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willona ❝ you hate everything about me ❞

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MessageSujet: willona ❝ you hate everything about me ❞ willona ❝ you hate everything about me ❞ EmptyMar 12 Mar - 14:46

WILLIAM & PAYSON
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Une journée de congé, autant dire qu’elle ne l’avait pas vu venir ou, plus vraisemblablement, elle n’avait pas voulu l’envisager un seul instant. Passer ses journées à Fort Hamilton et rentrer si tard le soir qu’elle avait juste à rejoindre sa chambre et à s’écrouler sur son lit était ce qu’il avait de plus parfait, le reste elle ne préférait même pas l’imaginer, même pas l’envisager. L’époque où elle arpentait les rues de cette gigantesque ville en usant de son véritable prénom lui paraissait lointaine, tellement lointaine qu’elle avait parfois la sensation qu’elle appartenait à une toute autre personne, qu’elle n’avait fait que la regarder se dérouler en simple spectatrice, ce qui n’était pas faux quelque part. Lorsque Matthew lui avait sauvé la peau – autant dire les choses comme elles étaient – pas un seul instant elle n’avait envisagé remettre les pieds à New York pour la simple et bonne raison qu’elle savait pertinemment ce qui l’attendait dans cette ville. Elle n’avait pas honte d’avouer qu’elle avait peur … peur de la colère de sa sœur jumelle, de celle de sa famille, du reste de ses proches, une colère parfaitement justifiée étant donné ce que la jeune femme avait pu faire, le choix qu’elle avait pu prendre.

Elle était partie du jour au lendemain avec son cousin sans donner la moindre information à qui que ce soit, elle avait tout bonnement disparu de la surface de la Terre tout en disant adieu à sa vie passée qui l’avait tant blessé. Mais, même si elle jugeait avoir un bon nombre d’excuses pour expliquer la folie qui l’avait gagné en octobre dernier, elle avait également assez de jugeote pour savoir que ce ne serait pas suffisant pour se faire pardonner et, en revanche, elle semblait ne pas en avoir eu assez pour refuser cette affaire. En réalité, si elle avait accepté – avec beaucoup de réticences – de quitter Los Angeles pour revenir à New York c’était sans doute parce qu’une part d’elle-même désirait renouer avec son passé, avec les personnes qui avaient été si importantes à ses yeux, aussi périlleux que tout cela serait. Toutefois, en sachant ce qu’elle allait devoir faire, où elle allait devoir se rendre, l’Australienne avait su qu’elle passerait les trois quarts de son temps sur une base militaire, plongée à cent pour cent dans sa mission et qu’il n’y aurait aucun risque à ce qu’elle croise des gens de son passé. Seulement, elle avait également oublié les jours de congés, ces jours où les gens normaux passaient du temps avec leurs proches et n’étaient pas en train de craindre qu’à chaque coin de rue une jumelle leur tombe dessus. Néanmoins, Payson ne pouvait tout simplement pas rester enfermée chez elle toute la journée, pas alors qu’elle allait doucement mais sûrement devenir folle, ce pour quoi elle se risqua donc à mettre le nez dehors, ravie que les rayons du soleil viennent égailler ce début de mois de mars.

Toutefois, la jeune femme marcha les mains dans les poches, fixant avant tout ses pieds comme si avoir la tête ainsi baissée lui éviterait une mauvaise rencontre, mais elle avait également oublié le danger des coins de rues ce qu’elle ne put que se rappeler en rentrant de plein fouet dans un new-yorkais au détour de la rue dans laquelle elle comptait s’engager. « Pardon … » Commença-t-elle à s’excuser sans réellement lever le nez du sol. « Je ne regardais pas où … » Mais le reste de sa phrase resta bloquée dans sa gorge tandis qu’enfin elle regardait la personne qu’elle venait de bousculer et qui visiblement était tout aussi choquée qu’elle-même, si ce n’était pas plus. Il l’avait reconnu … Malheureusement, elle n’avait pas la chance qu’il l’ait prise pour sa jumelle, Payson pouvait nettement le deviner au regard ahuri qu’il posait désormais sur elle. « William … » Lâcha-t-elle finalement dans un souffle avant de sentir la gêne l’envahir si rapidement que son estomac s’en noua et son cœur s’affola. Il faisait partie des personnes sur qui elle craignait de tomber car, tout autant qu’Ella, il n’avait sûrement pas dû apprécier son départ du jour au lendemain, pas après ce qui s’était passé entre eux mais l’Australienne tenta d’afficher un air aussi neutre que possible sans le quitter du regard.
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MessageSujet: Re: willona ❝ you hate everything about me ❞ willona ❝ you hate everything about me ❞ EmptyMer 13 Mar - 23:18

