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♦ ce n'est que quand il fait nuit que les étoiles brillent

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MessageSujet: ♦ ce n'est que quand il fait nuit que les étoiles brillent  ♦  ce n'est que quand il fait nuit que les étoiles brillent EmptyDim 6 Mar - 12:52

 ♦  ce n'est que quand il fait nuit que les étoiles brillent Lj8

« You're original, cannot be replaced»

La journée avait été longue et semée d'embuches. Je devais rendre cet article sur le nouvel hôpital qui voyait le jour dans la ville. Rien de bien passionnant, j'avais perdu toute inspiration sur ce sujet. Depuis que j'étais revenue de Gaza, j'étais comme délocalisé. J'avais eu le chance de faire des articles plutôt intéressant mais cette semaine, j'avais cette impression de collectionner le travail que personne ne voulait faire. Je me décide malgré tout à éteindre la lampe de mon bureau sur le coup de vingt et une heure. J'étais l'une des dernières à quitter les bureaux ce qui ne m'étonna pas. La journée avait été ensoleillée et le personnel s'était empressé de terminer leur journée pour profiter des quelques derniers rayons de soleil. Attrapant mon sac à main et ma veste, je ferme derrière moi mon bureau. J'appelle l'ascenseur et pense à ce que je pourrais faire en rentrant. J'avais souper au bureau donc c'était déjà une chose à faire en moins. Montant dans un taxi, je lui indique malgré tout la direction de chez moi. Quand soudain, je reçois ce texto de ma meilleure amie. Elle aussi était seule pour la soirée. Quoi de mieux qu'une petite soirée entre amie. Sans hésiter je lui fixe le rendez vous et l'heure à laquelle on pouvait se retrouver. Cela me laissait le temps de m'habiller, me laver et trouver une tenue adéquate. Ma penderie était une vraie vitrine de magasin avec le nombre de tenues qu'il pouvait s'y trouver. Incroyable, j'arrivais toujours à m'y perdre. On va dire que c'est typique des filles. Que serait une fille sans une armoire qui déborde ? Une dépressive ? Enfin, sans perdre de temps, je passe par la douche. M'apprête et essaye de trouver une tenue sans faire des fouilles archéologique dans cette montage de tissus. Laissant mes cheveux à leur naturelle, je laisse mes belles boucles retomber sur mes épaules. Je respectais les délais que m'avait fixée Rhéa car quand elle klaxonna devant chez moi, je terminais de mettre mon rouge à lèvre. Prête et motivée quand je vois son enthousiaste. Elle reste toujours fidèle à elle - même et je l'adore sous toutes ses coutures. Cette soirée allait me changer de la semaine ennuyeuse et pesante que j'avais eue. Quand on arriva devant ce club bien connu de la ville. Je me disais qu'elle avait toujours les meilleurs choix. L'ambiance était toujours au rendez vous dans ces lieux. Je ne craignais pas, j'y avais souvent passé de bonnes soirées.

Cela faisait une heure que j'étais entrée, j'avais déjà eu quelques offres de verres que j'avais accepté. Mais depuis une dizaine de minutes, il y avait ce gars. Je ne sais pas ce qu'il attendait mais si c'était le cas, il était mal barré. Avec son regard qui en disait long, monsieur le pervers tiens. Il a vraiment la tête. A cet instant où je l'examinais, je le remarquais bouger. Ah non ! Faites qu'il ne ramène pas ses fesses ici. Bon dieu. Qu'est ce que j'ai fait pour mériter ça ? Rhéa m'avait lâché depuis une demi - heure, je crois qu'elle avait trouvé un gars qui l'attirait. Toujours aussi séductrice, je me demandais comment elle faisait pour toujours faire le premier pas. Quand je réalisais que monsieur pervers se retrouva à côté de moi. « Tu sais que tu es sexy et tu le serais plus sans ces bouts de tissus. » Sérieusement, il avait pas vu sa tête. Je ne suis pas d'habitude méchante même si c'est avec ma conscience que je parle. Mais ce gars ne m'inspire pas confiance. Il avait passé une dizaine de minutes le regard posé sur moi et il s'était lancé à ma rencontre. Son haleine laissait penser qu'il était là depuis bien longtemps même peut être trop longtemps. Poliment je décide de lui répondre : « Je ne sais pas si c'est un compliment. Mais si ça vous fait plaisir de venir me le faire remarquer. » A cet instant, je me demande si j'ai vraiment été polie. Certes mais je n'avais pas besoin de ce genre de compliment. S'il croyait décroché un sourire avec cette phrase, il était mal tombé. Ma semaine avait été longue et je n'avais pas la tête à me faire balancer ce genre de réflexion. « Un petit coup de temps en temps, te ferait du bien. » J'y croyais pas mes oreilles, c'est quoi ce gars. Une proposition, un reproche ? Certes, c'était loin de me plaire. J'avais qu'une envie sur le moment présent, c'était de lui envoyer mon verre en pleine figure. S'il croyait que j'étais une de ces filles bien trop faciles qui attendent leur coup d'un soir. Il était mal tombé. « Ce qui te ferait du bien à toi, se serait d'aller voir ailleurs si j'y suis, monsieur je me crois trop canon. » Suite à cette réflexion, il se rapproche de mon visage si proche que je me demande ce qu'il fout. Puis s'éloigne de quelques centimètres et je me sens rassurée. Cependant, il sert mon poignet et essaye de me tirer de mon tabouret.
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MessageSujet: Re: ♦ ce n'est que quand il fait nuit que les étoiles brillent  ♦  ce n'est que quand il fait nuit que les étoiles brillent EmptyDim 6 Mar - 14:19



