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Et quand viendra l'apocalypse, je voudrai qu'il ne reste que toi | Nam-Sun & Soshka

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MessageSujet: Et quand viendra l'apocalypse, je voudrai qu'il ne reste que toi | Nam-Sun & Soshka Et quand viendra l'apocalypse, je voudrai qu'il ne reste que toi | Nam-Sun & Soshka EmptyLun 16 Déc - 12:05

Et quand viendra l'apocalypse, je voudrai qu'il ne reste que toi
NAM-SUN & SOSHKA
Je suis plus trop sûre d’avoir envie de sortir, finalement. J’avais programmé une soirée de plus avec Nam-Sun, une soirée où je serais allée le chercher chez lui et où je l’aurais traîné de force dans un bar dansant de Broadway. Parce que j’avais une folle envie de faire la fête, de me vider de toute pression. J’avais tout prévu, la robe, les talons, la coiffure, le maquillage, tout. Tout pour être la plus belle pour aller danser. Et puis finalement, je suis là, affalée dans mon canapé, il est presque vingt heure, j’ai pas encore mangé et j’ai plus envie de sortir. Je pense à ma mère. Je pense à elle au moins une fois par jour, mais aujourd’hui elle n’avait pas arrêté d’envahir mes pensées. Ça me rend folle, de me dire qu’elle est peut-être là, quelque part dans le monde, bien vivante. Ça me rend folle de penser qu’on a pu l’enlever, mais c’est encore pire de penser qu’elle a choisi de partir. Sans moi. Ça fait neuf ans, bientôt dix, et au lieu de refermer la blessure, chaque jour qui passe l’ouvre un peu plus. Elle me manque, et je donnerais n’importe quoi, n’importe quoi pour la revoir. Ne serait-ce qu’une journée. Ne serait-ce qu’une minute. Au fond, plus que de sa présence, j’ai besoin de savoir pourquoi. J’ai besoin d’explications. J’ai besoin qu’elle me dise qu’elle n’a jamais eu l’intention de m’abandonner, mais qu’elle y a été contrainte. Qu’elle a toujours voulu revenir, mais que quelque chose l’en a empêchée. Pendant dix ans. Sans un appel, sans une lettre, sans un mot. C’était vrai pourtant, qu’il était plus logique de penser qu’elle était morte. Mais à chaque fois que j’y pensais, ça sonnait dans ma tête comme la meilleure blague du monde, et je ne mettais à rire, nerveusement mais de manière incontrôlable, parce que c’était impossible. Elle ne pouvait être qu’en vie. Et pendant que tout ça tourne dans ma tête, apparaît puis disparaît à mes pensées, je suis là, en train de foutre un plan à mon meilleur ami parce que je suis dans l’incapacité de bouger. Je crois que j’avais rendez-vous avec lui il y a une heure. Il doit me détester en ce moment, c’est pas cool d’être autant en retard sans prévenir. Je lui laisse un message où j’ai simplement écrit « j’arrive » puis je saute dans mes bottes, enfile mon manteau, et prend la direction de chez lui. Arrivée devant sa porte, je frappe et j’attends qu’il ouvre, j’ai peur d’avoir le droit au regard semi-énervé semi-exaspéré, mais on verra bien. « Salut Woolynn ! » je lui lance, parce que j’aime bien faire référence à ce prénom, j’aime bien son histoire et ce qu’il représente ; et aussi parce que si ça n’avait pas été ça,  je lui aurais balancé un surnom niais au possible type “Nam-Nam” ou “Sun-Sun”. Et il m’aurait détestée encore plus. « Ton frère est là ? » Je n’attends pas la réponse. « Ça te dit qu’on s’affale devant la télé et qu’on commande à manger ? » Avec ça j’espère aussi ne pas lui laisser le temps de m’engueuler sur le retard. Déjà que ça va pas fort ce soir, si en plus il m’engueule, je vais fondre en larmes.  
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MessageSujet: Re: Et quand viendra l'apocalypse, je voudrai qu'il ne reste que toi | Nam-Sun & Soshka Et quand viendra l'apocalypse, je voudrai qu'il ne reste que toi | Nam-Sun & Soshka EmptyLun 16 Déc - 13:34


