It's New York City bitches ! And it's my motherfucking dream

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Il pleut et alors ? [Libre]

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MessageSujet: Il pleut et alors ? [Libre] Il pleut et alors ? [Libre] EmptyDim 27 Sep - 19:11

    Ca y-est !
    Refermant la porte du studio, je ne puis m'empêcher d'émettre un essoufflement et attendre quelques instants pour savourer tous les délices du moment. Ainsi, je parcourrai du regard les nombreux passants qui marchaient à vive allure sur le trottoir humide, des hommes d'affaires pour la plupart qui pressaient le pas. Beaucoup d'entre eux porter un parapluie, en général noir et lisse avec un embout de bois clair finement sculpté, des œuvres d'art pour certains, pour d'autres un simple objet qu'on utilise une fois de temps en temps. C'était ainsi dans le quartier, des vas et viens de grandes personnalités, notamment les businessmen les plus célèbres, encore riches malgré la crise. Des personnes comme ma mère qui s'enrichissent sur le malheur des autres et qui arrivent à ne pas avoir de remords. Vous savez ces personnes qui passent le plus clair de leur temps à signer des contrats à des fins illicites ou alors de parler des autres sans les regarder droit en face, n'ayant aucune crainte quant au procès futur. Personne ne leur dit rien, tout le monde trouve ceci bien normal.
    Après tout, pourquoi ne pas profiter de la célébrité d'une mère. J'envisage donc de mon côté, dans le plus grand secret de créer mon propre journal. Mais Chutt...

    Revenons à nos moutons, je suis donc sortie accompagnée moi aussi de mon parapluie noir signé par le célèbre Roland Mouret. Au passage, je trouve, aujourd'hui, le quartier bien calme. Peut es-ce dut à l'orage qui se dessine dans le ciel...
    Après avoir pris le temps de dévaler les marches glissantes, je me trouvai maintenant sur le trottoir. Toujours rien. Le part-terre et glissant laissait présager les risques de chute. Après tout, qui peut être aussi bête que moi pour mettre des talons un tel jour ! Sans me hâter plus, je me décidai à partir en direction de Starbuck dans l'espoir de déguster un bon café au lait chaud,mon timing quotidien...
    Tout le monde me regardait, pourquoi me regarder t-il tous ? Qu'ai-je plus que les autres ? Des grands tallons aiguilles et un sac Dior... non c'était bien pire, ils me regardaient parce que mon collier n'était pas fait de diamants et surtout parce que j'étais la fille de la déesse de la mode. Voilà dans quelle société nous vivons, une société où tout le monde regarde ce que vous portez, votre apparence en quelque sorte et à la moindre faute vous êtes montrer du doigt. C'est bien triste.

    Après avoir passé vingts longues minutes à marcher et à écouter les commérages de certains du style: " c'est elle ? " " personne ne lui tient son parapluie ? " " je parie que cette robe date d'y a trois mois, elle ne vaut rien ! pff " " quel manque de gout ! ". Je fus devant la fameuse vitrine de Starbucks. Comme d'habitude plein de monde. Comme à l'habitude, tout le monde me regardait, certains me fixaient dangereusement, d'autres me prenaient en photo. De quoi se prendre pour Paris Hilton ! Je m'approchai donc du bar où la tentation de manger un muffin était grande, en essayant de ne regarder personne. Ne faisant pas attention à la pancarte des prix, je commandai.

    - Bonjour, fit la serveuse.
    - Bonjour, je voudrais un café au lait sans sucre, s'il vous plait.
    - Très bien, cela vous coutera trois dollars.

    Je lui tendis la monnaie. Attendant debout, je sentis la bonne odeur du café et observa avec délice le café couler dans la tasse. J'en eu l'eau à la mouche. La jeune fille me tendit le café brulant. Je partis en lui adressant un sourire. Observant les moindres parcelles de la pièce, aucune place n'était disponible et je dus me résigner à sortir, contre mon grès.

