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Jamais deux sans toi {Calliopée}

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MessageSujet: Jamais deux sans toi {Calliopée} Jamais deux sans toi {Calliopée}  EmptySam 23 Juin - 20:49

Jamais deux sans toi {Calliopée}  94543852 Jamais deux sans toi {Calliopée}  Pels17
Kennedy Kerrigan & William Alex Slayers

    « Des menaces de mort ??? » « Oh non je t’en supplie ne t’y met pas toi aussi sinon j’vais hurler » William éclata de rire en voyant la petite mine suppliante de Kennedy. « Mais tu sais il… » « Fait ça pour ton bien, je sais je sais Javier m’a DEJA sortit ce couplet ! » « Javier ? Le garde du corps ? » « Oui, parce que bien sûr mon cher père n’a rien trouvé de mieux que l’appeler ! » Cette fois William explosa de rire. Il adorait Mr Kerrigan. Il espérait vraiment lui ressemblait quand il serait plus vieux. C’était un homme qu’il respectait énormément et lui semblable beaucoup sur bien des points. C’était d’ailleurs sûrement pour ça qu’il adorait tant sa fille. « Tu t’es fait gronder ? T’a eu la fessée ? » lui demanda-t-il en haussant les sourcils d’un air plein de sous entendu. Kennedy croisa les bras contre son torse et pencha la tête sur le côté, lui adressant un regard qui voulait sans nul doute dire « T’es sérieux là ? » tout en ayant malgré tout un léger sourire amusé aux coins des lèvres. « Arrêter de prendre vos fantasme pour la réalité Mr Slayers, on n’est pas dans un porno ! » « Mr Slayers ???? Tu veux me tuer, j’ai l’impression d’avoir prit quinze ans d’un coup » « Pas en maturité en tout cas » lui dit-elle pour le taquiner. Un serveur vint alors à leurs rencontres. Ils étaient assit sur la terrasse d’un bar à profiter du beau temps. William et Kennedy se connaissaient depuis un petit moment maintenant. A la base ils s’étaient rencontrés parce que leurs pères respectifs travaillaient au F.B.I. S’ils étaient devenu amis par contre c’était parce que William avait fait une connerie et que Kennedy s’était accusé à sa place. Elle savait son père allait lui faire la morale mais elle ne passait pas son temps à rentrait en conflit avec son père. William si. Il s’engueulait suffisamment avec Thomas comme ça. Kenny avait trouvé normal de lui rendre service. Il en avait était reconnaissant et de là était nés leurs amitié. Sans compter que le jeune Slayers malgré ses airs de Don Juan n’avait jamais touché Kennedy et ne la toucherait sûrement jamais. La raison à cela ? Son père ! Mr Kerrigan lui collerait sans doute une balle dans la tête s’il dépucelait sa petite princesse. Alors que William avait hâte que sa bière arrive, la canadienne afficha un air légèrement préoccupé. « Tu la connais ? » demanda-t-elle d’un hochement de tête. Le jeune Slayers se retourna et aperçut alors une fille avec qui il avait déjà couché par le passé. Il soupira légèrement et refit face à Kennedy. « Non du tout » dit-il simplement avec un large sourire hypocrite.« Elle n’a pas l’air contente »
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MessageSujet: Re: Jamais deux sans toi {Calliopée} Jamais deux sans toi {Calliopée}  EmptyDim 24 Juin - 22:14

Jamais deux sans toi {Calliopée}  Tumblr_m60i5lBDW41rzoc52o1_500

    Ce matin là, Calliopé était crevée. En vérité, elle avait travaillé en une semaine au moins 42 heures, et avait du aller à 2 soirées mondaines pour écrire des articles. Autant dire que c'était bien trop pour la petite Blondinette qui avait pour habitude de se coucher tôt en semaine et de sortir le week-end. Si fatiguant, que du coup c'était l'inverse. Elle se couchait à 9h en week-end pour rattraper toutes ces heures de sommeil qu'elle avait raté; mais malheureusement son employeur n'était pas souvent de cet avis. Régulièrement, elle devait ressortir pour assister à une énième soirée ou aller chercher un énième client à l’aéroport. Elle ne se plaignait pas de sa promotion, loin de là; mais aujourd'hui c'était trop pour cette jeune femme de 24 ans qui rêvait d'aller faire la fête, se bourrer la gueule et sortir avec les plus beaux mecs de New York. A la place, c'était des nuits sur l'ordinateur à pondre des articles, et des journées dans des salles de réunion à écouter un redac chef avec une voix assez soporifique.
    Aujourd'hui, c'était donc une journée en mode "off" pour la petite espagnole, qui était affalée devant son canapé, et feuilletait un magazine l'air désinvolte. Malheureusement, elle fut interrompue dans son intention de comater, par son iPhone qui, disposé sur sa commode, vibrait bruyamment. Un juron et deux soupirs plus tard, Cali put lire le message qu'elle avait reçu.« J'attends toujours ton article sur le basketteur ! Dans ma boite mail à midi. Ou sinon ...» . La blondinette ouvrit grand les yeux à la lecture de ces instructions. Elle n'était censé le rendre que lundi ! Elle l'avait à peine commencée, en vérité. Il était ... 10h30. Elle avait donc 1h30 pour pondre un article. Et elle savait bien ce que le "ou sinon ..." voulait dire. C'était ça, ou elle était virée. Cependant, il était hors de question qu'elle reste enfermée chez elle : elle ne supportait plus l'ambiance de son appartement qui, si charmant soit-il, lui rappelait sans cesse qu'elle devait faire du ménage et ranger son salon. Ainsi, en deux minutes, Calliopé se releva, revêtit ses talons compensées, se saisit de son iPad (gentiment offert par son patron pour son travail), de sa veste en cuir et quitta son appartement.