WILLIAM& ARIZONA

❝ you hate everything about me ❞

    William marchait tranquillement dans Manhattan quand une femme le percuta. Il leva les yeux vers un visage qu’il ne tarda pas à reconnaitre. « Ella ? Tu devrais faire att...» William se tût en se rendant compte de la façon dont elle le regardait et ce fût alors comme une évidence pour lui. « Arizona... » Si William avait prit Ella Ioannis pour sa jumelle le jour de leur rencontre, ignorant son existence, aujourd'hui il était capable de ne pas les confondre. Le regard de William se durcit. Il n’en revenait pas… Arizona ? C’était vraiment elle ? Il ne savait pas trop s’il devait en rire ou en pleurait ! Il en restait tout simplement sur le cul ! Il aurait pût se retrouver face un extraterrestre, apprendre que le nouveau président était une femme ou même avoir le ciel qui lui tombe sur la terre, aucune de ces trois choses ne l’aurait surpris comparé à ça ! Arizona… Waw ! La dernière fois que William était tombé des nues à ce point là, c’est quand il avait appris que son père était vivant alors qu’il l’avait cru mort pendant dix ans. Le jeune Slayers était un homme qui garder le sourire en toute circonstance, même quand la vie lui faisait des coups dur. Par exemple, même quand il avait manqué mourir à cause d’une crise cardiaque, le premier truc qu’il avait dit en se réveillant c’était « Pourquoi tu pleure ? » à Tallulah. Cela montrait bien à quel point il semblait pouvoir tout enduré de façon cool, décontracte. Mais là…. Il avait juste envie d’hurler ! Arizona avait réussi à réanimer son cœur qui n’avait pas ressentit de la sorte depuis Kiara, elle lui avait donné confiance en lui et laisser penser qu’il n’était pas juste bon à être un coup d’un soir, un gigolo. Qu’il méritait d’être aimer… Et quand il avait commençait à le croire… Elle s’était barrée !!! Comme ça du jour au lendemain, en lui laissant juste un ridicule mot écrit à la va vite dans une chambre d’hôtel vide. Pétasse ! Rien que sentir son regard sur lui le mettait hors de lui. Alors quand elle prononça son prénom, il ne pût se taire plus longtemps, bouillonnant de l’intérieur….

    « Oh tu te rappelle encore de mon nom ? J’en suis flatté ! » Dit-il avec sarcasme. « Très surprit en fait. » dit-il sur des plus agressifs. « Tu as oublié de donné des nouvelles. Oublié de dire au revoir. J’aurai cru que tu m’aurais oublié aussi. » Dit-il faussement surpris, ne la lâchant pas des yeux pour bien lui faire ressentir toute la haine qu’il avait pour elle. « Tu sais quoi ? T’aurais dût !!!! » Dit-il avec un bref rire nerveux avant de la dépasser et de continuer sa route. Mais c’était trop facile ! Ce n’était pas suffisant, il ne lui avait pas encore dit tout ce qu’il avait sur le cœur. Depuis son départ il avait imaginé de nombreuses fois ce qu’il lui dirait s’il retrouvait de nouveau face à elle, mais il pensait que ça n’arriverait jamais… Et c’était frustrant… Ne pas pouvoir lui dire ce qu’il ressentait, le mal qu’elle lui avait fait… Alors maintenant qu’elle était là, il comptait bien ce soulager de ce poids qui l’avait stressé au point qu’il avait faillit en mourir d’une crise cardiaque. Il fit demi-tour pour se retrouver de nouveau face à elle. « En fait j’en reviens pas !!! J’en reviens pas qu’tu soie ici, à New-York. Depuis combien de temps ? 15 jours ? 1 mois ? 3 mois ? Non laisse moi deviner, en fait tu n’es jamais partie ! C’est pas New-York que tu a quitter, juste MOI !!!! »

    Et dire que le jour où il avait trouvait le mot dans la chambre d’hôtel vide, il venait lui dire qu’il l’aimait, qu’il voulait être son petit ami… Elle s’était bien foutu de sa gueule oui ! « Qu’est-ce que tu croyais au juste ? " Oh William à l’habitude de ce tapé tout ce qui bouge, il se rendra même pas compte de mon départ ", c’est ça ??? Tu me pensais insensible à ce point là ?!? » Il poussa un soupir, essayant de calmer ses nerfs et ferma légèrement les yeux avant de les rouvrir. « Moi qui pensait à l’époque qu’il y avait un truc spécial entre nous… Qu’est-ce que j’ai pût être con ! Moi qui pensais t’aimer… » Ça lui faisait tellement mal de repenser à tout ça. Six mois avait passé depuis le départ d’Arizona et pourtant la blessure de son cœur était toujours aussi à vifs. « Au fait… Je sors avec Tallulah ! » Lui dit-il toujours aussi froid. S’il prenait la peine de le lui dire c’était non seulement pour lui faire comprendre qu’il était passé à autre chose, qu’il n’y avait pas qu’Arizona Ioannis sur terre, mais aussi parce qu’il savait que ça la ferait souffrir. Œil pour œil, dent pour dent… Il souffrait. Elle devait souffrir ! Tallulah était une ancienne amie d’Arizona, il était donc pratiquement sûr qu’elle serait donc tout sauf ravie de savoir qu’elle sortait avec son ex…
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MessageSujet: Re: willona ❝ you hate everything about me ❞ willona ❝ you hate everything about me ❞ EmptySam 16 Mar - 21:12