    Tenant d'une main mon café et de l'autre mon parapluie. Je fus la proie d'une dizaine de paparazzi. Les éclairs m'éblouirent, me firent mal comme à l'habitude. Par instant, je reculais. Une erreur ! Mon café me glissa des mains et le liquide s'empara de ma robe. Humiliée, j'hurlai de honte. J'étais folle de rage. Puis, comme par miracle * Merci Seigneur *, la pluie rentra dans la partie. Les saletés de paparazzis n'eurent d'autre choix que de partir, l'appareil photo à moiter fichu.

    - C'est ça casser vous !

    J'étais satisfaite, rayonnante malgré l'extravagante tache qui ornait ma robe. J'ouvris soigneusement mon parapluie qui se déploya gracieusement sous les trombes de pluies. Puis, j'enlevai ses horribles chaussures, me contentant de marcher pied nu. Maintenant, il ne me restait plus qu'à trouver un taxi pour rentrer chez moi.

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MessageSujet: Re: Il pleut et alors ? [Libre] Il pleut et alors ? [Libre] EmptySam 3 Oct - 20:20

Kaylee traînait, comme à son habitude depuis quelques temps, dans les rues de New York, ne sachant pas trop où elle aller. Elle ne faisait pas attention aux maisons, aux vitrines, et aux bâtiments publics devant lesquels elle passait. Elle gardait la tête basse, regardant ses pieds, sans se soucier d’avoir l’air d’une bossue par cette façon. En général, elle marchait la tête haute, une peu à la manière d’un mannequin, enfin du moins elle essayait, de manière à montrer une personne droite qui sait se tenir convenablement. Mais aujourd’hui, le cœur n’y était pas. Elle en voulait toujours à sa sœur de l’avoir obligée à déménager dans cette grande ville qu’elle détestait plus que tout au monde, mais même si elle faisait tout son possible pour lui montrer toute la froideur dont elle était capable, cela lui faisait beaucoup de mal de ne pas retrouver la complicité et le soutien de celle qui avait toujours été là pour elle. Elle avait l’impression qu’il lui manquait une grande partie d’elle-même, et elle voulait la retrouver, cette partie. Seulement, elle avait décidé qu’elle lui en voulait. Et comme tout le monde le sait, notre blondinette est extrêmement têtue. Du coup, elle devait faire le choix entre abandonner une décision qu’elle avait prise et retrouver sa sœur chérie. Et franchement, renouer avec Caprice était bien plus tentant que de garder sa « dignité » en montrant qu’elle savait se tenir à une décision. Une chose qui, d’ailleurs, n’était plus à prouver puisqu’elle l’avait démontré maintes et maintes choix depuis son plus jeune âge. Quand elle veut quelque chose, elle l’obtient.

Notre blondinette était donc plutôt de mauvaise humeur, ou en tout cas elle était pour le moment maussade. Elle avait envie de se changer les idées, de voir du monde,… Comme Ethan par exemple. Mais lui, elle avait sans arrête envie de le voir. Elle ne pouvait plus s’en passer, et elle espérait tomber sur lui à tout coin de rues. Malheureusement, elle ne l’avait pas revu depuis quelques temps, et même s’ils ne se quittaient jamais par SMS, elle avait envie de le voir. Elle eu alors l’idée de lui demander de se rendre non loin de où elle se trouvait en ce moment même, avant de se rendre compte qu’elle n’avait aucune idée de l’endroit où elle se trouvait. Elle n’avait plus qu’à espérer tomber sur lui… au coin d’une rue. Mais il n’était pas le seul qu’elle aurait bien aimer croiser, il y avait aussi Meira, Lokelani, Amaliya, et pourquoi pas cette jeune femme française fan de New York qui tenait absolument à lui montrer tout les coins de la « Big Apple ». Mais elle savait que celle dont elle avait besoin en ce moment même, c’était Amaliya. Elle savait que si elle la croisait, cette dernière n’aurait aucun mal à lui changer les idée : entre les sorties shopping, les grandes discussions autour de la mode, et les 400 coups qu’elles faisaient ensemble, elles n’avaient pas le temps de s’ennuyer. Oui, Amaliya était la personne qu’il fallait à la française en ce moment. Cette dernière eut soudain l’en vie de faire du shopping… Mais Amaliya n’était pas à portée de main. Ni Lokelani, ni même Meira. Personne. Elle était seule, dans les rues de New York. Seule, elle ne savait où.

