ? A l’idée que j’ai pu être pareil avec mes ex ? » Lui demandais-je alors, d’une voix douce et attendrie. Je soupirai doucement en levant nos mains liées, pour déposer un lent baiser sur la sienne, la gardant contre mes lèvres un moment. « Non je n’étais pas ainsi. Pas autant, du moins. Tu ne peux pas comparer mes réactions te concernant, et mes réactions les concernant elles. Elles pouvaient sortir quand elles voulaient, fringuées comme elles le voulaient, tant qu’elles ne ressemblaient pas à des puttana. Je n’étais pas jaloux, juste possessif. Je réagissais mal lorsqu’elles faisaient des trucs avec d’autres gars, en ma présence. Si elles leurs faisaient de l’œil, leur parlait trop longtemps, les laissait les toucher … Bref, juste … Comme si elles n’étaient qu’un objet qui m’appartenait. Toi … Toi tu es tellement inestimable, que la seule idée de tous les vautours qui pourraient te tourner autour, en mon absence, me donne des envies de meurtre. Crois moi, je suis jaloux avec toi, je ne l’étais pas avec elles. Je suis jaloux rien qu’à l’idée que tu puisses parler avec un autre, c’est dire. » Lui avouais-je une nouvelle fois, avec une sincérité déconcertante, même pour moi.

Nous changeâmes ensuite, radicalement, de sujet. Puisqu’il fut question de notre journée à venir, au parc. Je mentionnai l’idée que nous pourrions nous blottir l’un contre l’autre, sous la couverture qu’elle avait amené. Bien entendu, mon véritable désir était tout autre. Mais j’avais décidé que nous devions attendre, ce n’était pas pour craquer aussi vite. « Hum… Oui, on pourra… » Je souris en coin, sans rien répondre à cela. Nos paroles, agissements et désirs, parlaient d’eux même, selon moi. Quand elle mentionna ses vacances d’une semaine, je voulus aussitôt qu’elle me réserve plusieurs jours. Et je compris sans mal, qu’elle n’aimait pas l’idée de me réveiller plus tôt que prévu, comme ça avait été le cas ce matin là, pour ce jour ci. Mais dans le fond, je m’en foutais royalement moi. Incapable d’accepter l’idée que nous puissions ne pas passer plusieurs jours ensemble, je lui proposai alors de dormir chez moi en mon absence, pour que je puisse la retrouver dans mon lit tous les matins. Nous passerions ainsi, pas mal de temps ensemble et c’était tout ce que je demandais dans le fond. Ni plus ni moins. « C’est une bonne idée ça… Dormir chez toi ? Dans ton lit ensemble ? Je vote bien évidemment pour… » Je ris doucement devant sa réaction et lui adressai un bref regard, pour la voir se passer la langue entre les lèvres et plusieurs petits tics qui me fascinaient et m’attendrissaient au plus haut point. Je soupirai doucement de bien être en affichant un franc sourire. L’idée de l’avoir dans mon lit même si ce n’était que pour dormir, me plaisait plus que de raison. « Tu t’imagines t’endormir seule dans mon lit, dans mes draps et me voir débarquer très tôt le matin et le blottir contre toi ? Mon corps encore froid contre le tien, brûlant du au sommeil. »Soufflais-je doucement, en souriant franchement à cette pensée. J’avais déjà hâte d’y être. Rentrer frigorifié d’une nuit dans les rues de la grande ville, pour me foutre en boxer et me glisser sous les couvertures … Pour me blottir contre son corps brûlant. Le simple fait de me blottir tout contre elle, me plaisait au plus haut point, à vrai dire. Raison pour laquelle j’avais déjà hâte que nous soyons installés dans le parc, sous la couverture. Lorsqu’il fut question de sa fille et du fait qu’elle désirait un père, je lui fis remarquer que c’était assez étrange puisque, selon moi, les enfants voulaient garder leur parent pour eux tout seuls. Mais je me trompais sans doute puisque, dans le fond, je n’avais jamais connu cela. « Ben je ne vis pas seule, je suis avec ma sœur et mon frère, donc, je ne suis pas seule avec elle, je pense que c’est ça… Puis le fait d’entrer à l’école et de voir que certains ont des pères… Je pense que c’est surtout ça… » Je souris en coin en hochant lentement la tête. Je ne connaissais pas vraiment les enfants et ne pouvais donc que la croire. C’était sa fille après tout et elle l’a connaissait forcément mieux que moi. Même si je venais à devenir comme un père pour elle, plus tard, notre relation ne serait jamais aussi forte que la leur, sans doute. Je craignais que, même si elle me considérait comme un père, elle pourrait me rappeler un jour, que je ne l’étais pas. Nastazià en arriverait-elle, elle aussi, à me faire une telle remarque, si j’osais dire ou faire quelque chose qu’elle n’apprécierait pas ? Je pensais que non mais songeais qu’on n’était jamais sûr de rien. « Tu as sans doute raison. » Dis-je simplement, en souriant en coin, mes pensées étant à mille lieux de là. Dans un avenir plus ou moins lointain pour être plus précis.

« Je te fond beaucoup ? » Je ris doucement à cette question, lui lançant un bref regard attendri en hochant positivement la tête. « Un seul regard sur toi et je fonds. » Lui dis-je en souriant en coin. C’était on ne peut plus vrai. Une fois dehors, alors que nous filions dans le parc à la recherche d’un coin tranquille, je lui appris qu’elle allait m’avoir dans les pattes très longtemps, puisqu’elle voulait que ce soit ainsi jusqu’à ce que je me lasse. Ce qui n’était vraiment pas prêt d’arriver justement. « Pauvres petite pattes, j’espère que t’es pas trop mauvais et que tu sauras te montrer tout mignon tout gentil avec mes pattes ! » Je levai les yeux au ciel devant ses paroles, tirant un peu sur sa main pour l’attirer contre moi et coller mon épaule à la sienne, lui donnant ensuite un bref coup de hanche, l’air de rien. « C’est encore à méditer. On verra ça … » Lui dis-je d’une voix taquine, l’air de rien. Alors qu’elle mentionnait l’idée que je pourrai par la suite, trouver des lieux discrets pour faire des choses pas très catholiques, je lui fis remarquer que vu mon métier, elle pouvait clairement compter sur moi. Après tout, jamais aucune photo de nous deux, n’était parue dans la presse. Ce n’était pas du à une intervention divine ! « Oui, c’est vrai je n’y avais pas pensé sur ce point-là… Mais tu sais qu’il suffira d’une fois ? Une fois et les journalistes vont te traquer toi aussi ? Qui est le beau brun ténébreux ? Que fait-il dans la vie… Et tout ça… Mais je compte sur toi, hum, si tu n’assures pas attention… » Je plissai faiblement le nez à l’idée d’être traqué par les journalistes et paparazzi. Non seulement je ne tenais pas à ce que ma famille sache où j’étais, ce que je devenais et avec qui j’étais. Mais aussi, et surtout, comment continuer mon petit marché de drogues dans les rues, si l’on parlait de moi dans les magazines ? Les drogués ne viendraient plus se fournir chez moi, forcément. Et les flics seraient sur mon dos. Bref, il fallait que je sois sur mes gardes. « Ils comprendront vite qu’ils ne sauront rien de moi et qu’il est impossible de me traquer. » Je savais me fondre dans la masse et disparaître dans les rues de la ville, de jour comme de nuit, comme personne. Une fois arrivés dans notre coin tranquille, elle disposa la serviette de plage par terre et me poussa dessus. Je la laissai faire en riant doucement, avant de la laisser venir sur moi. A sa question pour savoir si je voulais manger, je lui fis remarque que je suivais un régime draconien. A comprendre par là, que je mentionnais ma forte envie d’elle, plus que mon envie de nourriture. A son bref râle d’envie, je fermai les yeux et retirai la main que j’avais glissée sous ses hauts, pour lui caresser la peau. Je devais être assez fort pour deux, sachant qu’elle-même semblait lutter avec grande peine. Et dire que ce n’était que le début … Comment allions nous survivre ? Je sentis ses doigts se poser sur mon torse et, souriant en coin, j’entrouvris les yeux pour la voir faire courir ses doigts le long de mon corps, pour remonter à ma gorge. « Un régime ? Hum… On est deux à suivre ce foutu régime… Mais oui, mangeons en parlant… » Je soupirai doucement de bien être lorsqu’elle s’allongea sur moi pour me prendre dans ses bras. Avec tendresse, j’entrepris de lui caresser le dos, du plat de mes mains. « Pauvres de nous … »

Tout en caressant son dos, nous parlâmes quelque peu de ses souvenirs, mentionnant Camilya, alors que mes doigts se glissaient parfois sur l’attache de son soutien gorge, l’air de rien. Je lui fis ensuite remarquer qu’elle était en sécurité avec moi, sur tous les plans. Elle se redressa alors pour venir frotter mon nez du sien et j’eus bien du mal à ne pas l’embrasser, devant la proximité de ses lèvres si parfaites et tentantes. Elle déposa ensuite un lent baiser sur mon front, avant de poser son menton sur mon crane. Je déglutis avec difficulté, en voyant sa poitrine de mon visage et soufflai longuement pour tenter encore une fois, de me contenir. Plutôt que de craquer, je continuais de caresser inlassablement son dos. Parfois, mes doigts se faufilaient sous la ceinture de son short, pour glisser sur ses reins et frôler parfois même, le haut de ses fesses, avant de remonter encore et encore. « Je garde les bons souvenirs, crois-moi…. Et je vais enregistrer les nôtres à venir… Celui d’aujourd’hui par exemple ! Puis les futurs à venir, hum, surtout ceux à trois… Il me tarde que tu connaisses Marilys, tu as l’air si… Doux, si… Je suis sûre que ça collera bien et qu’elle voudra plus te quitter ! Je la connais cette petite maline… » Je ris doucement avant de prendre une longue inspiration pour profiter pleinement de son parfum envoutant à souhait. Elle était si parfaite, que c’en était un péché que de ne pas en profiter. Et pourtant, je le devais. Dans l’immédiat en tout cas. Car ça ne serait pas toujours le cas. « J’espère qu’elle m’appréciera … Je ne suis peut-être pas si doué que ça avec les gosses … » Ne pus-je m’empêcher de marmonner faiblement. Il était vrai que je craignais de déplaire à sa fille et ne pas passer le test sans appel, qu’elle représentait. Si je ne lui plaisais pas à elle, toutes mes chances avec sa mère, étaient vouées à l’échec, selon moi. Je souris en coin lorsqu’elle se redressa pour me caresser la joue de ses doigts, avant de se redresser plus franchement. Elle se plaça à califourchon sur moi sans que je ne puisse le prévoir, ce qui me fit me figer franchement sur place. Durant de longues secondes, j’oubliai de respirer, la regardant simplement avec stupéfaction. « Outch … » Fut la seule chose que je parvins à marmonner, avant qu’elle ne glisse une main sous mon haut pour me caresser le torse en fumant tranquillement. Je me mordillai faiblement la lèvre en fermant les yeux et soupirant longuement de bien être. « T’es mon garde du corps…Mon tout… » Je souris franchement en lui adressant un regard clairement attendri. « Ton tout … » Répétais-je d’une voix douce et rêveuse. Je la regardai ensuite prendre les sacs pour les attirer à nous et sortir de quoi manger. Je la regardais faire en souriant en coin. « J’espère que t’aime la verdure ? Par la suite y’a plein, tout plein de charcuterie et viande froide… Je ne sais pas pourquoi, t’as une tête à aimer ça… pas vrai ? » Je ris quelque peu en levant les yeux au ciel, devant cette question presque bête. A croire qu’elle n’avait pas encore compris que j’étais un gros mangeur. Et que, de ce fait, j’aimais absolument tout. « J’aime tout ce qui peut contenter mon estomac, jeune demoiselle ! » Lui fis-je remarquer en me redressant, posant mes mains sur le sol derrière moi, pour prendre appuie. « Bon certes … Quand je te dévorerai toi, ça ne contentera pas mon estomac mais tout autre chose. » Lui fis-je remarquer l’air de rien, sans la quitter un seul instant du regard, pour la provoquer plus que de raison. Je récupérai ensuite sa clope pour la porter à mes lèvres l’air de rien. Je tirai une fois dessus, avant de l’éteindre et la lui rendre, à demie fumée seulement. « Tu devrais les fumer moitié par moitié. Ca te fera diminuer sans même t’en rendre compte. »

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MessageSujet: Re: First date between two strangers [pv Nastazià] -terminé- First date between two strangers [pv Nastazià] -terminé- EmptyMer 8 Fév - 0:41


₪ FIRST DATE BETWEEN TWO STRANGERS

Rafaello & Nastazià



« T’interdire de sortir en short, jupe, robe, sans moi. Je pourrais bien t’interdire parfois, de sortir tout court. Et t’ouvrir les yeux sur ce que tu es et vaux vraiment. » Fronçant les sourcils, je le regardant sans trop réellement comprendre. M’ouvrir les yeux sur ce que je vaux vraiment ? Qu’est-ce qu’il entendait par là ? J’avais un peu peur sur le coup, mais je savais que je pouvais aisément lui faire confiance… « Ça ne me dérange pas ça… Si tu m’interdis de sortir, préviens-moi un peu en avance… Pour que je prévienne les autres aussi… non ? Mais… euh… Et qu’est-ce que je vaux ? » Demandai-je sans trop comprendre avant de me faire terriblement jalouse à son encontre. Je lui faisais comprendre que je ne voudrais pas qu’il se balade en torse nu, encore moins s’il m’interdisait de sortir ou autre… C’était a double sens chez moi… Pas à sens unique ! Hors de question même… « Nastazià … Serais-tu jalouse ? A l’idée que d’autres pourraient voir mon torse ? A l’idée que j’ai pu être pareil avec mes ex ? » Détournant le regard, agacée qu’il puisse rapidement voir que j’étais jalouse, je plissais le nez. « Non je n’étais pas ainsi. Pas autant, du moins. Tu ne peux pas comparer mes réactions te concernant, et mes réactions les concernant elles. Elles pouvaient sortir quand elles voulaient, fringuées comme elles le voulaient, tant qu’elles ne ressemblaient pas à des puttana. Je n’étais pas jaloux, juste possessif. Je réagissais mal lorsqu’elles faisaient des trucs avec d’autres gars, en ma présence. Si elles leurs faisaient de l’œil, leur parlait trop longtemps, les laissait les toucher … Bref, juste … Comme si elles n’étaient qu’un objet qui m’appartenait. Toi … Toi tu es tellement inestimable, que la seule idée de tous les vautours qui pourraient te tourner autour, en mon absence, me donne des envies de meurtre. Crois-moi, je suis jaloux avec toi, je ne l’étais pas avec elles. Je suis jaloux rien qu’à l’idée que tu puisses parler avec un autre, c’est dire. » Entrouvrant la bouche, je me sentis rougir quelque peu, détournant alors le regard en mordillant lentement mes lèvres. C’était terriblement plaisant à entendre tout cela, il n’y avait pas d’autre mot en fait. Je découvrais réellement Rafaello pour le coup. Le regardant longuement, je le détaillais en souriant longuement. « Je… Oui bon, oui, je suis jalouse, j’ai pas envie de te partager, car tu es le premier… T’as pas idée de ce que tu représentes pour moi, je ne veux pas te perdre ni partager quoi que ce soit… Et je suis contente d’apprendre qu’avec moi c’est pire ça prouve pas mal de chose et ça me plait… »[/color] murmurai-je lentement en le regardant longuement souriant en coin. M’approchant je déposais un rapide baiser sur sa joue m’asseyant a nouveau sur la banquette l’air de rien. Parlant par la suite du fait que j’étais en vacances pour la semaine, on en vint a parler du fait qu’on se verrait donc plus souvent mais que pour ne pas le fatiguer le mieux était de dormir chez lui. Bonne idée… terriblement même… « Tu t’imagines t’endormir seule dans mon lit, dans mes draps et me voir débarquer très tôt le matin et le blottir contre toi ? Mon corps encore froid contre le tien, brûlant du au sommeil. »

Gémissant faiblement je passais a plusieurs reprises ma langue sur mes lèvres comme un avant-gout du plaisir. Il était, non il venait clairement de me tuer avec sa description… J’imaginais parfaitement la scène pour le coup. Moi dormant paisiblement, la tête enfouit dans l’un de ses coussins pour avoir l’odeur de Rafaello sur moi, et lui me rejoignant totalement glacé… Se réchauffant contre mon corps. Je m’en délectais d’avance. « J’imagine… Va falloir qu’on fasse ça… souvent ! » soufflai-je d’une toute petite voix sous le coup, totalement envouté par le désir et le plaisir. Parlant par la suite de ma fille, Marilys, j’en vins à lui dire qu’elle n’était pas comme les autres et que si elle voulait un papa, c’était surement par le manque ressentis, vis-à-vis des autres enfants à l’école ni plus ni moins. Elle voyait ses amis avec deux parents, je pouvais parfaitement la comprendre. « Tu as sans doute raison. » Le regardant longuement, je caressais faiblement sa main de la mienne en souriant doucement. Il avait peur, je le sentais à sa façon d’être. Je pouvais le comprendre, arriver dans une sorte de petite famille ce n’était pas non plus ce qu’il y avait de plus facile. Etre accepté de l’enfant pour que le parent soit d’accord avec la relation… C’était là, une chose compliqué… « Tu sais, t’as pas à avoir peur… C’est vrai qu’arriver alors que l’un des deux a un enfant ne doit pas être facile, mais Marilys est cool comme petite… Elle ne sera pas une cause de séparation crois-moi… » soufflai-je doucement en sortant du véhicule une fois garé près du parc. Marchant quelque peu pour filer dans le parc même, il en vint à me dire que je le faisais fondre je ne pus m’empêcher de lui demander si je le faisais fondre beaucoup. « Un seul regard sur toi et je fonds. » Mordillant mes lèvres, je lui lançais un regard on ne peut plus taquin, lui donnant un faible coup de hanche l’air de rien. « Me regarde pas trop je fais quoi si t’es trop liquide ? j’ai rien pour te solidifier moi ! » Dis-je d’une voix faussement affolé, en lui lançant un regard on ne peut plus amusé, me retenant clairement de rire. C’était tellement plaisant de rire en sa compagnie. Puis il m’apprit que je l’aurais constamment dans mes pattes, et je ne pus m’empêcher de dire qu’il fallait faire attention à mes petites pattes et qu’il ne se montrerait pas trop mauvais avec elles tout de même… « C’est encore à méditer. On verra ça … »

lui lançant un regard taquin, je fis un franc sourire sans rien répondre. Il pouvait bien trainer dans mes pattes j’étais totalement pour c’était loin d’être un souci majeure. Marchant côte à côte dans le parc pour filer dans un endroit discret, je lui demandais s’il avait pensé au fait que des journalistes allaient nous prendre en photo dans la rue et j’en passe, il devrait donc s’habituer… Et ce n’était pas réellement cool pour son métier, on le savait tous les deux. « Ils comprendront vite qu’ils ne sauront rien de moi et qu’il est impossible de me traquer. » passant brièvement ma langue sur mes lèvres, je tournais un regard attendri vers Rafaello. C’était touchant ce qu’il disait, et j’espérais sincèrement qu’il ne lui arriverait rien, je ne voulais pas qu’il ait des soucis par ma faute. On savait tous les deux qu’être revendeur de drogue n’était en rien une chose bonne… Il pouvait avoir des soucis dans les deux cas. Que ça soit de ses revendeurs à lui, ou bien même de la police. Et là, nous étions tous les deux dans la merde. Lui vis-à-vis de la drogue, moi vis-à-vis de ma fille. Mais j’avais confiance en lui, et je savais que dans tous les cas il n’arriverait strictement rien… N’est pas ? « T’as pas peur ? D’apparaitre sur la couverture d’un magazine avec moi ? Une photo prise à la sauvette pour dévoiler la vie privée de la jeune et prisé Cannelle ? Pff, toutes les filles pourront te mater ! Comme si celles de New-York ne suffisaient pas… » marmonnai-je doucement en plissant le nez, signe de jalousie de ma part. Je n’aimais pas que l’on puisse le regarder, j’avais ce besoin de le savoir mien. Alors que nous ne nous étions même pas encore embrassé, et que nous n’étions même pas officiellement un couple… J’étais surement tarée… Soupirant lentement, arrivée à l’endroit je posais la serviette sur le sol, le faisant tomber l’air de rien pour venir contre lui m’allongeant en fourrageant ses cheveux parlant alors de régime. Pas n’importe quel régime… Le régime sexuel ! « Pauvres de nous … » Frissonnant longuement à ses paroles, je fermais lentement les yeux, un sourire taquin au bout des lèvres. Oui, le régime draconien n’était pas le meilleur régime qu’il soit mais nous n’avions pas réellement le choix non plus… totalement allongée sur lui, comme si c’était normal, je me mis à lui parler, me confiant sur le fait qu’avant je venais avec Camilya ici… Des souvenirs assez présents et j’en passe, mais, il fallait que j’en créais de nouveau comme il venait de me conseiller, des souvenirs avec Marilys des souvenirs a trois à venir… je savais que ce genre de souvenir serait parfait…

« J’espère qu’elle m’appréciera … Je ne suis peut-être pas si doué que ça avec les gosses … » Soupirant lentement, je posais ma main sur son cou, le lui caressant avec lenteur. Je savais parfaitement que Marilys allait l’aimer, terriblement même. Je connaissais parfaitement ma fille, c’était qu’une enfant, sociable comme pas deux, qui aimait la vie, les gens et qui connaissait tout le monde des qu’on lui présentait quelqu’un… Elle faisait très attention, elle faisait surtout confiance quand c’était un membre de la famille qui ramenait quelqu’un. J’avais toujours pris le soin de ne pas présenter n’importe qui à ma fille, aucune mannequin drogué et j’en passe, c’était une règles d’or… Je ne voulais pas que ma fille vive dans un monde de débauche et j’en passe… Et je savais pertinemment que mon métier n’aidait en rien malheureusement. « Dis pas de bêtise Rafaello… Marilys t’appréciera, crois-moi, je connais bien ma petite fille, et je suis tout aussi sûre que tu vas t’en sortir avec elle ! C’est une petite fille formidable très câline, coquine mais obéissante, sauf pour la gourmandise, malheureusement je peux rien faire … Mais je sais que si je dois la confier à quelqu’un je te l’a laisserai sans crainte… » soufflai-je doucement en me redressant quelque peu pour le regarder droit dans les yeux. Souriant en coin, je déposais un bref baisé près de ses lèvres, me relevant pour sortir mon paquet de clope et m’en allumer une avec envie, mon corps tremblant quelque peu sous le manque de drogue. Le sentant se figer, je tirais longuement sur ma clope en le regardant quelque peu. « Outch … » Baissant le regard en pinçant faiblement mes lèvres je compris parfaitement sa réaction. Assise sur lui ça ne devait pas être facile… allumant rapidement une clope, je tirais longuement dessus sans le quitter du regard en souriant en coin.

« Respire… Ne pense pas à la position … » Soufflai-je l’air de rien sans bouger, le détaillant longuement en scrutant son visage avec amour. Il était d’une beauté à couper le souffle, et c’était tout bonnement une torture que de ne pas pouvoir le toucher, ou bien même faire l’amour avec lui… Il avait de la force, du caractère et je respectais son choix. Même si ça allait devenir de plus en plus dur au fil du temps… Au vu du désir que je lui portais… Posant lentement ma main libre sur son torse, je l’a faufilais rapidement sous son haut pour caresser alors sa peau avec douceur, tout en susurrant alors qu’il était mon tout, le mien, il était à moi, ni plus ni moins… « Ton tout … » souriant en coin, en posant lentement ma main sur sa joue, je l’a lui caressais en douceur sans le quitter un seul instant du regard. Mon tout, j’avais mon tout, l’homme de ma vie, celui que j’aimais et que je n’étais pas prêt de quitter un seul instant, oh que non… Sans rien répondre je tirais les sacs vers nous commençant faiblement a sortir ce dont nous avions besoin, tout en lui annonçant alors que j’avais fait beaucoup à manger. « J’aime tout ce qui peut contenter mon estomac, jeune demoiselle ! » Souriant en coin, je le regardais longuement baissant un furtif regard sur son ventre en riant lentement. C’était un petit monstre et c’était bien ce que j’aimais chez lui. « Bon certes … Quand je te dévorerai toi, ça ne contentera pas mon estomac mais tout autre chose. » Surprise, je lâchais n bref rire en levant vaguement les yeux au ciel, fumant longuement ma clope sentant la fumée inhaler mes poumons. « Espèce de petit pervers ! je sais que ça contentera ton entre jambe… »[/color] Soufflai-je l’air de rien en plongeant mon regard dans le sien, lui lançant un franc sourire colgate comme pour me foutre de lui. C’était tellement mignon, tellement magique et intense. Riant doucement, je tirais longuement sur ma clope avant de le voir se redresser et la prendre. Fronçant les sourcils je le laissais faire le regardant fumer avant de l’éteindre. Choquée je le regardais faire en entrouvrant la bouche. « Tu devrais les fumer moitié par moitié. Ça te fera diminuer sans même t’en rendre compte. » clignant les yeux, je le regardais en fronçant les sourcils. Je ne voulais pas arrêter, j’étais loin de vouloir arrêter les cigarettes. La drogue oui, mais pas la clope. Il me fallait bien quelque chose pour essayer d’arrêter non ? En compassassions autant fumer plus… Passant brièvement ma main dans mes cheveux, je lui fis un lent sourire. « Oui mais… Je… n’ai jamais voulu arrêter la clope Rafaello… Du moins là, ce n’est pas dans mes intentions… » soufflai-je doucement en plissant quelque peu le nez me laissant tomber à ces côtés pour m’assoir convenablement. Tirant le sac pour en sortir la nourriture l’air de rien, je sortis les assiettes ainsi que les couverts et verres. Les posant à côtés de nous, je pris le saladier de salade et l’assiette de charcuterie sous vide. « Alors, j’ai fait une salade russe, tu t’en serais douté ? Légumes, bœuf haché, mayonnaise, et là, une assiette de charcuterie, je me suis dit que vu ton grand appétit, t’aurais envie de ça en plus… et en boisson du coca, classique quoi… J’espère que ça te convient ? » Demandai-je doucement en tremblant quelque peu, posant ma main sur ma cuisse faisant comme si de rien était. Arrêter la drogue n’était pas une chose facile, encore moins quand on voyait du monde… Plus de vingt-quatre heures que je n’ai rien injecté dans mon corps… J’ai mal.
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MessageSujet: Re: First date between two strangers [pv Nastazià] -terminé- First date between two strangers [pv Nastazià] -terminé- EmptySam 11 Fév - 2:16


It's just the beginning

When she was just a girl, she expected the world, but it flew away from her reach, so she ran away in her sleep. And dreamed of para-para-paradise, Para-para-paradise, Para-para-paradise, Every time she closed her eyes. When she was just a girl, she expected the world, but it flew away from her reach, and bullets catch in her teeth. Life goes on, it gets so heavy, the wheel breaks the butterfly. Every tear, a waterfall. In the night, the stormy night, she closed her eyes. In the night, the stormy night, away she flied. And dreamed of para-para-paradise, Para-para-paradise, Para-para-paradise, Whoa-oh-oh oh-oooh oh-oh-oh. She dreamed of para-para-paradise, Para-para-paradise, Para-para-paradise, Whoa-oh-oh oh-oooh oh-oh-oh. (x2) La, la, la... And so lying underneath those stormy skies. She'd say, "oh, ohohohoh I know the sun must set to rise" This could be Para-para-paradise Para-para-paradise Para-para-paradise Oh oh oh oh oh oh-oh-oh This could be Para-para-paradise Para-para-paradise This could be Para-para-paradise Oh oh oh oh oh oh-oh-oh-oh This could be Para-para-paradise Para-para-paradise This could be
Para-para-paradise Oh oh oh oh oh oh-oh-oh-oh


« Ça ne me dérange pas ça… Si tu m’interdis de sortir, préviens-moi un peu en avance… Pour que je prévienne les autres aussi… non ? Mais… euh… Et qu’est-ce que je vaux ? » Je soupirai doucement en plissant quelque peu le nez. Pour une autre personne que moi, sa demande n’aurait rien eut de surprenante ou embêtante, même un minimum. Sauf que c’était mois justement. Et que moi, j’étais du genre à ne pas pouvoir prévoir par avance, pour dire si j’allais ou non faire une crise de jalousie en apprenant que celle que j’aimais, allait sortir Dieu sait où. Surtout alors que ça concernait Nastazià. Tout simplement parce que je savais déjà que je risquais d’être foutrement et presque constamment jaloux. La seule idée qu’elle puisse parler avec un autre homme que moi, à cet instant précis, suffisait largement à faire naitre une flambée de jalousie incontrôlable en moi. C’était parfaitement indéfinissable mais surtout, totalement incontrôlable. Tout ce que je pouvais dire dans l’immédiat, c’était le fait que je ne savais pas si je serai capable de la prévenir par avance, lorsqu’elle comptait sortir ave des amis. Tout simplement parce que je ne doutais pas qu’une crise de jalousie et d’angoisse, pourrait parfaitement me prendre la veille de sa sortie ou même à une heure ou deux, près. Chose qu’elle risquait d ne vraiment pas apprécié, apparemment. « Et si je suis incapable de te prévenir à l’avance ? Imagine que je me tape un coup de speed au moment où t’apprêtes à partir ? Tu m’en voudrais beaucoup ? » Demandais-je alors d’une voix presque hésitante. Plus nous parlions de ces foutus défauts qui étaient les miens et plus je craignais de voir arriver le moment où elle finirait par m’annoncer que c’était terminé, qu’elle ne voulait plus laisser la moindre chance à une éventuelle relation entre nous. J’avais terriblement peur que ceci arrive et étais presque certain que ça finirais bel et bien par arriver, pour mon plus grand malheur. Comment pourrait-elle supporter un type aussi jaloux et aussi possessif que moi ? Sans compter qu’elle était très certainement le genre de femme à avoir, non seulement un tas d’amis des deux sexes, mais aussi et surtout, un nombre incalculable, de prétendants. Et Dieu que je détestais cette idée … Cela seul, suffisait à me faire un mal de chien. Chose que je préférais ne pas lui dire d’ailleurs, par peur de l’effrayer pour de bon. « Hm tu vaux, tu vaux … Disons que tu vaux énormément. Je suis sûr que tu es capable de beaucoup de choses. » Ajoutais ensuite en souriant en coin.