    Elle se rendit à son bar préférée, où elle s'assit et commanda un café, dans le but de se réveiller un peu. Elle sortit son iPad, pour commencer son article; quand elle fut interrompue par une voix qui lui était familière. Tiens, quand on parle du loup. Elle devait écrire un article sur un basketteur ... et bien c'était lui, William. L'homme le plus sexy que Calliopé n'ait jamais rencontré depuis qu'elle était arrivée dans la grande pomme. Le plus gros salopard qu'elle ait jamais vu, aussi. Elle l'avait rencontré dans le cadre de son travail,et de fil en aiguilles, de verres en verres, ils avaient couché ensemble. Chose rare pour Calliopé qui préférait toujours attendre avant de s'offrir un homme. Seulement, le charme de William avait opéré, et elle avait cédé. Bien évidemment, ce coureur de jupon ne l'avait jamais rappelé. Aujourd'hui, cela faisait 2 semaines et Calli était sacrément énervé contre lui. Alors qu'elle offrait un regard noire à la jolie brune qui était avec lui, le jeune homme se retourna, la dévisagea; et regarda son amie en rigolant. C'en était trop pour la blondinette. Sans hésiter, elle se redressa, laissant son café sur la table, et s'empara de son iPad; avant de se diriger avec furie vers la table où le jeune homme s'était assis. Sans aucune gêne, elle s'assit face aux deux jeunes; et lança un regard noir à William. « On s'amuse bien, ça va ?». Elle adressa un sourire hypocrite à la brunette qui la regardait, curieuse et surprise. « Et bien, tu ne me présentes pas à ta copine, William ? »
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MessageSujet: Re: Jamais deux sans toi {Calliopée} Jamais deux sans toi {Calliopée}  EmptyMar 26 Juin - 23:05

Jamais deux sans toi {Calliopée}  Rad968E6

    Kennedy avait décidé de profiter du beau temps pour voir un peu William, un de ses amis. Elle était d’ailleurs une des rares filles à être ami avec lui sans être passé par la case « Aventure d’une nuit. » C’est vrai qu’étant donné le corps de rêve du jeune homme elle n’aurait sans nul doute pas dit non au début, mais maintenant elle le connaissait trop pour ça. De plus il n’avait jamais rien tenté par peur de son père. Ah son père ! Kennedy se disait parfois qu’elle devrait comptabilisait le nombre de garçons qu’il avait fait fuir. C’est vrai qu’en même temps quand on vous demande « Et il fait quoi ton père ? » et que la réponse c’est : « Il bosse au F.B.I. » ça a de quoi refroidir. Surtout quand on rajoute par la suite « et ma mère à la C.I.A » . Forcément du coup on est vite fiché…

    Enfin bref Kennedy voulait voir William pour lui raconter les évènements des derniers jours. Bien évidemment la première chose qu’elle évoqua fut la lettre de menace qu’elle avait reçue. La réaction de William fût immédiate. « Des menaces de mort ??? » . Et voilà ! Elle en était sûre ! Elle aurait mieux fait de ce taire en fait ! Elle leva les yeux au ciel en signe d’agacement, poussa un soupir et regarda le jeune Slayers un brin blasé. « Oh non je t’en supplie ne t’y met pas toi aussi sinon j’vais hurler » William se mit à rire tandis qu’elle afficha une grand sourire crispé, lèvre fermer. Ce n’était pas qu’elle se fichait de cette lettre, au contraire. Elle aussi avait eut peur donc elle préférait qu’on n’en rajoute pas sinon elle allait vraiment finir par paniqué. C’était la première fois qu’elle recevait ce genre de lettre donc elle ne savait pas trop comment réagir. « Mais tu sais il… » « Fait ça pour ton bien, je sais je sais Javier m’a DEJA sortit ce couplet ! » « Javier ? Le garde du corps ? » « Oui, parce que bien sûr mon cher père n’a rien trouvé de mieux que l’appeler ! » William éclata alors de rire. Ça se voyait que ce n’était pas lui qui avait dût essayer de rassuré son père ! Accueillir Javier n’avait été en rien une corvée car il était un ami de la famille Kerrigan et elle l’adorait. Javier était un peu pour elle comme un gros nounours rassurant qu’on serre quand on a peur. Les nounours ont peut faire avec. Par contre on a plus de mal de se dépêtré d’un père trop protecteur…

    Les deux amis se chambrèrent ensuite comme ils en avaient l’habitude jusqu’à ce que Kennedy eu l’étrange impression d’être observer. Elle se rendit alors compte qu’une blonde les regardait. Elle demanda à William s’il la connaissait. Il se retourna pour vérifier et lui répondit. « Non du tout » Kennedy n’y cru pas une seule seconde. Elle connaissait assez William pour savoir qu’il connaissait un nombre impressionnant de fille. De plus le large sourire du jeune Slayers voulait sans contexte dire qu’il fallait en déduire l’inverse de ce qu’il affirmait. Il s’agissait sûrement d’une fille avec qui il avait couché.

    Puis d’un coup sans raison la jeune fille se leva, se dirigea vers eux et s’assit à leurs table. « On s'amuse bien, ça va ?». Surprise, Kennedy ne savait pas si elle devait répondre ou pas. Elle avait l’horrible impression que si la blonde avait eut le pouvoir de lancer du feu avec son regard, elle ne serait déjà plus qu’un petit tas de cendre. Du coup elle regarda William, perplexe, attendant un mot de sa part, quelque chose, un appui qui l’aiderai à savoir comment elle devait réagir. « Et bien, tu ne me présentes pas à ta copine, William ? » Ta copine ??? C’était donc pour ça que la blonde… « Si » Kennedy fût interrompu dans ses réflexions par la main de William se glissant dans la sienne. Elle le regarda interdite, essayant de cacher sa surprise. Elle ne s’était pas DU TOUT attendu à ça ! « Je te présente Kennedy, ma petite amie. » dit-il avec un grand sourire, fier tandis que Kennedy ne savait pas encore si elle allait le tuait ou si elle laisserait son père le faire…
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MessageSujet: Re: Jamais deux sans toi {Calliopée} Jamais deux sans toi {Calliopée}  EmptyMar 26 Juin - 23:39

    Calliopé n'en revenait pas. William était vraiment un personnage en lui-même. C'était une chose de la draguer lors d'un rendez-vous professionnel, de coucher avec elle puis de ne pas la rappeler. Mais, c'était encore plus inadmissible quand on avait une copine. Calli lança ainsi un regard vers la brunette. La pauvre. Elle avait l'air gentille, et douce, mais aussi un peu aguicheuse. Ainsi, c'était sa petite-amie. La blondinette tenta de cacher sa déception, et se contenta de lancer un regard condescendant à sa "rivale". Après tout, elle possédait peut-être le cœur de William, mais Calliopé était sure que c'était la seule chose qu'elle possédait. Cela se voyait comme le nez au milieu de la figure, que son petit-ami était un coureur de jupon, et qu'ils n'avaient rien à faire ensemble. Cette fille avait l'air gentille, attentionné, simple, timide tandis que lui ...
    "Oh, et puis qu'est ce qui me prend ?", se dit Calliopé. Il fallait qu'elle se ressaisisse. Après tout, c'était elle la victime dans l'histoire. Elle n'allait pas plaindre cette pimbêche de seconde zone qui étalait fièrement son bonheur sous les yeux de la blondinette alors que, Calli en était sure, elle savait très bien ce qu'elle pensait de William. Ainsi, elle se redressa, et garda son sourire hypocrite sur le visage. Ce même sourire qu'elle arborait face à son patron quand il lui donnait des tâches ingrates à faire. Ce même sourire qui bernait presque tout le monde. Sans hésiter, elle tendit sa main à sa rivale, et prit un air détaché. Elle savait déjà ce qu'elle allait dire. Si cette fille sortait bien avec William, cela n'allait pas durer longtemps. « Enchanté Kennedy. Je suis Calliopé, son plan cul. »