willona ❝ you hate everything about me ❞ Tumblr_ma9gaxOXn51qbgmzlo5_500
Dès qu'elle avait accepté sa mission, au moment où elle avait dit oui même si son cœur lui disait de répondre le contraire elle avait su qu'elle allait au-devant des ennuis. Elle n'était pas stupide, elle ne l'avait jamais été et elle connaissait assez bien ses proches pour savoir que dès qu'elle tomberait sur l'un d'eux, cette personne lui ferait bien vite passer l'envie d'être revenue en ville, mais elle en avait eu besoin, bien plus que ce qu'elle pouvait s'avouer à elle-même. Au sein de New York se trouvait sa famille et quand bien même avait-elle tourné le dos à cette dernière, au fond elle ne restait pas différente de la Arizona qu'elle avait pu être par le passé, celle qui était tournée vers sa famille et impliquée au sein de cette dernière, toutefois elle avait encaissé tant de choses qu'elle avait dévié de son chemin. Ses cousins étaient probablement ceux qui lui avait sauvé la vie, Elijah en prenant soin d'elle comme elle en avait eu besoin et Matthew en lui offrant une porte de sortie, un moyen de renouer avec son passé. Ainsi, refuser de partir pour New York n'aurait été que de la lâcheté de sa part et c'était la dernière chose que l'Australienne voulait être à nouveau. Elle avait déjà fait beaucoup d'erreurs ces six derniers mois, elle n'avait pas envie de continuer sur cette lancée, pas alors que des personnes continuaient de croire en elle et en la bonté qui continuait d'exister au fond de son cœur bien qu'elle éprouvait du mal à renouer avec cette dernière. La jeune femme était tellement différente de celle qu'elle avait pu être par le passé.

Certes, certains traits de son caractère étaient toujours en elle, mais les choix qu'elle prenait étaient si différents de ceux qu'elle aurait pu prendre auparavant. Néanmoins, Payson s'efforçait d'être forte, de garder la tête haute et ce même si elle craignait de tomber sur sa jumelle - ce qui arriverait tôt ou tard - ou sur des personnes qui lui avaient été si chers, des personnes comme William. Elle n'avait jamais eu l'intention de blesser qui que ce soit, encore moins lui, pas alors qu'elle l'avait également aimé. Malheureusement, rester dans cette ville, dans ce pays après tout ce qu'elle avait vécu lui avait été impossible. Trop de souvenirs douloureux menaçaient de la faire craquer tous les jours si bien qu'elle avait préféré prendre la fuite, unique et dernière fois où elle avait été lâche. Elle n'avait pas donné la moindre nouvelle par la suite et elle n'en avait pas non plus eu de ceux qu'elle avait laissé derrière elle et à bien y réfléchir elle regrettait amèrement cette partie de son choix. En tombant sur l'Américain, elle se doutait qu'elle allait passer un sale quart d’heure. Elle avait appris à le connaitre presque par cœur et elle savait qu'en six mois William avait eu le temps d'alimenter la rancœur à son sujet et le jeune homme aurait aussi bien pu rester muet que son regard aurait parlé pour lui. « Oh tu te rappelles encore de mon nom ? J’en suis flatté ! » La jeune femme avala sa salive avec difficulté, mais elle ne fit aucun commentaire. Les New-Yorkais passaient à côté d'eux, mais les deux jeunes gens ne bougeaient pas et l'Australienne le fixait en attendant en silence que la tempête lui tombe dessus.

« Très surpris en fait. Tu as oublié de donner des nouvelles. Oublié de dire au revoir. J’aurais cru que tu m’aurais oublié aussi. Tu sais quoi ? T’aurais dût !!!! » La bouche de Payson s'ouvrit, mais aucun son n'en sortit. C'était bien la première fois qu'elle restait sans voix alors qu'au fond d'elle, elle sentait la colère gronder. Elle avait tort, elle lui avait fait du mal, elle le savait pertinemment, mais sa fierté n'avait fait que se développer ces derniers mois et la jeune femme n'appréciait que très peu le ton employé par l'Américain. Toutefois, elle ne put répliquer quoi que ce soit, pas même lorsque sa voix accepta de revenir. William la doubla, ne voulant visiblement pas lui accorder plus de temps. Payson se tourna pour le regarder s'éloigner, mais au lieu de ça il s'arrêta, rebroussa chemin et elle sut aussitôt qu'il n'en avait pas terminé avec elle. « En fait j’en reviens pas !!! J’en reviens pas qu’tu sois ici, à New York. Depuis combien de temps ? 15 jours ? 1 mois ? 3 mois ? Non laisse-moi deviner, en fait tu n’es jamais partie ! C’est pas New-York que tu as quitté, juste MOI !!!! » La mâchoire de l'Australienne se crispa. Sa frustration ne faisait que grandir en elle de seconde en seconde avec l'envie de lui couper la parole et d'hausser le ton à son tour, mais William ne lui en laissa pas le temps n'ayant pas vidé son sac comme il le souhaitait tant. « Qu’est-ce que tu croyais au juste ? "Oh William à l’habitude de se taper tout ce qui bouge, il se rendra même pas compte de mon départ", c’est ça ??? Tu me pensais insensible à ce point-là ?!? Moi qui pensais à l’époque qu’il y avait un truc spécial entre nous… Qu’est-ce que j’ai pût être con ! Moi qui pensais t’aimer… Au fait… Je sors avec Tallulah ! » Pourquoi était-elle de retour à New York déjà ?