Par la suite, histoire d’alléger ma culpabilité le jour où je ferai une véritable crise de jalousie à Nastazià, je lui appris dans le détail, ce dont j’étais capable sous l’effet d’une crise de jalousie ou de possessivité. Mais sa réaction, ne fut pas celle à laquelle je m’étais attendu. Je pensais qu’elle allait se foutre ouvertement de moi ou bien tout simplement me dire que c’était terminé parce que l’éventualité de telles crises de ma part, ne lui plaisait vraiment pas du tout. Bref, ce ne fut aucunement ce qui arriva. Au contraire, sa réaction me plut, puisqu’elle fit preuve de jalousie à son tour. Sans doute pas autant que moi-même. Mais c’était déjà énorme et cela me plaisait foutrement. Malgré tout, je fis tout ce qui était en mon pouvoir, pour la rassurer. Simplement parce que je savais que j’aimerais moi aussi, qu’elle fasse tout pour me rassurer, en cas de grosse crise de jalousie de ma part. Ainsi, je lui appris qu’il était impossible, presque interdit, de la comparer avec mes ex. La raison était bien simple. En effet, je les avais toujours considérées presque comme des objets, alors qu’elle, elle était la femme de ma vie. Comment ne pas vouloir garder la femme de sa vie, pour soit ? En temps normal, je n’aimais pas partager ce qui m’appartenait. Mais là qu’il était question de ma femme, je disais bien ma, c’était pire encore. Un regard un peu trop insistant posé sur elle, pourrait suffire à me faire sortir de mes gonds. « Je… Oui bon, oui, je suis jalouse, j’ai pas envie de te partager, car tu es le premier… T’as pas idée de ce que tu représentes pour moi, je ne veux pas te perdre ni partager quoi que ce soit… Et je suis contente d’apprendre qu’avec moi c’est pire ça prouve pas mal de choses et ça me plait… » Je souris en coin et laissai échapper un bref soupir de contentement, lorsqu’elle se redressa pour déposer un doux baiser sur ma joue. Je souris en coin et lui lançai un bref regard avant de me concentrer à nouveau sur la route. J’étais tout de même sacrément surpris, de constater qu’elle ne réagissait pas plus que cela, suite à mes révélations concernant ma jalousie. A croire qu’elle n’avait pas peur du tout. Etait-ce le cas ? J’étais plus tenté de penser qu’en fait, elle ne réalisait pas franchement ce qu’il en était. Elle était forcément loin de se douter de ce qu’il en était véritablement. « J’aime que tu sois jalouse … Ca prouve pas mal de choses. » Soufflais-je alors, en reprenant volontairement ses propos concernant ma dernière phrase. Oui, cela prouvait énormément de choses selon moi. Et si c’était pareil pour elle que pour moi, alors ça signifiait tout simplement que ses sentiments étaient certainement les mêmes que moi. Ou presque …

Nous continuâmes de discuter sans pouvoir nous lasser un seul instant. Et ce fut en apprenant le fait qu’elle avait une semaine de repos, que je lui proposai de rester dormir chez moi, pour que je puisse la retrouver dans mon lit, à mon retour le matin. J’allai même jusqu’à mentionner le fait que je collerais bien mon corps glacé par une nuit dehors, contre le sien brûlant suite à une nuit de sommeil. Le gémissement qu’elle laissa échapper, me fit franchement sourire sur le coup, tant il me plaisait et témoignait du plaisir qu’elle prenait à l’idée que je venais de lui mettre en tête. Sans doute lui plaisait-elle autant qu’à moi d’ailleurs. « J’imagine… Va falloir qu’on fasse ça… souvent ! » Je soupirai d’aise en hochant la tête, sans pouvoir cesser de sourire. « Je vote pour. » Lâchais-je presque aussitôt en songeant, que je pourrais bien la garder toute la semaine à mes côtés, pour avoir tous les matins de la sorte. Arriver chez moi, frigorifié, et me blottir tout contre son corps brûlant, pour la câliner tout simplement, sous les couvertures. Savoir qu’elle m’attendait chez moi était une chose qui me plaisait plus que de raison. C’était même peu dire. Il fut ensuite question de sa fille Marilys qui, selon elle, désirait ardemment avoir un papa. Et de toute évidence, j’étais celui qui prendrait un jour cette place, si notre relation allait jusque là. Chose qui, même si elle me plaisait dans le fond, me faisait tout de même un peu peur. Tout simplement parce que j’ignorais si j’avais vraiment les capacités requises, pour être papa aussi rapidement et d’une fille de l’âge de Marilys. J’avais beau aimer les gosses et vouloir en avoir tout un tas, je ne savais pas si être père était une chose que je saurais maitriser à la perfection, du jour au lendemain. Et puis dans le fond, peut-être qu’elle ne m’aimerait pas … « Tu sais, t’as pas à avoir peur… C’est vrai qu’arriver alors que l’un des deux a un enfant ne doit pas être facile, mais Marilys est cool comme petite… Elle ne sera pas une cause de séparation crois-moi… » Je lâchai un bref et involontaire rire nerveux en réalisant combien elle était déjà capable de me comprendre et me percer à jour, dans mes paroles et agissements, tout simplement. Chose que j’aimais plus que de raison, pour être tout à fait honnête. « Tu dis ça pour me rassurer mais on en sait rien. Si ça se trouve elle ne m’aimera pas, point. Parfois c’est juste comme ça, une tête ne nous revient pas et on ne peut rien faire contre ça. » J’avais conscience de me montrer défaitiste pour le coup. Ce qui était loin d’être dans mes habitudes en général. Mais lorsqu’il était question de savoir si je pourrais être aimé de telle ou telle personne, tout était différent et faussé. Simplement parce que j’étais persuadé de ne rien avoir pour moi et que du coup, personne ne pouvait sincèrement s’attacher à moi. C’était peut-être idiot dans le fond. Je n’en savais trop rien …

Une fois que nous fûmes arrivés au parc, je profitai de lui avoir ouvert sa portière, pour rester tout proche d’elle et lui faire remarquer qu’elle me faisait totalement fondre. Ce qui était un véritable euphémisme à la vérité. « Me regarde pas trop je fais quoi si t’es trop liquide ? j’ai rien pour te solidifier moi ! » Je ris doucement en levant les yeux au ciel, devant sa connerie. Je pinçai ensuite son nez entre mon index et mon majeur, du revers de ceux-ci. « Grr pourquoi j’ai des images perverses en tête ? » Demandais-je alors l’air de rien, en lui adressant un bref regard coquin. Taquinerie mise à part, nous ne tardâmes pas à nous mettre en route pour filer dans un coin tranquille du parc, que je venais moi-même de nous dénicher. Histoire d’être le plus tranquille et à l’abri des regards, possible. Je n’étais pas certain de pouvoir supporter que des fans viennent gâcher notre moment de pur bonheur ou pire encore, que des paparazzis fassent placarder des photos de Nastazià et de sa « nouvelle conquête ». Je ne tenais clairement pas à faire la Une des magazines. Et ce, pour tout un tas de raisons qui se trouvaient être trop nombreuses, pour que je puisse toutes les énumérer. Nous étions justement en train de parler des risques qu’il y ait des photos de nous, qui soient diffusées dans les magazines. Ainsi que l’éventualité que les paparazzis se mettent à me traquer moi aussi, pour pouvoir tout savoir de moi. J’appris donc à Nastazià, le fait qu’il était difficile, pour ne pas dire carrément impossible, de me traquer. J’étais trop futé et trop discret pour cela. Ils ne pourraient que se décourager rapidement, j’en étais certain. « T’as pas peur ? D’apparaitre sur la couverture d’un magazine avec moi ? Une photo prise à la sauvette pour dévoiler la vie privée de la jeune et prisée Cannelle ? Pff, toutes les filles pourront te mater ! Comme si celles de New-York ne suffisaient pas… » Si ma première réaction à la pensée que des photos de moi puissent être diffusées dans les magazines, fut de frissonner d’horreur, je ne tardai pas à rire pour la suite de ses paroles. Ainsi, elle ne supporterait pas que des femmes puissent me voir et soit disant me mater ? C’était foutrement plaisant … Mais elle semblait oublier que pour ma part, j’allais bien devoir faire avec le fait que bien des hommes, pouvaient la mater elle, constamment … « Apparaître sur une couverture avec toi ? Pas de problème ! Ainsi, tout le monde saura que tu m’appartiens. » Toujours penser avec sa jalousie et sa possessivité. C’était un quotidien chez moi. Et elle allait bien devoir apprendre à faire avec, elle aussi. « Et ? Tu oublies tous les hommes qui peuvent te mater toi, constamment ? Et parfois, dans des tes tenues provocantes … » Lâchais-je alors l’air de rien, à l’instant où je trouvais l’endroit parfait où elle étendit sa serviette, sans attendre.

Un moment plus tard, alors qu’elle était assise sur moi et que je luttais fortement contre mon désir à son encontre, il fut à nouveau question de sa fille. Et cette fois ci, je ne pu m’empêcher de lui faire remarquer, qu’elle ne m’aimerait peut-être pas. Personne n’était parfait et moi bien moins que les autres. « Dis pas de bêtise Rafaello… Marilys t’appréciera, crois-moi, je connais bien ma petite fille, et je suis tout aussi sûre que tu vas t’en sortir avec elle ! C’est une petite fille formidable très câline, coquine mais obéissante, sauf pour la gourmandise, malheureusement je peux rien faire … Mais je sais que si je dois la confier à quelqu’un je te la laisserai sans crainte… » Je soupirai faiblement en détournant le regard d’elle, pour le perdre loin au dessus de moi, les yeux plongé dans le ciel d’une bleuté et d’une clarté presque aveuglante. Ma main glissée dans son dos, la caresser avec lenteur, avant que je ne la retire pour ne pas craquer plus que de raison, et posai à nouveau mon regard sur elle. « Si elle est câline et gourmande, on devrait bien s’entendre ! » Finis-je par dire après un bref instant de silence, en faisant montre d’un minimum d’optimisme, concernant la relation que je finirai par entretenir avec sa fille, tôt ou tard. Je devais à tout prit partir sur un bon pied en cessant de penser que ça n’irait pas. Il fallait que ça aille, ni plus ni moins. Sans cela, ma relation avec Nastazià, était vouée à l’échec d’avance. Chose que je ne pouvais pas accepter, au vu des sincères sentiments que j’éprouvais à son encontre. Lorsque je la sentis bouger sur moi pour attraper son paquet de clopes, je ne pu m’empêcher de lâcher un bref « outch » sous une envie puissante qui venait de me gagner. Pourtant je devais lutter car ce n’était vraiment pas le bon moment. « Respire… Ne pense pas à la position … » Je grimaçai faiblement en fermant les yeux, conscient qu’à trop la regarder, je pourrais bien craquer pour de bon. « Plus facile à dire qu’à faire ! » Marmonnais-je entre mes dents serrées, pour le coup. Beaucoup plus facile à dire qu’à faire. Comme bien des choses d’ailleurs … Je soupirai faiblement d’aise, en sentant sa main se glisser sous mon tee-shirt, pour se mettre à caresser longuement et doucement, mon torse. Par la suite, elle tira les sacs de nourriture vers nous et je lui fis part du fait que j’aimais tout ce qui pouvait contenter mon estomac. Je rebondis sur le fait que lorsque je la dévorerais elle, ce serait tout autre chose qu’elle allait contenter. Inutile de préciser quoi, je ne doutais pas qu’elle avait parfaitement compris de quoi il était question. « Espèce de petit pervers ! je sais que ça contentera ton entre jambe… » A peine eut-elle terminé sa phrase, que j’explosai littéralement de rire en donnant un bref coup de reins pour la faire tressauter sur moi, histoire de la taquiner. « Cinglée ! » Lui dis-je d’une voix clairement amusée.

Quelques secondes plus tard, je me redressai pour lui prendre sa clope, tirer un bref instant dessus puis l’éteindre en lui faisant remarquer qu’elle pourrait diminuer en ne fumant que moitié de clope par moitié de clope. Je n’eus aucun mal à voir et comprendre sa surprise mais fut tout de même soulagé lorsqu’elle glissa une main dans mes cheveux pour les caresser lentement en me souriant, même si ce n’était qu’un faible sourire. Au moins, elle n’était pas énervée, contrairement à ce que j’avais crains en premier lieu. « Oui mais… Je… n’ai jamais voulu arrêter la clope Rafaello… Du moins là, ce n’est pas dans mes intentions… » Je soupirai doucement en posant mon front contre le sien. Je savais parfaitement que lui faire arrêter clope et drogue en même temps, ne serait pas chose aisée. Voir même, que ce serait tout bonnement impossible. Pour la simple et bonne raison qu’elle voudrait très certainement se rabattre sur les clopes, pour compenser le manque de drogues. « Si je te dis que j’aime pas franchement l’odeur des clopes ? Et le goût qu’elles donnent très certainement à tes lèvres … ? » Demandais-je alors l’air de rien. Moi, jouer sur les sentiments ? Pas le moins du monde, voyons … Je la laissai ensuite s’asseoir à mes côtés, pour sortir tout notre déjeuner, assiettes et couverts compris. Je n’eus aucun mal à voir les tremblements de ses mains sous ses mouvements, qui témoignaient clairement de son manque avancé. Aucun doute qu’elle n’avait rien prit de la journée, très certainement pour moi. Effort qui me plaisait plus que de raison, je devais bien le reconnaître. « Alors, j’ai fais une salade russe, tu t’en serais douté ? Légumes, bœuf haché, mayonnaise, et là, une assiette de charcuterie, je me suis dis que vu ton grand appétit, t’aurais envie de ça en plus… et en boisson du coca, classique quoi… J’espère que ça te convient ? » Je ris doucement en lui lançant un regard clairement attendri et amoureux. Je passai un bref instant, le dos de ma main, sur sa joue, avant d’y déposer mes lèvres. Après quoi, je l’aidai pour sortir la nourriture et remplir généreusement nos assiettes, histoire de la soulager un peu. Je posai son assiette sur ses cuisses et la mienne, sur mes propres cuisses et m’installai tout contre elle. « Tu sais quoi ? Je crois que tu pouvais pas faire mieux pour ce pique-nique ma russe. C’est absolument parfait ! » Lâchais-je avec entrain, en remplissant alors nos verres de coca. « A propos ! J’ai fais un tiramisu hm. » Ajoutais-je en souriant en coin.
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MessageSujet: Re: First date between two strangers [pv Nastazià] -terminé- First date between two strangers [pv Nastazià] -terminé- EmptySam 18 Fév - 18:42


₪ FIRST DATE BETWEEN TWO STRANGERS

Rafaello & Nastazià



« Et si je suis incapable de te prévenir à l’avance ? Imagine que je me tape un coup de speed au moment où t’apprêtes à partir ? Tu m’en voudrais beaucoup ? » Voyant sa voix hésitante, je secouais brièvement la tête avant de me pincer les lèvres. Rafaello n’était pas du genre petit jaloux, il faisait partie de la haute société des jaloux et des possessif… Je devais faire avec et j’étais même prête à faire avec… je ne me forcerai en aucun cas. L’amour à ces bons côtés… Je savais pertinemment que même si parfois ça pourrait m’énerver, je lui pardonnerais car je l’aime, tout simplement. « Hm tu vaux, tu vaux … Disons que tu vaux énormément. Je suis sûr que tu es capable de beaucoup de choses. » soupirant lentement je tournais entièrement mon visage vers lui souriant alors avec franchise. Il était adorable, mignon, tout autre mot pouvant le qualifier de parfait… Serrant lentement sa main, je l’a caressais de mon pouce avec tendresse. « Ecoute Rafaello, je ferais avec d’accord ? J’accepte ta jalousie, après tout s’il, faut un jour je ferais pareil… Je t’empêcherai de sortir par jalousie, ou possessivité… tu es comme tu es, je suis comme je suis… Je te prends entièrement, d’accord ? Même si tu me fais un coup de speed et que ça me titille un peu, je te fais confiance pour me détourner de mes pensées… » soufflai-je doucement en souriant en coin, parlant bien entendu des épisodes sexuelles à venir. Préférant ne rien dire sur le fait que je valais beaucoup de chose, j’engageais la conversation, sur le fait que oui j’étais jalouse et je l’assumais parfaitement, je n’y pouvais rien moi… C’était comme cela et pas autrement… « J’aime que tu sois jalouse … Ça prouve pas mal de choses. » souriant doucement, je me sentis faiblement rougir, baissant le regard en inspirant lentement. Il reprenait mes paroles en plus. « Copieur de parole ! » soufflai-je en riant doucement tout en lui tirant lentement le bout de ma langue pour le taquiner. Lui apprenant que j’avais ma semaine, il me demanda si je comptais passer plus de temps avec lui. Je ne pus m’empêcher de dire que oui, mais que je ne voulais pas pour autant l’empêcher de dormir… alors il proposa que je dorme chez lui… Et ça je votais pour… Je voulais dormir chez lui sentir son odeur tout autour de moi… J’en crevais d’avance…

« Je vote pour. » tournant un regard amoureux vers lui je souriais en coin en soupirant longuement de bien-être. Passer du temps avec lui, j’étais totalement pour ! il n’y avait pas photo même… Parlant par la suite de ma fille, je vis rapidement qu’il avait peur. Peur qu’elle ne l’aime pas. C’était parfaitement compréhensible, mais ce qui m’énervait c’était surtout le fait qu’il ne me croyait pas alors que je ne cessais pas de lui dire que ma fille l’aimerait. Je l’a connaissais tout de même ! Je savais pertinemment qu’il n’y aurait aucun souci… « Tu dis ça pour me rassurer mais on en sait rien. Si ça se trouve elle ne m’aimera pas, point. Parfois c’est juste comme ça, une tête ne nous revient pas et on ne peut rien faire contre ça. » Entrouvrant la bouche surprise de l’entendre me dire pareille chose, je me sentis terriblement conne pour le coup. Pourquoi me balançait-il ce genre de chose ? Il n’avait pas le droit ! Pas de partir si pessimiste alors que nous venions tout juste de commencer notre premier rendez-vous officiel… Je voulais le rassurer mais comment ? Je savais pertinemment qu’il avait raison, lorsqu’une tête ne nous revenait pas, elle ne nous revenait pas, ni plus ni moins… Mais pas ma fille ! Je savais qu’elle l’aimerait, tout comme je l’aimais… Elle serait tellement heureuse de me voir comblée et heureuse, elle ne voudrait qu’une chose le rencontrer ! « Rafaello… S’il te plait ! » Lâchai-je d’une voix faiblement sèche pour le coup. « Je connais Marilys, c’est une petite fille pleine de joie, de vie, elle aime tout le monde, sauf les gens qui sont méchants ou se moque d’elle. Je ne dis rien pour te rassurer, je dis la stricte vérité. Ma fille va t’aimer, et s’il faut je n’arriverai même pas à t’en débarrasser car quand elle est en mode pot de colle… Elle ne fait pas semblant… S’il faut c’est toi qui ne l’aimeras pas… Mais j’en doute… Vous allez vous aimer… Arrête de stresser pour rien… » soufflai-je en serrant alors avec force sa main pour lui faire comprendre qu’il devait me croire… Il n’avait pas à se monter la tête ! Arrivant au parking, on descendit de la voiture, m’annonçant alors que je le faisais fondre. Sans perdre de temps, je lui demandais de ne pas trop fondre car je ne saurais pas le solidifier pour ma part. Plus un petit délire qu’autre chose…

« Grr pourquoi j’ai des images perverses en tête ? » Haussant un sourcil, je me mise à rire avant de lever les yeux au ciel. Je n’avais rien dit de pervers dans mes paroles, c’était bien là un homme ! Me mordillant les lèvres, je ne préférais rien dire en lui donnant un faible petit coup de hanche soupirant en le suivant pour nous dégotter un coin tranquille ou personne ne nous prendrait en photos. D’ailleurs on parla du fait qu’il risquait d’être pris en photo ou bien même pourchasser par des tonnes de paparazzi car il trainait avec moi… Mais surtout que ça me ferait chie que le monde entier le voit en photos… Il était à moi et personne d’autre… « Apparaître sur une couverture avec toi ? Pas de problème ! Ainsi, tout le monde saura que tu m’appartiens. » Souriant en coin, je lui lançais un regard on ne peut plus amusé, mais aussi remplit d’amour. Tout le monde saurait que j’étais sienne, mais il oublier de penser que tout le monde saurait qu’il était mien… Je n’avais jamais eu de petit ami, d’homme ou dieu sait quel autre nom on pouvait donner à cela… Et l’amour que j’avais et qui grandissait pour lui me rendait terriblement jalouse… Je n’y pouvais rien… « Et ? Tu oublies tous les hommes qui peuvent te mater toi, constamment ? Et parfois, dans des tenues provocantes … » Plissant quelque peu le nez, il marquait un terrible point pour ce coup-là… Mais étant habituée au mannequinat depuis tellement d’année qu’à force je ne faisais plus attention… Sachant surtout que dans peu de temps un shoot de moi aller sortir… Assez dénudée, oser… Pour le coup, il allait râler… Tant pis… Il ferait avec, je cesserais, mais je ne pouvais pas grand-chose pour les shoots déjà en boite et prêt à sortir… J’étais loin d’être une fille que l’on écoute, encore moins depuis que j’étais plongé dans la drogue… « Bon tu marques un point, mais, ce genre de shoot je n’en ferais plus, d’accord ? Et sache que les gens sauront aussi que tu m’appartiens… c’est à double sens… Pas vrai ? » demandai-je doucement en voulant réellement savoir si c’était le cas. Une fois bien installés je me laissais tomber sur lui, m’allongeant contre lui, pour parler de ma fille, le rassurer quant à savoir si elle l’aimerait ou pas…

« Si elle est câline et gourmande, on devrait bien s’entendre ! » Le fait de voir Rafaello s’inquiéter autant pour ma fille, pour ma petite Marilys et sur le fait de savoir si elle allait l’aimer ou bien même le détester prouvait quelque chose de flagrant. Il voulait vraiment se sentir intégré, il voulait être aimé de ma fille, il avait surement peur que si elle venait à ne pas l’aimer je puisse le repousser et couper court à notre relation débutante. C’était à la fois plaisant mais à la fois perturbant. Je pouvais aisément comprendre sa position, il n’avait pas la meilleure des positions, personne ne l’avait lorsqu’un enfant se trouvait d’un des deux côtés. Je ne sais pas comment je réagirais si lui avait un enfant… Je me sentirais surement mal, et j’aurais tout aussi peur que lui… Mais je connaissais ma fille et je savais qu’elle l’aimerait. Elle était loin d’être difficile, c’était le genre de petite fille avenante, pas timide du tout, plutôt le contraire extravertie, qui préférait faire la folle et se faire remarquer. Gourmande comme pas deux aussi… « Rafaello ? Tu te fais un sang d’encre pour rien crois-moi… » soufflai-je doucement avant de me relever sur lui, m’asseyant plus précisément, pour attraper mon paquet de cigarette et m’en sortir une pour l’allumer. Tirant longuement dessus, je vis que la position lui faisait du mal, plus précisément à son outch. Sans perdre de temps, j’essayais de lui faire comprendre alors qu’il ne devait pas se focaliser sur la position mais sur autre chose… « Plus facile à dire qu’à faire ! » Soupirant faiblement, je passais brièvement le bout de mes doigts sur sa joue, allant les passer sur ses lèvres comme pour l’occuper et le faire penser à autre chose. Je savais que ce n’était pas chose facile mais on avait tout de même surmonté pire… Comme le jour sous sa douche… Ou nous étions dans des tenues…Bref il pouvait aisément le faire j’avais confiance en lui pour le coup ! « Allez mon Rafou… Je sais que tu peux le faire, tu l’as déjà fait chez toi… » soufflai-je doucement en tirant alors les sacs vers nous pour les rapprocher puisque nous n’allions pas tarder à nous mettre à table. Caressant lentement son torse sous son haut, je lui annonçais que j’espérais avoir pris assez de quoi manger et que surtout il aimerait ce que j’avais fait… Il m’annonça alors qu’il aimait tout ce qui pouvait contenter son estomac avant de me dire que lorsqu’il me dévorerait ça serait tout autre chose qu’il contenterait. Riant doucement en levant les yeux, je lui fis part que je savais que ce serait son entre jambe qui serait contente. Le sentant donner un coup de rein, je poussais un bref petit cri, tressautant alors sur son corps, totalement sonnée et surprise lui lançant un regard perdu.

