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Prom'nons nous, dans la ville - APPOLON.

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MessageSujet: Prom'nons nous, dans la ville - APPOLON. Prom'nons nous, dans la ville - APPOLON. EmptyJeu 17 Déc - 20:06

APPOLON & SHEYENNE
« BACK FOR A WHILE, WHAT DO U THINK 'BOUT A RIDE ? »


    Parfois, on se lève le matin, et on se rend compte que la vie nous file entre les doigts. Le temps qui nous est donné est si court, comment profiter de toutes les richesses de la vie lorsque notre horloge interne nous interrompt sans cesse de son tic-tac incessant ? Ce fut la première pensée qui traversa l'esprit de Sheyenne lorsqu'elle se retrouva dans cette vulgaire limousine qu'elle détestait. Ne pouvait-elle donc même pas contrôler son moyen de locomotion ? Elle adorait sa moto, en faisait des heures dès qu'une occasion se présentait, et ne se gênait pour faire partager sa passion avec tous ses voisins lorsque, de bon matin, elle s'attaquait au moteur en le faisant vrombir dans son garage. Mais maintenant, tout était différent ; elle ignorait encore pourquoi elle avait accepté ce qui ne devait être qu'un job et qui se transformait en véritable casse-croûte médiatique. Quelle idée, aussi, de jouer dans un film. Elle qui pensait ne décrocher que le rôle secondaire de strip-teaseuse qui se fait tuer dès les dix premières minutes mais qui réussit tout de même à empocher un gros chèque, elle était devenue l'héroïne d'un thriller en compagnie du célèbre John Malkovich - qui jouait son mac, le bad boy, celui qui, justement, voulait la tuer - et le non moins célèbre mais beaucoup plus jeune Clyde Ryan - celui qui lui sauvait la vie malgré qu'elle ne cesse de répéter tout au long du film "dégage, je n'ai pas besoin de ton aide", du moins la première heure, car ensuite s'ensuivent des scènes endiablées de "oh oui, aide-moi, plus foort !" -, et elle devait maintenant en assumer les conséquences. Si seulement l'argent avait pu venir sans ces mondanités et cette pseudo-célébrité qu'elle se coltinait uniquement parce qu'elle faisait l'amour - quatre fois - en treize minutes avec le célèèèbre Clyde Ryan et que son film allait sortir dans moins d'un mois. Silent Strip. Si c'était pas bateau, comme nom, ça.

    Sheyenne n'avait jamais été le genre de fille à vouloir à tout prix connaître la gloire ; bien au contraire, elle avait toujours chéri cet anonymat qui l'avait choisie plus que le contraire. Naître sans nom de famille et sans aucun lien avait peut-être certaines qualités. A vrai dire, il lui arrivait d'apprécier les buffets gratuits, les séances de maquillage dans son immense loge, les vêtements indécents mais tellement chics dans lesquels elle se glissait pour jouer une scène, mais sa vraie vie lui manquait également atrocement. Être brutalement propulsée dans un autre monde rendait la cadence difficile à tenir.

    Il n'avait donc suffit que d'un message dans sa boîte de réception. Si ce n'était pas encore son attaché de presse qui voulait la menacer de ne jamais dévoiler qu'elle était, en fait, une réelle strip-teaseuse, elle pourrait bien être chanceuse (...). BINGO. Le nom d'Appolon H. s'afficha sur son téléphone alors qu'elle le manipulait habilement. Le jeune homme, de qui elle n'avait pas eu de nouvelles depuis presque un mois, depuis qu'elle avait dû brusquement quitter son quotidien pour intégrer un plateau digne de ceux d'Hollywood et, même si son patron lui avait promis une place à son retour et même une possibilité d'être rémunérée si l'envie lui venait de faire juste un soir, pour se "détendre" - il était drôle, ce patron ! -, elle n'y avait pas remis les pieds depuis, et n'avait donc pas eu l'occasion de faire part des piques habituelles à son barman favori. Sans même lire le message, un sourire se forma sur ses lèvres et elle intima au chauffeur de reprendre la direction de chez elle - ce qu'il refusa d'abord, ce à quoi répondit moult insultes de Sheyenne qui forcèrent le sus-dit homme à casquette à se la fermer et à obéir sans oublier d'aboyer. Dix minutes plus tard, elle était complètement transformée ; à bas la magnifique robe que sa styliste avait déniché pour qu'elle soit "la plus belle" à l'avant-avant-première du film, AAP qu'elle allait d'ailleurs rater. Un jean, un léger pull et un gros manteau avaient remplacés le tout et c'est confiante qu'elle se dirigea vers son bijou, sa moto. Même s'il avait neigé le jour-même en ville, elle était plus qu'expérimentée, et pourrait taper des pointes à 100 km/h sans risquer d'avoir un accident. L'avantage d'avoir été adoptée par huit gros et captivants mécaniciens alors qu'elle n'était qu'une enfant.

