It's New York City bitches ! And it's my motherfucking dream
-28%
Le deal à ne pas rater :
Précommande : Smartphone Google Pixel 8a 5G Double Sim 128Go ...
389 € 539 €
Voir le deal

Partagez

Le travail, oui mais pas que.

Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Aller en bas
AuteurMessage
MessageSujet: Le travail, oui mais pas que. Le travail, oui mais pas que. EmptyDim 2 Juin - 19:51

Le travail, oui mais pas que. Tumblr_mg4g4kTDzF1qbb8vyo6_250

    Etre dyslexique était un vrai problème pour un patron comme Stephen. Autant avec sa secrétaire Holly, tout passait. Elle connaissait son problème et elle lisait donc tous les documents qu’il avait à signer. Elle lui en faisait un compte rendu et ainsi, il pouvait être sûr de ce qu’il signait. Par contre, quand elle n’était pas là, c’était bien plus dérangeant. Il s’arrangeait toujours pour ne pas avoir à lire en public. Soit, il prenait les papiers avec lui, soit il faisait lire par d’autres. Pour l’instant, personne à par Holly n’était au courant de son souci. Mais aujourd’hui, elle n’était pas là. Elle devait s’occuper d’un client qui était en ville. Elle faisait le voyage entre le bureau à Apple et l’hôtel du client en question. Ca n’était pas quelque chose qu’aimait Stephen. Surtout depuis neuf mois. En effet, il était en coupe avec la jeune femme et franchement, la savoir avec un client à l’hôtel ne le mettait pas de bonne humeur. Il était du genre jaloux, mais surtout avec une insécurité certaine sur son couple. Ca faisait des années que Holly travaillait pour lui, seulement être en couple était bien différent. Il n’était clairement pas le petit ami idéal, loin de là. Du coup, il se disait qu’elle finirait par trouver mieux et qu’elle filerait loin de lui, avec un autre. Soupirant une nouvelle fois à cette pensée, Stephen n’aimait pas du tout ça. Il n’avait pas les idées aussi embrouillées d’habitude. Mais, il devait se reprendre. Regardant la pile de feuilles devant lui, il savait qu’il avait du travail. La matinée était passée vite et il était 15h. Dans quelques minutes, il aurait Hadès qui allait arriver. Ce dernier était là pour traduire des contrats. Stephen avait besoin de lui. En effet, Apple n’était pas qu’américain, les produits se vendent partout. Du coup, il avait besoin d’aide en traduction. Stephen savait parler quelques langues, mais pas assez bien pour traduire des documents officielles comme ceux disposés devant lui. Holly lui avait expliqué qu’il y avait des contrats pour le dernier iPad et l’iPad mini. C’était les deux piles de gauche sur son bureau. Au milieu, c’était pour les iPhone. Enfin, à droite, la dernière pile, était celle concernant de nouveaux logiciels. Bref, beaucoup de travail en perspective. Entendant alors son téléphone fixe sonner, il décrocha et on lui expliqua que Hadès était à la réception. Donnant l’autorisation pour qu’il monte à son étage, Stephen se leva de son fauteuil et passa sa veste qui était accroché au porte manteau à l’entrée du bureau. Sortant de son bureau, il s’avança et vit son collègue.

    Bonjour Monsieur Winters.

    Serrant la main du jeune homme, il lui fit signe d’entrer dans son bureau. Fermant la porte derrière eux, il lui proposa de s’asseoir et lui alla dans son fauteuil.

    Holly a tout rangé avant votre arrivée.

    Expliquant donc l’ordre des dossiers, il regarda ensuite son interlocuteur.

    Avant de commencer, voulez-vous un café ou quelque chose à boire ?

    Se levant de son fauteuil, il retira à nouveau sa veste, allant l’accrocher au porte manteau et se retourna vers Hadès pour savoir s’il avait besoin de quelque chose avant de commencer ses traductions.
Revenir en haut Aller en bas
MessageSujet: Re: Le travail, oui mais pas que. Le travail, oui mais pas que. EmptyDim 9 Juin - 17:05

« Kyllä, tietenkin. Kiitos, hyvää päivää teille, nähdään huomenna. » Hadès raccrocha le téléphone et sortit son agenda. Il planifia le rendez-vous de son interlocuteur au lendemain, un certain finlandais qui avait assez de mal avec la langue anglaise et souhaitait avoir son aide. Le finnois n'était pas la langue dans lequel il était le plus à l'aise, et pour cause, elle était sacrément compliquée à apprendre, et même parfois à comprendre, surtout à l'oral. Mais il ne rechignait jamais à la tâche. Avec un finlandais juste en face de lui, les choses deviendraient peut-être plus simples et il progresserait encore. C'était tout ce qu'il souhaitait, progresser dans les langues qu'il a choisies, pour pouvoir en apprendre d'autres encore quand l'une d'entre elles serait parfaitement comprise. L'étape ultime avait toujours été de comprendre les sous-entendus ou les jeux de mots, l'humour d'une langue étrangère. On pouvait être certain à ce moment là de ne plus avoir grand chose à apprendre. Mais Hadès n'y était arrivé que pour le français, l'allemand et le russe. Les langues scandinaves étaient une autre paire de manche, et il était déjà compliqué de ne plus s'emmêler les pinceaux, quand il avait débuté ses études de langues. Tobias se leva de sa chaise, assez lentement, et regarda le jour d'aujourd'hui sur son agenda. S'il voulait être à l'heure pour son rendez-vous avec Stephen Abernathy, il fallait qu'il parte tout de suite.

