It's New York City bitches ! And it's my motherfucking dream
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Please, would you remember those moments?

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MessageSujet: Please, would you remember those moments? Please, would you remember those moments? EmptyMer 23 Mar - 5:30


Nous avons tous un passé et le mien ne fait pas exception à la règle. Et si je commençais par vous racontez mon enfance hein? J'ai vécu toute ma jeunesse avec ma mère parce que mon père, ou du moins cet homme qui n'a pas jouer son rôle dans ma vie, a pris ses affaires et a filer je ne sais où sur la planète dès ma naissance. Ma mère se retrouva donc avec un gamin sur les épaules, à essayer de joindres les deux bouts le plus possibles. Je n'ai jamais été riche, je n'ai jamais été pauvre. Je grandis en regardant mes amis avoir des beaux jouets neufs et moi j'avais de vieux camions, pelles, etcetera. Mais ça ne me dérangeait pas parce que ma mère m'a toujours expliquer pourquoi je ne pouvais pas avoir de telles choses. En plus je voyait bien qu'elle faisait du mieux qu'elle pouvait, car elle voulait le mieux pour son fils. En grandissant et en arrivant au lycée, je trouvais ma place dans un atelier de musique. Je n'avais jamais fait de guitare de ma vie à ce moment là mais quelques secondes entre mes mains avec quelques explications de l'enseignant et l'instrument sonnait une merveilleuse mélodie. Depuis ce jour je joue encore de la guitare car la musique fait partie intégrante de ma vie. Je suis justement entrain de prendre des cours de piano. Un jour en rentrant d'une pratique pour un spectacle ma mère avait un gros écrin neuf en cuir devant elle et me souriait. Elle m'avait acheter une guitare. Mon premier reflexe fut de refuser je n'osais même pas imaginer ce dont elle avait dû se priver pour me l'offrir..! Elle me l'offrit tout de même et à l'âge de seize ans je laissais tomber l'école pour pouvoir entierement me consacrer à les trois petits boulots que je m'étais dénicher. C'était selon moi la moindre des choses lorsque je pensais à tout ce qu'elle avait sacrifiée pour mon bien! Je l'aidais donc durant trois années, jusqu'à mes 19 ans. Et enfin, ma mère rencontra un homme sympa et qui la rendait heureuse et qui pourrait assurer sa sécurité autant financière que physique. Ils se marièrent et je compris qu'il était temps pour moi aussi de débuter ma vie d'arrêter de penser aux autres pour une fois, et de commencer à penser à ce que moi je voulais. Alors je pris mes valises et les déposa dans la grande et fabuleuse ville de New york, dans laquelle je m'engageais rapidement dans une formation pour devenir pompier que je passais haut la main puisque j'avais toujours été en très grande forme physique. Même si à première vue ma passion restait la musique, quelque chose de plus calme et moins intense, il n'était pas question que je ne m'entraine pas pour me garder en forme! En tout cas... Je ne sais pas si c'est le fait que j'écrive des chansons ou le fait que mon corps soit merveilleux mais les filles ont toujours eu l'air attirés par moi. Alors que personnelement je ne me trouve rien de bien extraordinaire. Ça explique pourquoi je ne me suis jamais vraiment embarque dans une relation à une exception près...

