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N°1: Don't dream, it's over

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MessageSujet: N°1: Don't dream, it's over N°1: Don't dream, it's over EmptyMer 4 Nov - 2:37

N°1: Don't dream, it's over 16756880 N°1: Don't dream, it's over Taylor-as-Jacob-taylor-lautner-8472457-100-100
M A K E N A & & & K O S T O S





    Kostos n'arrivait plus à penser. Il revoyait sans cesse le visage de Cloé, les yeux ouverts de Cloé, vide de vie... Son corps étendu, en fermant les yeux, il pouvait également le voir. Il sentait avec une précision étonnante la pluie tomber sur son visage. Est-ce que la vie peut s'arrêter? Il y a peu de temps, Kostos vous aurait dit "oui, avec la mort" ce qu'il ne savait pas, c'est que la "mort" englobait bien plus, ça englobait également les morts dont on était coupable...

    Kostos, du haut de ses 16 ans était devenu coupable d'un crime qu'il ne pourrait jamais se pardonner. Il avait tué... une innocente. Il serra les poings, ses yeux étaient à présent définitivement sec. Il avait trop pleurer à l'hôpital et au commissariat ensuite. Etant trop jeune pour être inculpé et étant incapable de déserrer les dents pour expliquer quoique se soit à quiconque, on l'avait relâché, le policier lui avait mis une main sur l'épaule l'air désolé et lui avait dit qu'il était de toute façon trop jeune pour être jugé coupable mais qu'on lui retirerait juste son permis! Un permis pour une vie, c'était vraiment peu cher payer. L'envie de vomir lui avait pris à la gorge. Il avait détesté la "justice". Cloé était morte... et il n'aurait rien. Durant toute l'entrevue, à aucun moment, il n'avait osé placer le nom de Sohan... pas par peur, mais le blond, quoi qu'on puisse penser de son délit de fuite n'était pas coupable, ce n'est pas lui qui conduisait la voiture quand celle-ci à heurter Cloé. Sohan l'avait peut-être poussé à boire, à se droguer, à voler une voiture, mais il n'avait pas menacé Kostos, celui-ci l'avait fait de bon coeur, alors il comptait assumer ses erreurs. Le plus dignement possible, enfin, avec le peu de fierté qu'il lui restait...

    Plus rien ne le reliait au Kostos d'avant, celui qui n'était pas un criminel, à celui de maintenant. Kostos n'était plus avec Shabella qu'il avait quitté plus tôt. Kostos ne souriait plus. Kostos regardait uniquement le sol. Kostos avait le regard éteint. La culpabilité qu'il portait alourdissait ses épaules, il se tenait de manière voûtée à présent. Inconsciemment, toute la charge de ses erreurs pèserait à jamais sur ses épaules. Il ne savait pas exactement ce qu'il devait faire pour rembourser ses erreurs, sans doute le prix était trop grand. Mais il se jura de ne plus être un adolescent insouciant mais un adulte consciencieux, juste et humble. Hier il avait vécu le pire moment de sa vie... et il était hors de question pour lui de retoucher à l'alcool, à un volant ou à la drogue. Il devait se racheter. Mais... comment?

    Il savait qu'il devait assumer, qu'il devait s'excuser auprès de la famille de Cloé... mais une fois cela fait... que serait sa vie? Verrait-il de nouveau Shabella? Tenterait-elle de l'alléger de son crime? Et Nick, que dirait Nick? Et Fee? Ils lui feraient la morale sans doute... pour ensuite lui pardonner son erreur. Les yeux de Kostos se mirent à briller de colère à cette pensée. Personne ne pourrait donc le juger coupable? Ni ses parents, ni la justice, ni les êtres chers de sa vie? Il était COUPABLE bon sang! Et personne ne voulait lui dire, lui jeter à la figure! Le poing de Kostos se ferma, et dans un geste colérique, il frappa dans le mur, un craquement sonore se fit entendre sans que le jeune grec ni prête attention, il s'était sans doute fracturer la main... mais il le méritait, de souffrir physiquement, non...? Mais ce n'était pas assez, il ne payait pas assez... que pouvait-il faire de plus?

