welcome in my fairy tale

Un œil … Puis l’autre … Je tournai la tête pour regarder Nastazià, un sourire étirant alors instantanément mes lèvres, devant cette vision tout bonnement enchanteresse. Je laissai échapper un bref soupir d’aise et roulai pour me coller lentement à elle en enroulant un bras autour de sa taille fine. Je souris en coin en songeant au nombre de personnes qui ne parvenaient pas à croire qu’elle avait donné naissance à autant d’enfants, alors qu’elle était toujours aussi fine. Je logeai mon visage dans son cou pour inspirer longuement son odeur, le sourire aux lèvres. L’air de rien, je glissai une main sous la couverture et sous sa culotte, pour la poser sur son intimité, que j’entrepris de caresser avec lenteur. Je soupirai d’aise lorsque je la sentis se réveiller petit à petit. Sans lui laisser le temps de bouger vraiment, je me glissai sur elle et pressai mon corps contre le sien, tout en plaquant bien mes lèvres contre les siennes. Je lançai un vague regard en direction du radio réveil sur la table de nuit et souris en coin. « Trente minutes avant que les petits ne se réveillent … » Soufflais-je d’une voix totalement coquine en immisçant mes jambes entre les siennes, pour les lui écarter avec franchise. Je déposai mes lèvres dans son cou et y déposai de longs et tendres baisers, avant de glisser le long de son corps avec lenteur. J’empoignai ses seins, les lui malaxai franchement, en lui retirant son débardeur sans attendre pour glisser mes lèvres sur sa poitrine enfin nue. J’eus à peine le temps d’y déposer de faibles baisers, que la poignée de la porte se tournait. Pur réflexe, j’empoignai la couette pour la tirer sur son corps en l’attirant ensuite contre moi, l’air de rien. L’instant d’après, Lucia, du haut de ses deux ans, entrait dans la chambre, bientôt rattrapée par Camilya, qui la rattrapa et nous lança un regard d’excuse. Son regard entendu, me fit rougir malgré moi. Adolescente, elle savait parfaitement ce que nous avions été sur le point de faire. Ca n’empêchait pas que je ne tenais pas à m’afficher devant elle ou le moindre de nos autres enfants. Une fois la porte refermée sur toutes les deux, je soupirai doucement et me rallongeai pleinement contre Nastazià. « Raté … » Marmonnais-je sur un ton boudeur. « Sinon … Tout est prêt pour le repas ? T’as pas oublié que Fabio et Kit Kat étaient de gros mangeurs ? »

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« Trente minutes… Au boulot mon amour… » Je ris faiblement et l’embrassai à nouveau en soupirant d’aise. C’était court mais c’était déjà trente minutes de gagnées, pour faire l’amour. Un vite fait bien fait ferait l’affaire et nous permettrait de patienter quelques heures avant de ne plus tenir. Impatient, je lui retirai son débardeur et entrepris de redécouvrir sa poitrine tout bonnement parfaite. Les grossesses y étaient pour beaucoup, en effet. Mais ça n’empêchait pas que son corps m’avait toujours plu, de toute façon. Une fois qu’elle fut torse nu, je commençai à embrasser sa poitrine mais fus coupé dans mon élan, par Lucia qui entra subitement dans la chambre. J’attirai donc Nastazià contre moi en remontant la couverture, pour que son corps ne soit pas exposé au regard de notre fille. C’était pour éviter ce genre de visions, que nous dormions avec un minimum de fringues. Une fois que Camilya eut embarquée sa sœur pour nous laisser à notre petite affaire, je pris un air boudeur en relâchant à peine Nastazià. Soupirant doucement à l’idée que nous ne pourrions rien faire ce matin là, par peur d’être dérangés en plein acte, je mentionnai vaguement le repas à venir. Nous avions invité Katerina et Fabio à déjeuner, comme nous le faisions régulièrement et à tour de rôle. Nous étions une famille plus soudée que jamais, cela comprenant aussi la famille de Nastazià. En fait, nous vivions sur un petit nuage. C’était fou comme notre vie était … Parfaite. Je soupirai d’aise et souris en coin, lorsqu’elle glissa ses mains en s’étendant longuement. « On trouvera un moment pour faire l’amour dans la journée chéri… Quel est le petit monstre qui nous a coupés cette fois ci ? » Je pris une moue totalement boudeuse, en faisant ressortir ma lève inférieure. Moue que la plupart de nos enfants, aimaient à faire, pour faire craquer leurs parents, d’ailleurs. « Encore Lucia. On devrait peut être la faire se coucher plus tard pour qu’elle ne se lève pas trop tôt le matin, non ? » Demandais-je l’air de rien, en lui lançant un regard taquin. Je souris en coin lorsqu’elle enroula une jambe aux miennes et la laissai faire en la contemplant longuement, de façon totalement amoureuse. « Tout est prêt ! J’ai prévu, comment oublier quand mon homme et ses enfants sont de gros mangeurs eux même ? Camilya s’occupe de faire le dessert, ça part contre c’est la surprise mon amour… » Je ris doucement en la regardant de façon taquine. Du bout de mes doigts, je repoussai quelques mèches de cheveux blonds, qui barraient son visage, avant de rire lorsqu’elle tira la couette sur nous. Je me penchai pour déposer de lents et tendres baisers sur ses lèvres, en caressant sa joue du bout de mes doigts. De plus en plus, je laissais Nastazià s’occuper de la cuisine. Non pas parce que je n’aimais pas cela. Mais parce que je lui avais longuement appris à cuisiner italien, tandis que pour ma part, j’avais appris la cuisine russe avec elle. Je gardais d’ailleurs bon nombre de souvenirs inoubliables, de nos heures passées dans la cuisine, rien que tous les deux … « On a bien fait de lui apprendre à faire les desserts … Gourmande comme elle est … On se demande d’ailleurs de qui elle tient ça. » Soufflais-je d’une voix douce, sans cesser de déposer de lents baisers sur ses lèvres. Camilya et Marilys avaient beau ne pas être mes filles biologiques, elles étaient mes enfants au même titre que les huit autres. Elles portaient d’ailleurs mon nom, depuis le jour où je leur avais demandé si elles le voulaient. Jamais je n’avais voulu leur imposer quoi que ce soit et avais donc attendu qu’elles soient assez grandes pour prendre la décision. Et ce, d’un commun accord avec Nastazià, bien entendu. Après un moment passé à embrasser doucement mon épouse, je me détachai d’elle pour quitter le lit en l’entrainant avec moi. Une fois tous les deux debout, je lui enfilai son débardeur et la fis lentement reculer en direction de la porte de la chambre. Une fois là, j’empoignai bien ses fesses pour la plaquer contre moi, lui faisant ainsi bien sentir mon désir pour elle, qui ne faisait que croitre. « Il faut qu’on se prépare pour être prêt à l’arrivée de Kat et Fabio et leurs familles. Et pour ça … on a besoin d’une douche … Tu crois pas ? » Demandais-je d’une voix coquine, en glissant mes mains sous sa culotte, pour caresser ses fesses en souriant en coin. « Je t’invite donc à aller prévenir les filles pour qu’elles surveillent les plus petits. » Ajoutais-je l’air de rien. Je déposai un fort baiser sur ses lèvres puis m’éloignai d’elle, pour filer dans la salle de bains, en lui adressant un clin d’œil. Une fois là, je retirai mon boxer et entrai dans la cabine de douche, pour mettre l’eau en route en l’attendant.