Soudain, un choc rude l’étourdit. Elle venait de heurter quelque chose, ou quelqu’un. Elle fut projetée à terre, bien qu’elle essaya de se rattraper, mais sans succès de tout évidence. Les quatre fers en l’air, elle reprit rapidement ses esprits avant de se relever en se frottant la tête, une grimace au visage. Elle se rendit alors compte qu’elle avait heurté quelqu’un, et avant de voir quelle était cette personne, elle commença à se répandre en excuses. Elle reprenait peu à peu part à la réalité, et elle se rendit alors compte qu’il pleuvait. Sans doute depuis un bon bout de temps, car il n’y avait presque personne dehors, où alors juste quelques hommes abrités d’un parapluie qui cherchait un bar qui n’était pas encore plein afin de s’abriter. La plus ne gênait pas Kaylee, au contraire. Et puis de toute façon, elle n’avait pas que ça a pensé. Elle remarqua alors à côté d’elle un parapluie. Il appartenait sans doute à la personne qu’elle venait de heurter. Tout en continuant de déverser un flot d’excuses sur la personne en question, elle ramassa et le tendit à son propriétaire. Enfin, sa propriétaire, car il s’agissait d’une femme. Son flot d’excuses s’interrompit lorsqu’elle se rendit compte qu’il s’agissait d’une des personnes sur lesquelles elle espérait tomber : Amaliya. Un grand sourire apparut alors sur le visage de notre blondinette, et elle dit d’un ton chaleureux à son amie :

« Amaliya ! Quelle surprise ! Excuse moi, je ne regardais pas où j’allais… Je me disais justement que j’avais besoin de toi, pour du shopping ! »

Elle se tut, se rendent compte qu’elle mobilisait la parole depuis tout à l’heure. Elle observa alors rapidement la fille de la femme la plus reconnue dans le monde de la mode. Elle était habillée d’une très belle robe, quoique tachée, et marchait pieds nus. Kaylee ne remarqua bien sûr pas que cette robe n’était plus convenable, tout simplement car elle n’appartenait pas du tout au monde de la mode. Cependant, elle ne manqua pas de remarquer la tâche et l’absence de chaussures aux pieds de son amie. Mais avant de lui demander d’où provenait cette tâche et pourquoi elle avait décidé de se déchausser – car elle était sortie chaussée étant donné qu’elle portait ses chaussures à la main, elle laissa la parole à son interlocutrice, car ce n’était vraiment pas poli de parler sans laisser le temps aux autres de s’exprimer…
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MessageSujet: Re: Il pleut et alors ? [Libre] Il pleut et alors ? [Libre] EmptyDim 4 Oct - 18:47

    La fine pluie glacée continuait à tomber sans cesse dans la ruelle désormais vide. Allait-il y avoir une inondation ? On se le demande ! Marchant à pas lent, j'avais baissé la tête pour contempler bêtement le béton recouvert de vieux chewing-gum. Je connaissais cette rue par cœur mieux que le quartier où j'habite. Pourquoi cet endroit me plait-il ? C'est principalement dans cette ruelle que j'avais aperçu la première fois l'allure ondulante de ma mère qui se déployait comme un papillon. A cet époque, je n'aurai jamais imaginé se qu'une femme connue se devait d'être élégante pour ne pas être critiquer dans les magazines à scandale. J'avais maintenant adopté la même allure que cette femme, sophistiquée et reconnaissable par mille. Je détestai me prendre pour une star et se manque de naturalisme me désespérer, c'était malheureusement dans mes gaines. Je n'y pouvais plus rien à présent, je pouvais porter un jeans usé semblable à tout le monde, malgré tout les gens se retournaient pour m'admirer. Je voulais passer ce cap et devenir une femme, tout simplement. J'étais enfin libéré au fond de moi. Les pieds humides et glacés, je glissai sur l'avenue. Tout de même, j'étais peu fière de ma robe tout abimée, une robe que j'aurai mis en temps normal pour dormir.