 ♦  ce n'est que quand il fait nuit que les étoiles brillent Deanlei12

« A la meilleure équipe que le F.B.I. n'ai jamais eux! » Ils trinquèrent tous dans la bonne humeur sauf un. Deven, un large sourire aux lèvres se tourna vers leur nouveau coéquipier. Celui paraisait hébété, comme si il ne comprenait pas quelque chose. Lorsqu'il vit que l'agent le regardait avec insistance, il tourna son regard bleu vers lui et dis en fronçant les sourcils : « Je pensais que l'on trinquerai pour nous... » Un silence accueillit cette parole avant que la brune et la blonde n'éclatent de rire à l'autre bout de la table. Celle-ci étant assez petite, une table de bar, cela donna un peu l'impression qu'elles éclataient littéralement de rire au nez de l'anthropologue. Le brun, lui, se retenait tant bien que mal de ne pas en faire de même. Habituellement, il aurait sûrement trouvé cela légèrement insultant et aurait passé un bon quart d'heure à faire la leçon à Gabriel, mais là, alors qu'il avait juste suffisamment pour être joyeux, il n'en avait pas le coeur. « Ou est ce que vous avez trouvé ce type? » Demanda Taylor une fois qu'elle fut à peu près calmé. Ce dernier se tourna vers elle, interrogatif tandis que Roxane répondait à la blonde entre deux gorgées de sa bière : « A l'institut des Sciences de New York... Crois le ou pas, mais c'est le type le plus intelligent que j'ai jamais rencontré! » La psychologue arcqua un sourcil dubitatif tandis que Deven s'offusquait : « Et moi? » Les deux jeunes femmes échangèrent un regard... puis repartirent à rire de tel façon que bientôt des larmes commencèrent à perler au coin des yeux de la brune. Le brun, quant à lui, eut une moue vexé et croisa les bras sur son torse. Là, il avait beau avoir pris quelques verres, il ne trouvait absolument pas ça drôle. Le scientifique, quant à lui, n'avait absolument rien compris à ce qui venait de se passer et d'ailleurs, ça ne le dérangé pas plus que ça. Une question d'habitude sans doute, se dit Deven en constatant que le brun aux yeux bleus s'était plongé dans le menu avec intérêt.

Quand les deux femmes se remirent enfin, se fut que pour ne mieux critiquer l'agent avec délectation. Celui-ci se mit à grommeler dans sa barbe à l'écoute d'une liste de ses défauts et fini par en avoir assez. Ils avaient terminés leurs boissons, aussi décida-t-il de se lever pour aller en chercher d'autres. Il se faufila au travers de la foule pour atteindre le bar. Le barmaid vint à sa rencontre pratiquement aussitôt tandis qu'il s'y accoudé, poussant légèrement le tabouret pour se faire de la place. « Deux tonics, une bière et un malibu ananas s'il vous plait. » Il acquiesça et se mit à la préparation de la commande. Pendant ce temps, l'agent se mit à observer le bar sous ce nouvel angle. L'endroit était littéralement bondé, mais il n'avait pas vraiment eu le choix, leur bar habituel étant fermé pour travaux cette semaine. Son regard s'égara parmi les tables, se posant parfois quelques secondes sur des femmes qui lui semblaient... interesantes puis son attention fut capté par du mouvement un peu plus loin au bar. Au départ, il ne vit que le dos d'un homme de taille moyenne. Portant un costume de rabais, on voyait facilement que son équilibre était précaire et qu'il avait du passer un bon moment au bar... et pas à boire de l'eau si vous voyez ce que je veux dire, pensa-t-il. A ce moment là, le barmaid lui servis sa commande. Il le remercia et aller s'en aller lorsqu'il entendit un bout de la conversation que tenait le poivrot et sa pauvre "victime". « Ce qui te ferait du bien à toi, se serait d'aller voir ailleurs si j'y suis, monsieur je me crois trop canon. »