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« Encore Lucia. On devrait peut-être la faire se coucher plus tard pour qu’elle ne se lève pas trop tôt le matin, non ? » Lucia, notre petite dernière, à croquer… Elle venait même parfois dans notre lit en pleine nuit, ça me rappelait Marilys notre première fille à le faire… Camilya n’avait jamais été de la sorte bizarrement. « Oui je crois qu’on va faire ça… Surtout qu’elle est beaucoup câline… quand elle vient elle ne nous quitte plus, ce n’est pas comme les plus grands qui fuit nos câlins. » Marmonnai-je en riant doucement. Ils grandissaient déjà…. Ça me fendait un peu le cœur de voir nos enfants grandir si vite… Enroulant lentement mes jambes aux siennes je le laissais caresser mon visage et m’arranger mes cheveux avant de susurrer que Camilya faisait le dessert vu que le reste était prêt pour le repas. « On a bien fait de lui apprendre à faire les desserts … Gourmande comme elle est … On se demande d’ailleurs de qui elle tient ça. » Riant doucement, je fourrageai lentement ses cheveux. Camilya et Marilys avait beau ne pas être les filles biologiques de Rafaello, elles en avaient tout de même l’air. Les ressemblances au niveau de l’appétit étaient énormes. Puis les gens pensaient réellement qu’elles étaient ses filles, tous nos enfants avaient les yeux bleus… Nous étions une famille composée que de cela. Avec deux parents aux yeux bleus il ne pouvait en aller autrement. Certains étaient blonds comme moi, d’autre bruns comme Rafaello. Une vraie et belle petite famille. « Elle tient ça de son père… vous êtes incorrigible ! Je compte même plus l’argent qu’on claque en bouffe, bande de monstre ! » soufflai-je en riant doucement tout en déposant de lent baiser sur ses lèvres. Le laissant nous relever et m’enfiler à nouveau mon débardeur, je fis une faible moue boudeuse. Pas de sexe pour ce matin. Il savait que si je n’avais pas ma petite dose, même toute petite, j’étais grincheuse. Allant me plaquer contre la porte, ses mains sur mes fesses je sentis alors son membre durcit contre mon bas ventre. Sacrilège, j’allais mourir…« Il faut qu’on se prépare pour être prêt à l’arrivée de Kat et Fabio et leurs familles. Et pour ça … on a besoin d’une douche … Tu crois pas ? » Frissonnant au son de sa voix, mais aussi au fait qu’il glissa sa main sous ma culotte pour toucher mes fesses, je me pinçais les lèvres en fermant alors les yeux. « Je t’invite donc à aller prévenir les filles pour qu’elles surveillent les plus petits. » Douche, prévenir les filles, oui ça je savais faire, il n’y avait pas de souci. Prévenir mes filles, nos enfants surtout. « Douche… Oui… J’arrive. » Soufflai-je totalement perturbée par l’envie que j’avais de lui. Son fort baiser n’arrangea rien. Le regardant partir, je me tournais pour ouvrir la porte et quitter notre chambre. Allant en cuisine, je trouvais les deux ainés en train de déjeuner, tandis que les plus petits eux, étaient sur le canapé en train de regarder la télévision. Je leur demandais donc de s’occuper des petits pendant que nous nous douchions. Je savais qu’elles savaient ce qu’on allait faire. Nos filles n’étaient pas idiote, encore moins l’ainé. Retournant dans la chambre, je fermais lentement la porte avant de filer vers la salle de bains tout en me déshabillant. Une fois nue, je me postais devant la douche, avant d’y entrer sans un bruit et me coller contre Rafaello. « Elles s’occupent des petits… Ils sont déjà devant la télévision… » soufflai-je doucement en caressant alors son torse de mes mains avant de me décoller de lui l’air de rien pour bien filer sous l’eau. Penchant ma tête en arrière je passais mes mains dans mes cheveux mon dos se cambrant avec naturel. J’étais tellement habituée à exciter Raf, ou bien même faire en sorte de le rendre fou que ces petits gestes étaient à présent automatique. « Ton frère et ta sœur viennent vers quelle heure approximativement ? » Demandai-je en lui lançant un regard faiblement coquin.

