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All I knew this morning when I woke is I know something now, know something now I didn't before....

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MessageSujet: All I knew this morning when I woke is I know something now, know something now I didn't before.... All I knew this morning when I woke is I know something now, know something now I didn't before.... EmptyVen 7 Déc - 4:04


omg désolé ! Mais c'est juste à cause de Fee -> plus jamais aussi long promis.

Rosalie était punie. Vraiment. Elle était revenue du Maroc il y avait déjà trois jours et elle n’avait toujours pas revu son appartement. Ses parents s’étaient transformés en vrais tyrans. Elle avait beau leur répéter qu’elle était une adulte et qu’elle pouvait faire ce qu’elle voulait depuis longtemps déjà, mais ça servait à rien. La poigner de porte avant plus de chance de comprendre. Ils étaient venus la chercher à l’aéroport et l’avaient trainé dans la maison familiale. Depuis, elle avait à peine le droit de sortir (pour aller travailler, en autre.), jamais trop longtemps, et se récoltait des tonnes de sermons sur les responsabilités, etc. etc. etc. C’était n’importe quoi et le pire c’est qu’elle ne pouvait même pas se défendre, elle avait beau avoir ses raisons pour les ‘vacances ’ improvisées des dernières semaines, elle préférait mourir que de les partager avec son père et sa mère. Dans le cas contraire, elle était sûre que les menaces de se faire enfermer à clefs dans sa chambre allaient se changer en réalité.

Mais vraiment, ce soir, sa mère s’était dépassée. Elle l’avait sortie du lit dès le matin, vers 10hrs (presque à l’aube quoi !) et l’avait amené faire du shopping expresse. Sans qu’elle ait le droit de dire quoi que se soit, sa mère lui avait acheté une robe de soirée qui ne classait pas trop avec son bronzage encore frais et lui avait annoncer que ce soir, elle l’accompagnerait à une soirée-bénéfice. La blonde ne l’avait pas trop crue au départ. Elle connaissait sa mère et elle savait qu’elle détestait presque autant – sinon plus – les soirées mondaine qu’elle. Elle avait été certaine qu’elle ne mettrait pas sa menace à profusion. Enfin, apparemment, c’était sans compter l’envie de faire souffrir sa cadette. Car il était 7 heures, un vendredi soir, et Rosalie se tenait au côté de sa traitresse de mère dans une salle richement décorer de l’upper east side. Elle ne comprenait pas encore qu’est-ce qu’elle faisait là, elle se contentait de rester quelques pas derrière Felicity et la foudroyer de regard dans son dos, les bras croisés sur sa poitrine. Si sa mère voulait jouer de la sorte, elle allait jouer elle aussi et se conduire comme une gamine. Tout le monde semblait croire qu’elle n’était que ça de toute façon. « Rosalie, arrête de bouder, vient que je te présente à … eux. » L’Anglaise eut un sourire aux coins. Peu importe combien sa mère lui en voulait en ce moment, elle n’était pas capable de cacher son manque d’intérêt pour la vie de socialités. « Non. » « Rosalie ! » Elle leva les yeux aux ciels, décroisa les bras et s’approcha du couple d’inconnues devant elles. Sans se soucier d’eux, elle se tourna vers la tête de mule qui lui servait de mère et commença à se plaindre, avec sa voix d’enfant. « Je m’ennuie, j’ai mal au pied, on est là depuis longtemps, je suis certaine que le repas ne sera même pas bon, on peut rentrer, je serais sage promis… » « Sshhht. Si tu continues, je m’arrange pour te faire réciter un discours plus tard. » Cette femme était un démon. « Mamaaaaaa !! » Rosalie frappa son pied au sol et recroisa ses bras. « J’ai vingt-deux ans, je peux partir si je veux de toute manière. » « Rosalie Felicity Lena Melody-Lily De La Vega, si tu sors de cette pièce, j’envoie la police te chercher et tu devras t’arranger avec ton père pour qu’il ait te chercher au poste. Demande à ta tante Ambre, je lui ai déjà fait le coup. Si tu ne veux pas être présenté comme une jeune femme civilisée, va te mêler à la foule, mais arrête d’agir comme un bébé. » La blonde serra les poings et tira la langue avant de tourner les talons et avancer dans la salle. Elle aurait pu partir, mais quelques choses dans le ton de sa mère lui disaient qu’elle ne plaisantait pas. Un peu comme la fois, où elle avait failli être renvoyé d’Harvard et sa mère l’avait menacer de l’envoyer dans une école pour jeunes femmes arriéré qui apprenait à leurs pupilles à coudre et cuisiner pour leurs maris.

Elle se mit donc à faire le tour de la salle non-achalement. Elle espérait seulement ne pas tomber sur un des hommes que Maddie avait escroqués, et qu’elle avait un peu aidés… Elle était certaine que ce genre de scène lui réservait le restant de ses jours dans un couvant. Au bout d’un moment, il n’y avait plus rien à voir. Elle se trouva bien vite un verre de champagne et le cala d’un coup sec avant de se laisser tomber sur une des chaises les plus proches. Elle aurait pu se trouver quelqu’un dans la foule et danser, ça faisait bien moins triste qu’une pauvre fille seule. Mais bon, vu le calibre des gens devant elle… Elle finirait surement par lancer son cavalier par-dessus le balcon… Pour ça aussi elle risquerait d’être punie. Puis, elle était certaine que sa mère ne tiendrait pas longtemps. Elle avait beau apprécier la cause (recherche pour les greffes d’organes) et vouloir se venger des inquiétudes que Rosalie lui avait données pendant des semaines, elle détestait beaucoup trop les soirées dans le genre pour rester jusqu’au bout.

Son regard finit par tomber sur un couple au bout de la salle. La femme lui faisait face et elle pouvait voir que le dos de l’homme, mais quelque chose attira son attention. Déjà, même en voyant que le dos de sa tête, elle pouvait deviner qu’il était beaucoup plus jeune que la femme… Et de la manière donc, elle bougeait, elle pouvait clairement voir qu’elle ne parlait pas à son fils… Rosalie se mit à détailler l’étranger et quelque chose en elle se figea. Elle n’avait pas besoin qu’il se retourne, elle était certaine qu’elle venait de reconnaitre Luis à l’autre bout de la pièce. Elle se leva de son siège et chercha sa mère du regard. Elle devait vraiment partir maintenant. Elle n’avait pas vu Luis depuis…. Longtemps. Un tas de circonstances avait fait qu’elle n’avait pas pu l’appeler avant de partir et depuis qu’elle était rentrée… Enfin, avec ses parents sur son dos, c’était tout simplement impossible. Elle avait seulement besoin d’un jour ou deux et elle règlerais tout ça, aujourd’hui n’était définitivement pas le moment….. Mais maintenant qu’elle savait qu’il était là, une partie d’elle voulait aller lui parler et son regard finissait toujours par se reposer sur sa silhouette. Si bien qu’il finit par se retourner… Prise de cours, elle fit tout simplement un léger signe de main et détourna le regard vite fait. Elle ne pouvait définitivement pas imaginer pire comme situation présentement.
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MessageSujet: Re: All I knew this morning when I woke is I know something now, know something now I didn't before.... All I knew this morning when I woke is I know something now, know something now I didn't before.... EmptyJeu 13 Déc - 22:49

Diego était là comme escort, en général, la première fois qu'une cliente l'engageait pour une soirée, c'était dans ce rôle-là, plus elle le voyait, et plus elle osait en demander. Cela dit, ce soir, dans cette soirée caritative, il était presque sûr que la bonne femme allait finir par le payer pour avoir "plus", il suffisait qu'il la voit mordiller sa lèvre inférieur pour savoir qu'il lui plaisait et qu'elle le voulait comme "homme-objet", tant qu'il pouvait gagner plus, Luis ne s'en formalisait que très peu, c'était son boulot après tout. Alors le chilien charmait la femme, l'effleurant du bout des doigts histoire de la faire céder, il était si simple d'obtenir ce qu'il voulait d'une femme de plus de quarante ans riche et veuve depuis peu. C'était comme si elles retombaient dans l'adolescence et redécouvraient les joies de la drague et du sexe. Luis eut une pensée pour Raine à un moment donné, il allait devoir sonner à la baby-sitter afin de lui demander une heure supplémentaire si les choses se passaient comme prévu. Elle allait râler mais il la payait de façon assez avantageuse. Tellement qu'il avait augmenté son propre tarif afin de pouvoir la payer de façon généreuse. Raine allait râler, elle préférait quand c'était son oncle qui lui lisait l'histoire du soir. Sans doute parce qu'il passait de l'anglais à l'espagnol sans arrêt, c'était presque plus fort que lui et ça amusait toujours grandement la petite qui le corrigeait du mieux qu'elle pouvait.