Cette réplique lui arracha un sourire mais en même temps, une certaine impression de déjà vu. Cette voix. Elle ne lui était pas totalement inconnue. Il voulu se pencher pour apercevoir la jeune femme qui venait de parler mais à cet instant, le type se redressa et sa main s'emparra du poignet de la jeune femme avec force. Fronçant les sourcils, l'agent déposa les boissons sur le bar en demandant au barmaid de les lui garder et se dirigea dans la direction du duo attypique que formé l'alcoolique et la jolie brune. Arrivant au niveau de ceux-ci, il se plaça aux côtés de celle-ci sans même la regarder et sourit ironiquement à l'abruti avant de demander : « Un problème peut-être? » L'autre grommela et releva un regard vitreux dans la direction de Deven qui resta de marbre. Des mecs dans son genre, il en avait déjà vu beaucoup et si ce n'était pas le cas de la jeune femme, lui, ne craignait absolument rien... A moins que le type ne soit armé mais les chances restaient minimes. « Qu'est s'tas toi? Va te trouver une aut'e d'abord! J'tais là l'premier... Tu viens chérie! » Il fit mine de vouloir obliger la jeune femme à le suivre. Lâchant un soupire exaspéré, Deven fouilla dans la poche interne de sa veste et en sortis sa plaque de membre du bureau fédéral d'investigation. « Si j'étais toi, je m'en irai avant que je ne décide de te coffrer pour tentative d'agression ou... ivresse sur la voix publique... » L'autre eut un moment de bug avant de retourner fixer son regard vitreux dans celui vert du jeune agent qui lui adressa un nouveau sourire en coin. Le type se leva alors de son siège en tangant et s'approcha du brun en titubant légèrement. « Quoi?! T'veux qu'on s'battent blanc bec!? » Deven roula des yeux, exaspéré par ce petit cinéma tandis que l'autre tentait veinement de relever ses manches. S'approchant, il lâcha un nouveau soupire. Pourquoi fallait-il toujours qu'il porte secours à tous le monde? Il eut un léger rire sarcastique et fit mine de se détourner avant que... son poing n'aille s'écraser contre le nez de son adversaire qui tomba au sol comme une masse, sans aucune résistance. Secouant sa main, plus par réflexe que par souffrance, il ajouta avant d'attraper son verre un peu plus loin et d'en boire une gorgée. « Et maintenant, dehors! Avant que je ne change d'avis... » Le type se releva tant bien que mal et marcha vers la sortie en maudisant Deven qui se tournant enfin vers la jeune femme pour lui demander si elle allait bien lorsqu'il croisa le regard de celle-ci : « Alanna? » Il resta bouche-bée.
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MessageSujet: Re: ♦ ce n'est que quand il fait nuit que les étoiles brillent  ♦  ce n'est que quand il fait nuit que les étoiles brillent EmptyDim 6 Mar - 17:00

Qu'est ce que j'avais fait pour l'attirer celui là ? Sérieusement, moi qui croyait serait une de repos, calme et pourquoi pas discuter avec des personnes. Non, la vie aimait me réserver des surprises. J'avais attiré le mec surement le plus bourré de tout le bar. Avec l'odeur de cigarette imprégné dans ses vêtements et son haleine qui pouvait me saouler en même pas deux paroles tellement il avait du boire, encore et toujours boire. Rhéa m'avait lâché, je pense que si je devais rentrer se serait par mes propres moyens. Heureusement que je savais me débrouiller toute seule. Seulement ce gars ne semblait ne pas s'en rendre en compte. Je le croyais seulement bourré et quand il commença à parlé, je compris aussi qu'il devait y avoir un manque de politesse. En tout cas s'il croyait m'avoir de cette manière, c'était plutôt bien raté. Je ne suis pas le genre de personne qu'on interpelle de cette manière. Pas que je sois un peu dans les principes mais il doit y avoir un minimum de respect. Cependant, je ne pouvais pas me retenir et faire comme si je n'avais rien entendu. Il venait de parler d'une façon dont je pense que je me souviendrais pendant longtemps. J'aurais pu lui dire gentiment qu'il était surement l'heure de rentrer pour lui. A mon avis, il devait se trouver dans le bar depuis l'ouverture vu son état avancé. Néanmoins, je n'avais pas su faire preuve de délicatesse. Il l'avait fait disparaitre de moi dès qu'il avait établi le premier échange. Seulement, je n'étais pas au bout de mes surprises. Lui aussi semblait prendre très mal, le fait que j'ai pu lui répondre de cette façon. J'avais au moins l'excuse qu'il m'avait cherché. Peut être que j'avais la tête pour lui d'une péripatéticienne de luxe. En tout cas, ça devait être le pire compliment qu'on m'avait fait même si ça avait été indirectement, c'est de cette façon dont je l'avais compris. Au mieux encore peut être qu'il pensait qu'on n'avait pas besoin de me payer pour une relation. Quelle horrible idée tout ceci, ni rémunéré, je ne ferais une telle chose. Fallait être complétement accroc à ce genre d'acte ou vraiment dans le gouffre pour atterrir dans ce milieu. Certaines savaient y faire mais cette profession était loin d'être faite pour moi. Posant sa main sur mon poignet, je sentis sa force. Il essaya de me tirer de mon tabouret, sûrement pour m'emmener en dehors du bar. Quand soudain une autre voix masculine vient se joindre à notre petite discorde. « Un problème peut-être? » Alors qu'il lâcha ma main, je ne m'occupais pas du nouvel arrivant. Frottant l'endroit où il m'avait tenue. D'ailleurs, il n'avait pas hésité à serrer quand il détenait mon poignet. On pouvait voir apparaitre une légère marque rosée. Cet enfoiré de première avait fait tout pour ruiner ma soirée.

