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We were all the wild ones, the wasted youth. ℛ Luis

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MessageSujet: We were all the wild ones, the wasted youth. ℛ Luis We were all the wild ones, the wasted youth. ℛ Luis EmptyJeu 13 Juin - 0:47


Tags : #Rosalie #Luis #Rain #OTP #whatamidoing.com
When : Mai 2013, a few weeks after their holiday. They spend a lot of time at Rosalie's ( rp#9 )
Where : Rosalie's penthouse apartment on Carnegie Hill
Mood : Weird
Weather : Rain and more rain.
Note : Idiots.

We were all the wild ones,
the wasted youth.
Rosalie sortie de son ascenseur privée en se dénouant les cheveux, les laissant tomber dans le milieu de son dos et passa les mains dans ses bouclettes blondes pour leur donner un peu plus de volume. Elle était vraiment en retard. Elle avait dû dépanner pour une opération d’urgence et, en toute honnêteté, elle n’avait pas eu le réflexe de prévenir qui que ce soit. C’est qu’en sortant sa voiture du garage, quand elle avait vue l’heure, qu’elle avait réalisé que Luis était censé l’attendre chez elle, pour manger. Elle n’avait grogné et appuyer sur la pédale de vitesse, esperanto qu’il l’attende toujours, mais elle ne se faisait pas trop d’illusion non plus. Il était presque dix heures et pour le coup, elle se sentait un peu mal.  La blonde laissa ses souliers dans l’entrée et se guida dans son appartement plongé dans le noir. Il y avait encore des odeurs de cuisine dans l’air, ce qui fit grogner son estomac. Elle n’avait pas mangé non plus. Mais ça, elle en avait l’habitude, beaucoup plus que de rendre des comptes. Ce n’était pas qu’elle aimait pas qu’on l’attende chez elle, ou quoi que se soit, elle n’était tout simplement pas habituée à ça. Plus depuis qu’elle avait quitté la maison de ses parents à seize ans. Elle voulut se dirigée vers la cuisine, peut-être que Luis lui avait laissé un restant avant de partir. Mais un bruit dans le salon attira son attention en premier lieu. Elle entra dans la pièce pour voir que Luis n’avait pas quitté finalement, mais l’attendait en écoutant la télévision à très bas volume. L’Anglaise s’approcha derrière le divan et passa ses bras autour de son cou et l’embrassa doucement sur la mâchoire. « Désolé, opération de malade. Je bossais sur son crâne tu vois, tumeurs, et tout c’est mis à couler en même temps et puis le sang arrêtait plus et c’était glissant, je crois que j’ai bien failli la paralysé trois fois. Mais je suis extrêmement doué alors, il est censé être réveillé à l’heure qu’il est, sans tumeurs et tout. Au moins un kilos en moins. » Son regard se posa sur la petite chose aux longs cheveux bruns étales à côté de son oncle. Elle passa une main dans ses cheveux doucement. « Elle dort ? » La pauvre ne devait pas être très confortable sur son divan quand même. « Oh gosh, vous m’avez pas attendue pour manger ein ? Tu l’as nourrie ? » Non parce qu’elle ne voulait pas ça sur la conscience non plus !  
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MessageSujet: Re: We were all the wild ones, the wasted youth. ℛ Luis We were all the wild ones, the wasted youth. ℛ Luis EmptyDim 23 Juin - 6:50

Luis s'était montré sage, il avait cuisiné comme à son habitude désormais, mais Rosalie n'était pas venue tout de suite, il avait rapidement compris que c'était en rapport avec son boulot, elle n'avait pas pu se libérer... mais le chilien avait juste trop envie de la voir pour retourner chez lui. Au lieu de quoi, il avait fait mangé Rain en attendant la venue de Rosalie pour manger à son tour. Il avait fait les devoirs avec elle puis la petite avait un peu joué, dessinée, bref, elle s'était occupée et Luis avait à certains moments partagés ses jeux. A la fin, Rain était épuisée et s'était posée devant la télé. Le jeune homme s'était assis à côté d'elle et en moins de temps qu'il ne faut pour le dire, Rain avait déposé sa tête sur ses genoux et lui avait joué dans ses cheveux, la petite le réclamait tout le temps, une fois 9h passé, elle s'était tout simplement assoupie et Luis avait baissé le son et zappé pour tenter de trouver quelque chose de distrayant. N'importe quoi. Après un moment qui lui parut encore plus long, il entendit que Rosalie rentrait, mais avec Rain sur ses genoux, il avait un peu peur de bouger, du moins, trop brusquement en tout cas. Il ne fallut pas longtemps à Rosalie pour venir l'embrasser et il se laissa faire avec un sourire content. « Désolé, opération de malade. Je bossais sur son crâne tu vois, tumeurs, et tout c’est mis à couler en même temps et puis le sang arrêtait plus et c’était glissant, je crois que j’ai bien failli la paralysé trois fois. Mais je suis extrêmement doué alors, il est censé être réveillé à l’heure qu’il est, sans tumeurs et tout. Au moins un kilos en moins. » Luis tenta de ne pas grimacer, il plissa juste le nez de dégoût. C'était vraiment pas pour lui tout ça, il le laissait à Rosalie avec grand plaisir ! Mais si elle tenait à le lui raconter, il pouvait faire l'effort de l'écouter. « Bravo ! » dit-il avec enthousiasme avant de froncer les sourcils quelques secondes. « Est-ce que ça veut dire que je dois t'offrir une récompense pour ton boulot ? » demanda-t-il avec un ton amusé, et un sourire au coin des lèvres. « Elle dort ? » Luis reporta son attention sur Rain et son regard s'adoucit aussi tôt. « Elle est petite... » souffla-t-il avec douceur avant de se mettre à bouger le plus délicatement possible. Une fois libéré de l'emprise de Rain, il se sentit un moment tout dégourdi. « Oh gosh, vous m’avez pas attendue pour manger ein ? Tu l’as nourrie ? » Luis secoua la tête avant de faire le tour du divan pour rejoindre la blonde, il l'attira aussi tôt à lui et posa ses mains sur les hanches de Rosalie de façon possessive. Il déposa un rapide baiser dans son cou avant qu'il ne dirige ses lèvres vers celles de la blonde. Le baiser fut profond mais court. « Evidemment que j'ai nourris ma petite femme ! C'est tout tour d'ailleurs, tu dois avoir faim ! » dit Luis en ayant une petite moue sur le visage. Il attrapa la main de Rosalie pour l'entrainer à sa suite jusque dans la cuisine. Il sortit la pizza fait maison du four. Il coupa un quartier qu'il mit calmement au four à micro-onde. « Je ne vais plus trop tarder mi querida. La petite sera mieux dans son lit. » finit par dire le chilien tout en se passant la main dans les cheveux. Il aurait aimé rester un peu plus, mais ce n'était pas très sérieux pour la petite. Finalement, la sonnerie du micro-onde retentit et le brun sortit l'assiette de Rosalie tout en s'installant face à elle.
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MessageSujet: Re: We were all the wild ones, the wasted youth. ℛ Luis We were all the wild ones, the wasted youth. ℛ Luis EmptyLun 24 Juin - 21:09