Cela dit, plus la soirée avançait, plus la femme l'ennuyait et il devait se retenir de bailler lorsqu'elle lui évoqua pour la quatrième fois la même histoire... patience est mère de fortune... il avait du mal à ne pas finir par... décrocher... et son esprit allait vraiment très loin, il réfléchissait au repas qu'il allait préparer à la petite demain pour son diner à la garderie. Il devait aussi lui acheter de nouvelles botines et des vêtement un peu plus chaud. Perdu dans ses pensées, il regardait la bonne femme le regard vide mais avec un sourire. Cela dit, il avait cette impression étrange qu'on l'observait et prit d'un léger malaise, il finit par scruter légèrement la salle tentant de voir qui le fixait de la sorte. Il ne fut pas long à repérer la jeune femme qui le regardait et il cligna plusieurs fois des yeux surpris de la voir ... elle lui fit un léger signe de main et il répondit d'un hochement de tête. Classe. Il grogna. Il aurait pu mieux faire mais il était un peu pris au dépourvu... mais bon, comme Rosalie se détourna de lui, il supposait que c'était la même chose pour la blonde. Il tenta de reprendre pied avec la réalité et raccrocher aux paroles soporifiques de la femme, mais maintenant que son cerveau avait enregistré que la blonde était là, ses pensées se tournaient vers elle. ça faisait encore un mois qu'il ne l'avait plus vue... il allait vraiment falloir remédier à cette... "chose" qui les maintenait toujours trop éloigné l'un de l'autre. Finalement poussé à cran, il eut un sourire légèrement nerveux et finit par couper la femme. « Pardon excusez-moi de vous interrompre, mais est-ce que vous avez soif ? » demanda-t-il le plus poliment possible. La blonde ouvrit la bouche de façon surprise, ne s'attendant sans doute pas à être coupée de la sorte. Elle eut un petit froncement de sourcil. « Heu... si si... » avoua-t-elle et le chilien en profita aussi tôt pour s'échapper quelques minutes. « Je vais régler ce soucis alors ! » dit-il avant de tourner les talons et partir à la rencontre de la blonde. Il s'approcha nerveusement d'elle. « Hey » lança-t-il calmement à une certaine distance. Il était à une autre pour encore quelques temps et ça l'empêchait de trop s'approcher de Rosalie, ça ne serait pas professionnel. Surtout après ce qu'il venait de faire qui n'était absolument pas dans ses habitudes... « Je... enfin... tu fais quoi ici ? » finit-il par dire, il avait commencé une phrase où il voulait s'excuser avant de changer d'avis parce que dans le fond, il n'avait pas à se sentir coupable de quoique se soit, non ?
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MessageSujet: Re: All I knew this morning when I woke is I know something now, know something now I didn't before.... All I knew this morning when I woke is I know something now, know something now I didn't before.... EmptyDim 16 Déc - 5:43

Rosalie cherchait toujours désespérément sa mère du regard. Mais elle ne pouvait pas la voir nulle part. Elle pesta entre ses dents, de toutes les soirées, il fallait évidement que sa tombe sur celle-là. Elle n’osait plus se retourner du coup. Elle avait juste besoin de sortir d’ici, tant pis si sa mère appelait la police, ça serais surement moins pénible que ça maintenant. Elle ne savait pas pourquoi elle était autant mal à l’aise, ce n’était pas comme si elle et Luis se voyaient très régulièrement… Ils faisaient souvent passé des semaines, voir un mois avant de se revoir, comme ça, presque par hasard… Enfin… Depuis qu’elle avait passé trois jours chez lui, ils avaient commencé à se voir plus régulièrement ici et là… Enfin, jusqu’au contre temps. Elle avait voulu le mettre au courant, évidemment. Elle c’était dit qu’après, elle lui passerait un coup de téléphone et sa serais tout. Mais l’opération avait joué avec sa tête, plus qu’elle avait vraiment prévue et elle s’était forcé à prendre du recul à ce moment là. S’envoler au Maroc et puis tout ça… Elle avait des excuses tout préparer déjà, mais pour une raison ou pour une autre, elle ne pouvait pas se rappeler d'aucunes d’elle en ce moment. « Hey » Rosalie déglutit légèrement et se tourna vers Luis en souriant. Il gardait ses distances, évidemment. Et elle pouvait se sentir surveiller à son tour, elle n’avait même pas besoin de lever la tête pour voir que la femme, sa cliente sans aucun doute, les fixait du regard. « Hey » Un serveur passa près d’eux et l’Anglaise en profite pour attraper une deuxième coupe de champagne qu’elle calla aussi rapidement. Elle tenta d’ouvrir la bouche pour parler, mais Luis la devança. « Je... enfin... tu fais quoi ici ? » « Oh je.. » Elle pencha la tête de côté et ne pus s’empêcher d’avoir un léger rictus. « On m’a forcée en fait. » Sa se disais beaucoup mieux que ‘ma mère essaye de me punir’, ‘je suis grondée’ etc. Sa famille était tarée, mais ce n’était pas une raison pour que tout le monde le sache. Elle aurait pu renvoyer la question, mais elle n’avait pas non plus besoin qu’on lui fasse un dessin. « Tu passes une bonne soirée ? » Elle fit un mouvement discret vers la femme qui attendait toujours dans son coin. Elle ne savait pas vraiment quoi dire dans ce genre de situation en fait. Elle n’avait aucun problème avec le métier de Luis, loin de là, mais bon, ce n’était pas une situation à laque elle était habituée, loin de là. Elle regarda par-dessus son épaule rapidement, toujours à la recherche de sa mère. Elle n’avait pas envie qu’elle se ramène là maintenant. Felicity n’était pas assez cruelle pour venir l’humilier en public, mais elle savait que si sa mère la surprenait avoir une conversation avec un homme au physique tel que Luis, elle n’allait pas finir a en entendre parler. Et ce n’était pas quelque chose qu’elle avait envie de vivre non plus. « Je ne voulais pas te déranger, je sais que tu es .. Occupé… Mais je dois te parler d’un truc, enfin… Une autre fois, je suppose. » Elle continua de sourire gentiment, sans trop y mettre de cœur et fit même un pas en avant. Elle aurait habituellement eu le réflexe de l’embrasser et tourner les talons pour partir, mais elle se figea au dernier moment, se rappelant qu’il était observé et que ce n’était vraiment pas le moment. Elle se remit à sa place, un peu embarrassée. « Enfin, à plus tard je suppose… »
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MessageSujet: Re: All I knew this morning when I woke is I know something now, know something now I didn't before.... All I knew this morning when I woke is I know something now, know something now I didn't before.... EmptyLun 17 Déc - 17:02

