It's New York City bitches ! And it's my motherfucking dream
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I could sit her and complain how our mum like Koschei more than me. But I don't really care. My own mother... thought I was a monster... She was right of course, but it still hurt.

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MessageSujet: I could sit her and complain how our mum like Koschei more than me. But I don't really care. My own mother... thought I was a monster... She was right of course, but it still hurt. I could sit her and complain how our mum like Koschei more than me. But I don't really care. My own mother... thought I was a monster... She was right of course, but it still hurt. EmptySam 10 Nov - 18:48


Elizaveta n’avait pas perdu de temps depuis qu’elle était réveillée. Il était à peine midi et elle revenait déjà de son entrainement du matin. Ce n’était pas parce qu’elle était à New York et surveiller par sa famille qu’elle devait relâcher son ballet. Elle avait déjà réussi à se faufiler dans la troupe la plus renommée de New York en échangeant quelques billets et faveurs ici et là, mais elle devait garder sa place. Et surtout resté un pied en avant des autres filles. Elle dédiait donc tous ses matins à ses entrainements, qu’ils soient obligatoires et en groupe, ou bien solo qu’elle faisait au gym du coin. C’était une des choses ‘personnelles ’ qu’elle tenait. Tout ne pouvait pas être sang et vengeance, elle aussi avait besoin d’une balance dans sa vie. Quand elle referma la porte de son appartement derrière elle, elle sut tout de suite que quelques choses n’étaient pas normales. Quelques choses dans l’air… Déjà Koschei était réveillé et vue l’heure, il y avait seulement une seule raison possible, quelqu’un lui avait préparé de la bouffe pour le tirer du lit. La blonde posa son sac dernier cri par terre et accrocha sa fourrure dans l’entrée, à pas de loup, elle se dirigea vers la cuisine où une femme qu’elle n’avait jamais vue s’affairait au four en sous-vêtement et t-shirt. Misha ne dit rien. Pour ne pas se faire remarquer, elle contenta de s’adosser sur le cadrage de la porte et fixa la femme, les bras croisés. Elle détestait quand Koschei ramenait quelqu’un. Elle avait l’impression de vivre dans un bordel. Un bordel de bas étage vu l’allure des femmes avec qui il se coltinait. Puis c’était une question pratique aussi. Si l’un d’entre entraits dans la mauvaise pièce, ouvrait la mauvaise porte, son jumeau aurait de sal explications à faire. Pas que le voir expliquer une collection complète de couteau et d’épée de toute sorte ne serais pas un passe-temps hilarant, mais tout de même. Elle aurait à s’en mêler tôt ou tard et les choses deviendraient beaucoup trop salissantes. Ils ne pouvait tout simplement pas se permettre ce genre de connerie. Mais Koschei n’avait jamais été une lumière et ce genre de raisonnement lui passait carrément au-dessus de la tête. La petite chose finis par se tourner dans sa direction et Elizaveta eut un sourire mesquin en la voyant échapper sa poêle au sol. Elle avait dû faire un bon de trois mètres juste en la voyant. Priceless. La Russe glissa son regard vers le petit-déjeuner gâché et la graisse qui coulait sur son parquet. « Tout ça est mieux de ne pas laisser de tâches. » La jeune femme hocha la tête et se mit tout de suite à genoux pour ramasser son dégât. C’est ce moment-là que choisit son jumeau pour enfin se montrer. Elizaveta ne bougea pas, et ne leva surtout pas son regard de la petite encore à genoux. « Oh brother, je sais pas si je devrais être émue ou bien concernée que tu choisisses toujours des sosies de maman pour tes petits jeux. » La jeune femme par terre, essaya de lever les yeux vers Koschei, mais croisa ceux d’Elizaveta en premier et rebaissa la tête, se remettant immédiatement au travail. « Je crois que je vais y aller avec concernée. »


Dernière édition par Elizaveta Misha Mikhailov le Sam 8 Déc - 16:00, édité 1 fois
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MessageSujet: Re: I could sit her and complain how our mum like Koschei more than me. But I don't really care. My own mother... thought I was a monster... She was right of course, but it still hurt. I could sit her and complain how our mum like Koschei more than me. But I don't really care. My own mother... thought I was a monster... She was right of course, but it still hurt. EmptyJeu 6 Déc - 11:01