    Puis, la vérité le frappa. Partir. Loin, n'importe où... mais loin de ces gens qui allaient l'empêcher de faire son deuil. Loin de ses gens qui tenteraient de le consoler, de le décharger de sa faute. Avec ce nouvel objectif en tête, il alluma son PC, et tomba sur la première destination... Paris. La ville lumière, lui qui avait la désagréable impression d'être englué dans l'obscurité, ça ne pourrait que lui faire du bien, non? Il commanda son billet en ligne. Et à présent? Kostos prépara négligemment ses affaires, les jetant plus qu'autre chose à vrai dire. Le rangement s'était pour plus tard. Là, il devait partir. Mais en retournant à son ordi, il vit que Nick tentant de lui parler. Rapidement, le jeune Prokopios mit fin à cette discussion, il avait raison, au final, seul la colère l'habitait, il ne voulait pas être consolé. Il n'en avait pas besoin, c'était lui le criminel.

    Cela dit, l'avantage de voir sa page Facebook ouverte, fut qu'il y vit Makena. Il cligna des yeux, Makena, la personne la plus juste qu'il connaissait. Il hésita un moment, puis lui demanda pour passer. S'il pouvait parler à quelqu'un, dire au moins ce qu'il lui passait par la tête, la seule personne ne pouvait être que Makena. Après avoir accepté, Kostos sortit avec sa valise et fit le moins de bruit possible afin de ne pas attirer l'attention de ses parents.

    Makena habitait au début de la rue, au numéro 1, le jeune homme porta à la main son sac qui ne pesait pas tellement dans le fond, Kostos refusant de s'embarrasser de choses superflues. Et il marcha dans la nuit, il était sûr qu'elle était au courant, parce que sa mère Anaël et Makena étaient proche comme... fille et mère. Il était donc sûr que sa soeur de coeur savait tout ce qui c'était passé dans la vie de Kostos... mais il l'avait dit, il affronterait tout ce qu'il devait affronter. Et Makena serait un juge impitoyable. Beaucoup plus directe et rancunière que la "justice". En arrivant sur la pas de sa porte, il inspira un bon coup, puis sonna. Quand la porte s'ouvrit enfin, Kostos avait le regard baissé et coupable.

      Kostos: Bonsoir Makena...

    Il releva les yeux pour affronter son regard... Son sac lui sembla plus lourd tout d'un coup, et il tenta de le changer de main avant de se rendre compte que sa main, celle qu'il avait bêtement blessé, était trop douloureuse pour porter quoique se soit. Le sac tomba alors lourdement.
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MessageSujet: Re: N°1: Don't dream, it's over N°1: Don't dream, it's over EmptyVen 20 Nov - 7:21

N°1: Don't dream, it's over Mmtqhs


    Il était deux heures de l’après-midi quand Makena se réveilla enfin. Elle avait encore une fois travaillé jusqu’aux petites heures du matin. De plus comme c’était l’Halloween le bar avait été rempli à craquer toute la nuit, elle n’avait eu aucun répit et avais eu peine à grimper les escaliers qui menaient à son appartement en revenant. Heureusement que le pourboire en valait la peine, pensa’-elle pour s’encourager.
    Lentement, elle s’extirpa de son lit et alla dans la cuisine se faire un café, c’était dimanche et elle prévoyait passé la journée le nez dans ses devoirs, elle prenait beaucoup trop de retard durant la semaine et ils s’accumulaient dangereusement. Tandis qu’elle mettait en route la machine à café, elle prit distraitement les messages sur sa boite vocale. Elle avait deux messages depuis la veille. Le premier était de ses frères qui se chamaillaient pour lui raconter leurs chasses aux bonbons de la veille – J’étais Batman Make’ ! Moi j’étais Harry Potter, je suis le plus fort, ein Make?’ Non c’est moi le plus fort! J’ai eu le plus de bonbons! Non c’est moi qui a eu le plus de bonbons! MUUMMM DEAMON ISclick - -. Le deuxième message provenait d’Anaël, un message bref mais dit à un débit tellement rapide que la jeune canadienne ne comprit que trois mots de tout ce que lui racontait sa deuxième mère. ‘Kostos, hopital, poste’.


