It's New York City bitches ! And it's my motherfucking dream
Sujets similaires
-45%
Le deal à ne pas rater :
WHIRLPOOL OWFC3C26X – Lave-vaisselle pose libre 14 couverts – ...
339 € 622 €
Voir le deal

Partagez

vladena ❝ could you tell us that we were wrong ? ❞

Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Aller en bas
AuteurMessage
MessageSujet: vladena ❝ could you tell us that we were wrong ? ❞ vladena ❝ could you tell us that we were wrong ? ❞  EmptyVen 25 Jan - 22:37

vladena ❝ could you tell us that we were wrong ? ❞  Tumblr_m61iqwwcxd1qeosjeo3_500 « Maître Shenglia, est-ce qu'une discussion autour d'un café vous irait ? Ce serait moins formel qu'à votre bureau et ce n'est pas désagréable de changer de décor » Pas du tout même. Un sourire se dessina sur mes lèvres lorsqu'elle accepta. Bien entendu, derrière mon téléphone elle ne pouvait pas le voir. « Rendez-vous dans vingt minutes au café en bas de votre bureau alors » Je la salua rapidement avant de raccrocher. Il fallait que je dépêche pour parcourir la moitié de la ville en taxi et ne pas la faire attendre. Depuis que j'avais rencontré Athena, j'étais tout... étrange. Aussi fou que cela pouvait paraître, j'avais l'impression d'enfin savoir ce qu'était un coup de foudre. Me claquant le front contre ma main, je tentais de faire sortir cette idée folle de ma tête. Il n'y avait que les filles pour croire au coup de foudre et ce n'était totalement pas mon style ! J'avais bien plus l'habitude de faire croire monts et merveilles aux jeunes femmes, de coucher avec et de les jeter. C'était ça, ma façon d'être. Bien entendu, cela ne plaisait pas mais alors pas mais alors du tout mais ça, je m'en fichais bien ! Enfilant un t-shirt décontracté, un blaser par dessus et un jean foncé, je fila rapidement vers l'upper east side. Vu l'heure qu'il était j'allais finir coincé dans les bouchons... Ce qui ne manqua pas ! Grognon comme souvent je l'étais, je m'énervais après le conducteur du taxi qui n'y pouvait rien. J'avais beau répéter que j'avais un rendez vous important, cela ne changerait rien. Soufflant, je ferma les yeux quelques secondes. Je venais pour un rendez-vous professionnel et cela devait rester professionnel du moins, autant que possible. Rien ne m'empêcher de lui poser deux trois questions personnelles et voir si la jeune blonde allait répondre favorablement ou me recadrer comme elle pourrait le faire. Étrangement, le pouvoir qu'elle pouvait avoir sur moi me rendait encore plus désireux de la retrouver et de lui payer un café dans un bar plutôt branché de la ville. Après tout, elle travaillait dans le quartier huppé de New York, autant dire que ses attentes n'étaient pas ridicules, loin de là même.

Arrivant enfin au café, je paya rapidement le conducteur du taxi – lui jetant le billet à moitié dessus – et réajusta mon blaser. Il fallait que j'ai l'air présentable. M'installant à une table, je souffla légèrement en la voyant traverser la rue au moment même. Je n'étais pas en retard dieu merci. Lui faisant signe, je me leva rapidement de ma chaise et lui serra la main avant de lui tirer la chaise pour qu'elle s'installe. En face d'elle, je lui fis un léger sourire. « Comment allez vous aujourd'hui ? Pas trop fatiguée par des clients aussi ennuyeux que je peux l'être ? » Je lui souris légèrement. J'étais vraiment un cas ennuyant quand on y pensait... Une andouille s'amusait à se faire passer pour moi sur la toile et, pour le faire, il passait par un cyber café. Autant dire qu'il était plus ou moins impossible de le retrouver... Du moins, c'était ce que je pensais mais je faisais confiance à la jolie blonde pour me sortir de ce pétrin...
Revenir en haut Aller en bas
MessageSujet: Re: vladena ❝ could you tell us that we were wrong ? ❞ vladena ❝ could you tell us that we were wrong ? ❞  EmptySam 26 Jan - 14:07