« Cinglée ! » Riant doucement en soufflant un franc coup, je ne préférais rien dire, et ne pas réagir sur le coup de rein qu’il venait de me donner. Je savais pertinemment que si je disais quoi que ce soit… J’allais craquer et lui sauter littéralement dessus… Hors mieux valait l’éviter… Tirant sur ma clope, je le laissais s’approcher de moi, pour prendre ma clope et tirer à son tour dessus. Je pensais qu’il voulait fumer… Mais je fus surprise de le voir éteindre tout simplement ma clope… Il n’avait pas le droit ! Surprise et choquée je lui fis la remarque, d’autant plus lorsqu’il m’annonça qu’il serait préférable que je diminue les clopes… Je ne voulais pas arrêter de fumer moi… Je voulais arrêter la drogue, nuance… Je lui en fis part rapidement, essayant de lui faire comprendre que j’avais besoin de la clope... Elle m’empêchait un tant soit peu de me droguer… Et vu mon manque avancé aujourd’hui mieux valait que je fume… « Si je te dis que j’aime pas franchement l’odeur des clopes ? Et le goût qu’elles donnent très certainement à tes lèvres … ? » Fronçant les sourcils, je posais faiblement le bout de mes doigts sur mes lèvres. Il abusait… On ne s’embrassait même pas encore, comment pouvait-il dire cela ? Tant qu’il ne goutait pas à mes lèvres, je ne voyais pas le réel souci… Il faisait cela pour jouer sur les sentiments… D’ailleurs quand est es ce que nous aurions le droit de nous embrasser ? Ses lèvres étaient un appel à l’abus… Je voulais abuser de ses lèvres et pas qu’un peu à vrai dire… Lui lançant un regard faussement mauvais, je posais mes mains sur ma taille dans le genre petite fille pas contente. « Mais ! Pour le moment toi et moi on ne s’embrasse pas alors… Je peux me permettre de fumer… Chercherais-tu à m’avoir avec tes petits regards et tes petites paroles douces mon Italien ? » Demanda-je à voix basse m’approchant de lui à tel point que mon nez effleura lentement le sien. Souriant doucement, l’air de rien, je me redressais pour me reculer et m’assoir à ses côtés. Sortant tout ce dont nous avions besoin pour manger, je pris les assiettes et les verres avant de lui annoncer alors ce que j’avais préparé. Une salade spéciale russe, histoire qu’il puisse gouter un peu à ma culture. Je doutais qu’il ait déjà mangé Russe… Je crois… Sentant sa main sur ma joue, je le laissais déposer un doux baiser dessus, souriant lentement en tournant un regard amoureux vers lui. Me prenant les assiettes des mains, je le laissais nous servir généreusement. Avait-il remarqué mes tremblements ? J’espérais que non, je ne voulais pas qu’il voit ma souffrance… « Tu sais quoi ? Je crois que tu ne pouvais pas faire mieux pour ce pique-nique ma russe. C’est absolument parfait ! » Souriant franchement, je fus totalement contente de voir qu’il aimait le pique-nique. J’aimais déjà le combler et c’était terriblement bon de le voir de la sorte… « A propos ! J’ai fait un tiramisu hm. » Lui lançant un regard amusé et affamé, je léchais rapidement mes lèvres en lui donnant un faible petit coup d’épaule. Il me prenait par les sentiments en plus ? J’aimais terriblement la bouffe italienne, et je me souvenais parfaitement de mon séjour là-bas puisque Camilya y était née… J’y avais vécu que six mois, mais ces six mois en valait terriblement la peine ! « Un tiramisu ? Tu me prends par les sentiments mon ange… » Soufflai-je doucement en lui lançant un regard taquin avant de prendre une bouchée de ma salade. Mangeant tranquillement, je pliais mes jambes contre ma poitrine tenant l’assiette d’une main en écoutant les cris des enfants et les gens qui passaient non loin de l’endroit où nous nous trouvions. C’était vraiment un endroit sympa et surtout bien isolé, on n’avait pas de souci à se faire apparemment pour ce qui était du faite d’être déranger par des fans ou autres. Mangeant tranquillement quelques bouchées, je soupirais lentement avant de poser mon assiette à mes côtés. Je n’avais jamais été une grosse mangeuse, j’étais loin d’être le genre de fille à manger. Il suffisait de me voir pour comprendre que la nourriture que j’ingurgitais n’était pas grand-chose. J’étais mannequin, j’avais une alimentation à respecter, un poids surtout… Prenant mon verre j’en bus une longue gorgée en frissonnant longuement. « J’espère que c’est bon ? T’as pas du manger Russe souvent je présume ? » demandai-je d’une voix quelque peu taquine avant de bailler faiblement me laissant tomber sur la couverture, m’allongeant lentement en le regardant manger. Sans rien dire, je passais ma main sous son haut, caressant alors son dos, fermant lentement mes yeux. « Tu sais quoi ? J’ai l’impression d’être une adolescente à son premier rendez-vous amoureux… Sauf qu’on est adulte… Je suis une adulte qui à son premier rendez-vous amoureux… »[/color] soufflai-je à voix basse l’air de rien avant de frissonner, me surprenant à avoir envie de dormir contre lui et de faire une sieste.
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MessageSujet: Re: First date between two strangers [pv Nastazià] -terminé- First date between two strangers [pv Nastazià] -terminé- EmptyDim 4 Mar - 14:48


It's just the beginning

When she was just a girl, she expected the world, but it flew away from her reach, so she ran away in her sleep. And dreamed of para-para-paradise, Para-para-paradise, Para-para-paradise, Every time she closed her eyes. When she was just a girl, she expected the world, but it flew away from her reach, and bullets catch in her teeth. Life goes on, it gets so heavy, the wheel breaks the butterfly. Every tear, a waterfall. In the night, the stormy night, she closed her eyes. In the night, the stormy night, away she flied. And dreamed of para-para-paradise, Para-para-paradise, Para-para-paradise, Whoa-oh-oh oh-oooh oh-oh-oh. She dreamed of para-para-paradise, Para-para-paradise, Para-para-paradise, Whoa-oh-oh oh-oooh oh-oh-oh. (x2) La, la, la... And so lying underneath those stormy skies. She'd say, "oh, ohohohoh I know the sun must set to rise" This could be Para-para-paradise Para-para-paradise Para-para-paradise Oh oh oh oh oh oh-oh-oh This could be Para-para-paradise Para-para-paradise This could be Para-para-paradise Oh oh oh oh oh oh-oh-oh-oh This could be Para-para-paradise Para-para-paradise This could be
Para-para-paradise Oh oh oh oh oh oh-oh-oh-oh


« Ecoute Rafaello, je ferais avec d’accord ? J’accepte ta jalousie, après tout s’il, faut un jour je ferais pareil… Je t’empêcherai de sortir par jalousie, ou possessivité… tu es comme tu es, je suis comme je suis… Je te prends entièrement, d’accord ? Même si tu me fais un coup de speed et que ça me titille un peu, je te fais confiance pour me détourner de mes pensées… » Je soupirai doucement en tentant d’inverser les rôles, pour voir ce que cela pourrait me faire. Imaginer Nastazià me retenir de sortir, au dernier moment, pour rester à ses côtés … Je ne pouvais décemment pas être contre cela. Tout au contraire même, l’idée me plaisait plus que de raison et je n’en demandais même pas tant, c’était pour dire. J’avais envie qu’elle soit jalouse, qu’elle se mette à surveiller qu’aucune femme ne m’approcherait de trop et j’en passe. C’était peut-être complètement idiot … Mais moi j’avais besoin de ça. Pour la simple et bonne raison que je me sentirais pleinement rassuré, si elle venait à réagir de la sorte. Jalouse de voir d’autres femmes me parler ou même me regarder. Mais j’avais étonnamment du mal à l’imaginer dans le rôle de la petite amie jalouse. Pourquoi ? Je n’en savais trop rien. Tout ce que je savais dans l’immédiat, c’était que j’allais réellement devoir apprendre à gérer et prendre sur moi, en sachant le métier qu’elle faisait. Je n’étais pas certain de vivre vraiment bien, le fait qu’elle exhibait son corps et sa beauté parfaite, devant des photographes et des millions de gens, qui verraient les photos par la suite. Non, déjà là, j’avais du mal à me faire à l’idée. Alors je n’osais imaginer lorsque nous serions pleinement ensemble. Si cela devait arriver bien sûr. Car je n’étais pas assez vantard et sûr de moi, pour être certain à deux cent pour cent, que cela arriverait tôt ou tard. Ca ne dépendait malheureusement, pas que de moi. « D’accord … On verra bien ce qui arrivera alors. » Soufflais-je doucement, de moins en moins certain qu’elle puisse accepter et supporter de tels défauts venant de moi. Ne serait-ce que parce que tôt ou tard, il y avait de grandes chances pour que je devienne trop étouffant avec elle. A commencer par son boulot. Je risquais de mettre en place quelques règles de temps en temps et de plus en plus souvent au fil du temps. Pas de dénudé, pas d’homme trop proche d’elle et j’en passe. Tout ça, parviendrait-elle à l’accepter et le supporter ? Rien n’était moins sûr selon moi. Mais bien vite, sans trop s’en rendre compte appartement, elle commença à me rassurer. Comment ? En se montrant jalouse de mes ex, tout simplement. Taquin, je repris l’une de ses phrases. A savoir, que cela démontrait pas mal de choses. En lui lançant un bref regard, je pu constater qu’elle rougissait. Ce qui me fit fondre littéralement sur place, tant je trouvais ça on ne peut plus craquant. J’avais la terrible envie de l’embrasser mais luttai et gagnai. « Copieur de parole ! » Je ris doucement en portant une main à hauteur de son visage, pour lui pincer gentiment la joue.

Par la suite, nous parlâmes de Marilys et je ne pus m’empêcher de me montrer pessimiste quant à l’accueil qu’elle me réserverait. Il n’était pas dans mes habitudes de me montrer pessimiste, il fallait bien l’avouer. Mais pour le coup, j’étais inquiet plus que je ne voulais bien l’avouer. « Rafaello… S’il te plait ! » Je sursautai quelque peu à son ton si claquant et tournai un regard franchement choqué vers elle, tant je ne m’étais pas attendu à une telle réaction de sa part. Venais-je de l’énerver ? Pensait-elle que je partais avec des a priori sur sa fille ? J’osais espérer que non, car ce n’était en rien mon objectif, bien entendu. « Je connais Marilys, c’est une petite fille pleine de joie, de vie, elle aime tout le monde, sauf les gens qui sont méchants ou se moque d’elle. Je ne dis rien pour te rassurer, je dis la stricte vérité. Ma fille va t’aimer, et s’il faut je n’arriverai même pas à t’en débarrasser car quand elle est en mode pot de colle… Elle ne fait pas semblant… S’il faut c’est toi qui ne l’aimeras pas… Mais j’en doute… Vous allez vous aimer… Arrête de stresser pour rien… » Je soupirai quelque peu et pinçai les lèvres avec force, sans oser répondre quoi que ce soit. Je ne voulais aucunement remettre en doute ses paroles mais dans un même temps, je ne pouvais pas non plus ne pas m’inquiéter, tant j’avais peur que cela n’arrive vraiment. On serait dans de beaux draps, tiens, si sa fille ne voulait pas de moi … « Je suis désolé … Je ne remettais pas en doute le fait que Marilys est une chouette gosse …J’avais juste peur que … Mais laisse tomber. » Soupirais-je d’une voix hésitante sans la regarder, tant je commençais sérieusement à regretter d’avoir osé émettre mes doutes et inquiétudes. Elle n’avait apparemment pas apprécié du tout et j’ignorais comment rattraper ma bévue. J’osais en tout cas espérer que je n’avais pas foutu la journée en l’air, rien qu’avec mes inquiétudes stupides. Un moment plus tard, je garais la voiture devant le parc avant d’en descendre pour la récupérer de l’autre côté et filer dans le parc avec elle. Nous parlâmes alors de son métier mais plus précisément encore, du fait que je risquais d’être sur la Une de certains magazines, avec elle. Elle me fit remarquer qu’elle jalouserait toutes les femmes qui pourraient me voir. Ce à quoi je rétorquais sans tarder, qu’il y avait un tas d’hommes qui pouvaient se rincer l’œil sur elle, à longueur de temps. Ce n’était donc en rien comparable …

« Bon tu marques un point, mais, ce genre de shoot je n’en ferais plus, d’accord ? Et sache que les gens sauront aussi que tu m’appartiens… c’est à double sens… Pas vrai ? » Je souris franchement sans pouvoir m’en empêcher, à une telle annonce. Le regard brillant de bien être, je la détaillai du regard en hochant la tête avec lenteur. « Tu vas arrêter ce genre de shoot … Pour moi ? Et oui c’est à double sens ma poupée russe. » Soufflais-je d’une vois douce en luttant pour ne pas m’arrêter et l’embrasser, purement et simplement. Au lieu de cela, je l’entrainai dans un coin tranquille du parc où nous nous installâmes sans perdre de temps. Et là, une nouvelle fois, j’émis des doutes quant à savoir si Mari serait capable de m’accepter avec aisance ou non. J’espérais que oui et je voulais sincèrement la croire quand elle me l’affirmait. Mais j’avais peur malgré tout, c’était bien incontrôlable tant l’enjeu était grand. « Rafaello ? Tu te fais un sang d’encre pour rien crois-moi… » Je soupirai et hochai la tête avec lenteur, le regard fixé sur le ciel. « C’est ce que j’essaie désespérément de me mettre en tête … » Soupirais-je d’une voix lasse, devant mes inquiétudes qui étaient apparemment bien injustifiées, au vu de ce que m’affirmait haut et fort, Nastazià. Un bref instant plus tard, je me figeai en la sentant se redresser en position assise sur moi, dans une position on ne peut plus équivoque. Je lui fis d’ailleurs la remarque, tant je craignais de craquer et de lui sauter dessus. « Allez mon Rafou… Je sais que tu peux le faire, tu l’as déjà fait chez toi… » Je soupirai doucement et plissai le nez en repensant à la douche froide que nous avions prit ensemble. Douche qui s’était terminée par une rencontre avec ma main. Très charmant tout cela, en effet. « Tu veux dire la douche dans laquelle ton corps nu et divin s’est retrouvé tout proche du mien ? Je suis pas sûr que ce soit une très bonne idée que tu mentionnes ça … » Susurrais-je d’une voix douce en donnant un bref coup de reins pour la faire tressauter faiblement sur moi, l’air de rien. Ne surtout pas montrer mon trouble grandissant, qui ne fit qu’accroitre davantage encore, au cri qu’elle laissa échapper. Je me passai la langue sur les lèvres par pure envie, en la détaillant du regard. L’instant d’après, lorsqu’elle se mit à fumer, je me redressai pour récupérer sa clope sur laquelle je tirai une latte, avant de l’éteindre. Je lui fis comprendre que je comptais bien la faire arrêter petit à petit, avant de lui faire remarquer que je n’aimais pas l’odeur ni l’odeur qu’elles donnaient très certainement à ses lèvres que je comptas bien dévorer tôt ou tard. Pour la faire flancher, je fis mine de la regarder de façon presque boudeuse et suppliante.

« Mais ! Pour le moment toi et moi on ne s’embrasse pas alors… Je peux me permettre de fumer… Chercherais-tu à m’avoir avec tes petits regards et tes petites paroles douces mon Italien ? » Ma lèvre tremblota un bref instant sous l’envie de rire. Autant suite à ses paroles, qu’au fait qu’elle posa ses mains sur sa taille, comme une gamine en pleine crise de pas contente. « Oui c’est exactement ce que je fais. Je fais tout pour te faire craquer et flancher. Ca marche un peu au moins ? » Demandais-je d’une voix faussement boudeuse, en faisant lentement ressortir ma lèvre inférieure, en une moue clairement boudeuse et enfantine. « Oui on ne s’embrasse pas. Pour l’instant ! Imagine le jour où je t’embrasserai, la déception pour moi, si tes lèvres ont ce goût de clope ? Tu veux gâcher notre premier baiser à cause de ça ? » Demandais-je ensuite, en faisant trembloter mon menton comme pour faire mine que j’étais en train de lutter pour ne pas pleurer mais que cela n’allait pas tarder. Je finis par rire doucement et me pencher, pour déposer un baiser claquant, sur sa joue. Une fois tous les deux redressés et les sacs près de nous, je pris le relais pour remplir nos deux assiettes, de la salade russe qu’elle avait faite et amenée. L’air de rien, je lui appris même que j’avais apporté un tiramisu, fait par mes soins. J’étais certain de lui faire plaisir avec ça et c’était bien là ce qui m’avait poussé à le faire justement pour ce pique-nique d’ailleurs. Elle s’était occupée de tout le reste alors ce n’était pas un simple tiramisu, qui ferait de moi l’homme extraordinaire de l’année ou je ne sais quelle connerie. « Un tiramisu ? Tu me prends par les sentiments mon ange… » Je ris quelque peu en levant les yeux au ciel, avant de la regarder de façon amoureuse et émerveillée, sans pouvoir m’en empêcher. « Je voulais te faire plaisir … J’ai réussi ? » Demandais-je d’une voix taquine en penchant légèrement la tête de côté, pour l’observer un long moment. Après quoi, nous nous mîmes donc à manger tranquillement notre repas et je la regardai sans me priver, soupirant d’aise tant je me sentais bien. Lorsqu’elle reposa son assiette après quelques petites bouchées à peine, je ne fis pas le moindre commentaire. Je devais être déjà bien assez chiant comme ça, lorsque ça concernait les drogues et les clopes. Je n’allais pas à présent en rajouter une couche en l’obligeant à manger, tout de même. Tant qu’elle ne sombrait pas sous mes yeux, c’était l’essentiel. Et puis j’aurais tout le temps par la suite, pour l’inciter à manger un peu plus. Je ne doutais pas qu’elle avait besoin de surveiller sa ligne pour son taff de mannequin. Mais quelques kilos de plus, ne seraient pas de trop, selon moi. Elle était déjà connue et affreusement demandée alors ce n’était pas cinq petits kilos, qui lui feraient perdre ses contrats. Du moins, j’osais l’espérer.

« J’espère que c’est bon ? T’as pas du manger Russe souvent je présume ? » Je ris quelque peu en continuant de manger avec appétit, en hochant faiblement la tête d’un air appréciateur. A vrai dire, je n’avais jamais mangé russe. Pour être plus exacte, je ne mangeais qu’italien. Je n’étais pas un grand cuisinier bien sûr et la seule cuisine que je maitrisais à la perfection, c’était italien. Ni plus ni moins. « C’est super bon. Tu cuisines très bien. Et pour être honnête, tout ce qui n’est pas italien … Je ne connais pas vraiment. » Lui avouais-je en plissant faiblement le nez et en lui lançant un bref regard, tel un gosse prit la main dans le sac. Alors que, dans le fond, je n’avais tout de même strictement rien fais. Rien d’autre que de ne pas savoir cuisiner autre chose que de la bouffe italienne. Je la laissai s’allonger à mes côtés, sans bouger, continuant de manger tranquillement en regardant alentours. Je frissonnai de bien être lorsqu’elle glissa sa main sous mon haut, pour me caresser lentement le dos, faisant naitre de la chaire de poule sur ma peau, au passage de sa main. « Tu sais quoi ? J’ai l’impression d’être une adolescente à son premier rendez-vous amoureux… Sauf qu’on est adulte… Je suis une adulte qui à son premier rendez-vous amoureux… » Je me figeai légèrement en fronçant les sourcils. Je doutais que par « rendez vous amoureux », elle n’entende la même chose que moi. Elle n’était pas amoureuse de moi. C’était simplement ainsi qu’elle appelait le fait de se retrouver avec une personne avec qui elle était sur le point de démarrer une relation. Mais dans ce cas, pourquoi s’agissait-il de son premier « rendez vous amoureux » ? En fait, je ne désirais même pas m’appesantir sur cela tant c’était presque perturbant et gênant pour moi d’entendre tout cela sans savoir ce qu’il en était vraiment pour sa part. « On est adultes mais ce rendez-vous est tout aussi magique que celui de deux adolescents. » Soufflais-je doucement, avant de terminer mon assiette et la poser sous la sienne. Après quoi, je me tournai légèrement vers elle pour la regarder longuement. Soupirant quelque peu, je passai une main sous son haut, pour lui caresser faiblement le ventre, en luttant pour ne pas monter plus haut. Je glissai ma main sur sa taille avec lenteur, en la regardant longuement, avant de m’allonger à ses côtés, mon bras passé en travers de sa taille. Je sentis la fatigue me tomber aussitôt dessus et je du me battre contre mes paupières, pour les garder ouvertes, tandis que je continuais de l’observer. « Le Tiramisu sera pour le goûter … J’ai envie de dormir contre toi. » Soupirai-je doucement, en me collant lentement à elle, ma main se resserrant faiblement sur sa taille.
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MessageSujet: Re: First date between two strangers [pv Nastazià] -terminé- First date between two strangers [pv Nastazià] -terminé- EmptyLun 12 Mar - 17:48


₪ FIRST DATE BETWEEN TWO STRANGERS

Rafaello & Nastazià



« D’accord … On verra bien ce qui arrivera alors. » Souriant doucement je serrais bien sa main pour lui faire comprendre que sa jalousie ne m’embêterai pas autant que ce qu’il pouvait le croire. Parlant de sa peur et de ma fille, du fait qu’elle puisse ne pas l’aimer, j’essayais de le rassurer me montrant un peu sèche sur le coup, tant ça me désolait de le voir stresser pour rien. « Je suis désolé … Je ne remettais pas en doute le fait que Marilys est une chouette gosse …J’avais juste peur que … Mais laisse tomber. » Soupirant faiblement, je le détaillais longuement en serrant bien ma main de la sienne. Je pouvais et je comprenais aisément qu’il puisse avoir peur. Il était certains que s’engager dans une relation ou l’un des deux à déjà des enfants ne devaient pas être pratique c’était je pense, surtout pour cela que je n’avais jamais eu de petit ami… Mais lui, lui j’avais confiance, je n’avais pas peur et je savais qu’elle l’aimerait. De toute façon, si je les larguais en cuisine tous les deux ils ne pourraient que s’entendre c’était certains même ! « Chéri… Ecoute, je n’ai pas dit ça … Ce que je veux te dire … C’est que tu t’entête pour rien, je te promets qu’elle ne te détestera pas, elle va t’aimer, qui ne t’aimerai pas ? Tu as peur que ça détruise notre futur couple ? Que si elle venait à ne pas t’apprécier je n’irais pas plus loin avec toi ? Je comprends ta peur… Mais ça n’arrivera pas, et si jamais vraiment elle ne t’aime pas… Je lui parlerai… Je lui dirais que…que c’est sérieux et que maman a besoin de toi pour continuer sa vie… S’il te plait … Rafaello…ça me fait mal de te voir comme ça… » soufflai-je lentement en caressant lentement sa main. Arrivant à bon port on parla de jalousie et de mon métier, du fait que mes shoots dénudés permettaient aux autres hommes de me voir, je lui annonçais alors que je cesserais donc ce genre de shoot. Pour lui je le ferais bien évidemment oui ! « Tu vas arrêter ce genre de shoot … Pour moi ? Et oui c’est à double sens ma poupée russe. » Frissonnant longuement je serrais doucement un peu plus sa main de la mienne. Oui je pourrais stopper, je stopperais pas mal de shoot dénudé… Du moins les seins nues et les shoots ou je suis en strings… ça serait bien qu’il me demande de cesser tout le reste, je voulais voir s’il le ferait, je voulais l’entendre me le demander… Je savais que mes agents ne seraient pas trop contents pour le coup, mais bon j’avais plein de shoots en réserve qui sortait au fur et à mesure, et malheureusement ça Rafaello devrait faire avec… Je savais que ça ne lui plairait pas mais c’était qu’un moment à passer de toute façon…

« Je vais arrêter les shoots topless, ou bien même en string, après faut que je vois avec mon futur homme ce que je ne dois pas faire et tout ça… J’attends de voir qu’il m’en parle… » soufflai-je l’air de rien en lui lançant un regard bien entendu. Je voulais qu’il m’en parle, lui et qu’il émette donc l’idée que je puisse vraiment stopper ces shoots-là. Marchant dans le parc, il m’amena dans un lieu paisible et tranquille ou personne ne viendrait nous embêter. Une fois bien installé je m’allongeais sur lui parlant alors de ma fille, il avait tellement peur… Je ne pouvais que le comprendre mais je voulais qu’il comprenne qu’il se faisait du souci pour rien. « C’est ce que j’essaie désespérément de me mettre en tête … » Soupirant lentement en caressant sa joue du bout de mes doigts, je le regardais longuement. Le rassurer, c’était tout ce que je pouvais faire pour le moment, mais je savais que le jour où il rencontrerait Marilys il changerait définitivement d’avis. « T’inquiète pas… » soufflai-je lentement avant de me redresser sur lui pour m’assoir à califourchon, le voyant alors se contracter. Je lui fis part qu’il pouvait tenir le coup, comme il l’avait fait sous la douche la dernière fois que nous avions été dans une situation du même genre… Bon certes, la douche avait été remplit de tension sexuelle, mais nous avions été tout de même fort pour le coup… « Tu veux dire la douche dans laquelle ton corps nu et divin s’est retrouvé tout proche du mien ? Je suis pas sûr que ce soit une très bonne idée que tu mentionnes ça … » Riant doucement en caressant lentement son torse du bout de mes doigts, je le contemplais en soupirant de bien-être. Il était tellement beau, parfait, il n’y avait pas réellement de mot pour qualifier sa façon d’être. Il me correspondait en tout point. Il était vrai que mentionner la douche n’avait pas été forcément une bonne idée, surtout vu comment ça s’était terminé pour lui le pauvre. A devoir se soulager sous une douche, discrètement et rapidement pour faire redescendre le plaisir et l’envie… Je ne savais pas comment il faisait le pauvre… pour ma part j’arrivais à tenir de ce côté-là, j’étais une fille s’était plus facile, si je puis dire. Aventurant mes mains dans ses cheveux je le décoiffais l’air de rien. « Divin… T’exagère… J’ai à peine un peu de sein… Et encore j’en ai depuis mes deux grossesses ! Avant c’était… Plat ! Je n’arrive toujours pas à comprendre comment je peux… Je veux dire, tu es italien, les italiens aiment les brunes, les gros seins. Je suis tout le contraire… Je suis sûre qu’on tape dans les photos de tes ex y’a aucune blonde… Comment tu peux me trouver divine ? » demandai-je doucement en le regardant longuement, avant d’allumer une clope. Fumant longuement, me faisant un bien fou, je fermais les yeux pour mieux profiter de la fumée dans mes poumons avant qu’il ne se redresse me prenne la cigarette pour en fumer un petit coup avant de l’écraser. Choquée il m’apprit que je devrais peut être fumer, moitié, par moitié. Mais je ne voulais pas moi… Il commençait donc déjà à me changer ? A faire ce qu’il voulait que je sois ? Ça ne me dérangeait pas du tout, mais pas la clope… Je pensais qu’il ne le ferait que sur la drogue. Le voyant faire une drôle de tête, je ne détournais pas pour autant les yeux des siens intrigué par sa façon d’agir.

