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What I Wanted To... Is to tell you.. I lo... - M. Xander Trevelyan

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MessageSujet: What I Wanted To... Is to tell you.. I lo... - M. Xander Trevelyan What I Wanted To... Is to tell you.. I lo... - M. Xander Trevelyan EmptyVen 30 Aoû - 10:14

Xander & Graziella
What I Wanted to... Is to tell you



Je l’avais laissé partir, ce jour là où nous avions fait les aimants tantôt proches, tantôt lointain, et que nous avions presque réussit à communiquer l’un avec l’autre sans crier, je l’avais laissé partir. Oui ce qu’il m’avait dit, aurait pu me faire courir après lui pour le rattraper, et lui dire à quel point je l’aime et suis heureuse de le retrouver, mais ça aurait été teinté par la peur irascible de me faire abandonner une nouvelle fois. Les larmes ont coulé oui et mon cœur s’est encore brisé en mille morceau, mais pour être honnête je n’étais pas prête à quoi que ce soit, je l’ai laissé reprendre sa vie et j’ai repris la mienne, c’était le moins que je pouvais faire. Et puis deux choses pas si anodines que ça m’ont retourné le cerveau, la première fut mon passage chez Oprah. D’un moment particulièrement agréable, je suis passée à la position de victime interrogée par la gestapo médiatique. « Vous vous appelez bien Graziella de votre prénom Mlle Sullivan ? » Me demanda-t-elle. Je secouais la tête et répondis un oui doux. « Actuellement dans le métier, entendez par là les médias, il y a une recherche active qui s’est faite, connaissez-vous le présentateur Xander Trevelyan ? » Me dit-elle alors, et le public parut me dévorer du regard, de quoi m’angoisser un peu plus. « Et bien comme tout le monde, oui. Pourquoi cette question ? ». Arrêtons là un instant, pour reprendre plus tard, avant de passer chez Oprah donc, j’ai eu rendez-vous avec ce type de l’hôpital, un médecin qui me faisait du rentre dedans depuis des semaines, auprès duquel j’ai accepté une invitation à sortir donc. Pas bête, plutôt joli garçon, mais lors d’un diner, ça m’a frappé, il avait exactement le même regard qu’Alexander, mais ce n’était pas lui du tout. J’ai tenté de repoussé ces pensées pour me concentrer sur lui, mais c’était ni fait, ni à faire, j’ai quitté le rendez-vous en prétextant un appel de la morgue, pas joli je sais, mais c’était trop. Précipité chez moi, j’ai fouillé partout pour retrouver le numéro de téléphone d’Alex sans succès, il faut dire que la fois où il m’avait appelé ça venait du poste de police, et que c’était moi qui lui avait donné ma carte et non l’inverse. Je n’avais aucun moyen de pouvoir le contacter, et je n’allais pas harceler Christian, mon pote flic pour avoir son tel quand même. Non, à la place j’avais une autre idée, bien plus caustique et public. Donc revenons à Oprah. « Vous n’êtes pas sans le savoir public ici présent, que l’animateur phare de la chaine BBS, cherche depuis quelques temps maintenant, l’amour de sa vie, son amour d’enfance prénommé Graziella, on l’a lu dans son livre et on a récupéré quelques bribes lors d’interviews… Mais sans succès. Vous êtes une jolie blonde, et vous avez été à l’école avec lui si je ne me trompe… ? » Un « ouh » long me parvint aux oreilles, du public. « Soit, j’ai été en classe avec, et… » Elle me regarda comme le reste des téléspectateurs. « Je suis elle. » l’animatrice ouvrit grand la bouche et les yeux, le public applaudit de surprise, elle posa une main sur mon bras. « Pour de vrai, vous êtes LA Graziella ?! »  J’hochais la tête en me passant les dents sur les lèvres. « Je suis LA Graziella, je suis moi… On a eu une relation pendant quelques années, avant qu’il ne m’abandonne, et nous nous sommes revus il y a peu. » Autant dire, que le plateau était en pleine effervescence, et je me livrais à eux, avec simplicité. « Mais alors que va-t-il se passer ? » me demanda-t-elle avec un certain besoin de le savoir comme eux là, assis en face de moi. « J’ai un sacré caractère et la dernière fois, on s’est engueulé, je n’ai pas voulu comprendre et je l’ai laissé partir… J’ai un service à vous demander Oprah… Pouvez-vous m’aider ? » Elle accepta et devant je ne sais combien de téléspectateurs, je donnais rendez-vous à Alex, dans un coin de Central Park, dont il n’ignore pas mon attachement passé, le coin des fleurs dans le film « vous avez un message ». Bref, un rendez-vous demi secret. Et aujourd’hui, me voilà assise sur un banc avec un parapluie rouge au-dessus de la tête, puisqu’il pleut et que je l’attends lui. Je ne sais pas s’il eut vent de cela, mais il semblerait que ça ait fait le buzz, à tel point qu’entrer à l’hôpital c’est difficile avec les quelques 20 paparazzi et journalistes qui m’attendaient le lendemain. Bref, j’avais fait mon coming out hétéro et people, pour lui prouver que je n’avais pas peur de le retrouver pour de bon. Espérons qu’il ait eu le message…


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MessageSujet: Re: What I Wanted To... Is to tell you.. I lo... - M. Xander Trevelyan What I Wanted To... Is to tell you.. I lo... - M. Xander Trevelyan EmptySam 31 Aoû - 0:17





   
   
   

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« Tu te fous de ma gueule ? TU TE FOUS DE MA GUEULE ? COMMENT CA l'invité principal ne peut pas venir ? Dites moi que vous n'êtes pas sérieux, BORDEL. » Je sais. Je sais ... Ce n'est pas habituel un tel comportement chez moi. Mais ce n'est pas tous les jours que rien ne va au cours de l'enregistrement d'une de mes émissions. Et ce n'est pas tous les jours non plus, que je me fais jeter par la seule femme que je suis capable d'aimer. Ok, elle ne m'a pas ouvertement dit "je ne veux plus de toi dans ma vie, casse toi". Mais pour moi, c'est tout comme. Je lui ai dis ce que je pensais et mes ressentis. Je lui ai dis tout ce que j'avais sur le coeur ... Et elle n'a pas réagit. Pas du tout. Elle m'a juste regardé partir. Alors j'ai disparu. Et sa carte de visite à la con, je l'ai déchirée et balancée. Avant de le regretter. Puis à nouveau penser que c'était la seule chose à faire. Dès le départ ça a été clair. Elle s'interrogeait sur le pourquoi j'étais parti quelques quinze années plus tard. Et quand elle a affirmé qu'elle aurait accepté un rendez-vous, son regard m'a semblé bien trop dégoûté pour que je puisse  la croire. J'ai supporté ce regard le soir de nos retrouvailles. Et quand on s'est retrouvés tous les deux chez elle, j'ai d'abord eus l'infime espoir que ça allait mieux ... Jusqu'à ce qu'elle recommence à mentionner mes aventures et mes mariages ratés. Ouais, j'ai vécu pendant ces longues années. Et je doute qu'elle, elle n'ait pas vécut également de son côté. Il m'a semblé ne pas avoir trop le choix la première fois que je me suis marié. Les deux mariages suivants ont surtout été une tentative douloureuse de passer à autre chose. En vain. Toujours en vain. Et je m'en suis surtout rendu compte en la revoyant. Je suis toujours aussi dingue d'elle. Et elle ... Eh ben elle me déteste. Et c'est juste ... Aïe ! Putain. Ca fait mal. « Xander t'es parmi nous ? » Je réalise enfin que je viens de me prendre une tape à l'arrière du crâne. Et maintenant que je suis retombé sur terre, je prends conscience de tous les regards posés sur moi. Certains chuchotent même. Et de ce que j'entends, ils sont tous perturbés par mon comportement. Pas mon genre d'agir comme un connard qui secoue tout le monde et crie à tout va.

« T'as entendu ? » « Entendu quoi ? » Je soupire en me laissant tomber dans un siège, las. « Ta petite amie était à l'émission d'Oprah ! »  J'étouffe un bâillement derrière ma main, en lui lançant un regard vide. « La numéro combien ? » Je demande avec sérieux, avant d'éviter une nouvelle tape de sa part. « Graziella !! » Cette fois je me fige et lui lance un regard incertain. Ah oui c'est vrai. Elle m'a parlé de ça. « Et elle te donne rendez-vous à Central Park ! » Et là je ris. Parce que je ne comprends pas bien. Jusqu'à ce qu'elle menace de me donner une nouvelle tape de la main pour que je retrouve mon sérieux. Elle me tend ensuite son téléphone. Oh cool. La vidéo est donc déjà sur youtube. Trois minutes plus tard, je suis trop sur le cul pour réagir. Alors je me contente de relancer la vidéo une seconde puis une troisième fois. Au delà du fait qu'elle est incroyablement belle à la télévision, il y a le fait que ... Ouais, elle me donne bel et bien rendez-vous. Est-ce que je vais y aller ? Ben il semblerait que ouais. Parce que quelques jours plus tard et malgré la pluie, je suis en train de me rendre à Central Park. Mon chauffeur m'a déposé devant et va rester là. Histoire de me sauver la mise si je reviens en courant, poursuivis par une armée de nanas enragées. Mais la pluie a sans doute coupé l'envie à d'éventuels malades de sortir pour assister à ça, parce que je ne croise pas grand monde. Et peu me reconnaisse à cause de mon sweat à capuche qui recouvre ma tête. « Dépêchez-vous mon garçon, ne la faite pas attendre. Et ne ratez pas cette chance ! » Je lance un regard médusé à la femme d'âge mûr qui s'adresse à moi, arque un sourcil et puis hausse les épaules en poursuivant mon chemin. « La magnifique jeune femme au parapluie rouge est déjà là. » Putain !!! Je marmonne des "ok" et des "j'ai compris" à tout va, avant de finalement l'apercevoir. Je me force à ne pas m'arrêter et faire demi tour, mais mon coeur est en train de s'emballer férocement. Finalement, je me laisse tomber de l'autre côté du banc sans la regarder. « On m'a dit qu'une jeune femme au parapluie rouge m'attendait ici. » Je marmonne simplement, les mains toujours enfouies dans les poches de mon sweat.

