Sujet: Une journée chez les fous [PV Lilith] Dim 6 Sep - 18:03
Une journée chez les fous Marlon & Lilith
Cette nuit il avait fait particulièrement chaud, une chaleur comme j’en avais rarement vu, habituellement je ne m’en serais pas plains mais cette chaleur m’empêcha de fermer l’œil de toute la nuit m’obligeant à faire une nuit blanche. Pour moi les nuits blanches n’est pas un terrain inconnu et je suis toujours le premier à vouloir rester debout toute la nuit pour faire la fête s’amuser et tout, sauf que la j’étais dans l’appartement avec aucune fête de prévu. Lilith elle semblait dormir à point fermer et j’allais pas la réveiller à cause de mes troubles du sommeil, j’ai donc dus opter pour une soirée TV qui dura toute la nuit - le bon côté c’est que je me suis refais entièrement la sage des Seigneurs des anneaux -, depuis cette nuit je suis incollable sur tout ce qui touche aux elfes et aux nains.
Le soleil se levait enfin et le cadrant de mon réveil affichait 8h00 du matin, j’allais pouvoir préparer ma journée qui ne s’annonçait pas vraiment plus glorieuse que ma nuit. Allant dans ma chambre j’enfilais un jogging noir ainsi qu’un débardeur blanc, j’étais fin prêt pour ma séance du matin. Oui le sport est très important car il me permets de me maintenir en bonne santé et avoir un esprit saint dans un corps saint est primordial pour moi, ça serait mentir si je dis que je n’aime pas boire ni fumer un petit quelque chose une fois de temps en temps, mais je sais ou sont mes limites et je fais en sorte de ne pas tomber dans l’excessivité. Et puis pour couronner le tout j’adore faire du sport, ça me détend et dans ces moments la je fais le vide, ne pensant plus à rien - faites gaffe avec vos vannes, je les vois venir -_- » -. Prenant garde de pas réveiller ma colocataire qui était toujours entrain de dormir je marchais avec la plus grande discrétion, sur la pointe des pieds, pour au final fermer la porte en la claquant. C’était pas ma faute mais le vent, y a eu un courant d’air assez violent qui est sortit de nulle part et à claquer la porte, vous pouvez être sur en tout cas que je viendrais jamais vous cambrioler et si c’était le cas vous le découvriez bien vite grâce à ma légendaire discrétion. Ne voulant pas prendre le risque de retourner dans l’appartement pour voir si j’avais réveiller la jeune femme je sortis dehors commencent mon footing petit à petit tout en accélérant peu à peu. Musique dans les oreilles j’étais à présent dans mon monde, ne me préoccupant pas vraiment de vers ou je courais je me contentais simplement de bouger me laissant porter par le vent et puis tôt ou tard je rentrerais bien à la maison, c’est quand même pas moi qui vais me perdre dans New York, moi qui est toujours habité ici.
Cela faisait un peu plus d’une heure que je courais quand enfin je me retrouva de nouveau devant l’appartement, comme d’habitude je savais pas vraiment par quel chemin j’avais réussi à revenir mais l’important était le résultat et non pas la manière dont on obtient le résultat. Il devait bien être 9h30 voir 10h. Avec un peu de chance Lilith serait réveillé, au pire des cas j’irais prendre une douche parce que la j’avais tendance à transpirer un peu surtout de cette chaleur. J’ouvris la porte grâce à ma clé et entra dans l’appartement fermant la porte derrière moi. J’enlevai directement mon tee-shirt pour être plus à l’aise tandis que je me dirigeais vers le frigo prendre une boisson froide. Il n’y avait pas un bruit, certainement Lilith devait elle dormir encore.