    En arrivant près du bar où elle avait l'habitude de faire ses représentations - lorsque ces dernières n'étaient pas privées -, elle gara sa moto et en descendit avant de se rendre à l'intérieur où le vigile la salua immédiatement et la laissa passer. Si elle ignorait ce que le barman avait pu mettre dans son message - qu'elle n'avait toujours pas lu, et c'était l'une de ses particularités : il lui arrivait souvent de n'être juste "pas intéressée" à l'idée de lire un message, alors elle l'occultait -, il ne serait sûrement pas déçu de ce qu'elle prévoyait. Ce qui n'était, en tout et pour tout, rien, mais ils improviseraient bien. Le jeune homme ne fut finalement pas facile à deviner, derrière son instrument de travail, à draguer une jeune midinette qui lui demandait un cosmopolitan - et là, Sheyenne pensa "aucune personnalité, est-ce que toutes les new-yorkaises ne boivent que des cosmopolitan ?" -. La jeune fille se fraya un chemin jusqu'à Appolon qu'elle salua rapidement de la main, un très grand sourire sur les lèvres, avant de l'interpeller.

    - Bonsoir, ce sera une simple bière pour moi. Non, blague, ça va ?

    A vrai dire, elle n'attendit même pas sa réponse avant de continuer. Le bruit qui régnait dans le bar n'était pas propice à une discussion détaillée sur leurs repas respectifs du midi.

    - Deux choix pour toi. Ou je joue l'assistante du barman, je t'amuse mais tu perds toutes tes éventuelles conquêtes, ou bien tu me suis et tu donnes ton tablier à Barney pour partir à l'aventure ?
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MessageSujet: Re: Prom'nons nous, dans la ville - APPOLON. Prom'nons nous, dans la ville - APPOLON. EmptyJeu 17 Déc - 22:33

Prom'nons nous, dans la ville - APPOLON. Kbloodrantqi8 Prom'nons nous, dans la ville - APPOLON. 2wp495l



« La reine est dans la place ! »


    Appolon n’était pas du genre à avoir beaucoup de temps libre entre ses études et puis son travail à l’hôpital et beaucoup se demandait comment faisait il pour pouvoir se distraire, sa principal distraction étant la lecture il avait heureusement pour lui trouvé un autre moyen de se divertir l’esprit et ce grâce à un second travail ou il occupait la place de barman dans un bar réputé de Time Square. Il n’avait pas vraiment choisi cet endroit au hasard, bien sur que non il savait quelle type de clientèle traînait par la bas et surtout il avait à l’avance anticipé le montant de ses revenus qui suivrait en conséquence de ses clients et puis il y avait aussi bien d’autre avantages à travailler la bas. En effet les jeunes femmes la bas n’étaient pas très compliqué, savoir juste bien manié les mots suffisait à finir la soirée dans leurs luxueux appartements/lofts, alors voila comment Appolon prend son pieds, au-delà de le prendre littéralement il aime le jeu de séduction la tension provocatrice qui règne en permanence dans ce bar.

    Ce soir on était Vendredi et cela signifiait qu’il allait effectué l’un de ses trois services de la semaine au bar, la bien avant l’ouverture des lieux il se devait d’être présent avant tout le monde pour organiser le bar, en effet il avait une place pour chaque chose ainsi donc durant le service il pouvait s’y retrouver facilement servant un maximum de personne en prenant un minimum de temps, « le temps c’est de l’argent ». La parti la plus chiante de la tâche étant de faire briller tous les verre, une épreuve certes longue et pas très amusante mais néanmoins nécessaire, dans ce genre d’endroit le moindre détail compte et bien que la clientèle soit très chic elle est également très exigeante et la moindre erreur pourrait bien lui coûter sa place, il en avait bien conscience.
    Alors que le jeune homme terminait d’astiquer ses derniers verres les premiers clients commençaient déjà à affluer dans la salle, tandis que la musique se mettait en route petit à petit la salle elle se remplissait au même rythme jusqu’à ce qu’elle soit complément rempli au bout de quelques minutes et déjà les commandes affluer sur le jeune homme. Efficace il l’était, il avait l’habitude et ne se laissant pas déborder il servait tout le monde en très peu - tout ça grâce à son organisation -, très vite les clients repartaient satisfait du bar et ils se faisaient moins nombreux au comptoir lui permettant de souffler un peu. Satisfait de lui-même mais ne l’affichant guère il survolait du regard la salle accoudé au comptoir dans une position décontracté, limite on avait du mal à croire que c’était lui le barman. Très vite il repéra une petite blonde qui à priori faisait l’objet de nombreuses convoitises et notamment celle de deux hommes qui se battaient l’un l’autre pour savoir qui allait avoir le privilège de danser avec elle. Appolon ne put s’empêcher de laisser un petit sourire moqueur face à cette situation comique, il ne lui suffit que de croiser le regard de la jeun femme pour l’envoûter, un petit sourire aguicheur et un regard plein de mystère suffire à attirer la jeune blonde jusqu’au bar. A son arrivé le jeune homme lui offrait directement un cosmopolitan, l’avantage ici c’est qu’elles étaient toute prévisible et au vue de la réaction de la femme il semblerait qu’il avait de nouveau vu juste.