Elle détestait être en retard, et elle était habituellement très ponctuelle, mais ces jours-ci le seul endroit où elle pouvait garantir sa présence était au boulot. Elle avait le droit à trois mois de vacances par année et entre le Maroc, l’Inde, son attaque, les fêtes et tout le reste, elle avait passé plus de la moitié en très peu de temps. Elle s’était toujours arrangée pour rattraper le boulot perdu, mais elle devait quand même faire des efforts. Surtout qu’elle envisageait ajoutée une nouvelle spécialisation a ses diplômes. Donc elle avait doublé ses heures de cliniques et était sur appel six jours sur sept. Elle rentrait souvent tard et partait souvent tôt, franchement essayer de faire des plans ou bien d’avoir une vie sociale au milieu de tout ça n’était sans doute pas une bonne idée. Mais bon, elle l’avait toujours sue au fond, mais jusque-là, ça ne l’avait pas vraiment dérangé. Elle n’avait jamais eu quelqu’un qui l’attendait chez elle – ou ailleurs – avant. Enfin, il y avait un bon côté aussi, comme le truc qu’elle avait ressentie dans le creux de son ventre quand elle s’aperçue que Luis l’avait entendue tout ce temps. Elle alla vers lui direct et rechercha un contacte physique pour la calmer de son adrénaline postop. Mais comme elle était encore sous le ‘choc’ et pas tout à fait dans son monde, elle ne put s’empêcher de blablater comme une gamine sur son opération.  « Bravo ! Est-ce que ça veut dire que je dois t'offrir une récompense pour ton boulot ? » « Hm.. » La blonde leva les yeux vers le plafond faisant mine de réfléchir. « Est-ce que j’ai vraiment besoin d’une raison pour avoir une récompense ? » Elle ne pensait pas non, elle était tout simplement merveilleuse au naturel. Elle remarqua ensuite Rain qui dormait sur le divan et lui passa les doigts dans les cheveux tranquillement, elle avait encore des traces des tresses qu’elle lui avait faites la dernière fois. « Elle est petite... » La blonde fronça les sourcils et se garda bien de dire qu’elle était presque plus grande que son fauteuil, surtout avec Luis dessus, mais bon. Elle eut à peine le temps de s’assurer qu’ils avaient tous les deux biens mangés qu’elle se retrouvait dans les bras du Chilien. Elle répondit à ses baisers avec une vigueur certaine. Elle n’était plus fatiguée pour le coup et n’avait plus faim non plus, sauf pour Luis. « Evidemment que j'ai nourris ma petite femme ! C'est tout tour d'ailleurs, tu dois avoir faim ! » Rosalie haussa les sourcils, mais se laissa trainer jusque dans sa cuisine et s’assit sur un tabouret pendant qu’il lui servait une pointe de pizza. « Tu es plus à mon aise que moi dans ma cuisine, je sais même pas où se range les assiète. » Enfin, elle savait déjà plus qu’il y a deux mois, parce qu’elle y trainait plus souvent depuis que Luis passait, mais quand  même. « Je ne vais plus trop tarder mi querida. La petite sera mieux dans son lit. » La blonde eut un petit sourire déçue avant de croquer dans sa pizza. « You know that I have three guest rooms right babe ? » Quatre techniquement, mais Shanti en avait redécorer une ‘juste pour elle’. Elle haussa les épaules et posa son souper dans son assiète. « C’est juste que, le temps sa peu prendre avant que j’aille une autre soirée de libre… » Elle n’allait pas se mettre à bouder comme en vacance, mais l’envie y était.
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MessageSujet: Re: We were all the wild ones, the wasted youth. ℛ Luis We were all the wild ones, the wasted youth. ℛ Luis EmptyMer 3 Juil - 4:35

Luis était vraiment content de voir Rosalie, il l'avait attendue, il n'aurait pas su passer chez elle et ne pas la voir, il n'estimait pas ça très correcte. Puis il s'en fichait un peu de dormir ou non, il avait l'habitude de dormir tard et peu donc bon. Mais pas Rain, elle s'était effondrée de fatigue dans le divan de la blonde. Il avait tout de même hésité un moment entre la ramener ou rester... mais il ne pouvait pas toujours l'éloigner quand il allait voir Rosalie. Et Rain l'aimait bien alors, enfin, Luis n'avait jamais amené de femmes dans sa vie, du coup, pouvoir parler avec Rosalie faisait du bien à la petite, il le voyait qu'elle était heureuse et curieuse et Rosalie semblait plutôt bien maitriser ce qu'aimait les petites filles, plus que lui en tout cas. Il était quand même parfois sceptique sur les demandes de Rain. La blonde se mit alors à lui parler de sa soirée au boulot, il avait compris que c'était ça qui l'avait retenue, elle était docteur après tout, elle avait des responsabilités et il estimait plus important qu'elle sauve des vies que de passer du temps avec lui. Enfin, il voulait tout de même la voir, c'était pour ça qu'il était resté. Pour sa dur labeur, il lui proposa une récompense. « Hm.. Est-ce que j’ai vraiment besoin d’une raison pour avoir une récompense ? » il sourit en l'entendant parler. « Non, tu as raison » répondit-il avec un sourire amusé avant de se pencher vers elle pour lui voler un baiser. « Je suis content de te voir » avoua-t-il en passant ses doigts sur le visage de Rosalie pour en dessiner les traits, il les connaissait par coeur désormais. « Tu m'as manquée » murmura-t-il avant de se pencher vers les lèvres de la jeune femme pour l'embrasser plus longuement. Mais il restait "sage", Rain était là, il n'avait pas spécialement envie de la réveiller.

