Kelly avait besoin de neuf dans sa vie. Elle n’était plus qu’à petite année des 25 ans et c’était maintenant ou jamais qu’il fallait qu’elle réalise ses rêves. Etre la gérante d’une librairie n’avait jamais était son rêve, encore moins d’en posséder une. Cette opportunité lui était tombé dessus et l’avait saisit. Mais elle désirait autre chose que passer des heures entières à attendre que des adolescents boutonneux rentre dans la librairie spécialisé dans les Mangas, pour parfois – bien trop souvent ! – ne rien acheter. Kelly rêvait d’autre chose et elle avait une petite idée ce qu’elle allait faire. Seulement pour ça il fallait qu’elle vende le Sakura. Elle l’avait acheté avec l’argent prévu pour ses études, quand elle avait réalisé que la fac ce n’était pas son truc. Dans un sens acheter quelque chose était un bon investissement mais à la réflexion elle aurait dût acheter autre chose. Les Mangas lui avait semblait être une bonne idée à l’époque où sa copine en lisait un à deux par semaine. Seulement voilà, la jolie bisexuelle était passée à autre chose, trouvant ce genre de lecture plus tout à fait en accord avec son état d’esprit. Kelly en ce moment était plus branché yoga, sophrologie, ouverture d’esprit et relaxation que japon, baguette, boobs et sushi. La jolie blonde voulait être en accord avec son corps et son esprit et ce n’était certainement pas en restant libraire qu’elle allait se sentir pleinement accomplie. Elle avait deux projets. 1) Lancer sa propre manque de vêtement. 2) Intégré la C.I.A pour se sentir pleinement utile. Oh elle aurait pût se contenté de rejoindre une association ou de participé à une action humanitaire mais la C.I.A lui semblait être... plus intéressant. La Flynn ne voulait pas servir la soupe populaire, faire la potiche qui sourit mais réellement changer le monde, trouver sa place. Enfin !

Quoiqu’il en soit ce jour là elle avait rendez vous avec une femme intéressé pour racheter le Sakura. Kelly espérait que ce rendez vous aboutirait à la signature du contrat de vente. Elle gara son scooter rose devant la boutique et enleva son casque avant de faire tourner sa clé dans la serrure. Elle entra et s’empressa d’éclairait la boutique. Elle eut tout juste le temps de le faire car déjà la potentielle acheteuse était là.

La Mairie avait eu le don de me dire que la librairie après le fleuriste était en vente. Et que si je l’achetais, il me donnerait l’argent enfin une partie de l’argent. J’avais été voir mon banquier et le prix que la fleuriste me donnait et la vente de la librairie serait donc sur un petit prêt. Je pouvais donc le moduler, avec mes économies que j’avais placées, je pouvais donc me le permettre. Enfin, je préférais emprunter à la banque de le faire aux gens du quartier. Donc, je préférai alors prendre le temps pour tout faire convenablement. Donc sortant de ma boutique, j’avais laissé le Père Sanchez afin de pouvoir y aller. Il avait vu déjà le lieu, mais il voudrait que je me fasse une idée du lieu. Donc tout en me dirigeant vers le lieu. Il y avait un nom dessus. Et il était certains que j’allais l’enlever. Du coup, en levant la tête, je me disais que je devrais donc faire des travaux afin de jumeler les collections et celles que j’avais. Enfin, je fermerais sans doute une partie de la boutique avec un rideau et je laisserais celle déjà fini ouverte au public. Afin de ne pas trop perdre de bénéfices, il me fallait donc aussi faire un effort. Je marchais donc pour aller devant cette boutique.