    Tandis qu’il n’était pas très loin de conclure et savait qu’il avait la situation parfaitement en main il vut un bras se lever non loin, détournant le regard il reconnu très vite Sheyenne à qui il avait envoyé un message il a peu, il était d’ailleurs surpris de la voir ici si rapidement après l’envoi du message lui qui s’attendait à ne la voir que bien plus tard dans la semaine. Délaissant la jeune blonde sans aucune explication il se retourna complètement vers la jolie brune qui venait d’arriver. Après l’avoir écoutant d’une oreille baladeuse il prit à son tour la parole d’un air faussement étonné et sur un ton légèrement moqueur :
    « ho mon dieu, qu’est-ce qui nous vaut la visite d’une star dans notre modeste bar. », entre eux c’était toujours à base de petites taquineries, un peu le moyen de se montrer qu’ils s’appréciaient ils se le rendaient bien. Écoutant alors la proposition de la jeune femme il s’assit alors sur le comptoir en face de la jeune femme tout en lui passant d’un geste habille la bière qu’elle avait demandé au début pour ensuite prendre de nouveau la parole sur un ton toujours provocateur « et pourquoi pas faire les deux, après tout nous avons la nuit devant nous à moins que ta vie de star ne t’offre quelque chose de plus intéressant à faire ? ». Plus une question rhétorique il n’attendit pas de réponse et reprit directement la parole après qu’il ai prit une gorgée de scotch, « mais d’abord montons sur scène tous les deux, j’aimerais voir si tu as encore des restes de ta précédente vie », à la suite de cette invitation il lui tendit une amicale qui ressemblait limite à un défi.
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MessageSujet: Re: Prom'nons nous, dans la ville - APPOLON. Prom'nons nous, dans la ville - APPOLON. EmptyVen 18 Déc - 21:38

    Même si elle l'avait voulu, Shey aurait été incapable de passer sa toute nouvelle célébrité sous silence ; c'était ainsi. Et même si elle l'aurait sûrement mal pris venant d'une toute autre personne, l'ironie cachée dans les paroles d'Appolon la faisait sourire plus qu'autre chose. Elle s'apprêta donc à répondre par une autre pique toute aussi tranchante, tout en restant d'une gentillesse qui ne lui ressemblait pas ; depuis qu'elle avait quitté ce travail de strip-teaseuse, Sheyenne avait comme qui dirait légèrement perdu la main.

    - Ouch, je sens de la jalousie dans ces paroles ! Ce bar, modeste comme tu dis, a justement besoin de moi : regarde, si je n'étais pas là, je suis sûre que tu perdrais la moitié de ces petites midinettes qui me suivent depuis la 5ème Avenue !

    La jeune fille désigna du doigt un groupe de filles qui gloussaient un peu plus loin, impossible de savoir si c'était pour le visage maintenant connu de Sheyenne ou pour celui, moins exposé mais, il fallait l'avouer, attirant, du barman. A vrai dire, peu importait, et elle prit la bière que son ami lui tendait en souriant, haussant les sourcils en entendant la proposition du jeune homme. Il était évident qu'il voulait la tester, savoir si elle était capable de redevenir la Shey anonyme qu'elle était il y avait si peu de temps. Faire une danse devant des hommes surchauffés ou devant une caméra froide comme du marbre n'était absolument pas la même affaire, plus personne à charmer, elle devait juste être "parfaite", il n'y avait plus aucune improvisation, tout était marqué noir sur blanc et elle était forcée de faire prendre à son corps la forme de ces idiotes de lettres sous peine d'un « ON LA REFAIT ! » une bonne dizaine de fois. Ce fut donc en buvant encore une gorgée de bière avant d'accepter la main que lui tendait son amie qu'elle lui répondit.

    - A vrai dire, je suis actuellement en train de louper mon avant-avant-première pour passer une soirée en compagnie de ton ennuyante personne, alors si tu penses que je n'en suis pas capable, tu te mets le doigt dans le —


    Elle n'eut pas le temps de finir sa phrase (ce qui d'ailleurs n'était pas si mal, vu qu'elle s'apprêtait à prononcer un de ces mots qu'on aurait censuré en interview) que, déjà, elle devait se frayer un chemin parmi les danseurs pour monter sur la scène sur lesquels s'étaient déjà retrouvés tellement de ses vêtements. Une fois qu'elle fut hissée sur scène, ce fut comme un signal. Au-delà du fait que les strip-teaseuses étaient littéralement traitées comme des putes de sous-qualités et qu'elles subissaient une certaine compétition, les employés étaient proches les uns des autres et, dès son arrivée, Sheyenne avait réussi à se faire accepter, même si elle était la favorite du patron et qu'elle était toujours celle qui terminait toujours avec la plus grosse prime dans la poche. Appolon était également de ce genre ; bien qu'il n'ai pas besoin de la prime du patron - les pourboires ne manquaient pas -, il était "le barman", et rien que pour ça, il méritait sa place parmi les préférés du bar. Ce fut donc avec euphorie que la chanson changea pour passer l'une des préférées du moment de la jeune fille - une de ces chansons qui bougeaient et l'entraînaient.