Ils prirent la route de la cuisine mais avant ça, Luis profita d'être éloigné de Rain pour embrasser Rosalie comme il se devait. Elle lui avait manquée et il se devait de lui faire sentir. Du moins, c'était ce qu'il estimait juste à faire. Il alla réchauffer une part de pizza pour Rosalie avec aise, l'endroit était vaste mais il commençait à avoir ses habitudes dans la pièce. « Tu es plus à mon aise que moi dans ma cuisine, je sais même pas où se range les assiète. » Luis pouffa de rire avant de lancer un regard amusé à la jeune femme. « Une catastrophe pour le génie que tu es non ? Incapable de se rappeler quel placard ouvrir pour trouver ses ustensiles. » il se rapprocha de Rosalie pour se mettre à parler dans son oreille. « C'est pas trop important, tant que je sais moi et vu que je m'occupe de te nourrir » il frotta son nez contre la joue de la blonde avec douceur. Oui, tant qu'elle le gardait dans sa vie, elle n'avait pas besoin de savoir où se rangeait tout ça.

Cela dit, même si ça lui tordait le coeur, il devait partir, Rain ne pouvait pas passer sa nuit dans un divan... mais l'idée à peine émise, Rosalie se remit aussi tôt à parler. « You know that I have three guest rooms right babe ? » Luis haussa un sourcil en entendant qu'elle venait de lui donner un surnom. Il ne dit rien, mais il ne put s'empêcher de sourire. Enfin, il dut se reconcentrer et réfléchir à la proposition de la jeune femme, l'idée était tentante, mais il n'avait pas spécialement envie de s'imposer et d'imposer la petite... mais elle venait de le surnommer babe et tout ce qu'il voulait c'était l'embrasser, passer la nuit avec elle dans ses bras et lui faire longuement l'amour... il se sentait fléchir. Surtout que Rain allait dormir dans un lit au final alors... « C’est juste que, le temps sa peu prendre avant que j’aille une autre soirée de libre… » « D'accord, on va rester... » décréta-t-il alors en se passant la main dans les cheveux. « T'as du boulot à ce point-là ? Je te ferais un massage ce soir si tu veux » finit-il par dire en tendant la main pour lui caresser la joue, c'était plus fort que lui, cette recherche constante de contact physique, quand Rosalie était dans la pièce, il ressentait une sorte de force magnétique qui le poussait toujours vers la jeune anglaise. « Tu sais, si t'es fatiguée... enfin... on peut dormir aussi hein... » dit Luis en se raclant nerveusement la bouche. Gosh, il était sans aucun doute le gigolo le plus spécial, il était presque nerveux en parlant de sexe... enfin, il n'aimait pas trop ça. Mais il se devait de le dire à Rosalie, parce qu'il n'était plus là juste pour ça. C'était différent, c'était la voir, la sentir dans ses bras, dormir contre elle, c'était se sentir lier de façon si intime qui lui plaisait.
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MessageSujet: Re: We were all the wild ones, the wasted youth. ℛ Luis We were all the wild ones, the wasted youth. ℛ Luis EmptyJeu 4 Juil - 5:00

Elle avait toujours travaillé ‘fort’. Enfin, elle ne mettait pas de temps pour apprendre ou comprendre, n’avait jamais eu besoin d’étudier et tout le reste. Mais elle mettait beaucoup d’effort pour avancer et toujours être la première en liste. Elle avait eu un rythme de fou, qui lui avait permis de finir son internat en un an à peine et d’avoir son propre bureau à l’hôpital, du haut de ses vingt-trois ans. C’était ce qu’elle connaissait. Rentrer chez elle pour retourner quelqu’un était étrange pour elle, loin d’être familier, c’était un concept un peu plus alien. Mais elle était contente juste maintenant. Elle se sentait coupable d’avoir fait attendre Luis, et Rain, mais elle était tout de même heureuse de le retrouver. Surtout qu’il parlait de récompense et elle était toujours prête pour ça. « Non, tu as raison » Oui, comme toujours. Il se pencha vers elle pour l’embrasser rapidement et le blonde sourie contre ses lèvres « Je suis content de te voir » « Me too… » Elle serra ses bras autour de lui, un peu plus, et enfouie sa tête dans son cou pendant quelques secondes, profitant de la carasse de ses doigts sur son visage. « Tu m'as manquée » La blonde rigola un peu, mais se laissa embrasser à cœur joie et répondue au baisé avec un peu plus de vigueur, avant de se reculer une fois pour toutes, un sourire espiègle sur les lèvres. « We saw each other like.. three day agos. You're getting greedy !» Elle l’embrassa de nouveau et colla son front sur sa joue. « I kinda like it. » Enfin honnêtement, elle était de moins en moins difficile…

Comme Rain dormait sur le divan, et que Rosalie crevait toujours autant de faim, ils se déplacèrent vers la cuisine. Où elle eut le droit à sa pointe de pizza maison, rien de moins. Ça aurait été presque parfait si Luis ne s’était pas moqué d’elle de la sorte ! « Une catastrophe pour le génie que tu es non ? Incapable de se rappeler quel placard ouvrir pour trouver ses ustensiles. » « Ha. Ha. Ha. » La blonde fit une grimace puis la moue, faisant mine de bouder. « C’est pas juste, je n’ai jamais su* où tout était placé, sinon je m’en rappellerais. » Elle n’avait jamais eu d’intérêt pour cette pièce, avant que Luis soit dedans. « C'est pas trop important, tant que je sais moi et vu que je m'occupe de te nourrir » elle arrêta de bouder et se laissa câliner un moment, passant ses bras autour de sa taille, pour jouer avec son t-shirt dans son dos. « So that was your plan all along… Forcing me to depend on you for ever ? »