vladena ❝ could you tell us that we were wrong ? ❞  Tumblr_mea97lvWdW1qabpcho1_500
J'étais totalement à bout de force et sur les nerfs depuis deux jours, ce qui ne m'empêchait pas de me rendre au travail - bien au contraire. Complètement paniquée par la réaction que pouvait avoir Aaron, je me tuais à rester au bureau et à trouver de quoi avancer pour ne pas avoir à rentrer plus tôt. Ça aurait pu être simple, il y a deux deux semaines nous étions encore complètement débordée, mais Sephora avait suggérer d'engager une nouvelle personne parce qu'elle allait se faire absente à cause de son accouchement. J'étais complètement contre dans un premier temps mais à présent, enceinte moi aussi, je me disais que ce n'était pas une si mauvaise idée. Toujours est-il qu'Ana bossait dur hors je rêvais d'être submergée pour avoir autre chose à quoi penser. Lorsque mon portable professionnel sonnait, je sautais dessus comme si celui-ci était une bouée de sauvetage qu'on venait de m'envoyer. « Maître Shenglia, est-ce qu'une discussion autour d'un café vous irait ? Ce serait moins formel qu'à votre bureau et ce n'est pas désagréable de changer de décor » Fronçant les sourcils, j'hésitais une fraction de seconde, tenant à rester à 00% professionnelle pour l'image de notre toute nouvelle compagnie mais j'en avais grandement besoin et pensais donc à moi avant tout. « Rendez-vous dans vingt minutes au café en bas de votre bureau alors » Je ne pus m'empêcher de sourire en déposant le téléphone sur mon bureau, heureuse de m'échapper d'ici sans avoir à craindre qu'on me pose quelconques questions sur mon changement de comportement. Quelque chose me tracassait et pour mes proches, ça sautait sans doute aux yeux, résultat j'évitais tout le monde mais ça ne devait pas être le cas avec mes clients. Je pris le temps de clôturer un dossier et de prévenir Ana que je m'absentais avant de descendre pour le rejoindre, consciente que j'avais sans doute perdu le fil du temps en travaillant sur ce dernier et que j'étais donc en retard.

Son dossier à la main, je traversais la rue en prenant soin de ne pas aller me caser la figure sur une plaque de verglas - il ne manquerait plus que ça! - et le rejoignait au café, posant le bloc que le coin de la table pour lui tendre la main. Ce geste me paraissait presque étrange en sa compagnie, hors il était simplement conventionnel et normal. Je lui adressais un sourire de remerciement lorsqu'il tirait ma chaise et m'installais sur celle-ci tout en retirant mon manteau pour dévoiler ma tenue on ne peut plus banale, puisque j'étais en jupe-tailleur chaque jour. « Comment allez vous aujourd'hui ? Pas trop fatiguée par des clients aussi ennuyeux que je peux l'être ? » Fronçant les sourcils, j'agitais la tête négativement. « Tout va bien et vous? Croyez-moi, j'ai bien pire! » dis-je en lui adressant un nouveau sourire. Je faisais une pause pour commander un jus de fruit au serveur, réalisant que j'ignorais si la caféine pouvait être un danger pour le bébé ou non, je n'avais pas encore consulter de site pour savoir les choses à éviter et n'était pas très informée. « Je suis heureuse de vous voir, j'ai du nouveau... enfin ne nous emballons pas, c'est loin d'être résolu, on a pas encore de piste concrète mais croyez moi, ça viendra. » Il était hors de question que je rate ce cas, que j'en rate tout simplement puisque je ne supportais pas l'échec. Ce dossier était délicat dans le sens ou nous ignorions l'identité de la personne que nous attaquions, ce pourquoi j'étais forée de travaillé en collaboration avec la police.
Revenir en haut Aller en bas
MessageSujet: Re: vladena ❝ could you tell us that we were wrong ? ❞ vladena ❝ could you tell us that we were wrong ? ❞  EmptyDim 27 Jan - 18:03