    Naturellement, Sheyenne reprit la main d'Appolon qu'elle avait lâchée pour monter, histoire de l'entraîner avec elle. Un grand sourire heureux s'afficha sur le visage de la jeune fille alors qu'elle commençait à se déhancher sur la musique, mélange parfait entre une femme fatale et une enfant surexcitée. En un instant, elle avait remarqué la plupart des yeux -masculins & féminins, ce qui était l'avantage de monter avec un beau gosse sur la scène : tous les regards étaient fixés sur eux - se poser sur eux, et Sheyenne se souvint de sa première danse. Il suffisait qu'elle se trémousse quelques instant pour avoir ce qu'elle voulait, que les hommes lui mangent dans la main. Ca ne faisait pas d'elle une chaudasse ; elle avait ses principes, ou plutôt, son absence de principes la rendait définitivement ... pas chaudasse. Elle se faisait plaisir, savait qu'elle plaisait, osait parfois aller plus loin mais c'était son problème. Elle n'était pas comme les autres danseuses, celles qui s'affichaient comme tel à chaque occasion, qui étaient juste la "pute" de quelqu'un. La musique ralentit légèrement, Sheyenne ouvrit les yeux qu'elle avait fermés pour apprécier le moment et s'approcha d'Appolon. Autant donner à ces fêtards de quoi être jaloux. Elle se tourna ensuite dos à la lui pour passer son bras autour de son couet se déhancher le long du corps du jeune homme, malicieuse et enfantine, laissant la musique l'emporter. Lorsque, une longue minute plus tard, elle se replaça en face du jeune homme, ses yeux pétillaient et elle s'approcha de lui pour lui parler, la musique les rendant presque sourds.

    - Oh mon dieu, heureusement que tu n'es pas strip-teaseur, avec cette dégaine que tu te tapes, tu n'aurais pas fait long feu. Le rayon des boissons te va beaucoup mieux.

    Elle s'éloigna de nouveau sans cesser de danser et lui adressa un regard plein de défi. C'était dans ces instants-là qu'elle adorait être celle qu'elle était. Elle n'aurait finalement échangé sa place pour rien au monde. L'ombre au tableau du "si un paparazzi te prend en photo pendant que tu fais la strip-teaseuse sur ton ancien lieu de travail, tu es dans la grosse merde" ne lui effleurait même plus l'esprit tellement elle était devenue insouciante.
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MessageSujet: Re: Prom'nons nous, dans la ville - APPOLON. Prom'nons nous, dans la ville - APPOLON. EmptyVen 18 Déc - 22:46

    Il fallait bien l’avouer…La présence de la jeune femme manquait dans ce bar, elle qui était arrivé quelques jours juste après arrivé du jeune homme avait su se faire une place parmi les autres aussi vite qu’Appolon en avait mit pour s’imposer aux yeux du patron et montre à ses concurrents qu’ils ne représentaient rien face à lui. Alors oui c’est vrai ces deux la étaient constamment entrain de se lancer des piques, se renvoyant la balle à tour de rôle, mais à deux ils faisaient tourner la boîte, l’une assurant le spectacle sur la scène tout en se mettant dans la poche la clientèle masculine tandis que l’autre assuré la relève au barre alliant à merveille les charmes de la nuit au mystère de sa propre personne. A présent qu’elle était partit le jeune homme voyait bien que le patron peinait à la remplacer par d’autres filles et bien que le jeune barman lui était toujours au top les filles avaient du mal à assurer se contentant du minimum et parfois même obligé d’aller jusqu’à se dégrader encore plus que leur métier ne le faisait déjà. A présent tout ceci n’était plus son affaire et il faisait comme au quotidien, ne s’occuper que de lui et ses intérêts. En revoyant la jeune femme c’était comme une bouffé d’air frais ou de nostalgie - chose qu’il n’avouera jamais bien évidemment -, en la voyant il avait déjà prévu le plan du reste de la soirée et il espérait que l’espace d’une nuit tout allait redevenir comme avant, au diable le présent et que tout ne soit que folie et fantaisie, tel était le créneau du jeune homme lorsqu’il se trouvait en ces lieux et aujourd’hui ça devait être également le seul que la jeune femme se devait d’appliquer. En entendant la réplique de la jeune femme il fut légèrement déçu, s’attendant à mieux il avait à priori pu être témoin des premiers dégâts qu’avait causé la célébrité de son interlocutrice, finalement plus que de l’amusement cette soirée allé aussi être une remise à niveau pour la jeune femme, elle en avait bien besoin. « de la jalousie ? et en quoi le serais je, regarde ce que la célébrité à fait de toi, tu t’es bien ramolli ma petite. et surtout ne t’en fait pas pour ces nunuches, tu est bien placé pour savoir que cet endroit regorge de fille comme ça alors si ce n’était pas toi qui les aurait amené ça en aurait été un autre », avait il dit en pointant du regard le groupe de jeune femme plus loin dans la foule gloussant et riant bêtement pour je ne sais quelle raison. Il était bien entendu resté très amicale dans ses paroles, enfin amicale à sa façon, façon qui aux yeux de beaucoup de personne paraissait comme de l’insolence, voir même de la violence verbale, parfois certaine personne de ce monde se montraient bien frêle, en espérant que ça n’était pas devenus le cas de la jeune femme.