    Si on réfléchissait, la journée n'avait pas été terrible. Bon, même si j'avais l'habitude de ses affreux paparazzis, j'avais moins l'habitude de la pluie et de trainer dans les rues sans chaussures. Il fallait tout recommencer, recommencer cette journée. A partir de où ? Je me contentais pour le moment, de trouver un taxi qui veulent bien de moi. Bizarrement, un seul s'était arrêté. Je me précipitai en courant comme une folle, vers sa voiture. Je lui adressai un sourire charmeur et lui fit par de ce que je recherchai. Il me coupa la parole.

    « Désolé mademoiselle Duffing mais je rentre chez moi. »
    « S'il vous plait, je suis prêt à vous donner trois fois votre salaire. »
    « Vous ne vous êtes pas vu ! Je n'ai pas vu de figurer sur tous les journaux de la ville ! Vous avez des limousines pour vous conduire ! »

    Il partit, fit mine de plus me voir. Tout le monde allait me laisser tomber ou quoi. De plus, il était hors de question que je retourne aux studios. Je subirai les moqueries et les remarques en tout genre. Tampi, j'allais marcher jusqu'à trouver un hôtel. J'avais envie d'appeler Johaan, Celie, Kaylee ou encore Céleste. On peut toujours compter sur ses amis.
    Sauf qu'au moment où j'allais sortir mon nouveau portable. Une jeune femme à la chevelure blonde et à allure délicate me heurta violemment. Après tout on était plus à une connerie de plus aujourd'hui. J'étais donc plaquée contre le sol, allongée et terriblement sous le choc. Avais-je une jambe cassée ? Ce serait exagérée. J'avais du mal à bouger car la demoiselle était aussi tombé. Fort heureusement, cette fille se releva vite ce qui me permit de me toucher le visage, voir si tout allait bien. Je me levais néanmoins dans difficulté puis je me frottais le dos. Vivement que j'aille chez le masseur ! Relevant la tête, j'aperçus une bouille familière. Étais-je en train de rêver ou la jeune personne se trouvait être Kaylee. De bon cœur Kaylee n'avait pas arrêter s'excuser:

    « Amaliya ! Quelle surprise ! Excuse moi, je ne regardais pas où j’allais… Je me disais justement que j’avais besoin de toi, pour du shopping ! »

    Je souris, tout contente de la retrouver et la pris dans mes bras. J'adorais Kaylee pour sa gentillesse et pour notre passion commune: le shopping. C'était bon de la voir, j'avais d'ailleurs beaucoup d'évènements à lui raconter. Très rapidement, je m'imaginai déjà la suite de la journée ou plutôt soirée qui allait se dérouler. Je m'empressai de rajouter:

    « Ah ça pour une surprise ! C'est une très belle surprise Kaylee ! Si tu savais tout ce qui s'est passé ! … Tu me connais toujours partante pour une bonne partie de shopping. En plus, je crois que j'en ai bien besoin. »

    Je ris de bon cœur en pensant à ma tenue désastreuse et pour du moins inattendue. J'admirai Kaylee, elle n'a fâcheusement pas confiance en elle. Ce qui est bien dommage à mon avis, j'essaie de lui redonner le plus possible confiance. En plus c'est compliqué quand une meute de paparazzis affamés veulent connaître la nouvelle amie que vous possédez. Situation délicate, je ne veux pas lui gâcher la vie comme eux me gâcher la vie. Enfin bref passons... Avec élégance, je ramassais précautionneusement mon parapluie tombé pendant notre chute. Puis, je continuai mon papotage:

    « Ça te dit d'aller chez Hobby Shop puis de se faire un massage chez Asian massage ou tu préfères boire ou manger quelque chose avant ? »

    Nous marchions comme des tops models comme à notre habitude. Je fermais puis ré-ouvris mon parapluie pour le mettre au dessus de nos têtes.


