Sujet: where are u from all this time ? ▬ amaliya Ven 2 Avr - 22:46
Amaliya Sobrey Duffing « Tu sais quoi ? J'en envie d'allez me bourré pour tout oublier ma vie »
Kostos Abraham Prokopios « On n'oublie pas sa vie, on se voile juste la face. »
« tu pensais revenir comme ça et que je n'en souffre pas du tout ? tu penses vraiment que tes excuses, me font quelques quelques choses ?! pense bien au mal que j'ai eu, et après excuse toi »
DRING ! Ah et puis merde, encore se réveil matin. L'envie de lui connaître la valse se matin est plus forte que tout au monde. C'est une invention affable qui aurait mieux fais de ne pas exister dans mon monde a moi. Le matin je n'ai aucunement envie d'entendre des sarcasmes de personne qui ne savent pas ce qu'elle veut. J'ai envie d'une douce voix qui me demande de me réveillé, masculine de préférence, et non une voix forte agressive qui s'amuse à me percer les tympans. Déjà qu'ils sont usés ils ne faut pas qu'ils le soient encore plus. Je décida alors d'aller le balancer contre le mur, et le voilà qui fit quelques pas de valse grâce à moi. Je pus alors remarquer l'enthousiasme qu'il avait à se retrouver par terre en mille morceau. Son remerciement était le silence qu'il apportait à ma chambre d'un bleu électrique géniale. Maintenant je devrai me racheter un nouveau réveil, mais cette fois-ci j'en prendrai un pour pouvoir brancher mon lecteur pour que de la musique me réveil. D'accord c'est loin d'être le doux réveil auquel je rêve, puisque techniquement j'écoute du rock ou du métal, mais c'est déjà mieux que d'entendre la voix d'un inconnues qui raconte des trucs dont je n'ai aucunement l'envie et l'intérêt à écouter. Après tout, qui a envie de se réveillée avec un tel réveil banal comme tout mais avec une légère pointe d'agressivité ? Personne, enfin pas moi certainement. Se réveil avait d'ailleurs réussi à me réveillée malgré sa balade contre le mur. Affreux les effets de cet objet démoniaque que le monde devrait bannir, seulement ils prétendent en avoir besoin voilà le problème. Personnellement je n'en ai aucunement besoin dans mon quotidien, je me réveil à l'heure que je veux, sauf bien sûre quand ma chère mère décide d'aller le mettre en marche pour ne pas que je me réveil à l'heure du déjeuner et que je passe un repas. Comme si ma santé allait être affecté pour une ou deux oublie. Au lieu de cela se sont mes rêves qui sont bouleversés, je ne dis pas pour mes cauchemars mais une fille à ces rêves et il ne faut jamais les bouleversées. Enfin pas les miens, car vous allez savoir comment je m'appelle et vite. Un peu comme se réveil matin qui m'a réveillé dans un rêve merveilleux.
Pas de place à la flemmardise chez les Duffing's ! Je ne devais pas me réveillée trop tard non plus. J'avais un horaire chargé aujourd'hui. Les courses que ma mère m'avait demandée d'aller faire la veille, en fait j'avais proposé vu qu'elle n'était presque jamais à la maison donc c'était moi et moi seule qui me faisait à manger. Je commençais vraiment à me tannée d'habiter ici. Ma mère était toujours contre moi, sois par mes vêtements pas assez bien pour elle ou encore mon comportement qu'elle se résignait à appeler délinquant. Une crise d'adolescence ? J'avais une seule envie et c'était de partir de chez moi. Ne plus avoir à l'endurer serait le plus beau cadeaux d'une vie. Elle avait la gloire qui lui montait à la tête sans même que je ne le veuille. Je voulais une vie normale sans richesse, d'accord quelques fois il y avait des avantages, comme une nouvelle voiture et un portable, mais ce devait être les seules bonnes choses que je trouvai à ma mère. Jamais elle ne s'occupait de moi. Elle évitait le sujet de mon père avec moi, et je me demandais pourquoi. Je ne lui demandais pas de me décrocher la lune seulement une discussion, ou de l'attention. Mais elle ne me donnait aucun de ces trucs là, ne se fiant qu'à sa petite personne. Je commençais longuement à me tannée d'elle, voià pourquoi j'avais envie de partir.