Depuis quelques temps, tout me tombait sur le coin de la figure. Cela faisait deux trois petites semaines que je flirtais avec une gamine et j'avais récemment appris que cette chère jeunette n'était personne d'autre que la sœur de ma grand frère. Le choc avait été horrible pour moi et j'avais donc décidé de couper les ponts à la minute même où je l'avais appris. Heureusement que je n'avais pas couché avec elle ou autre. Rien que de penser que j'avais embrasser quelqu'un qui était plus ou moins ma petite sœur me dégouttait. C'était comme si j'avais embrassé Laura ! Un large frisson de dégoût me parcouru et je préféra me concentrer sur autre chose et cette autre chose n'était rien d'autre que mon avocate. La jeune Athena était tout ce qu'il y a de plus agréable à regarder et elle m'aidait à retrouver le fumier qui me faisait vivre un enfer – et perdre des clients – depuis quelque semaines déjà. Le saligot se faisait passer pour moi, écrivant des nouvelles et contes tous plus infâmes les uns que les autres, ce qui ne plaisaient pas aux parents qui ne voulaient plus acheter mes œuvres. Je perdais tellement d'argents que mon agent m'avait forcé à prendre un avocat avant de faire justice moi même et de me retrouver en garde à vue. Je ne donnais pas cher de la peau de la personne qui se jouait de moi. Mon père n'était pas au courant de cette histoire – puisque personne ne connaissait mon activité d'écrivain – et il valait mieux que cela reste ainsi. C'était d'ailleurs aussi une de mes motivation à sortir la jeune avocate de son bureau. Au moins, personne ne pouvait me voir et tout raconter à mon paternel. Assis en face d'elle, je lui souris lorsqu'elle me demanda comment j'allais. Franchement, ça pourrait aller mieux, beaucoup mieux mais je n'avais pas à me plaindre non plus. Ce petit problème de plagiat/usurpateur d'identité serait bientôt qu'un mauvais souvenir, j'en avais l'intime conviction. « Ca va bien... Mais je dois avouer que ça ira mieux lorsque celui qui se joue de moi aura fini son cirque » Je ne lui mettais pas la pression, loin de là même, mais j'avais tellement envie d'étriper cet abruti... C'était plus fort que moi, je le voulais face à moi, les yeux pleins de larmes à s'excuser. Je pouvais être mauvais quand je le voulais et celui là ne s'en sortirait pas à l'aide d'une petite pirouette. Commandant un café au serveur, je me tourna vers la jeune femme. J'espérais qu'elle avait du nouveau... « Je suis heureuse de vous voir, j'ai du nouveau... enfin ne nous emballons pas, c'est loin d'être résolu, on a pas encore de piste concrète mais croyez moi, ça viendra. » un léger sourire se dessina sur mes lèvres. Il ne fallait peut être pas se réjouir trop vite mais si elle m'en parlait c'est que cette information n'était pas 'rien'. Remerciant le serveur pour les boissons, je dis « Qu'avez vous de nouveau alors ? On va réussir à l'avoir ce petit con ? Je suis désolé de mon vocabulaire mais toute cette histoire me dépasse ! Les gens n'ont vraiment que ça à faire de leur vie ? » Question purement rhétorique. Personnellement, j'avais bien d'autres chats à fouetter et j'aurais préféré écrire plutôt que de passer de nombreuses heures chez l'avocate. Bien que cela ne me gênait pas vraiment quand je voyais la jeune femme qui s'occupait de mon dossier. Comme quoi, on peut faire des rencontres intéressantes partout...
Revenir en haut Aller en bas
MessageSujet: Re: vladena ❝ could you tell us that we were wrong ? ❞ vladena ❝ could you tell us that we were wrong ? ❞  EmptyLun 28 Jan - 22:17

vladena ❝ could you tell us that we were wrong ? ❞  Tumblr_mea97lvWdW1qabpcho1_500
Je refusais généralement les rendez-vous en extérieur parce que je les trouvais moins professionnel mais là, j'en avais grandement besoin alors je n'allais pas me la jouer difficile. De plus, faire venir Vladimir au bureau ne nous aidait pas forcément étant donné que je n'avais encore rien de concret pour nous avancer. J'étais d'ailleurs heureuse d'avoir accepté en voyant le sourire de mon client lorsque j'apparaissais, au moins quelqu'un qui semblait heureux de me voir – et ça allait se faire de plus en plus rare, j'en étais persuadée. « Ca va bien... Mais je dois avouer que ça ira mieux lorsque celui qui se joue de moi aura fini son cirque » Je lui adressais une petite moue compréhensive. J'ignorais ce que c'était de se voir voler son identité, son travail et tout le mérite qui en découlait et sincèrement je préférais ne même pas imaginer ce que je ressentirais, moi qui aimait tant la reconnaissance de mes clients lorsque je gagnais un cas. Ce n'était pas uniquement pour ça que je faisais ce métier mais il fallait admettre que c'était un excellent bénéfice que j'obtenais en fin de course en plus de la satisfaction personnelle. Dans le cas de Vladimir c'était différent puisqu'il ne postait pas sous son vrai nom mais cette personne salissait son image, ce qui était bien suffisant comme raison pour vouloir l'arrêter au plus vite. « Qu'avez vous de nouveau alors ? On va réussir à l'avoir ce petit con ? Je suis désolé de mon vocabulaire mais toute cette histoire me dépasse ! Les gens n'ont vraiment que ça à faire de leur vie ? » Je haussais les épaules, incapable de lui répondre. Sincèrement pour quelles raisons cette personne se faisait passer pour lui? Nous n'en savions rien et honnêtement je m'en moquais, mon but étant de l'arrêter dans ses démarches, quelles que soit ses motivations. « Tout ce qui a été posté sous votre pseudo a été analysé et il ou elle a utilisé le même cybercafé 4 fois sur 7. La police a fait placer un registre obligatoire avec dépôt d'un papier d'identité pour savoir les personnes qui entrent ainsi que l'appareil qu'elles utilisent. » Je n'avais pas eut le choix de faire appel aux autorités puisqu'en tant qu'avocate je ne pouvais pas faire grand-chose contre une personne sans avoir son identité. « En somme, on doit espérer qu'il ou elle poste quelque chose rapidement – du même endroit - et dés que nous l'avons, vous pourrez déposer plainte et on commencera à préparer le dossier pour le procès. » J'avais déjà rassemblé les textes falsifiés et un maximum de choses mais tant que nous ne savions pas qui était cette personne, je ne pouvais forcément pas l'attaquer. « Je sais que ça paraît un peu vague, malheureusement nous dépendons de lui. Tant qu'il ne se décide pas à faire une nouvelle publication, nous n'avons aucune chance de l'avoir, il va falloir être patient. » Ou pas, si la personne en question fautait dés demain mais ça nous n'en savions rien, c'était une question de chance ou plutôt de hasard. Et encore… nous avions le risque qu'il se doute de quelque chose et change de cybercafé en voyant les nouvelles mesures prises dans celui dans lequel il avait l'habitude de se rendre. Je ne me faisais pas trop de soucis à ce niveau là, sachant qu'un papier d'identité pour utiliser du matériel aussi cher qu'un ordinateur semblait plutôt logique.
Revenir en haut Aller en bas
MessageSujet: Re: vladena ❝ could you tell us that we were wrong ? ❞ vladena ❝ could you tell us that we were wrong ? ❞  EmptyMer 30 Jan - 22:44

