|  Sujet: It's time for payback | Easton Jeu 14 Juin - 19:52 | |
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 Si il y a bien une chose qui n’a pas changé entre l’ancienne Elisa et la nouvelle c’est bien son côté rancunière. Lorsque l’on s’attaque à la jeune femme et qu’on la clash, elle répond et avec la blonde, la réponse est toujours bien plus forte que la première attaque, au final lorsqu’il y a du répondant en face, la confrontation ne fait que monter en puissance ce qui peut se révéler parfois assez intéressant. Avec Easton, ce beau blond qui a un caractère de chien, c’est exactement ce qu’il se passe. Les deux jeunes gens sont comme chien et chat, ils se cherchent continuellement et se trouvent bien sûr. Il ne sert à rien de se demander jusqu’où la confrontation peut aller puisque pour le moment tous les deux sont bien loin de leur limite, il y a encore beaucoup de marge avant de cette confrontation s’arrête. D’autant plus, que cette fois c’est à la miss Hanwell, l’anglaise au sang chaud de répondre. La dernière fois qu’ils se sont vus, c’était avant la naissance d’Ivy-Blue, Easton a pris un malin plaisir à clasher Elisa devant toute sa bande d’amis se sentant très fort et faisant son kéké, ce que la blonde a bien sur en horreur. L’assistante dans un magazine de mode s’est laissée faire en se mordant la lèvre se disant qu’elle lui rendrait la pareille dans une situation assez similaire mais en faisant pire que ce que lui avait pu faire, elle s’était donc éloignée de sa table pour retourner avec ses amies et n’avait plus fait attention à lui-même si il avait tout fait pour attirer son attention. Il avait pensé qu’il avait toutes les cartes en mains, qu’il avait le dessus sur elle, il se trompait et il n’avait pas l’air de clairement mesurer qui il avait en face de lui mais il le saurait bientôt. D’ailleurs la revanche était peut être arrivée plus tôt que prévu. En rentrant dans ce bar bronché du bronx avec ses amies et amis, Elisa avait de suite repéré le jeune homme qui était au bar et un petit sourire s’était dessiné naturellement sur ses lèvres. Cette fois, c’était elle qui allait jouer et le jeu allait être drôle surtout que lui ne l’avait pas encore vu. Un serveur vint vers leur table pour prendre leur commande, après que tout le monde ait demandé ce qu’il voulait, Elisa se mit en action. Elle prit le serveur à part toujours sans qu’Easton ne l’ait vu et lui demanda une petite faveur. Elle fit passer le jeune homme pour un ami à qui elle voulait faire une petite blague et le serveur joua le jeu. Elle lui demanda de lui concocter un cocktail infâme avec des alcools forts, des trucs écœurants ne se mariant pas du tout en lui disant bien sûr que c’était elle qui payait la note mais bien sur il devait lui faire croire que s’était la maison qui lui offrait le cocktail jusqu’à ce qu’il le goute car autrement elle savait bien qu’il ne toucherait pas à son verre. Un petit clin d’œil au jeune serveur et le tour était joué. De sa place elle pouvait voir toute la scène et commençait déjà à rigoler. Elle fut enchantée de voir que le cocktail faisait plaisir au jeune homme et elle fut encore plus enchantée lorsqu’elle le vit boire une grande gorgée du mélange. Bien sur un éclat de rire suivit cette action puisque le jeune homme n’en avala qu’un petit peu et recracha tout le reste. Le serveur avait bien joué son jeu et avant même qu’il ne puisse lui dire quelque chose le beau blond se mit à courir en direction des toilettes. Au passage il ne put que voir Elisa morte de rire dans son coin et il lui lança un regard noir. Après plusieurs minutes dans les toilettes, ne le voyant pas revenir la blondinette s’y dirigea histoire de remuer le couteau dans la plaie et bien lui faire comprendre qu’elle était à l’origine de la petite blague. Elle regarda en bas de toutes les portes pour voir où était le jeune homme et lorsqu’elle le trouva elle se colla à la porte et lança une petite vanne qui allait surement l’énerver encore plus qu’il ne devait l’être mais bon encore fallait il qu’il ne soit pas trop malade pour être en état de lui répondre. « Alors mon petit cocktail de l’amitié était il bon ? Si c’est ça que tu es en train de vomir autant te dire que tu me déçois ! » La provocation, elle jouait à fond dans ce sens.
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