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MessageSujet: Re: What I Wanted To... Is to tell you.. I lo... - M. Xander Trevelyan What I Wanted To... Is to tell you.. I lo... - M. Xander Trevelyan EmptyLun 2 Sep - 11:28

Xander & Graziella
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Mon dieu, mon dieu, mon dieu, je n’ai pas besoin de lever le nez vers lui, je sais qu’il arrive. Il s’assoit et je déglutis, merde c’est maintenant que je réalise que je me suis publiquement affichée pour le revoir, et qu’après ça, je pourrais plus faire marche arrière. Ce n’est pas grave, c’est la peur de l’instant, qui me fait penser à ça, je suis terrorisée, le premier baiser d’une ado à côté, ça fait moins peur ! Et d’ailleurs, à bien y réfléchir, il a été mon premier tout, baiser, acte sexuel, amour, rupture, déception, cœur brisé, et là… Mon premier saut médiatique. Je lève un peu le parapluie et je souris légèrement à ses mots. « Il semblerait, bien que je n’ai pas donné de détail sur la couleur de mon parapluie. » Je tournais le visage vers lui, le regard pétillant d’une excitation et d’un stress mélangé. « C’est plus compliqué qu’il n’y parait pour te joindre. » Ajoutais-je doucement avec un petit sourire timide. « Ecoutes, on a eu tous les deux nos torts dans cette histoire passée, et te retrouver a été à la fois magiquement heureux et terriblement douloureux. Mais quoique je dise, quoique je fasse… » Je fis une pause en baissant le regard. « Tu es, et a toujours été mon chez moi. Et même si je suis terrorisée à l’idée de t’accepter dans ma vie, de peur que tu ne m’abandonnes encore une fois, j’ai besoin de toi, et pas de n’importe quelle autre personne, je ne veux que de toi dans ma vie. » Ajoutais-je doucement. « Je ne sais pas si je suis claire, il faut dire que le stress est grimpé en flèche lorsque tu es venu t’asseoir près de moi. La chose à retenir et que j’aimerais que tu comprennes, c’est que … c’est toi, je t’ai aimé et t’aime encore… » Je posais une main sur sa joue à lui, me rapprochant de lui, mon parapluie le recouvrant presque totalement. « Je prends le risque de me faire exploser le cœur encore une fois Alex, mais je le fais parce que c’est toi… » Murmurais-je avant de pencher le visage vers lui pour déposer mes lèvres sur les siennes, attendant qu’il n’y réponde, attendant qu’il ne m’emprisonne des siennes, que l’échange soit à la hauteur d’une séparation forcée de 15 ans. Et ce baiser échangé, résonna en moi, avec tellement d’envie, que je ne pus retenir une larme ou deux, glissantes sur mes joues rougies. Je me séparais de lui, essuyant de la main les larmes, et baissant le regard. « Pardon, j’ai pas pu les retenir. Acceptes tu donc, de m’inviter à sortir, de me refaire la cours et … de voir si nous pouvons être heureux ensemble ? » Lui demandais-je en haussant les épaules, avec encore un brin de peur qu’il ne me jette tout bonnement à la tronche un « je crois pas non. » Peur stupide me direz-vous, mais présente sans que je puisse la faire taire.


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MessageSujet: Re: What I Wanted To... Is to tell you.. I lo... - M. Xander Trevelyan What I Wanted To... Is to tell you.. I lo... - M. Xander Trevelyan EmptyLun 2 Sep - 18:56





   
   
   

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Cette situation est tellement étrange ... Ce rendez-vous secret ... Duquel tout le monde est au courant. Que Graziella ait fait un tel geste vers moi. Et plus encore, qu'elle semble si ... Ouverte, après tout ce qui a été dit entre nous quelques temps plus tôt. En fait, c'est moi qui suis le plus fermé dans l'immédiat. Parce que je ne sais pas ce qu'elle va me dire et que je ne peux m'empêcher de craindre un nouveau dérapage. Je sais que j'ai fais beaucoup plus d'erreurs qu'elle au cours des quinze dernières années. Mais j'ai autant souffert qu'elle. Et j'ai peur qu'elle ne me fasse du mal en retour. Et finalement, quand mon estomac se contracte, ce n'est pas de façon négative. Au contraire. Elle me veut dans sa vie. Elle ne veut que moi ... Moi ? Je tourne assez subitement la tête vers elle, sourcils froncés. Je dois reconnaître que je m'étais attendu à tout sauf à ça ... Je suis tellement perturbé et surpris, que je ne trouve rien à répondre sur le coup. Je me contente de l'écouter. Et je l'entends me dire qu'elle m'aime toujours. Est-ce que j'aurais l'air d'un parfait crétin si je me mets à pleurer ? Non parce que là, j'ai envie. Elle m'aime. Je crois que c'est la chose à retenir dans tout ça. Elle m'aime toujours. Je continue de la regarder d'un air totalement hébété, quand elle pose une main sur ma joue et s'approche de moi. Dans ma tête, les trois petits mots "elle m'aime", continuent de raisonner. C'est presque un chant. Incroyablement doux. Merveilleusement beau. Je l'aime tellement. « Tu ... M'aimes ... » Je finis même par soupirer quand elle trouve mes lèvres des siennes. Je sais que c'est ce qu'elle a dit. Mais j'ai besoin de le dire à voix haute. Comme pour me confirmer la chose. En tout cas ça me fait du bien de l'entendre. Ca me fait un bien fou de savoir qu'elle ne me déteste pas comme j'ai cru qu'elle me détestait. C'est la douleur qui l'a rendue si méfiante. Je ne peux m'en prendre qu'à moi. Mais qu'elle soit prête à prendre le risque de souffrir à nouveau si jamais je ne m'avère pas digne de confiance, me confirme que oui ... Oui elle m'aime. Ce ne sont pas des paroles en l'air. Et puis pourquoi mentirait-elle ?

Quand elle détache ses lèvres des miennes, je ressens un élan de frustration. Mais qui est bien vite chassé par les larmes que je vois glisser sur sa peau. Ses dernières questions m'achèvent. Quelle idée ... Bien sûr que je suis prêt à tout ça. Je suis même prêt à lui faire un tas de marmots et à lui demander de ne jamais m'épouser si ça peut la rassurer. Oui parce qu'il semblerait que mes trois précédents mariages lui aient fait peur. Ce que je peux comprendre soit dit en passant. « Je pourrais faire tellement de choses pour toi ... » Je réponds dans un murmure. Je ne peux pas dire que je vais changer. Mais plutôt, que je vais redevenir le type d'avant. A cette époque où je n'étais pas erratique le moins du monde, par exemple. Je veux retrouver cette relation complice avec elle. Je veux lui faire une place dans ma vie et qu'elle m'en fasse une dans la sienne. Et je veux que l'on réapprenne à se connaître. Parce que certaines choses ont forcément changé. Et qu'il nous faudra faire avec. « On va tout reprendre depuis le début alors. Mais avant ... Un baiser. Juste un ... » Je marmonne en retrouvant ses lèvres que j'emprisonne des miennes avec bonheur. C'est chaud. C'est doux. J'ai presque l'impression d'entendre l'air crépiter. J'en lâche même un involontaire gémissement tant la bouffée de bonheur qui m'arrive en plein coeur, me fait de l'effet. C'est comme de rentrer à la maison après de trop longues années d'absence. Comment est-ce que j'ai pu m'éloigner d'elle ? Comment j'ai fais pour tenir quinze longues années ? Graziella est la seule. C'est mon évidence. La femme de ma vie. Mais je ne commettrai pas deux fois la même erreur. Cette fois serait la fois de trop. Impardonnable. Mais c'est confiant que je me recule après ce qui m'a parut des heures à simplement l'embrasser. « Allons-nous mettre au sec dans un café, d'accord ? Tu me raconteras ta passion morbide pour les cadavres. » Je me moque gentiment en affichant une grimace. Avant de m'emparer de sa main et me redresser en l'entraînant avec moi. Je marque un temps d'arrêt en posant les yeux sur nos mains liées. Rien que ce geste pourtant si simple, me comble de joie. Et c'est les yeux plantés dans les siens, que t'entremêle doucement nos doigts.