Passant donc la porte, je me retrouvais donc dans le lieu. Il était du même style que celui que j’avais fait chez moi « Chez Mara ». Chez le fleuriste, c’était la même chose, donc le sol finalement ne devra pas être changé. Il fallait juste que je trouve des étagères à mettre au milieu dans la salle de la fleuriste. Je prendrais sans doute une caisse que je mettrais ici, ou alors je n’en mets pas et je laisse celle du début. Déjà, je voulais fermer et enlever la porte, et mettre une vitrine tout le long. Afin d’avoir la lumière le plus possible dans ma boutique. Regardant autour de moi, je voyais donc que je n’aurais sans doute pas trop besoin de travaux, à part la porte pour mener de la fleuriste et à l’ancienne boutique, je devais juste réajuster le milieu. Les étagères devaient être relasurées mais cela n’était pas bien compliqué. Ensuite, la devanture, j’avais juste décidé de la peindre en bleu et de mettre en blanc l’intitulé de la boutique et à côté « Librairie-papeterie ». Une simple chose mais qui finalement me plairait bien. Tout en réfléchissant à cela, je me tournais vers la propriétaire du lieu.

- « Bonjour, Mlle Denali, je vous ai appelé dans le but d’acheter votre boutique. Il serait possible de la visiter ? »

{Vraiment désolé du retard...}

« Bonjour, Mlle Denali, je vous ai appelé dans le but d’acheter votre boutique. Il serait possible de la visiter ? » Kelly observa l’inconnu et se fit la réflexion qu’elle n’était pas son genre. Tous les célibataires faisaient consciemment ou non ce genre de chose. Quand on est un cœur à prendre, ou même quand on enchaine les aventures sans lendemain un coup cœur peut vous tomber dessus à tout bout de champs. Les hommes et les femmes célibataires le font naturellement avec le sexe opposé. Kelly étant lesbienne, elle le faisait quand elle rencontrait une femme. « Bonjour, Mlle Flynn. Bien sûr suivait moi. » Lui dit-elle avant d’avancer dans la boutique. Elle n’était pas bien grande mais il régnait à l’intérieur une ambiance bien particulière qui faisait son charme. « Ici ce trouve les mangas pour fille. Sur ce rayonnage se trouve ceux d’action. » Dit-elle en avançant. « Dans cette vitrine j’entrepose les figurines. J’ai beaucoup d’habitué qui vienne juste pour ça. Il y a plein de boutique de Manga à New-York mais moins qui vende des figurines. Celles de One Pièce ont notamment beaucoup de succès. » Kelly laissa le soin à la future acheteuse de regarder la pièce qui s’offrait à elle. « La boutique fait 25m² à l’étage il y a une petite pièce au sous sol où sont entreposé les mangas d’occasion. On y descend par l’escalier en colimaçon qui est là. Ah oui, il y a également des toilettes, un vestiaire et une douche en arrière boutique car c’était une boulangerie avant. Je sais c’est un peu étrange. Vous voulez qu’on descende ? » Lui demanda-t-elle en faisant face à l’escalier en colimaçon.

Suivant la jeune femme, je voyais donc une petite boutique et bien entendu des petites idées qui me plaisaient bien. En effet, les ventes des figurines pourraient être aussi une bonne chose pour moi. Il me faudrait aussi placer des caméras de surveillance. « Bien, de toute façon, je voulais mettre les BD et les mangas ici. Il sera fort possible que je laisse cette pièce avec ces genres de livres. » M’approchant des figurines, je demandais : « Vous avez gardé le fournisseur pour cela ? Je ne sais pas du tout où les acheter. »

Mettant alors mon nez un peu plus proche de la vitrine, je voulais donc simplement regarder un peu plus près de quoi il s’agissait. Reculant un peu, je regardais donc avec attention la vendeuse. Il était clair que maintenant, j’allais encore m’agrandir, et que mon banquier avait accepté que je prenne cet achat dans la suite de mon prêt. Donc peu de frais, et finalement qu’un seul prêt. Regardant autour de moi, j’avais dans l’idée de faire avec l’arrière de la boutique une salle de bain que je vais relier avec l’étage au-dessus. Réfléchissant, à ce que je pourrais faire pour la suite. Donc tout en sachant que je pourrais aussi avancer dans cette histoire. Je demandais alors à mon interlocutrice.

