It's New York City bitches ! And it's my motherfucking dream
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Ziggy sucked up into his mind

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MessageSujet: Ziggy sucked up into his mind Ziggy sucked up into his mind EmptyJeu 29 Oct - 23:56

On entendait diverses musiques étouffées s’évader des boites de nuits et des bars du Lower East Side. La jeunesse New-Yorkaise profitait du vendredi soir pour oublier sa dure semaine.. pour s’évader dans des mouvements impudiques sur les pistes, pour s’oublier dans un verre de whisky auprès des comptoirs, pour profiter de l’ivresse d’une soirée entre amis et des tendres retrouvailles amoureuses, pour s’intéresser aux rencontres et aux doux jeux de l’attirance. Il était une heure et vingt minutes. L’heure à laquelle New-York vivait réellement, dans sa plus belle représentation : Les lumières des lampadaires scintillaient, tout autant que les sourires et les regards.. parfois à cause de l’amour, parfois à cause de l’alcool. En cet instant précis, New-York était éveillée plus que jamais, et appartenait entièrement à ceux qui décidaient de s’échapper.. le temps d’une nuit, d’une soirée.
Elle et lui s’étaient trouvés, plus tôt, dans un bar. Il lui plaisait. Elle lui plaisait. Tout ce comprenait en un simple regard. Il avait laissé glisser ses yeux sur ses lèvres, puis sur son cou, son buste, ses hanches, ses cuisses, ses jambes.. sans aucune pudeur, naturellement. Lui était simplement habillé : Un chandail noir au col en V, un jean gris plutôt usé et troué en plusieurs endroits, et une veste en cuir qu’il avait laissée ouverte. Et assis sur l’un des tabourets du bar, il l’avait observé, de loin, sans ne la quitter des yeux un seul instant. L’alcool avait fait qu’il n’avait qu’à peine souvenir de la façon dont il l’avait accostée.. Certainement était-ce devenu trop automatique, avec le temps. Et puis.. en un sens, il s’étaient conquis l’un et l’autre dés les premiers mots. Ils avaient su, chacun, ce dont ils avaient envie. Autant dire que les mots employés lorsqu’il s’était approché d’elle n’auraient eut que peu d’influence sur l’inexorabilité de leur fin de soirée. Une heure vingt, donc. Sohan se sentait d’humeur aventurière cette nuit-là, et pour il ne sut trop quelle raison, il avait mené la jeune fille jusqu’à Bowery, un peu plus loin du bar. La tenant contre lui par les hanches, silencieusement, il avait emprunté un escalier extérieur en métal qui menaient aux toits d’un grand immeuble. Ils n’avait à vrai dire adressé que quelques mots à la jeune fille depuis leur rencontre, préférant ne pas s’embarrasser de discutions futiles et superflues. Ses intentions étaient claires et nullement cachées.
Et Ainsi se retrouvaient-ils sur les toits d’un immeuble, leurs cheveux voletant légèrement au gré d’un petit vent chaud du sud. Sohan relâcha la main de la jeune fille – pour laquelle il avait abandonné sa hanche avant de monter les escaliers – et s’approcha du rebord, les coudes posés sur la rambarde de fer. Il glissa une main dans ses cheveux blonds, puis observa un instant la rue avant de se retourner vers la jolie brune, inexpressif. Un regard au bleu-vert froid se planta directement dans celui de cette dernière, insistant et détaché à la fois. Il plongea sa main droite dans sa poche et en sortit un petit sachet transparent contenant comme une fine neige blanche. De l’index, il fit signe à la jeune fille de s’approcher, puis s’assit sur le sol, en tailleur. Il sortit une petite plaque de métal et, approximativement, dessina six lignes dans la poudre immaculée, puis releva les yeux sur celle qui l’accompagnait.

- Mirelys .. Mirelys, c’est ça ? …. Je te présente Stardust.

Une voix douce, masculine, à la fois chaude et inquiétante, ironique mais étrangement attirante malgré tout. Il sortit une petite paille toute aussi blanche que la poudre, puis fit disparaître un premier rail. Il renifla un instant, glissa par reflex son index sous son nez, puis réalisa le même geste une seconde fois. Deux rails en moins. Il confia la plaque de métal et la paille à sa voisine, et plaça ses mains derrière lui, pour s’appuyer. Là, il poussa un long soupir et relâcha sa tête en arrière, comme déjà trop impatient de ressentir les effets..
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MessageSujet: Re: Ziggy sucked up into his mind Ziggy sucked up into his mind EmptyVen 30 Oct - 3:19