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MessageSujet: Re: What I Wanted To... Is to tell you.. I lo... - M. Xander Trevelyan What I Wanted To... Is to tell you.. I lo... - M. Xander Trevelyan EmptyLun 16 Sep - 17:37

Xander & Graziella
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Oh mon dieu, oh mon dieu ! Un autre baiser, et je ne suis plus là, je suis en orbite autour de la planète terre. Ses lèvres, sa moustache qui chatouille, ses mains… Pour imager le truc, je suis en extase totale et j’accepte allègrement ce baiser là, parce que ouais, c’est divin. Il se relève et sa petite pic me fait éclater de rire. Oui mais non je n’ai pas de fascination morbide réellement, j’aime seulement le fait d’élucider des crimes et connaitre la vérité. La vérité, je l’ai cherché partout, la vérité nous concernant, c’est que je n’étais pas assez bien pour sa famille, la vérité, c’est qu’il avait peur de me décevoir, la vérité c’est que je n’ai jamais cessé de l’aimer profondément. Il attrape ma main, je me lève à mon tour et lorsqu’il s’arrête pour regarder nos mains, j’ai le cœur qui tambourine, oui on est main dans la main, ouais on est ensemble, ouais j’ai sauté et je ne me suis pas ramassé. Mon sourire s’élargit, c’est superbe et mes yeux brillent d’un millier d’étoiles. On traverse central park, et sur le chemin des gens nous applaudissent, mon dieu c’est étrange. Manque plus que la fanfare, le feu d’artifice du 4 Juillet, un envol d’hirondelles dans le ciel et un titre disant « The End ». Je cours à sa suite, pour traverser la route, et on entre dans un tout petit troquet, je m’assieds en retirant ma veste, en secouant le parapluie trempé et je m’assieds en face de lui. Son sourire d’enfant m’illumine et je ne peux que lui répondre. Je commande un thé, et mains dans les siennes sur la table, je les regarde, puis regarde son visage. « Est-ce si étrange de travailler dans une morgue ? » commençais- je doucement. « Je voulais faire médecine, ce que j’ai fait, et puis ensuite, je ne sais pas… tu connais mon point de vue, y’a que dans les cimetières que personne t’emmerde, je n’ai pas changé ça, j’aime toujours m’y balader de temps en temps, lorsque j’ai besoin de penser calmement. Et au final, ce métier est une révélation, j’y suis bien… Pas de fixation sur les cadavres, ni de nécrophilie exacerbée, juste résoudre des enquêtes. » La serveuse posa notre commande sur la table, et eut un instant de pause sur nous deux, nous regardant, tout sourire. « Vous avez besoin d’autres choses ? » Je secouais la tête en la remerciant, et finalement elle nous laissa. « Sympa de se faire dévisager. Dis-moi que tes fans ne sont pas des folles furieuses, qui risquent d’attenter à ma vie… » Lui dis-je en versant un peu de crème dans ma tasse, puis secouant le sachet de sucre avant de le verser aussi dedans. « Bon… puisque je suis en face d’un magicien, fais moi un tour, là maintenant, je te regarde et évaluerais tes talents ! » Lui dis-je en le défiant quelque peu.


Dernière édition par Graziella Sullivan le Mar 24 Sep - 15:37, édité 2 fois
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MessageSujet: Re: What I Wanted To... Is to tell you.. I lo... - M. Xander Trevelyan What I Wanted To... Is to tell you.. I lo... - M. Xander Trevelyan EmptyLun 16 Sep - 20:31





   
   
   

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Je la fais rire. C'est sans doute complètement idiot ... Mais ça me comble de joie de voir que j'ai encore ce pouvoir là sur elle. Oui je suis un comique donc l'humour et tout le tralala, ça me connait. Mais Graziella n'est pas une personne parmi tant d'autres. Et avec elle je n'ai pas le même humour que je peux avoir avec n'importe qui d'autre. Elle vaut plus que ça. En même temps ... Une nana qui bosse dans une morgue, ça doit avoir un humour à part quand même. On forme quand même un couple détonant. D'un côté, quelqu'un qui côtoie les morts de très près. Et de l'autre, un type qui vit pour faire rire. Vive la logique de notre relation. Mais nous allons avoir tout le temps d'en discuter ensemble, dans le café que nous finissons par rejoindre sous les applaudissements des passants. Très intime cette courte promenade, n'est-ce pas ? Quand elle me demande si c'est étrange de travailler dans une morgue, j'affiche une grimace équivoque. Pour moi ça l'est. « Pour moi, c'est étrange oui. Mais tu as toujours pris des chemins et des décisions inattendus. Ca ne devrait donc pas vraiment me surprendre. » Je remarque en haussant les épaules. Oui, je me souviens de sa passion pour les cimetières. Trop morbide. Et je me souviens également des moqueries que j'ai pu lui offrir à ce sujet. Je n'ai jamais vraiment compris sa passion pour ... Tout ça. Mais je l'ai toujours accepté. C'est ce qu'on fait quand on aime l'autre, non ? Parce que je l'aime toujours. Oh Dieu oui que je l'aime ... « Résoudre des enquêtes en faisant parler les morts ... Ma foi c'est un choix de vie. Ca fait très "série". » Je dis en souriant en coin. Très film aussi. C'est bien ma branche ça. Sauf que même là, je n'ai aucun rapport avec les films et séries qui traitent de la mort et autres trucs dans ce goût là. Je préfère, encore et toujours, rire. Si je ne joue pas le rôle d'un pur crétin, ça ne m'intéresse que moyennement !

Trop occupé que je suis à dévisager Graziella alors que l'on discute, je ne remarque aucunement la serveuse. Raison pour laquelle je suis surpris quand elle mentionne mes fans et tout le tralala. Je lui lance un regard médusé avant de hausser les épaules d'un air parfaitement désinvolte. « Rares sont celles qui ont ta passion pour la mort. Elles me préfère vivant. Enfin je crois ... J'espère ... » J'affiche un air faussement effrayé par l'idée avant de rire doucement. J'ai faillis dire qu'elles en voulaient surtout à mon corps. Mais je ne veux pas lui faire peur tout de suite. Elle doit déjà bien se douter que bon nombre de mes fans me tournent autour plus pour mon corps que pour ma personne etc. « Un tour de magie ? Hm ... Faire de la magie devant une scientifique ... Je sais pas si c'est une bonne idée ... » Je plaisante à demi, sans vouloir avouer que j'ai prévu le coup. « Ma grande passion, c'est de faire apparaître des choses ... » Je lui souffle d'une voix douce, regard planté dans le sien. Avant de me pencher vers elle. Près. Très près. Jusqu'à ce que nos visages ne soient plus qu'à quelques centimètres l'un de l'autre et que nos soufflent se mêlent. Je fais mine de vouloir l'embrasser mais me recule au dernier moment, après avoir frôlé ses cheveux d'une main, pour faire mine d'en dégager une fleur. L'Arum a toujours été sa fleur préférée. Enfin j'espère que c'est toujours le cas. Ce serait con que non. Doucement, je frôle son visage avec, avant de la faire pivoter. Le tout sans la quitter du regard pour la distraire. Finalement, je penche la fleur vers elle. « Je crois que ça t'appartiens. » Je désigne le coeur de la fleur dans lequel j'ai glissé une bague. Non, pas une bague de fiançailles. Je compte faire les choses bien avec Graziella ce coup ci. Donc non. C'est juste une bague. Sa bague. Celle que je lui ai offerte pour notre première année de relation. Un truc simple et discret. Parce que je trouvais que ça lui correspondait bien. Elle l'avait oublié sur ma table de nuit et je l'ai trouvé en fourrant mes affaires dans un sac. Je l'ai gardé. Evidemment que je l'ai gardé.

