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An ounce of prevention is worth a pound of cure [Autumn P. Stevenson]

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MessageSujet: An ounce of prevention is worth a pound of cure [Autumn P. Stevenson] An ounce of prevention is worth a pound of cure [Autumn P. Stevenson] EmptySam 5 Mai - 11:02




Autumn & Juliana

« An ounce of prevention is worth a pound of cure »


Il était près de 10:00 du mat quand Juliana daigna de se lever - non sans râler un peu au passage -. Depuis maintenant deux semaines, la jeune femme venait de fêter ses 30 ans et elle avait eue l'impression de prendre un coup de vieux. Selon son opinion personnelle -sûrement partagée avec bien des gens -, la vie passait trop vite. Quand elle replongeais dans ses souvenirs d'enfance, Ju avait l'impression d'avoir quittée le Brésil depuis seulement quelques années et non il y a presque 20 ans...
Aujourd'hui, la policière ne travaillait pas et n'avait rien de prévue de spécial pendant sa journée, c'est pour cela qu'elle ne s'était pas donnée la peine de se lever tôt. Alors qu'elle prenait tranquillement son petit déjeuner accompagné de sa tasse de café habituelle, la brésilienne essaie de réfléchir à ce qu'elle allait bien pouvoir faire de sa journée. Peut-être un peu de ménage - à cette pensée elle ne pu s'empêcher de grimacer. Dieu qu'elle détestait le ménage! -, se promener en ville avec sa moto qui n'avait pas bougée depuis un bon moment ou bien, elle pouvait faire un peu de sport en commençant par un petite séance de jogging accompagnée d'un entraînement de Baseball... Bref, Ju avait du choix, mais elle n'arrivait pas s'arrêter sur l'un d'eux... Comme d'habitude, aucun de ces choix ne comprenait une période de relaxation puisque la brunette était incapable de rester assise sur une chaise à ne rien faire '' Comment font ces femmes qui voyage dans le Sud pour simplement s'allonger sur une chaise longue pour se faire bronzer toute la journée? '' D'aussi loin où elle pouvait reculer dans ses souvenirs, Julia n'arrivait pas à se rappeler si elle avait été capable de rester assise quelques heures au même endroit sans vraiment bouger. À part l'école - une exception à cause des cours - rien d'autre ne lui revenait en mémoire...
Toujours plongée dans un passé assez lointain, la vibration de son cellulaire - cet engin du diable comme elle l'appelait le matin - la tira de sa rêverie. Avant de tendre la main pour l'attraper, Ju espérait que se n'était pas sa mère. Depuis quelques temps, elle devenait exaspérante, harcelant sans cesse sa fille pour la convaincre d'aller la voir elle et son père dans le New-Jersey. Bon, se n'était -vraiment- pas loin de New-York, mais l'idée de partir et de tout laisser en vadrouille alors que ses vacances étaient déjà planifier depuis un bon moment ne l'enchantait guère... La policière faisait du mieux qu'elle pouvait pour calmer les ardeurs de sa mère, mais rien n'y faisait, elle voulait voir sa fille le plus tôt possible. '' Si seulement mon frère n'avait pas fait ces choix stupides, peut-être serait-il encore là pour m'épauler pour endurer m'man quand elle est en pleine crise ''d'affection''...'' Lorsque Juliana avait quittée le Brésil avec ses parents - par la faute de son frère - la jeune femme ne l'avait pas revu depuis ce temps. Il ne lui manquait pas, même que c'était un de ses pires cauchemars de le revoir, mais elle se demandait tout de même ce qu'il était devenu. Déjà s'il était en vie, cela était un exploit...
Enfin, de retour au présent, l'afficheur de son cellulaire l'avisait que son patron lui passait un coup de fil. Avant même de répondre et de connaître la raison de cet appel plus ou moins matinal, Ju savait pertinemment que sa journée de congé venait de tomber à l'eau. Sans grand entrain dans la voix, elle répondit à son patron, attendant la raison de son appel. Comme elle l'avait devinée, l'homme lui demandait si elle pouvait se rendre dans un coin de Manhattan, car deux gangs de rue commençait à chercher la bagarre et le sujet de la dispute serait peut-être une histoire de drogue.

- Autant faire une pierre deux coups. Vous calmez jeu avec les autres policiers qui vont se rendre sur place et si jamais ils sont en possession de drogue, vous pourrez les coffrer.

- Ouais, d'accord. Je pars dans deux minutes.