SOSHKA & NAM-SUN
Et quand viendra l'apocalypse, je voudrai qu'il ne reste que toi




J’avais l’impression d’être dans un zoo. Est-ce que c’était le bon terme ? Je ne savais pas trop pour le coup, mais là vraiment, j’avais l’impression que ma tête allait exploser et pas qu’un peu. J’allais mourir sous peu. Autant ils pouvaient être soudé et être les trois doigts de la main, autant les triplés pouvaient parfois se disputer. Et bordel dans ces cas-là, il valait peut-être mieux fuir. Je ne les avais jamais vus se disputer, c’était la première fois de ma vie que j’assistais à « ça » et j’avais l’impression qu’on était en pleine troisième guerre mondiale. Hyung les regardait sans rien faire, ni rien dire, il était là, posté comme un con dans la cuisine en train de faire le repas. Il avait surement dû intervenir une fois au péril de sa vie. Est-ce qu’il s’en était remis ? Si lui n’intervenait pas, je n’allais pas le faire. Autant j’aimais faire chier Mi-Cha, autant les trois contre moi… Non je n’étais pas encore suicidaire. Me faufilant dans la cuisine je m’installais avant de prendre la carafe de jus d’orange et me servir un verre sans rien dire. La voix aigüe de Mi-Cha allait me percer les tympans, mais ce n’était pas grave. J’allais y survivre je présume ? Avalant plusieurs gorgée de jus d’orange, je posais le verre sans un bruit avant de regarder mon frère couper les légumes, il allait cuisiner coréen, pas besoin de poser la question. Tournant un vague regard sur le trio, j’avais comme l’impression à présent que les deux filles c’étaient alliée pour faire du mal à leur frère. Fuit Mi-Nyu, fuit tant qu’il est tant… J’avais de la peine pour lui là, vraiment. « C’est souvent comme ça ? » demandai-je en allumant la télévision l’air de rien. « Non, mais quand ça l’est vaut mieux pas s’en mêler. » souffla-t-il d’un ton désespéré. Tu m’étonnes. Zappant de chaine en chaine, je guettais l’heure, il fallait que je rentre à l’appart avant vingt heures. Non pas que j’avais le choix mais bon. Sosh’ voulait sortir ce soir, sans me laisser le choix. Je me demandais bien pourquoi j’étais ami avec elle tiens. Ah, que je suis méchant, je l’aimais bien cette petite, et puis avouons-le, pour le coup, ça me permettait de tirer mon épingle du jeu, et de partir d’ici, sans que la dispute ne se retourne contre moi. Avec les trois phénomènes ici présents, c’était capable d’arriver… Heureusement que je ne vivais pas loin, fin, si quand même, Park Avenue, ce n’est pas que mais c’était quand même assez grand. Sur une carte ça pouvait paraitre petit. Mais c’était grand. Soupirant longuement, je montais le son pour essayer d’écouter la télé comme je pouvais. « Eteint cette télé, tout de suite ! » Hurla Mi-Nam en me jetant un coussin dessus. Lui lançant un regard noir, j’attrapais le coussin pour le lui lancer mais mon frère me le