∞ Luke & Laura

« party, sex, rock n'roll »

A bout de souffle, je m’asseyais sur le plancher du théâtre. Décrochée ce rôle principal était une chance rêvait dans ma carrière malgré tout ce que ça engendrer. Enfin s’était surtout des tensions avec Amaury qui ne cherchait pas plus que ça à faire des efforts. Son histoire avec Neige commençait sérieusement en pâtir sur nos entrainements. Encore un peu et il ferait une faute en me laissant tomber lors d’un portée. Et ça, s’était juste inconcevable s’il tenait à rester en vie. Mais là, j’étais toute seule à m’entrainer. Je devais revoir mes solos sur scène avec le chorégraphe et le metteur en scène. Autant dire que je revoyais en boucle et en boucle certains passages. La plante de mes pieds et mes jambes me brûlaient tellement l’effort était intense, et je devinais facilement que le talon de mes chaussures devaient être sauvagement abimé. Au bout de deux heures de réglages, de modification de la choré, il me semblait apercevoir un semblant de sourire sur le visage du metteur en scène. « Pause pour tout le monde, on reprend dans quinze minutes. » Un « Quoi ? » s’échappait silencieusement de ma bouche. Après autant d’effort, il me semblait avoir le droit à une pause bien plus longue que celle là. Voilà, à quoi s’était résumé une grosse partie de ma journée, à faire des répétitions de danse.
Finalement je quittais le théâtre à seize heures, ou dans les environs, je ne faisais plus vraiment attention à l’heure dans ses moments là, préférant juste aller au SPA de luxe le plus proche, afin de profiter de leur massage délicieux après un dur entrainement. Je me laissais totalement me détendre, même si un message de mon frère sur mon téléphone avait retenu mon attention. Laura, il faut qu’on se voit, j’ai à te parler. Depuis quand cherchait-il mon accord pour que l’on se parle ? Ce n’était pas comme si la comédie musicale me prenait tout mon temps non plus. Je rangeais mon téléphone dans mon sac dernier cri sans même prendre le soin de répondre. Je savais bien que ça le mettrait totalement en boule que je ne réponde pas, mais ce genre de message était sous-entendu : prépare toi, on va s’engueuler. J’avais déjà passé une journée assez rude, pas la peine d’en rajouter une couche.

Je rentrais tranquillement dans mon petit loft, l’avantage de vivre seule, était que je n’étais emmerdée par personne pour des soucis de vaisselles, ou de ménage, de mecs que je pourrais ramener et j’en passais. En parlant de garçons, j’avais tellement passé de temps pour la comédie musicale, que je ne me souvenais même plus ce que s’était que de draguer un bon coup. Et puis j’avais un père à faire enrager aussi de mon côté. « Allo Walter, préparer ma voiture pour ce soir, je suis de sortie. 23h en bas de mon appartement. » Après deux trois appels, je trouvais quelques connaissances prête à venir avec moi pour aller danser à l’Awesome ce soir. Pour une fois que je pouvais danser sans même avoir à penser à mes pas.

Avec les filles, nous avions déjà une bouteille de champagne de bu alors que la soirée ne faisait que commençait. Direction l’Awesome pour une nuit qui n’était pas prête de se terminer. Arrivée là bas, un serveur nous installait dans un carré confortable, avec cette fois-ci une étape au dessus, une bonne bouteille de vodka lui était commandée. Après quelques verres, je me sentais d’humeur très joyeuse et voyant l’un des podiums de disponible, je lâchais les filles – enfin en même temps ce n’était pas comme si j’étais proche d’elle, donc je m’en foutais qu’elles se joignent à moi ou non – pour justement aller dessus. Alors que je m’apprêtais à monter dessus, un charmant jeune homme me tenait la main pour monter dessus. L’aide n’était pas de refus avec mes dix centimètres de talons hauts et les verres dans le nez. Je le gratifiais d’un sourire mais je n’allais pas m’arrêter là. J’avais envie de tester mon potentiel de séduction, peut importe les retours qu’aurait mon père. Je tirais sur la main qu’il m’avait tendue pour l’attirer avec moi sur le podium, persuadée qu’il ne partirait pas. Je lui offrais comme un mini-spectacle de danse, étant danseuse, mon corps et mes gestes s’associaient dans une grande élégance, et dans un déhanché sans pareil – la modestie n’était pas mon fort, je le savais très bien. S’était juste d’une facilité incroyable. Dans un regard soutenu, je l’incitais à danser avec moi.