    Après une gorgée de sa bière la jeune femme finit par accepter la proposition d’Appolon en lui saisissant la main pour de nouveaux prendre la parole,
    « peu importe, des représentations il y en aura bien d’autre alors qu’une soirée comme ça peut être que tu n’aura plus l’occasion d’en vivre avant pas mal de temps », il avait conscience que la célébrité de la jeune femme devait lui imposer certaines limites et pour une fois, au-delà de servir ses intérêts, il voulait faire passer un bon moment à la jeune femme qui semblait enclin à toutes propositions. La vulgarité de la jeune femme arracha un sourire au barman qui sentait petit à petit, retrouver l’ancienne Shey, reprenant très vite ses marques ici comme il l’attendait. Entraîner dans la foule par la jeune femme le jeune homme n’essayait même pas d’éviter les passants jusqu’à même les pousser volontairement à l’aide d’un petit sourire provocateur qu’il avait l’habitude d’affiche, une fois au pied de la scène il prit une bouteille de champagne qui se trouvait disposé sur un plateau porté par un serveur pour finalement rejoindre la jeune femme sur la scène qui semblait de nouveau dans son élément. N’importe quelle scène était son élément, que ce soit celle d’une boîte ou bien celle d’Hollywood. Sur la scène il n’eut qu’à faire un geste de main pour faire changer la musique et en mettre une un peu plus entraînante. Aussitôt la jeune femme se mit à se déhancher et petit à petit tout le monde retrouver la fameuse danseuse streap Sheyenne et c’était d’un sourire satisfait qu’il la regarder faire. Il pouvait déjà voir les hommes bavé devant elle, elle les manipulait et non pas l’inverse comme beaucoup le pensaient, chacun ses armes. Buvant une longue gorgée de champagne il passé devant la jeune femme et fit semblant de presque tomber de la scène en profitant pour faire tomber « accidentellement » un peu de champagne sur les hommes bavant, se retournant sans leur jeter un seul regard il se dirigeait près d’elle tandis que le rythme de la musique ralentissait et par conséquent la danse aussi. Laissant la jeune femme danser contre lui dos à dos il se contenter de bouger lentement au rythme de la musique en buvant la bouteille tout en jetant un regard insistant sur la foule, un regard plein d’arrogance et de moquerie, qui avait surtout le don d’agacer les hommes. Alors que la jeune femme se redressa en face de lui Appolon tendit l’oreille pour écouter ce qu’elle avait à dire, « je ne voulais tout simplement pas te faire de l’ombre mais depuis que tu es partis les choses ont bien changé…. », ne terminant pas sa phrase il reprit ensuite un peu moins fort de manière intentionnelle pour que seul la jeune femme l‘entende, « ici c’est chez moi… ». Se rapprochant de la jeune femme il mit une main sur la taille de cette dernière tout en se déhanchant autour d’elle en agitant la bouteille tandis que par derrière il jeta quelques coups d’oeils incitent quelques jeunes femmes du publique à monter sur scène qui à présent danser autour de lui tandis que ce dernier resté collé à Shey, la musique quant à elle prenait petit à petit fin.
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MessageSujet: Re: Prom'nons nous, dans la ville - APPOLON. Prom'nons nous, dans la ville - APPOLON. EmptyLun 21 Déc - 11:53

    Lorsque Appolon la charria gentiment sur le fait qu'elle s'était fortement ramollie ces derniers temps, Sheyenne fit mine d'être blessée, ce qui n'était évidemment pas le cas. Si elle était blessée par tout ce qu'Appolon ou les autres lui disaient, il ne lui en faudrait pas beaucoup pour la briser. Elle sortit donc son plus beau sourire et, consciente que ces paroles ne surpasseraient pas celles du jeune homme, revint sur sa réplique de trois minutes avant et répliqua.