C'était étrange, Luis se sentait quelque peu coincé, il ne savait pas sur quel pied danser ou comment agir, il ne savait pas non plus quoi dire alors il disait des choses bateaux, des choses que deux parfaits inconnus auraient pu se dire, alors que Rosalie et lui n'était plus vraiment des inconnus... cela dit, cet endroit, avec ces gens... ce n'était pas leur bulle, cet environnement et ces regards posés sur eux les empêchaient d'être... proches comme ils en avaient pris l'habitude récemment. Il se passa la main dans les cheveux « Hey » visiblement, il n'était pas le seul un peu mal à l'aise de cette rencontre inoportune. Il aurait dû se douter que ça arriverait un jour... elle lui avait avoué il y a des mois que sa famille et elle étaient très riches... c'était le genre d'endroit où les gens avec de l'argent traînait... sauf qu'avec le temps, il avait juste oublié ce fait et voilà que désormais, il était rattrapé par cet oubli. Il se râcla la gorge pour reprendre une certaine contenance avant de se remettre à parler pour lui demander comment se passait sa soirée. « Oh je.. On m’a forcée en fait. » il haussa un sourcil et sentit un sourire étirer le coin de ses lèvres. « Vraiment ? Quelqu'un à ce pouvoir sur toi ? » demanda Luis le ton plus léger et amusé pour la peine. Rosalie était une femme forte et du genre indépendante, jamais il n'aurait imaginé qu'elle puisse obéir à quelqu'un pour faire un truc qu'elle n'aimait pas à la base. « Tu passes une bonne soirée ? » Luis reprit pied avec la réalité et il tourna la tête vers sa cliente du soir, il eut un petit sourire nerveux pour elle, elle semblait l'observer de la façon la plus effrayante du monde et il ne savait pas vraiment comment réagir, il lui fit un signe de main et se frotta la nuque. Ce n'était vraiment pas une situation pour lui ça. « Hum, boulot... ça pourrait être pire » annonça-t-il pour décrire sa soirée, ça pourrait aussi être vachement mieux m'enfin, il avait l'habitude, c'était son métier après tout, le seul qu'il connaissait. « Et toi ta soirée ? » s'intéressa le chilien. Il avait vraiment envie de savoir, ça faisait encore une éternité qu'ils ne s'étaient pas vu et comme à chaque fois qu'il la revoyait, il réalisait qu'elle lui avait réellement manqué.

« Je ne voulais pas te déranger, je sais que tu es .. Occupé… Mais je dois te parler d’un truc, enfin… Une autre fois, je suppose. » Luis fronça les sourcils un instant avant d'avoir une petite moue interrogative. « C'est moi qui suis venu à toi... donc tu ne me déranges vraiment pas tu sais... » kui rappela-t-il alors, instinctivement, il se rapprocha d'elle et déposa sa main sur l'épaule de Rosalie, curieux de savoir de quoi elle devait lui parler. Elle aussi s'était rapprochée, c'était vraiment plus fort qu'eux deux. Cela dit, ils se rendirent compte de leur mouvement et ils prirent du recul. « Enfin, à plus tard je suppose… » Luis hocha la tête... oui, plus tard... dans un mois... il eut un sourire désabusé et fit un signe de tête à la blonde... avant de partir à la recherche de ses deux verres pour lui et sa cliente... gosh, il n'avait vraiment plus envie de bosser et faire semblant de s'intéresser à cette bonne femme. Il revint avec un sourire contrit auprès d'elle, mais ses pensées restaient pour Rosalie... l'autre femme semblait être furieuse mais faisait bonne figure pour ne pas lui crier dessus... finalement, au bout de 5 minutes Luis déposa sa main sur la main de la femme avec un sourire, il lui ouvrit la paume et alla chercher dans sa poche arrière l'argent qu'elle lui avait donné plus tôt. Il le lui rendit, ferma sa main et partit sans un autre mot, se faisant insulter au passage. Il roula des yeux et partit aussi tôt à la recherche de Rosalie, il espérait qu'elle n'était pas déjà partie... il fit le tour de l'endroit... et il décida de prendre l'air et de sonner à Rosalie. Après deux sonneries, il l'entendit répondre « Hey ? » redit-il une nouvelle fois. « Est-ce qu'on peut dire que c'est assez tard pour se revoir ? J'ai pas envie d'attendre un mois encore... » avoua-t-il en faisant preuve d'honnêteté.

Boulot amour :sisi: css plus tard :sisi:
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MessageSujet: Re: All I knew this morning when I woke is I know something now, know something now I didn't before.... All I knew this morning when I woke is I know something now, know something now I didn't before.... EmptyMar 18 Déc - 2:01

Peut-être qu’elle devenait parano… Mais cette situation la rendait plus que mal à l’aise. Elle se doutait bien que personne en particulier, sauf la cliente de Luis qui venait de se faire mettre en plan, ne les regardait. Elle se doutait bien que tout le monde s’en foutait complètement à qui elle parlait. Mais elle se sentait tout de même surveiller. C’était peut-être parce que sa mère était dans la pièce juste à côté ou bien parce qu’elle n’avait pas l’habitude des soirées du genre, sauf avec Maddie. C’était peut-être parce qu’elle savait qu’elle dérangeait Luis ‘au travail’, mais bref, elle s’en voulait d’avoir établi le contact. Elle regrettait presque de ne pas être restée près de sa mère… Elle réussie qu’à placé un ‘hey’ un peu gênée. Elle ne savait pas comment bouger surtout, c’était spécialement ça qui l’énervait. Elle savait qu’en temps normal, elle se serait déjà rapprocher de Luis et aurait chercher à avoir le plus de contacte physique possible… Mais elle savait surtout que ce n’était pas le moment. Il lui demanda ce qu’elle faisait là et Rosalie réponde tout simplement qu’elle avait été obligée, sans rentrée dans les détails. « Vraiment ? Quelqu'un à se pouvoir sur toi ? » Luis avait l’air de se moquer d’elle un peu et elle ne put s’empêcher de tomber dans le piège. La blonde fit une grimace et tendit la main vers son épaule pour le pousser légèrement, laissant ses doigts glisser un peu plus longtemps que nécessaire sur son bras. « Ma mère. Épeurante petite chose, tu serais surpris. » Elle jeta de nouveau un regard par-dessus son épaule, en demandant à Luis comment sa soirée se passait, pour s’assurer qu’elle ne c’était pas matérialisé juste là. Ça serait bien sa chance. « Hum, boulot... ça pourrait être pire » Son regard glissa automatiquement vers la femme toujours dans son coin. Pire que ça ? Vraiment ? Un frisson lui passa le long du dos. « J’imagine… » Enfin non, elle ne préférait pas. « Et toi ta soirée ? » Elle eut un sourire sarcastique et leva sa coupe de champagne vide. « Tant que je peux mettre la main là-dessus, je devrais survivre. » Enfin pas trop de main non plus. Gosh, si elle devait rentrer à la maison complètement par terre… New York venait tout juste de se sortir d’une grande catastrophe, l’île n’avait pas besoin besoin d’en connaitre une autre tout de suite. Elle regarda Luis un moment sans rien dire, ce n’était pas qu’elle n’avait rien à dire… Elle était juste tellement prise au dépourvue qu’elle ne savait toujours pas quoi faire. Au bout du moment, elle s’excusa tout simplement pour l’avoir dérangé et laissa échapper qu’elle avait quelque chose à lui raconter, plus tard… Une autre fois… Quand personne de sa famille ne rôderait autour. « C'est moi qui suis venue à toi... donc tu ne me déranges vraiment pas, tu sais... » Elle essaya de sourire gentiment, mais son regard croisa à nouveau celle de l’autre femme à l’autre bout de la pièce et Rosalie éclata de rire. « Non, peut-être pas toi, mais… » Enfin, c’était pas très drôle en tant que tel, quelqu’un se serais mis dans son chemin comme ça au boulot, elle aurait vue rouge, mais la pauvre femme faisait vraiment une drôle de tête en ce moment, elle ne pouvait pas s’empêcher… Et bon, ce n’était pas comme si des vies étaient en danger. Elle décida quand même de laisser tomber. Ce n’était ni le moment, ni l’endroit… Avant de tourner les talons, elle attrapa le bout des doigts du latino, discrètement, et serra un peu…