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MessageSujet: Re: What I Wanted To... Is to tell you.. I lo... - M. Xander Trevelyan What I Wanted To... Is to tell you.. I lo... - M. Xander Trevelyan EmptyMar 24 Sep - 15:53

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« Je ne vois pas ce qui est si fou ! Tu es bien humoriste, c’est assez décalé aussi ! » Lui répondis-je tout sourire en attrapant ma tasse pour tremper mes lèvres dedans et boire une gorgée. J’hochais la tête. « Mais ma vie ressemble à une série télé… Sauf que les corps sur mes tables d’autopsie, étaient de vraies personnes avant de mourir tragiquement… et mes nuits sont le reflets de mes jours, la mort rend tranquille mais l’esprit ne l’entends pas de cette oreille, ou ne le voit pas de ce synapse, les horreurs ne sont pas que sur les scènes de crimes, découvrir qu’une femme a été empoisonné par son époux pour qu’il puisse vivre avec leur nounou son idylle, ce n’est pas une série télé ou alors le thème est mauvais. Quoique non, c’est l’humanité qui est mauvaise tout court d’ailleurs. » Je reposais ma tasse devant moi et pris le temps d’observer alex, devant moi, tandis que nos genoux se frottaient l’un à l’autre l’air de rien. J’éclatais de rire lorsqu’il parla de ses fans, ses mimiques m’avaient manqué tellement. Je me mordis la lèvre doucement, retenant en mon for intérieur mon envie de l’embrasser voir plus. Et puis je coupais mes envies, en lui lançant un défi, qu’il accepta donc et je fus impressionnée, sur le cul et je regardais ma fleur préférée qui contenait une bague. J’ouvris grands les yeux, grande la bouche et le regardais et regardais ce qu’il avait fait apparaitre. « non… » Soufflais-je sur le cul. C’était radical, il m’avait soufflé d’un coup. Je fermais la bouche, la mordillais et tendais la main vers l’objet. « Mon dieu… » Je pris la bague entre mes doigts et la regardais. C’était la mienne, il me l’avait offerte, et je n’avais jamais réussi à remettre la main dessus, je comprenais mieux pourquoi. « Je l’ai cherché partout. » Lui dis-je le regard pétillant de mille étoiles scintillantes. « Et c’était toi qui l’avait gardé. » je baissais le regard, hochant la tête. « Dans le mille monsieur le grand magicien… vous m’avez touché. » Avouais-je en la regardant, laissant la fleur posée sur la petite table. Je l’enfilais, elle m’allait encore parfaitement, comme quoi, les doigts ne changent pas en grandissant. Je regardais ma main, souriante et émue. « Très bien, je suis sidérée que tu l’aies gardé, ça date tellement… » Je me mordillais l’intérieur des joues en le regardant, en proie à une slave de nostalgie. « J’adorais cette bague. Merci. » Je pose la main sur la sienne et lui glisse un petit sourire en coin. « Je ne remettrais plus en doute ta capacité à scier les gens, d'un tour de magie. »


Dernière édition par Graziella Sullivan le Dim 29 Sep - 17:59, édité 1 fois
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MessageSujet: Re: What I Wanted To... Is to tell you.. I lo... - M. Xander Trevelyan What I Wanted To... Is to tell you.. I lo... - M. Xander Trevelyan EmptyMar 24 Sep - 21:52





   
   
   

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Un mec qui fait constamment le con, avec une nana tout ce qu'il y a de plus sérieuse qui passe son temps à autopsier des cadavres ... Tout cela est parfaitement normal. Non, vraiment rien de choquant à tout ça ... Bon d'accord, carrément que si. Mais on s'en fout totalement. Ce qui compte c'est ce qu'on ressent, ce qu'on partage tous les deux. Et, ouais, c'est plaisant au possible. « Pour le coup, ça fait de toi l'héroïne d'une série pour le moins morbide ... » Je remarque en grimaçant légèrement. Alors que de mon côté, je préfère être le héros de films et de séries tout ce qu'il y a de plus hilarant. Et si elle me propose le rôle du bouffon qui sera là pour la faire rire quand elle rentrera du boulot, particulièrement défaite et épuisée, j'accepte et signe de suite ! Mais dans l'immédiat, plutôt que de la faire rire, je parviens à l'épater. Oui, je l'épate. Je la surprends au plus haut point. Je n'ai pas besoin qu'elle me le dise pour que je le sache. Ca se voit dans ses yeux, dans sa façon de regarder la bague que j'ai discrètement logé sur cette fleur. Sa fleur. Et je souris quand elle s'en empare pour la glisser à son doigt, où est sa place. Oui en effet, je l'ai gardé. Elle est surprise par ça. Apparemment, elle ne réalise pas vraiment que je ne déconnais pas quand j'ai dis que je n'avais jamais cessé de l'aimer. Mais soit, je ne lui en veux pas. Jamais de la vie voyons. Je retourne ma main quand elle y pose la sienne, pour m'en emparer doucement et caresse doucement son doigt à hauteur de la bague, avant de la faire tourner avec lenteur. En fait, ça va même me faire bizarre de ne plus l'avoir sur moi. Ca peut sembler un peu radical, mais je me sens presque vide, sans ce lien qui m'a longtemps gardé unis à elle. Ouais bizarre, j'en conviens.

« Tu l'avais oublié sur ma table de nuit. Si je la laissais là, elle était perdue. Alors je l'ai emmené. Et en réalité ... Je l'avais toujours, ou presque, sur moi. Quand j'étais dans la rue, il me suffisait de la regarder pour me remémorer ma vie d'avant. Toi. Chez nous. SF et ses maisons victoriennes, les plages à côté de la ville, le pont, les rues à angle quasiment droit -sans déc !-, les transports en commun plus nombreux que les voitures ... Chinatown où s'est paumé comme deux idiots ... Finalement, ça a été une aubaine que j'ai cette bague pour me rappeler qu'il y avait bien eut une vie avant tout ça. » Si je suis en train de déprimer ? Non pas du tout, au contraire même ! Elle est là, en face de moi. Et tout ça c'est derrière moi maintenant. Et je crois vraiment que je l'ai bien mérité tout ça. « Ceci dit, je suis triste d'apprendre que tu remettais en doute ma capacité à scier les gens ! » Plutôt que d'avoir l'air triste, je ressemble davantage à un gamin qui veut bouder mais qui joue si mal la comédie, que son regard est juste totalement amusé. Et puis je me rappelle que je faisais ça quand je voulais qu'elle vienne m'embrasser par le passé. Or, je dois me montrer sage. Alors j'arrête, et reprends une posture plus convenable en gardant malgré tout sa main dans la mienne. « Bien. Maintenant que je t'ai épaté avec mes incroyables talents ! Veux-tu que je te fasse autre chose ? » Et non, pour une fois, dire un truc pareil, ce n'est pas du tout volontaire de ma part. Je ne prends même pas conscience du double sens de ma question et garde l'air le plus sérieux dont je suis capable.

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MessageSujet: Re: What I Wanted To... Is to tell you.. I lo... - M. Xander Trevelyan What I Wanted To... Is to tell you.. I lo... - M. Xander Trevelyan EmptyDim 29 Sep - 18:12

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« C’est adorable à toi de l’avoir gardé… Elle ne me quittera plus… Ou il faudra me couper le doigt pour la récupérer… Et je ne suis pas sure, que tu sois ce genre là… » Ma main dans la sienne, parfaitement à sa place, amoureuse comme pas permit, je revivais presque les premiers moments de notre amour, comme une adolescente, mais avec les besoins et désirs d’une femme. J’attrapais la fleur et la portait à mon nez pour inspirer son parfum si particulier, j’adorais ces fleurs, juste parfaites. « Je ne remets rien en question, je tente de te défier, et tu as admirablement bien relevé le défi Mr Trevelyan. Je ne suis pas la femme sciée en deux, mais je suis la femme pour le moins surprise et c’est déjà pas mal ! » Lui répondis-je en terminant mon verre, et je sentais quelque chose se réveiller, quoique non, ça avait toujours été là, présent, en mon sein, c’était juste en train de ré apparaitre de manière folle. Une envie, de folie. Il me lança cette petite phrase pour le moins lubrique, je souris en coin, le regardant d’une certaine manière. Quittant la ballerine à mon pied, je glissais la pointe de mon pied, le long de son mollet, remontant encore un peu, pour caresser sa cuisse, avant de glisser un peu plus haut. Coquine ? Surement. J’adorais voir son expression changer, et je fis quelques passages furtifs entre ses jambes. « J’ai l’impression que quelque chose te déconcerte Alex… Mais je ne vois pas quoi… » Dis-je en affichant un large sourire charmeur. Le titillant un tout petit peu plus, je stoppais la manœuvre d’intimidation de mon cher et tendre, j’adore déconcerter Alex, il est tellement expressif, quoiqu’il en dise. Je remis mon pied nu dans ma ballerine, lui laissant le temps de se reprendre peut être. « On disait quoi ? Ah oui, ce que tu pouvais encore me faire… Je dirais que dans un premier temps, m’inviter à diner, je suis libre ce soir, si toi tu l’es, et ensuite… Et bien… Si la question concerne l’immédiat, je dirais qu’il ne te reste plus qu’à m’embrasser avant que je revienne t’embêter de la pointe de mon peton… » Je me penchais vers lui, attraper le col de son t-shirt pour déposer mes lèvres sur les siennes, ce qui devait être chaste, ne passa pas du tout pour tel, au contraire, ça montait en puissance, et ma langue se mit à caresser la sienne passionnément, cette envie irraisonnée de le sentir contre moi, de me sentir entière et complète à son contact. Un besoin dévorant, qui m’emmena, à me lever d’un coup, glissant un billet sur la table, l’entrainant avec moi dehors, sous la pluie je m’en fou. « Tu vas anéantir mes bonnes décisions Alexander… » Lui soufflais-je entre deux baisers.