Au début de la soirée, Mirelys se sentait seule abandonnée par tous les gens qu'elle connaissait, amis et parents, bien que la deuxième catégorie soit composée que de quelques personnes. Elle n'avait pas beaucoup de famille dans ce pays. Ressentant tant de solitude, la jeune fille avait décidé de rentrer visite à son bon copain le centre-ville. Elle se fichait d'où elle attirirait, un bar miteux ou un très branché, où les célébrités défilaient ou alors simplement où les policiers allaient prendre une bière après avoir fait leur longue journée de boulot. Elle se sentait indifférente envers les possibilitées qui s'offrait à elle. Tout ce qu'elle voulait, c'était atterir à quelque part, ne pas tomber dans un trou noir. Sortant de chez elle, elle vit les lumières au loin, la ville était à son apogée, au moment où tout ce passe. La nuit à New York, c'était comme le nouvel an, mais à tout les soirs. De grandes festivités, de l'alcool à profusion, des gens qui s'embrassent minuit passé, qui baisent et qui font pleins de conneries. Bon vu de ce côté, ce n'est pas joli pour tout le monde, mais Mirelys aimait cette ambiance un peu crade. Va s'en dire qu'elle appréciait aussi la brillance de Times Square, les concerts qui finissent à pas d'heure, les sorties dans des cafés avec les amis qui finissent pas mille cafés et une note d'internet assez élevée. Vous n'avez pas goûté à la vraie vie si vous n'avez pas goûté aux nuits new-yorkaises, où le soucis n'a pas sa place.

Mirelys avait entré dans le bar avec une aisance déconcertante, elle n'avait pourtant que dix-sept ans. Il lui manquait quatre années pour avoir l'âge légal, et jamais au grand jamais on ne lui avait demandé une carte de toute sa vie. Son défaut de mémoire la rendait peut-être plus vieille, ayant grandi parmis des gens beaucoup plus vieux, elle avait peut-être été victime de ses années supplémentaires. Toutefois, elle ne s'en plaignait pas, bien au contraire. Dès son arrivée, elle repéra un jeune homme. Il la regardait avec insistance, voire du désir. Un tel charme émanait de lui qu'elle savait pertinemment qu'elle ne lui résisteraient pas. Ils se dévoraient du regard, durant un long moment, une, deux ou trois heures. Quand ils se sont finalement abordé, il était tard, très tard. Ils échangèrent peu de mots, leurs regards en avaient dit assez long. Elle s'était mise belle, elle avait l'air d'une fille posant pour playboy tellement le sexe émanait de sa personne. Une micro-robe en satin noir lui couvrant à peine le derrière et dévoilant sa poitrine plantureuse la rendait irrésistible, de plus que ses longues et fines jambes bronzées étaient valorisées par des talons hauts de 10 cm en cuir verni rouge. Elle jubila lorsque le jeune homme, Sohan, l'invita à partir avec lui. Elle n'avait aucune idée d'où ils le feraient, mais elle se languissait de ce moment. Elle le voulait, là maintenant. Il la tenait par les hanches et son doigt caressait exactement l'emplacement où la corde de son string se trouvait. Puis, il la lâcha, subitement. Elle fut réconfortée lorsqu'il prit sa main à la place, l'entraînant sur le haut d'un bâtiment. Elle l'observa fouiller dans sa poche, en sortir un sachet rempli de poudre blanche, de la cocaïne en n'en pas douter. Elle n'avait jamais pris de drogue, mais l'alcool qu'elle avait consommé lui enlevait tout jugement, ce qui la poussa à accepter la plaquette de métal où de longues lignes étaient tracées.

- Stardust, enchantée de faire ta connaissance.

Elle fit comme son compagnon, bloquant l'une de ses narines et inspirant avec l'autre cette substance jusqu'à lors inconnue qui passait à travers la petite paille. Après avoir pris deux ou trois lignes, elle déposa la plaque par terre et se jetta sur le blondinet qui se trouvait à côté d'elle. Saisissant son cou, elle l'embrassa à pleine bouche, commençant alors son jeu préféré. Elle prit la main du jeune homme, la glissant sous sa robe pour la déposer sur sa fesse.

- J'espère que t'a envie de jouer chéri... parce que j'ai toute la nuit devant moi.