« Oui c’est exactement ce que je fais. Je fais tout pour te faire craquer et flancher. Ça marche un peu au moins ? » Plissant les sourcils, je lui lançais un regard faussement méchant avant de boguer sur place sous sa lèvres inférieure qu’il faisait clairement ressortir pour jouer de son charme. Il n’avait pas le droit ! Non ! Absolument pas ! Je voulais lui cacher la bouche de ma main, mais impossible, j’étais fan, j’étais amoureuse, je voulais ses lèvres. « Oui on ne s’embrasse pas. Pour l’instant ! Imagine le jour où je t’embrasserai, la déception pour moi, si tes lèvres ont ce goût de clope ? Tu veux gâcher notre premier baiser à cause de ça ? » Haussant franchement un sourcil en baissant un regard sur son menton tremblant, je pris tout à coup peur. Il allait me tuer, c’était certains. Un meurtrier… Il n’avait pas le droit de savoir si bien jouer la comédie. Il me prenait par les sentiments c’était surement ça le pire… Et ça je ne pouvais pas le tolérer… Je… Qu’est-ce que j’allais lui faire ? Rien, bordel, je l’aimais trop… Même avec sa tête de petit pleurnichard… Même si je doutais fortement de ses pleure… Sentant son baiser claquant sur ma joue, je posais ma main sur celle-ci, comme pour conserver le baiser, comme un gout de trop rapide. Même ma fille n’était pas si bonne comédienne. « Ça marche … Un petit peu… un tout petit peu… Et c’est quoi cette tête que tu me fais là ? Ça ce n’est pas du jeu… C’est genre… T’es pire qu’un gosse en fait ! J’ai peur… tu vas convertir Marilys elle va me faire les mêmes mimiques que toi et je pourrais plus l’interdire de quoi que ce soit… C’est ça oui ! T’es vraiment pire qu’un enfant, tu vas vouloir m’avoir avec tes petites moues là… ton petit regard de chien battu… Je fais déjà beaucoup d’effort pour la drogue tu sais… Je vais essayer d’en faire pour la clope, mais mollo hum… » soufflai-je doucement en caressant sa lèvre m’amusant avec avant de la lui remettre en place l’air de rien. Il n’avait pas le droit de me prendre autant par les sentiments. C’était injuste tout de même, est-ce que moi je lui faisais une moue ? Souriant faiblement, je fis comme lui en soupirant lentement. « Je pourrais fumer pour le goûter ? » Demandai-je en faisant bien ressortir ma lèvre, mon regard se faisant triste et suppliant pour le coup. A qui gagnerait la partie. Une fois bien redressé, les sacs près de nous, je sortis avec lui de quoi pouvoir manger, je le laissais nous servir, j’aimais le voir participer, il parait que c’est tout de même rare un italien si présent… Il parait qu’ils sont macho pour la plus part du temps… M’annonçant qu’il avait préparé un Tiramisu pour le dessert, je me mis à sourire franchement. J’avais goûté ce que faisait déjà Rafaello la dernière fois chez lui, et autant dire que ça m’avait terriblement plus, il cuisinait bien et surtout italien…

« Je voulais te faire plaisir … J’ai réussi ? » Souriant en coin en regardant tout autour de nous, il ne pouvait pas me faire plus plaisir… Entre le tiramisu et bien entendu le lieu où nous nous trouvions, autant dire que j’étais terriblement ravi… être avec Rafaello était parfait. Il me sortait, il me permettait dans un sens de pouvoir évoluer de passer du temps hors de mon boulot, loin de la drogue, loin de chez moi, je restais persuadée que Rafaello était fait pour moi… Posant lentement ma main sur sa joue pour la lui caresser avec douceur et lenteur je lui fis mon plus beau sourire. « Pas besoin du Tiramisu pour me faire plaisir, être là avec moi me suffit, mais oui tu me fais réellement plaisir… » soufflai-je doucement sans le quitter du regard une seule seconde. Souriant en coin, je repris ma fourchette pour manger un peu de la salade. Ce moment était parfait, seul, coupé du monde, l’endroit qu’il avait dégoté était parfait, assez abrité, et éloigné… Un dealer ne pouvait que connaitre les bons coins de la sorte… J’espérais simplement qu’aucun de ses clients ne viendraient nous voir… Se faisait-il accoster le jour ? J’espérais que non tout de même. J’étais assez en manque de la sorte pour avoir à supporter des drogués… Demandant si c’était bon je pris une nouvelle bouchée de ma salade. « C’est super bon. Tu cuisines très bien. Et pour être honnête, tout ce qui n’est pas italien … Je ne connais pas vraiment. » souriant en coin, je le détaillais longuement avant de regarder mon assiette. Pour ma part je savais un peu cuisiner autre chose que des plats Russe. Certes je mangeais souvent russe, on préfère toujours sa nourriture natale, je pense que c’est tout à fait normal… Mais j’essayais de me diversifier et de toucher un peu à tout. Je savais faire quelques plats français, italien, mais tellement moins bon que Rafaello… je faisais quelques plats Américain même si c’était loin d’être de bon plat en fait… Fallait le reconnaitre l’Amérique question bouffe ils étaient nuls… « C’est vrai ? Je te cuisinerai français alors, j’ai un bouquin de cuisine française, mais je t’avoue je m’y plonge rarement dedans, donc il est temps de le faire… mais tu sais je mange beaucoup russe, je pense que c’est normal… Ce sont nos racines, nos origines, on a besoin d’eux... » soufflai-je doucement en posant mon assiette à moitié mangé puisque je n’avais pas réellement une grande faim non plus. M’allongeant contre lui, je posais lentement ma main sur son dos, la glissant sous son haut. Le regardant longuement, je murmurais alors que j’avais l’impression d’être à mon premier rendez-vous amoureux… Je le pensais réellement, il n’avait pas idée comme je l’aimais, c’était puissant, fort, intense. Même si pour le moment je ne laissais rien transparaitre, je ne voulais pas trop me dévoiler rapidement, je voulais attendre… J’avais tellement peur de le perdre rapidement… « On est adultes mais ce rendez-vous est tout aussi magique que celui de deux adolescents. » Fronçant faiblement les sourcils je le regardais longuement en ayant l’impression de me recevoir plus ou moins un vent en pleine poire. Je parlais d’amour… Et lui de magie ? C’était loin d’être pareil tout de même non ? Est-ce que je me faisais un mauvais film ? Peut être bien dans le fond, je ne voulais pas tout casser, je ne voulais pas souffrir pour rien. Fermant lentement les yeux, je préférais ne rien répondre le laissant manger, pendant que je me reposais sur l’herbe. Le soleil caressait faiblement mon visage. L’entendant faire un peu de bruit, j’entrouvris les yeux pour le voir poser son assiette sur la mienne avant de sentir sa main sous mon haut. Frissonnant de bien être, la chair de poule m’envahissant, je refermais les yeux le sentant alors s’allonger contre moi. Soupirant de bien être, je me collais à lui, posant ma main sur son avant-bras soupirant de bien-être. « Le Tiramisu sera pour le goûter … J’ai envie de dormir contre toi. » Gémissant lentement, j’enfouissant mon visage dans ses cheveux inspirant profondément son odeur en soupirant longuement de plaisir. « D’accord… Alors dormons, je m’endors déjà… » murmurai-je à voix basse, totalement ailleurs, mes paupières se faisant déjà extrêmement lourdes, le sommeil me gagnant faiblement, dormant à moitié, me serrant bien contre lui, entrelaçant nos jambes avant de tomber dans un sommeil très léger.
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MessageSujet: Re: First date between two strangers [pv Nastazià] -terminé- First date between two strangers [pv Nastazià] -terminé- EmptyMer 21 Mar - 18:56


It's just the beginning

When she was just a girl, she expected the world, but it flew away from her reach, so she ran away in her sleep. And dreamed of para-para-paradise, Para-para-paradise, Para-para-paradise, Every time she closed her eyes. When she was just a girl, she expected the world, but it flew away from her reach, and bullets catch in her teeth. Life goes on, it gets so heavy, the wheel breaks the butterfly. Every tear, a waterfall. In the night, the stormy night, she closed her eyes. In the night, the stormy night, away she flied. And dreamed of para-para-paradise, Para-para-paradise, Para-para-paradise, Whoa-oh-oh oh-oooh oh-oh-oh. She dreamed of para-para-paradise, Para-para-paradise, Para-para-paradise, Whoa-oh-oh oh-oooh oh-oh-oh. (x2) La, la, la... And so lying underneath those stormy skies. She'd say, "oh, ohohohoh I know the sun must set to rise" This could be Para-para-paradise Para-para-paradise Para-para-paradise Oh oh oh oh oh oh-oh-oh This could be Para-para-paradise Para-para-paradise This could be Para-para-paradise Oh oh oh oh oh oh-oh-oh-oh This could be Para-para-paradise Para-para-paradise This could be
Para-para-paradise Oh oh oh oh oh oh-oh-oh-oh


« Chéri… Ecoute, je n’ai pas dit ça … Ce que je veux te dire … C’est que tu t’entêtes pour rien, je te promets qu’elle ne te détestera pas, elle va t’aimer, qui ne t’aimerai pas ? Tu as peur que ça détruise notre futur couple ? Que si elle venait à ne pas t’apprécier je n’irais pas plus loin avec toi ? Je comprends ta peur… Mais ça n’arrivera pas, et si jamais vraiment elle ne t’aime pas… Je lui parlerai… Je lui dirais que…que c’est sérieux et que maman a besoin de toi pour continuer sa vie… S’il te plait … Rafaello…ça me fait mal de te voir comme ça… » Je soupirai quelque peu en plissant le nez sur le coup, tant l’idée qu’elle puisse se faire du souci pour moi et se sentir mal parce que je l’étais tout autant, ne me plaisait pas. Tout au contraire même, j’en arrivais à réellement culpabiliser pour le coup et ce n’était vraiment pas une chose que j’aimais. Je tournai un vague regard désolé vers elle, avant de laisser apparaître un sourire sincère et large. Elle avait raison, je devais arrêter de m’inquiéter pour un oui ou pour un non. Ca allait être l’amour fou entre sa fille et moi ! Bon sang, il ne pouvait pas en aller autrement ! N’est-ce pas ? « D’accord ! La prochaine fois que je m’inquiète pour rien et émet des doutes, secoue moi ! Ok ? Et si jamais … Si jamais, vraiment, on ne s’entend pas … Je comprendrais si tu préférais mettre fin à notre relation. C’est elle avant tout. » Lui fis-je remarquer en lui lançant un regard entendu. Je ne voulais surtout pas qu’elle s’imagine que je cherchais à mettre fin à notre relation, avant que ça n’ait démarré. Tout au contraire moi. J’avais affreusement hâte que notre relation évolue enfin pour de vrai et sur du longue durée ! Je voulais déjà être à cet instant où nous nous poserions ensemble comme un véritable couple amoureux ! Mais ne surtout pas mettre la charrue avant les bœufs ! Question de survie de base !

Une fois que nous fumes arrivés et garés devant le parc dans lequel nous devions pique niquer, nous parlâmes de son emploi qui, je devais l’avouer, me dérangeait un peu. Pas vraiment son emploi à proprement parler. Mais plutôt certain de ses shoots. Bon, certes, une grande majorité de ses shoots ! Tous ceux où l’on voyait trop son corps à mon goût et tous ceux où elle était en compagnie d’hommes, qui qu’ils soient. Car je ne doutais pas que dans leur esprit pervers, ils devaient forcément avoir déjà eut envie d’elle. Chose inacceptable bon sang ! « Je vais arrêter les shoots topless, ou bien même en string, après faut que je vois avec mon futur homme ce que je ne dois pas faire et tout ça… J’attends de voir qu’il m’en parle… » Je souris en coin en tournant un regard clairement attendri, vers elle. Elle était merveilleuse. Non, elle était même bien plus que ça ! Et elle était mienne. Bon sang oui elle était mienne et c’était foutrement plaisant. Faite sur mesure pour moi qui plus est ! « Oh … Ca te va si ton futur homme te fait une liste de trois mètres de long ? » Demandais-je l’air de rien, en souriant en coin et lui lançant un regard quelque peu coquin sur le coup. J’osais espérer que je ne lui faisais pas trop peur. Du moins, pas au point de lui donner la soudaine forte envie de me fuir. Après tout, je ne faisais que la prévenir petit à petit et lui mettre dans le bain, lentement mais surement. Nous passions par une étape, avant la vraie relation, qui me semblait nécessaire. Et ça, pour la simple et bonne raison que c’était une sorte de temps d’adaptation. Pour qu’elle réalise qui j’étais vraiment et comment et pour qu’elle sache réellement à quoi s’attendre. Ca concernait autant mes qualités que mes défauts d’ailleurs. Sans ajouter un mot sur ce sujet, je nous dénichai un coin tranquille, où nous nous installâmes sans tarder, l’un contre l’autre.

Une nouvelle fois, il fut question de sa fille. Et une nouvelle fois, je ne pu lui cacher mon inquiétude. Elle insista sur le fait que je me faisais du souci pour rien. Je lui fis alors remarquer que c’était bien là ce que je tentais désespérément, de me faire entrer en tête. Je la regardais longuement, alors qu’elle me caressait lentement la joue du bout de ses doigts. « T’inquiète pas… » Je souris en coin et hochai faiblement la tête, de façon affirmative, pour toute réponse. Non, je ne devais pas m’inquiéter. Elle avait parfaitement raison et j’en étais bien conscient d’ailleurs ! Quand elle réalisa ensuite que j’avais du mal à contenir mon envie d’elle, elle mentionna quelque peu la douche que nous avions prit ensemble, peu de temps auparavant. Là, j’insistai un court instant sur son corps si divin à souhait, qui m’avait foutrement donné envie d’elle ! Coquin, je lui fis alors bien comprendre que mentionner cette douche excitante, n’était pas tant une bonne idée que cela, tout de même. Je lui tirai la langue, l’air de rien, lorsqu’elle ne trouva rien de mieux à faire que de me fourrager franchement les yeux. « Divin… T’exagères… J’ai à peine un peu de sein… Et encore j’en ai depuis mes deux grossesses ! Avant c’était… Plat ! Je n’arrive toujours pas à comprendre comment je peux… Je veux dire, tu es italien, les italiens aiment les brunes, les gros seins. Je suis tout le contraire… Je suis sûre qu’on tape dans les photos de tes ex y’a aucune blonde… Comment tu peux me trouver divine ? » Surpris par ses propos et par la justesse de ceux-ci, j’haussai les sourcils et lui lançai un regard totalement perturbé sur le coup. Je ne pouvais pas lui cacher que oui, là, j’étais très surpris tout de même. J’osais espérer qu’elle ne prendrait pas trop mal, le fait qu’en effet, je n’étais jamais sorti avec une blonde. Et ce pour la simple et bonne raison que jamais aucune, ne m’avait attiré. Cela avait totalement changé, lorsque j’avais posé les yeux sur elle. Son visage, ses cheveux, son regard, son corps … Tout m’avait de suite plu chez elle. « Tu es très grande, très fine, tes courbes sont très subtiles, tu as la peau, les cheveux et les yeux très pâles. C’est tout ce qui m’a plu chez toi. Y’a pas à expliquer comment ni pourquoi. C’est toi. Toi ! J’ai d’abord été frappé par tes yeux bleus et la force de ton regard. Ensuite seulement, j’ai réalisé ta pâleur d’ange puis la forme de ton visage. Mio gattino … » Soufflais-je d’une voix douce et totalement envoûtée …

Par la suite, alors qu’elle fumait tranquillement, je lui piquai sa clope sur laquelle je tirai longuement, avant de l’éteindre l’air de rien. Je ne me cachai alors pas du fait que je comptais bel et bien la faire cesser de fumer, petit à petit. Pour la taquiner plus que de raison, je pris une moue franchement enfantine et boudeuse, en faisant ressortir ma lèvre inférieure et tremblotant quelque peu du menton, pour faire mine d’être sur le point de pleurer. Je du prendre sur moi pour ne pas rire franchement, devant sa surprise, son hésitation puis son regard faussement méchant. Elle était outrageusement craquante ! Tentant de lui faire comprendre mon point de vu, je mentionnai nos baisers à venir. Par la suite, je déposai un fort baiser sur sa joue, avant de prendre une moue innocente à souhait. Je luttai pour ne pas sourire, en la voyant poser une main sur sa joue, comme en réaction à mon baiser. « Ça marche … Un petit peu… un tout petit peu… Et c’est quoi cette tête que tu me fais là ? Ça ce n’est pas du jeu… C’est genre… T’es pire qu’un gosse en fait ! J’ai peur… tu vas convertir Marilys elle va me faire les mêmes mimiques que toi et je pourrai plus l’interdire de quoi que ce soit… C’est ça oui ! T’es vraiment pire qu’un enfant, tu vas vouloir m’avoir avec tes petites moues là… ton petit regard de chien battu… Je fais déjà beaucoup d’effort pour la drogue tu sais… Je vais essayer d’en faire pour la clope, mais mollo hum… » Je lâchai un bref rire en la contemplant de façon innocente, taquine, coquine et surtout, attendrie. Totalement amoureux et attendri par elle. Bon sang, elle me rendait complètement gaga ! J’aimais affreusement, l’idée de lui faire un tel effet, simplement à coups de regards, mimiques et petits jeux de comédie. Oui, j’aimais ça plus que de raison. Et malheureusement pour elle, maintenant que j’avais réalisé l’effet que ça lui faisait, je comptais bien jouer encore et encore sur elle … La pauvre, elle devenait ma cible préférée. Mais c’était si facile pour moi, de la faire craquer … « C’est une moue pour te faire craquer. T’aimes pas ? Hm hm tu vas m’en vouloir si elle fait pareil ? Et je te promets de ne pas te speeder pour ça ! » Soufflais-je d’une voix douce, avant qu’elle n’imite ma moue boudeuse et tristounette.

Surpris, j’haussai les sourcils en baissant le regard sur ses lèvres tentantes. « Je pourrais fumer pour le goûter ? » Je ris quelque peu en levant les yeux au ciel, avant de passer le bout de mes doigts, sur sa lèvre inférieure. « Plagieuse ! Et oui, tu as mon autorisation petite russe. » Soufflais-je d’un voix douce, en lui lançant un regard totalement amusé et attendri à la fois. Par la suite, alors que nous étions en train de nous servir pour, enfin, manger, je lui fis remarquer le fait que j’avais préparé un Tiramisu, en espérant vraiment lui faire plaisir. Je soupirai d’aise en sentant sa main sur ma joue et instinctivement, penchai la tête de ce côté, pour profiter plus encore de sa caresse légère. « Pas besoin du Tiramisu pour me faire plaisir, être là avec moi me suffit, mais oui tu me fais réellement plaisir… » Je souris franchement à réponse à ses paroles et à son sourire, sans quitter un seul instant son regard du miens, totalement envouté. « Je ferai toujours tout, pour te faire plaisir. » Soufflais-je d’une voix douce, en la regardant amoureusement, sans chercher à me cacher. Lorsque le repas débuta, nous parlâmes cuisine puisque je la complimentai sur cette salade terriblement parfaite. Je lui fis alors part du fait que je mangeais rarement autre chose que des plats italiens. « C’est vrai ? Je te cuisinerai français alors, j’ai un bouquin de cuisine française, mais je t’avoue je m’y plonge rarement dedans, donc il est temps de le faire… mais tu sais je mange beaucoup russe, je pense que c’est normal… Ce sont nos racines, nos origines, on a besoin d’eux... » Je souris en hochant la tête et la regardant longuement. Une manie que j’étais en train de prendre à l’évidence. La regarder, l’observer, la contempler, l’admirer … Tout simplement. « Hm je te fais confiance, tu pourras cuisiner tout ce que tu voudras. Je suis un gros mangeur et j’aime à peu près tout, de toute façon. » Lâchais-je sur un ton enjoué, tout en continuant de dévorer ce repas, avec appétit. Je n’avais pas plaisanté ni cherché à lui faire un compliment gratuit, en affirmant que c’était merveilleusement bon.

Une fois qu’elle eut terminé de manger, elle s’allongea à mes côtés et glissa une main sous mon haut, pour me caresser lentement le dos. Ce qui me fit doucement soupirer d’aise et je continuai néanmoins à manger tranquillement, parlant justement de notre rendez vous totalement hors normes. Je ne fis pas attention à sa réaction face à mes propos et terminai de manger avant de poser mon assiette avec la sienne et m’allonger tout contre elle. Je glissai une main sous son haut à mon tour, pour la caresser doucement en la contemplant longuement. Je mentionnai vaguement les Tiramisu, en évoquant le fait que j’avais terriblement envie de dormir tout contre elle. Je souris en coin en sentant son visage enfouit dans mes cheveux, et entreprit de caresser faiblement son ventre de ma mains et la laissant entremêler nos jambes. Je me collai un peu plus à elle en la prenant bien dans mes bras sur le coup. « D’accord… Alors dormons, je m’endors déjà… » Je souris en coin en enfouissant quelque peu mon visage dans son cou, toujours posé sur la couverture, pour inspirer son odeur avec bonheur. « Moi je dors déjà … » Soufflais-je d’une voix douce, en ne tardant pas à être, effectivement, emporté par le sommeil. Trop en manque de sommeil, je sombrai profondément dans celui-ci, un léger sourire aux lèvres et demeurant totalement immobile.
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MessageSujet: Re: First date between two strangers [pv Nastazià] -terminé- First date between two strangers [pv Nastazià] -terminé- EmptyMar 27 Mar - 12:44


₪ FIRST DATE BETWEEN TWO STRANGERS

Rafaello & Nastazià



« D’accord ! La prochaine fois que je m’inquiète pour rien et émet des doutes, secoue moi ! Ok ? Et si jamais … Si jamais, vraiment, on ne s’entend pas … Je comprendrais si tu préférais mettre fin à notre relation. C’est elle avant tout. » Haussant un sourcil en le regardant longuement, je me sentis totalement conne. Plissant le nez, je soupirais lentement en détournant mon regard. Ma fille avant tout. Peut-être… Mais je l’aimais… Je ne pouvais pas abandonner Rafaello, pas alors que j’avais enfin trouver l’homme qui voulait de ma fille, de ma vie. Je ne pouvais pas croire que Marilys ne l’aimerait pas. Elle aimait tout le monde ! Pourquoi pas lui ? « Je ne peux pas penser comme ça. Penser qu’elle ne t’aimera pas… Si jamais ça arrive, on est pas obligé d’aménager de suite ensemble, enfin, on peut rester chacun chez soi, le temps qu’elle grandisse et comprenne que tu n’es pas méchant ou j’en sais rien… Mais crois-moi, elle va t’aimer… S’il faut, elle va t’aimer plus que moi et voudra plus te quitter ! Tu sais, elle va t’aimer, pourquoi ? Parce qu’elle me demande depuis quelques temps quand est-ce que je lui ramène un ‘papa’. Bon ok, si je ramenais un sale con elle ne l’aimerait pas. Mais toi ! Toi ! Rafaello… » soufflai-je doucement en lui caressant alors la joue du bout de mes doigts. Sortant de la voiture avant de marcher pour filer dans le parc, on parla de mes shoots. Shoots dénudés bien évidemment et que si je devais les arrêter, j’attendais que mon homme me le demande de vive voix. « Oh … Ça te va si ton futur homme te fait une liste de trois mètres de long ? » Riant doucement en levant les yeux au ciel, je me collais un peu plus contre lui. Une liste de trois mètre de long… Mon cœur se mit à battre bien plus vite. Pour le coup, j’avais un peu peur de ce qu’il allait me demander, mais bon, je lui faisais confiance et si nous devions nous disputer par rapport à sa jalousie et sa possessivité, alors nous le ferions. Que serait un couple sans dispute ? Peut-être qu’après ce genre de dispute on finirait sauvagement au lit ? Il m’avait l’air terriblement sauvage.

Est-ce qu’il faisait pareil avec ses ex ? Du moins avait fait… Même si d’après ces dires c’était bien plus puissant avec moi, je ne pouvais pas m’empêcher d’être un tantinet jalouse. Raf était le genre de mec que les femmes aiment avoir dans son lit. Dans leur vie. Et je savais que si nous venions à officialiser, si nous venions à vivre ensemble et que cela dure, j’allais en entendre des commentaires. Un italien avec une russe. Déjà. D’ailleurs, mieux valait que je l’apprenne de vive voix à mon grand-père avant qu’il ne le sache par la presse… « C’est tout ? Trois mètres ? Tu me déçois ! Je pensais à plus moi ! » soufflai-je doucement pour le taquiner franchement. Nous installant une fois le lieu trouvé, je m’allongeais rapidement sur lui en le regardant avec amour, avant de m’assoir à califourchon sur lui, je le rassurais en lui faisant penser à la douche. La ou il avait été fort pour ne pas craquer. Apparemment ce n’était pas une bonne idée, et j’en vins à lui dire que je ne comprenais pas comment il pouvait me trouver belle. Ses ex devaient être pareilles. Brune, forte poitrine, et moi ? Un sac d’os sur patte ! « Tu es très grande, très fine, tes courbes sont très subtiles, tu as la peau, les cheveux et les yeux très pâles. C’est tout ce qui m’a plu chez toi. Y’a pas à expliquer comment ni pourquoi. C’est toi. Toi ! J’ai d’abord été frappé par tes yeux bleus et la force de ton regard. Ensuite seulement, j’ai réalisé ta pâleur d’ange puis la forme de ton visage. Mio gattino … » Rougissant faiblement, je détournais le regard assez mal à l’aise pour le coup. Il n’avait pas le droit de me dire ce genre de chose. C’était assez… Pas dérangeant mais trop plaisant à entendre. D’habitude j’avais plutôt le droit à d’autre sorte de réflexion sur mon physique. En fait, les gens que je côtoyais s’en foutait royalement, tout ce qu’ils voulaient, c’était ce qui se logeait entre mes cuisses, ni plus ni moins. C’était surement ça le monde du mannequinat. Heureusement que j’avais toujours évité ça, de coucher avec les photographes, ou les maquilleurs et j’en passe. C’était loin d’être mon tripe. Même si sous la drogue j’avais fait des choses qui ne valaient guerre plus. Comme coucher sans me rappeler de quoi que ce soit. « Ma forme de visage ? Tu l’aimes ? Pourtant ça ne plait pas à tout le monde, cette fossette que j’ai. Mio gattino ? Tu me traduis mon ange ? Même si j’ai une vague idée… » Soufflai-je doucement en le regardant de façon amoureuse. Me redressant un peu plus pour fumer, je profitais du doux arome de ma clope avant qu’il ne l’a prenne, pour fumer un peu et l’éteindre ; Surprise, je me mise à râler avant qu’il ne m’annonce qu’il allait plus ou moins me restreindre.