S'il y avait bien une chose que Koschei appréciait, c'était de se réveiller aux côtés d'une jolie fille. Elle était réveillée et le regardait avec de grands yeux émerveillés. Elle était très naïve celle-là mais avec un corps absolument parfait. Koschei bailla, s'étirant les bras avant de glisser un bonjour à l'accent russe très prononcé. La jeune fille pouffa. « Ton accent est vraiment trop mignon. » Koschei lui glissa un regard sur le côté, sourcils haussés, souriant légèrement. Oui c'était hilarant. Ahahah. Il aimait bien se réveiller à leur côté mais pas passer trop de temps à leurs côtés non plus, surtout quand elles étaient aussi creuses... Ce n'était pas comme s'ils les choisissaient pour leur intelligence. Sans crier gare la jeune femme se hissa soudain sur le jeune homme, à califourchon. Ça, ça lui rappelait des souvenirs de la nuit passée, et ce n'était pas pour lui déplaire. Il ne se gêna pas pour regarder sa poitrine et tous les détails de ce corps qu'il avait exploré avec plaisir la nuit dernière. Elle approcha son visage du sien et le jeune homme en profita pour s'emparer de ses lèvres. Elle se recula brusquement en rigolant. « Je vais te préparer le petit déjeuner, ne bouge pas. » Elle le faisait exprès ? Koschei n'eut pas le temps de l’agripper pour la faire rester, elle était déjà partie en sautillant, après s'être habillée un peu. Le jeune homme poussa un soupir énervé. Voilà, elle recommençait à lui taper sur les nerfs. Il finit par se lever, pas vraiment d'humeur à avoir un petit déjeuner au lit avec une fille aussi casse pieds. Il prit un pantalon qu'il enfila à la va-vite avant d'aller dans la cuisine pour surveiller ce que faisait l'autre. Il ne valait mieux pas qu'elle tente de l'empoisonner. On ne rigolait pas avec son estomac.
Il ne s'était pas vraiment attendu à tomber sur sa sœur. Bien qu'ils vivaient ensembles, il avait parfois tendance à oublier sa présence – ou bien il l'ignorait volontairement. Il haussa donc les sourcils de surprise. « Oh brother, je sais pas si je devrais être émue ou bien concernée que tu choisisses toujours des sosies de maman pour tes petits jeux. » Il n'en fallait pas plus pour faire passer l'expression de surprise sur son visage, pour celle si familière d'énervement et de profond agacement qu'il avait toujours en présence de sa jumelle. « Elle ne ressemble pas à maman du tout ! » Il avait tenté de ne pas crier trop fort même si son tempérament le reprenait toujours. Comment pouvait-elle la comparer à leur mère ? « Je crois que je vais y aller avec concernée. » Il croisa les bras avant de demander : « Qu'est ce que tu fais là de toute manière ? Tu ne devrais pas être en train de danser ou quelque chose de niais dans le même genre ? Ou bien ils t'ont viré parce qu'ils ont enfin pu voir à quel point t'es nulle ? » Il n'avait même pas jeter un regard à l'autre qui était en train de nettoyer le sol, se contentant de sourire sournoisement à sa sœur.
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MessageSujet: Re: I could sit her and complain how our mum like Koschei more than me. But I don't really care. My own mother... thought I was a monster... She was right of course, but it still hurt. I could sit her and complain how our mum like Koschei more than me. But I don't really care. My own mother... thought I was a monster... She was right of course, but it still hurt. EmptySam 8 Déc - 16:03

Elizaveta était petite, minuscule. Elle n’avait pas une carrure à faire peur. Ses longs cheveux blonds et ses yeux de bambie étaient loin d’inspirer la peur à eux seuls. Elle avait dû travailler là-dessus. Elle avait très vite compris, dès les premières années de sa vie, qu’il y avait que deux types de personnes dans le monde. Les forts et les faibles, et il n’avait jamais été question qu’elle soit dans la catégorie au dessous, même en apparence. Si elle était faible, elle serait comme sa mère et on se servirait d’elle comme on se servait de toutes les autres femmes dans sa famille. Et il n’en était pas question. Elle n’était pas, et ne pourrais probablement jamais, être physiquement aussi forte que Koschei par exemple, mais elle avait développé ses propres atouts avec le temps. Elle avait appris à faire pâlir les gens d’un seul regard, de jouer avec eux comme une marionnette, utilisant la peur pour les contrôler. Elle s’était créé une sorte d’aura menaçante, les gens pouvaient sentir qu’elle avait du sang sur les mains. Elle comptait beaucoup là-dessus. « Elle ne ressemble pas à maman du tout ! » Elizaveta eut un sourire un coin et pencha la tête pour examiner là jeune femme, avec la même expression qu’on pouvait réserver à un chiot ou bien un petit animal en cage. Le ton de son frère aurait valu de l’or si Koshcei n’avait pas l’habitude de se choquer si vite. Enfin, facile ou pas, elle trouvait ça toujours aussi drôle. « Qu'est ce que tu fais là de toute manière ? Tu ne devrais pas être en train de danser ou quelque chose de niais dans le même genre ? Ou bien ils t'ont viré parce qu'ils ont enfin pu voir à quel point t'es nulle ? » Elizaveta sourit pour elle-même. Heureusement pour son frère qu’elle ne se fâchait pas tout aussi vite. Quelque chose lui disais qu’elle serait beaucoup plus violente dans le cas. Soit, il était quand même mignon d’essayer. « Je n’ai pas besoin d’être bonne Koschei, j’ai d’autres talents. Ne t’inquiète pas pour moi. » La danse était sa passion, elle était douée, mais pas assez dupe pour penser qu’elle était la meilleure. Elle méritait la place qu’elle avait gagnée, elle avait fait beaucoup d’effort pour y arriver. Simplement pas les mêmes efforts que tous les autres. «Et bien sûre que si, elle ressemble à maman. Aussi vide, insipide et docile. » Elle s’approcha de la femme à pas de chat et se pencha à peine pour placer sa main autour de son cou. Elle sera et étrangla l’inconnue légèrement en la forçant à se mettre debout. La petite ne se défendait même pas, elle ne faisait qu’émettre des sons incompréhensibles avec sa bouche. « Désolé. Je n’ai rien contre toi petite. Mais mon frère était au courant, je déteste la compagnie… » Elle serra encore un peu plus sa main autour du cou et souris en regardant l’étrangère changer de couleur. La Russe essaya de l’apaiser en faisant quelque ‘chuttt chuttt’, qui sembla marcher pour le moment… Ça ou la femme n’arrivait même plus à glapir. « Beaucoup trop de secrets, et je ne fais pas confiance aux inconnues avec les secrets… » Elle lâcha sa prise et la jeune femme s’effondra au sol comme une poupée de chiffon. Elizaveta soupira, elle aurait préféré que l’autre se défendre un peu, ça aurait été plus drôle comme jeu. Pour la première fois, elle se tourna vers son frère, les mains derrière son dos, elle lui sourie tout innocemment. « Tu vois… Tellement comme maman… » Elle s’avança vers son jumeau et lui passa les bras autour de la taille et déposa sa tête sur son épaule. « Mon pauvre Koschei, tu te contentes de tellement peu… »
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MessageSujet: Re: I could sit her and complain how our mum like Koschei more than me. But I don't really care. My own mother... thought I was a monster... She was right of course, but it still hurt. I could sit her and complain how our mum like Koschei more than me. But I don't really care. My own mother... thought I was a monster... She was right of course, but it still hurt. EmptySam 15 Déc - 16:38