Elle se mit à la recherche de sa mère avait un sentiment d’inachevé au creux de son estomac. Elle se mit à penser au Maroc et aux raisons qu’il l’avait poussée à partir. La villa lui manquait pour le coup… Elle finit par apercevoir sa mère de dos et posa un instant. Elle savait que si elle allait la voir et se plaindre, Felicity allait tout simplement allonger son calvaire… Mais la réception avait la chance de se tenir dans un hôtel… et elle ne quittait pas vraiment les lieux si elle était qu’un étage au dessus non ? Sans se faire remarquer par sa mère, ou personne au alentour, elle réussie à sortir de la salle bondée et se dirigea vers le rez-de-chaussée, puis le lobby. La paix pour quelques heures sa serais bien. Elle pourrait se couler un bain et faire venir le service aux chambres et juste ne pas avoir ses parents sur le dos. Juste deux heures au moins… Pendant qu’elle était en file, ses pensées s’envolèrent encore vers Luis. C’était un peu de sa faute cette fois-ci s’il ne s’était pas vu pendant un moment… Enfin, elle n’était pas certaine qu’il avait cherché à la revoir non plus, mais elle s’était mis un point d’honneur à disparité… Ça lui avait paru une bonne idée sur le coup. Mais bon, il lui avait quand même manqué, même à l’autre bout de la planète. . Elle prit quelque seconde à réaliser que son téléphone sonnait et s’éloigna de la ligne pour répondre. « Hey ? Est-ce qu'on peut dire que c'est assez tard pour se revoir ? J'ai pas envie d'attendre un mois encore... » La blonde sourie et mordit sa lèvre inférieure. Elle sentit son estomac se dénouer et se remplir de chaleur à la place. « Je pensais que tu bossais ? » Elle se retourna, par hasard, vers les portes de l’hôtel et réussies à l’apercevoir de l’autre côté des vitres. Elle ferma son téléphone sans rien dire de plus et se dirigea vers l’extérieur. En quelques secondes, elle était déjà dehors et derrière lui. Elle posa une main sur son dos et le tourna vers elle, doucement. Elle lui donna tout juste le temps de la reconnaitre avant de passer un bras autour de son cou et l’embrasser avidement. « Hey… »
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MessageSujet: Re: All I knew this morning when I woke is I know something now, know something now I didn't before.... All I knew this morning when I woke is I know something now, know something now I didn't before.... EmptyJeu 20 Déc - 3:59

Luis avait enfin le sentiment de se réveiller à cette soirée depuis qu'il avait retrouvé Rosalie. Il n'avait pas réalisé à quel point il s'ennuyait avant de la retrouver, il "revivait" et se remettait à parler. Bon, ce n'était pas non plus leur conversation habituel mais elle restait déjà plus intéressante que tout ce que sa cliente lui avait fait subir cette soirée. Luis tentait de savoir ce qui avait poussé la jeune femme ici, car que lui sois ici c'était normal, c'était un aspect assez plaisant de son boulot... mais elle... enfin, elle avait certes beaucoup d'argents mais elle semblait pas mal mépriser ce genre d'endroit, ça se devinait à sa façon de regarder autour d'elle et de se tenir. Luis savait parfaitement faire la différence entre quelqu'un qui avait réellement envie d'être là et quelqu'un comme Rosalie qui semblait être là plus par obligation qu'autre chose. Rosalie lui avoua même qu'effectivement, on l'avait forcé à être là et Luis lui avait demandé qui « Ma mère. Épeurante petite chose, tu serais surpris. » il eut un sourire en coin. « Je ne crois pas non, les chiens ne font pas des chats » dit-il le regard brillant réellement amusé par ses dernières paroles. Rosalie pouvait parfaitement faire peur quand elle le voulait. Ils parlèrent ensuite un peu, vraiment très peu, pour prendre des nouvelles rapide de l'autre. Luis sentait le malaise lié à sa cliente. Enfin, Rosalie n'était pas jalouse, heureusement pour lui, enfin, quand bien même il n'aurait pas trop compris pourquoi, mais il sentait que cette situation était étrange et ne les mettait pas à l'aise. Aucun des deux. Luis avait juste envie de repartir avec Rosalie mais son boulot l'obligeait à autre chose. Il demanda cela dit à Rosalie comment se passait sa soirée. « Tant que je peux mettre la main là-dessus, je devrais survivre. » Luis haussa un sourcil mais ne dit rien, il ne buvait jamais d'alcool, mais il savait que beaucoup de gens aimaient ça... il détourna le regard quelques secondes et s'empêcha de grimacer. Rosalie finit par s'excuser de l'avoir un peu monopolisé, Luis eut un petit sourire au coin des lèvres en lui faisant remarqué que c'était lui qui était venu à elle. Normal, il rêvait de s'échapper depuis le début... et la voir lui avait juste donné le courage de le faire. Malheureusement, ils durent se séparer un peu trop rapidement, Rosalie lui attrapa le bout des doigts et lui serra la main, cet instant fut fugace mais Luis se sentit littéralement électrisé par ce léger touché.

Quand il retourna auprès de sa cliente, il avait un tel goût d'inachevé en bouche qu'il finit par la planter. C'était la première fois que ça lui arrivait mais il n'imaginait pas pouvoir continuer son supplice plus longtemps. Puis Rosalie était là et elle avait une nouvelle fois éclipser tout le reste... Il sortit dehors afin de prendre l'air et pouvoir sonner à la blonde. Il avait vraiment envie de la rejoindre et c'est la gorge noué qu'il entendit la voix de la blonde à l'autre bout du fil, il lui demanda pour la rejoindre. « Je pensais que tu bossais ? » Luis ouvrit la bouche pour lui répondre et lui expliquer, mais il entendit le coup de fil se couper. Il écarquilla les yeux de surprise. Est-ce qu'elle le rejetait ? C'était quoi ça ? Ou alors elle n'avait plus de batterie... il était vraiment très perplexe et il ne savait plus trop quoi faire du coup. Luis sentit alors une main se poser dans son dos et on le retourna par l'épaule, il eut tout juste le temps de reconnaitre Rosalie que déjà, elle s'emparait de ses lèvres. Luis répondit instinctivement en déposant sa main dans le bas du dos de la jeune femme, il rapprocha son corps au maximum du sien et dévora ses lèvres avec passion. Gosh, il avait tellement voulu ce baiser. Finalement à bout de souffle, ils finirent par se séparer. « Hey… » Luis eut un sourire en coin avant de réembrasser doucement Rosalie sur les lèvres, pour s'assurer que... tout était vrai. « Je ne pouvais plus penser à autre chose qu'à toi... alors j'ai mis fin à ce contrat... » expliqua-t-il en répondant à la question qu'elle lui avait posé au téléphone. Il se mit à déposer des baisers furtifs dans le cou de la jeune femme avant de descendre jusqu'à sa clavicule. « Tu voulais me parler non ? » demanda-t-il contre la peau de la blonde alors qu'il se mettait à aspirer légèrement. ça faisait un mois qu'il ne l'avait plus vu, il se devait de la marquer comme sienne.
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MessageSujet: Re: All I knew this morning when I woke is I know something now, know something now I didn't before.... All I knew this morning when I woke is I know something now, know something now I didn't before.... EmptyVen 21 Déc - 4:15

En soi sa vie était très triste en ce moment. Une fille aussi parfaite qu’elle, dans une robe de soirée, dans un grand hôtel, seule, en file d’attente pour booker une chambre seule… Pour prendre un bain seul…. Gosh, elle était tellement sage, elle ne comprenait pas pourquoi ses parents continuaient à lui faire la tête. Enfin, relaxer était la seule chose qu’elle voulait présentement… La seule chose qu’elle voulait présentement mis à part Luis, plus précisément. Mais bon, comme il n’était pas une option pour ce soir… C’était dommage, mais elle pouvait comprendre, le boulot était le boulot. Ça lui faisait quand même étrange qui ce soit retrouvé là ce soir. Elle ne s’était pas entendue à le revoir de si tôt. Elle était partie au Maroc, en partie pour prendre le temps de penser à tout ça. Elle était revenue, les valises pleines, un bronzage parfait, mais sans être plus avancé qu’au départ. Quelque cinq minutes avant l’atterrissage, elle avait décidé de faire comme si de rien n’était. Elle se connaissait après tout, elle allait finir par se lassé, ou lui en premier, peut importe et ça allait finir comme ça avait commencé, au hasard sans prévenir. En attendant, elle n’avait aucun problème avec la ‘relation’ qu’ils avaient. Enfin, il lui avait manqué… Elle s’était rendu compte de ça, elle se rendait toujours compte de ça. Entre chaque fois.. Un peu à tout les jours, mais elle le ressentait vraiment que quand elle le revoyait. Elle sentait un poids énorme se lever de ses poumons, sans qu’elle ait le souvenir de l’avoir ressentie juste avant.