Je le faisais déjà pour la drogue, il allait me tuer. Et pourtant j’étais prête à le laisser faire. Par amour et surtout parce que je voulais m’en sortir. Parce qu’il m’en donnait l’envie. Me faisant une moue boudeuse des plus parfaite, je cru défaillir. Ce n’était pas juste ! Tout cela pour que je cesse de fumer parce qu’il ne voulait pas que notre premier baiser soit gâcher par le gout de la nicotine… « C’est une moue pour te faire craquer. T’aimes pas ? Hm hm tu vas m’en vouloir si elle fait pareil ? Et je te promets de ne pas te speeder pour ça ! » Levant les yeux au ciel, je le fixais longuement en mordillant mes lèvres. Comme si je pouvais lui en vouloir. C’était impossible. Même si je savais que ce n’était pas si bien que cela, vis-à-vis de Marilys, si elle commençait à vouloir me faire marcher avec une petite moue toute mignonne. Je savais parfaitement que certains parents se laissaient marcher sur les pieds avec des enfants irrespectueux, ou surtout trop pourri gâté. Mais ça n’allait pas être le cas de la mienne ! Hors de question. « Si j’aime… C’est mignon tout plein ! Sur toi ! Pas sur la petite, après elle voudra plus m’obéir, les gosses de nos jours de vrais petits rebelles ! Hum merci t’es un ange… » soufflai-je doucement en me moquant de lui en reprenant alors sa moue pour lui demander si pour ma part je pouvais fumer pour le gouter. Sentant son doigt passer sur ma lèvre inférieure, un frisson s’immisça en moi, me faisant faiblement sourire. « Plagieuse ! Et oui, tu as mon autorisation petite russe. » Riant de bon cœur, je fis l’innocente avant de lever les yeux au ciel, haussant alors les épaules. De quoi parlait-il pour le plagiat ? Je ne voyais absolument pas pour ma part. Non vraiment pas, c’était tout de même bizarre. « Je ne vois vraiment pas de quoi tu parles ! Et si je ne l’avais pas eu, j’aurais fumé quand même. Tu m’aurais puni ? » Demandai-je en faisant à nouveau ressortir ma lèvre, faisant une mine boudeuse pour le taquiner plus que de raison. Nous servant pour pouvoir enfin manger, il m’annonça alors qu’il avait fait un tiramisu. Un dessert que j’adulais, que j’aimais atrocement, alors autant dire que je voulais y gouter rapidement ! Me demandant si cela me faisait plaisir, je lui annonçais que sa simple présence avec moi suffisait à me rendre heureuse, alors un tiramisu, sachant qu’il n’avait pas été obligé de le faire, il aurait très bien pu l’acheter.

« Je ferai toujours tout, pour te faire plaisir. » Le regardant longuement, un sourire étira lentement mes lèvres. Je ne doutais aucunement des paroles de Rafaello, loin de là même. C’était même plaisant à entendre, avoir un homme prêt à tout pour moi, rien que pour moi et personne d’autre. « Absolument tout ? Tu n’as pas peur de ce que je pourrais te demander ? » Demandai-je l’air de rien en lui lançant un regard taquin et amusé pour le coup. Nous mettant à manger, je grignotais pour ma part, ne mangeant pas des masses, avant de parler du la nourriture, du fait que je cuisinerais français et autre pour qu’il puisse découvrir autre chose que l’alimentation italienne, puisqu’il ne cuisinait qu’italien. Mais c’était tout à fait normal, je cuisinais la plus part du temps russe pour ma part. Je ne pouvais pas le lui reprocher. Ça serait dérisoire. M’allongeant à ses côtés, je le contemplais en souriant en coin. « Hm je te fais confiance, tu pourras cuisiner tout ce que tu voudras. Je suis un gros mangeur et j’aime à peu près tout, de toute façon. » Souriant en coin, je lui lançais un regard pratiquement amoureux, caressant son dos du bout de mes doigts en soupirant lentement. Ça m’avait l’air d’être un gros mangeur, mais je me doutais bien qu’il ne mangeait pas n’importe quoi non plus de toute façon. Déjà la bouffe Américaine était à proscrire. De toute façon, on verra bien si nous venions à vivre ensemble. Peut-être qu’il se lasserait rapidement de ma nourriture. Fallait dire que j’y mettais aussi de la Vodka, comme tout russe… « Toi qui tiens pas l’alcool, tu le tiendras dans les aliments ? Ok, ça s’évapore pas mal à la cuisson, mais j’en mets tellement… Je ne suis pas Russe pour rien… » Soufflai-je l’air de rien. Le regardant finir de manger, il m’annonça que le dessert serait pour après la sieste. Chose qui ne me dérangeait en aucun cas, bien au contraire même. Le laissant s’allonger, je me collais bien contre lui, profitant de son corps contre le mien, en soufflant que le sommeil me guettait plus qu’autre chose. « Moi je dors déjà … » Souriant en coin, sans rien répondre, je me laissais submerger par le sommeil assez rapidement. Mes yeux clos, le noir m’envahit, alors que je laissais place aux rêves. Insensés ceci dit. Totalement inconsciente, ne bougeant pas d’un seul centimètre, ma respiration fluide, légère, à peine audible, je restais contre Rafaello, rêvant de tout et de rien. Un coup de Marilys, un coup de lui, un coup de Camilya. Tout s’embrouillait dans ma tête. Du cauchemar au rêve, du rêve au cauchemar, j’essayais de chasser le tout sans réussir pourtant à me réveiller. Au bout d’une hure, j’ouvris un œil en sursautant. Surprise, je clignais des yeux, totalement engourdis contre lui. Son odeur m’enivrait avec intensité. Un sourire se logea alors sur mes lèvres. Le bien être de se réveiller à côté de l’homme que l’on aime. Gémissant lentement, je me redressais faiblement, le regardant alors dormir. Ses yeux clos, sa petite frimousse si parfaite et belle. Passant ma langue sur mes lèvres, je m’avançai avec lenteur. Vérifiant qu’il dormait bien, je ne pus m’empêcher de vouloir l’embrasser. Mais s’il se réveillait ? Je n’aurais pas l’air bête… Regardant autour de nous, étant toujours bien protégé, et surtout rien ne nous avait été pris. Le regardant longuement dormir, je vins alors déposer de lent et long baiser faiblement humide sur son visage, évitant soigneusement les lèvres avec difficulté. Donnant un long coup de langue sur son nez, je me mise alors à rire avec douceur. « On se réveille jeune mâle… » Murmurai-je doucement en mordillant son nez, avant de venir m’allonger sur lui, plongeant mon visage dans son cou, lui faisant des suçons un peu partout, assez énorme et de façon à ce qu’on puisse les voir. Le mordillant alors avec douceur puis franchise je vins mordre sa joue. « J’ai faim ! » Râlai-je en fronçant les sourcils avant de sourire en coin, le scrutant longuement avec amour.
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MessageSujet: Re: First date between two strangers [pv Nastazià] -terminé- First date between two strangers [pv Nastazià] -terminé- EmptyMar 3 Avr - 21:02


It's just the beginning

When she was just a girl, she expected the world, but it flew away from her reach, so she ran away in her sleep. And dreamed of para-para-paradise, Para-para-paradise, Para-para-paradise, Every time she closed her eyes. When she was just a girl, she expected the world, but it flew away from her reach, and bullets catch in her teeth. Life goes on, it gets so heavy, the wheel breaks the butterfly. Every tear, a waterfall. In the night, the stormy night, she closed her eyes. In the night, the stormy night, away she flied. And dreamed of para-para-paradise, Para-para-paradise, Para-para-paradise, Whoa-oh-oh oh-oooh oh-oh-oh. She dreamed of para-para-paradise, Para-para-paradise, Para-para-paradise, Whoa-oh-oh oh-oooh oh-oh-oh. (x2) La, la, la... And so lying underneath those stormy skies. She'd say, "oh, ohohohoh I know the sun must set to rise" This could be Para-para-paradise Para-para-paradise Para-para-paradise Oh oh oh oh oh oh-oh-oh This could be Para-para-paradise Para-para-paradise This could be Para-para-paradise Oh oh oh oh oh oh-oh-oh-oh This could be Para-para-paradise Para-para-paradise This could be
Para-para-paradise Oh oh oh oh oh oh-oh-oh-oh


« Je ne peux pas penser comme ça. Penser qu’elle ne t’aimera pas… Si jamais ça arrive, on est pas obligé d’emménager de suite ensemble, enfin, on peut rester chacun chez soit, le temps qu’elle grandisse et comprenne que tu n’es pas méchant ou j’en sais rien… Mais crois-moi, elle va t’aimer… S’il faut, elle va t’aimer plus que moi et voudra plus te quitter ! Tu sais, elle va t’aimer, pourquoi ? Parce qu’elle me demande depuis quelques temps quand est-ce que je lui ramène un ‘papa’. Bon ok, si je ramenais un sale con elle ne l’aimerait pas. Mais toi ! Toi ! Rafaello… » Je soupirai quelque peu et tournai un bref regard vers elle, sans pouvoir cacher l’inquiétude et la peur que je ressentais vraiment, à l’idée que sa fille ne m’aime pas et ne m’accepte pas dans leur vie. Chose qui m’effrayait réellement. Sans quoi, je n’aurais pas dis tout cela. Ou si je n’avais pas eus aussi peur, j’aurais gardé ça pour moi, plutôt que de lui donner du souci à se faire, pour rien. A présent qu’elle m’avait tout donné pour penser que je me trompais sur toute la ligne et m’inquiétais inutilement, je devais me servir de ses paroles, pour me rassurer sur tout ça. Oui, il le fallait vraiment. Avoir peur que ça ne fonctionne pas, ne servirait à rien, n’est-ce pas ? Rien d’autre que de me faire reculer un peu plus et sans doute même, la faire reculer elle. Autant dire que c’était là, tout ce que je ne voulais surtout pas. La perdre à cause de mes peurs, serait vraiment très con. Surtout si, comme elle le disait, sa fille ne pourrait que m’accepter dans sa vie, dans leur vie. Comme un père. Oui, je voulais être comme un père pour elle. J’adorais les gosses, je rêvais de fonder une famille … Et j’étais fou amoureux de sa mère. Le calcul était vite fait, le résultat très simple. Je voulais qu’elle puisse un jour me considérer comme un père. « Parce que tu comptais qu’on emménage ensemble, quand ? » Lui demandais-je d’une voix taquine, en souriant quelque peu en coin, l’air de rien. « Tu as raison … Je suis loin d’être un con hein ? Et puis j’adore les gosses. Et c’est ta fille. Alors je vais forcément l’aimer et elle le ressentira … Et m’aimera aussi. Hein ? » Demandais-je ensuite, en voulant sincèrement croire à mes propres paroles et affirmations. Il fallait qu’elle m’accepte, pour ne pas dire carrément qu’elle s’attache à moi et m’aime. Il le fallait. Parce que je ne pourrais pas tirer une croix sur Nastazià, aussi facilement que cela.

Changeant de sujet, nous parlâmes de son emploi. Et je fus surpris mais néanmoins ravi, lorsqu’elle m’affirma que je pouvais lui dire d’arrêter tout ce que je désirais qu’elle arrête, dans le mannequinat. Je ne me ferais pas prier, c’était certain. La jalousie parlait toute seule. Alors même que nous n’étions pas encore véritablement en couple. Ainsi, je fis mine de rien, lorsque je lui demandais si je pouvais faire une liste de trois mètres de long. C’était à peine exagéré. Vraiment à peine ! Je souris en coin à son rire et enroulai bien mon bras autour d’elle, lorsqu’elle se colla plus encore, à moi. Je soupirai d’aise à la sentir si près de moi, dans mes bras et songeai, que j’aimais déjà son corps contre le mien. Et pourtant, ce n’était même pas encore une vraie étreinte et moins encore, un câlin digne de ce nom. Par la suite, lorsque nous fumes installés dans notre coin tranquille et au calme, elle vint s’asseoir à califourchon sur moi. Il fut alors question du fait que d’ordinaire, je ne devais sortir qu’avec des femmes dont le physique était l’exact opposé du sien, raison pour laquelle elle ne comprenait pas ce que je lui trouvais. Je lui en fis donc part sans détour et sans hésiter. Je souris en coin en la voyant rougir et vint lui caresser la joue, du bout des doigts. « Ma forme de visage ? Tu l’aimes ? Pourtant ça ne plait pas à tout le monde, cette fossette que j’ai. Mio gattino ? Tu me traduis mon ange ? Même si j’ai une vague idée… » Je ris doucement, en la contemplant longuement, sans pouvoir cacher toute l’admiration que j’avais pour elle et pour sa beauté. Elle était d’une beauté totalement indescriptible et il était impossible de ne pas la voir. N’est-ce pas ? Selon moi, non, en tout cas. Ainsi, je l’admirais depuis bien longtemps, pour ne pas dire depuis le premier regard même. Elle était belle à couper le souffle et plus encore. « J’aime terriblement la forme de ton visage. Si parfait et si unique à souhait. Oh oui, terriblement unique … Mio gattino ? Et ça veut dire quoi à ton avis ? » Lui demandais-je d’une voix taquine, en la regardant longuement sans broncher. Alors qu’elle fumait tranquillement, par la suite, je me redressai et lui pris sa clope. Je tirai une fois dessus, avant de la lui éteindre l’air de rien, et lui apprendre toutes mes intentions concernant la drogue et le tabac. Pour la faire flancher, je lui adressai alors une moue totalement boudeuse et faussement triste et déçue, comme si j’étais sur le point de pleurer pour de bon. Ce qui la fit craquer apparemment, puisqu’elle l’a remarqué un peu trop fortement. Je retins un rire lorsqu’elle mentionna le fait que sa fille pourrait bien faire la même chose. C’était loin d’être pour me déplaire pour ma part.

« Si j’aime… C’est mignon tout plein ! Sur toi ! Pas sur la petite, après elle voudra plus m’obéir, les gosses de nos jours de vrais petits rebelles ! Hum merci t’es un ange… » Je ris doucement en venant frotter mon nez contre le sien, sans la quitter du regard. Ne pas l’embrasser, était un combat de tous les instants, et j’ignorais combien de temps, je sortirais vainqueur de ce combat si ardu. « Hm ça c’est à toi de veiller à ce qu’elle n’en joue pas à ce point. A … Nous … » Répondis-je alors, en hésitant un moment à dire nous, dans le sens où j’ignorais à quel point elle voulait que j’entre dans la vie de sa fille. Car il était certain que je ferais comme elle, elle le désirerait. Et non pas autrement. Parce qu’il s’agissait de sa fille et de moi, son petit ami. En clair, c’était elle qui décidait de tout là dedans. Chose parfaitement logique en soit. Nastazià ne tarda pas à reproduire ma moue boudeuse, pour me demander si elle aurait le droit de fumer pour le gouter. Je ris doucement et lui répondis qu’elle le pouvait, tout en la traitant alors de plagieuse, plus pour la taquiner que pour autre chose. « Je ne vois vraiment pas de quoi tu parles ! Et si je ne l’avais pas eu, j’aurais fumé quand même. Tu m’aurais puni ? » Je ris quelque peu, plutôt que d’être vexé ou autre connerie de ce genre. Je levai ensuite les yeux au ciel, en souriant quelque peu en coin. Elle était culotée cette fille. Et bon sang, j’étais fou amoureux d’elle, de la sorte et pas autrement ! « Oh oui ! Fessée cul nu ! » Lâchais-je l’air de rien, en lui adressant un regard on ne peut plus provoquant. J’aimais terriblement la taquiner plus que de raison. Comment ne pas aimer d’ailleurs, si l’on considérait le fait que j’étais fou de cette fille ? Par la suite, je lui appris le fait que je ferais absolument tout pour elle. C’était loin d’être exagéré tant c’était parfaitement la vérité. La vérité, sans une once aussi minime qu’elle puisse être, de mensonge. « Absolument tout ? Tu n’as pas peur de ce que je pourrais te demander ? » Je souris en coin, avant de prendre un air faussement inquiet, sourcils froncés et lèvres pincées. « Hm je saurais dire non, si jamais tu demandais l’impossible, compte sur moi ! » Lâchais-je l’air de rien, en lui lançant un regard doucement moqueur pour le coup.

Nous ne tardâmes pas à manger par la suite, tranquillement et tous les deux, l’un contre l’autre. Elle s’allongea ensuite à mes côtés et je frissonnai de bien être sous sa main, qui me caressait lentement le dos. Je me hâtai de terminer mon assiette, pour pouvoir la rejoindre plus rapidement encore. « Toi qui tiens pas l’alcool, tu le tiendras dans les aliments ? Ok, ça s’évapore pas mal à la cuisson, mais j’en mets tellement… Je ne suis pas Russe pour rien… » Je ris franchement sur le coup et levai les yeux au ciel, avant de poser un regard amusé sur elle. Elle n’avait vraiment pas oublié le fait que je lui avais bel et bien avoué, ne pas tenir l’alcool. Ce n’était pas non plus un secret défense, certes. Mais elle avait une sacré bonne mémoire tout de même. « Si je me met à raconter tout et n’importe quoi, il faudra que tu récupères mon assiette, pour que j’arrête de manger et me bourrer la gueule en même temps ! » Lâchais-je alors, d’une voix clairement amusée. Je commençais sérieusement à m’inquiéter sur ce point là tout de même, je devais bien le reconnaître. Une fois mon assiette enfin terminée, je m’allongeai tout contre elle et la pris dans mes bras, mentionnant le fait que nous mangerions le dessert plus tard. Dans l‘immédiat, la seule chose dont je rêvais, c’était de pouvoir dormir tout contre elle, dans ses bras. Je ne tardais d’ailleurs pas, à sombrer dans un sommeil profond et revigorant, durant lequel je me blottis plus encore contre elle, de façon tout à fait inconsciente. Un bras enroulé autour de sa taille et le visage placé près de son cou, je ne bronchais pas d’un poil durant mon sommeil et me contentai de frissonner inconsciemment de bien être, lorsqu’elle se mit à déposer de lents baisers sur tout mon visage. Je soupirai doucement de bien être et laissai apparaître un lent sourire, lorsqu’elle donna un coup de langue sur mon nez. J’entrouvris à peine les yeux pour la regarder, lorsque je l’entendis rire sans tarder. Je la contemplai alors en la regardant, de façon totalement endormie. « On se réveille jeune mâle… »

Je soupirai doucement et refermai les yeux, sans rien répondre, souriant franchement lorsqu’elle me poussa quelque peu, pour venir sur moi. Je me figeai fortement sur le coup, lorsque je la sentis suçoter la peau de mon cou, avec une franche insistance, très certainement pour y faire des suçons. Mon cœur s’emballa franchement sur le coup et je glissai une main dans ses cheveux, comme pour l’inciter à continuer. Je logeai ma main libre sur sa hanche pour l’empoigner doucement en refermant les yeux et la laissant faire, sans chercher à la repousser ou quoi que ce soit dans ce gout là. Je soupirai d’aise sous ses mordillements et fini par laisser échapper un franc gémissement, à sa morsure sur ma joue. Le souffle totalement coupé, je me passai la langue avec lenteur sur les lèvres, en lui lançant un regard franchement désireux, lorsqu’elle se redressa. « J’ai faim ! » Je me passai lentement la langue sur les lèvres, à plusieurs reprises et sans la quitter du regard, avant que je ne l’empoigne par les hanches, pour la faire descendre sur mon corps, et s’asseoir plus bas, lui faisant alors sentir mon désir pour elle. « Moi aussi j’ai faim. Très faim ! » Lâchais-je d’une voix rauque. Je serrai et desserrai les dents à plusieurs reprises, pendant un long moment et sans la quitter du regard, avant que je ne bascule sur le côté, pour la rallonger sur la couverture, gardant mon bas ventre pressé contre le sien. Je soupirai doucement et vins déposer un lent baiser sur la commissure de ses lèvres. « Vraiment très dangereux de me réveiller de cette façon … » Lui fis-je remarquer d’une voix douce et caressante à souhait. Le tout, avant de me redresser pour m’asseoir et faire mine de rien. « Tiramisu, donc ? » Lui demandais-je alors, comme si de rien n’était.
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MessageSujet: Re: First date between two strangers [pv Nastazià] -terminé- First date between two strangers [pv Nastazià] -terminé- EmptyVen 6 Avr - 2:26


₪ FIRST DATE BETWEEN TWO STRANGERS

Rafaello & Nastazià



« Parce que tu comptais qu’on emménage ensemble, quand ? » Détournant le regard mal à l’aise, je me pinçais rapidement les lèvres en restant alors silencieuse. « Tu as raison … Je suis loin d’être un con hein ? Et puis j’adore les gosses. Et c’est ta fille. Alors je vais forcément l’aimer et elle le ressentira … Et m’aimera aussi. Hein ? » Soupirant je lui lançais un regard attendrit, avant de caresser doucement sa joue. « Pas forcément emménager de suite, mais passer les week-ends l’un chez l’autre c’est bien non ? Le temps de s’habituer etc… Puis Tu sais mon ange, elle va t’aimer, je paris ce que tu veux que quand elle te verra elle va te câliner à mort, te faire des bisous bien baveux et t’en mettre partout ! Pour peu qu’elle te demande si tu veux être son papa ! La franchise la tuera du haut de ses trois ans à cette mioche ! » soufflai-je doucement en lui lançant un regard amoureux et rassurant à la fois. Une fois arrivé, on fila dans un coin tranquille, qu’il nous dénicha sans soucis avant que l’on ne parle de mon visage, de ma beauté, surtout parce que je venais de parler du fait qu’il n’était sorti qu’avec des brunes… « J’aime terriblement la forme de ton visage. Si parfait et si unique à souhait. Oh oui, terriblement unique … Mio gattino ? Et ça veut dire quoi à ton avis ? » Rougissant faiblement, je posais ma main sur sa joue poussant faiblement sa tête du genre, tu dis des bêtises, avant de rougir encore plus et secouer la tête pour lever les yeux au ciel. Lorsque j’avais commencé le mannequinat on me l’avait déjà dit. J’avais une forme de visage qui rappelait le chat, mais personne ne m’avait surnommée ne fonction de ce détail-là, il fallait dire que les gens étaient habitués puis je n’aimais pas que l’on me donne des surnoms, c’était du genre… Intime ce genre de chose, donc je préférais amplement que Raf soit le seul à m’en donner, ou ma famille. « Arrête… Y’a mieux… Hum ça a un rapport avec le chat ? Mon chat ? Mon chaton ? Ma chatte ? » Demandai-je en m’interdisant de rougir vers le dernier mot qui pouvait avoir un double sens. Raclant faiblement ma gorge, j’allumais une clope la fumant à moitié avant qu’il ne me la prenne et me l’éteigne pour me restreindre me faisant alors une moue boudeuse pour que je ne l’engueule pas ou autre. Lui annonçant qu’il devrait éviter de faire ça devant la petite pour pas qu’elle refasse et me manipule, je lui lançais un regard assez coquin pour le coup.

« Hm ça c’est à toi de veiller à ce qu’elle n’en joue pas à ce point. A … Nous … » Plongeant mon regard dans le sien, je le regardais longuement. Je voyais bien qu’il hésitait pour la fin de sa phrase. Nous. Ça me plaisait pourtant atrocement. Il n’avait pas idée. Bien sûr qu’il s’occuperait de Marilys et qu’il pourrait la punir, l’engueuler ou autre, je voulais qu’il agisse comme s’il était son père. Je voulais qu’il le devienne. Je savais que c’était le bon, qu’il resterait avec nous pour toujours, je pouvais avoir confiance en lui, et il serait tellement bon pour la petite… Il me tardait déjà de la lui présenter, de lui montrer qu’il se fait du souci pour rien… Mais à savoir quand je verrais la petite, c’était une autre histoire… « Oui, c’est à nous de la surveiller, et on y veillera ! Je suis une mère stricte quand je m’y mets, j’ai des valeurs, ancienne peut-être mais je n’ai pas envie que Marilys devienne cette sorte de nouvelle génération qui manque de respect à ses parents… Alors entre toi et moi je doute qu’elle s’y amuse… » soufflai-je doucement en le regardant avec tendresse et sincérité. Par la suite, je lui demandais si j’aurais le droit de fumer pour le goûter tout en reprenant alors sa moue boudeuse. Le voyant rire faiblement je lui fis remarquer que même sans son accord j’aurais fumé quand même, en lui demandant alors s’il m’aurait puni. « Oh oui ! Fessée cul nu ! » Boguant à sa phrase, je lui lançais un regard un peu choquée, avant de déglutir avec difficulté. Pourquoi quand il disait le mot fessée, j’imaginais autre chose qu’une fessée cul nu ? Mais plus le genre de fessée en mode levrette ? J’étais vraiment, vraiment en manque et le fait de ne rien faire, me rendait folle. Je le désirais et on n’était même pas encore au stade des baisers. Passant rapidement ma langue sur mes lèvres, je soupirais lentement en plissant le nez. « J’imagine une tout autre fessée que celle que t’imagine là… Juste pour info… » Soufflai-je l’air de rien la gorge nouée en souriant en coin. Apprenant qu’il ferait tout pour moi, je lui demandais alors s’il n’avait pas peur que j’abuse de sa générosité, lui lançant un regard on ne peut plus coquin sur le coup.

« Hm je saurais dire non, si jamais tu demandais l’impossible, compte sur moi ! » souriant en coin, je lui lançais un regard on ne peut plus taquin sur le coup. Je ne voyais pas trop quoi lui demander pour le coup, mais je ne doutais pas du tout de mes capacités à trouver quelques choses d’intéressant et croustillant pour tester ses limites. Moi coquine ? Pas le moins du moins, mais je voulais juste un peu m’amuser pourquoi pas. « Hum, hum, et moi je vais te tester crois-moi… » Soufflai-je l’air de rien le lui avouant sans honte en le regardant en coin, souriant de plus belle sans pouvoir m’en empêcher sur le coup. Mangeant tranquillement, je m’installais allongée à ses côtés pour ma part, n’ayant pas très faim de toute façon. Avec mon petit estomac d’oiseau, je n’allais pas bien loin de toute manière. J’en vins alors à lui demander s’il supporterait l’alcool dans mes plats, puisque j’en mettais pas mal. Oh ! J’étais Russe quand même… « Si je me met à raconter tout et n’importe quoi, il faudra que tu récupères mon assiette, pour que j’arrête de manger et me bourrer la gueule en même temps ! » Haussant un sourcil, je ne pus m’empêcher de rire sur le coup. Mon dieu, j’imaginais déjà la scène. Lui manger et se bourrer en même temps, tant le plat contient de la vodka. Le pauvre, il était clair que je ferais ce genre de plat quand nous ne serions que deux. Je ne voulais pas non plus qu’il se bourre la gueule devant d’autre et puisse sortir des choses compromettantes. « Pas de souci ! Mais c’est bizarre de ne pas tenir l’alcool comme ça ! Même si tu te mets à boire tous les jours ton corps ne s’y habitue pas ? » demandai-je doucement en lui lançant un regard totalement taquin. Une fois fini de manger, il vint s’allonger à mes côtés pour que l’on fasse la sieste. Nous endormant rapidement, je fus la première à me réveiller. Soupirant d’aise, je me mis à moitié sur lui, avant de me mettre totalement sur lui plongeant mon visage alors dans son cou pour suçoter sa peau avec envie. Sentant ses mains se poser sur ma taille, je boguais avant de glisser sur son corps, sentant alors son désir on ne peut plus réveiller, alors que je venais de lui dire que j’avais faim. Ecarquillant les yeux, je me sentis rougir sur le coup.