Koschei n'avait pas besoin de grand chose pour le mettre de mauvaise humeur. De rien du tout à vrai dire. Une poussière qui lui tombe sur les cheveux serait sûrement capable de le faire péter un câble. Mais la personne qui arrivait le mieux à le faire démarrer au quart de tour, c'était sa sœur. Sans aucune difficulté, et sa simple présence suffisait. « Je n’ai pas besoin d’être bonne Koschei, j’ai d’autres talents. Ne t’inquiète pas pour moi. » Il n'avait pas envie de savoir, même s'il n'en doutait pas une seconde... «Et bien sûre que si, elle ressemble à maman. Aussi vide, insipide et docile. » Koschei lui jeta un regard noir. « Ferme-la ! » Il n'aimait pas qu'elle insulte leur mère. Malgré ce qu'elle avait pu faire, Koschei n'avait jamais pu s'empêcher de continuer à l'aimer. C'était leur mère après tout. Il haussa ensuite un sourcil, regardant sa sœur s'approcher de la fille – c'était quoi au fait son prénom ? - et l'étrangler. Il leva les yeux au plafond en poussant un soupir. « Désolé. Je n’ai rien contre toi petite. Mais mon frère était au courant, je déteste la compagnie… » « Lâche-la. Dit-il d'une voix qui se voulait froide et menaçante. » Apparemment pas assez. De toute manière sa sœur en avait toujours rien à faire de ce qu'il disait. Il fallait la laisser jouer, elle finissait toujours par se lasser et jeter son jouet – ou le tuer... « Beaucoup trop de secrets, et je ne fais pas confiance aux inconnues avec les secrets… » Elle était toujours tellement dramatique. « Elle n'a rien vu. Tu le dis toi-même, elle est creuse. Tu peux la lâcher... » Il mettait tellement peu de conviction dans ses paroles – voire pas du tout – ce qui montrait à quel point il ne se sentait pas vraiment concerné par la vie de la jeune fille. Ça l'énervait que sa sœur fasse ça mais pas au point d'avoir envie de la protéger. Elle n'était pas si importante pour lui. Elle ne l'était même pas du tout. « Tu vois… Tellement comme maman… » « Je t'ai dit qu'elle n'était pas comme elle ! » Il avait toujours beaucoup de réparti. Autant qu'un enfant de huit ans bornés. Sa jumelle s'était ensuite approché de lui et le serra dans ses bras. « Mon pauvre Koschei, tu te contentes de tellement peu… » Il la repoussa un peu sèchement. Parfois il se demandait comment ils avaient pu tenir vingt ans sans s'être jamais entre-tué encore. Non pas qu'ils n'avaient pas essayé... « Excuse moi d'avoir des besoins très chère sœur. Je ne l'ai pas vraiment choisi pour son intellect... Classe en effet. Non sans mentionner qu'elle était juste à côté. Et c'est toujours mieux que ce que tu pourras ramener toi. Est ce que des gens s'intéressent à toi au moins ? Ou ils fuient tous en courant en voyant ton vrai visage ? » La fille qui était toujours par terre éternua pour récupérer son souffle, avant de regarder Koschei et de lui jeter à la figure : « Alors comme ça je suis creuse ? T'aurais pu m'aider au lieu de la regarder faire. Vous êtes complètement barge dans cette famille ! Elle pointa ensuite un doigt vers Elizaveta. Faut la faire enfermer. » Waow. Elle avait du courage elle. Et elle était vraiment casse-pieds. « Calme-toi, c'est juste ma sœur, elle n'est pas très nette dans sa tête en effet. » Il adressa à Elizaveta un sourire qui se voulait charmant et hypocrite, et lui passa même une main dans les cheveux dans un geste d'affection, puis se tourna de nouveau vers la fille, effaçant tout sourire : « Mais je t'interdis de l'insulter. » Pour qui se prenait-elle ? C'était un privilège réservé exclusivement au jeune homme. La jeune fille regarda Koschei les yeux brouillés par les larmes. « Je croyais que ça se passait bien entre nous... » Pour simple réponse, le jeune russe rigola. Une vraie comique.
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MessageSujet: Re: I could sit her and complain how our mum like Koschei more than me. But I don't really care. My own mother... thought I was a monster... She was right of course, but it still hurt. I could sit her and complain how our mum like Koschei more than me. But I don't really care. My own mother... thought I was a monster... She was right of course, but it still hurt. EmptyMer 26 Déc - 16:13