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« Oui je crois qu’on va faire ça… Surtout qu’elle est beaucoup câline… quand elle vient elle ne nous quitte plus, ce n’est pas comme les plus grands qui fuit nos câlins. » Je ris doucement en déposant un tendre baiser sur ses cheveux. Ma proposition de la faire se coucher plus tard, était plus une plaisanterie qu’autre chose. Mais puisqu’elle semblait vraiment vouloir le faire, alors je n’étais pas totalement contre non plus. Ca nous permettrait de passer davantage de moments câlins, au réveil. Car avec des enfants aussi jeunes, ça ne nous était quasiment plus possible. Et c’était une chose qui n’était tout simplement pas acceptable ! Nous avions besoin de ces instants d’intimité pour nous retrouver rien qu’entre nous, en amoureux, tout simplement. « Meuh non elles ne fuient pas nos câlins ! La dernière fois c’est Marilys qui en a exigé un ! » Lui fis-je remarquer sur un ton amusé, en riant faiblement. Marilys avait toujours été très câline. Et même s’il était vrai qu’elle n’en faisait plus autant qu’avant, ce qui était tout à fait logique au vu de son âge, il n’en demeurait pas moins qu’elle aimait toujours nous faire des câlins de temps à autre. Camilya avec son petit caractère, c’était bien sûr une toute autre paire de manches ! Nous parlâmes justement de cette dernière et du fait qu’elle s’occupait du dessert. Je mentionnai donc son côté très gourmand, tout en replaçant une main de cheveux de Nastazià derrière son oreille, avec délicatesse. Ma petite poupée russe … « Elle tient ça de son père… vous êtes incorrigible ! Je compte même plus l’argent qu’on claque en bouffe, bande de monstre ! » Je ris doucement à ses propos et la laissais déposer de brefs baisers sur mes lèvres en laissant échapper un long soupir d’aise, sans cesser de caresser tendrement son visage. « Je n’y peux rien s’ils ont tous pris ce gêne chez moi ! Et nos filles ont ta beauté et ta grâce. » Lui fis-je remarquer d’une voix douce, en déposant un tendre baiser sur ses lèvres, avant de me lever en l’entrainant avec moi. Je lui enfilai son débardeur avant de la plaquer fermement contre moi, mon membre durcit pressé contre son bas ventre. Je finis par glisser mes mains sous sa culotte, à la conquête de ses fesses douces et mentionnai mon idée d’aller prendre une douche ensemble pour nous préparer. J’ajoutai qu’il fallait qu’elle aille prévenir les filles qu’elles devaient s’occuper des plus petits et entrepris de me reculer faiblement, sans la quitter du regard. « Douche… Oui… J’arrive. » Je ris doucement devant son air totalement hébété et finis par me détourner pour de bon et filai en direction de la salle de bains, lui laissant ainsi le soin d’aller prévenir les filles. Je m’engouffrai dans la cabine de douche une fois nu et mis l’eau en route en attendant son arrivée. Enfin, un immense sourire étira mes lèvres, lorsque son corps se colla contre le mien, en douceur. « Elles s’occupent des petits… Ils sont déjà devant la télévision… » Je ris doucement en lui adressant un regard taquin. « Mais de qui tiennent-ils cette manie de se lever tôt ? » Demandais-je sur un ton totalement amusé, sans la quitter du regard. Je la laissai se décoller de moi et la regardai pencher la tête en arrière et cambrer le dos, pour se mouiller les cheveux. Mon regard s’attardant longuement sur son corps totalement nu et ruisselant d’eau. « Ton frère et ta sœur viennent vers quelle heure approximativement ? » Je laissai échapper un bref soupir de contentement devant son regard coquin et posai, tout naturellement, mes mains sur sa poitrine. Je pris ses seins en coupe et entrepris de les caresser et de les masser, avec extrême lenteur. Comme s’ils avaient été fragiles. Le sourire aux lèvres, je continuais ma caresse sans la quitter du regard. « Onze heures. Tu connais Kat. Elle ne supporte pas d’arriver au dernier moment. » Lui soufflais-je doucement, en me penchant pour déposer un lent baiser sur ses lèvres. « Toujours d’accord pour qu’on leur apprenne aujourd’hui, l’arrivée du treizième habitant ? » Demandais-je d’un voix caressante, tout contre ses lèvres sur lesquelles je donnai ensuite un doux coup de langue, mes mains toujours sur sa poitrine.

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« Meuh non elles ne fuient pas nos câlins ! La dernière fois c’est Marilys qui en a exigé un ! » Soupirant lentement, je me souvenais parfaitement de Marilys petite au début ou Raf et moi sortions ensemble. Elle était câline, mais câline… elle ne nous lâchait plus, encore moins quand Raf venait à la maison… Elle l’avait aimé sur le champ et autant dire qu’elle l’aimait toujours autant au vu de comment elle se confiait à lui autant qu’à moi. Camilya elle… avait un caractère bien plus solitaire. Elle ressemblait à ma mère dans le fond. Douce gentille mais il ne fallait pas la froisser, puis à son âge, dix-huit ans… Autant dire que c’est l’âge bien con. Heureusement que Raf savait la remettre à sa place quand elle pétait sa crise, moi j’en étais incapable. « Si elle le pouvait elle viendrait dormir avec nous ouais ! C’est une coquine cette petite… » soufflai-je doucement en déposant un lent baiser sur ses lèvres. Parlant toujours de nos filles, plus précisément Camilya qui s’occupait des desserts, je lui fis remarquer alors qu’elle avait pris ce gène chez lui. Ils étaient tous des goinfres ces gosses. « Je n’y peux rien s’ils ont tous pris ce gêne chez moi ! Et nos filles ont ta beauté et ta grâce. » souriant en coin, je fourrageais lentement ses cheveux sans le quitter du regard. Et nos petits hommes avaient sa beauté à lui et son caractère de cochon. Oh oui… De vrai petit italien, il n’y avait pas à dire sur ce plan-là. « T’as des spermatos trop fort chéri… Et toi nos fils ont ton sale petit caractère de cochon ! De vrai petit sicilien ! A ne pas en douter même ! » soufflai-je lentement en mordillant ses lèvres. « Et ta beauté… Hmpf… Des mini toi… » murmurai-je doucement avant qu’il ne nous sorte du lit pour me mettre le débardeur et m’exciter plus que de raison contre la porte de la chambre. Il fallait que je prévienne les grandes de garder les petits. Et c’est ce que je fis rapidement avant de revenir dans la salle de bains. Nue je le rejoignis en lui susurrant qu’ils étaient tous devant la télévision. « Mais de qui tiennent-ils cette manie de se lever tôt ? » Lâchant un doux rire, je penchais ma tête en arrière. Bon dieu, je me le demandais bien ! En tout cas ça ne venait pas de moi, ça venait forcément du côté obscur comme j’aimais à lui dire pour le taquiner. « J’en sais rien, mais ça vient forcément du côté obscur des Viscenti ça ! » soufflai-je l’air de rien en lui tirant alors la langue pour le taquiner. Me reculant je me mis bien sous l’eau pour me mouiller, penchant ma tête en arrière avant de sentir ses mains se poser en coupe sur mes seins, me faisant frémir sur le coup. M’excitant encore plus, je le laissais faire, il était doux, et lent, j’aimais quand il était ainsi, c’était rare, sauf quand j’étais enceinte et presque à terme ou là… C’était douceur bien obligée. Se penchant pour m’embrasser rapidement, je lui lançais un regard amoureux. « Onze heures. Tu connais Kat. Elle ne supporte pas d’arriver au dernier moment. » Riant faiblement, oui, je le savais parfaitement. Kat n’aimait pas venir au dernier moment, puis bon elle aimait bien aider aussi une fois ici. « Toujours d’accord pour qu’on leur apprenne aujourd’hui, l’arrivée du treizième habitant ? » Frissonnant à l’évocation du petit être que je portais en moi, je posais instinctivement mes mains sur mon ventre, tandis que lui, pour sa part me malaxait la poitrine avec envie. « Oui on le leur dira… mais tu sais, j’ai une sorte de pressentiment… Je crois que j’en ai pas qu’un dans le bidou… » soufflai-je doucement en guettant alors sa réaction en mordillant lentement mes lèvres. « Peut-être que je me trompe mais je rêve de jumeaux… » soufflai-je lentement avant de porter mes mains sur ses fesses pour le coller bien contre moi avec lenteur. Son membre bien sur mon bas ventre, je bougeais alors contre lui l’air de rien sans le quitter du regard en mordillant mes lèvres.