    Et voilà. Ce n'était pas la réplique du siècle, mais cela avait le mérite d'être clair. Bon ce n'était pas totalement vrai en vérité : elle n'avait couché qu'une seule fois avec William. Mais, elle avait envie de pimenter un peu les choses et de compliquer cette relation ridicule entre Will et cette fille. Comme si de rien n'était, la blondinette interpella un serveur qui passait par là; et le fit s'arrêter. « J'ai bien envie d'un café moi! » Machinalement, Calliopé passa la main dans ses cheveux pour repousser sa mèche; mais s'arrêta dans son geste. C'était inutile puisqu'elle s'était coupé les cheveux. Ainsi, elle fit comme si elle était chez elle, s'appuyant les coudes contre la table, et regardant tour à tour William et cette fameuse Kennedy. Quel prénom moche; se dit la jeune femme. Enfin bref, elle n'était pas là pour ça. « Je suppose que tu es au courant que ton mec est obsédé sexuel, pervers; qui saute sur toute les filles ? Oh, et il a aussi la fâcheuse tendance à ne jamais rappeler les filles qu'il séduit. » Remerciant d'un geste le serveur qui lui apportait son deuxième café, la blonde reprit son petit discours. « Enfin, je suppose que parfois, pour des raisons inconnues, il fait des exceptions pour des filles sans grande beauté ... à croire qu'il n'est pas très logique». Le tout avec un regard condescendant lancé, une fois de plus, sur cette Kennedy et le tour était joué. Si elle n'avait pas compris la provocation, alors elle était vraiment bête. Quoique, elle l'était surement, pour avoir cru pouvoir tenir ce William en laisse. Calliopé s'appuya bien confortablement sur le dossier de sa chaise, son iPad sur les genoux, et sourit aux deux jeunes gens comme si ils étaient des amis proches. Puis, innocentement, elle rajouta: « Et sinon, tu fais quoi dans la vie Kennedy ?». Calli se retint de rajouter "le tapin?" mais elle n'en pensait pas moins. Un sourire hypocrite vers Kennedy, et un regard noir vers William, et le tour était joué.
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MessageSujet: Re: Jamais deux sans toi {Calliopée} Jamais deux sans toi {Calliopée}  EmptyMer 27 Juin - 11:31

    « Enchanté Kennedy. Je suis Calliopé, son plan cul. » Kennedy eut franchement eut envie de rire. Bien évidemment parce qu’elle n’était pas réellement la copine de William, sinon elle aurait réagit autrement. Elle se retenu toutefois et retiens le sourire qui voulait s’affichait sur ses lèvres. Elle essaya de paraitre choquer et surprise. Donc elle avait raison ! Il avait bien couché avec ! Pourquoi devaient-elles toujours être blonde ?! Kennedy ne comprendrait jamais le goût des garçons pour ce genre de filles. Elle ne la jugeait pas, elle ne la connaissait pas mais elle savait que William couchait bien souvent avec des filles qui ne demandaient que ça. Quoiqu’il en soit la situation était gênante. Elle était toujours main dans la main avec William et elle ne savait pas trop si elle devait le soutenir ou non. Lui, semblait être aussi décontracté que d’habitude. « J’aurais pas vraiment dit ça comme ça, plan cul c’est beaucoup trop péjoratif. Tu ne trouve pas ? En plus on l’a fait qu’une fois. » Rajouta-il avec un grand sourire. Kennedy le regarda d’un air semi blasé. Oui bien sur, il fallait qu’il en rajoute ! C’était du William tout craché. Il ne pouvait pas se taire ! Il fallait toujours qu’il dise exactement ce qu’il ne fallait pas, quand il ne fallait pas ! Elle qui pensait pouvoir comptait sur lui pour se débarrassé de la Calliopé, c’était raté ! « Enchantée » dit-elle avec un sourire. Elle ne voyait pas vraiment quoi dire d’autre. A part jouer la fille qui se ficher bien du fait que son copain aille voir ailleurs, elle n’avait pas vraiment d’autre option. William lui revaudrait ça, il avait intérêts ! Kennedy avait espéré qu’en voyant que sa petite révélation ne faisait pas l’effet voulu, Calliopé s’en irai. Mais non ! Elle commanda un café, apparemment bien décidé à rester.

    « Je suppose que tu es au courant que ton mec est obsédé sexuel, pervers; qui saute sur toute les filles ? Oh, et il a aussi la fâcheuse tendance à ne jamais rappeler les filles qu'il séduit. » William ouvrit la bouche pour répliqué mais Kennedy lui lança un regard qui en disait long. Un regard des plus agressif qui voulait sans aucun doute dire : « Si tu l’ouvre je t’arrache les yeux ! » . Connaissant la capacité de défense de son amie – et le métier de ses parents - il referma la bouche. Il valait mieux pour lui qu’il la laisse faire car il n’allait faire qu’aggraver les choses. Limite même sans le faire exprès. Il avait juste un don pour ça. « Je sais. Il manque parfois un peu de civilité. Il aurait dû t’appeler » dit-elle pleine de compassion. Régle n°1, quand quelqu’un est énervé toujours aller dans son sens, lui dire qu’elle a raison. De suite ça calme un peu la situation. De plus Kennedy avait beau être l’ami de William elle comprenait la colère de Calliopé. « Enfin, je suppose que parfois, pour des raisons inconnues, il fait des exceptions pour des filles sans grande beauté ... à croire qu'il n'est pas très logique». Là par contre la blonde aurait dût s’abstenir…