« Moi aussi j’ai faim. Très faim ! » Lui lançant un regard totalement perdu, je crus mourir en sentant son désir, totalement plaqué contre mon intimité. J’avais tout à coup envie de le violer, d’abuser de lui, de pouvoir le mettre nu et faire l’amour. Bizarrement, je me fichais que l’on soit dans un lieu public… Nous allongeant sur le côté, son bas ventre collé bien au mien, je sentis les pulsations de mon cœur, mon sang affluant en moi. J’étais à deux doigts de craquer, vraiment… « Vraiment très dangereux de me réveiller de cette façon … » Passant rapidement ma langue sur mes lèvres je fixais ses lèvres avec envie, m’approchant de lui prête à l’embrasser avant qu’il ne se redresse. Grognant lentement, je me laissais totalement aller sur le sol en fermant les yeux. « Tiramisu, donc ? » Je m’en foutais de son Tiramisu là ! Je voulais sa bouche moi ! Sa langue, ses lèvres sa salive, son corps… Grinçant des dents je déglutis en sentant mon corps totalement excités. Il était clair que là, s’il venait me rendre une petite visite il serait amplement surpris de voir l’effet qu’il me faisait … « Ouais… Beaucoup s’il te plait… Le sucre j’ai besoin de sucre ! » Pour combler ma frustration… M’allongeant sur le ventre enfouissant ma tête dans la couverture je lâchais un bref râle pour essayer de me changer les idées. Restant ainsi quelques instants, je me redressais pour prendre l’assiette qu’il me tendit. L’embrassant sur la joue pour le remercier je me mis à manger avec appétit. Ça manquait d’un truc. Clope. Attrapant mon paquet l’air de rien évitant son regard, au cas où il aurait oublié, je pris une cigarette la glissant entre mes lèvres, l’allumant avant de tirer dessus, comme une désespérée de la vie. Mes mains tremblant tout à coup, la nicotine dans ma gorge me donnait un arrière-gout de drogue. Je commençais vraiment à ressentir le manque. Baissant le regard, je pris une bouchée du dessert. « Il est vraiment… Vraiment succulent ! Va falloir que tu m’en fasses à nouveau… Rien que pour moi, pour ta petite chérie… » Soufflai-je doucement. On était pas ensemble, mais ça n’allait pas tarder, alors autant parler comme si. Je voulais vraiment lui montrer que je le voulais, que ce n’était pas des foutaises, que j’étais prête à tout pour lui. Fumant la moitié de ma clope, j’hésitai longuement avant de l’éteindre rapidement l’air de rien la rangeant l’air de rien en osant le regardant souriant en coin. Venant me blottir contre lui, je chipais un morceau de son Tiramisu le mettant en bouche, avant de faire lentement glisser la cuillère dans ma bouche lui lançant un regard terriblement coquin en souriant en coin.
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MessageSujet: Re: First date between two strangers [pv Nastazià] -terminé- First date between two strangers [pv Nastazià] -terminé- EmptySam 7 Avr - 23:41


It's just the beginning

When she was just a girl, she expected the world, but it flew away from her reach, so she ran away in her sleep. And dreamed of para-para-paradise, Para-para-paradise, Para-para-paradise, Every time she closed her eyes. When she was just a girl, she expected the world, but it flew away from her reach, and bullets catch in her teeth. Life goes on, it gets so heavy, the wheel breaks the butterfly. Every tear, a waterfall. In the night, the stormy night, she closed her eyes. In the night, the stormy night, away she flied. And dreamed of para-para-paradise, Para-para-paradise, Para-para-paradise, Whoa-oh-oh oh-oooh oh-oh-oh. She dreamed of para-para-paradise, Para-para-paradise, Para-para-paradise, Whoa-oh-oh oh-oooh oh-oh-oh. (x2) La, la, la... And so lying underneath those stormy skies. She'd say, "oh, ohohohoh I know the sun must set to rise" This could be Para-para-paradise Para-para-paradise Para-para-paradise Oh oh oh oh oh oh-oh-oh This could be Para-para-paradise Para-para-paradise This could be Para-para-paradise Oh oh oh oh oh oh-oh-oh-oh This could be Para-para-paradise Para-para-paradise This could be
Para-para-paradise Oh oh oh oh oh oh-oh-oh-oh


« Pas forcément emménager de suite, mais passer les week-ends l’un chez l’autre c’est bien non ? Le temps de s’habituer etc… Puis Tu sais mon ange, elle va t’aimer, je paris ce que tu veux que quand elle te verra elle va te câliner à mort, te faire des bisous bien baveux et t’en mettre partout ! Pour peu qu’elle te demande si tu veux être son papa ! La franchise la tuera du haut de ses trois ans à cette mioche ! » Je ne pu m’empêcher de frissonner longuement à l’idée de passer autant de temps avec elle. Moi je disais oui, oui et encore oui, à une telle idée ! Passer des week-ends entiers avec elle ? Je n’en demandais pas tant. Alors autant dire que si ça se faisait, j’en serais totalement comblé de joie. Je le voulais bon sang. La seule idée de tels week-ends, le faisait un bien fou et me donnait franchement envie. J’avais déjà hâte d’y être. Mais pour cela, sans doute faudrait-il que nous soyons réellement ensemble toutefois. Et pour ça … Pour ça, il fallait que nous nous soyons embrassés et que nous en soyons arrivés à l’étape supérieure déjà, tout de même. Sans quoi, je ne me voyais vraiment pas dormir avec elle, sans qu’il ne se passe rien du tout entre nous. Mon désir pour elle était déjà bien trop présent en moi, pour que je sois capable d’une telle chose. Ca allait de soit … « Passer des week-ends entiers, ensemble … J’ai hâte ! » Soufflais-je d’une voix franchement rêveuse pour le coup. Oui, j’avais sacrément hâte d’y être. Mais nous avions encore du temps à attendre, avant qu’il ne soit temps d’en arriver là. Beaucoup, beaucoup, de temps, même … Quoi qu’il en soit, je ne pouvais pas non plus m’empêcher d’avoir hâte d’y être. « Les enfants sont souvent très … Spontanés. » Soufflais-je d’une voix quelque peu amusée pour le coup. Oui et c’était là une chose qui me faisait bien rire et qui me plaisait vraiment. C’était mignon tout plein un gosse qui disait ce qui lui passait par la tête, à l’instant même où il le pensait. Si les adultes pouvaient être un peu plus de la sorte, ce serait tellement merveilleux selon moi. Mais je n’étais pas assez naïf pour ne pas savoir que ce serait forcément à double tranchant, bien entendu. Rapidement, nous arrivâmes au parc où je nous dénichai un coin tranquille et à l’abri des regards. Non pas pour faire des choses coquines, malheureusement. Ce n’était pas encore le moment pour ça, malgré une envie bel et bien présente.

Nous en arrivâmes à parler de son physique, puisqu’elle venait de mentionner le fait que mes ex devaient toutes être brunes à la peau bronzée et autres détails physiques du même genre. J’insistai alors sur la forme de son visage, avant de l’appeler mio gattino. C’était plus fort que moi, je devais bien le reconnaître. Parler italien tant elle me faisait de l’effet. Et puis je trouvais ma langue maternelle plus jolie que l’anglais des Etats-Unis. Sans doute était-ce plus ou moins à cause de cela, si j’avais encore mon accent italien. Bien qu’il ne fut pas grandement prononcé tout de même, depuis le temps. Mais il avait tendance à vraiment ressortir lorsque j’étais tiraillé par des émotions trop puissantes. Je ris faiblement lorsqu’elle posa une main sur ma joue, comme pour me pousser doucement et ainsi tenter de me faire taire à cause des propos que je venais d’avoir, concernant son physique. Je levai les yeux au ciel en la voyant rougir. A croire qu’elle ignorait totalement le fait qu’elle était d’une grande beauté. « Arrête… Y’a mieux… Hum ça a un rapport avec le chat ? Mon chat ? Mon chaton ? Ma chatte ? » Je souris en coin en passant le bout de mes doigts, d’une joue à une autre, en passant par son menton. Son visage avait vraiment une forme très particulière et vraiment unique. Une forme magnifique, qui m’avait marqué au premier regard que j’avais posé sur elle, la première fois que je l’avais rencontrée. « Mieux ? J’en doute. Tu es … Tellement belle. » Soufflais-je d’une voix douce en me redressant, pour déposer un tendre baiser sur sa joue, très près de ses lèvres. « Chatte ? Charmant … Hm ça veut dire mon chaton … Mio gattino … » Soufflais-je d’une voix caressante, avant de déposer un nouveau baiser sur sa joue puis me replacer normalement, tête au sol. Après une moue boudeuse de ma part concernant le fait qu’elle fumait et que je voulais la faire arrêter petit à petit, elle mentionna le fait que sa fille allait rapidement apprendre à faire tout comme moi pour ça. Je lui soufflai que c’était à elle de lui apprendre à ne pas en profiter plus qu’il ne fallait avant d’hésiter et changer le tu par un nous. Parce que je n’étais pas certain d’avoir un tel droit. Dans le fond, je ne serai jamais son vrai père, même si tout se passait bien entre nous trois. Chose qui me titillait tout de même pour le coup, je devais le reconnaître.

« Oui, c’est à nous de la surveiller, et on y veillera ! Je suis une mère stricte quand je m’y mets, j’ai des valeurs, anciennes peut-être mais je n’ai pas envie que Marilys devienne cette sorte de nouvelle génération qui manque de respect à ses parents… Alors entre toi et moi je doute qu’elle s’y amuse… » Je souris faiblement sur le coup, avant de sourire plus franchement. Dieu qu’elle me rendait heureux. Foutrement heureux ! Je voulais l’entendre me dire ce genre de choses, encore et encore. Je serais son père … Non, comme un père. C’était déjà bien. Vraiment très bien même. Etre un père pour sa fille qui en manquait cruellement. Je ne doutais pas que, étant sa fille, elle était plus que parfaite et que j’allais totalement l’adorer. C’était forcé même ! « Il faudra que tu m’apprennes, tu le sais hm ? Je pense avoir beaucoup de choses à apprendre sur l’éducation d’un enfant … » Soufflais-je doucement en plissant faiblement le nez sur le coup. Oui, j’avais un tas de trucs à apprendre là-dessus, c’était d’une évidence imparable. En même temps, n’étant pas père, je ne pouvais pas apprendre du jour au lendemain et sans la moindre petite aide de la part de qui que ce soit. Après qu’elle m’eut littéralement volé ma moue boudeuse, je lui fis remarquer que j’aurais pu lui mettre une fessée cul nu, si elle avait osé fumer sans me demander ma permission ou quand bien même je lui aurais dis non. C’était une taquinerie de ma part, bien entendu. Jamais je ne lèverais la main sur elle, c’était évident pour moi. « J’imagine une tout autre fessée que celle que t’imagine là… Juste pour info… » J’haussai les sourcils et la regardai sans rien comprendre du tout sur le coup. Je mis plusieurs secondes avant de vraiment comprendre et ne pu m’empêcher de rire franchement en réalisant le sens de ses paroles. Oh … Oh ! Elle était donc comme ça ? Du genre … On ne peut plus sauvage ? Ou c’était moi qui la rendait de la sorte et lui donnait de telles envies ? J’osais espérer que ça avait un rapport direct avec moi, c’était certain. « Le genre de fessées qu’on ne fait qu’en plein ébat sauvage et débridé ? » Demandais-je l’air de rien en souriant en coin et lui lançant un regard totalement coquin sur le coup. Elle était en train de me donner envie. Dieu que c’était tentant et destructeur pour moi. La … Coquine ! Oui, c’était une sacré coquine, ni plus ni moins. Et j’aimais terriblement cela. Plus que ça même, bon sang. J’avais terriblement hâte de pouvoir goûter à tout ça avec elle. Je ris quelque peu lorsqu’elle me demanda si je n’avais pas peur qu’elle profite de ma générosité. Ce à quoi je répondis que je comptais bien lui dire non, lorsqu’il le faudrait vraiment et qu’elle irait trop loin. « Hum, hum, et moi je vais te tester crois-moi… » Je ris quelque peu en levant les yeux au ciel. Je n’étais même pas inquiet, je devais bien le reconnaître. Sans doute parce que je ne doutais pas qu’elle n’irait pas trop loin non plus. Elle n’était pas comme ça tout de même … Non ? « On verra ça ! » Lâchais-je en lui lançant un regard de défis, plus pour la taquiner que pour autre chose.

Pendant que nous mangions la salade qu’elle avait prit soin de préparer exprès pour ce pique nique, elle émit l’idée de faire un plat avec de la vodka dedans, avant de demander si j’arriverais à supporter l’alcool dans la nourriture. Il était vrai qu’il y avait là matière à s’inquiéter, si l’on considérait le fait que je ne tenais foutrement pas l’alcool ! « Pas de souci ! Mais c’est bizarre de ne pas tenir l’alcool comme ça ! Même si tu te mets à boire tous les jours ton corps ne s’y habitue pas ? » Je fis mine de bouder devant son air taquin et levai ensuite les yeux au ciel, devant ses propos. Boire tous les jours ? Et puis quoi encore ? Elle ne voulait pas non plus que je devienne un alcoolique, non ? « Hm … Ne m’en veux pas mais je ne compte pas boire tous les jours, uniquement pour pouvoir apprendre à supporter l’alcool. » Lâchais-je d’une voix quelque peu amusée, sans la quitter du regard. Non, décidément, je n’étais pas prêt à boire à ce point, simplement pour m’habituer à ça. Franchement, je préférais le fait de ne pas tenir l’alcool, pour ma part. Ainsi, ça m’évitait de tomber là dedans, non ? Oui, décidément, je trouvais que ce n’était pas plus mal ! Un bref moment plus tard, une fois notre repas terminé, nous nous endormions dans les bras l’un de l’autre. C’était foutrement bon et plaisant, que de passer un tel moment, avec la femme dont j’étais tombé fou amoureux, en moins de temps qu’il n’en faut pour le dire. Et c’était tout aussi bon, d’être réveillé par elle. Ce qu’elle fit une bonne heure plus tard. La voir en ouvrant les yeux, fut une pure merveille et un bonheur sans nom. Mais le fait qu’elle soit en train de suçoter ma peau en étant à demi allongée sur moi, me fis perdre franchement les pédales. Je l’empoignai alors par les hanches, pour la faire s’asseoir plus bas, sur mon entrejambe qui était une preuve évidente de mon désir, à cet instant là. Je lui soufflais alors, que tout comme elle, j’avais faim. Même s’il était évident que c’était une toute autre faim, apparemment. Je finis par pivoter pour me retrouver au dessus d’elle, mon bas ventre totalement plaqué contre le sien. Je soupirai d’aise et d’envie et lui fit remarquer que, me réveiller d’une telle façon, était vraiment très dangereuse. Je la vis alors se redresser en fixant mes lèvres du regard. Elle allait m’embrasser. Aussitôt, je me redressai pour éviter le contact de ses lèvres et me plaçai à genoux devant elle, l’air de rien. Je soupirai faiblement de soulagement en la voyant se rallonger et souris à peine en coin sur le coup. L’air de rien, je lui demandai si elle désirait du Tiramu, commençant à me tourner vers les sacs, sans attendre. « Ouais… Beaucoup s’il te plait… Le sucre j’ai besoin de sucre ! » Je souris en coin en la voyant rouler sur le ventre pour enfouir son visage dans les couvertures. Son râle me fit lâcher un bref rire mais je lui servis néanmoins, une bonne part du Tiramisu, avant d’en prendre pour moi aussi. Je lui tendis son assiette lorsqu’elle se redressa et soupirai de bien être à son bref baiser. Mangeant tranquillement ma part, je la vis sortir une cigarette et commencer à fumer. Je fis mine de rien, pas franchement dérangé par cela, non plus. « Il est vraiment… Vraiment succulent ! Va falloir que tu m’en fasses à nouveau… Rien que pour moi, pour ta petite chérie… » Je souris en coin et tournai un regard amoureux vers elle, la voyant alors éteindre sa cigarette après en avoir fumé la moitié. Ce qui me fit sourire de plus bel. Je soupirai d’aise et hochai faiblement la tête sans la quitter du regard. « Mais je ferais tout pour ma petite chérie. » Soufflais-je d’une voix douce, sans la quitter du regard. J’haussai les sourcils lorsqu’elle vint prendre une bouchée de mon Tiramisu et ris doucement en levant les yeux au ciel. Sans prévenir, j’approchai mes lèvres des siennes et plaçai mon index sur les siennes, juste avant d’y déposer les miennes, avec douceur, nos lèvres à nouveau séparées simplement par un doigt. « J’avais vraiment envie de venir le récupérer dans ta bouche celui là. » Soufflais-je d’une voix caressante, avant de déposer un faible baiser, sur le bord de son nez puis me redressai l’air de rien, pour continuer de manger mon Tiramisu. Une fois terminé, je posai mon assiette et me laissai tomber en arrière, pour m’allonger sur le dos et étendre mes bras et tout mon dos, le faisant craquer avec lenteur en gémissant longuement de bien être. Je fermai les yeux en soupirant doucement. « Il va être l’heure de partir … » Marmonnais-je de mauvaise grâce, tant je n’avais vraiment pas hâte d’y être.
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MessageSujet: Re: First date between two strangers [pv Nastazià] -terminé- First date between two strangers [pv Nastazià] -terminé- EmptyLun 9 Avr - 12:55


₪ FIRST DATE BETWEEN TWO STRANGERS

Rafaello & Nastazià



« Passer des week-ends entiers, ensemble … J’ai hâte ! » Souriant en coin, je soupirais en imaginant déjà des week-ends ensemble. Oh que oui ça ne pourrait qu’être parfait, même s’il ne serait pas là, la nuit vu qu’il bossait toujours de nuit. Normal pour un dealer en même temps… Mais bon, maintenant que nous nous rapprochions et que nous allions devenir un futur couple… ça m’embêtais un peu son activité, je ne voulais pas le perdre… Ou que ça se sache au vu de mes soucis actuels… « Les enfants sont souvent très … Spontanés. » Souriant faiblement, j’hochais lentement la tête. Ils l’étaient parfois trop malheureusement et ce n’était pas forcément un atout… surtout lorsqu’ils sont bien malin et coquin comme Marilys. Soupirant lentement je passais brièvement ma main dans mes cheveux en le regardant longuement. « Tu sais, la petite quand je l’ai, elle dort souvent avec moi. Fin, elle me rejoint dans mon lit… Alors si on passe un week-end chez toi, attends-toi juste, à ce qu’elle vienne se glisser entre nous pour dormir… » soufflai-je l’air de rien pour voir comme il allait prendre la nouvelle. J’espérais tout de même que ce genre de choses n’allait pas le dégouter… Arrivant au parc, on fila dans un endroit isolé pas pour faire des cochonneries mais plus pour ce cacher des gens qui pourraient m’accoster pour des photos et j’en passe. Parlant de ma beauté j’en viens à demander ce que veut dire son surnom et je propose donc tout ce qui tourne autour du chat. « Mieux ? J’en doute. Tu es … Tellement belle. » Secouant la tête, comme pour dire non, je baissais le visage en me sentant alors faiblement rougir. C’était tellement plaisant de l’entendre me le dire, seul lui arrivait à me toucher avec de telle paroles. Le reste… C’est pour le boulot, ni plus ni moins. Lui c’est sincère et je le sentais terriblement. Déglutissant longuement, je lui lançais un regard amoureux en souriant en coin. « Chatte ? Charmant … Hm ça veut dire mon chaton … Mio gattino … » Souriant faiblement, je me penchais vers lui en le prenant alors dans mes bras, déposant un doux baiser sur sa joue en soupirant lentement. Joue contre joue je restais là un petit moment en souriant en coin. C’était tellement plaisant, oh que oui. « Y’en a qui appelle leur femme Chatte, je l’ai déjà vu… C’est… Charmant en effet, mais je préfère mon chaton… Le tiens…Mon Raffou… » soufflai-je doucement en donnant un coup de langue sur sa joue avant de me reculer l’air de rien, le regardant de façon innocente, comme si je n’avais rien fait de mal. Me redressant faiblement, on se mit à parler de ma fille, du fait qu’il avait des doutes, toujours et encore et je me forçais à lui faire comprendre qu’il n’y avait pas à douter, non, et puis elle était tellement gentille… Puis je lui parlais de son éducation, du fait que je ne voulais pas qu’elle devienne comme les jeunes d’aujourd’hui, non surtout pas !

« Il faudra que tu m’apprennes, tu le sais hm ? Je pense avoir beaucoup de choses à apprendre sur l’éducation d’un enfant … » Hochant faiblement la tête, je fus contente de le voir s’impliquer déjà alors qu’il ne connaissait même pas Marilys encore. C’était terriblement plaisant oui. Et j’espérais de tout cœur qu’il s’en sortirait… Pour le peu qu’on allait la voir ça serait déjà bien, il fallait le temps que je récupère la garde de ma petite fille… je la voulais, elle me manquait, et je lui manquais aussi, j’avais l’impression qu’elle comprenait ce qu’il se passait et c’était… Plaisant ? Qu’elle puisse voir que sa mère n’allait pas bien, le lien maternel surement. « Oui, je le sais, mais tu sais, ça se fait tout seule, j’ai appris toute seule par instinct. Puis Marilys est une fille sage, les seules conneries qu’elle fait c’est de dévorer les placards… mais toi avec ton appétit j’ai peur que tu l’accompagnes ! » Lâchais-je en riant doucement lui lançant un regard des plus taquin sur le coup. Parlant de cigarette par la suite, je fis sa mine boudeuse plus pour le taquiner qu’autre chose, et j’en vins à lui dire qu’avec ou sans son accord j’aurais tout de même fumé, il me parla de fessée, et je ne pus m’empêcher de dire que j’avais une tout autre fessée en tête. Une fessée bien explicite en fait. « Le genre de fessées qu’on ne fait qu’en plein ébat sauvage et débridé ? » Souriant lentement je lui lançais un regard clairement coquin en passant alors ma langue entre mes lèvres. Une fessée bien sauvage oui, je l’avais en tête et pas qu’un peu. Même si je n’avais jamais pratiqué ce genre de position. Est-ce que ça lui ferait plaisir de l’apprendre ? D’apprendre que malgré tout ce qu’il peut croire, je n’ai pas fait grand-chose au lit… Que je ne connaissais pratiquement rien quand on y pense… « Hum oui ! Mais va falloir que tu me fasses connaitre, car à part dans mes pensées actuellement je n’ai jamais pratiqué. » soufflai-je en le regardant droit dans les yeux pour voir sa réaction. Par la suite, on se mit à parler de sa générosité, et du fait qu’il ferait tout pour moi. J’en vins alors à demander s’il n’avait pas peur que j’en fasse trop et qu’il saurait donc dire non Je lui fis comprendre alors que j’allais le tester et abuser de lui. Bien sûr je rigolais, enfin peut-être pas. « On verra ça ! » souriant en coin, je lui lançais un regard totalement coquin et remplit de désir, plus pour le taquiner qu’autre chose. Ne répondant rien, n’ayant rien à répondre à cela, je me mis à parler du fait que je mettais de l’alcool dans mes plats et que je me demandais s’il allait le supporter même si avec la chaleur l’alcool s’évaporait un tant soit peu. C’était tout de même bizarre qu’il ne puisse pas supporter autant l’alcool et soit rapidement bourré. S’il se mettait à boire tous les jours il devrait s’habituer non ?