Ferme là, lâche là, plus son frère s’énervait et plus Elizaveta trouvait la situation amusante. Elle serrait le cou de la fille de plus en plus fort entre ses doigts, rentrant ses ongles dans sa peau, laissant le sang couler sous ses mains…Il n’y avait rien de mieux que de sentir la vie de quelqu’un s’envoler sous sa peau. Les armes étaient magiques et puissantes, elle adorait brandir un couteau ou bien appuyer sur la gâchette, mais elle se sentait toujours mieux après avoir mis la main à la pâte. Quand elle était assez proche pour sentir l’air se couper ou bien le cœur arrêter de battre, elle ne connaissait rien de mieux. « Elle n'a rien vu. Tu le dis toi-même, elle est creuse. Tu peux la lâcher... » Elle se tourna à peine vers son frère pour lui offrir un rictus dédaigneux. S’il voulait vraiment qu’elle la lâche, il l’aurait poussé hors du chemin depuis longtemps. Koschei était plus fort qu’elle après tout. Elle laissa la petite tomber comme une poupée de chiffon usée et lui tourna le dos. « Je t'ai dit qu'elle n'était pas comme elle ! » Elizaveta pencha la tête et se rapprocha de son frère, ne prenant pas soins d’éviter les doigts de l’inconnue au sol. « C’est okay Koschei, je suppose que tu as besoin d’une femme comme maman, une pauvre petite femme sans tête et sans colonne qui est obligée de te marier. Assure-toi seulement de lui arracher la langue avant que je le fasse. » Elle haussa les épaules. Elle aimerait vraiment que quelqu’un force un mariage arrangé sur la gueule de son frère, qui sache quel effet ça faisait d’avoir sa vie tout dessiner pour une fois. Très innocemment, elle se rapprocha de son frère pour le prendre dans ses bras, elle savait qu’il détestait et elle adorait ça. Koschei se contenta de la poussa et Misha dut se rattraper de justesse pour ne pas tomber et perde la face. La blonde éclata d’un rire hystérique « Now brother, ne me rend furieuse. » Son ton avait beau être léger et plein de rire, on pouvait sentir la menace qui se cachait dessous. Elle laissait passer beaucoup de choses pour son jumeau, mais elle avait ses limites. Elle ne se laisserait pas faire, même pas pour lui. « Excuse-moi d'avoir des besoins, très chère sœur. Je ne l'ai pas vraiment choisi pour son intellect... Et c'est toujours mieux que ce que tu pourras ramener toi. Est-ce que des gens s'intéressent à toi au moins ? Ou ils fuient tous en courant en voyant ton vrai visage ? » Elizaveta eut une expression de dédains et de mépris. Elle n’était pas comme ça, elle ne serait jamais comme ça. Elle ne se donnait pas à n’importe qui et jamais sans raison. Elle était précieuse, dans tous les sens du terme, pas quelque chose qu’on se passait de gauche à droite. Et puis elle ne jouerait jamais de jeux, ne portait jamais de masque. Évidemment que les gens avaient peur d’elle, c’est ce qu’elle voulait. « Désolé d’avoir des standards… Mais si c’est vraiment qu’un .. Troue.. qui t’intéresse. Pourquoi tu ne vas pas dans les bordels de la famille. Au moins, je ne retrouverais jamais une d’entre elles dans ma cuisine. » Elle jeta un regard à la pauvre fille juste quand elle commençait à se relever, prête à exploser. Misha s’adossa au mur de nouveau et regarda la scène avec un sourire sur les lèvres. Essayant de compter les secondes avant que son frère perde patience. « Faut la faire enfermer. » Elle leva à peine le regard pour la narguer. Si elle avait eu une chance de sortir de son appartement en vie, elle venait de la perde. « Calme-toi, c'est juste ma sœur, elle n'est pas très nette dans sa tête en effet. » Elle répondit au sourire de Koschei par une grimace. « Mais je t'interdis de l'insulter. » « Je croyais que ça se passait bien entre nous... » La Russe se mit à rigoler sans pouvoir s’en empêcher. D’où est-ce que cette petite bonne femme pouvait bien sortir. « Mais qu’est-ce que tu leur dis à ses pauvres petites… » C’était rhétorique, elle ne voulait vraiment pas savoir. Elle se rapprocha de la femme qui essaya de l’éviter, mais Misha la prit par le bras et la força à s’assoir sur un des tabourets, la tenant en place, une main rentrée dans son épaule. « Tu veux en faire quoi ? » Elle jouait tranquillement avec les cheveux de l’invitée, comme avec ceux d’une poupée. « Je suppose qu’elle est trop usée pour qu’on la revendre à l’étranger… » L’étrangère essaya de crier, d’appeler à l’aide, comme s’ils n’avaient pas acheté les appartements au dessous pour avoir la paix. Misha tendis le bras et attrapa le couteau qui trainait sur le comptoir pour lui enfoncer entre les côtes. « Chut toi. On parle. » Elle émit un cri de douleurs, mais se tue dans l’ensemble. « Elle s’exprime toujours aussi fort ? » Pourquoi est-ce qu’il fallait toujours qu’il trouve les plus chiantes de toutes.
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MessageSujet: Re: I could sit her and complain how our mum like Koschei more than me. But I don't really care. My own mother... thought I was a monster... She was right of course, but it still hurt. I could sit her and complain how our mum like Koschei more than me. But I don't really care. My own mother... thought I was a monster... She was right of course, but it still hurt. EmptyVen 4 Jan - 23:58