prit des mains. « Sauf si t’es suicidaire, évite. » Plissant le nez, j’éteignis la télé avant d’annoncer que je partais d’ici avant de devenir chèvre. Une fois dehors, j’avais l’impression de revivre. Doux calme. Et pourtant, il y en avait du bruit dehors. Mais comparé à l’intérieur de l’appart c’était rien. Main dans les poches, je partis en direction de chez moi. C’était un simple petit appart dans Park Avenue, surement le logement le moins cher du coin, mais ça me suffisait, largement même. Pour deux ce n’était pas bien compliqué, et puis pour le temps que j’y passais dedans… Enfin, ce n’était pas moi qui payait alors je m’en foutais. Une fois arrivé, je pris une longue douche, histoire de me détendre, et commença à me préparer, non parce qu’elle était amplement capable d’arriver à l’avance, avec elle fallait quand même s’attendre à tout. Jean mis j’enfilais un t-shirt avant de sécher et coiffer mes cheveux. Je ne savais même pas ce qu’on allait faire ce soir. Elle ne m’avait rien dit du tout juste qu’on sortait elle et moi, genre je n’avais pas le choix. Enfin, heureusement à la base je n’avais rien de prévu. Et pourtant, l’heure du rendez-vous dépassé depuis dix minutes, elle n’était toujours pas là. J’allais la butter. Allumant la télé je m’installais sur le canapé en guettant l’heure. Vingt minutes, trente, quarante… Elle foutait quoi ? Il lui était arrivé quelque chose ? Non, qui voudrait l’enlever et abuser d’elle ? Impossible. Soupirant fortement, je commençais à m’impatienter quand je reçu un message. « J’arrive. » Ouais bah, il était temps ma cocotte. J’allais te rôtir. Comment on pouvait me faire attendre ? Hein ? Aish, les femmes. Quelques minutes plus tard, j’entendis frapper à la porte. La voilà. « Salut Woolynn ! » Haussant un sourcil, je regardais rapidement sa tenue avant de relever le regard vers ses yeux. « Ton frère est là ? » entrouvrant la bouche pour répondre, elle me coupa sans me laisser le temps de répondre. « Ça te dit qu’on s’affale devant la télé et qu’on commande à manger ? » Hein ? C’était ça le programme de la soirée ? Je m’étais préparé pour rien. Temps perdu. Lui lançant un regard plus que noir, je l’attrapais par le poignet pour la tirer à l’intérieur et fermer la porte. « J’espère que t’as une excuse valable pour ce retard ? Je n’accepterai que l’histoire des aliens qui t’ont embarqué sur Mars. » crachai-je avant de lui donner une pichenette sur le front. « Tae-Kyung n’est pas là, on est seul, n’oublie pas d’enlever tes chaussures. » ajoutai-je en regardant ses pieds. Ici on marchait pied nue, ou en chaussette. « Qu’est-ce que tu veux manger ? Je vais passer commande, c’est moi qui régale. » Bah, j’allais pas lui faire la gueule trente ans de toute façon, elle savait que même si je tirais la gueule au fond, je n’étais pas méchant, j’étais juste un peu bizarre.