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« Si elle le pouvait elle viendrait dormir avec nous ouais ! C’est une coquine cette petite… » Je ris doucement et hochai franchement la tête de façon affirmative, devant ses paroles qui étaient on ne peut plus vrai. Il était impossible de nier que si elle le pouvait, elle dormirait avec nous. Mais le fait était qu’à présent, elle était beaucoup trop grande pour cela et prenait donc bien trop de place. Ca, en plus du fait que nos nuits étaient trop mouvementées et torrides, pour la plupart, pour que nous acceptions, l’un comme l’autre, que l’un de nos enfants ne viennent foutre nos projets en l’air, à vouloir dormir avec nous. « Moui … Mais elle sait que maman et papa ont besoin de … Place et de tranquillité. Surtout la nuit. » Soufflais-je d’une voix totalement douce en souriant en coin et en lui lançant un regard on ne peut plus coquin. Nos enfants les plus âgés, avaient au moins le mérite de comprendre pour quelle raison, leurs parents aimaient à se retrouver seuls et sans être dérangés, dans la chambre conjugale. Pour la nuit et pour des siestes en pleine journée. Après avoir parlé de Marilys, il fut question de Camilya et du fait qu’elle était en train de préparer le dessert puisque nous avions des invités. Mon frère et ma sœur, pour être plus précis. Il n’était pas rare de les voir trainer par ici tous les deux, avec leur petite famille à chacun. Parlant de nos enfants, je mentionnai qu’ils avaient mes gênes de gourmandise mais que nos filles avaient la beauté et la grâce de leur mère. Ce qui n’était pas peu dire ! « T’as des spermatos trop fort chéri… Et toi nos fils ont ton sale petit caractère de cochon ! De vrai petit sicilien ! A ne pas en douter même ! » Je ris faiblement et arborai un air totalement innocent et enfantin, comme si j’ignorais totalement de quoi elle parlait. Même si je comprenais parfaitement, on ne pouvait pas non plus dire que c’était de ma faute. Il ne fallait pas exagérer ! Et puis, même s’ils avaient ce côté très italien, ils n’en n’étaient pas non plus au point d’en être tout bonnement insupportables. Lorsque ça arrivait, je savais les recadrer sans trop de mal. « Parce que tu crois que toi t’as pas un sale petit caractère de cochon … ne ? » Lui demandais-je l’air de rien, en souriant faiblement en coin presque malgré moi. « Et ta beauté… Hmpf… Des mini toi… » Je soupirai d’aise et la regardai amoureusement. Certains de nos enfants étaient blonds aux yeux bleus et d’autres, bruns aux yeux bleus. Avec peu de teintes intermédiaires pour les cheveux, à vrai dire. « Finalement, on a pas fait un seul roux. » Lâchais-je l’air de rien, en riant faiblement sur le coup. Je quittai ensuite le lit en l’entrainant avec moi, pour lui remettre son débardeur avant de la plaquer fermement contre moi, pour l’exciter plus que de raison. Je la laissai ensuite filer et en profitai pour aller sous la douche une fois nu et en attendant son retour, qui se fit d’ailleurs sans tarder. Je grommelai faiblement lorsque j’appris que nos enfants étaient déjà debout et je demandai de qui ils pouvaient bien tenir ce côté lève tôt. « J’en sais rien, mais ça vient forcément du côté obscur des Viscenti ça ! » Je ris franchement sur le coup, comme à chaque fois qu’elle me sortait cette réplique totalement dingue. Je lui tirai alors la langue en guise de réponse. Je gémis faiblement en la voyant se pencher en arrière pour se mouiller les cheveux, mettant ainsi sa poitrine en avant. Et je pris soin de prendre ses seins en coupe en me mordillant lentement la lèvre. Poitrine parfaite, corps parfait, visage d’ange divin. Ma femme, la mienne. Je me penchai pour l’embrasser doucement et mentionnai vaguement mon frère et ma sœur, avant de parler de l’enfant qu’elle portait depuis peu. « Oui on le leur dira… mais tu sais, j’ai une sorte de pressentiment… Je crois que j’en ai pas qu’un dans le bidou… » Je ris doucement sur le coup et redressai la tête pour la contempler longuement et de façon totalement émerveillée. Plus on est de fous plus on rit, non ? En tout cas moi, j’étais foutrement heureux, d’avoir pu fonder une famille aussi nombreuse, avec la femme que j’aimais. Le rêve de toute une vie. « Peut-être que je me trompe mais je rêve de jumeaux… » Je souris franchement et laissai échapper un bref gémissement d’aise lorsqu’elle posa ses mains su mes fesses, pour bien me plaquer contre elle, avant qu’elle ne bouge lentement contre moi, ce qui me fit lâcher un nouveau gémissement de plaisir. « Encore deux petits bébés alors ? » Demandais-je doucement en déposant de lents baisers humides sur ses lèvres. Je glissai ensuite le long de son corps l’air de rien, m’attardai un long moment sur sa poitrine que je léchai et mordillai avec envie, puis repris ma descente. Je m’attardai un moment sur son ventre contre lequel je posai mon oreille en caressant sa taille de mes mains. « Encore des petits Viscenti. » Soufflais-je d’une voix douce avant de reprendre ma lente descente, en posant le regard sur elle. « Ca mérite une petite récompense. » Murmurais-je sur un ton totalement taquin, avant de déposer de lents baisers sur son intimité.