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J’adorais jouer, taquiner, séduire, charmer, et évidemment jeter quand j’en avais fini avec les personnes concernées. J’avançais avec ça, j’avais déjà une vie assez bien chargée pour ne pas m’encombrer avec un homme dans les pattes, ça s’était sur. Je n’étais pas contre les histoires d’amour, mais je ne courais pas après, et pour l’instant, je ne trouvais pas d’homme assez digne pour lui accorder cette part sensible. J’avais bien trop souvent vu des filles pleuraient pour un homme, tellement que je les trouvais pathétique, alors non, je ne voulais pas leur ressembler, même si on pouvait lire dans les livres qu’il valait mieux souffrir que de ne jamais connaitre ce sentiment. J’avais plutôt envie de dire : allez tous en enfer avec vos sentiments !

Sur ce podium, je me déhanchais finement mais je sentais dans le regard de mon partenaire que cela faisait son petit effet, pour mon plus grand plaisir. Il avait une certaine classe en le regardant et un petit air narquois qui fallait l’avouer pourrait faire fondre pas mal de jeunes femmes ici présentes. Pas de chance mesdemoiselles, pour ce soir, il se trouve être ma proie. Alors que j’insistais lourdement du regard pour qu’il daigne enfin se rapprocher de moi, il fait avec une grande délicatesse, et les quelques verres aidant, je me collais d’avantage à lui alors que la musique venait de basculer vers danse bien plus sexy que la précédente. Dans un geste gracieux – et une fois de plus, je me demandais bien comment en étant « joyeuse » avec l’alcool je pouvais encore garder cette grâce – je passais ma jambe entre les siennes, en prononçant un peu plus fort mon déhanché contre lui. Pour être dans le métier, je sentais très bien que les pas étaient assurés, mais sans pour autant ceux d’un danseur de métier, juste quelqu’un qui maitrisait quelques pas de base mais s’était tout. Pour ma part, j’avais eu toute sorte de cours que ça aille de la salsa, au tango, à la maitrise de base de la valse, je pense que j’étais passée par tous les styles de danses possibles et inimaginables. Donc une espèce de petit zouk improvisé ne me faisait absolument pas peur. Je profitais du moment tout simplement, carpe diem, car il fallait avouer que cette soirée tournait vraiment pas mal du tout. J’avais bien fait de sortir ce soir. Je commençais à avoir la température du corps qui augmentait légèrement, au point que lorsque le jeune homme s’approchait de moi pour me souffler son prénom au creux de l’oreille, j’eus un léger frisson, qui passait très certainement inaperçu cependant. Luke donc. Je me penchais à mon tour pour lui faire entendre mon prénom. « Moi c’est Anastasia. » Pour le moment, je préférais lui donner mon deuxième prénom que le premier. Même si je comptais juste jouer avec ce garçon, je commençais à me faire un nom sur Broadway, et je ne voulais pas prendre le risque d’être reconnu en donnant le prénom qui me servait également à faire de la scène. Bonjour le scandale après, et mon producteur n’apprécierait pas, s’était certain.

Nous dansions au rythme endiablé de la belle voix de Shakira, mais toute bonne chanson avait une fin, et il fallait avouer que tout ça m’avait donné drôlement soif. Je regrettais légèrement de quitter les bras de Luke, mais histoire de savoir où la soirée mènerait, je lui faisais signe du doigt de me suivre. Non non garçon, je ne t’emmène pas au parking, je suis bien plus classe que ça. Là où avant je m’étais posée avec mes amies, enfin des pseudo-amies, en me voyant arriver avec un jeune homme, elles ont déguerpis encore plus vite que je ne le pensais. Braves filles bien éduqués. La musique était déjà un cran moins forte, et avec la lumière, je pouvais enfin distinguer les traits du visage de Luke. Et bien, en le regardant bien, ça serait presque à demander que tout le monde sorte de la boite, histoire de profiter pleinement. Mais trêve de fantasme, je me penchais sur la table pour prendre la bouteille de vodka qui y trônait fièrement. « Je t’offre un verre ? » lui proposais-je assez fort pour qu’il me comprenne. Je le fixais puis portais mon attention sur la bouteille, je servais les deux verres tout de même sans forcément attendre une réponse de sa part. Après tout, il n’allait pas me refuser ça, si ? Je lui tendais un verre en me rapprochant au plus possible de lui, créer un petit espace d’intimité, tout en levant le mien. « A cette soirée qui sera la notre. » toujours dans la même intonation, mais avec le petit sourire qui en disait plus sur mes attentes de la soirée. Quand la Miss Szadowski voulait quelque chose, il était très rare qu’elle n’obtienne pas ce qu’elle veut.