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MessageSujet: Re: Et quand viendra l'apocalypse, je voudrai qu'il ne reste que toi | Nam-Sun & Soshka Et quand viendra l'apocalypse, je voudrai qu'il ne reste que toi | Nam-Sun & Soshka EmptyMer 18 Déc - 12:27

Et quand viendra l'apocalypse, je voudrai qu'il ne reste que toi
NAM-SUN & SOSHKA
Notre amitié à nous est spéciale. Il est la seule personne avec qui j’arrive à me comporter de manière relativement normale, sans avoir l’impression de faire des efforts surnaturels. Au contraire, avec Nam-Sun, c’est venu naturellement, au moment où j’en avais le plus besoin. Un jour, on s’est rencontrés ; depuis, on ne s’est pas lâché. Je me rappelle encore de lui comme le mec qui faisait des photos. On aurait dit un parfait touriste : il ne m’avait ni vue ni entendue m’approcher de lui, comme s’il n’y avait que lui, et son appareil photo, et que le reste n’importait pas. Je crois que ce jour-là, je l’avais dérangé en pleine séance, mais quand je vois où nous en sommes aujourd’hui, j’estime que ça en valait la peine. Il a le caractère parfait pour réguler le mien. Déjà, c’est la seule personne à qui je ne m’oppose pratiquement jamais, puisque il a plus ou moins toujours raison. Ensuite, à cause de sa froideur habituelle – parce que Dieu sait à quel point il peut être bougon – je suis la fille la plus heureuse du monde quand je lui arrache un éclat de rire. C’est tellement beau, et agréable à entendre, venant de lui. Enfin, et j’insiste là dessus, personne d’autre que lui n’a le droit de me faire la morale, parce qu’il est le seul à parler en totale connaissance de cause, personne ne me connaît aussi bien que lui. Je ne sais pas pourquoi je m’étais sentie tellement en confiance dès le premier abord. Il dégageait quelque chose, quelque chose de calme, et de tranquille, d’apaisant même, et c’était rare dans cette ville où tout allait toujours à deux cents à l’heure. Aujourd’hui, je l’ai adopté. Nam-Sun est à moi. Les ennemis de Nam-Sun sont mes ennemis, ce qui est à moi est à lui, et blablabla. Alors oui, je vais frapper à sa porte habillée en jean-bottines, et oui je suis en retard, et oui j’ai changé le programme de la soirée au dernier moment sans le prévenir, mais tant pis, je suis prête à recevoir mon châtiment, tant que je passe ma soirée avec lui. « J’espère que t’as une excuse valable pour ce retard ? Je n’accepterai que l’histoire des aliens qui t’ont embarqué sur Mars. » Je lui sors le regard du chat dans Shrek – bon ça fait rarement effet, avec lui, mais je le tente à chaque fois quand même – et je pouffe de rire en recevant sa pichenette. Il me remet d’aplomb immédiatement. Mon petit moral d’il y a quelques secondes est instantanément remplacé par une bonne humeur qui n’est pas près de s’évanouir. « Ils m’ont même emmenée encore plus loin » je dis en enlevant mes chaussures. « Ils m’ont emmenée au vidéo-club du coin de la rue ! » Je sors le DVD de la poche de mon manteau et le brandis comme un trophée. Oui il faut savoir que je suis super vieux-jeu sur ces trucs là, j’adore louer des films bien qu’on puisse les louer directement de notre téléviseur maintenant ; si je pouvais je louerais même des cassettes mais plus personne n’a de lecteur cassette chez lui de nos jours… Bon, on a l’appart pour nous tous seuls et je vais pouvoir rire fort et lui raconter des trucs sans importance, mettre un film qu’on regardera à peine en mangeant chinois et m’endormir sur son canapé. « Qu’est-ce que tu veux manger ? Je vais passer commande, c’est moi qui régale. » Je m’affale sur le canapé, trop heureuse, beaucoup trop heureuse d’être ici plutôt que chez moi à me morfondre. « Chinois, ça fait des jours que j’ai envie de poulet au caramel, et de nems aux crevettes. Et de nouilles aussi, plein de nouilles. Bref, ouais, chinois si ça te dit. » J’attrape le DVD que j’ai choisi. Pour être honnête, je l’ai pris vraiment au hasard, parce que je trouvais que la pochette était marrante, mais il est fort possible que ce soit un des plus gros navets de l’histoire. J’ai même pas regardé de quoi ça parlait. « Ça va toi ? Ça se passe bien chez les McCatruc ? » Je me rappelle jamais de leur nom et je suis pas sûre que ce soit très important. L’important c’est la soirée qui s’annonce. Le film, le repas chinois, et mon meilleur ami.   
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MessageSujet: Re: Et quand viendra l'apocalypse, je voudrai qu'il ne reste que toi | Nam-Sun & Soshka Et quand viendra l'apocalypse, je voudrai qu'il ne reste que toi | Nam-Sun & Soshka EmptyMer 18 Déc - 15:29


SOSHKA & NAM-SUN
Et quand viendra l'apocalypse, je voudrai qu'il ne reste que toi