      - D’accord…


    C'est seulement après avoir terminé son café, Makena écouta le message une deuxième fois question de tout comprendre. Si on avait été dans une série dramatique typique, on aurait surement eu le droit à un plan ou on verrait Make lâcher sa tasse de café, pour ensuite voir la tasse s’écraser au sol au ralentie tandis qu’elle écoutait la fin du message. Mais comme elle était simplement dans sa cuisine, Makena se contenta de déposer furieusement sa tasse sur le comptoir. Elle sous le choc. En fait, elle était en colère. Elle ne pouvait pas dire que c’était une surprise qu’un .. Accident.. Du genre soit arrivé, ‘Quand on fait le con’, soupira’-elle pour elle seule. Mais quand même, tuer quelqu’un, c’était. . . Elle n’avait pas de mot pour décrire ce que c’était. Au bar, elle passait ses soirées à confisquer des clefs et, appelé des taxis pour des clients qui avaient trop bu, ce genre de comportement la dépassait totalement. Elle essaya quand même de rappeler pour avoir plus d’information, mais tomba sur la boite vocale.

    Elle fit deux fois le tour de son appartement tournant son téléphone nerveusement entre ses mains. Ses yeux se posèrent finalement sur la pile de devoirs et, lectures qui l’attendaient, dans un soupir énorme elle alla s’assoir devant et essaya de se changer les idées en essayant de passer au travers. Le soir arriva sans qu’elle s’en rendre compte et elle n’avait pas du tout avancé, son esprit était complètement ailleurs. Résignée, elle repoussa ses livres et ouvrit son ordinateur. Automatiquement elle se rendit sur Facebook, elle était connectée que depuis quelque seconde seulement quand elle reçut un message de Kostos qui demandait de la voir. Encore sous le choc du matin, elle accepta évidemment et la sonnette de son appartement se fit entendre à peine quelques minutes plus tard.
    Face à face avec son presque frère Makena dut faire des efforts pour contrôler la colère qui était toujours présente. Il se tenait devant elle, dans l’entrée, la tête rivée au plancher et un sac à la main. Elle ne répondit même pas à son bonsoir, sachant que si elle ouvrait la bouche maintenant elle allait se mettre à hurler. C’est quand il leva enfin la tête qu’elle eu le premier réflexe de bouger et sa première réaction fût de le gifler au visage. Elle s’en rendit à peine compte au début, comme si sa main avait agi de sa propre volonté, mais elle dut admettre que ça avait fait le plus grand bien à ses nerfs.

      - Maintenant, tu m’expliques qu’est-ce qui c’est passer dans tête au juste parce que sérieusement . . .


    Elle était énervée et sa voix résonnait dans le corridor de l’immeuble, elle entrevit même un de ses voisins sortir la tête dans le corridor pour voir ce qui se passait. Comme elle détestait qu’on se mêle de ses affaires, elle se tassa de la porte pour laisser son frère de cœur entré dans l’appartement.


Spoiler:
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MessageSujet: Re: N°1: Don't dream, it's over N°1: Don't dream, it's over EmptyLun 30 Nov - 5:55

    Makena était une personne d'une sincérité et d'une droiture sans faille.

    C'était le genre de femme qui à 90 ans passée pourrait se regarder dans le miroir sans exprimer aucun remord. Elle ne commettait aucune faute, ce qu'elle faisait était toujours pour le bien d'autrui. Parfois impulsive, elle servait uniquement les causes "justes", sans doute à cause de son éducation ou de son passé, peut importe, le résultat était là, devant ses yeux. Une femme pétillante, juste et incroyablement en colère contre lui. Et elle avait tellement raison. Cette colère si visible... c'était exactement la même qui le dévastait de l'intérieur, par vague régulière... le rendant parfois impulsif... comme pour son poing fracturé.

