« S’il te plaiiiiiiiiiiiiiit dis ouiiiiiiii Charlie si je ne vais pas à ce concert je vais… je vais… Euh je vais… » « C’est d’accord ! » « Yeeeeeeees. Tu va voir tu ne le regretteras pas, tu te souviendras du concert des Véronicas comme le meilleur de ta toute vie. » Conclue la canadienne avec un sourire, ravie. « ça tombe pendant les vacances de Pâques c’est ça ? » « C’est ça. J’irais sûrement rendre visite à mes parents la première semaine mais la deuxième je serais toute à toi. » « Spencer t’accompagne au Canada ? » « Je ne sais pas encore. » Les deux étudiantes discutaient ainsi en rassemblant leurs affaires après leur cour. La fac de Columbia était bien moins surpeuplé qu’en Septembre, certain étudiant ayant raté leur dernier partiels et abandonnant ainsi les salles de cour. Kennedy se languissait ce concert car il lui permettrait de ce changer les idées, de surtout ne plus penser à Dylan. Elle qui est une rebelle dans l’âme, passionné de photographie et qui avait une sainte horreur des filles superficielles avait l’impression de s’être transformer en vrai guimauve ces derniers temps. Il est vrai que sa vie sentimentale avait connu certain déboire. Lucas, Timéo, Dylan… Mais il n’y avait tout de même pas que les garçons dans la vie, non ? La Kerrigan s’en sortait très bien sans eux avant, alors ce n’était pas aujourd’hui qu’elle allait commençait à s’apitoyer sur son sort ! Tout ce qu’il lui fallait c’était des projets, des enquêtes, bref tout ce qu’elle adorait. Elle se languissait aussi son prochain stage, elle avait notamment adoré celui qu’elle avait fait au New-York Times.

« C’est quoi ton prochain cour Kenny ? » « J’ai une heure de perm’s, j’vais aller à la biblio pour faire des recherches sur les poisons. On a une diserte à faire dessus en Toxicologie. On se rejoint après ? » « Ça marche. Amuse-toi bien. » Un sourire et Kennedy se dirigea vers la bibliothèque. Elle flâna dans les rayons et adressa un sourire hypocrite à la Bibliothécaire qui la fusillait du regard à cause de ses bottines qui claquer sur le sol. A croire qu’on ne pouvait même pas respiré dans la salle des tortures, comme l’appelait William, son meilleur ami. Elle attrapa un des livres et étouffa un cri en apercevant une souris. Paniquer elle lâcha le livre et quitta le rayon mais l’animal la suivit. Kennedy courut, ne supportant pas ses sales bêtes. Terrorisait, elle grimpa sur une des tables, poussant un petit gémissement et ne lâchant pas l’animal des yeux. La souris était là, juste en bas, ne bougeant pas comme si elle était apprivoisée…. Kennedy elle, ne comptait pas descendre tant que cette CHOSE serait là !!!!