Enfin, tout ça a failli être de courte durée quand Luis lui dit de devoir partir, pour faire dormir la petite dans son lit. Enfin, c’était normal en soi, mais Rosalie venait tout juste d’arrivée et elle ne put s’empêcher de proposer une décision qui rendrait tout le monde heureux (elle surtout) ; faire dormir Rain dans une de ses chambres d’amie. « D'accord, on va rester... » « Good. » Elle attrapa un pan de son t-shirt et souris, elle aimait beaucoup quand il se passait une main dans les cheveux de la sorte et hésita quelques secondes. « Tu sais… » Elle ouvrit la bouche pour continuer, mais hésita encore. Gosh, elle était pénible. « Enfin, je t’ai dit, j’ai plusieurs chambres et… bon, je t’accapare souvent, donc je me dis… Qu’au lieu de laissé la petite avec la baby-sitter le trois quarts du temps… Peut-être, enfin… » Elle fronça les sourcils, ne sachant pas trop comment s’expliquer sans en faire ‘trop’. « En ce moment les chambres sont assez neutres, mais si ça la met plus à l’aise, je pourrais … Je sais pas, en faire peindre une en rose et acheter des draps de Dora ou quelques choses… Et puis, elle pourrait dormir là, quand toi tu dors avec moi… » Et tout le monde serait heureux non ?  « T'as du boulot à ce point-là ? Je te ferais un massage ce soir si tu veux » La blonde se rapprocha de lui, malicieusement, et passa ses bras autour de ses épaules, en penchant la tête, l’air songeur. « Si tu me prends par les sentiments, écoute… » Elle déposa un baiser léger sur ses lèvres et se recula en haussant les épaules. « Eh non, je n’ai pas plus de boulot que d’habitude. Juste le boulot quoi… » Elle avait encore son article à écrire sur sa dernière opération à la colonne aussi. Et beaucoup de paperasse à remplir.« Tu sais, si t'es fatiguée... enfin... on peut dormir aussi hein... » « Je sais. » Elle ne s’était jamais sentie forcé à faire quoique ce soit de toute façon. Elle passa ses mains dans les cheveux de Luis et l’embrassa langoureusement pendant presque une minute. « Mais t’as envie de dormir toi ? » Non parce que franchement, c’était bien relaxant comme activité aussi ein…
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MessageSujet: Re: We were all the wild ones, the wasted youth. ℛ Luis We were all the wild ones, the wasted youth. ℛ Luis EmptySam 6 Juil - 3:40

« Me too… » Luis sourit avec arrogance, il était content de lui avoir manqué, c'était quand même un compliment dans le fond, peu de personnes pouvaient se vanter de manquer à la jeune De la Vega, il aimait vraiment... être une sorte de cas à part pour la jeune femme. Ils se mirent à s'embrasser avec de plus en plus de vigueur, ils étaient visiblement content des retrouvailles, et Luis comme à son habitude avait du mal à détacher ses mains du corps de Rosalie, elle finit par se détacher de lui pour le regarder de façon espiègle. « We saw each other like.. three day agos. You're getting greedy !» il haussa les épaules avant de l'attirer un peu plus contre lui. « Et alors, j'ai le droit d'avoir envie de te voir encore plus » souffla-t-il du bout des lèvres avant de l'embrasser pour l'empêcher de répondre. Il était plus exigeant que d'habitude, trois jours ça commençaient à faire long... et plus leur... "relation/truc" avançait, et plus la distance entre leurs retrouvailles lui semblait beaucoup trop énorme. « I kinda like it. » il rigola contre les lèvres de Rosalie. « Me tambien » répondit-il en espagnol.

Ils réussirent tout de même à se diriger vers la cuisine, après tout, Rosalie devait se nourrir après une journée si chargée. Luis en profita pour se moquer un tout mini peu d'elle. Après tout, elle était incapable de retenir l'emplacement de ses ustensiles et Luis trouvait ça assez déconcertant. « Ha. Ha. Ha.  C’est pas juste, je n’ai jamais su* où tout était placé, sinon je m’en rappellerais. » pour Luis tout ça ce n'était pas vraiment important dans le fond, tant que lui le savait, il pouvait s'occuper d'elle. « So that was your plan all along… Forcing me to depend on you for ever ? » Luis fit mine de réfléchir avant de finalement opiner la tête. « Si, toda la vida » décréta-t-il avant de lui faire un clin d'oeil complice. « Il faut bien que je me rende indispensable à ta vie » ajouta-t-il finalement l'air de rien... mais il sentait qu'il y avait un fond de vérité dans ses propos. C'était étrange mais il avait tellement eu l'habitude d'être jeté après utilisation alors... ouais, autant ses clientes il s'en foutait... autant l'idée de ne plus avoir Rosalie dans sa vie le rendait nerveux. Elle était la seule pour laquelle il pourrait se battre.

M'enfin, même si Luis était très heureux de retrouver Rosalie, il gardait dans son esprit que Rain était là, qu'elle était petite et qu'elle méritait de dormir dans son lit... et il dût annoncer à la blonde qu'il n'allait pas trop s'attarder. Cependant, Rosalie n'était pas satisfaite de ça et il ne fallut pas trop d'arguments pour qu'il se laisse tenter par la proposition de la blonde de faire dormir Rain dans une des chambres d'amis. « Tu sais… Enfin, je t’ai dit, j’ai plusieurs chambres et… bon, je t’accapare souvent, donc je me dis… Qu’au lieu de laissé la petite avec la baby-sitter le trois quarts du temps… Peut-être, enfin… En ce moment les chambres sont assez neutres, mais si ça la met plus à l’aise, je pourrais … Je sais pas, en faire peindre une en rose et acheter des draps de Dora ou quelques choses… Et puis, elle pourrait dormir là, quand toi tu dors avec moi… » oh... Luis se sentit déglutir avant de relever le regard et d'attraper la main de Rosalie... « D'accord... » il entrelaça leur doigt avant de mettre un peu de pression sur la main de la blonde. « Je suppose qu'on peut faire ça... ce serait plus pratique... on pourrait... se voir plus ainsi... » souffla-t-il du bout des lèvres sans arriver à détacher son regard d'elle. En cet instant plus que jamais, il avait juste envie de lui faire l'amour. Juste pour... fêter ce qui était entrain de se passer, parce que même s'il avait une nouvelle fois du mal à l'admettre, il savait que c'était un grand pas en avant... et il réalisait à quel point il n'avait pas envie de fuir, avec Rosalie, il avait le sentiment qu'il pouvait aller contre tous ses principes, juste parce que c'était elle.