    Des filles sans grande beauté ??? Jusqu’à présent Kennedy avait envie de se mettre du côté de la blonde, n’étant pas du tout d’accord avec les pratiques volages de William. Elle n’avait jamais couché avec un garçon et s’êtes faite jeter le lendemain, mais elle imaginait à quel point ça devait être blessant. Elle avait était à deux doigts d’avouer à la blonde la vérité, le fait qu’elle n’était en rien la petite amie de William. Mais une fille sans GRANDE beauté ??? Kennedy était trop fière pour accepter un tel affront. Elle était vexer et elle comptait bien ne pas laisser passer ça. Elle serra plus fortement la main du jeune Slayers à la plus grande surprise de se dernier. « Et sinon, tu fais quoi dans la vie Kennedy ?» « Je suis chirurgienne et je fais du mannequina le weekend. » dit-elle en souriant. Si William savait mentir, elle aussi ! Pourquoi Chirurgienne et Mannequin ? Chirurgienne parce qu’il n’y a rien de plus agaçant pour une fille de savoir que son ex ne sort pas avec une fille sans cervelle. Hors il fallait faire de nombreuses études et être super intelligente pour faire médecine. Enfin c’était l’avis de Kennedy. Pourquoi Mannequin ? Ça c’était un peu plus évident. Faire du mannequina voulait dire qu’elle plaçait la barre très haut niveau beauté et la blonde aurait la haine en se disant qu’elle ne pourrait sans nul doute pas rivaliser. Ce qui fallait savoir avec Kennedy sait que c’était une fille super sympa. Le truc c’est qu’il ne fallait pas la chercher. C’était comme un petit chaton qui se transformer en une tigresse avec griffe acéré dès qu’on s’attaquer à elle. Hors la conquête de William était bien trop agressive à son égard pour qu’elle ne réagisse pas. La belle Kerrigan avait beau avoir un visage doux laissant penser qu’elle était calme, gentille, adorable, elle avait bien plus de caractère qu’elle n’en donné l’impression. Elle n’était certainement pas juste une gentille potiche adorable ! « Et toi ? » Demanda-t-elle de façon innocente en sachant d’avance qu’elle avait déjà gagné. Quoiqu’il réponde ça ne serait jamais aussi bien que « Je sauve des vies et on m’envie pour ma beauté » . Kennedy 1- Calliopé 0 !
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MessageSujet: Re: Jamais deux sans toi {Calliopée} Jamais deux sans toi {Calliopée}  EmptyVen 29 Juin - 0:06

    Chirurgienne et mannequin ? La première chose qui vint à l'esprit de Calliopé, fut le genre employé pour "chirurgienne". Elle était presque sure que cela ne s'accordait pas et que l'on disait "une chirurgien". Après tout, Dr Montgomery dans Greys Anatomy disait souvent "je suis chirurgien". Ceci prouvait que Kennedy mentait ... mais, elle ne pouvait reprocher à la brunette de mentir. Elle venait tout juste de le faire. Bon, outre les références télévisuelles; la blondinette ne savait trop quoi penser. Mannequin ? Elle ? Elle ne mesurait pas plus d'1m65 et c'était presque sur qu'elle n'avait aucunement les mensurations pour devenir mannequin. Ses jambes ressemblaient à des cuisses de poulets ... quoi que, elles auraient été plus mignonnes si Kennedy n'était pas la petite ami de William. A cette pensée, Calli esquissa une grimace. Les deux sortaient ensemble ... il n'était donc pas libre. Et pire encore, il sortait avec une pimbêche. C'était décidément une situation assez compliquée aux yeux de la blonde qui ne comprenait pas grand chose ... Mais, elle était décidée à ne pas se laisser faire. Elle ne s'était pas assise à cette table, pour se faire humilier. « Hum ... dans la chirurgie plastique, je suppose ? Tu as essayé d'arranger ta tête, et ça n'a pas marché ... cas irrécupérable, hein ? Du coup, tu compenses en refaisant le nez ou la poitrine des gens. Ceci explique surement le fait que tu fasses du mannequinat uniquement le week-end. Il faut un beau visage pour le faire à plein temps. » C'était profondément méchant, et mesquin, mais à ce niveau là, Calli n'avait aucune autre solution. Elle ne voulait pas se laisser faire par une petite arriviste qui croyait détenir le cœur de William alors qu'elle ne possédait en vérité que son lit. De plus, elle avait un article à écrire sur Will; et elle ne voulait pas rendre service à ce Don Juan en lui faisant de la pub gratuitement alors qu'il se payait carrément sa tête ... et celle de cette fille.

    S'enfoncant un peu plus dans son fauteuil, elle lança un regard sois-disant amical à sa petite rivale, et fit grincer sa petite cuillère contre sa tasse de café, d'un air lassé; comme si cette conversation l'ennuyait profondément. En vérité, elle s'amusait beaucoup à descendre Kennedy sur place. Elle qui était de nature gentille et compréhensive, se relevait machiavélique et méchante. C'était surprenant, mais quand il y avait un garçon en jeu, Calli devenait une toute autre personne. C'était d'ailleurs pour ça qu'elle avait attaqué Zoé Hanwell, une fois, dans un bar, parce qu'elle flirtait avec le mec surlequel elle avait flashé.

    Néanmoins, aujourd'hui, elle prenait un malin plaisir à casser le petit rendez-vous amoureux entre William et Kennedy. Cela la détournait du fameux article qu'elle avait à écrire sur William, et de la tonne de ménage qui l'attendait chez elle. Et puis, ça lui prouvait que quelque part, elle pouvait se rebeller et ne pas se laisser faire un énième fois par un garçon. « Moi, je suis journaliste au Times. Je dois d'ailleurs écrire un article sur ton petit ami» Et oui, journaliste au Times, c'était toujours plus classe qu'un basketteur amateur et une "pseudo-chirurgienne" qui faisait du mannequinat pour essayer en vain d'arrondir ses fin de mois. Et s'il était vrai qu'elle n'était que journaliste stagiaire, Kennedy n'avait pas à le savoir. Et puisque William n'était pas au courant de cela, Calliopé pouvait se permettre de mentir à souhaits. Après tout, la faim justifie les moyens, se dit la blondinette en avalant une petite goutte de café resté sur sa cuillère.
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MessageSujet: Re: Jamais deux sans toi {Calliopée} Jamais deux sans toi {Calliopée}  EmptyJeu 5 Juil - 18:56

      « Tu as essayé d'arranger ta tête, et ça n'a pas marché ... cas irrécupérable, hein ? Du coup, tu compenses en refaisant le nez ou la poitrine des gens. Ceci explique surement le fait que tu fasses du mannequinat uniquement le week-end. Il faut un beau visage pour le faire à plein temps. »