« Hm … Ne m’en veux pas mais je ne compte pas boire tous les jours, uniquement pour pouvoir apprendre à supporter l’alcool. » Riant faiblement, je ne pus m’empêcher de rire un peu plus. J’espérais bien qu’il n’allait pas se mettre à boire juste pour s’habituer à l’alcool, mais avec mes plats, dans un sens c’était bien ce qu’il allait faire. Il me tardait déjà de voir sa réaction quand il mangerait mes plats. Peut-être qu’il n’allait pas supporter le gout de la Vodka dedans ? Faudrait que je diminue les doses au moins pour lui… Je buvais ça comme de l’eau pour ma part, j’étais tellement habituée… Depuis toute petite en fait… « Oh mais je ne t’en veux pas, ne t’inquiète pas, je diminuerai les doses dans mes plats… Mais tu sais chez moi c’est l’usine à Vodka ! Alors… » Marmonnai-je doucement. Restant allongée, je le regardais finir de manger avant que nous nous endormions dans les bras l’un de l’autre. C’était terriblement parfait. Dormant tout contre lui, me trouvant au paradis, je me réveillais la première, plus d’une heure après. Soupirant lentement, je vins sur lui avec douceur pour le réveiller, lui faisant alors quelques suçons sur la peau de son cou. J’aimais terriblement lui faire ça, même si nous ne pouvions pas encore nous embrasser, j’avais le droit de faire ça pas vrai ? Le sentant se réveiller, je lui murmurais que j’avais faim. Sentant ses mains sur mes hanches, il me fit descendre d’un cran de sur son corps. C’est alors que je sentis… la bête. Enorme. Lui lançant un regard surpris et totalement remplit de désir, je me mordis les lèvres avant qu’il ne nous fasse basculer sur le côté. Totalement sonné, nos bassins collés l’un à l’autre, je crus défaillir sur place. Il n’avait pas le droit de m’exciter de la sorte en m’annonçant qu’il ne fallait pas que je le réveille de la sorte car il avait faim lui aussi. Gémissant lentement totalement envieuse de lui, je me penchais pour l’embrasser avant qu’il ne se redresse. Lui lançant un regard noir sur le coup et surtout vexée du vent, je détournais le regard en le voyant sourire. M’allongeant sur le ventre je soupirais me sentant conne. Me demandant si je voulais du dessert je lui en demandais une grosse part avant de me relever et de fumer une moitié de clope l’air de rien. Pour lui faire plaisir, pour lui montrer que je voulais bien faire des efforts sur ma consommation de clope. Mangeant tranquillement je lui annonçais qu’il allait devoir m’en refaire de ce dessert et juste pour moi, bien évidemment. Pour qui d’autre ? « Mais je ferais tout pour ma petite chérie. » Souriant en coin, je lui lançais un regard clairement amusé et amoureux avant de baisser le regard. Tout… Il ferait tout pour moi, c’était tellement plaisant à entendre. Tous les hommes ne feraient pas ça pour leur petite chérie…

« T’es un ange… Le mien ! » soufflai-je doucement en lui lançant un regard taquin avant de me pencher pour lui voler un morceau de Tiramisu dans son assiette. Croisant son regard je souris faiblement avant de le voir s’approcher de moi. Son index sur mes lèvres ses lèvres venant comme s’il allait m’embrasser, je fronçais les sourcils en le laissant faire. J’aurais préféré que le doigt ne soit pas là pour bloquer le passage… « J’avais vraiment envie de venir le récupérer dans ta bouche celui-là. » Gémissant faiblement sous son baiser sur le bout de mon nez, je soupirais en lui lançant un regard de reproche. Combien de temps allait-il me jouer ce jeu-là ? De ne pas s’embrasser et j’en passe ? Ma patiente avait quand même une limite… Je voulais bien qu’il attende histoire de ne pas passer après certains, il attendait que quoi ? Que je sois en manque ? Je n’avais pas couché avec tout New-York non plus. Tout à coup je me sentis vexée. Détournant le regard je posais mon assiette n’ayant plus faim. « Il va être l’heure de partir … » soupirant fortement j’appuyais mes coudes sur mes cuisses me tenant alors la tête de mes mains, regardant devant moi, plus dans le vide qu’autre chose. Je ne fixais pas de points précis. Oui ça allait être l’heure… Et ça je ne le voulais pas, quand est-ce qu’on se reverrait ? Surtout qu’il bossait ce soir… et ça, ça m’énervait un peu, bizarrement je ressentais une sorte de peur à présent. « Oui… tu commences le boulot vers quelle heure ? » Demandai-je doucement commençant à ranger alors la nourriture pour les remettre dans les sacs avec une lenteur extrême. D’avoir dormi nous n’avions pas vu le temps passer, et nous n’avions pas pu réellement profiter de ce moment. La prochaine fois… Oui, puis nous nous étions mis d’accord pour que je dorme chez lui c’était mieux alors… « Tu me diras quand tu veux qu’on se revoit…. Je suis en vacances ne l’oublie pas hm. »
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MessageSujet: Re: First date between two strangers [pv Nastazià] -terminé- First date between two strangers [pv Nastazià] -terminé- EmptyDim 15 Avr - 1:05


It's just the beginning

When she was just a girl, she expected the world, but it flew away from her reach, so she ran away in her sleep. And dreamed of para-para-paradise, Para-para-paradise, Para-para-paradise, Every time she closed her eyes. When she was just a girl, she expected the world, but it flew away from her reach, and bullets catch in her teeth. Life goes on, it gets so heavy, the wheel breaks the butterfly. Every tear, a waterfall. In the night, the stormy night, she closed her eyes. In the night, the stormy night, away she flied. And dreamed of para-para-paradise, Para-para-paradise, Para-para-paradise, Whoa-oh-oh oh-oooh oh-oh-oh. She dreamed of para-para-paradise, Para-para-paradise, Para-para-paradise, Whoa-oh-oh oh-oooh oh-oh-oh. (x2) La, la, la... And so lying underneath those stormy skies. She'd say, "oh, ohohohoh I know the sun must set to rise" This could be Para-para-paradise Para-para-paradise Para-para-paradise Oh oh oh oh oh oh-oh-oh This could be Para-para-paradise Para-para-paradise This could be Para-para-paradise Oh oh oh oh oh oh-oh-oh-oh This could be Para-para-paradise Para-para-paradise This could be
Para-para-paradise Oh oh oh oh oh oh-oh-oh-oh


« Tu sais, la petite quand je l’ai, elle dort souvent avec moi. Fin, elle me rejoint dans mon lit… Alors si on passe un week-end chez toi, attends-toi juste, à ce qu’elle vienne se glisser entre nous pour dormir… » Je souris franchement à cette annonce, sans pouvoir m’en empêcher. C’était peut-être un peu étrange, mais j’imaginais parfaitement la scène. Tous les trois dans le lit, comme une petite famille. Est-ce que ça arriverait vraiment ? Est-ce qu’arriverait un jour où elle pourrait me considérer comme un père ? Un jour où il pourrait y avoir une histoire de famille entre tous les trois ? J’osais vraiment l’espérer. J’étais déjà foutrement bien, pour ne pas dire carrément heureux, avec Nastazià. Alors je voulais, évidemment, que tout se passe bien avec sa famille, maintenant. C’était le strict minimum. Sans compter que j’étais parfaitement conscient du fait que si sa fille ne m’aimait pas, notre relation ne pourrait malheureusement pas aller plus loin. Pour la simple et bonne raison que je ne voudrais jamais être un sujet de discorde ou de dispute entre la mère et la fille. L’avis de la petite était sans doute aussi importait que celui de sa mère. Et c’était un risque que j’étais prêt à courir parce qu’à mes yeux, depuis le début, c’était les deux ou rien. Nastazià avait une fille et je faisais totalement avec. « Tu sais quoi ? Je demande que ça. Ca fait … Très famille. Et j’aime vraiment ça … » Soufflais-je en tournant un regard sincère et heureux, vers elle. J’avais vraiment hâte d’y être. Et ce, alors que nous n’étions même pas encore au stade de nous embrasser, pour être véritablement ensemble. Un long moment plus tard, alors que nous étions tous les deux dans un coin tranquille du parc et qu’elle eut mentionné mes ex qui devaient être à l’opposé d’elle-même, je lui fis remarquer qu’il n’y avait pas plus belle qu’elle. Je souris légèrement à ses rougeurs et au fait qu’elle semblait ne pas vouloir le croire. Je ris doucement en posant mes mains sur ses joues pour la regarder longuement. « La plus belle femme qu’il m’ait été donné de voir. » Soufflais-je d’une voix taquine mais sérieuse aussi. Je l’appelai ensuite mio gattino et lui appris sa signification. Je fermai les yeux de bien être à son baiser sur ma joue puis la sienne qui se posait tout contre. Souriant en coin, je glissai une main dans ses cheveux, pour les lui caresser avec lenteur et douceur. « Y’en a qui appellent leur femme Chatte, je l’ai déjà vu… C’est… Charmant en effet, mais je préfère mon chaton… Le tiens…Mon Raffou… » Je ris doucement sur le coup, tant je ne m’y attendais pas pour le coup. « Brrr quelle horreur. Mon chaton. Mio gattino. » Soufflais-je d’une voix douce au creux de son oreille.

Le sujet de sa fille ne tarda pas à revenir. Et tout naturellement, je lui fis remarquer le fait que j’avais pas mal de trucs à apprendre sur l’éducation d’un enfant. C’était parfaitement normal et compréhensible dans le fond. Après tout, je n’étais pas père de famille. Même si j’étais sur le point de le devenir, si ma relation avec Nastazià, aboutissait à quelque chose, comme j’osais sincèrement l’espérer. « Oui, je le sais, mais tu sais, ça se fait tout seul, j’ai appris toute seule par instinct. Puis Marilys est une fille sage, les seules conneries qu’elle fait c’est de dévorer les placards… mais toi avec ton appétit j’ai peur que tu l’accompagnes ! » Je souris en coin en hochant la tête avec lenteur, avant de rire franchement sur le coup, sans pouvoir m’en empêcher. Je nous imaginais parfaitement tous les deux, en train de chiper de la bouffe dans les placards de la cuisine, sans en parler à Nastazià et manger en traitres, tout simplement. Et le tout … Pour mieux faire les innocents par la suite, bien entendu. Oui, l’idée me plasait vraiment, je ne pouvais pas le nier. C’était assez amusant … Et créer une telle complicité avec Marilys, ne pouvait que me plaire bien entendu. Comment ne pas aimer cela en même temps ? C’était tout bonnement impossible, je n’en doutais pas un seul instant. « Oui mais c’est plus naturel pour une mère … Moi j’arrive en cours de route chérie. » Lui fis-je remarquer d’une voix douce. « Y’a de fortes chances pour que tu nous trouves tous les deux en train de dévorer le contenu du frigo et des placards, à tout bout de champ … » Ajoutais-je ensuite, sur un ton malicieux, avant de rire faiblement à cette idée pour le moins atypique et vraiment très drôle. A continuer de discuter tous les deux, arriva un moment où j’émis l’idée que je lui mette une fessée. Je fus surpris de l’entendre me dire qu’elle pensait à une toute autre fessée. « Hum oui ! Mais va falloir que tu me fasses connaitre, car à part dans mes pensées actuellement je n’ai jamais pratiqué. » Je gémis faiblement en lui lançant un regard envieux et en me mordillant faiblement la lèvre inférieure, sans vraiment y penser ni pouvoir me retenir. « Graour … Compte sur moi alors … » Soufflais-je d’une voix douce, en glissant mes doigts sur son visage, pour venir les passer sur ses lèvres, avec lenteur et douceur, y posant mon regard en luttant pour ne pas y déposer les miennes, tant l’envie était grande.

Pris dans notre longue discussion, je ris doucement lorsqu’elle me demanda si je n’avais pas dans l’idée, de boire tous les jours, pour pouvoir mieux tenir l’alcool au fil du temps. Tout ça parce que je ne tenais absolument pas l’alcool. Je souris en coin et la regardai rire, sans pouvoir cacher combien elle me plaisait vraiment plus que de raison. Son rire, son sourire … Elle était tellement parfaite, que ça aurait pu en devenir un crime. « Oh mais je ne t’en veux pas, ne t’inquiète pas, je diminuerai les doses dans mes plats… Mais tu sais chez moi c’est l’usine à Vodka ! Alors… » Je ris doucement à mon tour et levai les yeux au ciel, avant de pincer doucement sa joue, pour la taquiner. « Tu peux toujours essayer de me nourrir avec tes plats tel quel. On verra ce que ça donne. Si je finis totalement ivre, c’est qu’il y a trop de vodka. » Lâchais-je l’air de rien, en souriant faiblement à cette idée. Je n’aimais pas franchement l’idée de me mettre à parler plus qu’il ne faudrait, uniquement à cause d’une surdose d’alcool. Certes, tant qu’il n’y avait que Nastazià, pour entendre ça, ça m’allait tout de même. Ce n’était pas non plus si terrible que ça. Et ce, pour la simple et bonne raison, qu’arriverait forcément le jour où je lui parlerai de tout ça, de mon passé et de tout ce qu’il fallait qu’elle sache à mon sujet. Le fait que je ne serais sans doute jamais vraiment en sécurité, tant que ma famille serait en vie et que la mafia ne m’aurait pas vraiment oublié. Peut-être était-ce le cas … Mais rien n’était moins sûr malheureusement. Finalement, une fois notre déjeuner terminé, nous nous couchâmes tous les deux pour dormir un petit peu, dans les bras l’un de l’autre. Une heure plus tard, je fus réveillé par les suçotements dans mon cou, qu’était en train de me faire Nastazià. Excité presque malgré moi, par un tel réveil, je l’empoignai par les hanches, pour la faire glisser sur mon corps et s’asseoir sur mon entre jambe, preuve de mon désir. Par la suite, je roulai pour me retrouver sur elle et lui faire part du fait qu’un tel réveil, était vraiment dangereux. Mais à l’instant où elle se redressait pour m’embrasser, je me relevai et fis mine de rien, pour proposer le Tiramisu que j’avais pris soin de préparer, exprès pour notre pique-nique. Je lui fis rapidement part du fait que je ferai tout pour ma chérie, elle donc, lorsqu’elle me demanda si je lui en ferais à nouveau par la suite. « T’es un ange… Le mien ! » Je souris en coin en lui lançant un regard totalement amoureux et attendri, sans pouvoir m’en empêcher. « Hm oui ton tiens chérie … » Lui soufflais-je d’une voix douce, en souriant légèrement en coin.

Par la suite, alors qu’elle venait de manger une bouchée piquée dans mon assiette, je fis mine de venir l’embrasser, en lui faisant remarquer que j’avais vraiment eut envie de récupérer la bouchée, directement dans sa bouche. Mais je compris bien vite que quelque chose clochait. En avait-elle déjà marre de ce besoin, de ma part, de faire étape par étape ? Je soupirai doucement et posai une main sur sa joue, pour lui faire tourner la tête vers moi. « Ca va ? » Demandais-je d’une voix douce, en caressant lentement sa joue, de mon pouce. Je me reculai ensuite faiblement pour terminer mon dessert, avant de m’allonger sur la couverture, en mentionnant le fait que nous n’allions pas tarder à devoir rentrer. « Oui… tu commences le boulot vers quelle heure ? » Je soupirai faiblement et me redressai, pour l’aider à ranger nos effets, dans les sacs, en lui lançant de brefs regards en coin. « Vingt heures environ. Le temps de rentrer, me doucher et me changer, il sera presque l’heure d’y aller. » Marmonnais-je faiblement, peu emballé pour le coup. J’aurais préféré faire durer cet instant, bien plus longtemps encore, bien entendu. « Tu me diras quand tu veux qu’on se revoit…. Je suis en vacances ne l’oublie pas hm. » Je gémis faiblement en réalisant que d’ici à quelques minutes, nous ne serions plus ensemble. Physiquement parlant, bien entendu. Pas plus que ça, tout de même. Sans un mot, je m’approchai d’elle et la prit dans mes bras, pour la serrer fortement contre moi et posai une main sur son visage, pour lui poser sa tête contre mon torse et enfouir mon visage dans ses cheveux. « Le plus tôt sera le mieux. Demain ? Matin … Tu me rejoins demain matin. Si tu veux … ? » Demandais-je d’une voix douce, avant de déposer un lent baiser sur ses cheveux. Je luttai contre mes envies et finis par vaincre. Je soupirai doucement et me levai, pour terminer de ranger nos affaires, ainsi que la couverture. Une fois fait, je récupérai tous les sacs comme à l’allé et l’attrapai par la main pour nous éloigner de là. « Si tu me rejoins demain, je te promets un repas totalement fait par moi, cette fois ci … » Lâchais-je d’une voix taquine. Comme si j’avais réellement besoin de ça, pour marchander et la faire venir chez moi.
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MessageSujet: Re: First date between two strangers [pv Nastazià] -terminé- First date between two strangers [pv Nastazià] -terminé- EmptyDim 15 Avr - 23:19


₪ FIRST DATE BETWEEN TWO STRANGERS

Rafaello & Nastazià



« Tu sais quoi ? Je demande que ça. Ca fait … Très famille. Et j’aime vraiment ça … » Souriant franchement, je lui serrais fortement la main en soupirant de bien-être. Une famille, oui ça faisait très famille, chose que je n’avais jamais cru avoir un jour. Pour moi c’était tout bonnement impossible… Mais à présent que j’avais Rafaello dans ma vie… « Oui… toi moi, elle, nous, on sera une famille, crois-moi… » soufflai-je doucement en lui lançant un regard amoureux. Une fois au par cet dans un coin tranquille à l’abri des regards on parla de ses ex et il m’apprit que j’étais la seule blonde la seul à lui faire cet effet, ce qui me fit fortement rougir sur le coup. Ses mains sur mes joues je relevais le regard vers lui. « La plus belle femme qu’il m’ait été donné de voir. » Rougissant encore plus je lui lançais un regard clairement amoureux avant de me pencher pour déposer un rapide baisé sur le bout de son nez en souriant de plus belle. « Et moi le plus bel homme qu’il m’air été donné de voir… » soufflai-je doucement en lui faisant un rapide clin d’œil. Parlant de mon surnom, qu’il me traduisit rapidement, mon chaton, je lui confirmais que malheureusement, des personnes nommés leur compagne, ma chatte… Très glamour… « Brrr quelle horreur. Mon chaton. Mio gattino. » Frissonnant fortement à son murmure, je tournais rapidement la tête pour mordre avec douceur sa joue, grognant faiblement contre sa peau en lui lançant un regard clairement amoureux et sauvage. J’avais envie de lui il n’avait pas idée comme je le voulais… Sans rien répondre, on se remit à parler de ma fille, Marilys et du fait qu’il allait devoir apprendre, mais surtout que moi j’allais devoir l’initier à l’éduquer. Je ne me faisais pas de souci pour lui, j’avais confiance en ce point-là chez lui. « Oui mais c’est plus naturel pour une mère … Moi j’arrive en cours de route chérie. » Lui lançant un regard attendri, je lui fis un doux sourire. Il avait raison, certes mais quand même… « Y’a de fortes chances pour que tu nous trouves tous les deux en train de dévorer le contenu du frigo et des placards, à tout bout de champ … » Haussant un sourcil en lui lançant un regard faussement mauvais, je ne pus m’empêcher de rire pour le coup. Je les imaginais bien tous les deux du chocolat plein les lèvres manger tranquillement en cachette… Une vision que je voulais déjà voir bizarrement. Même si je devais les engueuler par la suite.

« Mais tu verras chéri, tu vas t’y faire rapidement ! Marilys obéit en général… T’as pas de souci à te faire ! Puis… Je vous engueulerai pour avoir tout dévoré ! Et vous punirais ! Tu verras ! » soufflai-je doucement en lui lançant un regard quelque peu taquin pour le coup. Parlant de fessée par la suite, j’annonçai alors que je pensais à une toute autre fessée mais qu’il allait devoir me la montrer vu que je n’avais pas pratiqué ce genre de position encore. « Graour … Compte sur moi alors … » Hochant doucement la tête en baissant un regard sur ses lèvres, je passais rapidement ma langue dessus en frissonnant longuement. J’espérais oui, pouvoir compter sur lui ! Il n’avait pas intérêt à me poser un lapin sur ce genre d’apprentissage quand même ! Ne répondant rien, la conversation dériva sur l’alcool, sur le fait qu’il ne supportait pas l’alcool, et pouvait vite devenir saoule. Alors mes plats… j’avais un peu peur de les lui cuisiner puisque je mettais plein de Vodka dedans. Mais j’allais faire petit à petit et diminuer les doses, je ne voulais pas non plus le rendre ivre à cause de mes plats, je n’étais pas si méchante que cela tout de même… « Tu peux toujours essayer de me nourrir avec tes plats tel quel. On verra ce que ça donne. Si je finis totalement ivre, c’est qu’il y a trop de vodka. » Riant doucement, je me mordis la langue en lui lançant un regard clairement taquin. Je l’imaginais assis à ma table totalement ivre pour le coup, racontant tout et n’importe quoi, ça devait être beau et mignon à voir. Oh que oui. Est-ce que je ferais exprès de mettre beaucoup d’alcool pour le voir ivre ? Non je n’étais pas si coquine… Un petit peu… « On verra bien mon ange, on sera seul de toute façon, donc tu n’attraperas pas la honte promis ! » soufflai-je doucement en mordillant lentement mes lèvres sans le quitter du regard. Une fois le déjeuner fini, on se mit l’un contre l’autre pour dormir tranquillement. Me réveillant la première je me mis sur lui, suçotant son cou avec envie pour le réveiller, il me fit descendre sur son membre pour me montrer son désir avant de rouler pour se retrouver sur moi. Allant pour l’embrasser, il se releva pète sec pour m’éviter. Frustrée, je me redressais pour prendre la part de Tiramisu qu’il me donna la mangeant en disant qu’il était parfait et que c’était mon mien mon homme qui l’avait fait pour moi. « Hm oui ton tiens chérie … » souriant en coin, je lui fis un clin d’œil amusé avant de me mordiller les lèvres tout en soupirant de bien-être. Oui s’était le mien et pas celui d’un autre ! Chipant dans son assiette j’eu à peine le temps d’avaler qu’il posa un doigt sur mes lèvres et posa les siennes dessus. Le doigt nous séparant. Plissant le nez je lui lançais un regard faiblement triste avant de baisser le regard. Je voulais tellement l’embrasser, goutter ses lèvres… ses mains attrapant mes joues j le laissais faire, plongeant mon regard dans le sien.

« Ça va ? » Gémissant faiblement, je baissais le regard furtivement en hochant la tête de façon positive. « Ça va mon ange, ne t’inquiète pas pour moi, d’accord ? Tu sais qu’avec le manque de drogue mes émotions sont…. Décuplés… » Marmonnai-je faiblement en plissant le nez. C’était vrai, mais là, ce n’était pas le manque de drogue, c’était la frustration. Soupirant lentement, je lui demandais alors quand est-ce qu’il commençait le boulot. Avant ça ne me faisait rien qu’il bosse de nuit, bizarrement aujourd’hui ça m’agaçait, dans le sens ou moi je bossais la journée, donc niveau communication, une fois le boulot repris, ça ne serait pas top. « Vingt heures environ. Le temps de rentrer, me doucher et me changer, il sera presque l’heure d’y aller. » Mordillant mes lèvres, je soupirais longuement en baissant lentement le regard. Ce soir il bossait, et je ne pourrais même pas lui parler. « D’accord… Tu m’enverras des messages hein ? » Marmonnai-je doucement en lui lançant un regard triste sur le coup. Restant silencieuse un moment sans le regarder, je murmurais alors qu’il devait me dire quand on se reverrait et qu’il ne devait pas oublier que j’étais en vacances… Non, surtout pas ! Le sentant revenir vers moi et me prendre alors dans ses bras je le laissais faire, ma tête arrivant alors sur son torse. Souriant en coin, je l’enlaçais rapidement de mes bras. [colo=teal]« Le plus tôt sera le mieux. Demain ? Matin … Tu me rejoins demain matin. Si tu veux … ? »[/color] Souriant en coin, en le serrant fortement contre moi, je soupirais en inspirant longuement son odeur. Demain matin… Oui, j’étais prête à aller le voir, à me lever bien tôt pour le rejoindre. Caressant lentement son dos du bout de mes doigts, j’écoutais son cœur battre de mon oreille en souriant en coin. « Matin ? Te rejoindre au lit donc ? Je veux bien oui, mais faut dormir alors… Je n’aime pas te couper ton sommeil… » soufflai-je doucement en me redressant faiblement pour déposer un baiser sous son menton. Le sentant se lever, je le regardais ranger les affaires, inerte un moment avant de me lever à mon tour tout en soupirant. C’était vraiment passé trop vite et ça m’énervait. Sa main attrapant la mienne, je la serrais avec douceur en marchant à ses côtés quittant notre petit cocon. « Si tu me rejoins demain, je te promets un repas totalement fait par moi, cette fois ci … » Riant doucement, je lui donnais un coup de hanche en lui lançant un regard clairement coquin et taquin. « Pas besoin d’un repas pour que je vienne chéri… je viens même si on ne mange pas ! C’est toi que je veux… » soufflai-je doucement en me collant franchement à lui, posant ma tête sur son épaule en soupirant lentement. Marchant quelques mètre, un groupe de jeune fille se mirent devant nous me demandant alors un autographe. Lançant un regard désolé à Rafaello, je le lâchais pour signer les autographes et prendre quelques photos avec les filles. Les laissant partir, je m’approchais à nouveau de Raf en souriant doucement. « Désolée… je t’avais pré… » « Maman ! Mamaaaaaaaan ! » Me figeant, je lançais un regard choqué à Raf avant de me tourner sur ma droite pour voir… Marilys courir vers moi, Lucie trainant derrière elle. « Marylis ! » Lâchais-je en me baissant pour tendre mes bras. La voyant courir et sauter sur moi, je la réceptionnais avant de me relever pour la serrer fortement contre moi. Son petit visage contre le mien, ses lèvres contre ma joue, je sentis ses mains dans mes cheveux. « Ma maman d’amour que z’aime à la foulie » La serrant encore plus fort, je la berçais avant de déposer une multitude de baiser sur son visage, la repoussant pour la regarder, caressant ses cheveux en souriant de plus belle. « Ma princesse, que tu es belle, tu as grandis ! Tu manges de la soupe chez mamie ? » La regardant plisser le nez, je me rapprochais de Rafaello me collant contre lui, regardant la petite lui faire un sourire puis me regarder. « Faut pas le dire à mamie mais sa soupe est pas bonne maman, je préfère la tienne. » souffla-t-elle à voix basse. Riant doucement je déposais un doux baiser sur son front avant de la revoir regarder Rafaello avec des yeux pétillant. « Marilys ? Je voudrais te présenter Rafaello… » « Ra… Rafayo ? Rafaéyio ? » « Rafaello ma puce appelle le Raf ça sera plus simple pour toi. » La voyant le regarder, elle tendit ces bras vers Rafaello pour qu’il la prenne dans ses bras, un grand sourire au bout des lèvres. Contente comme tout, je tendis alors la petite vers Raf en lui faisant un clin d’œil. Lui qui pensait qu’elle ne l’aimerait pas…
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MessageSujet: Re: First date between two strangers [pv Nastazià] -terminé- First date between two strangers [pv Nastazià] -terminé- EmptyVen 20 Avr - 12:03


It's just the beginning

When she was just a girl, she expected the world, but it flew away from her reach, so she ran away in her sleep. And dreamed of para-para-paradise, Para-para-paradise, Para-para-paradise, Every time she closed her eyes. When she was just a girl, she expected the world, but it flew away from her reach, and bullets catch in her teeth. Life goes on, it gets so heavy, the wheel breaks the butterfly. Every tear, a waterfall. In the night, the stormy night, she closed her eyes. In the night, the stormy night, away she flied. And dreamed of para-para-paradise, Para-para-paradise, Para-para-paradise, Whoa-oh-oh oh-oooh oh-oh-oh. She dreamed of para-para-paradise, Para-para-paradise, Para-para-paradise, Whoa-oh-oh oh-oooh oh-oh-oh. (x2) La, la, la... And so lying underneath those stormy skies. She'd say, "oh, ohohohoh I know the sun must set to rise" This could be Para-para-paradise Para-para-paradise Para-para-paradise Oh oh oh oh oh oh-oh-oh This could be Para-para-paradise Para-para-paradise This could be Para-para-paradise Oh oh oh oh oh oh-oh-oh-oh This could be Para-para-paradise Para-para-paradise This could be
Para-para-paradise Oh oh oh oh oh oh-oh-oh-oh


« Oui… toi moi, elle, nous, on sera une famille, crois-moi… » Je souris franchement et la regardai un long moment en hochant simplement la tête de façon affirmative. Oui, nous serions tôt ou tard une famille, tous les trois. Comme deux parents et leur enfant. Mais nous devions d’abord faire évoluer notre relation, avant toute chose. Sans quoi, nous ne pourrions construire aucune vie de famille avec sa fille. Or, je n’attendais que ça, avant une grande impatience. Sans que je ne comprenne ni comment ni pourquoi, un long moment plus tard, nous parlâmes de mes ex et du fait qu’elles devaient être son parfait opposé. Je lui fis donc remarquer qu’elle était amplement plus belle que toutes réunies, mentionnant le fait qu’elle était même la plus belle femme qu’il m’ait été donné de voir. Ce n’était en rien un mensonge, je le pensais sincèrement. « Et moi le plus bel homme qu’il m’air été donné de voir… » Je soupirai d’aise en la contemplant longuement, sans un mot, finissant par sourire et la détailler de façon totalement attendrie. Durant un long moment, nous parlâmes de tout et de rien, pour apprendre à nous connaître et nous découvrir vraiment, l’un et l’autre. J’aimais la découvrir et apprendre à créer une relation certaine avec elle. C’était ainsi que nous devions procéder d’ailleurs, pour éviter d’aller trop vite et de brûler des étapes qui feraient que notre relation ne serait jamais aussi forte et tenace, qu’elle était censée l’être. Bientôt, il fut à nouveau question de Marilys. Et je ne me privai pas pour lui montrer que j’étais tout de même plutôt inquiet à son sujet. Pas à cause d’elle, non pas du tout. Mais bel et bien par rapport au fait que je n’étais pas certain de réussir à avoir un rôle de père exemplaire. Après tout, je prenais son éducation en cours de route. Et je ne doutais pas que ça serait réellement très difficile. Même si, ça non plus je n’en doutais pas, j’aurais tout le soutien et toute l’aide de Nastazià. Elle n’allait pas me laisser me débrouiller tout seul, du jour au lendemain. Taquin, je ne pu toutefois pas m’empêcher d’imaginer une scène, dans laquelle je serais dans la cuisine avec Marilys, à piquer et dévorer le contenu du frigo et des placards, de façon tout à fait discrète. « Mais tu verras chéri, tu vas t’y faire rapidement ! Marilys obéit en général… T’as pas de souci à te faire ! Puis… Je vous engueulerai pour avoir tout dévoré ! Et vous punirai ! Tu verras ! » Je ris doucement à cette idée et lui lançai un regard de défis, avant de faire mine de rien en levant les yeux au ciel. Elle, m’engueuler ? J’étais certain qu’elle craquerait dès lors que je ferais ma moue boudeuse. Et si en plus, Marilys m’accompagnait, aucun doute que plutôt que de nous engueuler, elle nous rejoindrait pour manger avec nous. On l’aurait à l’usure ! « Je te fais confiance alors … Et pour info, t’auras même pas le courage de nous engueuler, tu verras … » Lui soufflais-je l’air de rien, en lui lançant un regard totalement taquin et coquin.