Luis lui promit un massage, parce qu'il comprenait que la jeune femme avait eu un boulot de malade aujourd'hui. « Si tu me prends par les sentiments, écoute… » Luis eut un sourire en coin, comme s'il voulait juste la prendre par les sentiments... « Eh non, je n’ai pas plus de boulot que d’habitude. Juste le boulot quoi… » et son boulot n'était pas facile du tout. Elle devait faire preuve d'une force incroyable pour mener la vie qu'elle menait. Enfin, Luis lui proposa de dormir, si elle était trop fatiguée... il n'avait pas besoin de plus tant que Rosalie était dans ses bras après tout... « Je sais. Mais t’as envie de dormir toi ? » évidemment, elle lui dit ça après l'avoir embrassée une bonne minute de façon très langoureuse. Luis l'attira à lui avant de lui mordiller la lèvre inférieure et passer ses mains sous le haut de Rosalie pour lui caresser le dos du bout des doigts, il la poussa vers lui, s'il en avait la possibilité, il s'arrangerait pour que Rosalie se fonde en lui... « Est-ce que t'as besoin d'une réponse explicite ? » souffla-t-il alors qu'il colla son bassin à celui de Rosalie, son érection se faisait sentir. « Ou ma réaction physionomique te vas ? » ajouta-t-il avec un sourire ironique inscrit sur les lèvres.  
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MessageSujet: Re: We were all the wild ones, the wasted youth. ℛ Luis We were all the wild ones, the wasted youth. ℛ Luis EmptyDim 7 Juil - 5:35

« Et alors, j'ai le droit d'avoir envie de te voir encore plus » Elle détestait (enfin non, pas du tout), quand il l’embrassait pour la faire taire et à chaque fois, ce truc la faisait plisser du nez. Enfin, pas qu’elle ait une objection à ce qu’il disait. Elle avait aussi envie de le voir plus souvent, elle devait juste s’ajuster à tout ça encore. Mais elle lui dit tout de même qu’elle aimait bien cette nouvelle ‘routine’ entre eux. Elle avait un peu l’impression que depuis janvier, des routines faisait que s’installer. « Me tambien » Elle ne put s’empêcher de rigoler avec lui avec de l’embrasser de nouveau. Ça avait l’air si simple comme ça. Presque normal. Encore, quand ils passèrent à la cuisine et Luis se permit de se moquer d,elle aussi non-achalement. Ce n’était rien du tout, mais c’était une forme d’intimité que Rosalie ne connaissait pas vraiment. « Si, toda la vida » La blonde tira la langue gentiment. « tú es vil. » Elle se rapprocha de lui et se mit à jouer avec son t-shirt légèrement, profitant juste du moment en privé. « Il faut bien que je me rende indispensable à ta vie » La blonde fronça les sourcils et baissa la tête légèrement. « You know that you don’t have to ‘give’ me something to stay in my life right ? » Parce qu’elle n’était pas comme a et depuis un moment déjà, sa présence était suffisante.

Contre tout pronostique, c’est Rosalie qui amena l’étape suivante sur le tapis. C’était logique en soi. Si elle voulait que Luis passe plus de temps avec elle, elle allait faire de la place à Rain dans sa vie et tout ça commençait par son appartement. Elle avait tellement de place, et de chambre libres, qu’elle verrait à peine la différence… Enfin… C’est ce qu’elle essayait de se dire en ce moment surtout. Ça ne changeait rien… C’était juste pour l’arranger. « D'accord... » Luis lui prit la main et elle releva la tête doucement pour soutenir son regard. « Je suppose qu'on peut faire ça... ce serait plus pratique... on pourrait... se voir plus ainsi... » Elle hocha la tête, un peu maladroitement. « It’s not too much… Is it ? » Non parce qu’elle ne voulait pas être celle qui leur mettait de la pression sur les épaules, au contraire, elle en avait surtout pas besoin. Son boulot s’en chargeait bien suffisamment et c’était sans doute pour ça (enfin pas que ein) que Luis lui offrit un message là tout de suite. Ce qu’elle ne put refuser évidemment. Mais l’homme lui demanda quand même s’il était fatigué, il parlait de dormir… Ce qui inquiétait passablement la blonde qui n’avait pas du tout envie de fermer l’œil. Elle du trouver un moyen de lui trouver qu’elle n’était pas du tout fatiguée. « Est-ce que t'as besoin d'une réponse explicite ? » Il se cogna contre elle et Rosalie gémit doucement en se mordant la lèvre. « Ou ma réaction physionomique te vas ? » La blonde glissa sa main sur les jeans de Luis pour regarder elle-même l’ampleur de sa ‘promesse’. « Oh no, I can handle that. » With no problem at all. Elle relava la tête pour l’embrasser doucement alors que ses doigts frôlaient encore ses jeans et finit par se reculer sans redemander son reste, et alla ranger son assiette sale qu’elle avait laissée sur la table. « Pourquoi tu vas pas mettre ta nièce au lit et moi je saute dans la douche et te rejoint pour mon massage hm ? » Non parce qu’elle n’allait pas en démordre aussi facilement ni se laisser distraire. Elle revient vers Luis et l’embrassa sur la joue, un sourire enfantin sur les lèvres et s’éclipsa vers sa salle de bain. Elle se défit les cheveux rapidement avant de sauter sous un jet chaud pour laver sa journée de son corps et resortie presque aussitôt, enfillant le premier peignoir qui lui tomba sous la main, avant de retourner à sa chambre. « Are you done yet ? »
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MessageSujet: Re: We were all the wild ones, the wasted youth. ℛ Luis We were all the wild ones, the wasted youth. ℛ Luis EmptyLun 8 Juil - 0:28

Il y avait une intimité grandissante entre Luis et Rosalie, et cela rendait leur relation... plus profonde. Ils ne se le disaient pas spécialement, mais Luis appréciait grandement ce qu'il y avait entre eux, c'était si simple quelque part. Enfin, tant qu'il ne devait pas mettre de mots sur leur relation, il trouvait ça vraiment facile pour sa part. Ils s'embrassaient, se taquinaient, ils cherchaient à se toucher, à se caresser, Luis se laissaient faire tout en demandant de l'attention, elle lui avait manquée, elle lui manquait tous les jours... dès qu'il ne pouvait pas la voir il pensait à elle, il demandait après elle, il s'accrochait et ça lui faisait peur... mais il ne pouvait plus vraiment reculer. Pas quand il éprouvait des sentiments de plus en plus fort pour elle... parce que c'était bien le cas, même s'il n'était pas du tout près à l'avouer. Il s'accrochait à elle et il n'avait pas l'intention de la laisser s'échapper. « tú es vil. » il ricana de façon diabolique avant de l'attirer à lui, il passa sa main sous son haut pour caresser son ventre du bout des doigts, il aimait tant sa peau. D'un geste possessif, il griffa légèrement la jeune femme. Il avait toujours eu le besoin de la marquer même de façon superficielle. Mais il ne fut pas le seul à jouer avec les vêtements, Rosalie en faisait de même de son côté. « You know that you don’t have to ‘give’ me something to stay in my life right ? » Luis observa Rosalie quelques secondes avant de se pencher vers ses lèvres. « D'accord » souffla-t-il contre sa bouche.