« Oui, je veux bien aller voir le sous-sol et voir si je peux relier le tout avec le sous-sol de mon autre local. » Je patientais pour voir sa réponse.

« Oui, je suis celle qui se trouve juste à côté de la vôtre. J’ai repris l’ancien magasin de fleurs et je l’ai ajouté à ma boutique. Je trouve qu’il en faut pour tous les goûts. Donc, pourquoi pas. »

Avançant pour regarder dans une autre direction, je me rendais compte que la pièce serait un peu petite, mais si j’ouvrais pour prendre l’autre côté de l’étagère je pouvais donc rajouter une petite surface en plus. Afin de faire la liaison avec l’autre côté, il me fallait alors trouver une façon simple mais efficace d’agencer ma boutique. Suivant la dame pour aller voir le sous-sol, j’allais donc pu constater que je pourrais alors rajouter un peu plus de stock. Je voulais bien séparer le tout, et je vendais déjà des mangas dans ma boutique. Sauf que Nanami ne m’avait pas tout trouvé et il me fallait aussi lui demander. D’ailleurs dès que je la verrais, je lui poserais alors la question. Je disais à mon interlocutrice.

« C’est une pièce qui est quand même intéressante pour en faire une pièce de stockage. »

M’approchant des livres, je voyais donc qu’il y en avait des plus anciens. Il me faudrait alors me renseigner pour savoir le prix que je pouvais donc en tirer. Me tournant vers la jeune femme, je lui demandais : « Vous vendez bien le fond avec ? » C’était important pour moi de savoir si je pouvais donc vendre les livres qui se trouvaient dans le stock. Même si je ne voulais pas l’avouer, j’avais vu des petites merveilles dans les étagères. Et si mon nez avait gardé son flair, j’aurais un apport avec les collectionneurs et musées qui seraient intéressés par ces livres anciens.

«  La boutique de fleur et maintenant le Sakura ? Waw ! C’est vraiment une très grosse librairie que vous avez envie de faire. J’espère pour vous qu’elle aura du succès parce que le marché n’est pas très porteur... » Ce n’était un secret pour personne que même si le livre échapper à la crise économique présente un peu partout dans le monde grâce à la loi Lang, obligeant un prix unique fixer par l’éditeur, Amazon et autre site internet menaçait grandement les petits commerce. Il valait avoir de l’audace pour ouvrir une librairie par les temps qui courent. De l’audace ou être complètement inconscient !



« C’est une pièce qui est quand même intéressante pour en faire une pièce de stockage. » «  Oui. C’est sûr que si votre librairie devient immense, il vous faudra de quoi stocker les livraisons de livre. Cette utilisation pourrait intéressante. » Qu’est-ce qu’il ne fallait pas dire pour conclure la vente ! Et toute honnêteté, Kelly n’avait pas la fibre commerciale et elle serait la dernière à pouvoir vanter les avantages d’un lieu qu’elle avait en horreur. Elle n’avait rien à proprement parler contre le Sakura mais... ici elle se sentait étouffé ! Elle avait besoin de renouveau, de faire autre chose.



« Vous vendez bien le fond avec ? » «  Bien sûr sauf... » Kelly se concentra sur l’étagère pour trouver ce qu’elle cherchait. «  Celui-là, lui et lui » dit-elle en attrapant trois mangas. La blondinette ne l’avait pas fait exprès mais elle venait d’attraper exactement les livres qui intéressé Olive pour les collectionneurs. Kelly avait choisit ceux-là pour Willow. Elle était certaine que si elle la retrouvait un jour, ces livres là lui plairaient. Pas de bol pour Olive ! Peut-être qu’en négociant... 

