« Chizu ! Sérieux t'abuses tu pourrais m'aider. » Beugla Salem dans la maisonnée alors que Chizu la regardait en rigolant alors que la rousse essayait de se dépêtrer avec ses béquilles. Et oui depuis elle avait appris que quand elle allait dans une supérette en urgence, elle ne devait pas courir dans les allées surtout quand un petit plaisantin avait déposé du liquide vaisselle sur tout le sol, et qu'elle avait fini par se manger une pile de boites de conserve et qu'elle avait le tibia en deux. Cela lui avait torturé l'esprit et remémoré son accident et sa perte de mobilité temporelle qui l'avait laissé plus de neuf mois dans un état déplorable avant qu'elle n'ait enfin la force de se relever. Chizu n'avait pas vraiment envie d'aider sa meilleure amie, surtout pour ce qu'il touchait à Bamba, enfin elle ne voulait pas l'aider à s'occuper de Bamba parce que ce chien lui en faisait voir de toutes les couleurs. « Non avec cette bête jamais. J'ai encore le coup de l'escalier en travers de la gorge Sam. » Salem rit à ses mots, c'était un beau matin et quand Chizu descendit les escaliers l'air encore endormie, elle se prit le chien qui se releva quand elle essaya de l'enjamber et comme c'était un terre neuve, il a toujours été très grand et imposant avec le poil bouffi. « Pfff... Zita.. ? » S'essya-t-elle alors que la blonde la toisa alors qu'elle se maquillait et fut catégorique et répondit en même pas une seconde. « NON ! » Salem qui connaissait déjà la réponse enchaîna. « Tant pis, j'aurais essayé, puisque personne ne veut m'aider à propos de Bamba dans cette maison. Allez on y va !» Elle releva la tête, pris ses béquilles et sortie la tête haute pour montrer à ses amies qu'elle était vexée, bien que tout cela ne soit qu'un jeu. Le chien qui avait bien compris ce qu'il se passait, releva les oreilles et se leva d'un bon avant de foncer dans la porte et courir à l'air libre. Elle le rappelle à l'ordre il resta à ses côtés et ils allèrent à central park qui n'était pas loin. Le poids de son corps commençait à lui peser et elle sentait ses mains rougir et chauffer. Une fois sur place elle s'assit sur le premier banc disponible avant de faire signe à la grosse boule de poil noire de partir alors qu'elle gardait un oeil bienveillant sur lui. On aurait dit une mère et son fils. Puis elle l'entendit aboyer, elle se leva d'un bond et vit Bamba aboyer face à un animal qui n'était pas vraiment un chien, Bamba de nature calme en général était un peu plus nerveux d'où ses aboiements. Elle se dépêcha de le rejoindre en criant. « Bambaaa.... Bambaaaa.... » Une fois à la hauteur de la bête elle plupart par le collier laissant tomber une béquille à terre et s'appuya sur son pied de valide. Le chie comprenant son énervement s'arrêta de suite puis elle releva la tête gardant la main agrippée à son collier. Il vit un jeune homme surement le propriétaire de ce 'loup'. « Navrée, en général il est calme face à d'autres animaux. »