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MessageSujet: Re: What I Wanted To... Is to tell you.. I lo... - M. Xander Trevelyan What I Wanted To... Is to tell you.. I lo... - M. Xander Trevelyan EmptyDim 29 Sep - 19:13





   
   
   

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Du genre à couper le doigt de quelqu'un pour récupérer une bague ? Ou du genre à couper un doigt tout court ? La vu du sang me faisait tourner de l'oeil. Alors couper un doigt ? Plutôt crever ! Sans verser de sang tant qu'à faire. Bref, c'est là un détail que tout Gotham doit connaître à mon sujet. Et au delà même de la Grosse Pomme. N'ais-je pas pâli rien qu'en voyant un type se couper accidentellement avec une feuille de papier, en plein émission en direct un jour ? Oh oui, ça, ça a fait un sacré buzz. Nombreux sont ceux qui ont pas mal rit de moi. Ce dont je me fiche bien. Au moins je les fais rire, même de la sorte. C'est tout ce que je souhaite. Faire rire. Même quand c'est à mes dépends. Et là, tout perturbé que je suis par la présence même de Graziella, assise en face de moi, dans ce petit café en plein coeur de la ville qui ne dort jamais, je ne réalise même pas le sens que l'on pourrait donner à ma question. Je ne m'en rends compte qu'en sentant le pied de la très charmante blonde se loger sur ma jambe et remonter lentement mais sûrement le long de celle ci. Je me redresse et me fige soudainement, droit comme un I, toujours sur mon siège. On appelle également New-York : la ville debout. Eh bien pour être franc, il n'y a pas que la ville qui est debout, là, tout de suite. Alors que son pied continue de se presser de façon tout à fait agréable, juste , j'en lâche un léger couinement. Oui, un couinement. De l'extérieur, je dois donner l'impression de minauder comme une collégienne. Mais honnêtement, je n'y peux rien là. Je subis les soudaines lubies de Graziella. Et ... Oui, ok, je l'avoue sans mal, je le fais sans me faire prier. Quand son pied quitte enfin la partie la plus réceptive de mon corps, j'en lâche un long soupir de soulagement.

Et comme un ballon que l'on prive de l'air qui le gonfle, je me voûte légèrement et tente de faire le vide dans mon esprit. Ou de penser à un truc dégueulasse pour faire redescendre mini moi un peu plus bas. Mais c'est peine perdue apparemment. Elle me taquine, se joue de moi, apparemment désireuse de me faire réagir. L'embrasser ? J'en meurs d'envie. Mais compte tenue de la force de mon désir pour elle, ce n'est peut être pas une si bonne idée que ça. J'ai peur de perdre patience et d'envoyer valdinguer la table qui nous sépare, pour lui sauter dessus, la faire tomber de sa chaise et rouler par terre avec elle pour enfin, oh oui enfin, laisser parler nos corps. Oh putain pourquoi je suis en train d'imaginer cette scène ô combien excitante ? J'inspire et expire comme si ça peut encore me sauver. Mais je n'ai pas le temps de reprendre mon souffle, qu'elle m'attrape par le col et m'attire à elle. Mes lèvres se retrouvent fermement collées aux siennes et j'en lâche un gémissement d'aise. Oh oui ! Oh non ... Si oh si. Argh. Et je n'ai pas le temps de comprendre quoi que ce soit à ce qui est en train de m'arriver, que je me retrouve dehors, sous la pluie qui tombe fort maintenant. Je l'embrasse de plus bel, colle mon corps au sien et en tentant de marcher, je tombe à demi avec elle contre la portière d'une voiture, logeant mon corps plus étroitement encore contre le sien. Oh De Dieu ... Juste en bas, là, il y a une pression très agréable de mon corps contre le sien. Et douloureuse en même temps. Heureusement qu'il pleut en fait. Les paparazzis sortent rarement quand il pleut. On ne devrait donc pas faire la Une des magasines dès le lendemain. « Rassure moi ... T'as une voiture, hein ? » Je demande avant de réaliser que j'ai une main logée sur l'une de ses fesses et l'autre, sur l'un de ses seins. Oh ... God. Je jure que je ne leur ais pas dicté de se loger là. En fait si sans doute que si ... mais inconsciemment. Vraiment. Et non, je ne les retire pas.

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MessageSujet: Re: What I Wanted To... Is to tell you.. I lo... - M. Xander Trevelyan What I Wanted To... Is to tell you.. I lo... - M. Xander Trevelyan EmptyDim 29 Sep - 21:35

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Si c’était chaud ? Non, un café qui vient d’être fait est chaud, là, c’était à la limite du brûlant. Mes bras entouraient son cou, et lorsque mon dos rencontra la portière d’une voiture, je poussais un gémissement. Je n’arrivais plus trop à faire fonctionner mon cerveau, c’était n’importe quoi et nous allions tous les deux choper la crève avec cette connerie ! Il me demande si j’ai une voiture et je secoue la tête, je réalise que ses mains sur mes points stratégique, et je ne suis pas en reste, la jambe enroulée autour d’une des siennes, appelant à plus d’étroitesse, c’était réellement bon, mais à la fois très con de se faire arrêter pour exhibition. « Non.. Je n’ai pas de voiture… Et toi ? » Je glissais une main sur l’avant de son pantalon, avant de me dire que ce n’était vraiment pas une bonne idée, il était dur, bien motivé et attiré par moi. Je me mordis les lèvres en le repoussant légèrement. « Je suis trempée… » Réalisant ce que je venais de dire, je le regardais, m’empourprant un peu. « Enfin, ce n’est pas ce que je voulais dire, c’est le cas, enfin non, mais si, bref… Je vais choper la crève et toi aussi. Rentrons, qui est le plus proche ? Toi ou moi ? » Ma robe blanche, était devenue gentiment mais surement transparente, et les motifs de la délicate dentelle de mes sous vêtements, s’imprimaient sur le tissu de ma robe. J’avais oublié mon parapluie dans le diner, mais vu ce qu’il avait pu voir de notre étreinte, et vu que la serveuse ne me portait pas vraiment dans son cœur, je ne préférais pas y retourner. Main dans la main avec lui, je l’entrainais sur l’avenue, pour héler un taxi, qui s’arrêta assez rapidement je dois le dire. Surprise, je le regardais. « Y’a pas à dire, l’effet petite robe blanche trempée, est immédiat. » Je rentrais dans le taxi, et laissais Alex, indiqué son adresse, nous avions donc tranché, le plus proche était son chez lui, et du coup le taxi fila, tandis que mes hormones jouaient au flipper en mon for intérieur, si je m’écoutais, je serais déjà sur lui, pour continuer ce baiser, mais je préférais ne pas le regarder, ma main toujours dans la sienne, tendue comme un string. Je tournais la tête vers lui, me mordant la lèvre, me penchant vers son visage pour l’embrasser, mais c’était une terriblement mauvaise idée, je posais une main sur son visage, l’attirant à moi, et là… C’est le drame ! J’ai tellement envie de lui, que le chauffeur de taxi peut commencer à avoir des sueurs froides, bien malgré moi, je gémis à quelques instants, et je lutte contre l’envie de le déshabiller en entier là maintenant tout de suite. Heureusement pour moi, on arriva devant chez lui, je laissais Alex payer, et je sortis de la voiture, je n’entendis pas la petite blague du chauffeur, qui je pense aurait apprécié de se rincer l’œil sur nos ébats. Débraillée légèrement, trempée donc, et pas encore rassasiée, je sautais sur Alexander, enroulant mes jambes autour de sa taille, le laissant gérer de nous faire entrer et autre… Adieu contrôle !


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MessageSujet: Re: What I Wanted To... Is to tell you.. I lo... - M. Xander Trevelyan What I Wanted To... Is to tell you.. I lo... - M. Xander Trevelyan EmptyDim 29 Sep - 23:27





   
   
   

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Pas de voiture ... Pas de sexe. Pas tout à fait, certes. Mais c'est à peu près ça quand même. Je me vois mal la prendre contre le premier véhicule qui passe, sous cette pluie battante. Ce n'est pourtant pas l'envie qui manque. Il suffit de voir avec quelle passion on s'embrasse et combien on semble tenter de faire fusionner nos corps, pour comprendre qu'on ne va pas pouvoir se contenir éternellement. Je ne le veux pas de toute façon. D'accord, on s'est mit ok sur le fait que pour avoir une seconde chance, on doit tout recommencer depuis le début. Mais c'est plus fort que nous. Le désir est bien trop là, bien trop ancré en nous. Sa constatation quant au fait qu'elle est trempée, parvient quand même à m'arracher un rire. Certes, rauque et étranglé par le désir qui me tiraille de toutes parts. Mais un rire amusé quand même. C'est moi qui semble vivre le plus proche. Et c'est pour ça que je donne mon adresse quand on monte enfin dans un taxi. Je tente de ne pas zieuter dans la direction de Graziella, sachant que je suis à deux doigts d'imploser. C'est pour ça que ça remarque m'interpelle et que je réalise seulement à ce moment, que sa robe n'est plus très utile. On voit ... Tout ... On aperçoit nettement ses sous vêtements et sa peau. Et surtout ... Surtout ... Ses courbes. Oh mon Dieu. Je louche sur sa poitrine qui, oui il faut le reconnaître, a prit en volume après mon départ quinze ans plus tôt. Et pourtant, à l'époque, elle me convenait déjà très bien. Je m'électrise pour de bon quand ses lèvres reviennent à la charge et qu'elle m'attire à elle. Malgré l'étroitesse de la banquette arrière, je me retrouve à demi sur elle. Et ça joue au frotti frotta par là en bas, alors qu'en haut c'est plutôt la guerre des langues. J'ai le coeur qui bat à deux milles à l'heure. Et tellement fort, que je suis surpris qu'il ne parvienne pas à trouver le chemin de la sortie. Je gémis, je grogne, je marmonne au chauffeur de rouler plus vite. Enfin, je crois que c'est au chauffeur que je m'adresse. Je sais juste que quand la voiture s'arrête enfin, on en sort comme un diable de sa boîte. J'ai tout juste le temps de balancer des billets devant, que nous sommes déjà dehors. J'ai sans doute donné le double voir le triple de ce que je lui devais. Mais je m'en fous tellement. Je ne pense qu'au goût de sa bouche, à la pression de sa poitrine contre mon torse, à ses jambes enroulées fermement autour de moi. Et à son corps que je plaque fermement contre le mur devant ma propriété, pour me serrer plus encore contre et l'embrasser de façon presque désespérée.