      Les mots de Calliopé était si mesquin qu’ils n’atteignirent pas directement le cerveau de Kennedy, comme si ce dernier chercher à la protéger. La blonde eut le temps de dire ce qu’elle faisait comme métier avant que la canadienne ne réagisse. Elle avait le sang chaud. Elle n’était pas espagnol, italienne ou autre mais ça n’empêchez pas qu’elle était du genre passionnée et à réagir au quart de tour. Elle n’en revenait pas de ce que la blonde venait de lui dire !!! Elle s’était regardée ??? C’était plutôt elle qui était refaite, avec la couleur de ses cheveux et la grosseur de ses seins ! « QUOI ??? CHIRURGIE PLASTIQUE ??? » s’emporta la Canadienne qui avait parlé peut-être bien plus fort qu’elle ne l’aurait dût. Tous les regards se tournèrent vers leur table. William adressa un large sourire au gens qui les observait juste avant que Kennedy ne se lève et attrape un verre d’eau, bien décidé à le balancer sur la fille qui lui faisait face. « Hop hop hop repose ça tout de suite » dit William en s’emparant du verre. Elle le vit ensuite jetait un regard à la foule qui avait les yeux river sur eux, très intéressé par ce scandale. Mais Kennedy s’en ficher ! La foule qui les regardait n’avait aucune importance à ses yeux. Ce qui en avait c’était la façon dont Calliopé venait de l’insulter. Elle était bien trop fière pour laisser passer ça et si William n’avait pas prit son verre, elle l’aurait versé sans hésité sur la blonde. « Il faut l’excuser, le soleil tape trop fort » dit-il à la foule. Désormais c’était sur le jeune Slayers qu’était dirigée toute sa colère. Elle lui lança un regard noir, prête à le mordre s’il le fallait pour récupérer son verre d’eau. Mais c’était à William qu’elle faisait ce regard, à ce garçon qui ne se laissait jamais impressionné, elle le savait. « Kennedy, chérie, rassie toi. » Elle ouvrit la bouche pour l’incendier mais avant même qu’un son passe sur ses lèvres, elle comprit. Elle referma la bouche. Il le faisait exprès ! Ingénieux. Il l’avait appelé « chérie » pour qu’elle s’énerve sur lui au lieu de sur Calliopé. Mr préférait bien sûr une dispute de « couple » à un étripage dans les règles. Comme quoi à force, il avait peut-être fini par assimiler le fait qu’elle était dangereuse. Pas mal pour une fille hein ?! Appréciant moyennement le fait qu’il joue ainsi avec lui, elle décida de ce vengé. Oh rien de bien méchant. Juste un petit truc. Il se pencha vers William et déposa un baiser sur ses lèvres. Après tout elle était sensé être sa petite amie. Non ?



Dernière édition par Kennedy Kerrigan le Jeu 5 Juil - 19:53, édité 1 fois
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MessageSujet: Re: Jamais deux sans toi {Calliopée} Jamais deux sans toi {Calliopée}  EmptyJeu 5 Juil - 18:56

    Une chose était certaine Calliopé lui en voulait ! Le pire c’est qu’il ne comprenait même pas pourquoi. Après tout ils faillaient être deux pour faire l’amour. Non ? Il ne l’avait pas forcé. Il ne lui avait rien promis, ni mariage, ni engagement. Alors où était le problème ? Elle se plaignait du fait qu’il ne l’ais pas appeler mais elle ne l’avait appelé non plus ! Et lui n’en faisait pas toute une histoire ! Bon d’accord il ne lui avait donné son numéro, mais ce n’était qu’un détail. Quand on veut on peut ! Si vraiment elle avait voulu le joindre, avoir de ses nouvelles, elle aurait trouvé un moyen. Pourquoi est-ce qu’il était forcément un salaud parce qu’il avait prit du plaisir avec elle ? A ce qu’il sache elle aussi en avait profité. Il ne voyait pas pourquoi tout d’un coup elle se la jouait « victime » comme s’il avait commis le pire des crimes. Ce n’était pas comme s’il l’avait abandonné devant l’hôtel le jour de leur mariage. Il avait eut envie d’elle. Elle avait eut envie de lui. Ils avaient fait l’amour. Où était le mal ? Le pire dans tout ça c’est qu’elle semblait accuser William d’un crime qui n’existait pas tout en s’attaquant à Kennedy et non à lui. Elle en vint même à affirmer que la Canadienne avait fait appel à de la chirurgie Esthétique pour justifier son physique. Ce qui eut pour effet de faire réagit la demoiselle…

    William commença à se demander s’il n’y a pas une épidémie dans l’air qui poussait les filles à se battre. Une espèce de dieu de la discorde qui n’agirait que sur la population féminine. Comment expliquer sinon les comportements de Kennedy et Calliopé ? Sans compté qu’il n’y a pas si longtemps que ça c’était à la dispute d’Elisa et Emma qu’ils avaient assisté. A croire que les filles n’arrivaient jamais à s’entendre ! Où alors était-ce seulement quand il était dans les parages ?! Moais. Au final c’était plaisant de se dire qu’elle se battait pour lui, mais il ne pouvait certainement pas les laisser faire. Il connaissait assez Kennedy pour savoir comment ça allait finir. Aussi quand elle se releva et attrapa un verre d’eau il s’empressa de lui enlever des mains. Bien qu’il n’ait rien contre le fait de voir Calliopé trempé – d’autant plus que son tee-shirt était blanc – il valait mieux éviter. William était en règle général le premier à se faire remarquer, il n’avait jamais rien contre le fait que les regards soit porté sur lui mais là Kennedy allait sérieusement s’attiré des ennuis. Il s’adressa d’abord à la jeune fille puis aux gens qui les observaient pour essayer de les rassurés. Mais ce n’était pas suffisant. Ils étaient dans un lieu public, s’il y avait bagarre le patron pourrait sans problème appelait les flics. Hors les flics c’était les parents de Kennedy et son propre père. Autant dire que William voulait éviter d’en arrivait là ! Aussi il devait à tout prit trouver un truc à dire pour que Kennedy arrête d’avoir envie d’étriper Calliopé. Tant pis si c’était lui qu’elle avait envie de tuer par la suite. « Kennedy, chérie, rassie toi. » Il savait qu’elle lui en voudrait mais il ignorait qu’elle voudrait se venger… Lorsque les lèvres de la Canadienne se posèrent sur les siennes, William déglutit avec difficulté tant il ne s’y était pas attendu. C’était un simple smack mais il resta interdit plusieurs secondes. Jamais il n’avait pensé embrasser un jour Kennedy. D’abord parce qu’ils étaient amis et ensuite – et surtout - parce que le père de la jeune Kerrigan étant hyper protecteur risquer de le tuer. Ah d’accord ! C’était pour ça qu’elle venait de le faire ! Tssss ! Enfin bref, il se ressaisit et se reconcentra comme si de rien n’était sur Calliopé.