La suite le fit se tendre. Rosalie proposait à Luis une chambre pour Rain... c'était... énorme quelque part, il savait qu'ils avançaient, à leur allure (très lentement quand on y réfléchissait), mais ils le faisaient bien, ils ne se précipitaient pas... mais c'était sans doute ce qui leur permettait d'avoir une bonne base pour... construire ce qu'ils voulaient dans le fond... enfin, ce qu'ils désiraient il fallait sans doute encore le définir... Luis approuva donc sa proposition, ils devaient se donner une chance. « It’s not too much… Is it ? » il l'embrassa avec délicatesse, il frotta son nez sur celui de Rosalie avec douceur. « Non, c'est parfait, vraiment, c'est très bien. » et il était vraiment sûr de lui pour la peine. Cela dit, il s'inquiéta de l'état de fatigue de la jeune femme. Sérieusement, il était même prêt à dormir (!) pour son bien si c'était ce dont elle avait besoin. Cependant, Rosalie ne semblait pas être fatiguée ou même avoir envie de dormir dans l'immédiat. Et la réaction de Luis fut tout à fait naturelle quand on y pensait. Il avait envie d'elle depuis le premier jour. Ce n'était pas aujourd'hui que ça allait changer. Il lui demanda si elle avait besoin d'explications précises... et elle passa sa main sur son jean. Il siffla entre ses dents. « Oh no, I can handle that. » et plus que bien dans ses souvenirs. Il sourit sans pouvoir s'en empêcher. Elle se mit à l'embrasser et remit ses mains sur son érection, dans un mouvement instinctif, son bassin se mit à bouger et il grogna contre les lèvres de Rosalie, il avait besoin de plus. Now. Mais Rosalie se recula et il la regarda avec désir. « Pourquoi tu vas pas mettre ta nièce au lit et moi je saute dans la douche et te rejoint pour mon massage hm ? » il détestait quand elle était si pratique, mais elle n'avait pas tord. Il opina de la tête, il avait trop peu confiance en sa voix à cet instant. Elle revint vers elle pour l'embrasser sur la joue ! Il grogna. « Sorcière, tu veux juste me rendre fou ! » soupira-t-il. Et ça marchait si bien en plus. Luis fit ce qu'on lui demandait, il alla porter la petite pour l'amener dans une chambre d'ami, elle remua un peu et se réveilla quelques secondes. « Tu fais quoi tio ? » souffla-t-elle en nichant sa tête dans la nuque de son oncle, il sourit et l'embrassa sur le haut du crâne. « Tu vas au lit, Rosalie veut bien que tu dormes dans une chambre chez elle, elle propose même qu'on t'achète des petites choses, pour que tu puisses décorer l'endroit, ça te dit ? » la petite serra son oncle dans ses bras. « Ce sera à moi la grande chambre... ? » Luis sentit son coeur se serrer. Il se pencha vers elle pour l'embrasser une nouvelle fois sur le front. « On verra mi amor... » il la berça un peu avant de se lever et couper la lumière. Il retrouva Rosalie dans sa chambre, elle était en peignoir quand il était rentré et il sourit. « Are you done yet ? »  il s'approcha aussi tôt d'elle pour caresser Rosalie à travers son peignoir. Il releva les mains pour faire tomber le vêtement. « Ton dos doit être nu pour que je te fasse un massage... » expliqua-t-il avec un petit sourire au coin des lèvres.
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MessageSujet: Re: We were all the wild ones, the wasted youth. ℛ Luis We were all the wild ones, the wasted youth. ℛ Luis EmptyLun 8 Juil - 23:21

« Sorcière, tu veux juste me rendre fou ! » La blonde eut un sourire en coin sans se retourner vers lui et haussa les épaules doucement. « Been there, done that. » C’était son jeu préféré après tout. Il partit donc mettre la petite au lit comme elle avait demandé et elle eut le temps de prendre une douche rapide. Quand elle sortit et passa un peignoir sur ses épaules, Luis l’attendait déjà dans sa chambre. Et l’homme vient tout de suite la caresser par-dessus son morceau de tissues, avant de le faire tomber carrément au sol. « Ton dos doit être nu pour que je te fasse un massage... » Rosalie frissonna et passa ses bras autour des épaules de Luis doucement. « But it’s so cold… » Elle releva la tête et chercha à l’embrasser en profondeur avant de prendre un pan de son t-shirt dans un poing et le tirer vers son lit. Elle s’assit sur son lit, puis alla s’étendre, tirant toujours Luis vers elle. Elle ne supportait pas que leurs lèvres soient séparées plus qu’un instant et la main qui n’était pas occupée à tirer sur son t-shirt était restée plantée dans ses cheveux pour l’empêcher d’aller trop loin. Elle se retrouva couchée sous lui et frissonna encore en posant son front contre le sien et en donnant un coup de bassin bien placé. « I think you’ll need to warm me up a bit, before massaging me. » Elle enlença ses jambes avec les siennes pour que leurs corps soient vraiment à leurs plus proches et passa ses mains sur le torse du brun pour lui enlever son chandail sans trop de problèmes. Ses mains glissèrent dans son dos et elle rentra ses ongles dans sa peau, juste au dessus de ses jeans, arrachant un peu de peau au passage. Les mains de la blonde se dirigèrent tout de suite vers sa ceinture et défit le tout assez rapidement, mais juste quand sa main allait se glisser dans le boxer de Luis, elle entendit la porte de sa chambre ouvrir. Mortifiée, elle arrêta de bouger sur le coup. C’était peut-être le vent… Peut-être que c’était juste le vent…. Elle était complètement paralysé et aurait voulue pousser Luis de dessus elle, mais elle était incapable de faire quoi que se soit. Ton son corps était crispé, à prié que ce ne soit pas ses parents. « Tìo ? » Ou bien la petite. Fuck.
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MessageSujet: Re: We were all the wild ones, the wasted youth. ℛ Luis We were all the wild ones, the wasted youth. ℛ Luis EmptyMar 9 Juil - 1:55

« Been there, done that. » il roula des yeux, il aurait dû se douter qu'elle répondrait quelque chose du genre. Il secoua la tête mais ne put s'empêcher de sourire, parce que dans le fond, c'était amusant, il ne pouvait juste pas l'admettre à Rosalie tout de suite. Le chilien préféra ne rien répondre et il se dirigea vers sa nièce pour la mettre au lit le plus rapidement possible.