Sujet: Re: Une journée chez les fous [PV Lilith] Dim 6 Sep - 19:33
Lilith et Marlon in the House
Un beau appartement? Non bien plus que cela, cet appartement est spécial,adorable,magnifique, pourquoi? Parce que c'est le mien, enfin pas tout à fait, le mien et celui de Marlon, un gentil gars qui est donc mon colocataire. J'habite ici depuis environ 5 ou 6 mois, au départ on voulait tous les deux cet appartement, et le propriétaire à proposer de faire une colocation, personnellement, cela ne me dérange pas tant que cela, car ce n'est pas comme si Marlon était un homme mal élevé, au contraire ce jeune homme est quelqu'un de charmant, avec un sourire à faire tomber toutes les filles et un coeur gros comme une maison, j'ai jamais était bonne en comparaison. Comme chaque soir, pratiquement, je sortais, oui mais pas très tard, en tout cas ce soir pas tard, car la flemme m'envahie de plus en plus. Mon sourire s'élargie quand je vis mon leggings noir en cuir poser sur mon lit, je m'empressa de l'enfiler, par dessous quelques sous-vêtements sexy, et je fouilla dans mon armoire à la recherche d'un top blanc rien de très spécial. Une fois le top blanc trouvé et enfilé, j'attrapa mon sac en bandouillère noir style chanel, j'y rangea tout mon bordel, et l'enfila. J'appela un taxi et sortie de mon appartement les clés en main toute souriante à l'idée de sortir un peu. Mais ce fut de courte durée, car une copine m'appela alors que je venais de monter dans le taxi, en pleure, elle venait de se faire plaquer par son ex copain maintenant, et elle voulait vraiment qu'on se voit. Par pure générosité et comprehension, je demanda au taxi de m'emmener chez elle, histoire de la réconforter. Ma soirée venait d'être foutue en l'air, mais bon c'était pour une bonne cause. Je suis restée à peu près une bonne heure chez elle, à l'entendre pleurer, chouiner, et se plaindre. A la fin j'étais tellement fatiguée, que je décida de rentrer, alors qu'il n'était à peine 22h, mais bon tampis. Une fois chez moi, j'enfila mon pyjama un top blanc et un short simple, et je m'endormie directement, éteignant mon portable histoire que personne ne me dérange.
J'ouvris un oeil, et puis l'autre, je vis qu'il était 9h50, presque 10h et je mis mon oreiller sur ma tête histoire de me rendormir, mais dans ma chambre il faisait tellement chaud, que cela devenait insuportable cette chaleur. Je me leva, les yeux encore un peu fermaient et l'envie de dormir toujours présente. J'alla dans la salle de bain histoire de m'attacher les cheveux en une merveilleuse queue de cheval. Je n'allais pas m'habiller pour descendre, c'est pas comme si Marlon ne m'avait jamais vu en pyjama, enfin si, mais bon c'est pas si grâve. J'entendis un bruit infernale en bas, Marlon cherchant de la nourriture, c'est normale .. Je descendis sur la pointe des pieds, et voyant Marlon torse nu cherchant quelque chose à boire ou à manger dans le frigo, surement à boire vu cette chaleur. Il se retourna et je souria vaguement.
- Un homme matinal et en plus bien foutu? Incroyable .. Dis-je en rigolant puis en attrapant à mon tour un ice tea histoire de me rafraichir un peu.
Sujet: Re: Une journée chez les fous [PV Lilith] Mer 9 Sep - 22:50
A la base la collocation ne faisait pas parti de mes projets, j’avais certes de nombreux amis qui partageaient leurs appartement avec d’autre personne car apparemment c’était beaucoup mieux d’avoir quelqu’un avec soit plutôt que d’être seul, sauf que moi cette solitude moi je la réclamais. Pour moi avoir un appartement ou une maison ou tout autre sorte de logement est une chose intime, c’est sa vie privé et c’est pas pour rien qu’on dit « son chez soi », quand on veut prendre son envole et son indépendance c’est pas forcément pour faire la fête h24 et parfois il est bon de voir que l’on a l’occasion de s’accorder quelques moments de solitude chez soi. Pour moi à la base quand j’entendais collocation ça signifiait restriction, si on réfléchi bien quand on habite avec quelqu’un on ne peut pas vraiment être naturel et on doit faire attention à ses manières surtout quand le colocataire se trouve être une colocatrice. Tout ça n’était bien évidemment que des appréhension et des cliché sortant tout droit de série que j’avais regardé, en réalité la collocation c’est pas si mal, suffit juste de trouver la bonne personne avec qui partager son chez soi.
Et oui car même moi qui à la base n’était pas pour le partage d’un appartement je me retrouvais à présent à vivre en compagnie d’une autre personne, mais bon encore une fois c’est en très bonne compagnie que je partage mon quotidien. Lilith, c’est son nom et elle et moi convoitions le même territoire, la même proie, le même appartement. Je le voulais absolument cet endroit, c’était calme, classe et puis l’appartement correspondait exactement à mes attentes, simple tout en restant chic, il était hors de question que je lâche l’affaire à l’apparition de concurrence, d’autant plus que j’avais les moyens et je pouvais mettre le prix fort, sauf que elle aussi…Le vendeur nous proposa donc la collocation, seul option envisageable j’accepta au début à contre cœur et très vite je trouva mes marques. Au fil du temps j’apprenais à connaître cette Lilith et je nous trouvait des points commun, l’entente se faisait bien et un bon feeling passait, me comportant de plus en plus naturellement j’étais à présent tout à fait à l’aise avec la jeune femme et en parfaite confiance, en plus qui ne rêverais pas d’avoir une coloc aussi sexy. Personne, on peut dire que la finalement j’ai été chanceux. Le footing terminé une faim monstrueuse m’envahit d’un seul coup, c’est donc torse nu que j’arpentais le frigo à la recherche de quelque de frais et de nourrissant. Je ne repéra la présence de Lilith que quelques minutes plus tard, cette dernière semblait sortir à peine du lit étant donné sa tenue, enfin on était entre nous alors pas de quoi être constamment sur son 31. Je souriais alors à la réflexion de la jeune femme tout en reprenant en cœur :
Tu parle je suis pas si bien que ça et puis tu t’es vu, t’es 10 fois mieux que moi.