Le mettre de mauvaise humeur dès le matin, ce n'était pas vraiment conseillé. Certes il en fallait peu pour l'énerver, mais c'était clairement vouloir prendre des risques que de le faire dès sa sortir du lit. « C’est okay Koschei, je suppose que tu as besoin d’une femme comme maman, une pauvre petite femme sans tête et sans colonne qui est obligée de te marier. Assure-toi seulement de lui arracher la langue avant que je le fasse. » Il prit une inspiration, tentant de garder son calme. « Peut-être que c'est la tienne que j'arracherais. Ainsi je n'aurais plus à entendre ta voix et tes idioties qui commencent sérieusement à me prendre la tête. » Il avait parlé avec froideur, parfois il se disait que ça pourrait la solution au problème. Quand elle s'était approchée un peu après pour le prendre dans ses bras il l'avait repoussé. « Now brother, ne me rend furieuse. » Il lui adressa un grand sourire hypocrite. C'était l'une de ses activités favorites comment pouvait-elle espérer une seule seconde qu'il arrête ? Il ne faisait que lui rendre la pareille de toute manière. « Désolé d’avoir des standards… Mais si c’est vraiment qu’un .. Troue.. qui t’intéresse. Pourquoi tu ne vas pas dans les bordels de la famille. Au moins, je ne retrouverais jamais une d’entre elles dans ma cuisine. » Il leva les yeux au plafond. « Tes conseils sur les femmes je m'en passerais... se contenta-t-il de répondre d'un air dédaigneux. »
La fille s'était un peu excitée avant de se tourner vers Koschei en espérant qu'il fasse quelque chose. Elle risquait d'attendre longtemps... « Mais qu’est-ce que tu leur dis à ses pauvres petites… » Là pour le coup ce n'était pas de sa faute. Il avait beau être un parfait gentleman – hum – il ne voyait pas ce qu'il lui avait fait à celle là. Certes il était doué mais wo ça n'engageait à rien. C'est fou comme certaines filles pouvaient se monter la tête pour un rien... « Tu veux en faire quoi ? » Il haussa un sourcil, comme s'il considérait vraiment la question. Il venait de se lever, la seule chose dont il avait envie c'était de manger. Et comme cette idiote avait tout foutu par terre il allait devoir se le préparer lui même. Il poussa donc un simple soupir en guise de réponse. Pour montrer toute sa motivation à réfléchir. « Je suppose qu’elle est trop usée pour qu’on la revendre à l’étranger… » Koschei fronça les sourcils. « Laisse la partir, elle fait pas de mal. » En plus elle criait alors il ne risquait pas de la supporter encore très longtemps... « Chut toi. On parle. » Parfois sa sœur était vraiment bien connectée avec lui. « Elle a raison, pour une fois. La ferme. » Il ne bougea pas d'un cil quand elle attrapa un couteau et le planta soudain dans les côtes de la jeune femme. « Elle s’exprime toujours aussi fort ? » Ugh. « Si tu savais... dit-il, un bref sourire passant sur son visage en repensant à hier soir. Puis il s'énerva d'un seul coup comme il savait si bien le faire. Mais t'étais pas obligée de la tuer bordel ! Et si en plus tu crois que je vais nettoyer... » Elle rêvait en somme. Elle pouvait toujours appeler quelqu'un pour le faire de toute manière, ce n'est pas comme si c'était quelque chose d'inhabituel... Enfin si, dans leur appartement, ils n'avaient pas pour habitude de le faire. Il essaya ensuite de se rappeler du prénom de la fille. Il espérait qu'elle n'avait pas de famille proche, c'était toujours embêtant les parents... Enfin normalement personne ne l'avait vu partir avec elle. « T'aurais au moins pu le faire d'une manière moins salissante. » Le sang quand on croyait s'en être débarrassé, on en retrouvait toujours. A delight.
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MessageSujet: Re: I could sit her and complain how our mum like Koschei more than me. But I don't really care. My own mother... thought I was a monster... She was right of course, but it still hurt. I could sit her and complain how our mum like Koschei more than me. But I don't really care. My own mother... thought I was a monster... She was right of course, but it still hurt. EmptyVen 11 Jan - 1:25

Chez les Mikhailov, des hommes tuaient leurs femmes, des parents tuaient leurs propres enfants, ou bien le contraire. Les frères et les sœurs étaient à la gorge l’un des autres et tout ça n’avait jamais troublé leurs repas du dimanche soir en famille. Koschei et elle ne faisaient pas exception. Tous les deux s’étaient même déjà alliés pour se débarrasser de petites choses puantes que leurs pères avaient bien voulu reconnaitre comme un des leurs. C’était un miracle qu’ils étaient encore deux. Un miracle ou une question de temps, parfois Elizaveta se posait vraiment la question. « Peut-être que c'est la tienne que j'arracherais. Ainsi, je n'aurais plus à entendre ta voix et tes idioties qui commencent sérieusement à me prendre la tête. » « C’est parce que tu me rends la tâche trop facile. On dirait presque que tu ne fais aucun effort. C'est ce que papa te reproches toujours non? » Mais en même temps, de la manière qu’elle voyait les choses, son frère n’avait jamais à faire d’effort, tout lui était donné, tout cuit dans le bec. C’était insupportable. « Tes conseils sur les femmes je m'en passerais... » La blonde hocha la tête tristement. Elle essayait que d’aider après tout, ou presque.

Son attention revient sur l’inconnue et elle n’en pouvait plus de la voir dans sa cuisine, elle la voulait dehors. Avoir la paix dans sa propre maison ne semblait pas trop être demandé. Son frère était d'aucunes aide sur la question. Koschei était tellement inutile, elle se demandait vraiment pourquoi elle s’entêtait à le garder dans sa vie. « Laisse la partir, elle ne fait pas de mal. » « Non, je ne pense pas que ça soit une option. » Elle passa une main dans les cheveux de la femme et dans son cou. Si cette fille n’avait rien su en se réveillant ce matin, un pied dehors et elle enverrait les autorités. Rien qu’ils ne pourraient pas gérée, mais c’était tout de même gênant et puis beaucoup moins drôle. Elle décida de la poignarder dans les côtes, juste un peu, pour passer le temps, ce qui fit réagir Koschei au double tour. « Mais t'étais pas obligée de la tuer bordel ! Et si en plus tu crois que je vais nettoyer... » « Mais je veux jouer… » Elle prit sa tête et sa voix d’enfant, devant son frère en colère et remonté. Comme si elle avait expecté qu’il nettoie quoi que se soit. Comme s’il avait déjà nettoyé quelque chose dans sa vie tout court. « Et elle est pas encore morte, juste sans connaissance. » Elle attrapa la brune par les cheveux, lui tira la tête vers l’arrière et lui frappa le crâne contre la table en céramique. Une plainte faible s’échappa de ses lèvres et la Russe se tourna vers son jumeau tout sourire. « Tu vois. » « T'aurais au moins pu le faire d'une manière moins salissante. » « Et où est le fun là dedans ? » Elle leva les yeux au ciel. « Pour quelqu’un qui couche avec des trucs du genre… » Elle fit un signe de tête vers le corps inanimé. « Je te trouve beaucoup trop axée sur la propreté. » Puis lasse, elle jeta la femme au sol et alla ouvrir le frigo. « Il n’y a rien à manger, encore. » Ils devaient définitivement changer de femme à tout faire.
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MessageSujet: Re: I could sit her and complain how our mum like Koschei more than me. But I don't really care. My own mother... thought I was a monster... She was right of course, but it still hurt. I could sit her and complain how our mum like Koschei more than me. But I don't really care. My own mother... thought I was a monster... She was right of course, but it still hurt. EmptyLun 21 Jan - 15:34