∞ Luke & Laura

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« Très jolie prénom » entendais-je me murmurer au creux de l’oreille. Si seulement il savait que ce n’était pas mon prénom d’usage. C’était l’avantage avec les hommes rencontraient en soirée comme cela, il n’était pas forcément obligé de connaitre toute la vérité. Mais si mon frère était présent quelque part dans la salle, on aurait surement entendu un « Laura » bien hurlant à mon intention qui en dirait long sur son mécontentement. Mais là, j’étais fin seule, juste moi et celui qui allait être surement un simple jouet le temps d’une nuit, mais ça ne semblait pas le déplaire. Vu son élégance, j’aurais presque mis ma main au feu que Luke et moi étions du même monde, en même temps, les gens de classe moyenne – si je pouvais me permettre de dire ça – ça se repérait à dix mille, avec une attitude lourde de drague qui ne m’intéressait même pas. J’adorais toute cette partie de séduction qui savait mettre mon corps en ébullition pour passer aux choses sérieuses, d’une façon bien plus appétissante. Je gratifiais une fois de plus son compliment par un sourire qui n’appartenait qu’à moi. Et Quand je quittais le podium pour aller boire un verre, j’étais plus que ravie qu’il accepte de me suivre. Il y avait tellement de monde, qu’on traversait la foule collé l’un à l’autre, et je devais bien avouer que son parfum sentait délicieusement bon.

Je n’avais pas besoin de plus de verres pour avoir une envie de lui sauter dessus, mais soit classe Laura, m’avait-on souvent répété. Bien que cette fois-ci s’était Anastasia qui était présente dans cette boite de nuit. J’entendis le « avec plaisir » de Luke et encore je ne pouvais m’empêcher de sourire, les hommes étaient parfois bien trop prévisibles à mon goût. Je lui tendis le verre, alors que je le frôlais intimement, de façon voulu. Il se montra on ne peut plus directe, mais après on n’était pas là pour jouer au jeu du chat et de la souris. Et j’appréciais grandement sa franchise il fallait dire. Je bu une gorgée avant enfin de répondre, la vodka faisant son parcours brûlant, mais tellement bon. « Qui te dit que tu as compris ce que je voulais vraiment ? » Bien sûr que oui, on voulait la même chose aussi bien l’un que l’autre, mais pourquoi pas lui permettre le petit doute. Intérieurement, je rigolais face à ce petit jeu qui finirait là où l’un et l’autre l’avions prévu : chez lui ou chez moi. Il s’approchait de plus en plus, et avant que cette espèce ne soit totalement clos, je déposais mon verre sur la table près de la bouteille, afin d’avoir les mains totalement libres. Je le sentais tellement proche que son souffle sur ma peau lui provoquait un effet sans pareil, un frisson qui ne pouvait pas passer inaperçu si l’on touchait ma peau. D’ailleurs, rien qu’à cette pensée, je passais le bout des doigts sur les bras nu de Luke. Une peau douce et agréable au toucher, je le fixais plus dans les yeux, mais je me concentrais justement sur mes doigts qui allaient de haut en bas sur ce bras. Une façon à moi de garder le contrôle de la situation encore un peu, même si l’alcool commençait à faire son ravage dans mon cerveau. Je le regardais de nouveau, un regard bien intense, lorsqu’il me demandait mon accord. Si je n’avais pas autant le corps en feu, ce genre de phrase m’aurait surement fait rire, mais là, ça me donnait encore plus de jouer qu’autre chose. « Depuis quand les hommes demandent-ils la permission pour ce genre de chose.. » Ce n’était pas une question mais plus une réponse affirmative à sa question. Je voulais le chercher encore un peu, car ce moment d’approche allait bientôt être conclue dans les secondes à venir, et autant en profiter encore un peu. Je passais le bout de mon nez le long de sa joue, en passant par la commissure de ses lèvres, avant de lui offrir mon cou, telle une humaine offrant une veine chaude à un vampire. Déjà là, je commençais à avoir le souffle court, mais la partie ne faisait que commencer.