Une bonne douche chaude, j'avais envie de cela en se moment. Aujourd'hui je devais faire quelques courses, allez faire l'épicerie et allez me chercher des chaussures, le besoin devenait urgent, un cas extrême pour utilisé sa carte de crédit. Je me frotta légèrement les yeux pour me réveiller bien profondément, et non pas m'endormir à nouveau. Après m'être sortie des couvertures je m'expédia à la salle de bain, en serrant contre moi mon tee-shirt. Je n'oublierai jamais la raison de se tee-shirt. D'accord il était vraiment vieux avec un trou dedans, mais je ne voulais pas le laver. J'allai donc dans ma douche et me lava. Je dû sortir de là une vingtaine de minutes plus tard, pour après enfiler mes vêtements de la journée, une simple chemise à carreaux noire et rouge et j'enfilai dans le bas une paire de jeans noire. Pour ma coiffure se fut un simple petit chignon, je ne voulais pas me casser la tête pour cela. Ensuite se fut au tour du maquillage simple mais bien et beau. Fond de teint, ombre à paupière, crayon à yeux, mascara et un léger gloss rosé. Je fus donc prête à allez affronter l'extérieur, mais avant j'enfilai des sabots noire à talons aiguilles magnifiques. Je sortie donc dehors.
J'allai donc faire quelques courses et décida de ne pas allez me chercher ces fameuses chaussures, cela ne me servirait à rien sinon à retarder mon arrivée à la maison. En arrivant je mis toute les courses à leur endroit respectifs, donc sois dans le réfrigérateur ou dans le garde manger. Quand j'eus totalement fini j'allai m'assoir dans le petit salon pour regarder la télévision qui en se moment ne passait rien d'intéressant. Plus les jours passaient et plus je ne trouvais rien à faire d'intéressant, ma vie devenais de plus en plus banale. Je me coucha donc sur le sofa avec mes talons haut, ne sait-on jamais ! , pour ensuite essayer de faire une légère sieste bien méritée. Une chance que je n'avais pas payer les courses. Je n'avais pas trop envie de sortir; ou plutôt je savais que je n'avais personne avec qui sortir; ma vie devenait désastreuse. Depuis quelques temps le seul endroit ou j'allais étais dans des boîtes et nulle sait nul sait que je reviens toujours bien bourrée. Je n'ai que cela à faire. J'avais déjà pensé prendre des substance illicites, mais m'étais résigner. Comme je m'ennuyait toute seule dans cette si grande maison, plutôt château, mais bon on s'en fiche bien après tout. Je m'endormis alors sur la télévision qui ne diffusait rien de bon pour mon cerveau en se même moment auquel je laissais rêve venir à moi.
Mes rêves ? Ils étaient toujours les mêmes, je rêvais de pouvoir un jour avoir un copain qui soit là pour moi, qui s'occupe de moi, bref le contraire de ma mère. Dans mes rêves je ne voyait jamais son visage, je ne voyait qu'une ombre ou bien son corps. Comme par exemple je marchait toute seule et une main prenait la mienne. Mais jamais un visage n'était apparut à ce prince. J'aurai temps aimé mais cela ne marchait jamais. J'avais besoin d'un garçon dans ma vie mais j'étais bien trop orgueilleuse pour m'avouer être prête à trouver l'amour. Même ma mère me le disait, je dois me trouver un copain. Seulement le passé ne veut pas se retirer de ma tête, c'est si dure penser à tout ce que j'ai pu vivre dans le passer et souffrir pour un garçon avec lequel je n'ai jamais été. Les souvenirs que j'avais de lui c'était lentement dissiper au plus profond de mon être. Plus je me forçais à me rappeler plus j'oubliais. Pourtant je ne voulais et ne devait. Sauf qu'en se moment d'autre rêve venait à moi et je ne pouvais que les laissez venir, plus rien ne pourrait me déranger maintenant.