J’avais dis le tout avec un léger sourire retournant ensuite à mon exploration après avoir laissé la jeune femme prendre son Ice Tea. Je l’imita prenant à mon tour un Ice Tea sortant par la même occasion le lait. Ouvrant tous les placards je sortais à tour de rôle un bol ainsi qu’une boite de céréale tout en lançant en direction de la jeune femme « Bien dormi ? ». Une fois mon petit déjeuner préparé je laissa le tout en vrac sur le meuble et m’asseyait les jambes croisées sur le comptoir entamant mon bol. Avalant une autre cuillère de céréale je repris de nouveau la parole:
Sujet: Re: Une journée chez les fous [PV Lilith] Mar 15 Sep - 8:47
L’idée d’avoir un colocataire m’a toujours plus, pourquoi, pour faire de nouvelles connaissances, pour pouvoir s’amuser autrement qu’enfermer chez soi, pour moi un colocataire est une bonne manière de découvrir la vie, avec une personne à ses côtés. Heureusement j’étais bien tomber, sur Marlon, un anglais très sensible, et surtout très gentil, on s’est tout de suite bien entendu. Tout les deux on aime la fête, même si c’est vraie que le soir on a jamais vraiment pensé à passer la soirée ensemble, mais je suis sure que cela se fera bien un jour. Mon ice tea en mains, je le regardai sans me lasser de lui, ses yeux étaient quelque chose de magique, je ne pourrais pas expliquer pourquoi, mais au fond je ressens un peu comme une magie quand on se parle, après ce n’est surement pas réciproque et je ne suis pas du genre à m’avancer sur ce terrain là. Lui c’était déjà assis à la table à manger, avec son bol de céréale, puis il me demanda si j’avais bien dormit. Je failli lui rire au nez en répondant que si j’avais mal dormi je ne serais pas aussi gentille que cela le matin, mais je ne fis que me cherchait à mon tour un bol et j’allai m’assoiere à la table en face de lui.
- Oui, j’ai très bien dormi, et toi ? Malgré une fin de soirée assez bizarre, tu n’est pas sorti hier soir ?
Souriant à chacun de mes mots, je sortis à mon tour des céréales, style coco pops, et je m’en servie une bonne dose, puis me rasseyant je versai le lait. Lui me regarder du coin de l’œil près à me répondre, et moi je le regardai aussi d’un coin de l’œil, ramenant mon ice tea à ma bouche. Puis je commençai à manger mes céréales et lui en fit de même, tout en me parlant, j’adorais c’est matin là, où on avait le temps de manger, de rigoler, et de se parler sans que rien ni personne nous embête. Je tournai ma tête vers la fenêtre et j’y vis un soleil radieux, mon sourire s’agrandit à l’idée de pouvoir passer la journée dehors, ce qui n’arrive pas très souvent.
L’heure avançait de plus en plus et nous on parlait toujours, mangeant tous les deux nos céréales, chacun dans son rythme. Je me levai d’un bond, n’ayant pas encore fini mon bol et lui non plus, puis cherchant dans un tiroir la trousse à médicament, car une migraine s’installait peu à peu en moi, et je n’avais pas vraiment envie de rester enfermer toute la journée avec ce mot de tête. Prenant un caché d’aspirine, j’allai m’assoiere, Marlon souria et je fis de même tout en prenant mon médicament avec l’ice tea qui me rester. S’il y avait quelque chose dont on n’avait jamais parlé avec Marlon, c’était de l’amour, des relations que l’autre pouvait avoir, par exemple, moi je ne sais rien de la copine de Marlon, s’il en à une, je ne sais rien de sa famille, ni de ses amies, pourquoi ? J’en sais franchement rien, personnellement sa ne me dérangerait pas de parler de cela, car je le considère un peu comme un ami, quand on est tous les jours avec cette personne, cela devient amicale je trouve. Mais si Marlon refuse d’en parler avec moi, je ne comprendrais pas vraiment, s’il à des choses à me cacher, ou s’il ne me fait juste pas assez confiance, tant pis, après c’est pas pour cela que je vais m’énervé ou vouloir partir, non bien loin de là.
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