Mais il pleut fort et on serait nettement mieux dans un lit. Je trouve finalement le courage d'abandonner son corps de l'une de mes mains, pour récupérer mes clés. J'actionne l'ouverture de la porte piéton et traverse l'allées en manquant me casser la figure à plusieurs reprises. Pas parce qu'elle est lourde. Mais parce que l'effet qu'elle me fait me trouble plus que de raison. Je ne sais même pas comment je parviens jusqu'à la porte d'entrée, comment je l'ouvre, comment j'arrête l'alarme et comment je referme à clé derrière nous. Je ne sais pas non plus comment je fais pour retrouver ma chambre. En tout cas, on fini par rouler sur mon lit king size. La meilleure invention de l'homme après le préservatif. Si je l'ai choisis pour mon petit confort personnel, je réalise maintenant qu'il pourra s'avérer très utile pour accueillir nos ébats à Graziella et moi. Le moins que l'on puisse dire, c'est que nous étions très imaginatifs point de vu positions et tout ça. Et là ... Là ... Bordel, d'y repenser ça me colle un énième frisson. A moins que ça ne soit le froid ? Non, le froid n'a pas encore d'emprise sur moi. Au contraire. Je me sens brûlant. Ca court dans mes veines. Ca s'empare de moi de la tête aux pieds. Et ça me rend malheureusement maladroit. Je suis quelqu'un qui a pourtant beaucoup d'expérience en la matière. Bien trop pour le coup, parce que maintenant que je suis avec Graziella, je regrette d'avoir connu d'autres femmes. Bref. J'ai beau avoir de l'expérience, là, maintenant, rien n'est calculé. Mes mains tremblent tant, que je dois m'y reprendre à trois fois pour trouver comment lui ôter sa robe. Et j'abandonne l'idée de trouver une fermeture. Je finis par la lui passer par dessus la tête. C'est difficile aussi. Elle lui colle à la peau et lui ébouriffe les cheveux. C'est pas plus mal soit dit en passant. Ces airs de sauvageonne que ça lui donne, ça me ... Oh putain ses seins ! Désireux de l'avoir totalement nue contre moi, je roule sur le lit pour la plaquer dessus et glisse une main dans son dos pour trouver les crochets de son soutiens gorge. Normalement, je sais faire ça avec une seule main. Mais là encore, je n'y arrive pas. Je perds patience et finalement, je tire un peu trop fort dessus. Tant pis. Regard rivé sur ses seins -oui, je fais une effroyable fixette sur eux-, je me redresse pour ôter mon sweat. C'est qu'il pèse son poids avec l'eau. Il fait un sprountch super romantique quand il tombe par terre. Et avant de revenir contre elle, je lui ôte son dernier sous vêtement. Et là, enfin, je peux la contempler tout à loisir, de la tête au pied. Et je suis soufflé par sa beauté.

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MessageSujet: Re: What I Wanted To... Is to tell you.. I lo... - M. Xander Trevelyan What I Wanted To... Is to tell you.. I lo... - M. Xander Trevelyan EmptySam 12 Oct - 13:36

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Ce n’était pas prémédité, pas du tout même, je voulais attendre, je voulais que l’on prenne le temps, mais non, j’avais été happé par ce qu’il était dans le présent, et par ce que nous avions partagé ensemble. Du coup, je me retrouve nu comme un ver sous lui, et c’est stressant au possible, et si je n’étais plus capable de l’aimer comme avant ? Je parle physiquement parlant. Et si en fait, notre tentative de rapprochement physique s’avérait juste catastrophique, j’ai froid d’un coup, mais le frisson qui me parcoure est bien celui du manque cruel de son contact, de sa proximité, de lui tout entier. Je me redresse et le dévêtit presque naturellement, quoique les boutons de sa braguette me donnent du fil à retordre. Il finit en caleçon, et là, cas de conscience, et si je me fourvoyais, j’angoisse clairement. Je regarde son entrejambe et relève les yeux vers lui, comprend il que je sois en train de me poser mille et une question ? Je m’arrête, une main sur son visage, à genoux en face de lui. « Je me trouve assez… enfin… Je suis très nerveuse là, c’est idiot, ce n’est pas comme si j’étais vierge, mais… je ne sais pas, c’est un peu irraisonné tout ça non ? » Lui dis-je divulguant mon stress corporel. « J’ai terriblement envie de toi, ce n’est pas la question, mais… je pensais qu’il serait mieux d’attendre tu vois, histoire de … Ben de réapprendre à se connaitre un peu, ce genre de choses, mais en fait je me rends compte que je ne pourrais pas attendre, bien que… » Je m’arrêtais reprenant mon souffle. « Je suis angoissée désolée, je me tais, on continue, je n’ai rien dit, ne t’arrête pas… » Lui dis-je finalement en jetant mon visage et mes lèvres sur les siennes. « Je suis désolée de cet interlude de discussion qui n’avait pas sa place. » Ajoutais-je entre deux baisers. « Oh putain je parle trop, Alex fais moi taire s’il te plait… » Le suppliais-je réalisant que ma diatribe verbale n’avait pas l’intention de se faire la malle présentement. J’échangeais quelques baisers tendres avec lui, me concentrant sur le toucher, sur le ressentit, apaisant doucement ce pic mal placé de tension en moi. C’était lui et personne d’autre ne me faisait cet effet là. Je ne le quittais pas des yeux, j’avais besoin de ce contact visuel, caressant son torse, redécouvrant son corps, ses nouveaux muscles, la courbe de ses épaules, la puissance de son dos. « J’ai l’impression de… je te connais, mais ne t’ai jamais vu comme ça… » Soufflais-je avec émotion, le regard brillant. « J’ai tenté tellement de fois de représenter… c’est… » J’étais émue cette fois ci, et doucement mes lèvres glissèrent sur sa peau, abandonnant les armes, la tension et le reste, juste lui et moi, dans ces retrouvailles étranges mais si cosmiques. Haletante à son oreille, la température de mon corps augmenta à ses contacts intimes, et ma main glissa finalement vers son sud, le caressant à travers le tissu, avant de lui retirer en le faisant s’allonger. Je souris doucement, timidement, il n’a pas changé tant que ça, c’est le même et c’est rassurant, un baiser sur son ventre, ma langue titillant son nombril, mes lèvres effleurant son membre en une caresse tendre, avant de doucement le prendre en bouche et lui faire perdre pied. Du moins j’espérais ne pas avoir perdu ce pouvoir sur lui et j’y mettais du cœur à l’ouvrage, écoutant son souffle, attentive à la moindre contraction de son ventre.
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MessageSujet: Re: What I Wanted To... Is to tell you.. I lo... - M. Xander Trevelyan What I Wanted To... Is to tell you.. I lo... - M. Xander Trevelyan EmptyDim 13 Oct - 13:30





   
   
   

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Je crois que je suis ... Soulagé ... Oui, savoir qu'elle est aussi nerveuse et angoissée que moi, ça me rassure. D'ailleurs quand j'y repense, je ne crois pas que j'étais aussi nerveux quand on a couché ensemble la première fois. C'était pourtant une première pour tous les deux. Mais le fait est qu'en quinze ans, on a tous les deux eut d'autres aventures, d'autres relations, couchés avec d'autres ... Et en quinze ans, on a beaucoup changé physiquement. Ce qui est loin d'être une mauvaise chose comme je peux le constater depuis que son corps est totalement dévoilé à ma vu. « Si ça peut te rassurer ... La nervosité est partagée ... » Je réponds avec sincérité, bien que j'ignore si je pourrais m'arrêter maintenant malgré ladite personnalité. Bien sûr que je crains de ne plus lui correspondre. Et c'est sans doute super con ... Mais j'ai même peur qu'elle ne me compare à d'autres types avec qui elle a couché, et que la comparaison ne me soit pas favorable. A défaut de vraiment la faire taire, je poursuis nos échanges un peu calmés. Pas par manque d'envie, loin de là ... Mais pour nous laisser le temps de nous retrouver pleinement. On couche ensemble pour la première fois en quinze ans. Il nous faut donc apprendre à nous réapprivoiser l'un et l'autre, à nous retrouver pleinement. Mais malgré un instant de tension douloureuse, ça se fait plutôt naturellement. Et je suis presque soulagé quand elle prend le contrôle de la situation en me poussant doucement pour que je m'allonge, une fois qu'elle a achevé de me dévêtir. Ca me laisse le temps de me ressaisir de mon côté. Même si, finalement, je suis très vite perdu dans un tumulte d'émotions et sensations diverses et variées. Je la laisse faire et en quelques secondes à peine, c'est déjà complètement dingue. Dans ma tête y'a cinquante voix qui chantent des hallelujah, grognent, hurlent, gémissent des "oh putain, oh putain" et des "oh oui !". Je crois d'ailleurs que je dis quelques trucs à voix haute. Des "oh mon Dieu" et des "t'arrêtes pas" qui m'échappent complètement. Ce n'est pas mon genre pourtant.

