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La jalousie est un vilain défaut ! [LIBRE]

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MessageSujet: La jalousie est un vilain défaut ! [LIBRE] La jalousie est un vilain défaut ! [LIBRE] EmptyJeu 28 Juin - 15:08

    Les gens pouvaient parfois se montraient cruel. Les gens mais surtout les filles. Encore plus les filles qui sont encore adolescente et qui possèdent une grande fierté. Quand on a affaire à une potiche sans cervelle superficielle il faut surtout éviter de la nommer ainsi, sous peine de s’attiré des ennuis. Hors Kennedy avait l’art de ne pas avoir la langue dans sa poche. Elle gardait rarement son avis pour elle et étant donné qu’elle faisait partit du journal de la fac, les autres étudiant étaient rapidement au courant de ses opinions. L’article qu’elle avait rédigé sur la chef des pompom girls devait sans nul doute en avoir contrariés quelque unes étant donné ce qu’il se passa… En même temps il s’agissait de Brittany Richman et Kennedy la détestait ! Pourquoi ? Eh bien outre le fait que ce n’était qu’une fille à papa pourrie gâtée qui traitait tous les élèves comme ses esclaves, la blonde avait le malheur de sortir avec Scott O’Bryan. Oooooh Scott :22 : Kennedy n’était pas du tout une guimauve sentimentale, le genre de fille à tomber amoureuse tout les jours. Mais le jeune homme avait su la séduire. Il avait un sourire à tomber par terre, beaucoup de répartie, un brin d’arrogance et un semblant de gentillesse. Il avait toujours un mot pour la taquiner - sans être méchant – à chaque fois qu’il la croisait. Ce garçon était tout simplement génial. Pourquoi fallait-il qu’il sorte avec une pouffiasse comme Brittany ??? Du coup quand la jeune étudiante en droit avait appris qu’elle allait devoir faire un article sur elle, elle s’en était donné à cœur joie. Mais elle allait en payer les conséquences…

    Ce jour là, la jeune Kerrigan avait ses deux heures de sport obligatoire de la semaine. Ça n’avait rien à voir avec le droit et son futur métier, mais elle n’avait pas le choix. Elle s’était donc rendue au gymnase enfin de faire du volley-ball. Après la séance elle se dirigea vers les douches. Elle la prit tranquillement et finit par sortir. Qu’elle ne fût pas sa surprise quand elle se rendit compte que ses vêtements et sa serviette n’étaient plus là ! Cela faisait terriblement cliché. Le genre de truc que l’ont voit que dans la série Télé et qu’on pense que ça va jamais nous arrivaient ! Et pourtant… Nu, elle commença à chercher sous le banc, dans tout les casiers ouverts, un peu partout, de quoi ce vêtir. Mais rien ! La seule chose qu’elle trouva fût un papier plié en deux. Elle l’ouvrit et lu « Ne pas t’approche pas de Scott ! » . Kennedy poussa un soupir, oui bien sûr, il s’agissait de Brittany ! « S’il y a un prix pour manque de juuuu-ge-meeeent, je crois que j’ai le ti-quer gaaaa-gnaaaant. Nul homme ne vaut de souffrir auuuu-tant. C’est de l’histoire ancienne. Je jette. J’enchaine » chanta-elle en se rappelant la chanson du Disney animé Hercule qui correspondait à merveille à ce dont elle pensait en ce moment même ! Mais chanter ne réglerais rien !

    Qu’allait-elle donc faire ??? Elle ne pouvait quand même pas rester là et encore moins partir dans les couloirs toute nus ! Elle devait bien avoir des vêtements dans sa voiture mais encore fallait-il qu’elle se rende jusqu’à là-bas ! Elle fouilla dans son sac – puisque seule sa serviette et ses vêtements avaient disparu de son casier – à la recherche de son portable. Elle essaya de l’allumer pendant au moins cinq minute, s’acharnant sur la touche. Elle attrapa dans son sac le chargeur, brancha son téléphone et essaya de nouveau de l’allumer. Toujours rien ! De colère, elle balança son téléphone à travers la pièce qui alla se fracasser contre le mur. Elle grimaça, elle ferait mieux de rester calme. Surtout qu’une telle impulsivité n’était pas vraiment dans ses habitudes... Expire. Inspire. Aller on se calme.
    C’est alors que Kennedy aperçut une poubelle dans un coin. Elle eut alors une idée… Elle vida la poubelle au sol au moment même où par manque de chance la femme de l’entretien entrait dans les vestiaires. Kennedy lâcha le sac et posa à la va vite sa main droite sur sa poitrine, tandis qu’avec l’autre elle cacha ses parties intimes. La femme de l’entretien parut plus contrarier par le tas de détritus qu’elle avait jeté au sol – chose interdite – que par sa nudité. « J’ai fait tomber par accident ma bague de fiançailles dans la poubelle» se justifia-t-elle avec un large sourire. Oui bien sûr, comme si elle allait la croire ! Oh la honte !