Un terrible malheur venait de s'abattre en Croatie, et je voulais agir pour leur venir en aide. Alors à l'unité où je travaillais avec quelques autres amis et collègues nous furent envoyer là-bas en mission humanitaire pour s'occuper des enfants, de la nourriture et aussi de la sécurité. Jamais de toute ma vie je ne m'étais sentit aussi utile. Malheureusement un jour je me blessai et me retrouver dans une petite tente qui servait d'office à un hôpital. Une jeune femme médecin vint me soigner et rapidement nous sympathisèrent. Il y avait rapidement une étincelle entre nous, quelque chose que je ne pouvais encore aujourd'hui ne pas décrire. Nous vécurent une courte histoire là-bas avant que je retourne aux États-Unis. Nolà... Cette dernière et moi nous étions entendu pour nous revoir à New York puisqu'elle y suivrait des cours de médecine. Cela nous prit une années entières avant d'officialiser notre histoire. Je ne sais toujours pas ce qui m'avait fait attendre aussi longtemps, mais dans tous les cas ensuite nous n'avons pas chômer! J'étais agé de 20 ans lorsque nous emménagâmes ensembles et nous passâmes de merveilleux moments. Un jour, Nolà m'apprit qu'elle attendait notre enfant. Je n'avais jamais pensé être autant heureux de toute ma vie. J'attendais un enfant de la femme que j'aimais et avec qui je souhaitais passer le reste de ma vie, j'avais déjà acheter sa bague chez Tiffany&Co. Quatre ans passèrent notre petite fille, Tallula, grandissait et embellisait à vu d'oeil. J'allais bientôt me marier avec Nolà une bonne fois pour toute, pour le meilleur et pour le pire, jusqu'à ce que la mort nous sépare... Je n'aurais jamais cru que la mort arriverait avant même que je puisse prononcer mes voeux. Nolà eut un terrible accident en revenant du boulot. J'avais cru que c'était terminé, même si je voulais y croire. Tant qu'on y croit de toute nos forces, avais-je expliquer à ma petite fille pour qui ses évènements la dépassait, la personne ne peut pas nous quitter pour toujours. Nous veillâmes sur Nolà durant un mois entier nous étions toujours là durant sa période comateuse. Un jour que Tallula était à la garderie, elle ouvrit enfin ses yeux bleus qui m'avait tant manquer. Malheureusement, elle ne me reconnut pas. Le médecin diagnostica une amnésie chez Nolà. Elle n'avait aucun souvenirs de moi ni même de sa propre fille. Ses parents qui ne m'avait jamais apprécier en profitèrent pour l'éloigner de moi et de Tallula. Encore aujourd'hui je la considère comme ma fiancée et j'osa croire qu'un jour elle se souviendra. Peut-être même que ce jour arrivera plus vite que je le crois puisque récement, après six mois d'absence, je viens de la recroiser dans les rues de New York. Je ne sais pas ce aui va se passer mais une chose est sure je vais tout faire pour que Nolà se rapelle de moi et de Tallula...     

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MessageSujet: Re: Please, would you remember those moments? Please, would you remember those moments? EmptyLun 28 Mar - 18:31

Nolà avait revu Tallula plusieurs fois, elle essayait de se familiariser avec elle, mais aussi de faire remonter en elle des souvenirs. Cependant ce n’était pas vraiment simple, ces souvenirs ne revenaient pas beaucoup. Elle avait des sensations de déjà vu, déjà fait mais rien de bien concret. Ce noir était vraiment perturbant pour Nolà et cela perturbait aussi beaucoup sa fille. Tout cela était très difficile à vivre. Mais ce n’était rien comparé à la gène qu’elle ressentait en présence de Drew.

Il était censé être son fiancé, un homme avec qui elle partageait tout et qu’il la connaissait bien que personne. Un homme qui lui accordait beaucoup d’attention et d’affection. Nolà était vraiment mal à l’aise lorsqu’elle était face à Drew, elle ne savait pas vraiment comment se conduire. Elle avait toujours peur qu’il ne se montre trop affectueux, pour elle Drew n’était encore qu’un inconnu, alors elle avait beaucoup de mal à accepter qu’il puisse être affectueux avec elle. Nolà savait que le fait qu’elle repousse son fiancé ainsi, le faisait souffrir et elle essayait de faire plus attention. Nolà essayait de se contrôler, de ne plus sursauter en sa présence et d’essayer de se détendre mais elle ne pouvait pas se forcer à être tendre envers lui. Une chose était certaine, une barrière était né entre eux deux et elle n’était pas prête de s’effacer.

Au lieu de Brooklyn, Nolà vivait à Tribeca depuis qu’elle était revenue à NY, elle n’était pas encore prête pour vivre avec sa petite famille. Pourtant Nolà savait qu’il y arriverait bien un jour où elle devrait franchir le pas, elle espérait seulement que lorsque ce moment viendrait, elle aurait retrouver la mémoire ou du moins partiellement.