« C’est parce que tu me rends la tâche trop facile. On dirait presque que tu ne fais aucun effort. C'est ce que papa te reproches toujours non? » Il plissa les yeux en regardant sa sœur d'un air mauvais. Son père n'était jamais satisfait de toute manière. Koschei le détestait, ce n'était pas un secret. Il détendit finalement son visage pour laisser place à un air moqueur. « Quand on fait parti des meilleurs, on a pas besoin de faire beaucoup d'efforts pour y arriver. Tu ne peux pas comprendre bien sûr. » Évident aux yeux de Koschei sa sœur n'était pas douée. « Tu aurais peut-être été plus utile si tu n'avais pas tué le mari qu'on t'avait trouvé. » Il disait seulement ça pour l'énerver. Il comprenait parfaitement qu'elle n'en avait pas eu envie et Koschei aurait réagi de la même manière s'il avait été à sa place.
Sa sœur ne supportait jamais les filles qu'il pouvait ramener. Il le constata une nouvelle fois quand elle planta un coup de couteau dans celle-ci. « Non, je ne pense pas que ça soit une option. » Comme si elle s'intéressait à son avis de toute manière. S'il avait dit le contraire elle aurait été capable de la laisser en vie, juste pour l'embêter. Quoiqu'elle était vraiment énervante... Il s'énerva contre sa sœur, juste pour la forme. « Mais je veux jouer… Et elle est pas encore morte, juste sans connaissance. » Quand on avait pris un coup de couteau dans les côtes, à moins de se faire soigner, il y avait de fortes probabilités qu'on se vide de son sang. Mais il savait pertinemment qu'il n'avait pas besoin de le faire remarquer à sa sœur. Elle voulait s'amuser, il pouvait comprendre. « Tu vois. » lui dit-elle après lui avoir cogner la tête de la fille pour prouver qu'elle n'était pas morte. « Super. Si elle ne meurt pas tu pourras la garder comme animal domestique si t'es tant en manque d'amusement. » Il faudrait cependant lui couper la langue. Il n'y avait pas moyen qu'il entende à nouveau sa voix geignarde et insupportable. « Ou bien tu peux juste la laisser se vider de son sang ici. Ça ajoutera de la déco. Dit-il sur le ton de la plaisanterie. » Ça risquait de puer très vite. Et comme il le fit remarquer, ce n'était pas une manière très propre de faire les choses – certes il n'avait pas grand chose à dire sur ce point, mais quand il trouvait de quoi critiquer ce que faisait sa sœur, il n'hésitait jamais à le dire. « Et où est le fun là dedans ? Pour quelqu’un qui couche avec des trucs du genre… » Il leva une nouvelle fois les yeux au plafond. « Je te trouve beaucoup trop axée sur la propreté. » Il ne put s'empêcher de lâcher un rire. Ça ne le dérangeait pas que ce soit sale, tant que ce n'était pas dans la cuisine. Ce n'était pas l'image la plus appétissante qui soit, même si Koschei était capable de manger dans n'importe quelle circonstance – l'estomac passait avant tout. « Si tu trouves qu'un simple couteau dans les côtes c'est fun, tu me déçois beaucoup très chère sœur. » Il connaissait des manières bien plus amusantes de s'occuper de ses victimes... « Il n’y a rien à manger, encore. » Il leva les yeux sur sa sœur, sortant de sa rêverie sanguinaire. « On en avait jusqu'à ce que tu viennes nous déranger. Mais comme tu as l'air si bien disposé, tu peux essayer de trouver quelque chose à faire. Glissa-t-il un grand sourire ornant son visage. » Il pouvait toujours espérer.
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MessageSujet: Re: I could sit her and complain how our mum like Koschei more than me. But I don't really care. My own mother... thought I was a monster... She was right of course, but it still hurt. I could sit her and complain how our mum like Koschei more than me. But I don't really care. My own mother... thought I was a monster... She was right of course, but it still hurt. EmptyMer 23 Jan - 14:12

« Quand on fait parti des meilleurs, on a pas besoin de faire beaucoup d'efforts pour y arriver. Tu ne peux pas comprendre bien sûr. » Elizaveta sourit un peu en penchant la tête de gauche à droite. « C’est probablement à cause de cette philosophie-là que je te dépasse dans tout. » Enfin, elle n’avait jamais eu a faire beaucoup d’effort non plus, tout lui venait naturellement. Mais elle en faisait quand même, elle ne voulait jamais tomber derrière. Question de survie. « Tu aurais peut-être été plus utile si tu n'avais pas tué le mari qu'on t'avait trouvé. » Plus vite que l’éclaire, Elizaveta sortie un deuxième poignard, caché sous ses vêtements et le lança sur le mur, quelques centimètres à peine à côté de l’oreille de son frère. Ça, c’était la limite à ne jamais dépasser. « Sois juste heureux que je n’aie pas blâme sa mort sur toi. Tu ressembles trop à une femme pour la prison, je ne crois pas que tu aimerais. » Elle y avait pensé à ça aussi, mais finalement le suicide avait été plus sécuritaire et Koschei lui était beaucoup plus utile en dehors qu’en dedans.