    - Tu sais ce que m'a donné la célébrité ? Je veux dire, en dehors d'un ramollissement total ? De l'argent ; beauucoup. & je préfère de loin ça que... eh bien, que de t'envoyer des piques bénévolement.

    Sheyenne voyait quelques courageuses venir les rejoindre sur la scène, sûrement appelées par le barman. Lorsqu'elle y pensait, ça lui rappelait fortement la façon dont elle agissait avec ses maquilleuses, coiffeuses, ... . Évidemment, pas avec la même fin. Elle les avait fait souffrir ; venir ici, aller là, non, pas maintenant, bon, on attend qu'il neige ? Sortir de ce cercle infernal ne lui faisait pas de mal, et elle continua de danser une minute encore, lançant quelques regards triomphants aux danseuses qui tentaient de se frayer un chemin entre elle et son cavalier. Non, ce soir-là elle serait la seule à s'amuser avec lui. D'ailleurs, il avait posé une main sur sa taille qui encouragea la jeune fille à danser encore, tellement mieux que les amatrices qui se trémoussaient à peine autour d'eux. Néanmoins, toutes les bonnes choses ont une fin et la musique prit fin, remplacée par une autre qui semblait rendre toute la salle euphorique et surexcitée à en juger par le nombre de clients qui les rejoignaient sur la scène. C'était beaucoup moins drôle lorsqu'elle n'était plus la vedette. Elle lança un regard pétillant à Appolon, répondant à son "ici, c'est chez moi". GENRE !

    - Le bar, c'est chez toi, mais là tu es sur ma scène, je l'ai baptisée, et elle m'en sera toujours redevable. Tu me fais visiter ton chez-toi ?


    La jeune fille ponctua sa réplique d'un éclat de rire, et entraîna son ami vers le bar, n'hésitant pas un instant avant de passer par-dessus pour atterrir sur ses pieds du côté employé, ou le côté VIP, ça dépendait de la façon dont on prenait les choses. Un flot de souvenirs revinrent à l'esprit de Sheyenne qui se revoyait en train d'apprendre - ou de tenter d'apprendre, du moins - la composition de savants cocktails après le service. Parfois, lorsque l'un des gras mais adorables techniciens venaient les observer, il terminait toujours par l'affirmation qu'ils allaient finir ensemble. Ce à quoi les deux jeunes amis répondaient par un rire amusé, avant de retourner à leurs cocktails et leurs piques. A vrai dire, Sheyenne n'était pas une femme à relations. C'était sûrement l'air de New York, ou le mauvais souvenir de sa vie en Arizona. Qui étaient également les plus belles années de sa vie. Là-bas, elle était restée avec un garçon pendant trois ans, et en avait aimé un autre pendant seize ans. A New York, elle avait largement élargi son tableau de chasse, mais elle refusait toujours d'avoir un petit-ami. A vrai dire, le destin -auquel elle refusait catégoriquement de croire- semblait décider pour elle : Clyde, son partenaire dans le film avec qui c'était vraiment, vraiment devenu indécent, était fiancé, pour ne citer que le dernier en date. Et puis, Sheyenne avait toujours réclamé son indépendance ; ou plutôt, elle l'avait toujours été. Abandonnée à la naissance, oubliée de l'orphelinat, ses sept premières années de vie avaient représenté le temps où elle avait accumulé le plus de bêtises, de sorties dans le désert de nuit, de flânage dans la ville ou près des autoroutes, une glace à la main. Elle tenait beaucoup trop à son indépendance pour finir comme tous ces couples qu'elle cotoyait et dont elle trouvait que chaque membre étouffait exagérément l'autre.

    Ce long chemin réflexif ne prit en réalité qu'un seul instant à Sheyenne dont la concentration revint dans le bar. Elle prit un verre et entama un mojito. L'un de ses cocktails préférés. Loin des verres colorés à outrance, fruités et sucrés, lorsque la jeune fille buvait un mojito, c'était comme si elle se retrouvait... Au milieu d'un grand champ de menthe au milieu de la forêt amazonienne (bien qu'elle ne soit pas sûre qu'il y ait un quelconque rapport entre les deux). Le geste s'était fait habituel avec le temps, et la boisson fut prête en quelques instants. Plus de temps néanmoins qu'il ne lui en fallut pour le boire. Elle se tourna vers son ami, lui sourit et fit mine de le presser ; après tout, ses clients n'attendaient-ils pas ? En prenant elle-même une commande, elle se pencha vers le jeune homme pour lui adresser quelques mots.

    - Au fait, tu m'as laissé un message, qu'est-ce qu'il disait ?