« Ils m’ont même emmenée encore plus loin » ah bon ? Si les aliens s’intéressaient à elle, on était tous foutu. « Ils m’ont emmenée au vidéo-club du coin de la rue ! » Roulant des yeux, je ne pus m’empêcher de lâcher un bref rire. Mon Dieu si elle n’existait pas, il faudrait l’inventer cette nana. Il n’y en avait pas deux comme elle, c’était clair et net. « Depuis quand les Aliens sont si gentils ? C’est une nouveauté ? » demandai-je en me fichant d’elle. C’était bien pour ça que je l’aimais beaucoup. Soshka était une fille unique en son genre, elle n’avait aucun secret pour moi, et je ne saurais dire comment cela c’était produit, mais c’était ainsi. Moi qui d’habitude n’était pas le genre à avoir d’ami, je l’avais elle, c’était d’ailleurs la seule femme que je côtoyais. Bon on ne comptait pas la famille McCatamney, mais il fallait savoir une chose, c’était bien le fait que si jamais quelqu’un lui faisait du mal, je pourrais vraiment m’énerver. Elle ne méritait pas de souffrir. La regardant s’affaler sur le canapé, j’annonçais simplement que je payais la bouffe, elle n’avait qu’à choisir ce qu’elle voulait. J’étais pas du style compliqué non plus, alors c’était un avantage pour elle. « Chinois, ça fait des jours que j’ai envie de poulet au caramel, et de nems aux crevettes. Et de nouilles aussi, plein de nouilles. Bref, ouais, chinois si ça te dit. » Chinois ? Ça ne me dérangeait pas, enfin, ce n’était pas comme si je bouffais asiatique depuis que j’étais né, alors, un peu plus ou un peu moins. Il faudrait qu’un jour je lui fasse gouter la bouffe coréenne. Cette de Hyung était tellement bonne. J’en étais presque accro. Mon frère savait tout faire. Pour ma part, je ne saurais même pas me faire cuire un œuf. J’étais loin d’être débrouillard en bouffe, mais quand il fallait que je cuisine, je faisais de mon mieux et ça ne ratait jamais. Mais mieux valait que je ne cuisine pas souvent non plus. C’était un truc de femme pour moi. « Va pour ça alors, je commande de ce pas ! En mode morfale je commande. » Lâchai-je l’air de rien. J’étais loin d’aimer les filles qui faisaient attention à leur ligne. Même si je faisais souvent chier Mi-Cha avec ça en la traitant de grosse, c’était plus pour la taquiner qu’autre chose. « Ça va toi ? Ça se passe bien chez les McCatruc ? » Oh non qu’elle ne m’en parle pas. Cette famille de fou, elle me sauvait la vie. Lui faisant signe d’attendre le temps que je passe le coup de fil, je me mis rapidement à passer commande en annonçant alors l’adresse de la livraison. New-York, c’était bien pour ça. Enfin, n’importe quelle grande ville. Posant mon téléphone une fois la commande passé, je soupirais en me frottant le visage. « McCatamney. Et pitié ne m’en parle pas, j’y étais tout à l’heure. Ce sont des fous. Les triplés étaient limite en train de s’étriper entre eux, et j’ai failli y passer quand j’ai voulu regarder la télévision. Une famille de barge. Je doute de leur santé mentale. » soufflai-je en filant rapidement dans ma chambre. Troquant mes fringues actuelles pour un pantalon survêtement et un débardeur. J’étais plus à l’aise dans ce genre de fringue personnellement. Une fois habillé, je filais au salon pour la pousser d’un coup de pied l’air de rien. Ce n’est pas que mais elle prenait toute la place, je n’allais pas squatter le sol quand même. M’affalant à mon tour sur le canapé, je posais mes pieds sur la table basse en face avant de soupirer. « Tu nous as pris quoi comme film ? Putain si t’as pris un truc à l’eau de rose je te rase la tête. » Crachai-je en lui lançant un regard faussement méchant. « Et toi ? Ça va ? » demandai-je en la détaillant longuement. Je ne savais même pas pourquoi je demandais, mais de ce que je voyais, la réponse était clairement non. Pas besoin d’être psy, je pouvais lire en elle comme dans un livre ouvert.


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MessageSujet: Re: Et quand viendra l'apocalypse, je voudrai qu'il ne reste que toi | Nam-Sun & Soshka Et quand viendra l'apocalypse, je voudrai qu'il ne reste que toi | Nam-Sun & Soshka Empty

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