Elle n’hésita même pas avant de sortir dehors. Si elle avait la possibilité de passé juste un moment avec lui, en ce moment, elle n’allait pas se gêner, elle n’allait même pas poser de question. Elle s’en foutait un peu de la pauvre femme de toute façon. Tant pis si elle était vieille et sèche, elle* était jeune et fraiches. Ce n’était pas sa faute, il fallait blâmer la nature. Elle se jeta au cou à Luis et lui donna l’accueil qu’elle mourrait d’envie de faire depuis tout à l’heure. Maintenant qu’elle avait goûté à sa peau, elle savait qu’elle ne pourrait plus s’en séparer aussi facilement pendant un moment… C’était toujours le cas, à chaque fois qu’ils étaient ensemble elle avait besoin* d’être en contact physique avec lui. Mettre de la distance entre leurs corps était tout simplement impensable. Même quand il recula pour lui parler, elle resta accrocher à son collet, les mains pendirent à son t-shirt et son front contre le sien. « Je ne pouvais plus penser à autre chose qu'à toi... alors, j'ai mis fin à ce contrat... » Elle le laissa à peine finir avant de l’embrasser de nouveau, des détails, elle n’avait pas besoin maintenant, elle y repenserait plus tard, peut-être. « Tu voulais me parler non ? » Elle le sentait descendre le long de son cou et de la marquer. Elle eut une vague pensée pour sa mère et blahblahblah, explications blahblahblah…. Elle n’eut même pas le courage de bouger. Son cerveau était tout simplement engourdi pour le moment, plus rien d’autre ne comptait. Elle commençait à avoir froid dans sa robe, et passa ses bras autour de la taille du latino, pour rentrer ses mains sous son t-shirt et se rapprocher de lui encore plus, enmagasiant sa chaleur… Elle rentra vaguement ses ongles dans la chair, s’il pouvait la marquer aussi facilement, elle n’allait pas s’en empêcher. « Parler ? » Quel étrange concept quand même, c’était tellement loin dans sa tête… Pourquoi ? Elle attrapa ses lèvres de nouveau et pronlonga le baisé pendant plusieurs minutes, jusqu’à ce que la raison lui revienne. Ah oui parlez, elle c’était promis une chose, c’était de lui parler avant de reprendre tout genre d’activité commun. Quelle décision stupide quand même. .Rosalie se recula à contrecœur. Restant tout de même assez proche pour être encore dans ses bras. Elle se passa une main au visage et dans les cheveux. Elle n’avait aucune idée quel genre de conversation l’attendait et elle aimerait bien qu’elle soit déjà finie. « Oui, enfin… Je dois… On peut rentrer, j’ai froid ? » Elle avait aussi beaucoup plus de chance d’écouter ses bonnes résolutions en public dans le hall de l’hôtel que dans la ruelle sombre près de l’hôtel….

Elle glissa sa main dans la sienne et guida le pas vers un des divans à l’intérieur. Il était placé à côté d’un foyer massif. Elle préférait se brûler que se geler. Elle se laissa tomber à côté de Luis et garda sa main dans la sienne. Avec l’autre, elle se mit distraitement à dessiner sur sa paume et sur le bras, sans trop regarder ce qu’elle faisait. Elle cherchait les mots. Comment est-ce qu’on annonçait ‘ça’ à quelqu’un ? Est-ce qu’elle devait l’annoncer tout court ? C’était déjà fait de toute façon, il n’avait plus rien à dire… En même temps, elle ne voyait pas trop pourquoi elle le cacherait? Sa vie était aussi compliquer qu’un épisode de dégrossi. « Hmm… En fait, c’est pas trop* important…. Ce n’est pas grave quoi. C’est juste que je suppose* que tu dois savoir. Mais tu peux t’en foutre aussi ? Enfin, je ne serais pas vexée ein. » D’accord, elle devait vraiment se taire, elle sentait son Q.I. baisser après chaque mot. « Je me suis fait avorter il y a quelques semaines. C’est tout voilà. » Maintenant ils pouvaient reprendre leurs activités.

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MessageSujet: Re: All I knew this morning when I woke is I know something now, know something now I didn't before.... All I knew this morning when I woke is I know something now, know something now I didn't before.... EmptyMer 16 Jan - 8:49

Luis se sentait ravi de retrouver Rosalie, elle lui manquait vraiment trop en ce moment, en fait, il se rendait compte qu'il avait de plus en plus de mal à la laisser partir une fois qu'il la retrouvait, surtout qu'ils avaient cette sale tendance à ne se revoir qu'une fois par mois et ce n'était pas assez. Enfin, l'avantage de ce genre de retrouvailles c'était qu'ils étaient toujours très heureux de se revoir et le montrait par des gestes affectueux et une incapacité prouvée à se détacher du corps de l'autre. S'il le pouvait, Luis lui ferait l'amour dans la rue, l'idée lui avait même frôlé l'esprit mais il pouvait attendre, ils étaient devant un hôtel quoi... mais ça le frustrait quand même de ne pas pouvoir directement être en elle. Quoiqu'il en soit, ils continuèrent de s'embrasser, trop heureux de pouvoir se toucher et Rosalie lui marqua légèrement le dos après qu'il ait décidé de lui marquer le cou, il sourit contre la peau de la jeune femme en sentant les ongles de la blonde s'enfoncer dans sa chaire. « Parler ? » la main de Luis se mit à caresser la peau de Rosalie par delà sa robe, gosh, il se sentait aussi pressé qu'un ado, il croyait que cette folie allait finir par passer, mais il semblait si consommé de désir en cet instant qui visiblement, ce n'était toujours pas le cas. Rosalie finit par reculer et Luis la regarda légèrement surpris, c'était la première fois qu'elle faisait ça. Il se demandait ce qu'elle voulait lui dire et il fronça un instant les sourcils, ne sachant si ce qu'elle avait sur le coeur allait lui plaire ou non... elle en avait peut-être marre de... ce truc qu'il vivait... ce qui serait vraiment dommage quoi, mais en même temps, il ne pouvait pas la forcer là-dedans si elle n'avait plus envie. Il grimaça, maintenant, il voulait vraiment savoir ce qu'elle avait à dire. « Oui, enfin… Je dois… On peut rentrer, j’ai froid ? » il opina de la tête et en deux trois gestes, il déposa sa veste sur les épaules de la blonde. Il déposa ensuite sa main dans le creux de son dos pour les guider jusque dans le hall de l'hôtel. « Ce n'est rien de grave hein ? » tenta-t-il du bout des lèvres plus nerveux qu'il ne l'aurait souhaité. Il se passa la main dans les cheveux un instant avant de se rendre compte qu'il faisait ça juste pour tenter de reprendre son calme, il sentit la main de la blonde se glisser dans la sienne pour le tirer jusqu'à un des divans, au moins, ils ne cachaient pas qu'ils étaient "ensemble" aux yeux de tous, il était content qu'elle n'ait pas honte de ce qu'il était.