Avalant sa salive avec difficulté, elle ne le lâcha pas du regard. Elle encaissa chacune de ses paroles en faisant de son mieux pour ne pas faiblir, même quand il lui avoua avoir pensé l'aimer, ce qui avait été le cas de Payson, mais sa dernière phrase la laissa une nouvelle fois sans voix. Il fallut un petit instant à l'Australienne pour rassembler ses esprits et se reprendre en serrant si fortement ses poings que ses ongles s'enfoncèrent dans ses paumes. « Ça y est t'as fini ou t'as encore quelques paroles toutes aussi égoïstes que moi à me balancer au visage ? » Demanda-t-elle sans même chercher à contrôler la colère dans sa voix. « T'as raison, tu as été con et visiblement tu l'es toujours ! Oui je suis partie de New York et crois-moi si je suis là ce n'est pas pour supporter ta colère et tes sarcasmes Slayers ! » Tandis que la colère augmentait elle, Payson sentit des tremblements envahir ses mains, la forçant à serrer d'autant plus ses poings, quand bien même était-ce douloureux. « Tu crois sincèrement que tout ce qui s'est passé il y a six mois était un plaisir pour moi ? Tu crois que perdre mes frères et les enfants que j'attendais ça été simple ? Tu pensais m'aimer alors que tu ne sais rien de moi, alors t'es mignon ta colère tu la gardes et tu passes ton chemin. » Dire qu'elle n'avait jamais aimé se donner en spectacle, encore moins au beau milieu de la rue et pourtant c'était bien la dernière chose qui lui importait pour l'instant. Elle avait juste besoin de se défouler, de faire disparaitre la peur de subir les foudres des siens à travers la colère qui l'avait gagné, une colère qu'elle éprouvait à la fois envers elle-même, envers William mais surtout une colère qu'elle ressentait à cause de la pointe de jalousie qui l'avait envahi en l'entendant se dire être en couple avec Tallulah et rien que pour ça Payson se serait giflée elle-même.
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MessageSujet: Re: willona ❝ you hate everything about me ❞ willona ❝ you hate everything about me ❞ EmptyVen 29 Mar - 15:47

WILLIAM& ARIZONA

❝ you hate everything about me ❞

    « Ça y est t'as fini ou t'as encore quelques paroles toutes aussi égoïstes que moi à me balancer au visage ? » William se raidit. S’ayez il avait fini ? C’était tout ce qu’elle avait trouvé à lui dire ? Les mots qui suivirent le fit d’avantage hallucinait. « Et c’est tout ? " Arrête tes caprices William ! J’ai ai bavé alors fait pas chier ! " C’est tout ??? Même pas une once de " je suis désolé " ou un brin de culpabilité ? T’es sérieuse là ?!? SERIEUX ??? » William n’en revenait pas. Elle le traitait comme un gosse. PIRE elle agissait avec lui comme si elle ne le connaissait pas, ne réalisant pas que si cette histoire lui tenait autant à cœur c’était parce qu’il avait toujours des sentiments pour elle. Oh bien sûr maintenant il avait Tallulah et elle l’avait trop blessé pour qu’il s’imagine un jour à ses côtés, mais elle avait comptait pour lui, suffisamment pour qu’il ne passe pas simplement son chemin comme elle le voulait ! « T’es en a baver il y 6 mois ? Croie moi j’en suis vraiment désolé et je ne pourrais sûrement jamais comprendre ce que tu a ressentit face à tout tes malheurs... Mais j’avais BESOIN de toi. J’me suis blesser, j’ai été viré de Knicks, j’me suis retrouvé tout seul et j’ai fait une crise cardiaque. J’ai manqué crever Arizona et toi pendant ce temps là t’étais pas là ! Tu me considère comme un gamin égoïste qui fait un caca nerveux parce qu’il s’est sentit abandonné ? OK ! Dans ce cas j’vais être un gamin égoïste qui fait un caca nerveux !!!! » Il s’assit alors en tailleur sur le sol, croisant les bras contre son torse et les regards commèrent à se tourner vers eux. « Je bougerais pas d’ici tant qu’tu n’aura pas admis que tu a eut tord d’avoir agis comme tu l’a fait et tu m’ai fait des excuses comme je l’mérite !!! » William con ? Oh oui ! Il pouvait se montrait très con quand il s’y mettait ! Mais sans nul doute parce qu’il était un passionné, il agissait avec ses tripes et Arizona agissait sur lui comme le détonateur d’une bombe. Il ne pouvait pas rester impassible devant elle, il ne pouvait pas se contenter de « passer son chemin » que ça lui plaise ou non !!!
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MessageSujet: Re: willona ❝ you hate everything about me ❞ willona ❝ you hate everything about me ❞ EmptyVen 12 Avr - 20:31