« Si j'étais toi, je m'en irai avant que je ne décide de te coffrer pour tentative d'agression ou... ivresse sur la voix publique... » Il semblait qu'on se soit assez fait remarqué pour qu'un inconnu vienne à ma rescousse. Derrière moi, je ne pouvais pas le voir. J'étais plutôt occupée à guetter les gestes de ce pauvre homme complétement bourré. Il voulait vraiment ce battre. Mais qu'est ce qu'il pouvait avoir dans la tête. Déjà en essayant de se lever de son tabouret, on pouvait remarquer qu'il tenait à peine sur ses jambes. Se croyant fort, il essaye quand même de montrer qu'il est un homme un vrai. D'ailleurs, il fait pité et ça ne s'arrête pas là. Car il ne reste pas bien longtemps debout, se ramassant une poing en pleine face, son corps tombe contre le sol. La face contre le pavé, il rampe en direction de la sortie et je ressens un soulagement. Quand je décide de me retourner vers cette gentil personne qui est venue à mon secours. La prononciation de mon prénom me fait réalisé qu'il n'est pas un inconnu comme les autres. « Alanna? » Depuis notre rentrée à New York, j'avais pu l'apercevoir. Mais jamais je n'avais été l'accosté. N'ayant aucune nouvelle de Deven, je m'étais dis que ce qu'il s'était passé à Gaza restait à Gaza. Néanmoins, ce n'était pas aussi facile que ça. Là - bas, je m'étais attachée à un homme chaleureux et doux. Il avait tout ce qu'il fallait pour me faire sourire et me faire penser que le monde n'est pas que déception et pessimiste. Avec lui, j'avais crée une grande complicité. Deux amants complétement semblables sur certains points et différents sur d'autres. Mais cela faisait sans aucun doute notre force. « Deven, je crois que je t'en dois une. Merci. » Une certaine distance pourtant nous éloignait depuis que nous n'étions plus loin d'ici. New York avait comme tout effacé. Du moins, c'est ce que je m'efforçais de croire. Je ne voulais pas me faire de fausses idées. Après tout, il avait aussi une vie avant de se rendre à Gaza. On avait profité, cela avait été formidable, inoubliable. Je ne pourrais jamais l'oublier. Cependant, je devais y faire. Je n'avais aucun droit sur lui et encore moins sur ces choix. S'il avait décidé de tourner la page, peut être que je devrais en faire de même.. « Tu veux quelque chose à boire ? » Peut être qu'il n'avait pas le temps ou peut être qu'il était accompagné. Cependant je devais d'une manière ou d'une autre le remercier. Étrangement cela me rappela notre première rencontre, son regard et ce sourire dont j'ai été totalement charmée. C'était bizarre de se retrouver de cette même façon, il restait alors mon sauveur toujours là à la rescousse. De plus, maintenant, la place à mes côtés venait de se libérer. S'il souhaitait se poser quelques instants, ça me ferait sans aucun doute plaisir. Savoir comment il va et s'il se sent bien de retour à New York. Je ne peux m'empêcher de laisser sortir cette phrase de mes pensées. « ça fait longtemps, j'espère que tout va pour le mieux pour toi ? » Portant jusqu'à mes lèvres, la fin de mon verre, je garde un œil posé sur le jeune homme. Au fond de moi, j'étais contente de le revoir. Même si notre relation avait changée depuis, je ne pouvais pas m'empêcher de ressentir une certaine attache pour sa personne et aussi pour ce qu'on était.
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