« C’est un rêve qui se réalise, j’espère bien que cela va durer le plus longtemps possible. Enfin, avec l’aide de la mairie cela est possible donc pour le moment j’en profite. »

Tout en souriant, je comprenais bien qu’il était mieux pour moi de suivre mon intuition. Tout en l’observant doucement, je me disais qu’il faudrait bien que cela change. Enfin, pour le moment, je trouvais que je devais faire tout bien. Regardant un peu plus les étagères, je m’approchais d’elles. Elles étaient en métal et il me faudrait donc les repeindre afin qu’elles durent le plus souvent possible. Je tapotais alors un peu l’objet, et regardant les fixations, j’avais alors une idée. Il suffisait juste que je les accroche entre elles. Avec deux coups de peinture par la suite, j’aurais alors une merveilleuse étagère pour ranger.

« Après, je ne m’agrandis plus, je reste comme cela. C’est juste que je vais habiter au-dessus pour le moment et donc que j’aimerais bien un peu de place. Puis je ne compte pas déménager. En tous les cas, je vais certainement continuer le stockage au sous-sol. »

Ne voulant pas me faire avoir, je regardais attentivement partout. Tandis qu’elle me disait qu’elle me vendait le fond sauf trois livres, je lui demandais : « Sauf les trois-là ? Et bien, si vous ne prenez que cela, c’est parfait. Si vous en prenez plus, la vente risque d’échouer. Si l’on s’arrange bien, normalement, tout se passera bien. » Lui souriant, je voulais qu’elle sache que je pouvais donc comprendre qu’elle avait encore des choses à faire. Il fallait juste qu’elle comprenne que la vente était tellement détaillée qu’il ne faudrait pas qu’elle m’arnaque. Je lui disais quand même par la suite : « En tous les cas, merci de m’avoir fait visiter votre boutique. Vous avez eu des propositions d’achats ? »

« En tous les cas, merci de m’avoir fait visiter votre boutique. Vous avez eu des propositions d’achats ? » «  De rien. Plusieurs. » Kelly n’était pas idiote si elle répondait un truc du genre «  non vous êtes ma seule offre », son interlocutrice allait prendre son temps pour ce décidé et voir peut-être même essayer de faire baisser le prix. «  Je rencontre un couple demain qui voudrait faire de l’endroit un sex-shop. » Sachant que la librairie d’Olive se trouver dans la même rue, cette idée de Sex-shop allait forcément l’embêter. Bien sûr Kelly ne devait voir aucun couple ayant dans l’idée d’ouvrir ce genre de boutique ! Mais dans le cas contraire, la réputation de la ruelle en aurait prit un coup.... « Ils semblaient d’ailleurs presser d’acheter. » rajouta-t-elle dans l’espoir que la vente se concluait aujourd’hui. Elle avait vraiment hâte de tiré un trait sur le Sakura et de faire autre chose de sa vie. Chercher pendant des mois et des mois un acheteur n’était pas vraiment dans ses projets. Kelly avait déjà cherché sa jumelle pendant longtemps, c’était amplement suffisent. Quand elle pensait à Willow, la Flynn se demandait toujours si elle la reverrait un jour. «  Voilà nous avons fait le tour. Suivez-moi. » Dit-elle en reprenant l’escalier en colimaçon. Les deux jeunes femmes se retrouvèrent au rez-de-chaussé de la librairie. Deux adolescents rentrèrent à ce moment là. «  Bonjour, j’peux vous aider ? » «  B’jour, on est venu chercher le dernier One Piece. » «  Il sort le 4 Juillet. » «  Ah... Bon tant pis. Merci aurevoir. » «  Aurevoir. » Kelly jeta alors un oeil à Melle Denali, leur entretien touchant à sa fin.

« Plusieurs ? » La déception se lisait sur mon visage, j’aurais tant voulu avoir cet emplacement. Je lui demandais alors : « Je peux quand même proposer un prix ? » Je voulais le prix mais avec une légère baisse de deux mille dollars. J’avais demandé l’avis d’un expert dans le commerce le même à qui j’avais acheté la boutique. Enfin il était le fils de la vieille dame et il m’avait donné son avis. Donc, je voulais quand même acheter ce local pour la bonne raison que cela me permettrait de faire les choses bien.