Sans plus de cérémonie la brésilienne mit fin à la conversation, attrapa ses clés, barra son appartement et descendit les escaliers rapidement jusqu'à sa voiture. Heureusement que le lieu de la confrontation ne se trouvait pas loin de chez elle. Avec la circulation assez merdique de New-York, on ne pouvait jamais prévoir l'heure à laquelle on allait arriver à destination...
Une fois sur place, les esprits s'échauffaient de plus en plus. Deux policiers déjà sur place essayait de calmer le jeu le mieux possible, mais ils étaient maintenant trois contre une douzaine de garçons en furie... Dès le départ, Ju savait très bien que la situation n'allait pas se régler dans le calme et l'ordre. Au bout de dix minutes, rien ne s'était arrangé et même que le contrôle de la situation échappait aux policiers. Avant que Juliana ne puisse intervenir, un des jeunes sortit son arme et fit feu sur un policier, mais heureusement celui-ci eu le temps de se mettre à l'abri. Devant la situation qui partait en vadrouille, presque tout les jeunes des deux gangs de rue prirent leurs jambes à leur cou, mais certains d'entres eux - certainement les plus endurcis - restèrent avec les policiers. Celui qui avait fait feu était maintenant maîtrisé par l'autre policier tandis que Ju prenait d'assaut un adolescent qui devait faire une bonne tête de plus qu'elle. Au moment que la brésilienne allait pointer son arme sur le garçon, ce dernier sorti un couteau de la sangle de sa ceinture et donna un coup plus ou moins hasardeux vers la policière avant de s'enfuir comme un lâche. Ju eue à peine le temps de se reculer que la pointe du couteau lui coupa le ventre - partant des côtes du côté gauche jusqu'en dessous du nombril - . Un genou à terre, la brésilienne porta instantanément sa main libre vers son ventre afin de stopper l'écoulement du sang. Aussi stupide que cela puisse paraître, sa première pensée fut ''Génial, mon débardeur est foutu!'' lorsqu'elle regarda en direction de sa blessure. Le sang commença très vite à s'écouler de la coupure, imbibant immédiatement son débardeur blanc. La situation s'étant calmée, les deux policiers se dirigèrent vers elle avec un air inquiet. L'un deux avait même prit un bandage dans sa voiture pour l'aider à éponger le sang. Tout deux jetèrent un coup d'oeil à son ventre.

- Eh merde... C'est vraiment pas beau comme blessure. On devrait peut-être appeler une ambulance.

Secouant la tête en signe de négation, Ju lui répondit d'un ton sec;

- Non ça va aller. Je suis capable de conduire. De toute façon, je connais quelqu'un qui va pouvoir m'aider. Donnez moi un coup de main pour le relever les gars.

Jetant un coup d'oeil à sa montre, la brunette savait que la personne qui pouvait l'aider était en pause.

- Avant ça, on va te mettre un bandage autour de la taille. Faudrait pas que tu t'évanouisse au volant.


Levant les yeux au ciel, l'inspectrice leva légèrement les bras afin de leur faciliter la tâche. Délicatement, ils enroulèrent le bandage autour de sa taille puis ils l'aideraient à la relever. Murmurant un vague remerciement, Ju prit place derrière le volant et conduisit en direction de l'hôpital. Une fois rendu à destination, la jeune femme trouva une place de stationnement, puis d'un pas rapide tout en ayant les deux mains qui maintenait une pression constante sur la coupure, elle se dirigea vers l'entrée de l'hôpital. Pendant qu'elle marchait, la brunette pouvait sentir le sang couler vers son pantalon et durant le trajet en voiture, elle s'était demandée si elle n'aurait pas du prendre sa veste pour imbiber plus de sang. Au début, elle avait crue que ce n'était qu'une petite coupure banale, mais elle se rendait compte que s'était un peu plus grave que cela...
Arrivée devant la réceptionniste, Juliana se présenta, lui indiqua la gravité de sa situation et demanda si son amie était disponible en ce moment. Surprise, la femme prit quelques secondes avant de lui répondre que le médecin était en pause, mais disponible. Avec un sourire polie, elle remercia la réceptionniste, puis elle marcha tout aussi rapidement vers le bureau de la principale intéressée...
S'accotant dans l'encadrement de la porte, Juliana lança à l'intention du médecin avec un demi sourire sourire aux lèvres;

- Hey salut Miss Stevenson! Je crois qu'on a un petit problème!

D'un vague coup de tête, elle montrait la direction de son ventre...
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