Ecoutant la jeune femme, mon sourire grandissait un peu plus chaque minute. Il y avait une chance sur deux de foutre cette pourriture derrière les barreaux, ou du moins l'obligé à arrêter cette activité. Je n'y connaissais pas grand chose en matière de droit, d'obligations et tout ce qui allait avec mais j'avais l'intime conviction que la jolie blonde faisait son maximum pour m'aider. Faire intervenir la police était sûrement la meilleure des choses à faire et je m'en voulais presque de ne pas y avoir pensé plutôt. J'aurais très bien pu porter plainte contre X au lieu d'embêter la jeune avocate. Enfin sans ma démarche 'juridique' je ne l'aurais sûrement rencontré. Je ne pouvais pas dire ce qu'il se passait mais, pour la première fois depuis longtemps, je n'avais pas juste la salle envie de la mettre dans mon lit, comme c'était le cas avec toutes les autres femmes, ou presque. Marié, fiancée ou célibataire, cela ne me gênait en temps normal mais là, c'était différent. Je sentais mon palpitant accélérer légèrement et je tentais de le calmer en me pinçant la cuisse. Mais qu'est-ce que j'avais à réagir comme un ado pré-pubère ? Une jeune femme comme elle devait avoir un petit ami, c'était clair et net. Souriant, je dis « Ca m'a l'air être une très bonne approche effectivement. Il n'y a plus qu'à espérer qu'il ne contourne pas les règles en se servant de faux papiers. New York est le lieu parfait pour se procurer de faux papiers » Vladimir ou l'homme qui détruit un château de carte plutôt stable en trente secondes. Je m'en voulais presque de lui dire cela mais c'était vrai. Et si cet enfoiré avait pris mon identité – réelle, on s'entend – pour faire ses petites magouilles ? Je me demandais de plus en plus si ce n'était pas quelqu'un de ma famille, de mon entourage. Très peu de monde savait pour mon activité d'écrivain. J'avais soigneusement pris toutes les précautions pour que personne ne sache ce que je faisais à côté de mes études et du fait que je gère – avec une efficacité sans précédent – le strip club que j'avais acheté il y a quelques années maintenant. Autant le dire, la cape de 'super écrivain' pour enfant et celle d'ancien strip teaseur ne faisaient vraiment pas bon ménage. Il fallait que je sépare mes activités pour éviter tout préjudice. Des fois, je me répétais que je ferais mieux d'en arrêter une mais je ne savais pas laquelle choisir. J'aimais écrire, c'était ma façon de m'exprimer mentalement et, lorsque je prenais place au strip club – puisqu'il m'arrivait de remplacer des employés malades – je me sentais vivre. Je me revoyais à Paris à vivre de sexe et d'alcool. Cette vie me manquait tellement, je devais bien l'admettre. Remerciant le serveur pour les boissons, je regarda la belle blonde en face de moi et dis « J'espère que tout cela sera fructueux en tout cas. Je n'aime pas faire perdre du temps aux gens. En tout cas, merci d'avoir pris mon cas, vous êtes une très bonne avocate » Un bon nombre de portes s'étaient fermés lorsque j'avais énoncé les faits de mon petit cas juridique. C'était trop vague, trop fastidieux et je ne sais quoi. J'étais donc bien heureux d'être tombé sur la jeune femme. Je bus une gorgée de ma boisson avant de la poser sur la table et de coincer mes doigts dans l’anse de la tasse. Je profitais de la chaleur de la tasse, léger sourire sur les rêves. « Bon et sinon, comment allez-vous ? Je ne veux pas me la jouer intrusif mais avec ce froid de canard, vous n'avez pas encore glissé ? » Les avocates étaient toujours perchés sur leurs talons alors bon, on sait jamais... C'était une façon plus que banal d'engager la conversation, je le savais bien mais j'étais nerveux, ce qui ne me ressemblait guère en temps normal...
Revenir en haut Aller en bas
MessageSujet: Re: vladena ❝ could you tell us that we were wrong ? ❞ vladena ❝ could you tell us that we were wrong ? ❞  EmptyJeu 7 Fév - 22:11