    « Ah tu as bientôt fini l’article ? J’trouve que tu a d’la chance d’être journaliste. Vraiment, c’est très sympa comme métier. Tu rencontre des tas de gens, interview souvent des stars ou futurs stars. »
    Dit-il sur un ton admiratif, semblant l’enviait et être très fière d’elle. « Seulement à la place de ton petit copain je serais jaloux. J’aurais peur que tu interview un garçon qui te drague. Oh oui mais c’est vrai, tu n’a pas de petit copain ! » Dit-il avec un air vraiment désolé pour elle. La pauvre. Tous les jours elle devait faire face à une immense solitude. Personne ne voulait d’elle. Elle était seule, abandonné, misérable, faisant presque pitié. Pas étonnant qu’elle soit aussi méchante avec Kennedy. La pauvre, elle n’avait pas assez d’esprit pour plaire à un homme. William compatissait grandement. « Mais il ne faut pas désespérer un jour peut-être tu trouveras l’homme de ta vie. Enfin peut-être…. » Kennedy avait tournait le regard vers William, des petites étoiles dans les yeux. Elle le regardait comme la 8ème merveille du monde visiblement ravis par sa petite comédie. A charge de revanche. S’il y avait une chose que le jeune Slayers ne supportait pas c’est qu’on touche aux personnes auquel il tenait. Calliopé avait fait une grande erreur en s’attaquant à Kennedy. D’autant plus qu’aux jeux des joutes verbales il était toujours le gagnant. Toujours !
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MessageSujet: Re: Jamais deux sans toi {Calliopée} Jamais deux sans toi {Calliopée}  EmptyJeu 12 Juil - 18:30

    Calliopé regarda le petit numéro de Kennedy qui se donnait en spectacle, en souriant. Voilà qu'elle se levait, maintenant, pour tenter de lui balancer son verre. Calli ne se leva même pas, faisant mine de regarder ses ongles; sans bouger d'un centimètre. Elle savait que Kennedy n'irait pas jusqu'au bout. Calliopé, étant espagnole, avait le sang chaud et elle savait reconnaitre quelqu'un qui l'avait vraiment de quelqu'un qui ne l'avait pas. Et il était clair que Kennedy n'avait pas le dos assez large pour s'énerver et s'emporter comme Calli pouvait le faire. C'était même clair comme de l'eau de roche. Ainsi, la blondinette ne bougea pas, riant intérieurement de cette petite comédie. William qui tentait de la retenir, et elle qui cédait. Puis, qui l'embrassait. Calli regarda attentivement l'expression de Will. Il semblait surpris, et venait de déglutir, suite au baiser. Comme si c'était inhabituel. Il resta même statique pendant quelques instants. La blondinette sourit. Elle avait compris. Mais, elle préférait faire semblant, encore un petit peu. Se jouer d'eux comme eux s'étaient visiblement jouer d'elle.
    « Ah tu as bientôt fini l’article ? J’trouve que tu a d’la chance d’être journaliste. Vraiment, c’est très sympa comme métier. Tu rencontre des tas de gens, interview souvent des stars ou futurs stars. » Calliopé ne prit même pas la peine d'esquisse un sourire. Il la flattait pour calmer le jeu, elle savait bien qu'il ne le pensait pas. Puis, elle attendait la réplique sanglante, connaissant un minimum Will. Elle avait été assez bête : plus jamais elle ne se ferait avoir comme cela par un garçon. Ou du moins par William. Parce que, se connaissant, Calliopé savait très bien qu'un de ces quatre, elle allait retomber dans les bras d'un quelconque coureur de jupon. Ainsi, elle se saisit de son iPad, et l'alluma, faisant mine de chercher quelque chose. En vérité, elle venait de mettre l'application solitaire. Cette petite conversation l'amusait profondément, mais en vérité, elle préférait faire semblant de s'ennuyer.
    « Oui, j'interviewe souvent des stars ... et des fois, des basketteurs ratés, si tu vois ce que je veux dire. » , dit-t-elle tout en mettant la Dame sous le Roi. Bim. Il ne croyait quand même pas qu'elle allait se laisser faire comme cela ? Après que Kennedy ait presque tenté de lui lancer un verre à la figure, et surtout après qu'elle et Will se soient amusés à lui faire croire qu'ils étaient ensemble. Et voilà que maintenant, il soulignait le fait qu'elle était célibataire. Bon, certes, Calli avait du mal à trouver chaussure à son pied; mais elle préférait encore rester seule qu'être mal accompagnée. Et puis, il semblait penser qu'elle ne trouverait jamais personne. C'était bien à lui de parler, lui qui couchait avec toutes les filles, qui les rendait même enceinte (d'après ce que Calli avait entendu), et qui s'en fichait éperdument. Ainsi, il se prétendait en couple avec Kennedy, alors qu'il ne l'était pas. Il était plus à plaindre que Calliopé. Au moins, elle n'avait jamais prétendu être avec quelqu'un alors que c'était faux.
    « Ca, je trouverais l'homme de ma vie, j'en suis sure. Je n'aurai pas besoin de l'inventer, ou de faire croire aux gens que c'est Gab par exemple, alors que c'est juste un ami. Je n'aurais pas besoin non plus de me forcer à embrasser quelqu'un pour tenter de rendre jalouse quelqu'un d'autre. Enfin, en résumé je serai avec une personne que j'aime et qui m'aime et pas besoin de faire semblant. Pas besoin d'enchainer les aventures, je serai comblée et comblerai quelqu'un. »

    Et voilà. Un petit sucre dans son café, et Calliopé arborait un grand sourire. Elle était fière d'elle. Elle était peut-être seule, parfois triste et délaissée face à ses amies en couple; mais au moins elle était digne. Elle n'avait pas besoin de prétendre quoi que ce soit pour se rendre intéressante. Non mais pour qui se prenaient-ils, ces deux là ? Faire croire qu'ils étaient en couple. Après réflexion, Calliopé remarqua bien le stratagème. La main de Kennedy que William serrait; était tremblante. Elle semblait mal à l'aise, affichant un faux sourire. Will, en revanche, jouait parfaitement la comédie. La chose qui l'avait trahit ? Le baiser.