Arizona était incapable de contrôler sa colère même si cette dernière n’était pas réellement orientée vers William. Elle n’était pas fière de ce qu’elle avait fait plusieurs mois plus tôt, elle en avait honte même s’il était hors de question pour elle de l’avouer. Avoir passé plusieurs mois auprès d’Elijah l’avait aidé à se forger une carapace, à être plus détachée qu’elle n’avait pu l’être par le passé concernant les choses qui lui tombaient dessus sans crier gare. Malheureusement à force de trop se laisser à jouer le rôle de la femme forte, elle était devenue bien plus colérique que par le passé, bien plus froide également. En réalité, la jeune femme avait beaucoup changé, endurcie par tout ce par quoi elle était passée, par ce qu’elle avait vécu et accompli en travaillant avec son cousin. Se regarder dans le miroir était devenue difficile. Arizona était incapable de s’y reconnaître, elle était tellement différente de la jeune femme qu’elle avait pu être pendant des années et par moment elle se laissait à imaginer la réaction de ses parents – particulièrement de son père – si jamais ces derniers la voyaient agir ainsi. L’Australienne savait pertinemment qu’ils n’aimeraient pas ça. Peut-être n’iraient-ils pas jusqu’à dire qu’elle leur faisait honte mais c’était pourtant l’impression qu’elle avait. C’était comme si elle salissait le nom de son père, la personne qu’il avait été, ainsi que celle qu’avait été sa mère. C’était comme si elle avait tiré un trait sur l’éducation qu’elle avait reçu en un claquement de doigts et désormais elle peinait à récupérer le semblant de personnalité qui avait été sienne auparavant.

La jeune femme faisait de son mieux pour se rattraper alors qu’elle n’en avait guère eu envie dans les débuts. Lorsque l’un de ses cousins était venu la « sauver » alors que la CIA l’avait dans le collimateur, elle n’avait pas voulu prendre la porte de sortie qu’on lui offrait, il avait fallu qu’Elijah la force contre sa volonté à accepter pour qu’elle retrouve un minimum une vie plus acceptable que celle qu’elle avait pu avoir en Grèce ou en Chine. Travailler pour la CIA lui avait permis de nettoyer son ardoise pour repartir sur de bonnes bases et au final Arizona c’était plus au jeu de l’agent gouvernemental abandonnant ainsi ses rêves de médecine pour effectuer ce métier qui l’avait poussé à remettre les pieds à New York et ainsi risquer de croiser certaines personnes dont les retrouvailles l’effrayaient. Alors, ce n’était pas contre William qu’elle était en colère quand bien n’aimait-elle pas le ton qu’il employait avec elle pour n’avoir jamais aimé qu’on lui parler ainsi, qu’elle soit en tort ou non. « Et c’est tout ? "Arrête tes caprices William ! J’ai ai bavé alors fait pas chier !" C’est tout ??? Même pas une once de "je suis désolée" ou un brin de culpabilité ? T’es sérieuse là ?!? SÉRIEUX ??? » La jeune femme croisa les bras contre sa poitrine. Son regard alla se poser sur le visage aux traits déformés par la colère de William sans qu’elle ne prenne la peine de répondre quoi que ce soit. Dans l’état où elle était, partagée entre la colère et le malaise, elle se savait capable de laisser échapper des mots qu’elle ne pensait pas ne serait-ce que pour s’en sortir et filer au plus vite pour ne pas avoir à affronter plus longtemps sa culpabilité et le fait qu’elle se sentait réellement mal de l’avoir fait souffrir.

« T’en a baver il y 6 mois ? Croie moi j’en suis vraiment désolé et je ne pourrais sûrement jamais comprendre ce que tu a ressentit face à tout tes malheurs... Mais j’avais BESOIN de toi. J’me suis blessé, j’ai été viré de Knicks, j’me suis retrouvé tout seul et j’ai fait une crise cardiaque. J’ai manqué crever Arizona et toi pendant ce temps là t’étais pas là ! Tu me considère comme un gamin égoïste qui fait un caca nerveux parce qu’il s’est sentit abandonné ? OK ! Dans ce cas j’vais être un gamin égoïste qui fait un caca nerveux !!!! » Chacune des paroles que l’Américain prononça furent une gifle de plus que la jeune femme tenta d’encaisser au mieux. Elle n’avait jamais été une personne mauvaise, bien au contraire ! S’inquiéter pour les autres avait toujours été un gros problème pour l’Australienne qui avait ainsi fait passer tout le monde avant elle au point qu’elle avait eu quelques soucis de santé par le passé. Évidemment apprendre ce par quoi William était passé durant son absence n’était pas quelque chose de facile à encaisser, encore moins avec la culpabilité qui avait commencé à la ronger dès qu’elle l’avait reconnu dans cette fichue rue. Puis, le jeune homme effectua un geste qui surprit Arizona. Elle le regarda s’asseoir sur le sol bétonné, sourcils froncés avant qu’elle ne lève les yeux au ciel en soupirant, portant une main à son front pour exprimer à quel point il pouvait la mettre hors d’elle lorsqu’il s’y mettait.