Au fond, je réalisais que j'aurais peut-être du lui parler de mon envie de contacter les autorités avant de le faire, dans le cas ou cela ne l’intéressait pas. Comme toujours, j'avais pourtant agis de la manière la plus habile de procéder selon moi, en oubliant les objections de mon client, je n'avais donc plus qu'à prier pur que ça ne lui pose aucun problème. En contactant un avocat, il y avait de toute façon toujours de grande chance que la justice soit mêlée au cas à un moment, ou il fallait faire appel à un détective privé. Je ne pus m'empêcher de froncer les sourcils lorsqu'il évoquait de possibles faux papiers. Vladimir ne venait pas d'émettre une hypothèse à laquelle je n'avais pas pensé mais il avait l'air de s'y connaître sur l’obtention de nouveau papiers ce qui était assez étrange. « Ah oui ? Je ne suis pas bien renseignée à ce niveau là, je n'ai encore jamais envisagé de fuir le pays! Mais n'en dites pas plus. » Précisais-je, juste dans le cas ou il avait déjà eut recours à ce genre de méthode : je ne voulais pas le savoir. Parce que si c'était le cas, je chercherais et le ferais coffrer pour de tels agissements, pour la bonne et simple raison que j'avais prêter serment. Je n'arrêtais pas des criminels pour d'autres criminels même si malheureusement, il m'était arrivé de défendre les mauvaises personnes et de leur apporter la victoire, ce pourquoi j'étais payée. « Je l'espère aussi, je vous rassure, je déteste également perdre mon temps... Et surtout faire perdre celui des autorités. Le cabinet voit tout juste le jour, on a pas le droit à l'erreur. Croyez-moi que je ferai tout mon possible jusqu'à ce qu'il paye. » Tant pour lui que moi, je n'allais pas mentir à ce sujet. J'étais une vraie combattante, j'abandonnais rarement et détestais l'échec, ce qui était une qualité dans mon métier mais un énorme défaut dans la vie de tous les jours. Toujours est-il qu'en dehors des motivations personnes, j’espérais sincèrement pouvoir l'aider afin qu'il reprenne le cours de sa vie.

Vladimir - ayant mon âge j'avais bien du mal à penser "Monsieur Szadowski"- ne me paraissait pas forcément à son aise, ce qui ne me plaisait pas beaucoup. J'ignorais la raison et espérais sincèrement qu'il ne doutait pas complètement de mes compétences, j'étais jeune certes mais sans prétentions, je savais parfaitement ce que je faisais. Sa question me surpris, au point que je ne pus cacher mon sourire, n'ayant pas vraiment l'habitude que les client s'inquiète de mon état. « Ça va. J'essaye d'être prudente, ce n'est vraiment pas le moment de tomber mais on est jamais à l’abri perché là-dessus. » Dis-je tout en désignant mes pieds. Oh que non, ce n'était pas le moment, même si je regrettais déjà de l'avoir précisé, je n'avais parlé du bébé à personne, ce n'est surement pas l'un de mes clients qui allait l'apprendre en premier. Sa présence m'apaisait pourtant sans que je puisse l'expliquer, me permettant de me décontracté pour la première fois en deux jours. « Et vous en dehors de cette histoire de plagiat? J'ai eut le temps de faire quelques petites recherches, vous avez une vie bien remplie, ça ne doit pas être facile de gérer tous les jours? » Je savais qu'il possédait un club de striptease et qu'il étudiait en même temps, sans compter son écriture, ça faisait une vie bien chargée pour un jeune homme de 24 ans. Je savais également que son nom n'était pas inconnu en Russie, qu'il était même redouté, pour la bonne et simple raison que mon propre cousin - et ex fiancé - était indirectement impliqué dans la Mafia par son père, mais j'avais espoir que tout comme Maël, Vladmiir ne prenait pas part à ces saloperies.
Revenir en haut Aller en bas
MessageSujet: Re: vladena ❝ could you tell us that we were wrong ? ❞ vladena ❝ could you tell us that we were wrong ? ❞  EmptySam 9 Fév - 1:08