Le jeune homme se retrouva donc assis sans trop savoir pourquoi ni de quoi Rosalie devait parler, il ne savait pas trop où poser son regard alors il finit par juste observer ses mains qu'il remuait nerveusement. Cela dit, il se détendit en sentant la blonde lui prodiguer des caresses sur la main et le bras. « Hmm… En fait, c’est pas trop* important…. Ce n’est pas grave quoi. C’est juste que je suppose* que tu dois savoir. Mais tu peux t’en foutre aussi ? Enfin, je ne serais pas vexée ein. » il la regarda perplexe, de quoi elle parlait ? Quel sujet allait-elle aborder ? Il ne s'en réjouissait pas d'avance... loin de là, inconsciemment, il sut qu'il n'allait pas trop apprécier. Il n'avait jamais été fort surprise de toute façon. « Je me suis fait avorter il y a quelques semaines. C’est tout voilà. » Luis écarquilla les yeux avant d'ouvrir la bouche pour répondre. Mais il n'avait rien à dire, rien ne lui venait à l'esprit, c'était comme s'il avait une sorte de blanc dans la tête qui l'empêchait de réfléchir ou penser quoique se soit. Il finit donc par se racler la gorge... un enfant ? « Oh » il peinait à réaliser, il n'avait jamais souhaité d'enfant, ça demandait tant de boulot et d'investissement, et il avait Raine dans sa vie, il ne pouvait juste pas s'occuper d'un autre enfant n'est-ce pas ? Il observa alors Rosalie quelques secondes avant de lui caresser le visage du bout des doigts. « Tu m'évitais pour ça alors cette fois-ci ? » demanda-t-il simplement, il restait mitigé sur ce qu'il ressentait et il n'avait pas envie de s'étendre sur ses propres sentiments, il avait eu l'habitude de les repousser au loin pour se consacrer aux femmes en face de lui en général. « Et... » il hésita quelques secondes avant de se racler la gorge. « Il n'y a eu aucune complication ? Tu n'as pas eu mal ? » demanda-t-il curieusement.

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MessageSujet: Re: All I knew this morning when I woke is I know something now, know something now I didn't before.... All I knew this morning when I woke is I know something now, know something now I didn't before.... EmptyJeu 17 Jan - 3:50

Elle avait complètement oublié qu’elle était dehors, habillée que très légèrement. Elle était complètement perdue, absorbée par Luis, ses baisers, sa bouche, sa peau, sa chaleur … Elle n’avait plus conscience de l’endroit où ils étaient, juste de ce qu’il faisait. Elle voulait plus, tellement plus. Elle s’accrochait à Luis et collait son corps contre le sien dans le but de lui faire savoir. Pendant un moment, elle se foutait de tout le reste vraiment. C’était plus important. Il lui avait manqué, mais elle s’en foutait parce qu’il était là maintenant et qu’elle n’avait plus à y penser. C’était beaucoup plus simple quand elle ne pensait pas au fait. Elle devrait songer à arrêter. Mais le brun finit par lui ramener un pied sur terre en prenant la parole et elle fut distraite pendant une seconde et quelques, juste assez pour que tout lui revienne et qu’elle recommence à avoir froid. Elle grogna un peu en se reculant, à contrecœur. Elle aurait juste aimé arrêter de penser encore un peu… Elle demanda à rentrer et Luis lui déposa son manteau sur les épaules, la blonde figea quelques secondes à peine avant de le suivre dans l’entré. C’était qu’une veste, elle devait arrêter de réfléchir à tout les détails. Parfois, elle aimerait bien être stupide comme les autres petites gens. « Ce n'est rien de grave hein ? » Elle leva le regard vers lui pour le détailler un instant et hocha la tête. « Non, enfin, je ne pense pas. » C’était juste une question d’éthique qui la poussait en a parler, rien d’autre quoi. Elle se doutait bien que Luis n’en fasse pas un drame. « C’est juste, ça te concerne un peu, je suppose… Enfin, dans un sens. Et je me sentirais pas correcte de le cacher, mais bon… » Elle voulait juste en finir vraiment.

Ils finirent par trouver les divans et Rosalie n’était pas vraiment douée pour tourner autour du pot, donc elle avoua tout d’un bloc. Elle pensait qu’elle se sentirait mieux une fois toute dite, mais pas vraiment en fait. Ça n’avait jamais été ça le problème, elle le savait. Elle regardait en face d’elle, mais ne put s’empêcher de jeter un regard à Luis du coin de l’œil. Pour une raison ou pour une autre, elle ne voulait pas qu’il soit en colère contre elle. « Oh » « Ouais.. » Elle non plus n’avait vraiment rien d’autre à dire que ‘oh’ sur le sujet. Gosh, parfois en prenant sa pilule le matin, elle calculait involontairement le temps qui s’était écroulé et où elle en serait exactement. Elle eut un frison que d’y penser. Gosh, non. Jamais. Pas pour elle. Enfin… Pas maintenant. Perdu dans ses visions d’horreur, elle revient à Luis que quand elle sentit ses doigts sur son visage. Elle lui attrapa le bout des doigts et les embrassa doucement avant de guider le bras de l’homme autour d’elle et de se rapprocher de lui davantage. Elle ne voulait pas que ce qu’elle venait de dire change quoi que se soit et il y avait trop d’espace entre eux.. Toujours trop d’espace. « Tu m'évitais pour ça alors cette fois-ci ? » Elle ouvrit la bouche pour parler et la referma sur le coup. « Cette fois-ci ? » Déjà, elle n’avait pas l’impression de l’avoir évité avant, mais elle voulait surtout gagner du temps sur sa réponse. « Et non. J’étais en vacance… » Cette partie-là était vraie déjà. Ça n’avait pas été pour ça* et elle avait vraiment été en vacance donc… Elle ne se sentait pas apte à lui mentir à pleine face de cette façon. Mais en même temps, elle se voyait très mal lui expliquer quelques choses qu’elle ne comprenait pas elle-même. « C’est compliqué. » Voilà, ça résumait bien ça. Pour le moment. Elle eut un sourire en coin et leva vers lui un regard aguicheur. « La prochaine fois je t’amènerais promis. » Non, mais vraiment, parce que c’était les premières vacances depuis très longtemps qu’elle passait aussi chaste que son père l’aurait souhaité et c’était tout sauf amusant. Enfin, elle aurait sans doute pu… Mais bon. « Et... Il n'y a eu aucune complication ? Tu n'as pas eu mal ?» Elle hocha la tête. « J’ai eu mal oui, mais c’est passé et non ça va, tout le reste est O.K. » Mais elle avait vraiment eu mal et le pire c’est que tout ça était de sa faute… Elle se sentait vraiment idiote, même pire que ça. Elle était médecin, elle était brillante, et avait un Q.I. plus élever que 99% des gens, alors pourquoi grand dieu, elle ne se protégeait pas autrement quand elle couchait avec Luis ? Il lui semblait qu’avec son métier, ça aurait le minimum de précaution à prendre, mais elle n’y pensait jamais. Elle pouvait réciter les misérables encore par cœur parce qu’elle l’avait lue pour un rapport à 9 ans, mais elle ne pouvait pas penser à mettre un condom dans un moment important. Mais bon, au moins maintenant, elle trainait sa pilule dans son sac. Elle ne serait plus jamais pris au dépourvue. « Ça ne te dérange pas ein ? Enfin, je veux dire… Tu ne vas pas te transformer en prophète religieux sur le coup et m’envoyer un bucher? » Non parce que ça pouvait arrivée.
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MessageSujet: Re: All I knew this morning when I woke is I know something now, know something now I didn't before.... All I knew this morning when I woke is I know something now, know something now I didn't before.... EmptyJeu 24 Jan - 16:31

Luis était sur la défensive, c'était plus fort que lui, quand il voyait quelqu'un agir bizarrement, il se mettait en retrait. Pas physiquement mais il sentait qu'il se détachait, une sorte de réflexe qu'il avait acquis au fil du temps. Cela dit, il dut s'assurer que ce n'était pas grave, il n'était pas vraiment douer quand les choses empiraient, il était même le genre de type à fuir avant d'être acculé ou au dos du mur, la fuite ne lui avait jamais fait peur et il n'avait pas honte de partir quand le moment était propice. Mais il n'avait pas envie de faire ça à la blonde... alors il restait et attendait d'avoir son explication. « Non, enfin, je ne pense pas. » Rassurant. Pas du tout stressant comme réponse, il pouvait tout imaginer avec une réponse ainsi mais il préféra froncer les sourcils et patienter. En général, les femmes finissaient toujours par dire ce qu'elles avaient sur le coeur, il suffisait parfois de les pousser un peu pour qu'elles commencent et ne s'arrêtaient plus. « C’est juste, ça te concerne un peu, je suppose… Enfin, dans un sens. Et je me sentirais pas correcte de le cacher, mais bon… » Luis se gratta la temps légèrement confus. Il était embrouillé désormais et il ne savait ni quoi dire, ni quoi faire... alors il attendit les explications qui finirent par tomber. Elle s'était faite avorter... ok...