Une fois dans la chambre de Rosalie, cette dernière ne tarda pas à le rejoindre vêtue d'un peignoir qui le rendit immédiatement dingue, il cachait le corps de Rosalie, et en toute honnêteté, la blonde était bien mieux sans rien. De son point de vue, elle aurait pu se promener nue en permanence devant son regard. Mais juste le sien. Il s'était rapproché d'elle pour la caresser dans un premier temps avant de se défaire sans cérémonie de l'habit encombrant. Il avait une très bonne raison de le faire : elle voulait un massage, elle devait avoir le dos nu. C'était logique qu'il la voit nue. Enfin, ça et aussi le fait qu'il voulait affreusement lui faire l'amour. « But it’s so cold… » Luis eut un sourire en coin, il se pencha vers l'oreille de la jeune femme pour se mettre à lui murmurer dans l'oreille. « Puedo recalentarte » Rosalie l'embrassa alors et le tira vers le lit, il se laissa faire de bon coeur et répondit avec passion à ses baisers. Ils ne séparaient pas leurs bouches plus de cinq secondes, Luis enleva rapidement ses chaussures tout en grimpant dans le lit, il était au-dessus de Rosalie et profitait que son corps était nu pour caresser son corps offert. Finalement, à bout de souffle, elle déposa son front sur celui de Luis avant de bouger du bassin, il poussa un grognement tout en se mordant la lèvre inférieure, son regard se fit désireux en une fraction de secondes. « I think you’ll need to warm me up a bit, before massaging me. » Elle entremêla leur corps et il sourit à ce geste intime. « Avec plaisir mi querida » souffla-t-il avant de l'embrasser avec passion. Une de ses mains remonta jusqu'à un de ses seins pour la caresser, il frotta le mamelon entre ses doigts pour le sentir durcir sous son attention. Rosalie fit disparaitre son t-shirt qu'il envoya balader avec grand plaisir. Son dos nu, Rosalie en profita pour laisser ses marques. Il bougea aussi tôt du bassin alors qu'il sentait les ongles de la blonde s'enfoncer dans sa chaire. Une de ses mains passa sous la cuisse de Rosalie qu'il souleva et caressa avec passion. Il sentit les doigts experts de Rosalie défèrent sa ceinture alors que lui-même commençait à remonter sa main vers l'intimité de la jeune anglaise. Cela dit, avant que tout ne dérape, Rain fit son entré dans la pièce, Luis était figée, incapable de bouger, il était à moitié habillé et Rosalie était totalement nue... il pâlit dangereusement. « Tìo ? » il rougit avant de se racler la gorge pour reprendre contenance. Il ne savait pas quoi faire. Soit il bougeait et allait offrir à la petite la vue de Rosalie nue... soit il restait dans cette position gênante et allait subir l'interrogatoire de Rain. « J'ai soif » souffla l'enfant tout en se frottant les yeux, visiblement, la fatigue l'empêchait de réaliser ce qui avait failli se passer... heureusement qu'elle n'avait pas débarqué un peu plus tard... là ça aurait été une catastrophe. « Je... je vais m'occuper de ça... je... j'arrive... » bégaya-t-il gauchement avant de faire un signe de main à la petite pour qu'elle sorte. Elle s'exécuta avant de finalement revenir en arrière pour les observer. « Vous faites quoi ? » Luis rougit, il se redressa gauchement et tenta de calmer la situation grotesque dans laquelle il se trouvait. « Rien, rien... on... » il lança un regard désespéré à Rosalie. « Vous faites un bébé ? » il écarquilla les yeux devant le choc de la question. Ok, elle venait de le tuer et il était incapable de répondre quoique se soit. « De l'eau...  on va te chercher de l'eau » finit-il par marmonner avant de pousser la tête de la petite vers la sortie.
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MessageSujet: Re: We were all the wild ones, the wasted youth. ℛ Luis We were all the wild ones, the wasted youth. ℛ Luis EmptyMar 9 Juil - 3:37