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« Moui … Mais elle sait que maman et papa ont besoin de … Place et de tranquillité. Surtout la nuit. » Oh oui beaucoup de place et de tranquillité même… C’était nécessaire pour notre survie, pour notre vie sexuelle surtout… Nous étions deux personnes… Accro, ayant besoin de sexe pour se retrouver et se prouver son amour, c’était la base de notre couple… « Hmpf… Ne t’inquiète pas… Tu savais que Camilya dormait avec des boules quies ? » soufflai-je lentement en lui lançant un regard amusé. Par la suite, on en vint a parler de nos enfants, du fait que les garçons avaient le caractère de leur père, s’était inéluctable pour le coup ! Il avait tout donné pour les faire sur ce coup-là ! « Parce que tu crois que toi t’as pas un sale petit caractère de cochon … ne ? » Grognant lentement, je passais alors ma langue sur mes lèvres en penchant ma tête sur le côté. J’aimais terriblement quand il me nommait de cochonne, ok, j’étais surement la seule femme au monde à aimer, mais je savais que ce n’était pas péjoratif, au contraire, c’était un petit surnom, comme ma chérie et tant d’autres. « Cochonne ? Je ne connais pas ce caractère-là, pourtant je fais plus la chatte qu’autre chose… Miaouuu… » soufflai-je l’air de rien en lui lançant un regard faiblement provocateur, en faisant mine de le lécher, du bout de ma langue. Comme un chat quoi. « Finalement, on a pas fait un seul roux. » Riant franchement sans pouvoir m’en empêcher, je le détaillais longuement en fronçant les sourcils. Il allait nous porter la poisse en disant ce genre de chose oui. Fourrageant ses cheveux, je tournais rapidement le regard vers la photo de famille qui se trouvait dans notre chambre, parce que oui, même si je voyais nos enfants tous les jours j’avais besoin d’avoir une photo dans notre chambre. Et aucun n’était roux, oui, que des bruns ou des blonds, et après ça changeait plus ou moins dans les tons suivant le soleil et tout ça… « Tu sais, si j’étais toi, je ne parlerai pas trop vite… » Lâchai-je l’air de rien en lui lançant un regard en coin l’air de rien. Par la suite, alors qu’il nous leva du lit et qu’il me remit mon débardeur, il m’annonça que je devais prévenir les plus grandes de s’occuper des petits pour que l’on puisse aller se doucher tranquillement. Une fois fait, je le rejoignis dans la douche, totalement nue, bien entendu, nous mettant à parler du repas à venir mais surtout de notre annonce… J’étais enceinte, et je lui appris donc, pendant qu’il me malaxait les seins, que j’avais l’impression d’avoir plusieurs habitants dans mon bide et pas qu’un seul. « Encore deux petits bébés alors ? » Souriant en coin, je tâtai bien ses fesses en hochant alors la tête. Et si c’était plus ? « Je crois… Mais… Et si c’est…. Trois ? Ou… Quatre ? Ou… plus ? » Demandai-je en haussant alors un sourcil. Le laissant m’embrasser dans le cou, je soupirais lorsqu’il dériva alors sur ma poitrine. Je le laissais s’occuper de mes seins en soupirant fortement de plaisir avant qu’il ne dérive donc sur mon ventre pour écouter, comme si le ou les bébés allaient lui parler. « Encore des petits Viscenti. » Posant lentement mes mains sur ses cheveux je les lui fourrageais en souriant en coin. Oui encore des petits italiens et des petits russes… Un mélange tout bonnement parfait dans un sens… Oh que oui… « Ça mérite une petite récompense. » Gémissant sous ses baisers sur mon intimité, je cambrais immédiatement mon dos en écartant alors les jambes. Oui, une récompense ! Et pas petite ! J’en voulais une grande moi… Tirant lentement ses cheveux, je poussais un faible petit cri en léchant alors mes lèvres. « Oh… Une grande récompense ! Je n’aime pas les petites, j’en veux une grande… »

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« Hmpf… Ne t’inquiète pas… Tu savais que Camilya dormait avec des boules quies ? » Surpris, je marquai un temps d’arrêt en haussant les sourcils, avant de partir dans un franc éclat de rire. Non, je l’ignorais totalement à vrai dire. Et ça me surprenait assez, dans le sens où notre logement était tout de même très grand et spacieux et permettait une certaine intimité à ses habitants. Mais le fait était que nous profitions parfois du sommeil des enfants, pour craquer sur le canapé ou d’autres lieux encore, chez nous. Camilya nous avait-elle déjà entendus ? La pauvre … « Ca veut dire qu’elle nous a déjà entendu faire l’amour ? » Demandais-je alors, sans pouvoir m’empêcher de rire de plus bel. C’était peut-être stupide mais je trouvais ça drôle. Et en même temps, j’étais vraiment désolé pour notre fille ainée. La pauvre, j’imaginais l’horreur que ce devait être d’entendre ses parents en plein acte. Nous parlâmes ensuite de nos enfants, pour savoir de qui ils tenaient ceci ou cela. Je finis par la taquiner en mentionnant son caractère de cochonne. Oui, elle était une cochonne et non pas un cochon après tout ! Et puis elle l’était … Dans tous les sens du terme. Mais ça, c’était un détail qui se devait de rester entre nous tout de même. Personne n’avait à savoir de quelle façon, diablement excitante, elle se comportait dans la chambre conjugale. « Cochonne ? Je ne connais pas ce caractère-là, pourtant je fais plus la chatte qu’autre chose… Miaouuu… » Je lâchai un faible et involontaire grognement d’envie sur le coup. Elle savait parfaitement, combien j’aimais l’entende miauler. Ce n’était pas pour rien si son surnom était mon chaton, en italien. Son visage aux traits félins, m’avait toujours terriblement plu et fait perdre la tête. Et dès lors qu’elle l’avait apprit de ma bouche même, elle avait entreprit de miauler doucement, dès que l’envie lui prenait, de me faire perdre la tête. Et autant lui dire qu’elle avait souvent cette folle envie, ce qui était loin d’être pour me déplaire. Pour ma part, il n’était pas rare que je me mette à grogner. Surtout lors de nos ébats sauvages et mouvementés, quand les morsures étaient de sorties, entre autres. « Hm une chatte cochonne … Tu penses que c’est possible ? » Lui demandais-je l’air rien, en laissant échapper un nouveau doux rire amusé. Nous parlions toujours de nos enfants, lorsque je lui fis remarquer que nous n’avions finalement pas fait de roux. Autant dire que c’était surement un exploit, dans un couple dans lequel l’une était indiscutablement blonde, et l’autre vraiment brun. « Tu sais, si j’étais toi, je ne parlerai pas trop vite… » Je ris doucement en posant une main sur son ventre avec lenteur. Elle avait raison, il ne fallait surtout pas parler trop vite. Surtout en sachant le fait qu’elle portait mon enfant. Encore un. Et ça me comblait de plaisir. « Je me tais alors … » Soufflais-je en riant une nouvelle fois, avant que je ne nous fasse nous lever. J’avais terriblement envie d’elle et je refusais de démarrer cette journée, sans lui avoir fait l’amour au moins une fois ! Je le lui fis d’ailleurs bien vite comprendre, quand je plaquai mon corps contre le sien. Je filai dans la douche pendant qu’elle prévenait nos filles et soupirai d’aise quand elle me rejoignit enfin, offrant sa divine poitrine, à ma vue. Je posai mes mains dessus et m’amusai à les malaxer alors qu’elle m’apprenait qu’elle pensait être enceinte de deux enfants. Des jumeaux, encore ! « Je crois… Mais… Et si c’est…. Trois ? Ou… Quatre ? Ou… plus ? » Je ris doucement et me penchai pour l’embrasser dans le cou avec extrême lenteur et tendresse. « On prendra ce qui viendra mio gattino. Comme à chaque fois. » Soufflais-je d’une voix caressante, alors que mes lèvres glissaient sur sa poitrine sans tarder. Je m’y attardai un long moment, avant de descendre à son ventre pour mentionner notre bébé ou les bébés, à venir. Je soupirai d’aise en sentant ses mains fourrager lentement ses cheveux et repris ensuite ma descente, en lui soufflant son droit d’avoir une petite récompense. Inutile de préciser laquelle. L’un comme l’autre, nous le savions parfaitement. Elle écarta aussitôt les jambes et cria faiblement en tirant mes cheveux sous une envie évidente et je déposai de lents baisers sur son intimité, aimant la taquiner et la faire tourner doucement en bourrique. « Oh… Une grande récompense ! Je n’aime pas les petites, j’en veux une grande… » Je ris doucement et donnai un lent coup de langue sur son intimité, avant de venir titiller son point sensible avec lenteur. « Tu connais ma définition d’une ‘petite récompense’ »Soufflais-je d’une voix coquine, avant de commencer à jouer de ma langue, avec une franche insistance, sur son intimité. Après de longues minutes de jeu, je fis glisser deux doigts en elle et m’occupai de son point sensible avec ma langue, levant mon regard vers elle en souriant en coin.