Nolà avait repris le boulot, elle travail à Manhattan, elle revenait d’une garde de nuit. Nolà était à deux pas de chez elles. Marchant tranquillement, elle se détendait grâce au temps agréable qu’il faisait en ce moment. Elle marchait sans vraiment faire attention à son entourage. Pourtant lorsqu’elle croisa Drew, elle sursauta. Nolà passa a côté de lui et s’arrêta deux pas après. La jeune femme revint en arrière, les joues rouges lorsqu’elle réalisa qu’elle avait complètement snobé son fiancé. Nolà n’était pas encore habitué à lui, à sa présence… « ohh Drew, je suis désolé, je ne t’avais pas vu, mais que fais-tu là »
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MessageSujet: Re: Please, would you remember those moments? Please, would you remember those moments? EmptyJeu 31 Mar - 1:16

Spoiler:

Please, would you remember those moments? Imager

Une journée assez chargée aujourd’hui. Une journée comme je les aimais d’ailleurs. J’avais du plus loin que je me souvienne toujours aimer me retrouver vraiment dans le feu de l’action là où je me savais utile. Eh oui, cela faisait partit intégrante de moi et de mon caractère. J’aimais aider les autres et souvent je pensais aux autres d’abord et ensuite, à moi. J’avais toujours agis ainsi, depuis avec ma mère, et je n’avais tout simplement pas changé. J’aimais voir le bonheur autour de moi et je veillerais toujours à ce que ça aussi, ça ne change pas. Donc, en partant finalement au alentour de 16h30 de la caserne, je marchais dans les rues de New York. Je n’allais jamais chercher ma petite Tallula avant 5h30 au moins. Sinon, elle me piquait une de ses crises. Je ne comprenais pas d’ailleurs. Il me semblait que moi à son âge j’avais terriblement hâte de rentrer à la maison pour pouvoir passer ma soirée en compagnie de ma mère. Bon dans son cas, avec son père moi. Puisque sa mère n’habitait plus avec nous désormais. C’était étrange de me dire que j’avais une fiancée qui ne me reconnaissait pas et surtout qui n’habitait même pas avec moi. Ça me brisait le cœur le simple fait de m’imaginer que nous étions presque sur le bord de nous marié officiellement… Qu’avais-je fait pour mériter une telle galère? Ne pouvais-je pas vivre tout simplement heureux et amoureux? J’avais toujours été généreux et je n’ai jamais laissé tomber ceux qui me tenaient à cœur. Mais bon, quand c’est question de moi, évidement fallait que tout se gâche… J’avais bâti quelque chose qui m’avait pris du temps et de l’énergie, quelque chose dont j’étais fière. Quelque chose que je considérais comme ma plus belle réussite. Alors, POURQUOI, ça avait été horriblement démoli? Ce maudit accident…Je le haïssais comme nul autre sur cette terre. Cet accident qui m’avait arraché mon bonheur paisible… Cet accident qui avait fait perdre la mémoire à mon tendre amour…

Je voulais croire qu’à force de patience, tout redeviendrait comme avant. Je la ferais retomber amoureuse de moi. Je savais que j’en étais capable. Je savais que ses goûts restaient les mêmes et qu’un jour, à bout de petits souvenirs, elle se réveillerait. Il le fallait. J’attendrais toute ma vie si c’est pour la terminer à ses côtés. Les mains dans mon coat de cuir noir, je marchai entre les passants des rues qui ne semblaient jamais se vider. Tout à coup une chevelure blonde et volumineuse apparut à quelque pas de moi...Je m’arrêtais au grand mécontentement d’un homme pressé, et la regardai s’avancer et passer à côté de moi sans même me reconnaitre. Je baissai la tête pour regarder mes pieds. À chaque fois que cela arrivait j’avais envie, c’est peut-être con, mais de me mettre à pleurer, comme si j’avais à chaque fois une nouvelle peine d’amour. C’était si difficile à accepter. Je sentis alors une main sur mon épaule et je me tournai légèrement vers le côté pour voir qui était-ce. Nolà. Elle m’avait reconnue, un peu trop tard tout de même. Oh, Drew, je suis désolé, je ne t’avais pas vu, mais que fais-tu là..?! Je me forcai à sourire du mieux que je pouvais mais j’avais l’impression que ça sonnait faux pour moi, alors imaginez pour elle. Je baissai les yeux pour les plonger dans ses magnifiques yeux bleus océans et mon sourire devint immédiatement plus sincère. T’en fais pas avec ça… Euh, Je me promène un peu, avant d’aller chercher Tallula...Et toi? tu as quelque chose de prévu ce soir? Si non, je pourrais appeler la gardienne pour qu’elle garde ‘Lula et nous pourrions, je sais pas… se voir peut-être..? dis je d’une voix qui me déconcerta. On aurait pu la qualifier d’un homme qui commençait pour la première fois à vouloir inviter une femme à sortir mais qu’il ne savait pas comment demander. En tout cas, j’étais géné je l’avouais. J’avais peur aussi.. Que me dirait-elle? …
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