Après avoir marché tout le long du chemin pour forcer un peu sur ses jambes, de grâce la chaleur n'était pas vraiment au rendez-vous, Hadès trouva l'entrée du bâtiment qu'il recherchait. Il poussa la porte pour se trouver à la réception, et se présenter afin qu'on lui permette de rejoindre la personne qui avait besoin de lui. Une fois le coup de fil passé et cette autorisation donnée, le traducteur put se diriger vers le bureau de Stephen. Celui-ci en sortit au moment même où il arrivait à se présenter à la porte. « Bonjour Monsieur Winters. » « Bonjour Monsieur Abernathy. » Hadès serra la main de celui à qui il rendait visite. Une poignée de main qui se voulait tout de même faible, en comparaison de celle de son interlocuteur. Pas qu'il n'en fut pas capable auparavant, mais sa totale paralysie, même après de longues séances de rééducation, avait largement endommagé sa force, et même une poignée de main devenait "molle" chez lui. Le traducteur suivit l'indication de Stephen qui refermait la porte derrière eux, et s'assit sans attendre. « Holly a tout rangé avant votre arrivée. » Son éternel sourire pour réponse, Hadès jeta un oeil aux dossiers. Ils étaient en effet rangés avec une minutie remarquable. « Avant de commencer, voulez-vous un café ou quelque chose à boire ? » Plus par timidité que par réel manque d'envie, le trentenaire refusa. « Non, merci beaucoup, ça ira. » Il attendit que Stephen revienne s'installer. « Bien, quel est le programme ? » Il se doutait que ça devait être assez chargé, en réalité, on n'appelait que rarement Hadès pour des petites traductions faîtes en deux temps trois mouvements. Mais comme il aimait son travail, il s'attelait à la tâche sans rechigner et pouvait y passer des heures sans jamais vouloir s'arrêter.
Revenir en haut Aller en bas
MessageSujet: Re: Le travail, oui mais pas que. Le travail, oui mais pas que. EmptyMar 11 Juin - 22:13

    Ne pas savoir lire était quelque chose que Stephen cachait. Personne ne devait le savoir et seule Holly était au courant. C’était pour cela qu’il avait confiance en elle depuis toujours et qu’il était tombé sous son charme. Il avait mit beaucoup de temps à aller vers elle, mais aujourd’hui, il ne le regrettait absolument pas. Du coup, comme la jeune femme avait un rendez-vous ailleurs, il lui était revenu la tâche des traductions. Du coup, Hadès était de sortie pour l’aider. Lui proposant d’abord à boire, ce dernier refusa, préférant apparemment se mettre tout de suite au travail. De son côté Stephen plia les manches de sa chemise sur ses bras et il alla se servir un café, tout en répondant au jeune homme.

    Il faut traduire tous ses dossiers pour être sûr que notre entreprise n’ait aucun problème sur les marchés étrangers.

    Son café en main, il revint s’asseoir à son bureau et posa son café dessus.

    Apple est connu dans le monde et les produits sont vendus un peu partout. Nous avons différents marchés et même si je me débrouille avec le français, j’ai besoin que les contrats pour d’autres pays soient traduits et que tous les termes des contrats soient exacts.

    Aucune faute ne devait être commise sans quoi ça pouvait amener rapidement des problèmes. Stephen voulait être sûr que tout serait bien fait.

    J’ai tous les contrats en anglais et il me faut des traductions pour C’est donc là que vous intervenez pour les faire.

    Avalant une gorgée de café, il le reposa sur son bureau, en regardant son interlocuteur.

    Avez-vous besoin de quelque chose en particulier avant de commencer ?

    Des crayons et du papier, un ordinateur, ou quoi que ce soit qui ferait qu’il pouvait bien faire son travail.
Revenir en haut Aller en bas
MessageSujet: Re: Le travail, oui mais pas que. Le travail, oui mais pas que. Empty

Revenir en haut Aller en bas

Le travail, oui mais pas que.

Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Revenir en haut
Page 1 sur 1

Sujets similaires

-
» Se voir en dehors du travail ...
» Elise & Mike « Quel est l’idiot qui a mal fait son travail ? »
» Mais il est à qui ce bébé ?! [Libre]

Permission de ce forum:Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
i have a dream ::  :: Archives :: Anciennes Archives-