Sincèrement, il ne savait ni quoi dire ni quoi penser de la situation, il ne s'y attendait pas et n'était pas préparé pour ce genre de discussions... « Ouais.. » il ouvrit la bouche pour répondre autre chose mais il fut tout simplement incapable de formuler la moindre question dans l'immédiat... il finit par toucher Rosalie du bout des doigts, c'était la seule chose qui lui paraissait sensée dans l'immédiat... et c'était la seule chose qu'il avait envie de faire... elle réagit à son contact et lui embrassa le bout des doigts. Il sourit à ce geste doux et intime à la fois. Il finit par réussir à poser une question à peu près intelligente. « Cette fois-ci ? » il haussa les épaules. Il avait parfois le sentiment qu'ils... faisaient presque exprès d'attendre un mois pour se retrouver. Pour rendre leur rencontre plus passionnelle ou quelque chose du genre, il ne savait pas dire... il savait qu'il était débordé, que Rosalie trainait dans un coin de son esprit et que parfois, les pensées pour elle se faisaient juste plus présentes et c'était à ce moment-là qu'il s'arrangeait pour la revoir et la retrouver... « Et non. J’étais en vacance… » oh... elle avait sans doute voulu se décontracter et ne penser à rien d'autres. « Le teint parfait s'explique comme ça alors ? » demanda-t-il sur le ton de la plaisanterie. « C’est compliqué. La prochaine fois je t’amènerais promis. » il eut un sourire en coin avant d'attraper la main de Rosalie dans la sienne et de se mettre à caresser sa paume à l'aide de son pouce. « Pas que l'idée ne soit pas attrayante mais ma nièce doit aller à l'école et je suis sa seule famille, je ne peux pas m'absenter de mon rôle de tuteur comme bon me semble » soupira-t-il alors en se frottant l'arrière du crâne. Puis le boulot... il n'avait pas d'employeur, il n'avait pas de salaire fixe. Vacance signifiait perte d'argent, et c'était le genre de choses qu'il ne pouvait pas se permettre comme ça. Il avait trop vécu dans l'oisiveté adolescent qu'il avait un besoin maladif de toujours gagner plus.

Cela dit, Luis finit par revenir au sujet initial et il demanda si elle était okay... c'était la moindre des choses et il avait besoin de savoir si elle n'allait pas tourner folle. Il avait vu ça dans un film il lui semblait. « J’ai eu mal oui, mais c’est passé et non ça va, tout le reste est O.K. » il se pencha vers Rosalie avant de l'embrasser délicatement sur la joue. « Tant mieux, tant que tout va bien pour toi, c'est le principal non ? » murmura-t-il avant de laisser une trainée de baiser dans le cou de la blonde. « Ça ne te dérange pas ein ? Enfin, je veux dire… Tu ne vas pas te transformer en prophète religieux sur le coup et m’envoyer un bucher? » il sourit contre la peau de Rosalie avant de se mettre bien en face d'elle pour l'embrasser profondément. « Non, je suis ok... » finit-il par murmurer avant de hausser les épaules. « Écoute, je suis pas le genre de mec... enfin... je suis pas un "père" potentiel... et je t'aurais demandé de faire ce que tu as fait, je ne suis pas prêt à assumer un gosse ou à devenir papa un jour, tout ça, c'est vraiment pas pour moi. Pas avec le métier que j'ai et le reste » conclut simplement Luis en ayant une pensée fugace pour son père... avec le modèle qu'il avait, il avait très peu de choses de réussir à être papa un jour. Il secoua la tête, ce n'était ni le moment ni l'endroit de penser à Diego. Un instant, il regarda Rosalie dans les yeux avec sérieux avant d'écarter une de ses mèches de cheveux « Et toi, tu vas pas te transformer en femme remplie de culpabilité et tout mettre en oeuvre pour avoir un bébé ? » demanda-t-il avec une lueur craintive dans le regard. Parce que non, il ne pouvait juste pas être père. Non.
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MessageSujet: Re: All I knew this morning when I woke is I know something now, know something now I didn't before.... All I knew this morning when I woke is I know something now, know something now I didn't before.... EmptyVen 25 Jan - 1:33

Une fois que Rosalie avait dit ce qu’elle avait à dire et qu’aucun coup d’État ne c’était passé. Elle eut l’impression de mieux respirer. Maintenant que c’était dit, ça pouvait sortir de sa tête à tout jamais et elle n’y repenserait plus. Pas que ça avait été un problème au départ, mais bon, ça faisait toujours ça de moins. Elle n’avait aucune solution pour tout le reste, continuer de l’ignorer lui semblait encore la meilleure chose à faire. C’est pour ça qu’elle éluda la raison de ses vacances. Ça ne lui avait servi à rien de toute façon. « Le teint parfait s'explique comme ça alors ? » Elle eut un sourire en coin. Elle avait fait attention pour laissé de moins de marques de maillot possible, mais on pouvait encore en voir, surtout sur hanches. Sur un coup de tête comme ça, elle proposa de l’amener la prochaine fois. Juste l’idée était relaxante en soi. « Pas que l'idée ne soit pas attrayante mais ma nièce doit aller à l'école et je suis sa seule famille, je ne peux pas m'absenter de mon rôle de tuteur comme bon me semble » enfin pas pour tout le monde apparemment. Elle pencha la tête sur le côté. « Bah, il a les vacances scolaires et je pourrais amener Esmeralda, enfin, c’était juste… Je ne sais pas. » Elle se mordit la lèvre doucement. Elle n’avait pas voulu faire de plan comme ça ou rien, elle avait juste dit ça comme ça, comme elle ne disait beaucoup trop de choses.

Après l’interlude, le sujet revient sur son opération et ni l’un ni l’autre ne savait vraiment quoi en dire, vraisemblablement. « Tant mieux, tant que tout va bien pour toi, c'est le principal non ? » « Oui. » Elle pencha la tête pour mieux profiter de ses baisers dans le cou et sa main glissa automatiquement vers sa cuisse qu’elle frôlait ici et là. Gosh, elle ne voulait même pas imaginer si le truc avait mal tourné… Déjà il aurait fallu qu’elle en parle à ses parents et quelque chose, il en était juste pas question, plutôt mourir sur la table d’op. Elle lui demanda quand même si ça lui dérangeait, qu’elle en ait pas parlé avant et tout le reste.. Et comme sa réponse fut un baiser, elle décida de prendre pour un non et laissa échapper un rire, soulagée malgré elle. « Non, je suis ok... Écoute, je suis pas le genre de mec... enfin... je suis pas un "père" potentiel... et je t'aurais demandé de faire ce que tu as fait, je ne suis pas prêt à assumer un gosse ou à devenir papa un jour, tout ça, c'est vraiment pas pour moi. Pas avec le métier que j'ai et le reste. » Elle hocha la tête et posa une main dans le creux de son cou, passant ses doigts légèrement sur sa nuque. Elle n’avait même pas pensé à Luis en père en fait. Son geste avait été tellement automatique et centré sur elle-même qu’elle n’avait même pas pris le temps de penser à tout le reste. Mais effectivement, l’image lui venait difficilement. Enfin, elle l’avait tout de même vue avec Rain, mais ce n’était pas… C’était différent en fait. « Et toi, tu vas pas te transformer en femme remplie de culpabilité et tout mettre en oeuvre pour avoir un bébé ? » La blonde soutient son regard le plus longtemps possible et fit de son mieux pour ne pas se trahir et éclater de rire. « Oui. Mais t’inquiète pas, je suis certaine que me trouver un donneur ne sera pas trop difficile.» Elle laissa passé un long moment sans même ciller mais se trouve plus capable de rien faire, elle pouffa de rire et balança la tête légèrement. « Non, mais ça va pas, j’ai tellement d’autres choses à faire… Et puis, je ne me vois pas vraiment à expliquer à mes parents comment je suis tomber enceinte alors que je suis toujours vierge, je crois que même eux ne vont pas me croire cette fois. » Elle eut un frison que d’y penser.
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MessageSujet: Re: All I knew this morning when I woke is I know something now, know something now I didn't before.... All I knew this morning when I woke is I know something now, know something now I didn't before.... EmptyDim 27 Jan - 1:42