Enfin si. Avec Graziella ça l'a toujours été. Parce qu'elle sait comment me rendre totalement dingue en peu de temps. D'ailleurs, je sais que si je ne l'arrête pas, elle n'aura besoin que de quelques minutes pour me faire décoller rien qu'avec sa bouche. Et même si j'ai atrocement envie de retrouver la sensation d'une telle jouissance, ce n'est pas ce que je souhaite pour nos retrouvailles sexuelles. J'ai besoin et envie de plus. Je veux retrouver la sensation d'être en elle, de nos corps qui ne font plus qu'un. Parce que j'ai beau avoir eus plusieurs aventures en quinze ans, jamais aucune ne m'a autant transporté qu'elle. J'arrive à prendre sur moi encore quelques secondes, avant d'avoir le besoin d'inverser les rôles. C'est donc elle qui se retrouve étendue sur le lit et moi au dessus d'elle. Si je suis à bout de souffle, c'est plus parce que j'ai le coeur qui bat à deux cent battements la minute par sa faute, qu'à cause d'un quelconque effort physique. Doucement, je viens l'embrasser, et laisse ma main errer entre ses cuisses. Je finis par redresser le visage pour planter mon regard dans le sien et afficher un léger sourire. « Ferme les yeux ... » Je demande d'une voix douce. Et une fois qu'elle a obéit, je dépose un lent baiser sur ses lèvres avant de descendre à son menton, sa gorge, ses clavicules. Je parsème sa peau de mille délicats baisers, en prenant tout mon temps pour descendre. Ca c'est nous. Quand on prenait le temps tout du moins. Mais je n'ai aucun mal à faire le même parcours que par le passé. Les mêmes gestes aussi. Mes dents qui taquinent sa poitrine. Ma langue qui trace des arabesques invisibles sur son ventre plat. Les morsures délicates du côté interne de ses cuisses. Délicates mais pas tant. Quelques marques rouges sur sa peau qui ne resteront pas bien longtemps. Et finalement mes lèvres et ma langue au creux de ses cuisses. Quelques secondes. Ou plusieurs minutes. Peut être même une éternité. Tout ce que je sais, c'est que quand je me redresse, c'est pour étouffer ses gémissements d'un baiser fiévreux.

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MessageSujet: Re: What I Wanted To... Is to tell you.. I lo... - M. Xander Trevelyan What I Wanted To... Is to tell you.. I lo... - M. Xander Trevelyan EmptyDim 20 Oct - 18:02

Xander & Graziella
What I Wanted to... Is to tell you



OH MON DIEU !!!! Les yeux fermés et sa bouche, sa langue entre mes cuisses, j’ai beaucoup de mal à retenir mes envies de juste tout simplement crier ! Oui alors parce que je suis extrêmement expansive lorsque c’est admirablement fait, comme présentement. J’agrippe le drap, mais ce n’est pas assez, je me tortille sous sa dextérité, je jouis à tout rompre, et j’en demande encore plus. Il réveille la plus puissante bête endormie en moi depuis des années ! Les mains courant sur mon ventre, sur ma poitrine, titillant la moindre petite chose, la température de mon corps grimpant en flèche, c’est ce que l’on appelle se faire mettre en orbite ! Il arrête lorsque le premier orgasme me fauche, soulevant mon corps fiévreux, poussant le plus grand cri de tout les temps. Il rampe sur moi, et m’embrasse à pleine bouche. Mon dieu, c’est toi. J’y réponds le moins sagement possible, enveloppe mes jambes autour de son buste et le tourne vivement pour qu’il se retrouve sous moi, le regardant d’un air de défit, en appétit, prête à en démordre. J’attrape sa virilité, pour la loger à l’intérieur de moi, et cette sensation… Putain cette sensation surpasse tout, toutes mes expériences passées, tout le reste, tous les autres, il n’existe rien d’aussi bon, d’aussi parfait. Je commence à monter et descendre doucement d’abord, avant d’engager la seconde puis la troisième, gémissante, tremblante, recouverte de sueur qui glisse le long de ma colonne vertébrale plus les mouvements s’intensifie. Je perds le nord, le sud, je sais plus où est l’ouest, l’est est loin c’est sur, ne reste que le centre, notre union si fantastique. Je plante mes ongles dans ses pectoraux pour attester que cette intensité que je ressens va juste me transformer radicalement, et que je ne souhaite plus rien connaitre d’autre ! Contre toutes attentes et au bout d’un moment, je me retrouve sous lui, et lui intime férocement de ne pas me laisser languir, sa sortie est déjà trop longue en terme de temps. Et nous nous aimons tellement bien, tellement parfaitement, juste divin, que le second orgasme est multiplié, je crie son prénom, avant d’être parcourus de tremblements, de spasmes… Mon corps se crispe sous lui, et retombe sur le sommier. Haletante, heureuse mille fois, juste… waouh ! Je me laisse un temps plus ou moins long, avant d’attraper son visage, plongeant mon regard dans le sien. « Je t’aime. » Lui dis-je le regard brillant, le sourire jusqu’aux oreilles, et le teint rougeau d’un bon tiers sport réparateur bien que crevant. Je reste à côté de lui, nue, les bras contre ma poitrine, le regardant sans pouvoir dire autre chose, juste ce besoin de le savoir juste là près de moi, même en silence, rien que la preuve d’amour que nous venons de partager surpasse allègrement les mots. Je suis amoureuse de lui, depuis le début, et finalement j’en suis sure, je n’ai jamais cessé de l’aimer. Mes doigts caresse l’arrête de son nez doucement, pour ensuite glisser vers sa barbe, sa bouche, son menton, et je pourrais voler tellement je suis heureuse. Après une douche sensuelle et tendre, nous dînâmes ensemble, je pense qu’il me connait par cœur, assez pour savoir que s’il ne me donne pas à manger, je vais le mordre. On ne plaisante pas avec la nourriture. Vêtue de ma robe, sans sous vêtements, et d’un pull que je lui ai emprunté, assise sur le canapé, je le regarde s’affairer, et j’aime voir ce que je vois.
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MessageSujet: Re: What I Wanted To... Is to tell you.. I lo... - M. Xander Trevelyan What I Wanted To... Is to tell you.. I lo... - M. Xander Trevelyan EmptyLun 21 Oct - 23:45





   
   
   

GRAZIELLA & ALEXANDER
What I Wanted To... Is to tell you.. I lo..

Logé entre ses cuisses et faisant ce que j'ai à faire pour la faire hurler de plaisir -ce qu'elle fait sans aucune once d'hésitation pour mon plus grand bonheur-, j'ai envie d'hurler mon envie d'elle. C'est prenant, puisant, violent, destructeur. Ca semble me ronger de l'intérieur. J'ai envie d'elle. Tellement envie d'elle. Tant et si bien, que son corps a à peine le temps de se remettre de son premier orgasme, que je me redresse et me positionne au dessus d'elle pour reprendre notre baiser avec fièvre. Et quand elle me fait tomber pour se placer sur moi et me guider en elle, j'en lâche un franc gémissement. Ce n'est pas juste du soulagement ou un petit plaisir que je ressens à enfin ne faire qu'un avec elle. C'est au delà. C'est démesurément puissant. C'est un gémissement presque surpris qui m'échappe. Ce que cette sensation a pu me manquer ... Ca fait quinze ans. Quinze ans que je n'ai pas ressentis ça. Et je crois que je pourrais décoller dans la seconde. Graziella est d'abord lente sur moi. Et puis ça monte. Ca grimpe en intensité et en rapidité. Je perds de plus en plus pied et mes mains se referment sur ses hanches délicieuses, pour l'inciter à continuer toujours plus vite, toujours plus franchement. Inutile que mon regard ère un moment vers sa poitrine mis à mal par ses mouvements. Mes doigts se plantent dans sa chaire, avant qu'on ne roule sur le lit pour que je reprenne les commandes de cette étreinte tumultueuse. Je perds toujours plus pied et je ne sais plus où loger mes mains. Tantôt mes doigts empoignent vivement les draps et tirent dessus avec désespoir. Tantôt, ils se serrent autour de son corps. Ses cuisses, ses hanches, sa taille, ses bras, ses seins -surtout ses seins- et ses épaules. C'est tout juste si je ne la mord pas quand le plaisir me gagne par puissantes vagues pour finalement exploser. Aucun son ne franchit mes lèvres pourtant entrouvertes et je continue mes mouvements brusques avant de finalement me laisser tomber sur elle, corps en sueur sur corps tout autant brillant de sueur.