    Démasquée, mademoiselle je-ne-lis-jamais-mes-textos. La jeune fille servit un verre à une cliente, puis à un client, salua deux de ses admirateurs, ceux qui restaient au fond de la salle par honte de mater une fille payée pour danser presque nue devant eux, mais qui pensaient à elle sur tout le chemin du retour. Ce genre de choses étaient définitivement bizarres. Sheyenne haussa les sourcils et leur servit une bière en même temps qu'un sourire forcé. Et dire que ça allait être exactement comme ça après la sortie de son film...
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MessageSujet: Re: Prom'nons nous, dans la ville - APPOLON. Prom'nons nous, dans la ville - APPOLON. EmptyMar 22 Déc - 21:47

    Appolon n’avait que très peu de loisirs mais l’un de ses favoris était de remballer les gens, il aimer remettre à leur place des personnes trop sur d’elles alors qu’elles n’avaient aucune raison de l’être, avec Sheyenne c’était différent, il prenait plaisir à sa charrier sauf que c’était mutuel et chacun se renvoyaient la balle à tour de rôle. Peu de personne pourrait comprendre la relation qu’entretiennent ces deux jeunes gens et le peu de gens qui la comprendrait verrait plutôt de l’amour vache alors qu’en vérité ces deux la s’appréciaient certainement beaucoup plus qu’ils ne voulaient se l’avouer, de manière amicale bien évidemment. Après tout on sait tous qu’Appolon n’est pas vraiment du genre à entretenir de longue relations s’étalant sur plusieurs mois voir années, n’ayant jamais connu la vie de couple plus de quelques jours ils ne pouvaient décemment pas s’imaginer à l’heure actuel être avec une femme, surtout pas Sheyenne malgré les dires de certains employé qui eux étaient certains de les voir jour ensemble, en même temps dans cette boîte ces deux la se complétaient bien. La jeune femme n’avait pas totalement faux quand elle prit de nouveaux la parole, non pas pour le rembarrer cette fois ci mais plutôt pour mettre en avant les avantages de sa récente célébrité et il fallait avouer qu’elle n’avait pas tort, certains disent que l’argent ne fais pas le bonheur n’est-ce pas ? Et pourtant pour des personnes comme Appo et Shey’ c’est certainement le cas, juste l’argent devrait leurs suffire mais à force la célébrité on doit s’en lasser, c’est comme tout. Le jeune homme trouve déjà sa vie assez monotone et ce travail et son seul échappatoire par rapport à sa routine et la célébrité après tout c’est juste une autre forme de vie, à force les fêtes, les amis focus et tout le reste on s’en lasse, alors à quoi bon… « l’argent fait le bonheur hein ? si je te payais tu m’enverrais des piques ? », peut une forme de masochisme certes mais la provocation était très certainement l’un des principaux piliers de la relation entre les deux jeunes gens, et sans c’est remarque assez déplacé leur relation et leur entente ne serait pas pareil qu’aujourd’hui et ça le jeune homme en avait conscience, d’où sa question assez ironique qui ne réclamait pas forcément de réponse, encore un autre moyen de moquer un peu plus encore du nouveau statut de la jeune femme.

    Les jeunes femmes que l’homme avait appelé pour monter sur scène n’était en réalité la que pour faire jolie, mettre un peu plus de vie sur la scène car bien qu’elles essayaient de s’immiscer entre les deux jeunes gens Appolon lui était décider à ne faire la fête qu’avec une seule personne, peu de gens avait un esprit aussi festif que lui, assez décalé lorsqu’il s’agit d’amusement il a du mal à trouver chaussure à son pied, néanmoins Sheyenne est aussi déluré que lui alors il n’est pas prêt de la lâcher de la soirée et qui plus est, elle est une meilleur danseuse que tout les femmes réunit sur cette scène. Alors que la musique changeait et que beaucoup trop de monde commençait à prendre possession de la scène il prit la peine de répondre à la jeune femme avant de descendre
    « malheureusement tu as déménagé et ta précieuse scène n’a pas eu de mal à trouver de nouveaux locataires. ». A la suite de ces paroles il suivra la jeune femme qui sans aucune hésitation sauta le comptoir prenant possession du bar, sans aucune gêne, à croire qu’elle n’avait jamais réellement changeait de boulot et étant donné son aise assez étrange les non habitués croiraient sans aucun mal que c’est une employé destiné à faire le show, et il est vrai que le show elle sait le faire. Imitant la jeune femme Appolon enjamba également le comptoir se retrouvant derrière recevant déjà quelques commandes, tandis que du coin de l’œil il observait la jeune femme se faire son propre cocktail, après tout elle n’avait plus besoin du barman, à de nombreuse reprise il lui avait enseigné la composition de nombreux cocktails et certainement que à son tour si elle voulait, elle pourrait être barman. Elle s’autorisa même à prendre quelques commandes et satisfaire les clients en les servant, il n’allait pas sans plaindre ça lui faisait moins de boulot. « tu veux me piquer mon boulot ? ». Alors qu’il servait quelques clients il pencha un peu la tête vers la jeune femme pour écouter ce qu’elle avait à dire tout en préparant un cocktail, servant le cocktail il répondit en même temps à la jeune femme « il n’y avait rien d’écrit, je n’écris jamais rien au moins quand les gens ouvrent le message ils rappèlent ne serait ce que pour savoir pourquoi j’ai envoyé un message vide. enfin normalement les gens ouvrent les messages mais à priori c’est pas le cas de tout le monde ». Il est vrai que la jeune femme s’était démasqué toute seule en lui demandant le contenu du message qui était vide. Bien qu’ils avaient quitté la scène il sentait quelques regards fixait sur eux venant du fond de la salle, il fixa alors deux jeunes qui ne détachaient pas du regard Shey’, les observant il décida d’aller à leur rencontre et 5 minutes plus tard il revint seul tandis que les deux jeunes hommes venaient de repartir.
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MessageSujet: Re: Prom'nons nous, dans la ville - APPOLON. Prom'nons nous, dans la ville - APPOLON. EmptyMer 30 Déc - 23:31