Elizaveta se changea les idées de son mariage raté et des débilités de son frère en s’amusant avec leur invité. « Super. Si elle ne meurt pas, tu pourras la garder comme animal domestique si t'es tant en manque d'amusement. » « Hmm. » Elle passa ses doigts dans les cheveux de la femme et posa sa tête sur la sienne, presque affectueusement. « Non, je ne pense pas l’aimer. Pas assez battante, rien à casser. » Elle adorait quand ses proies essayaient de lui résister pendant un moment et qu’elle devait tout mettre en œuvre pour les rendres obéissants. Elle adorait excerser un pouvoir sur les autres et gérer leur vie. Question de karma. « Ou bien tu peux juste la laisser se vider de son sang ici. Ça ajoutera de la déco.» « Oh non, elle restera pas très longtemps, t’inquiètes. » On allait la retrouver très loin d’ici, dans une situation qui ne laissait aucun doute sur son histoire. Enfin, sur l’histoire que Misha allait inventer pour elle. Elle finit par être lasse de toute manière. Elle revenait d’un entrainement au gym et était fatiguée, elle ne s’amusa pas pendant longtemps. « Si tu trouves qu'un simple couteau dans les côtes c'est fun, tu me déçois, beaucoup très chère sœur. » « Mais j’ai faim… » Elle laissa sa voix trainer à la manière d’une gamine, elle s’occuperait de l’autre plus tard. « On en avait jusqu'à ce que tu viennes nous déranger. Mais comme tu as l'air si bien disposé, tu peux essayer de trouver quelque chose à faire. » Elle releva la tête du frigo et eut un sourire en coin. « Je peux te cuisiner son cœur. » Elle rigola et retourna à la femme, toujours en train d’agoniser sur la table. Elle n’avait jamais mangé rien qui vient de ses victimes, mais elle aimait bien les servir aux autres.
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MessageSujet: Re: I could sit her and complain how our mum like Koschei more than me. But I don't really care. My own mother... thought I was a monster... She was right of course, but it still hurt. I could sit her and complain how our mum like Koschei more than me. But I don't really care. My own mother... thought I was a monster... She was right of course, but it still hurt. EmptyJeu 24 Jan - 17:44

« C’est probablement à cause de cette philosophie-là que je te dépasse dans tout. » « Dans tes rêves, répondit-il d'un air mauvais. Elle avait peut-être quelques domaines où elle le surpassait. Comme le fait d'être insupportable ou pathétique. Il la laissait volontiers gagner dans ces catégories là, il l'encourageait même à le rester. Il évoqua ensuite l'homme qui avait failli être son mari et ça avait visiblement bien énervé sa sœur. Avec rapidité et sans qu'il s'en rende vraiment compte – c'est le matin woh – un couteau se retrouva planter à côté de sa tête. Il fronça les sourcils. « Sois juste heureux que je n’aie pas blâme sa mort sur toi. Tu ressembles trop à une femme pour la prison, je ne crois pas que tu aimerais. » Il aurait pu se montrer révolter et aussitôt exploser mais c'était sa sœur. S'il devait se montrer surpris à chaque fois qu'elle essayait, du moins faisait croire qu'elle voulait le tuer... Ses menaces lui faisaient autant d'effet qu'une piqûre de moustiques. Un peu désagréable, mais pas insupportable. « Avoue plutôt que ça te manquerait trop d'essayer de me tuer. Dit-il avec un sourire narquois. » Il s'était approché d'elle et glissa juste une main autour de son cou, tout comme elle avait fait avec la fille. Il la toisa un instant de haut, serra légèrement avant de la repousser. « Évite de le faire le matin c'est tout. Tu sais très bien qui est le plus doué de nous deux avec un couteau. » Il bailla même pour montrer l'enthousiasme matinal dont il faisait preuve.
Koschei avait proposé de garder la fille comme animal domestique mais bien sûr elle ne fut pas très emballer. « Non, je ne pense pas l’aimer. Pas assez battante, rien à casser. » C'est clair que dans le genre flan on ne faisait pas mieux. Ni comme objet de décoration. « Oh non, elle restera pas très longtemps, t’inquiètes. » Il ne s'inquiétait pas vraiment, il savait qu'elle savait – yeah – comment « s'occuper » de ce genre de choses. Elle avait une bonne imagination la plupart du temps. Koschei se débarrassait rarement des corps, il trouvait ça trop ennuyeux. Une fois qu'il avait fini de s'amuser avec quelqu'un, la chair morte ne l'intéressait plus. Koschei lui reprocha d'ailleurs du manque de fun dont elle avait fait preuve avec la fille. « Mais j’ai faim… » Il est vrai qu'avec un estomac vide il n'était jamais très performant non plus. Il pouvait lui accorder ça. Elizaveta fit remarquer qu'il n'y avait rien à manger d'ailleurs. Koschei lui demanda alors de trouver quelque chose à faire, tant qu'elle était sur sa lancée. « Je peux te cuisiner son cœur. » Il haussa un sourcil peu convaincu face à cette proposition. « Mmh non le cannibalisme c'est pas trop mon truc. Mais je t'en prie régale toi. » Elle devait bien être capable de le manger cru. « Te sens pas obliger de la cuire si t'en as envie même. ajouta-t-il avec un sourire narquois. »

ugh c'est pas terrible mais mon imagination est complètement évaporée, you know why and you love me.
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MessageSujet: Re: I could sit her and complain how our mum like Koschei more than me. But I don't really care. My own mother... thought I was a monster... She was right of course, but it still hurt. I could sit her and complain how our mum like Koschei more than me. But I don't really care. My own mother... thought I was a monster... She was right of course, but it still hurt. EmptyDim 3 Fév - 17:04