« Ah oui ? Je ne suis pas bien renseignée à ce niveau là, je n'ai encore jamais envisagé de fuir le pays! Mais n'en dites pas plus. » un léger sourire se dessina sur mes lèvres. Je n'allais pas lui dire d'où je détenais cette information, il ne fallait pas rêver non plus. Je n'y avais jamais eu recours pour la simple et bonne raison que je n'avais pas peur de montrer qui j'étais mais il était courant de voir les jeunes avoir recours à ces méthodes pour pouvoir boire dans les bars. J'aimais les Etats-Unis mais il fallait admettre que la limite d'âge à vingt et un était un peu craignoss. Pourquoi autoriser le permis à seize ans mais l'alcool à vingt et un ? Il ne faut pas se voiler la face : si les jeunes veulent le permis c'est pour sortir et faire la fête avec leurs amis, sûrement pas pour se tourner les pouces et jouer au domino le vendredi soir. « Je l'espère aussi, je vous rassure, je déteste également perdre mon temps... Et surtout faire perdre celui des autorités. Le cabinet voit tout juste le jour, on a pas le droit à l'erreur. Croyez-moi que je ferai tout mon possible jusqu'à ce qu'il paye. » Je lui fis un léger sourire en entendant sa détermination. Cela était plaisant à attendre, je devais bien l'admettre. Ni elle ni moi n'avions du temps à perdre sans compter que la très légère ancienneté de son cabinet la mettait un peu en retrait face aux géants de New york. Au moindre faux pas, les autorités ne prendraient plus la peine de les aider. Elle avait gros à perdre, nous avions gros à perdre et cela nous mettait sur la même longueur d'onde, chose qui n'était pas plus mal quand j'y pensais. Ce petit 'point commun' me faisait doucement sourire. Je n'étais pas tombé sur une écervelée et encore moins quelqu'un qui abandonnait facilement. Il y avait tant d'avocats qui, au premier obstacle, pliait bagages et faisait demi tour. J'en avais croisé tellement dans ma vie. Mon père était loin d'être un homme bien et il avait une ordre d'avocats à ses trousses. Il avait longuement cherché pour se fonder sa petite équipe de chien-chien et ne changerait pour rien au monde. « Et vous en dehors de cette histoire de plagiat? J'ai eut le temps de faire quelques petites recherches, vous avez une vie bien remplie, ça ne doit pas être facile de gérer tous les jours? » J'haussais légèrement les épaules. J'avais le temps pour tout. Depuis mon plus jeune âge, on m'avait appris à être carré et à tout faire en temps et en heure, j'vais donc l'habitude de jongler entre le boulot, l'écriture et les cours. Sans compter la facilité – parfois déconcertante – que j'avais à écrire. Il me fallait deux petites heures pour faire mes dissertations, j'avais l'habitude d'écrire après tout. « Je m'en sors, c'est l'important je pense. Les cours ne prennent pas beaucoup de temps et c'est quelque chose qui me passionne donc cela aide beaucoup. J'arrive même à faire des grasses matinées, c'est pour dire » Elle devait savoir pour le strip club mais je n'avais pas vraiment envie de parler de ça avec elle. Je préférais en apprendre un peu plus sur elle. « Enfin, vous dites ça mais être avocate ne doit pas être facile tous les jours non plus. Bosser ses dossiers, rédiger les comptes rendus et les plaidoyers.. Tout ça est un sacré boulot ! » J'en savais beaucoup sur le métier d'avocats et ce, contre mon gré. Je ne pouvais même plus dire combien j'en avais vu défiler à la maison. « On est des habitués des avocats dans la famille. Enfin, dans mon cas, ce n'est pas pour me défendre d'un fait passible d'une peine de prison » Je grimaça légèrement. Dire ça n'était peut être pas la chose la plus intelligente qui soit, mais alors pas du tout. Mon père était plongé dans la mafia depuis sa plus tendre enfance et il tentait de faire pareil avec moi. Il tentait oui parce que je ne mordais plus à son petit jeu. Petit, j'avais été tellement 'fan' de mon père mais depuis le suicide de ma mère, c'était l'inverse. Aujourd'hui, j'étais un jeune indépendant et je ne voulais pas me prendre la tête avec mon père ni parler de lui, pas aujourd'hui et pourtant, j'avais lancé le sujet... Dieu que je m'en voulais !
Revenir en haut Aller en bas
MessageSujet: Re: vladena ❝ could you tell us that we were wrong ? ❞ vladena ❝ could you tell us that we were wrong ? ❞  EmptyLun 25 Mar - 3:46