    Quoiqu’il en soit la femme de l’entretien quitta alors les vestiaires, maugréant, peu aimable et affirmant qu’elle reviendrait. Kennedy se dirigea vers la douche pour rinça le sac poubelle. Elle fit alors un trou pour la tête, deux pour les bras et l’enfila comme un vêtement avant de se dirigeait vers la sortit, direction la rue…
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MessageSujet: Re: La jalousie est un vilain défaut ! [LIBRE] La jalousie est un vilain défaut ! [LIBRE] EmptyDim 12 Aoû - 19:57

« Nom d'un chien, c'est quoi cette odeur! » A peine eut-il le temps de se retourner qu'il se retrouva nez à nez avec une femme-sachet-poubelle, et qu'il manqua par la même occasion de lui rentrer dedans. Évidemment Roman ne put s'empêcher de l'observer minutieusement de haut en bas comme si il n'en revenait du spectacle que lui offrait ses yeux. Les habitants de New York avaient la réputation d'être des individus tout à fait surprenant, mais pour le coup ils venaient de monter d'un cran dans l'idée qu'ils se faisaient d'eux. Cela faisait près d'un an qu'il habitait les rues de Manhattan mais cette ville ne cessait de l'étonner et cette rencontre intriguante ne pouvait que le confirmer. Peut importe la raison ou les motifs de cet accoutrement, il avait tout simplement envie de dire mais « What the fuck? » C'est vrai, non?! Qu'est ce qu'il est arrivé dans la vie de cette pauvre femme pour qu'elle en arrive là. Malgré ses 27 ans, Roman ne comprenait vraiment plus cette génération, peut-être avait-il murit trop vite. Son job et ses promotions répétitives non plus, ne lui avaient pas laissé le temps de grandir. Sans s'être arrêté, il poursuivit son chemin mais dans l'idée de partager une petite anecdote avec la jeune femme qui venait involontairement, par son attitude grotesque, d'embellir sa journée, déjà maussade et machinale. Sa tenue était inhabituelle pour quelqu'un qui n'habitait pas la rue, sa tête lui levait ce doute, et devait donc être récompensée par une attention inhabituelle. A peine eut-il fit deux pas, qu'il s'exprima à son attention avec un certain sarcasme «  Excusez-moi mademoiselle, mais les poubelles publics doivent-être assignées à un tri particulier, pensez à le rajouter la prochaine fois ...» … qui vous prendra l'envie d'enfiler un sachet poubelle, se murmura-t-il. Bon, ça n'avait rien de méchant non plus, pas de raison qu'elle puisse essuyer une larme ou deux, et puis s'était également le cadet de ses soucis.

Une fois de l'autre côté de la rue, il plongea machinalement sa main dans sa veste pour récupérer son téléphone, inexistant. Les sourcils froncés, le jeune officier tâta avec une légère fébrilité les poches extérieurs puis intérieurs de sa veste, et enfin celle du pantalon, mais sans appel. Et puis oui, contraint d'admettre qu'il devait évidemment l'avoir laissé dans la voiture. Roman poussa un profond soupir en se tâtant, cette fois-ci l'esprit, devant une queue monstre à l'entrée de Barney Greengrass . Il était venu ici dans l'espoir d'acheter son fameux sandwich, seulement il ne pouvait pas se permettre de déambuler sans son bipeur, et ce surtout en service. Et il était bien placé pour savoir qu'il suffisait de moins d'une minute pour renverser la situation de façon bénéfique ou fatale. Il maugréa un juron avant de laisser sa conscience parler et envisager de retourner à la voiture. A son départ la file s'était largement rétractée. Au finale, rien de plus rageant que de céder le bénéfice d'une bonne position avec seulement une attente d'une dizaine de minutes à la clé, et qui plus est sous des trombes d'eau, à celui d'un groupe d'une quinzaine individus venus rallonger la file d'attente. Voilà comment perdre stupidement son temps. Après une vingtaine de foulée, le voici enfin dans la voiture. 20 minutes, voilà le temps qu'il bénéficiait à présent avant de partir faire sa ronde. Il poussa de nouveau un juron comme à ses habitudes avant de démarrer, le bipeur sur la table de bord. «Putain de file de merde, putain de temps de merde donc putain de journée de merde! ».