    Toutefois, par certains points, elle était prévisible, quand il avait vu sa main se lever, il s'était automatiquement préparé à recevoir ce coup au visage. Enfin, non, il avait pensé qu'elle lui hurlerait d'abord dessus et puis le frapperait violemment... il s'était trompé, finalement Makena était plus surprenant qu'il ne le pensait. La violence du coup lui fit fermer les yeux de douleur, heureusement qu'il était solide, parce qu'elle n'y avait pas été de main morte... par réflexe, il se frotta la joue délicatement tout en grimaçant, ça allait quelque peu gonfler, il le sentait. En observant Makena, il eut tout de même la surprise de voir qu'elle même s'était surprise de l'avoir frappée... toutefois, elle ne semblait pas regretter son geste.

    Elle lui parla alors d'une voix sec et autoritaire qui n'attendait pas de compromis, elle voulait qu'il soit sincère avec elle. Il allait lui répondre quand il vit que les voisins de Makena qui commençaient à sortir la tête par l'entrembaillement des portes, tentant d'espionner la conversation... Kostos roula des yeux. Furieuse, Makena fit un pas sur le côté et libéra l'entrée de son appart' laissant l'accès à Kostos. Le jeune grec ne se fit pas prier et porta son sac à l'intérieure. Il resta néanmoins dans l'entrée... il hésita un instant avant de se tourner vers elle, il se sentait mal à l'aise dans "l'antre" de sa soeur de coeur... Puis, tout en inspirant profondément, il lui lâcha un semblant de vérité. Pas qu'il voulait lui mentir, mais cette histoire était tellement énorme qu'il ne savait ni par où commencer, ni par où la prendre... et puis... ce qu'il s'était passé dans sa tête? Le grec ferma les yeux, douloureusement, il se revit dans la voiture, avec Sohan... et revit le corps de Cloé rouler sur son pare-brise au ralenti... il revit son corps étendu dans la pluie, le sang et l'eau se mêlant autour de son corps désarticulé formant un drôle de halo... un frisson remonta le long de son échine et il pâlit. Les mâchoires serrés, les poings fermés, passé et présent se mêlaient dans sa tête, il était dans l'appartement de Makena tout en étant encore dans la pluie devant le corps de Cloé...

      Kostos: J'étais un Dieu Makena... voilà, c'était ça qu'il y avait dans ma tête... avec Sohan, on passait une bonne soirée, on était tellement... puissant... l'alcool, les filles, la drogue... je... il... la voiture... on est retombé sur Terre... on a pris la fuite... mais... mais... je... je n'ai pas pu l'abandonner...

    Etait-il clair? Ne serait-ce qu'un peu...? Impossible qu'elle ait compris quelque chose... et puis, Kostos se rendit compte que c'était la première fois qu'il disait le nom de Sohan en parlant de "l'accident". Lui qui avait serré les dents au commissariat quand on l'avait interrogé sur un potentiel complice... devant Makena la vérité était sortie toute seule, naturellement, à elle, il ne pouvait pas mentir... tout défilait si vite dans sa tête, des tas de scènes revenaient sans pour autant être dans un ordre chronologique... La peur se dessina sur son visage quand les scènes de Cloé lui revinrent à l'esprit... la lucidité presque cruelle de Sohan qui avait failli tout effacer de cette nuit... Si Kostos ne s'était pas interposé... personne n'aurait rien su de son crime... mais alors, l'adolescent ne se serait jamais pardonné son geste, et il aurait eu beaucoup de mal à se regarder dans une glace... finalement, il releva lentement la tête et il osa regarder Makena, la crainte se lisait dans son regard, il ne voulait pas qu'elle le rejette. C'était contradictoire, il voulait qu'elle le juge, sans pour autant qu'elle l'abandonne. Les yeux bruns/noirs de Kostos accrichèrent ceux de Makena... mais de nouveau, le visage de Cloé se superposa sur celui de Makena... Kostos se mordit les lèvres... les larmes de nouveaux aux yeux... lui qui n'avait su s'émouvoir devant Shab se trouvait bien émotionnel tout d'un coup...