∞ Luke & Laura

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Cette assurance n’était pas forcément celle d’une jeune femme dont l’alcool venait de faire ses ravages. J’avais cette assurance au naturel, je devais en imposer si je devais me faire une place dans le monde de la danse. Et j’avais appris cela sur les hommes, mon pouvoir de séduction que je m’étais en place et qui me permettait de tout obtenir. Enchainant aussi bien Luke que moi des sourires des plus satisfaits, je sentais maintenant ses lèvres le long de mon coup remontant jusqu’à mon oreille pour en attirer son lobe. Autant dire que le jeune homme avait des baisers torrides, et ils m’arrachèrent un soupir quelque peu bruyant, mais non gênant. Le jeu s’était bien, mais j’avais envie de passer à l’étape supérieure, et comme si on communiquait par télépathie, Luke plaquait ses lèvres contre les miennes pour me soulager du feu ardent. J’en profitais pour passer mes deux mains insistantes dans les cheveux du beau blond afin de faire durer le moment encore plus longtemps.

Et sans se détacher un seul instant, je me retrouvais sur la banquette que j’occupais avec des pseudos-amies peut de temps avant, et je préférais bien plus sa compagnie que lui, que celle de ces filles. A califourchon sur lui, je ne pouvais retenir quelques mouvements de hanche. Je le sentais se tendre sous moi, et à vrai dire, j’en jouais encore davantage, voulant le mener au bout de ses limites. J’en avais oublié tout le monde qui pouvait nous entourer, et je passais mes mains sur le torse très bien fait de mon amant en devenir. Fermant les yeux, ses caresses le long de mes cuisses me faisaient ressentir des vibrations jusqu’au plus profond de mon bas ventre. Je savourais tout simplement. Détachant mes doigts de ses cheveux que je n’avais pas quittés jusque là, je retirais un bouton, deux boutons, le troisième également, laissant apparaitre le haut de ses pectoraux que se dessinaient à la perfection. Je ne pouvais pas nier que je désirais cet homme, et que je le voulais moi également, alors quand il lâcha mes lèvres, je reprenais mon souffle en lui souriant d’une façon charmeuse, et conquise pour le moment. « Serais-je encore là si je n’avais pas envie de toi ? » lui soufflais-je de nouveau au creux de son oreille, mais sans crier, juste dans un souffle sensuel.

Cependant, même si jusque là, j’avais oublié qu’il y avait une tonne de gens autour de nous, il fallait se rendre à l’évidence, que la dernière étape de notre jeu ne pouvait avoir lui ici. « Suit moi… » lui dis-je légèrement précipité car j’avais réellement envie de finir ce que nous venions de commencer, et que j’avais envie de sentir ses mains brûlantes sur mon corps, ainsi que de le sentir me posséder totalement. Je lui pris la main et sortit de l’Awesome sans un regard pour personne sauf pour Luke. Quel chanceux ce garçon, je n’avais d’yeux que pour lui ce soir. Je rejoignais ma voiture. Quand je demandais à Walter de m’emmener quelques parts, j’avais toujours le droit à la mini-limousine, qui me permettait de faire la fête sans problème. Devant la voiture, j’embrassais follement Luke pour ne pas faire retomber l’ambiance, s’il me promettait de patienter ne serait-ce que deux secondes, il allait avoir la nuit de ses rêves. L’abandonnant que quelques malheureuses minutes, je donnais mes conseils à Walter : ne pas écouter, laisser la vitre teintée qui séparait le côté chauffeur et le côté passager fermée, rouler peut importe où il allait et ne jamais raconter cela à mon père sinon il était viré. Les consignes étaient claires, nets et précises, une seule non respectée, et il connaissait la sanction. Je revenais à mon beau blond, avant de m’engouffrer dans la voiture, m’assurant bien de passer une jambe après l’autre, remontant ma robe bien plus haut que la mi-cuisse. Je le fixais intensément, j’avais presque envie qu’il me déchire cette robe là maintenant. Il me rejoignit en deux trois mouvement, et je me replaçais comme nous étions dans la boite de nuit : à la califourchon. « Où en étions-nous déjà ? Ici, on sera libre de tout.» Personne de l’extérieur ne pouvait nous voir, même si au contraire, nous on le pouvait. Ce soir, tout était permis.