Peut-être que j'y vais un peu trop vivement. Heureusement, je ne lui fais pas malencontreusement mal. Mais le fait est que je ne suis pas en mesure de prêter plus attention que ça à ce genre de détail. Quand elle plante son regard dans le mien, brumeux et voilé de plaisir encore, c'est pour me souffler qu'elle m'aime. Et un sourire paresseux étire mes lèvres. « Je t’aime aussi ... » Je réponds d'une voix douce. C'est la première fois depuis quinze ans que je le dis. Et c'est normal. Naturel. Bon. Je l'aime. Putain je l'aime tellement et c'est une telle évidence. Même quand on se retrouve, un moment plus tard, pour le dîner, tout se fait tellement normalement. J'ai l'impression qu'on ne s'est pas perdus de vu au cours de ces quinze dernières années. Constat qui me fait un bien fou. Alors que je prépare notre repas, je n'ai de cesse de lui lancer quelques brefs regards. D'accord, je précise que je ne suis pas en train de cuisiner. En fait, je me contente de faire réchauffer ce que ma femme à tout faire m'a préparé. Une femme proche de la retraite, qui vient tous les matins pour faire le ménage et préparer à manger. Elle est géniale, vraiment. Et à la tête d'une famille de sept enfants. Sept garçons qui plus est. C'est sans doute pour ça qu'elle prend la peine de me préparer à manger alors qu'au départ il n'était pas question de ça. Ouais, je crois qu'elle sait quel genre de mec célibataire je suis. Et ouais, ça m'arrange. Mais là, à avoir l'esprit ailleurs sans cesse, même s'il n'est qu'à quelques petits mètres de là, je finis par rater même ça ... Faire réchauffer un plat c'est simple. Mais pas pour moi. Ca crame dans le fond. Et ça pue. J'aime pas cette odeur. Quoi qu'il en soit, je fais mine de rien et remplis deux assiettes avant de la rejoindre avec le tout. « C'est pas moi qui ais cuisiné. » Je précise comme si Graziella pouvait avoir besoin d'une telle précision.

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MessageSujet: Re: What I Wanted To... Is to tell you.. I lo... - M. Xander Trevelyan What I Wanted To... Is to tell you.. I lo... - M. Xander Trevelyan EmptyVen 1 Nov - 17:23

Xander & Graziella
I love You



Dégueulasse. Il ne l’a pas fait, et pourtant c’est tout cramé, caoutchouteux et parfaitement infâme. Je grimaçais vivement, avant de repousser l’assiette. « C’est pas bon. » Dis-je en fronçant le nez, le regardant tout en essuyant ma bouche de la serviette. « Je ne comprends pas comment tu peux louper de faire réchauffer un truc. » Je me levais prenant mon assiette, puis la sienne pour me faufiler dans sa cuisine. « Laisse-moi faire. » Je sortis du frigo des légumes, des œufs, et m’affairant, pour sortir un gratin de légumes au riz, qui normalement serait meilleur que ça. « Il y a des choses qui ne changent pas, et malgré tout, c’est une chose que j’aimais chez toi, que j’aime… tu es incapable de faire quelque chose dans une cuisine, sauf… sauf si on te retire l’obligation d’y faire à manger. » Le taquinais-je, éclatant de rire, en mettant le four à chauffer et le plat au four. « Sympa l’ilot central de ta cuisine, très… intéressant… » Lui lançais-je avec une œillade coquine, après tout il fallait bien s’occuper le temps que le repas cuise, et je pense que c’est ce que nous fîmes parfaitement bien ! Lorsque la cloche du four sonna, j’avais jouis et lui avait donné le dernier entrain vers l’orgasme. En sueur et essoufflée, j’allais récupérer le repas, nue comme un vers, le servant à table. Table qui avait été à la hauteur du fantasme. J’enfilais la robe, pour manger sans être dérangé par son regarde de sexy pervers sur ma poitrine. « Je me trompe ou mes seins, te plaisent plus maintenant que lorsque nous avions 15 ans ? J’ai l’impression que tu as du mal à les quitter du regard… » Lui demandais-je tout en mangeant avant que ça refroidisse de trop. « Tu pourrais regarder mes yeux plus souvent quand même… » Le rabrouais-je en souriant. C’était une pure taquinerie bien sur. Nous mangeâmes tranquillement, riant par moments, se parlant de tout un tas de sujets, avant que la sonnerie de mon téléphone nous coupe lors du débarrassages. « Attends un inst… » Je décrochais le téléphone. « Graziella Sullivan j’écoutes. » C’est ma phrase d’accroche lorsque je ne reconnais pas le numéro, si c’est pour le boulot ça fait plus sérieux. Je me plaquais la paume sur le front, j’avais complètement oublié cette soirée. « Non, non, je n’ai pas oublié Carrie… » Je regardais Alex en grimaçant, pas sur que la soirée lui plaise, mais je ne voulais pas me séparer de lui tout de suite. « Oui on se voit ce soir Carrie, non… oui… non. » Je rougis en le regardant. « Oui, peut être. A tout à l’heure. » Je raccrochais donc, avant de me mordiller l’intérieur de la lèvre. « J’ai oublié une soirée ce soir, je voudrais que tu viennes avec moi, par contre ne soit pas choqué… c’est un peu spécial, c’est une soirée cowboy dans un bar à rodéo connu à Dumbo (le quartier), avec certains de mes amis… est ce que… ça te dirait ? »
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MessageSujet: Re: What I Wanted To... Is to tell you.. I lo... - M. Xander Trevelyan What I Wanted To... Is to tell you.. I lo... - M. Xander Trevelyan EmptyDim 3 Nov - 12:09





   
   
   

GRAZIELLA & ALEXANDER
What I Wanted To... Is to tell you.. I lo..

Oui d'accord, je viens de faire cramer le plat que je n'ai pourtant pas réalisé moi même de A à Z. Et le pire dans tout ça, c'est le fait de faire mine de rien et de le lui servir quand même. Quel goujat je fais. Quoi que non pas vraiment. Parce que j'ai eus espoir que ça ne soit pas aussi dégueulasse que prévu. Peine perdue apparemment. C'est pas bon du tout et elle me le dit ouvertement. « C'est de ta faute ! Tu me troubles alors je passe un peu à côté de tout le reste ... » Je me plains l'air de rien. C'est vrai et faux à la fois. Vrai parce qu'elle me trouble au possible et que ça, c'est pas du tout un putain de mensonge. Et en même temps faux parce que ... Ben ouais, c'est juste la première excuse que je me suis trouvée pour expliquer ceci et cela. Si elle a bonne mémoire, elle me connait assez pour savoir tout ça. Alors je ne m'en fais pas. Et puis je la laisse prendre possession de la cuisine pour préparer un vrai repas. Je dois reconnaître que je ne me fais pas prier pour la reluquer -principalement son derrière offert à ma vue- durant tout le temps que lui prend sa tâche. Et c'est avec bonheur que je mets son fantasme à exécution sur l'îlot central de ma cuisine. Mais ça, ça va de soit. Ce qui n'était pas prévu, c'est qu'elle se trimbale ensuite dans la pièce, dans le plus simple élément.

Je ne réalise que mon regard est posé sur sa poitrine, que lorsqu'elle l'a mentionne. Je ris et hausse les épaules. « Je faisais déjà une sacré fixette sur ta poitrine à l'époque ! Mais là ... Hey, j'y peux rien si t'as pris un bonnet. Ils me donnent faim. Très faim. » Je m'exclame en gardant les yeux rivés sur ses seins. Avant de parvenir à relever la tête pour planter mon regard dans le sien. Voilà. Chacun son tour. Un coup sa poitrine, un coup ses yeux. Pas de jaloux comme ça. Et quand elle décroche son téléphone alors que nous sommes en train de débarrasser, ce sont ses fesses que je prends le temps de regarder. J'aime les jolies choses. Et pour le coup, Graziella n'est pas juste jolie. C'est le summum de la jolie'ttude. Je termine de débarrasser la table quand elle raccroche et me parle de sa soirée. Je m'adosse à la table et croise mes bras sur mon torse pour la regarder. « Tu aimes beaucoup les soirées qui sortent du commun toi, non ? » Je demande en souriant en coin. « D'accord je viens. Si tu peux promettre ma sécurité. Si une ribambelle de bimbos enragées me tombe dessus, tu sauras me défendre ? » Je demande sur un ton le plus sérieux possible. Bon je ne doute pas qu'elle peut me défendre. Encore mieux que moi même je ne le ferais. Je suis contre la violence. Elle, peut-être que si une nana se fait trop entreprenante, elle est capable de la réduire en miettes. Sexy ...

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