« Je bougerais pas d’ici tant qu’tu n’aura pas admis que tu a eut tord d’avoir agis comme tu l’a fait et tu m’ai fait des excuses comme je l’mérite !!! » La mâchoire de l’Australienne se crispa faisant ainsi ressortir l’ossature de cette dernière. Agacée, elle passa sa langue sur ses lèvres comme si ce geste allait lui permettre de se calmer un tant soit peu, mais rien à faire. Son regard voyagea alors sur chacune des personnes qui passèrent près d’eux, dévisageant le jeune homme comme s’il était une bête de foire, puis ses iris convergèrent vers William. « Relève-toi ! » Lui ordonna-t-elle d’un ton plus cassant qu’elle ne l’aurait voulu. Se mordant la lèvre inférieure, Arizona soupira et s’efforça de se calmer sachant pertinemment qu’agir comme elle le faisait ne l’aiderait pas à se sortir de cette mauvaise passe. « J’ai eu tort, d’accord ? Je n’aurais jamais dû faire les choix que j’ai fais, je n’aurais jamais dû partir comme je l’ai fais et ne pas donner la moindre nouvelles à tous mes proches. Je suis désolée William, désolée pour ce que j’ai pu t’infliger, désolée de t’avoir fait souffrir, désolée de t’avoir abandonné même si je t’aimais ! » Sa voix se mit à trembler raison pour laquelle Arizona cessa de parler, l’expression dans son regard devint plus dure tant elle n’appréciait pas le fait d’avoir à avouer ses torts au beau milieu de la rue. « Maintenant, pour l’amour de Dieu, relève-toi Slayers ! » Car s’il était difficile d’avoir à s’excuser alors qu’elle n’aimait pas cela, le fait que tous les regards se tournent automatiquement vers eux – vers William – la mettait mal à l’aise et Arizona se connaissait assez bien pour savoir qu’elle finirait rapidement par devenir folle s’ils attiraient trop l’attention sur eux, d’autant plus que pour sa mission elle s’efforçait d’être discrète.
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MessageSujet: Re: willona ❝ you hate everything about me ❞ willona ❝ you hate everything about me ❞ EmptyVen 12 Avr - 23:29

« Relève-toi ! » Oh que non ! Il n’allait certainement pas se relever ! Si William avait un trait dominant dans son caractère, c’était sans nul doute celui d’être têtue. Il l’avait dit, il le ferait ! Il ne se relèverait pas tant qu’elle ne se serait pas excusée. Il pourrait bien mourir ici il s’en foutait bien ! Na ! William puérile ? Oulà le mot est faible ! « J’ai eu tort, d’accord ? » William n’en revenait pas. Il avait l’impression que le ciel lui était tombé sur la tête. Il ne pût cacher sa surprise et il lâcha échapper un « C’est vrai ?? » parce que lui-même n’était pas certain qu’elle avait réellement tord de prendre la fuite. Une part de lui n’avait pas pût s’empêcher de penser qu’elle serait plus heureuse sans lui. Ce rendant compte que sa question trahissez ses doutes, il se reprit. « J’veux dire, c’est vrai, tu as eu tord ! » rajouta-t-il s’efforçant d’être sur de lui mais y arrivant avec peine. « Je n’aurais jamais dû faire les choix que j’ai fais, je n’aurais jamais dû partir comme je l’ai fais et ne pas donner la moindre nouvelles à tous mes proches. » Waw ! Là il était complètement scié. Pincez le il rêve ! Elle était sérieusement en train de lui faire des excuses ? Sérieux ? De vrai de vrai ? Avec le sale caractère qu’elle avait ? Waaaaw ! Il était grave impressionné là. Sérieusement Il savait à quel point cela devait lui couté et du coup il en était touché. Vraiment. Ce qu’elle était en train de faire compter beaucoup pour lui.

« Je suis désolée William, désolée pour ce que j’ai pu t’infliger, désolée de t’avoir fait souffrir, désolée de t’avoir abandonné même si je t’aimais ! Maintenant, pour l’amour de Dieu, relève-toi Slayers ! »William se releva d’un bond et posa ses mains sur les joues d’Arizona pour lui maintenir le visage droit pendant qu’il se penchait vers elle pour l’embrasser. Comment ne pas réagir ainsi quand elle lui avouait l’avoir aimer et regrettait sa fuite ? En bref tout ce qu’il aurait aimé entendre venant d’elle. Il pensait qu’elle était trop fière pour admettre ses erreurs, et pourtant… Aussi il l’embrassait. Enfin…