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« Ca veut dire qu’elle nous a déjà entendu faire l’amour ? » Mordillant mes lèvres j’hochais positivement la tête l’air de rien. Elle nous avait déjà entendus, mais ça n’avait pas l’air de l’avoir traumatisé… à son âge… D’ailleurs était-elle toujours vierge ? J’en doutais… Je n’osais pas trop en parler à Rafaello… Mais au vu de la boite de préservatif que j’avais trouvé la dernière fois en rangeant ses affaires… « Oui mais tu sais à son âge… ça la choque pas tant que ça… Elle sait surement ce que c’est… » Marmonnai-je doucement l’air de rien en espérant qu’il ne voit pas rouge. Je pouvais comprendre, elle avait grandi si vite notre petite fille… M’annonçant que j’avais un caractère de cochonne, je ris doucement avant de dire que non, moi j’étais une petite chatte, tout en miaulant alors l’air de rien. « Hm une chatte cochonne … Tu penses que c’est possible ? » Léchant rapidement mes lèvres, je soupirais longuement en m’étirant alors quelques instants. Une chatte cochonne, oui, ça pouvait le faire ! C’était tout à fait moi ça… Une petite chatounette vraiment, vraiment, cochonne, la faute à qui d’ailleurs ? Depuis le temps que je vivais avec Rafaello… Il m’avait rendu perverse à souhait… « Hum, totalement possible, tu m’as tellement rendu cochonne… Je suis une chatte cochonne rien qu’avec toi… Miaouuu… » soufflai-je de façon coquine l’air de rien. Parlant de nos enfants par la suite, du fait que nous avions de la chance de n’avoir aucun roux. C’était vrai, nous n’avions que des bruns ou des blonds, mais pas entre les deux et tant mieux… Mais je lui murmurais alors de ne pas parler trop vite. Le laissant poser sa main sur mon ventre, là ou se trouvait notre bébé qui poussait, je lui fis un de mes plus beaux sourires. « Je me tais alors … » Riant doucement, je lui volais un baiser l’air de rien, avant qu’il ne m’enfile mon débardeur pour que j’aille demander aux filles de s’occuper des petits. Une fois fait, je revins alors dans la chambre me déshabillant pour filer sous la douche avec Rafaello. Le laissant me malaxer la poitrine, je soupirais en la sentant durcir, parlant alors du bébé que je portais puisque j’étais tombée enceinte, accidentellement et que nous avions donc décidé de le garder. « On prendra ce qui viendra mio gattino. Comme à chaque fois. » On prendrait ce qui viendrait oui… Mais à ce rythme-là, on allait devoir agrandir la maison qui était déjà un mini château ! Je doutais que l’une de nos filles veuille avoir une sœur ou un frère dans leurs chambres… Soupirant faiblement, je posais mes mains sur les siennes en souriant en coin. « Faudra surement agrandir la maison, t’es au courant ? Imagine j’en ai trois ? » soufflai-je doucement avant qu’il ne glisse sur mon corps, pour s’occuper de ma poitrine, avant de descendre bien plus bas pour venir sur mon intimité. Cette vue fantastique, je lui susurrais alors que je voulais une grosse récompense, pas une petite ! « Tu connais ma définition d’une ‘petite récompense’ » Mordillant mes lèvres, j’hochais lentement la tête avant de pencher celle-ci en arrière tout en cambrant le dos. Sa langue contre mon point sensible, se pressant bien contre mon point sensible. Soupirant longuement en bougeant le bassin je tirais ses cheveux avec envie tout en le regardant faire pendant de longues minutes, avant de sentir ses doigts se glisser en moi. Poussant un petit cri de plaisir, je me contractais en tremblant avec force. Posant une de mes jambes sur son épaule je soupirais fortement en sentant le plaisir monter avec de plus en plus de force. « Oh mon amour… Je vais pas tarder… » Soufflai-je doucement en tremblant de plus en plus, avant de m’empoigner un de mes seins tout en arquant mon dos.