Je répondais à mon interlocutrice : « Et la mairie va laisser faire ça ? C’est étonnant qu’ils laissent comme ça. »Tandis que j’imaginais cet endroit transformé en cela, j’avais comme cette sensation de dégout qui prenait donc place dans ma tête. Je demandais alors à la vendeuse : « Si la vente se fait, vous aurez un chèque rapidement. » Un petit message pour dire que j’acceptais d’acheter sa boutique, mais bon, il fallait aussi qu’elle réfléchisse si elle allait dire oui ou non. Remontant dans sa boutique, je voyais un client qui voulait un manga. Il allait sans doute passer dans ma boutique. Encore heureux que j’avais acheté des manga à mon amie Nanami. Enfin souriant alors à Mlle Flynn, je me demandais bien ce qu’elle me dirait.

« Plusieurs ? » La déception était visible sur le visage de la potentielle acheteuse et intérieurement Kelly jubilait. Si elle cachait son jeu ce n’était pas le cas de la Denali qui montrait clairement son intérêt pour la boutique. La blonde était certaine que ce n’était qu’une question de minute avant que la vente soit conclue et ça se passerait entre elle et non par l’intermédiaire d’un notaire, ce n’était que plus tard que ce professionnel rentrerait dans la partie. Même si la vente devait avoir lieu c’était sans nul doute la dernière fois que Kelly verrait Melle Denali. Elle laisserait le notaire et son avocat s’occuper de la paperasse... La Flynn avait déjà l’esprit bien loin du Sakura. Elle étouffait ici alors elle perdrait sans aucun pas son temps à enchainer les rendez vous avec Melle Denali, elle signerait ce qu’il y avait à signer, et ça s’arrêter là. « Je peux quand même proposer un prix ? » «  J’vous en prit, proposer. » répondit-elle en souriant. « Et la mairie va laisser faire ça ? C’est étonnant qu’ils laissent comme ça. » Lui dit alors la jeune femme, s’indignant du soit disant sex-shop qui allait être construit. «  J’imagine qu’ils pensent que ça plaira aux touristes ! C’est l’inconvenant de vivre dans une ville aussi prisé que New-York. » « Si la vente se fait, vous aurez un chèque rapidement. » En voilà une intéressante information qui n’entra pas dans l’oreille d’une sourde. «  Si ça ne tenait qu’à moi. La vente serait faite... Il suffirait que vous me signer une promesse de vente à faire passer à mon notaire et la boutique pourrait être  à vous d’ici... 3 jours ? »

« Je ferais une proposition à votre notaire pour que cela soit le plus complet et juste possible. » Je ne voyais pas trop quoi dire d’autres, il fallait bien l’avouer, mais pour le moment, je devais donc aussi m’attendre à ce qu’elle me dise non ou oui. De toute évidence, je voulais juste avancer de façon à pouvoir mieux me préparer pour la suite. Je prenais quand même le temps de répondre à mon interlocutrice. « Sans doute, enfin, il faut faire avec. De toute façon, il est parfois nécessaire de changer les choses si l’on veut avancer. » Tandis qu’elle me disait que la promesse de vente serait signée rapidement, je me demandais bien si cela était une véritable phrase sincère ou juste un mot de façon à ce que tout cela aille bien plus vite. Il était donc normal pour moi que je me pose des questions. De toute évidence, il fallait que je fasse attention à la suite des évènements, je demandais alors : « Vous avez l’air de vouloir partir rapidement d’ici. » Il y avait bien une drôle de sensation qui venait vers moi, et je préférais donc aussi ne pas me tromper. « Trois jours, oui cela est faisable. Seulement, ce n’est pas une semaine normalement ? » Il fallait bien laisser un peu de temps à l’acheteur pour réunir l’argent et trouver donc les choses qu’il fallait faire pour rendre la vente nécessaire.