Le fait que son père soit dans la mafia - ce que j'avais appris très rapidement - m'avait légèrement freinée, me donnant même envie de refuser son cas. A l'instant même ou je l'avais découvert, j'avais eut envie de prendre mon téléphone pour lui dire que je déclinais finalement son cas, que je ne pouvais rien pour lui mais j'avais fini par prendre sur moi. Son père était le genre de personne que je méprisais mais j'imagine que ça influençait déjà sa vie de bien des manières, il était inutile d'en rajouter. Après tout, j'avais été fiancée à Maël qui était exactement dans le même cas que Vladimir, pire puisqu'en plus d'être son père, cette personne s'avérait être mon oncle aussi. Je ne voulais rien savoir sur lui, ne surtout pas être impliquée dans ce genre de vie mais que je le veuille ou non, j'étais de loin concernée. Résultat, même si je tenais à sauver ma peau de ce délire, j'avais refusé de laissé tomber mon client, chose que je ne regrettais pas. « Je m'en sors, c'est l'important je pense. Les cours ne prennent pas beaucoup de temps et c'est quelque chose qui me passionne donc cela aide beaucoup. J'arrive même à faire des grasses matinées, c'est pour dire » Levant les sourcils, je lui adressais un sourire, contente de voir que ça lui plaisait alors que je l'imaginais plutôt débordé. Bien que j'aie adoré étudier le droit, j'étais à présent bien heureuse d'avoir quitter les bancs de l'université pour me retrouver sur ceux du tribunal, ce qui était bien plus excitant même si l'on devait bien passer par la case étude pour y parvenir. « Enfin, vous dites ça mais être avocate ne doit pas être facile tous les jours non plus. Bosser ses dossiers, rédiger les comptes rendus et les plaidoyers.. Tout ça est un sacré boulot ! » Je hochais la tête positivement pour lui confirmer, levant les yeux au ciel comme pour représenter la montagne de travail que cela représentait. Être avocate était une chose, décider un peu sur un coup de tête d'ouvrir mon propre cabinet en était une autre, qui me prenait plus ou moins chaque minute de mon existence en ce moment. « On est des habitués des avocats dans la famille. Enfin, dans mon cas, ce n'est pas pour me défendre d'un fait passible d'une peine de prison » Je grimaçais, imaginant qu'il faisait référence à son père. Devais-je jouer la naïve ou lui faire comprendre que j'en savais bien assez sur eux? Je n'en avais aucune idée et refusais de mettre un froid entre eux s'il estimait que j'avais poussé mes recherches trop loin. « C'est loin d’être facile c'est sur ! Ma vie se résume au boulot pour l'instant... Mais bon, posséder mon propre cabinet, c'était mon rêve et honnêtement je ne pensais pas l'atteindre un jour, ça vaut le coup de sacrifier quelques heures de sommeil. » De sommeil, de ma vie en fait qui était entre parenthèse pour le boulot, mais plus pour longtemps. J’espérais bien continuer à travailler jusqu'à la fin de ma grossesse sans avoir à ralentir le rythme - du moins le stricte minimum - mais je savais que la fatigue finirait par me gagner, pour la bonne et simple raison que j'étais déjà épuisée à ce jour. « Je suis née en Géorgie mais on est russes à la base. » Commençais-je, incapable de me taire. « J'imagine que mon oncle est en étroite relation avec ton père... » Insinuais-je, pour lui faire comprendre que je savais. Je savais pourquoi ce mystère, pourquoi ces faux papiers et ce besoin d'avocats autour d'eux... jouer l'ignorante n'avait jamais été pour moi, quitte à me mettre des gens à dos. « Enfin, ça ne nous concerne pas. » Concluais-je, avant de l'observer en haussant un sourcil, attendant qu'il me le confirme. Je voulais être certaine qu'il ne baignait dans ce genre de délire lui aussi, qu'il ne prenait pas part aux activités de son père car j'avais assez donné. Il était trop tard pour refuser son cas mais encore temps de prendre mes distances. Notre conversation devenant plus amicale que professionnelle, je tenais à m'assurer de la personne qu'il était vraiment.
Revenir en haut Aller en bas
MessageSujet: Re: vladena ❝ could you tell us that we were wrong ? ❞ vladena ❝ could you tell us that we were wrong ? ❞  EmptyDim 14 Avr - 23:45

ça ou rien c'est la même... rappel moi de te dire mon idée de prochain rp plus 'à jour' sur skype quand j'me co !