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« Oui mais tu sais à son âge… ça la choque pas tant que ça… Elle sait surement ce que c’est… » Choqué, surpris, perturbé et à la limite de l’énervement, j’écarquillai les yeux. Comment ça, elle savait sans doute ce que c’était ? Non, non et non ! Surtout pas ça ! Oh mon Dieu j’allais commettre un meurtre. C’était interdit ça. Par quelle loi ? Par celle que j’avais moi-même rédigé … Mentalement ! Oui voilà, cette loi très précisément. Je grinçai des dents puis soufflai un bon coup, pour tenter de calmer ce bref accès de fureur. Pas contre Nastazià ou même notre fille. Mais contre l’abruti qui aurait pu, éventuellement, oser toucher à notre bébé. Bon, elle était âgée de pas mal d’années maintenant. Mais tout de même ! « Dans le sens où elle l’a déjà fait ? Impossible ! Elle nous aurait présenté son copain avant ça. Non ? » Demandais-je d’une voix vibrante de colère, malgré le fait que je tentais encore et toujours, de me contrôler. Je soupirai doucement et fermai les yeux. Du calme ! Je tentai de changer de sujet pour m’occuper l’esprit et ne donc plus penser à ça. Raison pour laquelle je m’amusais à rebaptiser Nastazià « chatte cochonne ». Vraiment très glamour et romantique, en effet ! « Hum, totalement possible, tu m’as tellement rendu cochonne… Je suis une chatte cochonne rien qu’avec toi… Miaouuu… » Je ris doucement à cette exclamation de sa part et lui lançai un regard totalement coquin, sans répondre quoi que ce soit cette fois ci. Je finis alors par lui remettre son débardeur, pour qu’elle aille prévenir nos ainées, que nous allions nous doucher avant de les rejoindre. Pendant ce temps, je gagnai la salle de bains pour au moins mettre l’eau à bonne température, en attendant qu’elle me rejoigne. Ce qu’elle fit sans trop tarder, enfin ! Une fois là, nous parlâmes du ou des enfants qu’elle portait, pendant que je caressais sa poitrine sans me priver un seul petit instant. J’aimais ses seins, j’aimais son corps, tout entier, je l’aimais elle. C’était un plaisir que de la redécouvrir jour après jour. « Faudra surement agrandir la maison, t’es au courant ? Imagine j’en ai trois ? » J’haussai les sourcils de surprise, avant de poser le regard sur son ventre encore plat. Je ris finalement avec douceur et me penchai pour déposer de lents baisers humides sur ses lèvres. « On verra en temps et en heure mon amour. Quitte à ajouter une pièce ou autre. » Soufflais-je doucement contre ses lèvres, avant de glisser le long de son corps, pour débuter la récompense promise. Démarra enfin une longue et douce torture. Je pressai ma langue sur son intimité puis titillai son point sensible de la pointe de celle-ci, avec une franche insistance. Après de longues minutes de la sorte, je glissai deux doigts en elle, en prenant tout mon temps, histoire de la rendre complètement folle. Elle laissa échapper un cri de plaisir, avant de poser une cuisse sur mon épaule, comme pour m’inciter à continuer ma caresse. « Oh mon amour… Je vais pas tarder… » Je relevai le regard vers elle et gémis de bien être en la voyant ses mains s’attarder sur son propre corps. J’aimais terriblement la voir agir de la sorte et je ne fis qu’accentuer davantage encore, ma caresse. Jusqu’à la voir jouir pleinement, ce qui me fit sourire en coin. Je continuai un moment puis repoussai doucement sa cuisse, pour me relever. Sans pouvoir attendre plus longuement, je plaquai fermement mes lèvres contre les siennes, lui empoignai les cuisses pour les passer de part et d’autre de mon corps, l’invitant ainsi à les enrouler à ma taille. Enfin, j’unis nos corps avec fougue, en laissant échapper un gémissement contre ses lèvres. Je remontai mes mains dans son dos, pour pouvoir la serrer contre moi et ainsi plaquer mon torse contre sa poitrine. Je donnais de rapides et violents coups de reins, sans jamais cesser bien longtemps de l’embrasser, bien que je fusse à bout de souffle. Totalement en sueur, je tâtai le carrelage de la douche, pour trouver de quoi changer la température de l’eau, qui devint plus fraiche. Le tout, sans jamais ralentir mes mouvements. L’eau faisait fortement claquer nos corps. Bruit qui me faisait presque autant gémir, que le fait de glisser en elle et d’avoir son corps contre le mien. Je lâchai un faible cri de plaisir lorsqu’enfin, après de longues minutes ainsi, je sentis le plaisir arriver à grand pas. Je posai mes mains sur le carrelage dans son dos et donnai de derniers violents coups de reins en finissant par jouir en elle, en lui lançant un regard totalement fou. A bout de souffle, je cessai peu à peu de bouger, pour enfouir mon visage dans son cou, en troublant franchement. Je la serrai tendrement contre moi en déglutissant avec peine. « Je t’aime. » Soufflais-je contre sa peau.

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« Dans le sens où elle l’a déjà fait ? Impossible ! Elle nous aurait présenté son copain avant ça. Non ? » Je savais que Raf le prendrait mal, après tout c’est notre fille, et au vu de sa jalousie maladive envers moi et même les enfants, je me doutais que si l’un de nos enfants devait avoir des rapports sexuels il faudrait d’abord présenter la personne… Et surement avoir l’accord de leur père… Le prenant bien dans mes bras, je déposais un lent baiser sur ses lèvres. « Mon amour, je doute que si elle nous avait présenté son fameux petit copain, tu l’autorises à sortir le soir comme on le fait actuellement… Tu as présenté ta petite copine mafieuse à l’époque à tes parents toi ? » Demandai-je doucement l’air de rien en lui faisant un sourire taquin. Par la suite, il m’enfilait le débardeur pour que j’aille dire aux deux grandes de garder et de s’occuper des petits pendant que nous nous douchions. Pas besoin de sous-entendu… Elles savaient. Une fois nue et dans la douche, on se mit alors à parler de notre bébé que je portais dans mon ventre, parlant du fait que j’avais l’impression d’en avoir plusieurs. Une intuition féminine. « On verra en temps et en heure mon amour. Quitte à ajouter une pièce ou autre. » « D’accord… Oui tu as raison chéri… »[/color] Soufflai-je doucement avant qu’il ne glisse le long de mon corps pour me faire un bien fou de sa langue. Totalement dévastée par le plaisir, ma cuisse se posa sur son épaule, avant que je ne jouisse pleinement, mon bassin bougeant, comme pour l’inciter à continuer. Le laissant se redresser pour m’embrasser, je restais inerte, incapable de faire quoi que ce soit. Le sentant empoigner mes cuisses je compris ce qu’il voulait, encore plus lorsqu’il les fit passer de part et d’autre de sa taille. Les enroulant, je passais mes bras autour de sa nuque avant de le sentir glisser ardemment en moi. Poussant un long cri contre ses lèvres, je lui lançais un regard fiévreux avant qu’il ne se mette à me faire franchement l’amour. Dieu que j’aimais ça. Entendre le bruit de nos corps, l’eau accentuant les bruits, ses mains sur mon corps, cherchant à bien s’agripper. Tandis que je m’activais a mon tour de me contracter, ou bouger le bassin afin d’amplifier tout le plaisir. Le laissant mettre l’eau fraiche, je poussais un faible cri de soulagement. Nous étions surement maso, mais j’aimais faire l’amour sous l’eau froide, je trouvais ça encore plus excitant… Le sentant jouir en moi, le plaisir se décupla me faisant alors jouir pleinement en même temps que lui. Envahit de spasmes, je le laissais enfouir son visage dans mon cou, lui griffant alors le cou avec violence. « Je t’aime. » Tremblant contre son corps, je le tenais avec fermeté, tout en essayant de respirer normalement. Mes jambes se serrant un peu plus à sa taille, je me mis à mordiller sa peau en gémissant. « Je t’aime Mon mari… » Soufflai-je doucement en restant un moment ainsi avant de me détacher de lui, tremblant toujours tant le plaisir venait de me tuer. Restant dans ses bras, j’attrapais de quoi me laver avant de frissonner et commencer à me savonner. « Si je m’endors a table faudra pas s’étonner ! Tu m’as pris toute mon énergie mon amour ! » Soufflai-je doucement avant de me dépêcher en attrapant le shampoing de Raf pour me laver les cheveux avec. J’aimais bien lui piquer les siens, j’aimais sentir son odeur… une fois fait, je me rinçais en chatonnant doucement, me frottant bien les cheveux en souriant, totalement heureuse. Lui volant un baiser, je sortis de la douche la première m’enveloppant dans une serviette pour me sécher, attrapant alors le sèche-cheveux pour aller devant le miroir et me les sécher en le regardant. J’aimais le regarder, toujours. « Je me disais que le week-end prochain, on pourrait demander a Cam et Mari de garder les enfants pour que l’on puisse partir quelque part non ? J’aimerai bien avoir un week-end à nous pas toi Rafou ? » demandai-je doucement finissant alors de me sécher les cheveux, les laissant plus ou moins en bataille, aimant le côté négligé de mes cheveux, ça me donnait un air de sauvageonne et je savais que Raf aimait ça. Jetant la serviette sur le panier de linge sale, je filais au dressing pour enfiler un string et une petite robe ample noir sans mettre de soutiens gorge, avant d’attraper des ballerines pour les enfiler. « Tu me rejoins à la cuisine mon amour de bête sauvage ? » Soufflai-je l’air de rien avant de quitter la chambre pour filer dans la cuisine, regardant nos enfants avachis sur les canapé à regarder des dessins animés avant que Marilys ne viennent me prendre dans ses bras pour profiter d’un câlin.