Pas assez arrogant, ou bien pas assez con, pour tenter de nouveau la file, il préféra regagner le prochain fastfood du coin, empruntant la direction où la jeune femme sachet-poubelle s'était dirigée, sans penser une seconde qu'il allait la recroiser. Environ 10 minutes passèrent et Roman finit enfin par l'apercevoir, ruisselante d'eau, et oui entre temps la pluie avait belle et bien frappée. Évidemment il prit la peine de ralentir pour éviter de créer un tsunami à sa hauteur, mais encore, il ralentit davantage de façon à obtenir une conversation avec celle-ci. «  Dites moi vous marchez vite pour une jeune femme engourdie dans un sac-poubelle. » Dit-il sous le coup de l'amusement avec une once de provocation. Évidemment, il n'avait pas pris la peine de ralentir à son niveau pour lui lancer des piques, il s'agissait là plutôt d'une bonne intention et d'une aide qu'un semblant de vacherie. « Vous vous rendez où? Parce qu'en fait, la déchetterie c'est dans l'autre sens... »
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MessageSujet: Re: La jalousie est un vilain défaut ! [LIBRE] La jalousie est un vilain défaut ! [LIBRE] EmptyMar 4 Sep - 13:50

La jalousie est un vilain défaut ! [LIBRE] Tumblr_m7oga5javN1qmsrb7

Il y avait des journées avec et il avait des journées sans ! Pas besoin d’avoir bac +5 pour devinait que ce jour là pour Kennedy était un jour sans. En toute logique n’avait qu’une petite distance à parcourir vêtue en sac poubelle et donc peu de chance pour que quelqu’un la voie ainsi. Vestiaire-> Voiture -> Maison. C’était aussi simple que ça. Net et précis. Sauf que lorsque Kennedy se rendit à sa voiture et appuya sur la clé afin d’ouvrir les portes automatiquement rien ne se produisit. La Canadienne grimaça et essaya de nouveau. Elle ne pouvait l’ouvrit que de cette façon. Elle essaya encore et encore. Toujours rien ! Elle devait se rendre à l’évidence, sa voiture n’avait plus de batterie et donc l’ouverture centralisée des portes ne marcha plus. Il ne lui resta plus qu’une seule solution : rentrait à pied ! Hors de question qu’elle prenne un bus « habillé » ainsi. Pied nu, elle commença à marcher, faisant la chair de poule. Elle avait hâte se rentré. Si seulement elle avait toujours son téléphone… Elle ne pouvait contacter personne ! Se armant de courage elle commença a faire la route quand un homme la percuta. Il semblait des plus étonné et la détailla de haut en bas. Le rouge monta aux joues de Kennedy quine faisait pas vraiment la fière sur le coup. Excusez-moi mademoiselle, mais les poubelles publics doivent-être assignées à un tri particulier, pensez à le rajouter la prochaine fois ...» La jeune étudiante sentit la colère lui montait mais elle préféra se taire et continuer de marcher. Elle qui avait tendance à démarré au quart de tour dût faire beaucoup d’effort pour se retenir. Quel salaud ! Il était évident qu’elle avait froid et qu’elle avait un problème mais non au lieu de l’aider il préférait l’insulter. Quel crétin ! Les hommes étaient vraiment des abrutis !

Vingt minutes plus tard Kennedy était encore en train de marcher et elle n’était pas prête d’arriver. La pluie s’était mise à tomber et elle éternue. Elle était en train de tomber malade. Ses pied était bleu à cause du froid et elle était toute engourdie. Elle commençait à se demandait si elle arriverait un jour… Un voiture ralentit et le conducteur baissa sa fenêtre. Kennedy tourna le regard vers lui et reconnu tout de suite l’homme qui l’avait insulté. « Dites moi vous marchez vite pour une jeune femme engourdie dans un sac-poubelle. » Elle préféra l’ignorait et continuait de marcher. Elle ne devait pas s’arrêter de marcher sinon elle ressentirait d’avantage le froid. « Vous vous rendez où? Parce qu'en fait, la déchetterie c'est dans l'autre sens... » Elle avait bien envie de lui foutre son poing dans la gueule mais au lieu de ça il lui demanda « j’peux monter ? »



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