[hj: Ça te dérange pas que j'écris à la première personne du singulier ?]
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MessageSujet: Re: Il pleut et alors ? [Libre] Il pleut et alors ? [Libre] EmptyMer 7 Oct - 18:33

[hj : Nan, pas du tout, t'en fais pas^^ Et toi, ça te dérange pas si j'écris à la toisième personne ?]

Kaylee rayonnait. Elle était ravie d’être tombée sur Amaliya, et d’ailleurs cette dernière semblait être tout autant ravie. Comme d’habitude, elle semblait heureuse, elle avait la joie de vivre, elle riait de bon cœur, et la française riait avec elle. Les deux amies se ressemblaient par bien des points, mais elles se complétaient aussi. Enfaite, elles étaient faites pour s’entendre. Elles étaient toutes deux optimistes, joyeuses par nature, et elles adoraient toutes deux le shopping. En revanche, notre blondinette n’avait aucun sens de la mode, elle n’y connaissait strictement rien, s’habillant comme elle le souhaitait en fonction de son humeur. Par exemple, aujourd’hui, elle était vêtue tout simplement d’un slim noir, et d’un pull noir et blanc. Le tout accompagné de fausses converses noires. Une allure globalement noire, pour une journée qui avait démarré bien tristement…Mais maintenant qu’elle avait retrouvé son amie, elle opterait sans doute pour des couleurs vives… En tout cas, son sens de la mode était bien contraire à celui d’Amaliya, mais ça semblait couler de source, après tout il aurait été quelque peu bizarre qu’elle n’y connaisse rien en vêtement hautes coutures et je ne sais quoi d’autre… Mais ce grand écart n’empêchait nullement leur amitié, bien au contraire.

« Ça te dit d'aller chez Hobby Shop puis de se faire un massage chez Asian massage ou tu préfères boire ou manger quelque chose avant ? »

Ces paroles de l’américaine ramenèrent la française à une vérité fatale qui lui rabaissa l’humeur un millième de seconde : son amie était riche, pas elle. Mais ça, elle n’en parlait jamais. Elle ne dévoilait que très rarement qu’elle était loin de venir d’un milieu aise, bien qu’elle ait toujours vécu correctement. Ainsi, elle ne pouvait pas se permettre les sorties shopping à répétition, ou alors elle prenait bien soin de ne rien acheter. Après tout, quand on fait du shopping, on peut décider de seulement regarder, et surtout d’accompagner ses amies dans ce choix difficile qu’est celui des vêtements… Il n’empêchait que, parfois, ce manque d’argent embêtait sérieusement Kaylee. Elle n’aimait pas montrer qu’elle ne pouvait pas faire telle ou telle chose, du coup elle s’arrangeait toujours pour que son manque d’achats passent inaperçu. Mais pour une séance massage, c’était un peu plus compliqué. Elle ne pourrait pas se le permettre. Mais jamais, au grand jamais, elle ne le dirait à son amie… Alors elle choisit une autre alternative :

« Tu sais quoi ? Je te suis, on va où tu veux. Mais à part faire du lèche-vitrine et fouiller dans des tas de vêtements pour te trouver la perle rare, je n’ai besoin de rien d’autre. »

Elle adressa un grand sourire entendu à sa complice, un de ces sourires qui veut tout dire. Et là, elle lui disait : aujourd’hui, c’est toi la reine, je suis ton assistante. La blondinette était contente d’elle, elle avait trouvé une solution à son mini-problème, et cela ne l’empêcherait pas de passer un excellent moment en compagnie d’Amaliya. Elle se mit donc à suivre cette dernière, s’efforçant de ne pas marcher n’importe comment pour ne pas faire tâche sur la démarche de biche de l’américaine.
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