S’il était facile à mettre Koschei en colère, sa ne durais pas vraiment. Quant à elle, une fois qu’elle explosait, c’était quelque chose de sourd et violent qui se battait dans le creux de son ventre. Un sujet en particulier lui faisait perdre le contrôle. Son frère était au courant et il méritait tout ce qui pouvait bien lui arriver, tout simplement pour la chercher de la sorte. Elle lança une dague dans sa direction sans vraiment souhaiter le toucher. Si elle l’avait voulue, elle l’aurait coupé, mais le couteau alla se poser à quelques centimètres de sa petite tête blonde. Son frère passa à la charge quelques secondes plus tard et elle se retrouva avec sa main autour de son cou. Un matin tout à fait normal en somme. « Avoue plutôt que ça te manquerait trop d'essayer de me tuer. » La blonde leva la tête comme un signe de défis. S’il voulait l’étrangler, qu’il le fasse. Mais elle savait qui n’y parviendrait pas. Il n’irait jamais jusqu’au bout. Il était lâche comme ça. Ele n’émit pas un son quand elle sentit ses doigts la serrer et posa les mains sur le mur pour s’empêcher de tomber, une fois qui la libéra. « Évite de le faire le matin c'est tout. Tu sais très bien qui est le plus doué de nous deux avec un couteau. » Elle tendit le bras et lui attrapa le poignet, et le tourna le plus possible, à la limite, juste avant le crack. « Crois-moi, si je te voulais mort, tu le serais. Matin ou pas. » Elle s’éloigna de lui après ça, préférant aller s’occuper de son nouveau jouet.

Elle avait beau avoir un corps tout prêt pour jouer, Eliaveta avait la tête ailleurs. Son entrainement lui avait donné faim et elle avait envie de déjeuner plus qu’autre chose. Elle commença à délaisser le soon-to-be cadavre et s’occupa plutôt du frigo. Mais comme elle ne trouva rien pour elle, suggéra le plus bonnement du monde de servir le cœur de la pauvre femme à Koschei. « Mmh non le cannibalisme c'est pas trop mon truc. Mais je t'en prie régale toi. Te sens pas obligé de la cuire si t'en as envie même. » « T’es pas du tout poétique, tu sais ça ? » Elle se pencha vers le corps de la fille et la prirent comme un bébé pendant quelques secondes pour la poser sur la table. Elle respirait encore, mais que faiblement, Misha lui passa des doigts dans ses cheveux. « Shhtt, shttt… » Elle se tourna un moment pour chercher dans son tiroir de cuisine et finit par trouver un couteau à viande. Elle transperça la poitrine de la femme, délogea quelques côtes sans ciller et finit par trouver le cœur. Elle l’arracha d’un grand coup sec et le lança au pied de son frère. « Cadeau. » Elle posa son instrument et alla se rincer les mains dans le lavabo. « J’ai bien envie de crêpes, on sort manger ? »
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MessageSujet: Re: I could sit her and complain how our mum like Koschei more than me. But I don't really care. My own mother... thought I was a monster... She was right of course, but it still hurt. I could sit her and complain how our mum like Koschei more than me. But I don't really care. My own mother... thought I was a monster... She was right of course, but it still hurt. EmptyDim 17 Fév - 10:54

Chacun d'eux savait comment déclencher la colère de l'autre. Ils étaient jumeaux après tout, ils connaissaient les faiblesses de chacun. Ils savaient les exploiter, et surtout les titiller. Ils se menaçaient souvent mais ne passaient jamais à l'acte. Il n'aurait jamais serré jusqu'au point de la tuer. Tout comme la soi-disant tentative de sa sœur de lui faire mal au poignet. « Crois-moi, si je te voulais mort, tu le serais. Matin ou pas. » Il plissa les yeux un instant avant de sourire. « Je suis effrayé. Lâcha-t-il avec sarcasme. » A ses yeux, sa sœur était inoffensive.
Ils reportèrent ensuite leur attention sur la jeune femme, encore allongée par terre. Du moins Elizaveta s'en occupait, Koschei la regardait faire et ne manquait pas de critiquer ce qu'elle faisait. « T’es pas du tout poétique, tu sais ça ? » Il se contenta de répondre avec un sourire fier. Il n'avait pas choisi l'option poésie dans son entraînement de torture désolé. Sa sœur entreprit ensuite de s'occuper réellement de la fille. Le jeune homme s'appuya nonchalamment contre le mur, les bras croisés, presque comme s'il s'ennuyait. Il ne cilla pas quand elle attrapa un couteau et le planta dans sa poitrine. C'était un peu du gâchis mais bon. Sa sœur lui balança finalement le cœur à ses pieds. « Cadeau. » Il eut un bref sourire. « Quelle délicate attention, dit-il toujours aussi sarcastique. Et c'est moi qui ne suis pas poétique ? » Remarque offrir un cœur ça pouvait avoir un certain romantisme, ou pas ouais. « J’ai bien envie de crêpes, on sort manger ? » Rien que l'idée d'en manger, le ventre du jeune gargouilla. « Ouais... Appelle quelqu'un pour nettoyer. » Il ne valait mieux pas laisser le sang s'incruster. Il alla dans sa chambre pour se changer et alla retrouver sa sœur. « En guise de dédommagement, tu payes bien sûr. Oh ou attends. » Il retourna dans sa chambre et fouilla dans les affaires de la pauvre jeune fille. Il finit par trouver un portefeuille et en sortit les quelques billets qui s'y trouvaient. Il revint avec les billets en main. « C'était quelqu'un de généreux. Paix à son âme. Dit-il, plaisantant plus qu'autre chose. » Koschei n'était plus choqué par la mort depuis longtemps. On leur avait appris à ne pas l'être. Ne pas s'émouvoir, faire ce qui devait être fait. Bon en l’occurrence, cette jeune femme n'avait rien fait, ou presque. Quand on ennuyait un Mikhailov, ici Elizaveta, il valait mieux se retirer. Ce qu'elle n'avait pas compris bien évidemment. Une proie bien trop facile, trop naïve, pas du tout amusante.
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MessageSujet: Re: I could sit her and complain how our mum like Koschei more than me. But I don't really care. My own mother... thought I was a monster... She was right of course, but it still hurt. I could sit her and complain how our mum like Koschei more than me. But I don't really care. My own mother... thought I was a monster... She was right of course, but it still hurt. Empty

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