Sujet: Re: where are u from all this time ? ▬ amaliya Dim 11 Avr - 21:42
Kostos dormait à peine. Il n'avait plus besoin de réveil, ça ne lui servait à rien. Ses rêves était en fait un cauchemar, le même à chaque fois, le même visage, le même corps, le même sang et... le même prénom en fait. Sa technique était alors d'éviter de dormir, ainsi, il allait au lit tellement fatigué qu'il ne rêvait plus. A peine réveillé, il faisait du sport et plus particulièrement des pompes. "Mens sana in corpore sano", avant, il n'y croyait pas du tout... puis depuis peu, il faisait des efforts, pour redevenir un peu plus gay... un peu plus souriant... il lui avait fallut du temps, il lui avait fallut Paris, Mad et Lilly... si pures et innocentes toutes les deux, elles l'avaient assagi, même inconsciemment. Il avait un instinct protecteur vis-à-vis d'elles deux. Il faisait donc un effort pour être "mieux"... surtout qu'il était fiancé depuis peu à Lilly. Cette pensée le fit sourire, lui fiancé... il ne croyait pas au mariage avant, il ne croyait pas à la fidélité, à l'amour pour une seule et même personne... il avait plus confiance en l'amitié. C'est pour ça qu'il épousait sa meilleure amie. ça ne semblait sans doute pas logique cette précipitation... mais comme pour chaque chose, il y avait une raison. Et ici, c'était clairement Mad. Alors que Lilly et Kostos étaient encore à New York pour diverses raisons personnelles, ils avaient reçu un appel de l'orphelinat de Mad... elle allait débarquer dans un mois à New York, il lui avait trouvé de la famille éloignée là-bas... la petite allait être mise dans un orphelinat dans la grosse pomme pendant que des gens évaluaient cette famille.
Dans la précipitation, les deux amis s'étaient réunis... Kos voulait avoir Mad comme fille depuis la première fois qu'il l'avait vu. Il était émancipé depuis décembre, mais il ne pouvait définitivement pas l'adopter seul... surtout au vu de son passé... quand Lilly lui avait proposé son plan, le grec avait hésité... lui, épouser son amie la plus pure qu'il connaissait. Sa première pensée fut qu'il allait la salir... la seconde c'était qu'elle était la fille la plus gentille qu'il ait pu rencontrée... alors il l'avait serré dans ses bras et remerciée. Elle était un ange, son ange à lui.
Mais comme ils allaient vivre à New York, il fallait qu'il se réconcilie avec ses vieux démons... Shab, Nick, Sohan, Amaliya etc... il était parti sans rien dire... il avait fui et avait refusé toute aide. Ils s'étaient senti abandonné... mais Kostos n'aurait pas su les affronter à l'époque. Avec Shab, ça allait mieux... enfin, c'était relatif, mais ils ne se disputaient plus... c'était un plus... surtout que Kostos était toujours amoureux d'elle dans le fond... c'est juste qu'il ne devait plus y penser. Il allait se marier pour pouvoir élever Mad, un examinateur allait venir, tenter de vérifier si c'était réel ce qu'ils se passaient entre eux ou juste un coup de bluff... alors Kostos allait devoir y croire à un amour profond pour Lilly. Enfin, bien sûr, il l'aimait, comme un meilleur ami peut aimer sa meilleure amie, mais bon, c'était mieux que rien.
Aujourd'hui cela dit, il avait décidé de parler à Amaliya, parce qu'elle était son amie, et que dans le fond, il se doutait qu'elle devait toujours lui en vouloir. Il que comme il allait devoir revivre dans cette ville, il préférait que les choses s'arrangent un minimum. Pour que Lilly, Mad et lui puissent vivre la vie qu'ils voulaient sans avoir à se préoccuper des anciens amis de Kostos. Il ne voulait pas apporter de problèmes à sa futur famille.
Le grec avait donc marché jusque chez elle, et il avait inspiré longuement avant de sonner. Il n'était pas à l'aise, il ne savait pas quoi faire... il savait juste plus ou moins quoi dire... Quand la porte s'ouvrit enfin, il y eut un silence, Kostos s'humecta les lèvres et il eut un sourire timide. Il n'était plus le même depuis la mort de Cloé... plus timide qu'avant.
Kostos: Salut Ama, c'est moi.
Il se passa la main dans les cheveux et il dut se retenir pour ne pas baisser les yeux, une sale manie qu'il avait prise depuis peu, il était vraiment mal à l'aise, et il devait simplement attendre la réaction de son ancienne amie... et il ne savait pas à quoi s'attendre. Mais en même temps... il relativisait les choses depuis peu, qu'est-ce qui pourrait être pire pour lui que de tuer quelqu'un? ... rien. Alors les nouveaux problèmes, il pouvait les affronter sans crainte.
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