It's New York City bitches ! And it's my motherfucking dream
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Scarlett & Adrian | Public relations and more if affinity

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MessageSujet: Scarlett & Adrian | Public relations and more if affinity Scarlett & Adrian | Public relations and more if affinity EmptyMar 26 Aoû - 1:06


J'ignorais réellement ce qui me passait par le corps. Je m’étais levé deux heures avant l’heure habituelle, le soleil n’éblouissait même pas encore la ville. J’avais été complètement perturbé pendant mon exercice du matin, que j’avais pris l’habitude de faire dans le plus simple appareil. J’essayais de me persuader que ce n’était pas la venue d’une charmante demoiselle qui me mettait dans cette état, mais plus le temps passait et s’approchait du début d’après-midi, plus je sentais que c’était ça. J’ignorais complètement pourquoi elle faisait ça. J’avais la sensation que c’était le sentiment d’avoir terminé la dernière rencontre sur un échec, ou en tout cas de ne pas avoir fini sur une victoire. Je n’avais pas l’habitude de perdre et les souvenirs que j’avais de la dernière fois que c’était arrivé étaient très désagréables. Il me laissait un goût amer au fond de la gorge que je ne pouvais pas recracher. Je ne pouvais qu’avaler toutes les victoires qui suivaient pour me donner l’impression qu’il n’était pas là. Et c’était un sentiment très mitigé qu’elle m’avait laissé. L’impression d’avoir perdu dans un jeu que je maîtrise mais aussi l’envie d’aller plus loin et de rentrer dans un autre jeu, un jeu plus long.

Elle avait appelé. Elle avait pris contact avec Linda et elle avait fini par dire qu’elle souhaitait me rencontrer pour parler de ce poste que je voulais lui offrir. Si tout marchait comme je l’avais pensé, elle finirait sous mes ordres. Je serai bien évident le plus exemplaire des patrons, portant tout particulièrement attention à mes employés. Elle serait prise dans mon jeu de manipulation et elle n’en sortirait jamais. Elle était à moi. Et dans ces conditions, j’avais des armes de séduction massives pour continuer la partie que nous avions commencé. Perdu dans mes pensées, nu dans ma garde-robe, j’avais imaginé tout ce que je pourrais alors être capable de faire. Je secouais mon visage, laissant se balancer mes joues, alors que j’imaginais son corps dans des positions et des situations extrêmement sexuelles. Sa gentille personne, son esprit innocent et doux, comme je voulais lui en faire voir de toutes les couleurs, lui faire découvrir les plus étranges pratiques. Un frisson qui glisse le long de mon dos. J’avais l’habitude de m’imaginer à ravager le corps d’une magnifique femme, à lui faire goûter au goût de ma toute puissance. Évidemment, le sexe n’était qu’un jeu. Il ne s’agissait que de montrer qui était le plus fort, qui pouvait faire le mieux, qui pouvait garder le contrôle le plus longtemps, qui était capable de faire craquer l’autre, lui en faire voir tellement qu’elle n’en peut plus et implore de s’arrêter, de l’achever, de lui mettre le dernier coup de grâce, de mettre à fin à cette explosion de sensations, de bonheur. Quand on sait que l’on joue pour le pouvoir et le contrôle, on gagne toujours. Dans ce jeu là, comme dans beaucoup d’autres, je gagne toujours. Et si le moment venait pour Scarlett de jouer avec moi, et j’avais bien l’intention qu’il arrive, elle verrait bien. Je gagne toujours.

Vétu d’un costume sans pli bleu marine de très haute qualité, j’avais mon siège incliné en arrière, mes jambes étendues vers le haut et mes pieds étaient posés sur le bureau en verre, dans le bureau en verre. Cette compagnie spécialisée dans la production et les médias était une subsidiaire Miramax Films. Abritée dans les anciens locaux de Miramax, un bon business c’était développé ici et j’avais pris la possession de cet endroit dès qu’il avait commencé à devenir lucratif. Pour posséder autant sans jamais attirer l’attention, je faisais souvent appel à des réseaux de gens qui se spécialisent dans certains business. Des gens qui prennent des parts, les mettent dans les mains d’employés de leurs compagnies. Ces compagnies sont toutes fictives et les employés aussi, elles amènent toute à moi. Parfois, la quantité de compagnies peut dépendre et certaines peuvent exister pour ne pas attirer l’attention. Aussi, tous ces gens sont à moi, je les contrôle pour être sûr d’avoir toujours le monopole. Bien évidemment, ces gens savent rarement qui je suis. Très souvent, ils ne savent seulement qu’ils ont quelqu’un au dessus, quelqu’un qui peut tout faire changer en un claquement de doigts. Je n’aimerais pas être dans leur position : avoir la sensation de posséder beaucoup mais être en fait un patin à le merci de quelqu’un de beaucoup plus puissant. Il arrivait parfois même que j’utilise ses gens pour les besoins d’Omega. Les gens richent, les gens qui sont dans différents domaines, sont des gens qui ont beaucoup d’informations à leur portée. Facile à utiliser.

Sur l’écran devant moi s’affichaient toutes les caméras qui couvraient le chemin entre l’entrée de l’immeuble et ce bureau. Devant le bureau, un grand espace contenant d’autres bureaux vitrés, certains openspaces aussi. C’était tout à fait le cliché des bureaux chics à l’américaine, à la newyorkaise. Je n’aimais pas particulièrement ce manque d’intimité, mais ne travaillant jamais ici, c’était plutôt pratique de voir tout et tout le monde quand je venais. Suivant du regard une jolie jeune femme qui passait de caméra en caméra, je souriais alors que je voyais le chemin qu’elle prenait. Enfin, au bout du couloir, je pouvais apercevoir Scarlett. Un pincement se fit sentir au bout de mes doigts. Je m’étais tout de suite mis dans une position plus présentable. Elle arriva devant le porte vitrée et Linda, qui était dans le bureau avec moi, s’empressa de lui ouvrir. J’affichais un sourire radieux en la voyant. Je sentais ma libido m’envoyer un message.

« Ha my dear Scarlett! Are you not a pleasant sight for the eyes. »

Je lui pris la main et y déposa doucement un baiser, un sourire aux lèvres. Je l’invitai à s’asseoir en face de moi.

« Please, have a seat. I believe you know Linda. »

Après un court instant de regards et de sourire, je lui offris quelque chose à boire et pris la parole.

« So, how have you been doing? You look good. »
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