    Un petit sourire satisfait apparut sur les lèvres de Sheyenne lorsqu'elle entendit son ami lui souffler une question. Si elle était la pour prendre son boulot ; aha, la blague. Elle se tourna rapidement vers lui et posa une main sur son bras, un sourire compatissant sur le visage mais les yeux remplis d'étincelles de défi.

    - Pourquoi, tu as peur que l'élève dépasse le maître ?

    A vrai dire, elle serait incapable de reprendre le boulot de son ami. Maintenant qu'elle était sortie du cercle infernal de la nuit, même si elle adorait le retrouver pour une nuit, elle se sentait incapable de retourner à son ancien travail. La première raison qui lui avait fait accepter ce job, c'était l'argent. Après, pour rendre la tâche moins dure, elle avait réussi à se convaincre qu'elle ne se dénigrait pas, qu'elle avait les hommes à ses pieds et qu'elle était leur maîtresse plus qu'ils étaient ses maîtres. Après tout, la chance lui souriait particulièrement ces derniers temps, elle avait toujours été le genre de fille à vouloir plus, toujours plus, élevée dans la pauvreté durant toute son enfance et toute son adolescence. L'amour ne fait pas tout, pas même l'amour inconsidéré que lui avaient prodigué ses sept pères. Depuis qu'elle vivait à New York, elle était de nouveau toute seule, comme lorsqu'elle était orpheline. L'amour ne payait pas son loyer, ne lui payait pas des outils pour bricoler sa moto. Certes, le métier d'actrice – c'était un grand mot, elle ignorait si elle pouvait seulement l'utiliser y avait-il un quotat avant d'être officiellement une actrice, fallait-il un nombre d'entrées au cinéma, une limite de chiffre d'affaire ? - lui rapportait plus que tout ce qu'elle avait imaginé, entre les soirées et évènements où elle devait se rendre et son simple salaire pour apparaître à moitié nue pendant la presque totalité du film. Elle craignait pour son intégrité, mais l'argent l'attirait. Et elle garderait ce boulot là autant qu'elle le pourrait.

    Sheyenne sourit encore lorsqu'elle sortit son portable pour remarquer, en effet, que le message qu'elle n'avait toujours pas lu était bien vide.

    - Tu es encore plus taré que moi...

    Néanmoins, elle n'eut pas le temps de se retourner que déjà, il avait tranché la foule, se frayant un chemin jusqu'au fond de la boîte. La jeune fille haussa les épaules et retourna aux quelques commandes qu'elle réussissait à entendre au-dessus du brouhaha. Un mal de tête commença à s'insinuer dans son esprit et elle soupira. Elle ne pouvait décemment pas succomber à un mal de tête alors qu'elle s'était octroyée une soirée de détente parmi toutes les obligations qui succombaient à son nouveau statut. Elle se fit un autre mojito ; car quand on ne peut pas battre le mal, eh bien, on le nourrit, hein. A peine l'eut-elle fini qu'Appolon était de retour. Elle lui adressa un regard interrogatif.

    - Où es-tu encore allé fouiner, la... fouine ?

    Elle esquissa une grimace. La fouine, fouiner, elle n'avait vraiment rien de mieux ? Si elle en était réduite à devoir avoir un texte sous les yeux pour avoir de la répartie, encore rentrer chez soi le plus vite possible et passer le mois suivant à regarder des séries humoristiques histoire de se cultiver un peu ! Elle espéra que son ami passerait outre, et reprit finalement.

    - Okay, j'ai joué ton jeu, à ton tour de jouer le mien. Tu es barman, et moi... je m'amuse. Alors, on va s'amuser ?

    Certes, abandonner le bar lorsqu'on n'y travaillait plus était facile, mais elle ne doutait pas que les autres employés n'hésiteraient pas à remplacer Appolon pour la soirée, même si les clients ne pourraient pas profiter de ses petites & succulentes spécialités. Elle n'avait aucun plan en tête, un casque en plus dans la loge d'une des danseuses, et un entrain certain pour l'inconnu.

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Prom'nons nous, dans la ville - APPOLON.

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