Discuter avec Athena était agréable, vraiment. Je ne pouvais pas dire pourquoi ni comment mais je me sentais bien en sa compagnie et c'était quelque chose d'inédit pour moi. Je n'avais pas pour habitude d'être très loquace, surtout pas avec une femme mais avec elle, c'était différent. Je ne connaissais pas grand chose pour ne pas dire rien de sa vie mais je faisais avec. Autant dire que l'invité à boire un coup avait été risqué mais elle avait fini par accepter et cela m'avait fait plus que plaisir ! C'était étrange de faire une réunion 'importante' dans un café mais je n'étais pas fanatique des lieux clos, encore moins des bureaux. En nous voyant ici, n'importe quel citoyen (ou mon père) pouvait croire que nous étions deux jeunes gens en quête d'une nouvelle aventure ! Personne ne pouvait se douter de ce que nous fabriquions ensemble et ce n'était pas plus mal. Personne, ou presque, ne connaissait mon activité d'écrivain de conte pour enfants et je voulais que cela reste ainsi. Mon activité de strip teaseur était un peu plus connu et je ne voulais pas qu'on m'assimile à un pervers ou je ne sais quoi. J'aimais mon corps et j'aimais en faire profiter à la gente féminine, je ne voyais pas le problème. Enfin, il y en aurait sûrement un pour la jeune femme ou pour toute jeune femme avec qui je pourrais tenter de fonder quelque chose. À vrai dire, rien que de penser à une relation stable, mes poils s'hérissent sur mes bras et dans mon dos. Je ne voulais qu'aucune demoiselle se retrouve dans la position dans laquelle ma mère avait été. C'était pour cela que j'évitais mon père comme la peste mais il était tenace. Il me voulait à ses côtés, dans l'entreprise familiale et il n'allait pas lâcher le morceau. Jamais il ne mêlerait Laura à ça mais moi, c'était tout autre chose. Autant dire que fonder une famille relevait du suicide. Comme fricoter avec une avocate et pourtant cette envie me démangeait un peu plus chaque minute que dieu faisait. J'avais bien envie d'inviter Athena à un dîner ou un déjeuner, pour quitter le cadre avocat/client et en apprendre un peu plus l'un sur l'autre. Enfin, surtout que j'en apprenne plus sur elle parce que je me doutais bien qu'en avocate digne de ce nom, elle avait du faire des recherches sur mon passé, ma famille et mon histoire. Une mère suicidaire, un père complètement fou et une famille éclatée aux quatre coins de la planète. Ah non, mon grand frère et ma jumelle vivaient New York City. « C'est loin d’être facile c'est sur ! Ma vie se résume au boulot pour l'instant... Mais bon, posséder mon propre cabinet, c'était mon rêve et honnêtement je ne pensais pas l'atteindre un jour, ça vaut le coup de sacrifier quelques heures de sommeil. » Certes, je ne pouvais pas la contredire là dessus puisque j'étais le premier à écourter mes journées pour pouvoir faire fonctionner mon business au maximum. Mon bar – strip club la nuit – était au nom de Dante mais j'étais celui qui s'en occupait le plus. Il faut dire les choses comme elles sont, nous sommes tous les deux dans le monde du travail et nous réussissons plutôt bien, si on ne compte pas mon usurpation d'identité. « Je suis d'accord avec vous mais il ne faut pas oublier les loisirs et le plaisir pour autant ! J'adore ce que je fais, je suppose que vous aussi mais j'aime bien profiter de mon temps libre. En plus, les beaux jours arrivent » L'été est une notion un peu trop abstraite à mon goût. Passer quatorze ans de sa vie en Russie n'est pas la meilleure chose qui puisse exister pour prendre le soleil. Les beaux jours arrivent, les robes des jeunes femmes perchées sur leurs talons hauts, les cocktails en terrasse. J'attendais cette période avec impatience ! Ce serait peut être le moment de découvrir la jeune femme sur un autre jour, si elle ne se découvrait pas maintenant. « Je suis née en Géorgie mais on est russes à la base. J'imagine que mon oncle est en étroite relation avec ton père... » La regardant, j'arque un sourcil par méfiance. Son oncle, mon père en étroite relation ? Doux jésus. Je déglutis avec difficulté. Bien entendu, elle avait fait ses recherches et mon père était un homme connu dans le monde de la mafia mais savoir que nos familles étaient toutes les deux dans ce monde, c'était un peu trop pour moi. Elle semblait être dégoûte par cela mais j'avais vu bien trop de jeunes femmes jouer les dédaigneuses et courir comme des sangsues autour de mon père parce que qui dit mafia, dit argent à profusion. « Enfin, ça ne nous concerne pas. » Un léger sourire se dessina sur mes lèvres et j'acquiesça rapidement. C'était peu dire. Tous les délires ne la concerne pas et moi non plus par la même occasion ! « Je ne suis pas franchement en bon terme avec mon père. Ses affaires restent ses affaires et je ne veux pas y être mêlé de prêt ou de loin. Il m'a déjà arraché ma mère, c'est assez comme ça. En tout cas, la Georgie est un très beau pays pour l'avoir visité à de nombreuses reprises » Un léger sourire se dessina sur mes lèvres. J'espérais réellement qu'elle gobe tout cela. Après tout, j'étais sincère, pour une fois.
Revenir en haut Aller en bas
MessageSujet: Re: vladena ❝ could you tell us that we were wrong ? ❞ vladena ❝ could you tell us that we were wrong ? ❞  Empty

Revenir en haut Aller en bas

vladena ❝ could you tell us that we were wrong ? ❞

Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Revenir en haut
Page 1 sur 1

Sujets similaires

-
» (and let me kiss you) + vladena
» Isis & God ㄨ Doing it wrong
» What's wrong with you ? [Pv Caem]

Permission de ce forum:Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
i have a dream ::  :: Archives :: Anciennes Archives-