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« Mon amour, je doute que si elle nous avait présenté son fameux petit copain, tu l’autorises à sortir le soir comme on le fait actuellement… Tu as présenté ta petite copine mafieuse à l’époque à tes parents toi ? » Je soupirai doucement et levai les yeux au ciel. Non en effet, je n’avais pas présenté ma petite amie de cette époque ci, à mes parents. Mais j’étais un garçon et Camilya était une fille. Ca changeait absolument tout, non ? C’était en tout cas bel et bien mon avis. Mais j’étais conscient du fait que c’était une pensée typiquement machiste, dans le fond. Dans tous les cas, je pensais quand même que nous étions des parents très ouverts d’esprits et donc, totalement aptes à entendre ce genre de choses là, de la bouche de leurs enfants. Enfin … Certes, je n’avais pas un caractère des plus faciles et je ne pouvais pas nier que j’étais trop protecteur et trop jaloux, pour pouvoir accepter une relation entre ma fille et un parfait abruti inconnu, de façon trop aisée. Il était évident que j’allais avoir du mal à accepter de voir ma fille s’en aller, au bras d’un jeune homme. Même si c’était l’amour fou … Mais pour elle, pour notre famille, j’accepterais sans trop broncher bien entendu. J’étais parfaitement conscient du fait que ça finirait par arriver tôt ou tard. Elle finirait par être une femme et le mieux que je pouvais lui espérer, c’était d’avoir sa propre petite famille, d’ici à quelques petites années. « Je préférerais connaître ce gars pour savoir avec qui elle est et donc savoir qu’on peut lui faire confiance, plutôt qu’être dans le flou complet et se demander où elle est, avec qui et si elle ne risque rien. » Lui fis-je remarquer sur un ton on ne peut plus sérieux, avant qu’elle ne fille pour prévenir nos filles de la douche que nous allions prendre tous les deux. Une fois dans ladite douche, nous parlâmes vaguement de sa grossesse et du fait que, selon elle, elle avait au moins deux bébés dans le ventre, si ce n’était plus. Elle mentionna la taille de la maison et je lui appris que nous pourrions tout à fait l’agrandir si besoin était. « D’accord… Oui tu as raison chéri… » Je souris en coin et, sans lui répondre, glissai le long de son corps, pour lui procurer un bien fou, de ma langue. Je glissais sur son intimité puis en elle, avant de remonter à son point sensible, alors que deux de mes doigts s’ajoutaient à la partie. Une fois qu’elle fut terrassée par l’orgasme, je me levai et empoignai ses cuisses, pour me placer bien entre celles-ci, alors que mes lèvres trouvaient les siennes avec une folle envie. Elle enroula ses jambes autour de ma taille et ses bras autour de ma nuque, avant de m’accueillir en elle. Je répondis à son cri de plaisir, par un franc grognement et démarrai aussitôt, de rapides et francs coups de reins. J’allais et venais en elle avec force et fougue, plus excité encore, par le bruit provoqué par ce corps à corps, amplifié encore par l’eau qui coulait sur notre peau. Je commençais à avoir terriblement chaud et mis donc l’eau à une température plus basse, pour nous rafraichir un tant soit peu. Bien vite, nous fumes rattrapés par le plaisir et fûmes terrassés par l’orgasme, ensemble, à quelques secondes d’intervalle à peine. A bout de souffle, j’enfouis mon visage dans son cou, pour lui souffler que je l’aimais. C’était peu dire … « Je t’aime Mon mari… » Je soupirai d’aise en souriant franchement et la serrai plus encore contre moi. Je la laissai se relever pour commencer à se laver et, sans me détacher d’elle, entrepris de faire de même de mon côté. Elle quitta ensuite la cabine de douche pour aller se sécher corps et cheveux, pendant que je terminais de me doucher. « Je me disais que le week-end prochain, on pourrait demander a Cam et Mari de garder les enfants pour que l’on puisse partir quelque part non ? J’aimerai bien avoir un week-end à nous pas toi Rafou ? » Je gémis faiblement d’aise en me rinçant tranquillement les cheveux, avant d’arrêter l’eau et me tourner à demi vers elle. Après une longue observation de son corps, de la tête aux pieds, je lui répondis enfin. « Excellente idée oui. On se trouve un petit coin sympa pour se passer un week-end en amoureux. » Soufflais-je d’une voix douce, en souriant en coin, devant le fait que j’étais on ne peut plus ravi de constater jour après jour, que notre couple était indépendant de notre famille et fonctionnait toujours aussi bien. Parce que nous avions appris à le faire fonctionner, tout simplement. Je la suivis du regard quand elle s’éloigna pour récupérer des vêtements et quittai enfin la cabine, pour récupérer une serviette, avec laquelle je me séchai bien vite le corps. « Tu me rejoins à la cuisine mon amour de bête sauvage ? » J’hochai la tête de façon affirmative et la suivis du regard, le sourire aux lèvres, avant de finir de me sécher une fois seul. Je revêtis des vêtements simples mais toujours à la hauteur de mon style habituel puis quittai la chambre, pour rejoindre toute ma petite famille, dans la cuisine. Le temps de terminer la préparation du repas et mon frère et ma sœur arrivaient, avec leur famille respective, tous les deux en couple et parents. Comme prévu, nous partageâmes un repas digne de nous, durant lequel Nastazià et moi, trouvâmes le temps de leur annoncer le bébé à venir. Ou les, selon Nastazià. Bref, une journée de rêve, dans une vie rêvée …