L'effet de la drogue commençait à se faire sentir. Une sensation étrange, mais beaucoup plus qu'agréable. C'était magique, tout simplement magique. Il y avait une salope à Disney World. Attention les enfants, Minnie a très envie d'enlever sa culotte quand elle est avec Mickey.
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MessageSujet: Re: Ziggy sucked up into his mind Ziggy sucked up into his mind EmptyVen 30 Oct - 22:41

Doucement, très doucement, la drogue faisait effet. Il fallait encore attendre une ou deux minutes pour que, réellement, il puisse profiter de toutes ses conséquences sur ses émotions, ses pensées, ses ressentiments.. mais déjà, comme anticipant les effets qu’elle allait produire, comme trop allègre de pouvoir à nouveau bénéficier de l’extase d’un rail de cette merveilleuse poudre, comme à la fois impatient et en même temps réconforté de l’attente d’une nouvelle prise, il se sentait planer. Il était déjà trop confiant d’ordinaire pour que la substance améliore et renforce cette partie de lui.. Alors ce n’était non pas la confiance qui sesaisissait de lui mais plutôt comme un sentiment d’être seul au monde. Elle et lui. Eux. Et rien d’autre. Ils étaient les rois du monde, les rois de New-York. Il n’y avait qu’eux qui importaient, qu’eux qui existaient.
Lorsqu’elle l’embrassa à pleine bouche, lui, répondit à son baiser, tempérant tout de même ses ardeurs en caressant lentement et légèrement ses flancs – bien qu’il ait laissé la jeune fille diriger sa main libre. - J'espère que t'as envie de jouer chéri... parce que j'ai toute la nuit devant moi. Appuyé contre le muret qui les séparait du vide, il plaça la jeune fille à califourchon sur ses cuisses, plantant un regard sombre et froid mais brillant de désir dans celui de sa compagne. Alors que sa main droite se laissait glisser habilement sur le sous-vêtement de la jeune femme et lui procurait des sensations qui portaient rapidement leurs fruits, sa main gauche s’entachait de faire délicatement glisser les bretelles de sa robe tout en profitant de chaque instant pour caresser sa peau, lui donner quelques frissons. Il revint l’embrasser, plus langoureusement qu’elle ne l’avait fait, imposant un rythme moins soutenu – Il aimait que ce soit long et passionné. S’il y avait bien une chose que Sohan savait faire, et qu’il faisait de la meilleure façon qu’il soit.. c’était l’amour. Il faisait l’amour d’une telle manière que ses partenaires se sentaient irrévocablement et incroyablement aimés. Et ces derniers, immanquablement, ne trouvaient rien de plus excitant. C’était ce qui s’appelait faire l’amour avec sentiment, bien que le blond ait été dépourvu de cœur. Ainsi la lenteur, l’appréciation de chaque instant, la décomposition de chaque mouvement, profiter de chaque parcelle de peau et de chaque frissons, ressentir le moindre baiser comme la moindre caresse aussi infimes soient-ils ..étaient les clés de voûte d’un instant inoubliable. Et si y étaient ajoutés quelques lignes de coke, c’était encore mieux évidemment.
Sohan inversa les rôles. Il fit délicatement basculer la jeune fille sur le sol, de façon à être au dessus d’elle. Doucement, gracieusement, il vint laisser courir son souffle chaud dans son cou, puis y déposa quelques baisers, vint mordiller son oreille puis redescendit à nouveau. Ses lèvres frôlèrent la nuque de la jeune fille, ses épaules, puis le haut de sa poitrine. Il y déposa un baiser, puis commença à faire descendre la robe de la brune à mesure de ses baisers. Une main glissa dans le dos de sa partenaire de façon à la cambrer et la serrer tout contre lui en même temps.. puis il vint l’embrasser, de ce même baiser langoureux, presque amoureux. Hors du temps, hors de l’espace, hors de la pensée. La cocaïne faisait définitivement effet. Il rompit le baiser, sans pour autant s’éloigner de ses lèvres.

- Toute la nuit.. tu penses vraiment que ça suffira ?

Il lui avait soufflé ces mots d’une demi-voix envoûtante et trop calme par rapport à leurs rythme cardiaque qui déjà, après ces élans de désir et la prise de cocaïne, étaient bien plus élevés. Il vint poser quelques baisers chauds dans sa gorge, à nouveau, glissant doucement – comme pour la faire attendre, et comme pour faire de cette attente un véritable supplice – sa main sous la jupe de la belle, entre ses cuisses, remontant progressivement jusqu’à son entrejambe. Appuyé sur son coude, il caressait ses cheveux, dans sa nuque, de l’autre main, et la regardait comme si elle était la plus belle femme sur terre. Comme si il l’aimait.. comme si son désir l’aimait, ainsi que son corps, et ses mains, et ses lèvres – qui à nouveau vinrent se joindre tendrement aux siennes.
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