William ferma les yeux, chassant la vision de lui embrassant Arizona. Cette agréable vision mais qui n’en restait pas moins une vision, son esprit tourmenté qui lui avait laissé apercevoir l’espace de quelque seconde ce que désirait son cœur mais qui n’était pas le reflet de la réalité. Ça ne s’était pas passer… Il ne pouvait pas faire ça. Il ne pouvait pas l’embrasser. Il était un garçon impulsif qui écouter son cœur, qui agissait sous le coup d’impulsion et s’il s’était laisser faire ses lèvres serait déjà sur celle de la belle brune… Mais il n’était plus un enfant, il ne pouvait plus agir comme bon lui semblait. Il avait vingt cinq ans maintenant il était grand temps pour lui d’agir comme un adulte responsable et les adultes responsables savent se contrôler… Il avait Tallulah maintenant, il ne pouvait quand même pas la trahir ainsi, se comportait en salaud mais si son corps tout entier hurler le prénom d’Arizona… Il avait promis à Tal de veiller sur elle, de l’aimer et d’être un petit ami exemplaire. L’africaine avait été là quand la Ioannis l’avait lâchement abandonné il ne pouvait quand même pas tout renier, leurs amours relation parce qu’Arizonna était de retour. Si ? William était partagé entre son cœur et sa raison… Une chose était certaine, il n’était pas bon pour lui de rester trop longtemps en la présence de celle qui lui avait rappelé à quel point c’était bon de vivre une véritable passion… William se releva et regarda Arizona, sa colère s’était visiblement envoler. « Et je suis désolé d'être un crétin et de n'avoir pas su t'épauler à la perte des jumeaux… Amis ? » Demanda-t-il avec une moue pleine d’excuse et en lui tendant la main pour qu’elle la serre en guise de bonne foie. C’était bien mieux pour tout les deux – et pour Tallulah… - qu’ils ne restent qu’amis, bien qu’il lui suffisait de la regarder pour savoir qu’il avait toujours des sentiments pour elle…
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MessageSujet: Re: willona ❝ you hate everything about me ❞ willona ❝ you hate everything about me ❞ EmptyMar 16 Avr - 23:52

Dire qu’elle prenait sur elle était un euphémisme. Même si la jeune femme avait toujours été du type à reconnaître ses erreurs ce n’était pas pour autant qu’il s’agissait d’une chose qu’elle faisait avec facilité. Depuis toujours, lorsqu’elle devait s’excuser l’Australienne avait l’impression que les mots allaient lui écorcher la langue, ce qui n’était pas le cas et ce n’était jamais la sensation qu’elle ressentait après avoir avoué ses torts, mais elle avait toujours vu cela de cette manière. Néanmoins, elle l’avait toujours fait même si par moment c’était à contre cœur. Lorsqu’elle avait tort, Arizona savait le reconnaître et autant dire que des torts elle en avait un paquet à son actif depuis ces derniers mois et ce surtout envers ses proches – plus particulièrement envers sa jumelle, sa petite sœur et le jeune homme face à elle. Elle s’en voulait sincèrement de les avoir abandonnés comme elle l’avait fait mais à l’époque l’Océanienne avait vu un moyen d’échapper à la douleur et elle l’avait saisi sans même penser aux conséquences que cela aurait par la suite. Elle avait agi sans réfléchir pour la première fois de son existence. Elle qui faisait toujours en calculant son coup, elle avait été totalement imprudente et égoïste lorsqu’elle avait décidé de suivre Elijah en Grèce.

Ce qu’elle avait gagné en faisant cela ? Pas grand-chose au final. Des soucis avec les autorités – et plus particulièrement la CIA – la colère de sa famille quant au choix de suivre le fils de l’homme qui avait causé la perte de Zéphyr Ioannis, plusieurs blessures dues aux missions qu’elle avait effectué, bien des choses que l’on aurait pu retourner contre elle pour lui montrer à quel point son choix avait été idiot. Toutefois, ce n’était pas les seules choses que la jeune femme avait récolté. En suivant son cousin elle avait découvert un tout autre monde qui l’avait aidé à se forger une carapace, à s’endurcir pour faire face aux coups durs de la vie, mais surtout elle avait trouvé un nouveau frère en la personne d’Elijah. Encore lorsqu’elle y pensait à l’heure actuelle Arizona en était étonnée. A ses yeux son cousin n’avait été que le résultat d’une longue manipulation, le digne héritier de Nikolas Vryzakis – ce qu’il était probablement dans le fond – mais elle avait pu découvrir un tout autre visage, sans doute la seconde personnalité de son cousin, à croire que ce dernier était schizophrène, néanmoins il avait pris soin d’elle, il l’avait protégé et aidé à remonter la pente.