Dernière édition par Calliopé R. Evans le Ven 20 Juil - 16:31, édité 1 fois
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MessageSujet: Re: Jamais deux sans toi {Calliopée} Jamais deux sans toi {Calliopée}  EmptySam 14 Juil - 11:47

    William n’écouta que trente pourcent que ce que Calliopé venait de dire. La seule chose qu’il retenu c’était sa façon d’essayait de garder bonne figure malgré le fait qu’il était évident que c’était lui en position de force et non elle. Elle avait beau resté calme et essayait de rattraper les pots casser, ses mots n’avait pas autant d’impact sur lui, que les siens en avait eut sur elle. Quand le silence retomba, William appuya sa main avec force sur son cœur en prononçant un « Oooouch » bruyant, comme s’il venait de ressentir une puissante douleur à cet endroit. « Oooooh… Tu viens de me briser le cœur. Je pense que je ne m’en remettrais absolument jamais. Jamais ! J’vais pleurais tout les larmes de mon corps. » Dit-il avec ironie prenant un air faussement blessé, baissant les yeux avant de hausser la tête et de regarde Calliopé. « Je t’offre un verre ? » demanda-t-il fier de lui avec un large sourire. Mais si William n’était pas prêt à pété un plomg et se fichait bien de ce que la blonde pouvait dire, ce n’était pas le cas de Kennedy qui n’en pouvait plus. Elle lâcha alors la main du jeune Slayers et se releva. « Ça suffit ! Tout ça est ridicule ! Je ne sors pas avec William, on est juste ami. Et je le répète et le pense, il aurait dût t’appeler » dit-elle a Calliopé semblant sincèrement désolé, avant de s’adresser à William. « Tu aurais dût l’appeler ! » lui dit-elle sur un ton moralisateur, se retenant de le traiter de crétin. « On se voit plus tard. » Il était temps pour elle de s’en aller. Les deux amants avaient besoin de se retrouver seul à seul, et si l’un ou l’autre était contre l’idée il pourrait toujours partir.

    William poussa un soupir, espérant qu’il n’avait pas contrarié Kennedy. Il n’avait pas du tout eut l’intention de la mettre dans la merde et il ne voulait pas la blesser. Si Calliopé s’en était prit à elle c’était à cause de lui et ça lui faisait un peu chier. Arrêtant d’afficher ses grand sourire ou ses airs sarcastique, il s’expliqua alors honnêtement « J’ignorais qu’tu voulais que je t’appelle. Vraiment. Des tas de filles me donne leurs numéro par principe, mais bien souvent ils sont faux ou elles n’ont pas vraiment envie que je les rappelle. Elles le font pour se donner bonne conscience, pour se faire croire à elle-même que ce n’était pas que du sexe. » Ce qu’il venait de lui dire c’était la pure vérité. William la savait, les filles aimaient bien l’avoir dans leurs lits mais ça s’arrêtait là. Il n’avait eut qu’une seule petite amie dans sa vie et elle l’avait abandonné sans même lui donner une réelle explication. Il était beau gosse mais ce n’était pas suffisant pour qu’on tombe amoureux de lui. Ça lui allait. Il ne s’en plaignait pas. C’était comme ça. Certaine personne ne sont pas faite pour être aimer…
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MessageSujet: Re: Jamais deux sans toi {Calliopée} Jamais deux sans toi {Calliopée}  EmptyJeu 19 Juil - 17:37

    Calliopé arqua un sourcil. Voilà que William jouait dans l'ironie, maintenant. Et bien, tant pis. La blondinette en avait assez de ce petit jeu ridicule; pourtant elle n'avait pas du tout l'intention de céder. Elle ne céderai pas, William non plus. La seule personne qui restait était cette Kennedy. Et Calli savait que ce n'était qu'une question de temps. Ainsi, elle montra à Will sa tasse de café, lorsqu'il lui proposa ironiquement un verre. Elle ne buvait jamais en journée. Elle s'apprêtait à lancer une réplique sanglante à l'égard du jeune homme, mais elle fut interrompue par Kennedy, qui avait l'air de craquer. Et voilà qu'elle avouait le pot-aux-roses. Ils n'étaient pas en couple, ne l'avaient jamais été, et vu la colère de la jeune femme, ne le seraient probablement jamais. Calli avait un énorme sourire sur les lèvres, admirant Kennedy qui, à présent debout, parlait d'un ton moralisateur à William, qui avait perdu son si beau sourire. "Tu aurais du l'appeler". Hum... soudainement, cette brunette remontait dans l'estime de Calliopé : si elles étaient enfin d'accord sur un point, c'était que Will était un crétin qui ne comprenaient décidement rien aux femmes. " Merci Kennedy, je vois que je ne suis pas la seule personne présente ici à faire preuve de bon sens. Et désolée pour la ... " Calli 'neut pas le temps de finir sa phrase que Kennedy s'était déjà évaporé. Bon, c'était pas lus mal, parce que la blondinette détestait s'excuser; et dieu merci elle n'avait pas à le faire, Kennedy lui enlevait donc une épine du pied. Et oui, les blagues sorties sur sa sois disant chirurgie esthétique et sur son visage à refaire étaient mesquines et méchantes; et Calliopé aurait du s'excuser. Heureusement que Kennedy ne lui en avait pas donné le temps. Cela lui épargnait un méa-culpa inutile.

    « J’ignorais qu’tu voulais que je t’appelle. Vraiment. Des tas de filles me donne leurs numéro par principe, mais bien souvent ils sont faux ou elles n’ont pas vraiment envie que je les rappelle. Elles le font pour se donner bonne conscience, pour se faire croire à elle-même que ce n’était pas que du sexe. » Calliopé ouvra sa bouche, formant un gros O. Voilà que Will arrêtait enfin d'être sarcastique et parlait sérieusement. Elle ne pensait pas que cela arriverait un jour. Cependant, elle fit bonne figure, et garda son sourire satisfait et méprisant sur le visage. Elle ne voulait pas lui donner l'occasion de voir qu'il l'avait vexé. Cependant, au fur et à mesure qu'il parlait, Calli dut admettre que ce jeu ne pouvait plus durer. Les petits accrochages, les pics et les insultes devaient cesser. Ils parlaient sérieusement, à présent. Et c'était l'occasion pour la blondinette d'enfin dire ce qu'elle avait sur le coeur. " Tu ne comprends pas ... ce n'est pas le fait que tu ne m'ait pas rappelé qui me vexe le plus. C'est juste que ... tu m'as utilisé pour que le Times publie mon article. Tu voulais juste faire ta pub ! Contrairement à toi, je ne couche pas à droite ou à gauche pour assouvir certains désirs ... c'est juste qu'une fois c'est arrivé, voilà. Et maintenant, j'ai vraiment l'impression d'avoir été utilisée comme bout de viande, qui éventuellement pouvait faire booster ta carrière grace à un article. Si tu m'avais au moins respecté, aujourd'hui je n'aurais pas à eu à faire ce petit numéro ridicule et humiliant devant ton amie ! Mais, tu m'as juste utilisée puis jetée après. Enfin, je suppose que tu n'en es pas à ton premier essai et que je ne suis pas la première victime de ta libido grandissante." Et voilà, c'était dit. Calli s'attendait à entendre le rire de Will d'une minute à l'autre. Il allait se moquer, bien évidemment. Sans plus attendre, la blondinette fouilla dans son sac, et se saisit de son paquet de Marlboro. Il ne lui en restait qu'une, mais tant pis. Actuellement, elle avait juste besoin de décompresser. D'un geste désinvolte, elle s'alluma sa cigarette et tourna la tête. Elle ne voulait pas que Will voit ses joues roses.
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MessageSujet: Re: Jamais deux sans toi {Calliopée} Jamais deux sans toi {Calliopée}  EmptyDim 22 Juil - 13:22