      Kostos : Je suis désolé...

    Et c'était vrai... sauf que ce pardon s'adressait autant à Makena qu'à Cloé.
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MessageSujet: Re: N°1: Don't dream, it's over N°1: Don't dream, it's over EmptyLun 21 Déc - 6:02

    L'appartement de Makena était fait de façon à ce que quand on entrait on ait directement les pieds dans le salon, qui servait aussi de table a manger (faute de table en tant que t'elle, Makena mangeait sur le divan, ou par terre devant la table basse). Le salon était ouvert sur la cuisine, pas très grande encore une fois, mais avec beaucoup d'armoires, ce qui était pratique. Tout à droite, il avait deux portes, une qui donnait sur sa chambre et l'autre sur la salle de bain. Habituellement, elle s'arrangeait pour garder le tout assez propre, mais, aujourd'hui, ses livres de cours étaient étendues dans tout le salon, sur le plancher comme sur les meubles. Ce n'était pas très grand, mais plus que parfait pour quelqu'un qui vivait seul.

    Mais maintenant qu'elle avait fermé la porte derrière elle, on aurait dit qu'il avait ratissé de moitié, l'air, c'était fait tellement lourd partout autour d'eux. Elle osait à peine bouger, adossée contre la porte, elle écoutait tout ce que Kostos avait à dire, elle ne saisit pas tout au début, mais elle comprit clairement qu'il était désolé. . .

    Elle prit du temps répondre, le seul bruit qu'on attendait dans l'appartement était le tic tac de l'horloge qui provenait de la cutine. Elle voyait bien que Kostos était sur le point de craquer devant elle, mais elle ne s'avança pas pour le prendre dans ses bras ni rien. Elle se contentait de le regarder avec le même regard qu'elle avait lorsqu'elle l'avait aceuillie. En tant normal, quand un de ses frères était autant bouleverser, Makena avait tendance a les materner, prendre leurs mals sur ses épaules et les aidé à tout régler. Mais en ce moment, elle savait que ce n'était chose à ne pas faire. Kostos devait prendre ses responsabilités et trouver, ce qu'il avait à faire de lui même, avec un peu de chance ça le fera grandir.

      - Que tu sois désolé ou pas, ça ne change rien du tout, c'est trop tard pour ça et ça ne t’amènera nulle part. Là ce que tu dois faire, c'est te réveiller, arrêter tes conneries. Et je m'en fou, si t'as entendu le même refrain 38 fois aujourd'hui, je te le redis quand même.. T'as atteint une limite de trop, l'alcool, les drogues, les filles, t'as 16 ans bordel, tu penses vraiment que c'est une manière de commencer t'as vie? Tu te pensais pour un dieu, mais tu n’est même pas un homme encore ! Tu te rends compte que non seulement t'as tué une innocente, mais t'aurais pu te tuer aussi? Et ne viens pas me dire que ça aurait été mieux ou que tu aurais préféré ça, c'est trop facile comme réponse ! Prend conscience à la place !


    Elle avait ouvert une valve et n'avait pas su s'arrêter, sans crier, son ton était dur et se faisait entendre dans tout l'appartement. Mais maintenant qu'elle avait parlé, on aurait dit que l'aire avait recommencé à circuler, l'ambiance était moins pesante, du moins pour elle. Toujours adossée contre son mur, elle croisa ses bras et pour la première fois remarqua qu'une des mains de l'adolescent était atrocement rouge, sans rien dire, elle se dirigea vers la cuisine et revient pour lui tendre un sac de glace.

      - Mets ça sur ta main....


    Puis elle alla pousser quelques un de ses livres de cours pour se faire une place sur le divan du salon. Elle essaya de repenser à toutes les informations qu'on lui avait dites aujourd'hui, elle essayait vraiment de comprendre ce qui avait bien pu se passer dans la tête de son presque frère pour faire une chose pareille.

      - Qui c'est, Sohan ?


    Elle ne se souvenait pas du tout que quelqu'un ait mentionné une autre personne avant...
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N°1: Don't dream, it's over

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