Parlant de tout et de rien comme c’était déjà devenu notre bonne habitude, pour apprendre à nous connaître, il fut question de ses plats chargés en vodka. Elle avait apprit, lors de notre précédent long tête à tête, que j’étais loin de tenir l’alcool. Un verre, j’avais la tête qui me tournait, deux verres je riais sans raison … Et trois verres, je racontais tout et n’importe quoi. C’était comme ça et je ne pouvais rien faire contre ça. Alors qu’elle, de son côté, était une habituée. Surtout de la vodka, puisqu’elle était une russe de pure souche. Je lui dis donc de garder les mêmes doses de vodka dans ses plats mais que si je me mettais à raconter tout et n’importe quoi, c’était qu’il y en avait trop pour mon organisme. « On verra bien mon ange, on sera seuls de toute façon, donc tu n’attraperas pas la honte promis ! » Je soupirai d’aise et penchai légèrement la tête de côté, pour la contempler longuement, sans me lasser. Elle était si belle et si parfaite, que j’avais presque du mal à croire qu’elle m’appartenait. Et pourtant, c’était bel et bien le cas. Et ça me rendait terriblement heureux et presque euphorique. « Hm … Ca ne me dérange pas d’être ainsi devant toi … » Soufflais-je doucement, en la regardant de façon attendri. Je n’avais pas oublié que la fois précédente, une telle idée m’avait effrayé, plutôt qu’autre chose. Mais maintenant, je me sentais en parfaite confiance avec elle et l’idée de lui déballer tout mon passé, ne me faisait plus autant peur. Après notre repas tout bonnement parfait, nous nous couchâmes sur la couverture, pour nous endormir dans les bras l’un de l’autre. Mais le réveil auquel j’eus droit, m’excita plutôt qu’autre chose. Raison pour laquelle je basculai pour me retrouver sur elle et lui en fis part sans détour, faisant même mine de l’embrasser avec simplement un doigt pour séparer nos lèvres. Je lui échappais ensuite, alors qu’elle semblait sur le point de m’embrasser. Une fois le Tiramisu servit et que nous eûmes commencé à en manger, elle prit une bouchée du miens et je dus me retenir de l’embrasser. Au lieu de faire cela, je glissai un doigt juste entre nos lèvres, avant de me reculer. Aussitôt, je m’inquiétai de la voir brutalement distante et d’apparence triste. Je lui demandai alors si ça allait, n’aimant franchement pas la voir ainsi et m’inquiétant de savoir si c’était de ma faute. « Ça va mon ange, ne t’inquiète pas pour moi, d’accord ? Tu sais qu’avec le manque de drogue mes émotions sont…. Décuplés… » Je soupirai faiblement et hochai la tête avec lenteur, sans pour autant détourner mon regard d’elle. Je ne pouvais malheureusement pas cesser d’être inquiet, d’une minute à l’autre, ainsi, sans crier gare. Ce n’était pas quelque chose que je pouvais contrôler tout à loisir. Et elle ne me semblait pas aller si bien que ça. Autant dire, de quoi m’inquiéter vraiment tout de même. « Alors je vais éviter de trop réveiller et agiter tes émotions … » Soufflais-je doucement en plissant le nez. Je ne voulais pas qu’elle semble si triste, simplement pour des broutilles. J’allais simplement devoir faire attention, en clair.

Alors que nous nous préparions à quitter le parc, elle me demanda à quelle heure je comptais commencer le boulot et je lui répondis simplement ce qu’il en était, bien qu’il me coûta vraiment, de la quitter aussi rapidement, après la journée merveilleuse, que nous venions de passer. « D’accord… Tu m’enverras des messages hein ? » Je tournai le regard vers elle et plissai le nez en réalisant que tout comme moi, elle n’avait vraiment pas hâte que nous soyons séparés. Et pourtant, nous le devions vraiment. Travailler, était une nécessité pour moi. « A volonté mio gattino. » Soufflais-je d’une voix douce, avant de la prendre dans mes bras pour parler de quand nous pourrions nous revoir. Elle me rappela qu’elle était en vacances, ce qui me fit faiblement sourire. J’étais loin d’avoir oublié ça ! Je soupirai d’aise en attirant son visage contre mon torse pour bien la serrer contre moi, alors qu’elle enroulait ses bras autour de ma taille. J’enfouis mon visage dans ses cheveux, pour inspirer longuement son odeur en frissonnant franchement de bien être sur le coup. L’air de rien, je finis par lui proposer de me rejoindre, dès le lendemain matin. J’avais déjà hâte d’y être. Je fermai les yeux pour profiter pleinement de sa caresse dans mon dos. « Matin ? Te rejoindre au lit donc ? Je veux bien oui, mais faut dormir alors… Je n’aime pas te couper ton sommeil… » Je ris doucement en la serrant plus vivement contre moi et glissant une main sous sa veste, pour caresser lentement son dos. « Bien sûr qu’on dormira … T’avais d’autres projets ? » Lui demandais-je d’une voix caressante à souhait, pour la taquiner plutôt qu’autre chose. Je soupirai ensuite et déposai un lent baiser sur ses cheveux. « Si tu veux, on peut convenir d’une heure pour arriver en même temps. Toi pour me rejoindre et moi à la fin du boulot. » Ajoutais-je d’une voix douce en souriant franchement à cette idée qui était on ne peut plus plaisante. Nous ne tardâmes pas à quitter les lieux, main dans la main. Et l’air de rien, je lui promis un repas du tonnerre, si elle me rejoignait. « Pas besoin d’un repas pour que je vienne chéri… je viens même si on ne mange pas ! C’est toi que je veux… » Je soupirai doucement d’aise et tournai un regard totalement attendri vers elle, avant de me pencher pour déposer un franc baiser sur sa joue. « Je voulais être sûr d’avoir de quoi t’attirer dans les mailles de mon filet. » Lui dis-je d’une voix taquine, en souriant en coin. Mais bien vite, alors que nous n’avions même pas encore quitté le parc, nous fûmes accostés par des filles qui avaient, apparemment, reconnu Nastazià. Bien qu’agacé, je laissai cette dernière se détacher de moi, pour aller signer quelques autographes et prendre des photos, restant en retrait sans un mot. Je souris faiblement, lorsqu’elle me rejoignit enfin. « Désolée… je t’avais pré… » « Maman ! Mamaaaaaaaan ! »

Contrairement à Nastazià, je ne réagis pas le moins du monde et me contentai de lui lancer un regard interrogatif, lorsqu’elle-même me sembla totalement choquée. Que se passait-il ? Je n’en savais foutre rien ! Je finis par me retourner lorsqu’elle en fit de même, bien que mon regard demeura rivé sur elle. « Marylis ! » Aussitôt, je me figeai pour voir la petite lui courir droit dessus et lui sauter dans les bras. Je déglutis avec difficulté devant le tableau qu’elles représentaient et désireux de ne pas gêner ces retrouvailles, je me reculai de quelques pas et posai les sacs que je tenais encore à terre, tentant de ne pas faire de bruit pour passer le plus inaperçu possible. « Ma maman d’amour que z’aime à la foulie » Je ne pus retenir un sourire en contemplant la fillette avec plus d’attention, réalisant qu’il était impossible de ne pas fondre devant elle. « Ma princesse, que tu es belle, tu as grandis ! Tu manges de la soupe chez mamie ? » Je me figeai à nouveau lorsque Nastazià se rapprocha de moi, pour se coller sans attendre, à moi. Surpris, mon regard alla d’elle à sa fille à plusieurs reprises, sans que je n’ose dire quoi que ce soit. « Faut pas le dire à mamie mais sa soupe est pas bonne maman, je préfère la tienne. » Une nouvelle fois, je souris en coin et tournai un vague regard vers la femme qui accompagnait Marilys, mais détournai bien vite la tête, en songeant qu’elle devait déjà se poser des questions sur moi et ma présence. Mon regard se reposa sur Nastazià, avant de revenir à sa fille, qui m’observait en silence. « Marilys ? Je voudrais te présenter Rafaello… » « Ra… Rafayo ? Rafaéyio ? » Je souris à nouveau plus franchement, en lançant un regard totalement émerveillé devant cette petite, qui était totalement craquante. « Rafaello ma puce appelle le Raf ça sera plus simple pour toi. » Je me figeai lorsqu’elle tendit les bras vers moi et lançai un regard hésitant, en direction de Nastazià. Je n’étais pas certain de pouvoir réellement la prendre dans mes bras. Je n’étais qu’un inconnu dans le fond. Mais je fus rassuré par son clin d’œil et réalisai qu’elle semblait plus heureuse qu’autre chose, de voir sa fille agir ainsi. Sans un mot, je pris donc Marilys dans mes bras, la faisant s’asseoir plus ou moins sur ma hanche pour la regarder longuement et la laisser m’observer. Je souris franchement lorsqu’elle déposa un lent baiser sur ma joue. « Rafaéyio ! Tu tavailles avec ma maman ? » « Hm … pas vraiment. » « Alors t’es son amoureux ? » J’écarquillai les yeux et tournai un regard totalement surpris et hésitant, vers Nastazià, ne sachant vraiment pas quoi répondre. Il était bien trop tôt pour lui apprendre que oui. « Disons un … Très, très, très … Bon ami. » Marmonnais-je en plissant le nez, alors que Marilys continuait de nous observer tour à tour, Nastazià et moi.
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MessageSujet: Re: First date between two strangers [pv Nastazià] -terminé- First date between two strangers [pv Nastazià] -terminé- EmptySam 21 Avr - 15:53


₪ FIRST DATE BETWEEN TWO STRANGERS

Rafaello & Nastazià



« Je te fais confiance alors … Et pour info, t’auras même pas le courage de nous engueuler, tu verras … » Fronçant les sourcils, je fis faiblement une moue boudeuse en soupirant lentement. Ça j’en doutais ! J’avais le courage de l’engueuler elle, alors les deux ensemble… en fait, non je n’en savais rien, et j’avais peur que Rafaello en joue trop avec la petite. Le coquin. « On verra ça ! Je te punirai dans la chambre si tu profites trop ! » soufflai-je l’air de rien en lui tirant la langue. Par la suite, on finit par parler de mes plats du fait que j’y mettais beaucoup de vodka dedans et qu’il risquait d’en tomber ivre de les manger. Mais j’en mettrais moins pour lui, s’était sûr. « Hm … Ça ne me dérange pas d’être ainsi devant toi … » Ecarquillant les yeux, je me mordis lentement les lèvres en souriant en coin. La dernière il n’avait pas l’air de le vouloir. A présent il le voulait bien ça prouvait bel et bien des choses… Me retenant de lui sauter dessus pour l’embrasser franchement je soupirais lentement. « Je prendrais soin de toi, promis ! » soufflai-je doucement en lui faisant un clin d’œil. Par la suite, alors qu’on se réveillait d’une longue sieste, excité tous les deux, je me redressais pour l’embrasser mais il m’évita. Et je fus sacrément chambouler. Je le voulais tellement… Et il comprit qu’il y avait un faussé pour le coup. Le rassurant je lui fis comprendre qu’avec le manque de drogue, mes émotions étaient surtout bien décuplés… « Alors je vais éviter de trop réveiller et agiter tes émotions … » Lui lançant un regard noir sans pouvoir me contrôler, je baissais alors les yeux. Il ne comprenait rien à rien. J’avais besoin qu’il me chamboule. Même si j’en souffrais. S’il arrêtait j’aurais simplement l’impression qu’il s’en fout de moi. Le prenant dans mes bras, je le serrais vivement contre moi en cachant mon visage dans son cou inspirant longuement. « Ne me fait pas ça s’il te plait… J’ai besoin que tu chamboules tout en moi… Parce que si tu ne le fais pas j’aurais trop l’impression que tu t’en fous de moi… alors n’arrête pas… Je saurais gérer mes émotions, bientôt… On sera réellement ensemble… » soufflai-je en attrapant son cou pour lui faire un violent suçon l’air de rien avant de me redresser et faire l’innocente. Préparant notre départ, commençant peu à peu à ranger, on vint alors à parler de la soirée et je lui demandais s’il pouvait donc m’envoyer tout plein de sms. « A volonté mio gattino. » Frissonnant doucement il me tardait déjà de nous envoyer des tonnes et des tonnes de message. J’aimais recevoir un texto de lui, il n’y avait pas à dire. Surtout pour y lire de beaux mots.

« Je prends note ! Si le volonté n’est pas respecter, pampam culcul ! » soufflai-je doucement en lui montrant ma main l’air de rien en souriant en coin. Par la suite, on en vint à parler du matin, du fait que je voulais bien le rejoindre dans le lit, mais qu’à une seule condition ! Qu’il dorme ! Que l’on dorme plus précisément, je ne voulais pas le réveiller trop tôt, surtout qu’il bossait de nuit… « Bien sûr qu’on dormira … T’avais d’autres projets ? » Gémissant lentement des images me vinrent en tête. Oui j’avais bien d’autres projets à présent… Son baiser sur mes cheveux, ne fit qu’attiser mon envie… « Si tu veux, on peut convenir d’une heure pour arriver en même temps. Toi pour me rejoindre et moi à la fin du boulot. » Frissonnant lentement, j’aimais bien son idée. Quitte à me lever tôt juste pour venir chez lui, de toute façon, l’on se recoucherait alors autant dire que c’était super. Et ça je ne pouvais pas cracher dessus. « D’autres projets ? Que peut-on faire d’autre dans un lit hormis dormir ? Je ne vois pas… »[/color] Lâchais-je d’une voix clairement coquine pour le coup. « Ok, tu m’envoie un message ce soir et je viendrais à l’heure que tu souhaites chéri… » soufflai-je doucement en mordillant mes lèvres. Rangeant les affaires se câlinant rapidement, on se releva alors qu’il m’annonçait que demain ça serait lui qui ferait la cuisine. Repas ou pas, je venais ! Pour sûr et pour lui ! « Je voulais être sûr d’avoir de quoi t’attirer dans les mailles de mon filet. » Riant doucement, je lui pinçais faiblement la taille en lui lançant un regard taquin. Comme si j’avais besoin de cela pour venir chez lui. Non, oh que non. Je l’aimais bien trop pour ne pas accepter de venir ! Quittant notre lieu on fila vers la voiture avant d’être interrompu par un groupe de fille. Autographe et photo, on allait partir quand tout à coup, elle m’appela. Elle. Ma fille ! Me tournant, je l’attrapais bien vite dans mes bras la serrant fortement, l’embrassant comme jamais en venant me coller contre Rafaello, parlant et les présentant l’un à l’autre avant qu’elle ne tende les bras pour qu’il la prenne. Souriant en coin je fis signe a Raf d’accepter avant qu’il ne la prenne contre lui. « Rafaéyio ! Tu tavailles avec ma maman ? » [color=teal]« Hm … pas vraiment. » « Alors t’es son amoureux ? » Ecarquillant les yeux en écoutant la conversation, je déglutis en tournant alors le regard vers Raf, je voulais savoir ce qu’il allait dire. « Disons un … Très, très, très … Bon ami. » Mordillant mes lèvres, regardant la petite nous regarder tour à tour, je m’approchais d’elle avant de déposer un lent baiser sur sa joue.

« Je te laisse avec Raf, je vais voir mamie… Je te le confie, tu en prends soin ma grande ? » « Pas de souci mooooman ! J’ai le droit de lui faire ce que t’aime pas ? » Riant doucement en me pinçant les lèvres, je lui fis oui de la tête. Même si… Le fait qu’il allait toucher les lèvres de ma fille avant les mienne me fasse bizarre. Ne lui laissant pas le temps de comprendre de quoi on parlait, elle passa sa langue sur ses lèvres pour les humidifier et vint alors l’embrasser sur la bouche en soufflant fortement tout en secouant la tête, ses petites mains sur ses joues comme pour l’empêcher de fuir. Elle avait compris. Elle avait compris qu’il était important à mes yeux. Les laissant seuls, je filais alors vers Lucie pour lui parler. La tension palpable, on s’éloigna de la petite et de Raf, parlant d’un ton assez sec sur le fait que j’avais besoin de voir Marilys bien plus souvent que ce qu’elle, elle avait décidé ! Surtout que le juge ne m’interdisait pas de la voir, tant que je n’étais pas seule avec elle, et sans l’emprise de la drogue. Elle abusait clairement, sa punition était bien trop sévère à mon gout. Je me mis alors à lui parler de Rafaello, de lui dire que nous étions plus ou moins ensemble et que c’était vraiment sérieux et que si justement on prenait le temps de se découvrir c’était à cause de tout cela. Mon statut de mannequin connu, la drogue et j’en passe. Et surtout… Je lui appris que je diminuais mes consommations et que j’allais arrêter et que bien évidemment il m’aidait comme il le pouvait. Bien sûr je me gardais de lui dire qu’il était mon dealer… Une fois la conversation arrivé à son bout après bien bon dix minutes, je retournais vers mon homme et ma fille, les prenant dans mes bras en déposant sur chacune de leurs joues un baiser bien claquant. « Maman ? On se quitte déjà ? » « Oui ma puce, mais je te vois dans la semaine j’ai parlé avec mamie…On se revoit bientôt, tu es sage d’accord ? » « Je suis sage moi. Raf ? Tu prends soin de ma maman ? Sinon je t’aime plus. » Surpris, je la regardais avant de la prendre dans mes bras et la serrer fortement tout en lui faisant plein de poutoux. « Maman, tu m’étouffeuuuuh ! » La lâchant doucement je lui lançais un regard brillant de joie je n’aimais pas les séparations. « Allez dis au revoir à Rafaello s’il te plait ma puce. » Soufflai-je en rendant la petite à Raf.
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MessageSujet: Re: First date between two strangers [pv Nastazià] -terminé- First date between two strangers [pv Nastazià] -terminé- EmptySam 5 Mai - 0:32


It's just the beginning

When she was just a girl, she expected the world, but it flew away from her reach, so she ran away in her sleep. And dreamed of para-para-paradise, Para-para-paradise, Para-para-paradise, Every time she closed her eyes. When she was just a girl, she expected the world, but it flew away from her reach, and bullets catch in her teeth. Life goes on, it gets so heavy, the wheel breaks the butterfly. Every tear, a waterfall. In the night, the stormy night, she closed her eyes. In the night, the stormy night, away she flied. And dreamed of para-para-paradise, Para-para-paradise, Para-para-paradise, Whoa-oh-oh oh-oooh oh-oh-oh. She dreamed of para-para-paradise, Para-para-paradise, Para-para-paradise, Whoa-oh-oh oh-oooh oh-oh-oh. (x2) La, la, la... And so lying underneath those stormy skies. She'd say, "oh, ohohohoh I know the sun must set to rise" This could be Para-para-paradise Para-para-paradise Para-para-paradise Oh oh oh oh oh oh-oh-oh This could be Para-para-paradise Para-para-paradise This could be Para-para-paradise Oh oh oh oh oh oh-oh-oh-oh This could be Para-para-paradise Para-para-paradise This could be
Para-para-paradise Oh oh oh oh oh oh-oh-oh-oh


« On verra ça ! Je te punirai dans la chambre si tu profites trop ! » Je souris en coin et lui lançai un regard totalement coquin, en faisant alors mine de grogner longuement, sans la quitter du regard. Elle semblait encore ignorer à quel point ce genre de petits sous entendus, pouvaient me faire un effet dingue. Sans compter, que c’était totalement incontrôlable. « On verra ça … » Soufflais-je sur un ton provocateur à souhait, avant d’enchainer l’air de rien, sur le fait que j’étais foutrement sensible à la moindre petite goutte d’alcool. Je n’y pouvais rien si je ne parvenais pas à supporter cela. Après avoir parlé de ça un moment, je finis par lui dire que je n’avais pas de problème à être de la sorte devant elle. C’était la pure vérité. L’idée de trop parler ou de me ridiculiser devant elle, ne me posait finalement, plus le moindre problème. Tout au contraire même. Et c’était contradictoire avec ce que j’avais pu dire la fois précédente, alors que j’étais encore trop peu à l’aise avec elle, pour pouvoir supporter une telle idée. Mais tout avait changé et évolué entre nous et à présent, je n’avais plus cette crainte là. Et je vis bien à sa réaction, qu’elle était vraiment très surprise par une telle annonce. De façon positive, j’osais espérer. Après tout, elle m’avait parut réellement vexée, lorsque je lui avais annoncé que je ne me sentais pas vraiment capable de supporter le fait d’être ivre, devant elle. « Je prendrais soin de toi, promis ! » Je soupirai d’aise et lu lançai un regard totalement attendri sur le coup. Elle n’avait pas idée de combien elle pouvait me rendre heureux et tellement plus encore. Et ce, simplement avec quelques mots et quelques promesses. Car je ne doutais pas qu’elle les tiendrait toutes. J’avais déjà une confiance aveugle en elle. Un long moment plus tard, alors que nous nous réveillions tous les deux d’une petite sieste, je fis mine de vouloir l’embrasser puis me rétractai sans prévenir. Mais bien vite, j’eus la sensation d’avoir été trop loin et lui promis donc de me retenir à l’avenir, pour ne plus lui faire ce genre de trucs, puisqu’apparemment, ses émotions étaient trop vives, à cause du manque de drogues. Je me figeai devant son regard noir, songeant que j’avais encore merdé. Décidément, je faisais tout de travers avec elle. « Ne me fait pas ça s’il te plait… J’ai besoin que tu chamboules tout en moi… Parce que si tu ne le fais pas j’aurais trop l’impression que tu t’en fous de moi… alors n’arrête pas… Je saurais gérer mes émotions, bientôt… On sera réellement ensemble… » Je soupirai doucement en fronçant les sourcils. J’étais de plus en plus perdu. Je voulais bien croire que le manque et autres conneries de ce genre, pouvait la rendre aussi étrange et presque à double visage. Mais pour être aussi divisée et perdue … C’était juste elle. Elle était totalement perdue et peu certaine de tout ce qui faisait sa vie. Et elle avait simplement de besoin de quelqu’un à qui se raccrocher. Etait-ce moi ? C’était en tout cas bel et bien la place que je désirais dans sa vie. Surtout pas pour pouvoir un jour m’en vanter. Mais simplement parce qu’elle méritait le mieux. Elle méritait d’être heureuse, enfin. « Prépare toi à de grands chamboulements alors… » Lui soufflais-je d’une voix totalement coquine, en lui adressant alors un bref clin d’œil pour accompagner le tout.

Tout en rangeant notre pique nique, nous parlâmes vaguement des heures à venir et je lui promis de lui envoyer des messages, à volonté. « Je prends note ! Si le volonté n’est pas respecter, pampam culcul ! » Je ris franchement et m’approchai d’elle, pour mordre faiblement sa main l’air de rien. « J’ai bien envie de voir ça moi … » Lâchais-je l’air de rien, avant de rire à nouveau. Nous nous mimes ensuite d’accord sur le fait qu’elle viendrait chez moi au plus tôt, le lendemain matin. Je fis mine de ne pas comprendre lorsqu’elle mentionna le fait de dormir dans le lit, puis lui proposai de nous retrouver pour rentrer chez moi ensemble, tout simplement. « D’autres projets ? Que peut-on faire d’autre dans un lit hormis dormir ? Je ne vois pas… » Je plissai les lèvres en faisant mine de réfléchir avec intensité. Finalement, j’haussai les épaules en la regardant de façon tout à fait innocente. « Ben le petit déjeuner au lit, tu connais pas ? » Lui demandais-je en faisant mine d’être totalement choqué, par une telle option. « Ok, tu m’envoie un message ce soir et je viendrai à l’heure que tu souhaites chéri… » Je souris en coin et hochai lentement la tête en la regardant de façon totalement attendrie. Elle pouvait compter sur ce sms, pour la faire rappliquer au plus vite surtout. Nous commençâmes donc à partir tranquillement, avec l’intention de quitter le parc. Mais nous fûmes interrompus en cours de route, lorsque la voix d’une petite fille appela sa mère. Je compris bien vite, qu’il s’agissait tout simplement de Marilys, la fille de Nastazià. Je me reculai faiblement en songeant qu’il leur fallait passer un moment rien que toutes les deux, avant de réaliser que la jeune femme voulait que je rencontre sa fille. Ce que j’acceptai évidemment sans broncher. Une fois que la petite fut dans mes bras, nous parlâmes vaguement et j’hésitai avant de lui dire que je n’étais qu’un très très bon ami à elle. Je ne tenais pas à m’emballer ni à donner de faux espoirs à cette fillette. « Je te laisse avec Raf, je vais voir mamie… Je te le confie, tu en prends soin ma grande ? » « Pas de souci mooooman ! J’ai le droit de lui faire ce que t’aime pas ? » Inquiet à l’idée de ce qui allait m’arriver, je lançai un regard presque paniqué, à l’adresse de Nastazià. Mais presque aussitôt, les lèvres totalement humides, de sa fille, se posaient sur les miennes. Totalement choqué, je ne pensai même pas à reculer le visage et me contentai d’écarquiller franchement les yeux. Bien vite, je me reculai et essuyai mes lèvres en riant avec elle avant de constater que Nastazià venait de filer comme dit un instant plus tôt. Je discutais donc tranquillement avec Marilys, en son absence, parlant de tout et de rien en tentant de lui faire penser à autre chose qu’au fait que les deux femmes étaient en train de parler et que les tensions semblaient être bien présentes. Un bon moment plus tard, je regardai Nastazià revenir et soupirai d’aise lorsqu’elle déposa un franc baiser sur ma joue ainsi que sur celle de Marilys, en nous prenant dans ses bras. Soupirant d’aise, je serrai bien Marilys contre nous par pur instinct et enroulai mon bras libre, autour de la taille de Nastazià, pour la serrer doucement contre moi. « Maman ? On se quitte déjà ? » « Oui ma puce, mais je te vois dans la semaine j’ai parlé avec mamie…On se revoit bientôt, tu es sage d’accord ? » « Je suis sage moi. Raf ? Tu prends soin de ma maman ? Sinon je t’aime plus. » Je souris à peine en la contemplant longuement, avant de la tendre à Nastazià, qui la récupéra sans attendre. « Je te le promet Marilys. » Lui promis-je d’une voix douce, en lui adressant un sourire des plus sérieux et sincères. « Maman, tu m’étouffeuuuuh ! » « Allez dis au revoir à Rafaello s’il te plait ma puce. » Je souris en la récupérant et déposai un fort baiser sur sa joue, avant de la laisser faire de même sur la mienne. Je la reposai ensuite à terre en lui souriant franchement. « On se revoit bientôt ma grande. » Lui dis-je avant de la suivre du regard alors qu’elle s’éloignait. Je mis un moment avant de me tourner vers Nastazià. Sans un mot, je la pris dans mes bras et la serrai franchement contre moi. Je déposai ensuite un doux baiser sur sa joue puis la pris par la main, pour reprendre notre chemin.



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First date between two strangers [pv Nastazià] -terminé-

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