      Il écouta Calliopé vider son sac et l’idée de se moquer d’elle ne lui vint même pas à l’esprit. Il avait énervé Kennedy et de ce fait avait bien compris que sur le coup il valait mieux pour lui d’être un peu sérieux. La blonde pouvait se sentir honoré car c’était rare pour lui, surtout quand il était avec des filles, d’autant plus une fille avec laquelle il avait couché. Calliopé semblait bien remonté contre lui et sentit la nécessité de s’allumer une clope pour calmer ses nerfs. Elle n’osait même plus le regardait. « Ecoute… Il a probablement une chance sur un million que tu me crois pas parce pour toi c’est sûr et certain que je ne suis qu’un connard sans cœur mais… je ne t’ai pas utilisé. Julie… » Il se tût réalisant qu’il n’était pas certain qu’elle s’appelait Julie. Il eut un léger sourire comme pour s’excuser, puis reprit. « Oui j’avoue je ne me rappelle pas du tout de ton prénom et pour toi ça ne fait que confirmer ce que tu pensais déjà, que je suis un connard. Ok pense le, y’a pas de soucis. Mais sache que je ne me suis pas du tout servit de toi. Je te le jure. Tu es une fille super sexy. On discutait, tu m’a plus physiquement et j’ai cru que c’était clair, qu’on voulait la même chose. Un truc sans engagement. J’me suis trompé. Je l’admets. Mais La dernière chose que j’veux en couchant avec une fille c’est lui briser le cœur. »

      C’était vrai. Comment pouvait-il vouloir être un briseur de cœur quand il savait le mal que cela faisait ? De nos jours il y avait tant de filles qui s’assumaient sexuellement parlant et qui ne recherchait que l’histoire d’une nuit qu’il n’aurait jamais penser que Calliopé voulait autre chose. Parce qu’après tout est-ce qu’elle lui avait dit ? Avant de se retrouvait dans ses draps lui avait-elle honnêtement dit qu’elle était contre les coups d’une nuit ? Non ! C’était elle qui l’avait induit en erreur, pas lui qui s’était joué d’elle…
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MessageSujet: Re: Jamais deux sans toi {Calliopée} Jamais deux sans toi {Calliopée}  EmptyMer 25 Juil - 15:21

    C'était le pompom, là. La cerise sur le gateau. Elle s'était présenté il y a 5 minutes auprès de Kennedy, disant bien qu'elle s'appellait Calliopé. De plus, elle allait signer un article au NY Times qui bousterait probablement la carrière de William. Comment pouvait-il oublier son prénom ? Ou alors le faisait-il exprès ? Oui, c'était surement ça. Il voulait l'humilier encore plus. A cette pensée, Calli se sentit encore plus rougir. Elle n'avait qu'une envie, c'était de le frapper. Seulement, pour commencer, elle n'aurait aucune chance, vu sa musculature, de ne serait-ce lui casser un ongle. Et deuxièmement, si son patron apprenait qu'elle avait frappé le sujet de son projet article, elle allait avoir d'énormes problèmes. Ainsi, elle serra son poing gauche, tentant de se contenir, fumant sa cigarette. Elle resta même silencieuse quelques minutes, ne sachant que dire. Après tout, quoi ? Elle ne pouvait plus trop se défendre. William se jouait clairement d'elle, souhaitant la faire monter sur ses grands chevaux. Elle n'allait pas lui donner ce plaisir. Ainsi, elle finit sa cigarette, et envoya le mégot d'une pichenette. Celui-ci passa à un cm de la tête de William qui dut se pencher pour éviter d'être brulé. Dommage, elle aurait bien aimé lui faire mal. " Je m'appelle Calliopé. Mais tu es censé le savoir puisque je me suis présenté à ton amie Kennedy il y a de ça 10 minutes. Alors, si tu voulais te foutre de moi une fois de plus, je te félicite. "
    Calli reprit son souffle, et regarda le jeune homme droit dans les yeux. Elle reconnaissait bien cette arrogance et cette sureté qu'il émanait. Il était bien trop sure de lui. Quelqu'un devait changer ça. " Et je t'arrête. Tu ne m'as pas brisé le cœur du tout. Pour cela, tu devrais compter pour moi, ce qui n'est pas le cas. Tu m'as juste vexé, mais je pense que je m'en remettrais. Tu voulais le beurre et l'argent du beurre. L'article pour booster ta carrière, et mon corps pour satisfaire le reste. Félicitations, tu as eu ce que tu voulais. Et puis, tu ne veux pas vexer les filles, mais regarde ce que tu as obtenu aujourd'hui. Tu as vexé ton amie, et celle qui devait donner un nouveau tournant à ta carrière. Le moins qu'on puisse dire, c'est que tu as le don pour te mettre dans des situations compliquées. " Finalement, en y pensant, la situation était plutôt humoristique. Calliopé allait booster sa propre carrière grâce à l'article, et en plus elle avait réussi à provoquer une dispute entre William et Kennedy. Que demande le peuple ? Sans hésiter, elle se saisit de son sac, de son iPad; et se redressa, dans le but de partir. Elle ne souhaitait pas rester une minute de plus avec ce goujat manipulateur et menteur qui ne comprenait rien aux femmes. " Sur ce, tu m'as fait gaspillé assez de mon temps. Au revoir !"
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