∞ Luke & Laura

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Les consignes donnaient à Walter plus rien maintenant ne pouvait nous déranger. Vu l’heure, mon téléphone ne risquait pas de sonner, mon père ne chercherait pas à me joindre, et Vladimir était surement déjà plongé dans les draps d’une jeune femme bien naïve sur les bords. En parlant de naïveté, j’avais bu avoir beaucoup trop bu ce soir, j’espérais tout de même que le jeune homme ne s’entendait pas à un petit déjeunée et une grande discussion autour d’un café. Je n’étais jamais tombée amoureuse, et ça n’allait pas être maintenant que ça allait arriver. J’avais une carrière à accomplir avant de me retrouver coincé avec un homme, des gosses et tout le tralala dont les trois quart des femmes inconscientes de ne pas avoir vécues veulent.

Je profitais maintenant de l’instant dans la limousine avec Luke, il n’avait pas trop l’air de se sentir mal à l’aise, son « pas mal » tout sourire, pouvait très bien signifiait qu’il en avait déjà vu des centaines de ce genre. Ce qui me confirmait dans mon esprit de jeune bourrée, qu’il devait être un peu de mon monde. Tant mieux, s’étaient essentiellement des personnes qui n’avaient pas d’attaches. Assise à califourchon sur lui, ma robe m’arrivait presque au niveau du bassin, les joies des robes qui se portent près des corps, quand on savait s’en servir, elle devait une réelle arme de choc. Mes bras autour de sa nuque, je mourrais d’envie de jouer encore plus avec, limite de le faire craquer avant même de faire qu’un avec lui. Je passais mes doigts à la racine de ses cheveux, s’embrassant par à-coup juste de quoi faire monter la tension qui régnaient entre ses jambes, et la température qui grimpaient à vive allure entre les miennes. En prime, les caresses qu’ils me prodiguaient été absolument divine, et si je n’avais pas tant envie en ce moment, j’aurais profité de ses caresses un long moment encore. Quand il répondit à ma question, je souriais et une idée me traversa l’esprit. Effectivement je cherchais à le déshabiller, mais je voulais aussi jouer. Je le fixais et je descendais l’une de mes mains pour caresser son torse sur la peau qui était retiré de sa chemise. Je redessinais les pectoraux de mes doigts, et mon autre main rejoignit le travail que l’autre accomplissait doucement. Les doigts frôlant le tissu, j’espérais bien qu’il ne tenait pas trop à sa chemise, car dans un élan, je tirais un bon coup dessus pour faire sauter les derniers boutons qui la maintenait fermée. « Tu es encore plus sexy comme ça… » fige remarquer alors que lui allait s’attaquer à l’une de mes bretelles de ma robe qui n’attendait que d’être retirer tellement elle me donnait encore plus chaud. Il descendait en couvrant la parcelle de mon corps de baisers incandescents qui m’enflammaient au plus profond. Je frissonnais de partout, et maintenant il était capable de pouvoir le sentir, je soupirais assez bruyamment tant le plaisir et le désir avaient pris possession de mon corps. Je descendis doucement mon corps afin de me pencher, aussi bien pour l’embrasser ardemment que pour lui offrir une vue sur ma poitrine encore couverte. Dans ce baiser loin d’être chaste, je le penchais en même temps sur le côté afin de l’allongé sur les canapés arrière de la voiture. A mon tour de lui faire part du don que je pouvais avoir avec ma bouche et ma langue.

Je quittais ses lèvres afin de descendre le long de son cou, j’alternais entre des simples petits baisers et des petits coups de langues. Ma descente allait jusqu’à passer sur ses muscles parfaits, mes mains quand à elle débouclait la ceinture qui devait se faire oppressante sur le sexe de Luke. Je descendais encore pour rejoindre son ventre, mes mains terminèrent leur travail. Je remontais alors une dernière fois en m’allongeant entièrement sur lui, pressant mes hanches contre les siennes afin de sentir son objet de plaisir se durcir de plus en plus sous moi. J’en râlais de plaisir tellement tous ses jeux me rendaient folle, dans le bon sens du terme.
Je passais mes jambes de chaque côté des siennes, m’asseyant sur ses genoux et l’incitant à lever légèrement le bassin, afin de lui retirer le pantalon qu’il avait. « .. et comme ça encore plus excitant. » chuchotais-je sensuellement comme pour continuer ma phrase à la suite de sa chemise. Chaque vêtement en son temps, je me doutais que s’était une torture pour lui, mais ça l’était pour moi aussi. Mon côté joueuse gagnait des points ce soir. Plus c’est long, plus c’est bon dit-on.

∞ Luke & Laura

« party, sex, rock n'roll »

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