Alors, non elle ne pouvait pas totalement regretter le choix qu’elle avait fait ce qui n’empêchait pas l’Australienne de savoir qu’elle avait eu tort, aussi difficile que ce fut de l’avouer, d’autant plus à William à qui elle avait toujours tenu tête par simple principe. « C’est vrai ?? J’veux dire, c’est vrai, tu as eu tort ! » La mâchoire d’Arizona se crispa comme pour lui faire comprendre de ne pas non plus trop jouer avec ses nerfs, mais elle s’efforça de ne rien répliquer et de se contenter de lui lancer un regard lourd de sens. Ce n’était déjà pas très simple pour elle d’avouer qu’elle avait mal agit, elle n’avait pas en plus besoin que l’Américain en rajoute, pas alors qu’elle faisait un effort monstrueux pour lui faire part des excuses qu’il méritait. La jeune femme chassa donc sa frustration au mieux et continua sur sa lancée, laissant son cœur parler même si cela devait provoquer une certaine surprise chez son ex petit ami qui ne l’avait pas connu aussi sincère et affligée. Une fois ses excuses données, Arizona fixa William un long moment attend une quelconque réaction de sa part mais surtout le fait qu’il accepte enfin de se relever, ce qu’il finit par faire à la grande satisfaction de la jeune femme qui ne supportait plus le regard de tous les passants qui les dévisageaient.

Se sentant alors un peu plus soulagée, l’Océanienne se permis de soupirer en fermant les yeux l’espace de quelques secondes, faisant ainsi disparaître le malaise qui l’avait si rapidement gagné. « Et je suis désolé d'être un crétin et de n'avoir pas su t'épauler à la perte des jumeaux… Amis ? » Arizona rouvrit les yeux et fixa le jeune homme avant que son regard ne dévie en direction de la main qu’il lui tendait. Humectant ses lèvres qu’elle pinça ensuite, elle leva sa main et la logea dans celle de William puis la serra avec douceur, s’efforçant de lui adresser un léger sourire en coin. « Amis ! » Lâcha-t-elle finalement, plus soulagée que jamais. « Et ne t’excuse pas pour une chose que tu ne pourras jamais changer Slayers, tu es et tu resteras un crétin quoi que tu fasses. » L’expression qui prit place sur le visage d’Arizona prouva qu’elle était sincère et disant cela, mais bien vite son sourire amusé démontra le contraire et, lâchant la main de l’Américain, elle croisa les bras contre sa poitrine. « Donc tu es en couple ? C’est une excellente nouvelle. » Cette fois-ci l’Australienne était totalement sincère, appréciant le fait que malgré le mal qu’elle avait pu lui faire, il soit allé de l’avant parce qu’aussi crétin qu’il pouvait être, William méritait d’être heureux et de trouver l’amour, le véritable.
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MessageSujet: Re: willona ❝ you hate everything about me ❞ willona ❝ you hate everything about me ❞ EmptyLun 6 Mai - 16:21



« Amis ! » Il fallait bien avouer que lorsqu’Arizona accepta son amitié il en fût soulager même s’il ne le laissa rien paraitre. Il était bien plus prudent pour lui qu’ils soient amis. Les amis ne s’embrassent pas sur la bouche… Et la dernière chose qu’il souhaitait c’était bien de faire souffrir Tallulah. Il fallait qu’il cesse de penser au passé même si le contact de la main de la Ioannis dans la sienne lui rappelait leurs baiser en prison… . « Et ne t’excuse pas pour une chose que tu ne pourras jamais changer Slayers, tu es et tu resteras un crétin quoi que tu fasses. » Cette façon qu’elle avait de le dire montrait à William à quel point Arizona le connaissait, sans doute deux fois plus que Tallulah y arriveraient un jour. « Merci » répondit-il avec un sourire comme si elle venait réellement de lui faire un compliment. Dans un sens ça en était un car son comportement décalé faisait ce qu’il était. William sans son côté pied dans le plat ne serait pas William. Puis c’était ce crétin qu’elle avait aimé, un jour, même si ce n’était plus le cas aujourd’hui, alors il n’allait probablement pas s’en plaindre. « Donc tu es en couple ? C’est une excellente nouvelle. » « Oui. C’est une excellente nouvelle » répondit-il bien que ses mots semblait manquait de sincérité, de vérité… Arizona venait de le dire elle-même, il était en couple maintenant… Il n’avait pas le droit de faire n’importe quoi. Peu importe il avait envie. Sa main était toujours dans celle qu’il avait aimée, comme si c’était la seule façon qu’il avait de lui faire comprendre ce qu’il ne pouvait pas formuler... Son portable se mit alors à sonner et il lâcha la brune. Il attrapa son téléphone et pût lire « Salut, désolée de te déranger, mais il faut qu'on se voie, j'ai quelque chose d'important à te dire. » C’était un message de Kiara. William leva la tête à Arizona. « J’dois y aller. C’est cool que tu soie à New-York » dit-il en lui donnant un petit coup avec son poing à l’épaule, comme il aurait pût faire avec un pote. Après tout ils étaient amis. Non ? Sur ce William quitta la rue…


THE END


«You're not friends. You'll never be friends. You'll be in love 'til it kills you both. You'll fight, and you'll shag, and you'll hate each other 'til it makes you quiver, but you'll never be friends. Real love isn't brains, children. It's blood. It's blood screaming inside you to work its will. I may be love's bitch, but at least I'm man enough to admit it. »
SPIKE
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willona ❝ you hate everything about me ❞

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