La voix de Rain résonnait encore dans sa chambre, pendant plusieurs secondes. Rosalie n’osait même plus respirer. Elle voulait tout simplement s’enterrer dans son matelas et disparaitre à jamais. « J'ai soif » La blonde leva les yeux vers Luis et essaya de tirer un de ses draps pour se recouvrir un peu tant bien que mal. Silencieusement, en faisant que bouger les lèvres, elle essaya de se faire comprendre par le brun. ‘You need to get her out of here.’ Et vite quoi. Elle avait l’impression que chaque seconde de plus était une année supplémentaire chez le psy. « Je... je vais m'occuper de ça... je... j'arrive... » L’Anglaise soupira et finit par tirer une couverture complètement tandis que la petite sortait enfin de sa chambre. Voilà, c’était fini. Elle avait perdu toute envie maintenant et n’aurait probablement plus jamais envie de sexe de sa vie. Et voir les couleurs de Luis, c’était sans doute la même chose de son côté. Ils n’eurent même pas le temps de bouger que Rain revient à la charge cependant. « Vous faites quoi ? » Le Chilien bougea enfin d’elle et Rosalie pus se redresser, enroulée dans son drap et se pencher pour rattraper le t-shirt de l’homme qu’il avait lancer juste là et se dépêcher à l’enfiler. « Rien, rien... on... » Il lui lança un regard pour qu’elle vienne en aide, mais la blonde se contenta de hausser les épaules en levant les mains. Nop. Elle n’allait pas se mêler de ça. Sa nièce, son problème. « Vous faites un bébé ? » « OH MY GOD » Elle n’avait pas plus s’empêcher et se plaqua immédiatement les mains sur la bouche. Ça aurait pu être très drôle dans toute autre circonstence…. Genre si c’était arrivée a quelqu’un d’autre. Mais là elle voulait juste en mourir. « De l'eau... on va te chercher de l'eau » Oui, oui, sortez là de sa chambre par pitié. Sinon elle était certaine que quelqu’un allait se mettre à pleurer et ça serait sans doute elle. Une fois tout les deux dehors, Rosalie se leva tranquillement, retrouva sa robe de chambre et des shorts avant de se dirigé vers la cuisine pour les rejoins. « Am I going to have a cousin now ? Esmeralda said she has three ! » La blonde se stoppa et failli faire demi-tour, mais décida de venir à la rescousse pour une fois. « Rain ! Tu aimeras pas qu’on mettre Clark l’écureuil dans ta chambre ? Vous vous tiendriez compagnie. » La petite se tourna immédiatement vers son oncle pour demander son avis. « Je peux ? » Rosalie lui passa une main dans les cheveux pour la calmer et lui prit son verre d’eau des mains avant qu’un accident arrive. « You just have to go to bed and sleep and tomorrow we will clean a desk and bring his cage ok ? » La petite brune hocha la tête et fila vers sa chambre tandis que Rosalie poussa un soupire de soulagement. « Demain, j’achète une serrure. »
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MessageSujet: Re: We were all the wild ones, the wasted youth. ℛ Luis We were all the wild ones, the wasted youth. ℛ Luis EmptyLun 22 Juil - 3:35

Cette situation était la plus gênante de son existence, jamais il n'avait été surpris de la sorte par Rain ! En même temps, jamais avant Rosalie il n'avait ramené quelqu'un de féminin dans sa vie que la petite aurait pu rencontrer. Il la laissait en dehors de son univers, en même temps, ce n'était pas un monde saint et pur où un enfant pourrait évoluer sainement. Mais avec Rosalie, tout était différent, ils vivaient... un truc... et la blonde avait rencontré Rain, et Rain l'appréciait et... gosh, ils se retrouvaient dans une position compromettante. D'abord figé, Luis avait refusé de réagir autrement que en parole, il avait tenté d'éloigner sa nièce mais elle était revenue à l'attaque, l'assommant littéralement en parlant d'enfant... No way. « OH MY GOD » il tourna la tête vers Rosalie, à un autre moment, il aurait sans doute pu rire ou même sourire, mais vu leur situation, il avait juste envie de s'enterrer dans un trou et ne plus bouger, ça lui semblait une solution particulièrement attrayante. Quoiqu'il en soit, il devait éloigner l'enfant de cette pièce, heureusement qu'elle n'était pas venue 10 minutes plus tard... il ne préférait pas trop à penser à ce qu'elle aurait eu à dire sur la chose... il poussa la petite jusqu'à la cuisine mais elle semblait intarissable sur le sujet. « Am I going to have a cousin now ? Esmeralda said she has three ! » il se passa la main dans les cheveux, il se rapprocha de Rain pour se mettre à genou devant elle et lui attraper les mains. « Tu n'auras pas de cousins » décréta finalement Luis, il n'aurait jamais d'enfant. Et ses sentiments pour Rosalie n'allait pas changer cette optique, il n'était pas fait pour être père, il suffisait de voir Rain après tout, il lui avait menti toute sa vie mais n'éprouvait aucun remord, il aurait été pitoyable comme père, comme oncle il se défendait mieux qu'il ne l'aurait crû donc le choix qu'il avait fait lui semblait être le bon. Qu'aurait-il pu apprendre à un enfant ? Il n'était pas un exemple, il n'était pas le genre d'homme dont on pouvait fièrement dire "C'est mon père", il était un gigolo, c'était ce qu'il était, et ça, aucun enfant n'avait à subir des railleries par sa faute, c'est pour ça qu'il se protégeait, c'était pour ça qu'il n'aurait pas d'enfants. « Rain ! Tu aimeras pas qu’on mettre Clark l’écureuil dans ta chambre ? Vous vous tiendriez compagnie. » en entendant Rosalie, Luis se tourna aussi tôt vers elle et il l'observa de la tête au pied avec un petit sourire coupable. Gosh, si Rain n'avait pas été là elle aurait été toute à lui. « Je peux ? » ses yeux se perdirent au niveau des jambes de Rosalie, gosh, il la voulait toujours, c'était sans doute étrange, mais la voir là, ne pas avoir su finir, même commencer en fait, ça le tuait. « Oui tu peux » répondit-il sans jamais quitter la blonde du regard. Il se racla alors la gorge pour tenter de reprendre contenance et se tourner vers sa nièce pour se concentrer un minimum. « You just have to go to bed and sleep and tomorrow we will clean a desk and bring his cage ok ? » la petite semblait heureuse et enthousiaste, tant mieux, si ça pouvait lui faire plaisir, c'était tout ce qui comptait aux yeux du chilien. « Demain, j’achète une serrure. » décréta la blonde une fois certaine que Rain était hors de porté. Il sourit avant de tendre la main pour attraper celle de la blonde et l'attirer à lui pour l'asseoir sur ses cuisses, il passa aussi tôt ses mains dans le dos de Rosalie alors que sa bouche trouvait les lèvres de la blonde. « Je suis... désolé » souffla-t-il entre deux baisers alors que ses mains passaient sous le haut de Rosalie pour lui caresser le dos. Il finit par se séparer d'elle pour récupérer son souffle et il déposa son front sur celui de la blonde. « Elle pense qu'il y a quelque chose entre nous... » avoua-t-il mal à l'aise avant de réaliser que ses mots n'étaient pas les meilleurs, il fronça aussi tôt les sourcils. « Non, ce que je veux dire c'est qu'elle n'a jamais connu sa mère, je pense qu'elle veut juste... reformer une famille et vu que tu es la seule femme qu'elle ait jamais vu en ma compagnie... » il se mit à embrasser l'épaule de la jeune femme. « Moi je sais qu'il y a quelque chose entre nous... mais c'est trop tôt pour qu'on en parle plus que ça... non ? » demanda-t-il nerveusement alors qu'il se mettait à mordiller la peau de la blonde.
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