« Bah, il a les vacances scolaires et je pourrais amener Esmeralda, enfin, c’était juste… Je ne sais pas. » Luis se sentait un peu sur la défensive... c'était la première fois qu'on lui parlait de "vacances"... c'était une sorte de principe étrange pour lui, il n'avait jamais connu ça dans sa jeunesse. Mais son enfance n'avait jamais été idyllique... du coup, il supposa qu'il ne devait pas faire revivre ça à Rain, elle méritait une meilleure enfance que la sienne... des meilleurs souvenirs... des photos de "famille" à partager... il hésita quelques secondes avant de répondre. « Ok... » finit-il par lâcher avant de lancer un regard hésitant à Rosalie. « Pourquoi pas, ça pourrait être amusant. Je suppose que les petites vont s'entendre ? Et s'épuiser mutuellement la journée... on pourra avoir la soirée sans trop de soucis » lança-t-il avec détachement avant de se passer la main dans les cheveux... c'était la première fois qu'il prévoyait quelque chose autant en avance avec une femme... et avec Rain, ça restait... étrange et c'était un terrain véritablement glissant pour lui.

Ensuite, la conversation devint véritablement... bizarre... enfin, il était... vide ? Il ne savait pas trop quoi dire ou penser, il se faisait l'effet d'un automate. Il tentait de ne pas trop penser au bébé en réalité, il se concentrait sur Rosalie, c'était plus simple à penser que le reste. Il lui demanda si tout c'était bien passé, si elle allait bien... « Oui. » il tenta de dissiper la tension en embrassant légèrement la blonde du bout des lèvres. C'était plus facile pour lui de réagir de la sorte qu'autrement, c'était comme ça qu'il s'était toujours sorti des situations critiques avec les femmes. Cela dit, Rosalie lui demanda si c'était okay pour lui... il prit le temps de répondre de façon honnête. Tout ça c'était pas pour lui, il n'arrivait pas à s'imaginer père, c'était juste... pas pour lui, pas dans cette vie, pas avec le métier qu'il avait, pas avec l'exemple de père qu'il avait, il allait foirer tôt ou tard et il ne pouvait pas imposer tout ça à un gosse. Il s'informa tout de même sur le fait que Rosalie n'allait pas péter un câble prochainement en voyant des bébés passés ou en s'imaginant enceinte... ou whatever de bizarre ou dans ce genre. La blonde éclata de rire à s'en encontre. Il sourit sans pouvoir s'en empêcher à son tour, il était rassuré et il sentit un poids se soulever de son coeur. « Oui. Mais t’inquiète pas, je suis certaine que me trouver un donneur ne sera pas trop difficile.» il haussa un sourcil. « Un donneur ? » demanda-t-il légèrement surpris du terme... il fronça les sourcils légèrement confus. Elle n'était pas obligée de se payer un donner, elle avait le physique pour avoir qui elle voulait vraiment facilement... « Non, mais ça va pas, j’ai tellement d’autres choses à faire… Et puis, je ne me vois pas vraiment à expliquer à mes parents comment je suis tomber enceinte alors que je suis toujours vierge, je crois que même eux ne vont pas me croire cette fois. » Luis eut un sourire en coin... comment les parents de Rosalie pouvaient la croire vierge ? Ils devaient vraiment être naïfs ou aveugles... « Toujours vierge ? » demanda-t-il sur un ton amusé. Il se pencha à l'oreille de la blonde et se mit à mordiller son lobe très légèrement. « Je pense qu'il faut vérifier cette information » souffla-t-il du bout des lèvres en caressant la cuisse de la blonde de façon appuyé. Ils étaient dans un hôtel, ils ne s'étaient plus vu depuis un moment et ils avaient suffisamment parlé à son sens.

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MessageSujet: Re: All I knew this morning when I woke is I know something now, know something now I didn't before.... All I knew this morning when I woke is I know something now, know something now I didn't before.... EmptyLun 28 Jan - 23:24

Vraiment Rosalie choisissait c’est moment aujourd’hui. Non, mais tant qu’a avoir une conversation délicate, allez-y, amenée en du malaise. La blonde tordait ses doigts et regardait par terre. Peut-être qu’elle devrait commencer à écouter les gens autour d’elle et bien tourner la langue sept fois avant de parler. « Pourquoi pas, ça pourrait être amusant. Je suppose que les petites vont s'entendre ? Et s'épuiser mutuellement la journée... on pourra avoir la soirée sans trop de soucis » elle hocha la tête en retenant un sourire. Oui, c’est surtout les soirées qui l’avait tenté en fait. Elle allait m’être ça sur le fait qu’elle n’avait pas eu Luis depuis longtemps et n’avait pas vue personne entre temps donc…. « Je disais comme ça ein, je ne voulais pas faire de plan, c’est juste… » Elle haussa les épaules. Faire des plans était bizarre, surtout avec un homme comme ça. Il avait quelque chose de beaucoup trop sérieux dans tout ça. Pourquoi elle était revenue du Maroc déjà ?

Et la conversation n’alla pas en s’allégeant, ce qui était franchement déplaisant. Elle n’avait pas vraiment besoin de s’étendre sur le sujet, elle en avait parlé parce que c’était ce qui était politiquement correct, mais sans plus. Elle s’assura quand même que Luis soit okay, question qui ne lui pète pas un cable surprise, mais ça semblait aller. Elle prit la première occasion pour changer de sujet et rire un peu. Pour respirer un peu mieux. « Un donneur ? » Elle hocha la tête le plus sérieusement du monde. « Façon de parler, tu vois. Un homme, juste comme ça, que j’aurais plus besoin de revoir après. Non parce si en plus d’un bébé je dois me taper être en couple, non-merci ein. » Un problème à la fois comme on dit. Elle plaça un mot sur ses parents au hasard, elle oubliait parfois que les gens ne connaissent pas son ‘arrangement’ avec eux. « Toujours vierge ? » La blonde tira la langue et pris grippe sur la chemise de Luis pour l’attirer vers elle. « Évidement, je sais pas du tout ce que tu veux insinuer Monsieur, mais … » Elle était très sage, toujours… Enfin presque quoi. Il devait y avoir pire quelques part. « Je pense qu'il faut vérifier cette information » elle se pencha vers l’avant pour l’embrasser langoureusement. « Si t’insistes, ce n’est pas l’endroit qui manque. »

Elle se leva debout et passa ses deux bras dans les manches du manteau, avant de prendre Luis par la main pour le trainer derrière elle, un sourire espiègle au visage. Elle avait déjà vue des chambres d’hôtel, en long en large, dans presque tous les continents du monde. Ça revenait au même, elle avait besoin de quelque chose de nouveau tient. Un instant plus tard, ils étaient dehors et quelques secondes après, Rosalie trainait Luis au fond de la ruelle qu’elle avait vue tout à l’heure. Elle s’adossa au mur de brique et attira le brun vers elle en lui passant les mains autour des épaules. « Tu crois que tu sauras me garder au chaud maintenant ? »

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MessageSujet: Re: All I knew this morning when I woke is I know something now, know something now I didn't before.... All I knew this morning when I woke is I know something now, know something now I didn't before.... EmptyJeu 31 Jan - 1:47

« Je disais comme ça ein, je ne voulais pas faire de plan, c’est juste… » Luis haussa un sourcil amusé avant de se pencher vers la blonde pour lui voler un baiser. « C'est okay, je vois ce que tu veux dire. Te tracasse pas. » finit-il par dire sans pour autant se prendre la tête sur un quelconque plan, ça ne servait à rien de voir midi à 14h. C'était juste des vacances après tout. « Tu seras en bikini toute la journée ? » demanda tout de même le chilien tout en haussant un sourcil de façon suggestive. ça pouvait vraiment être amusant après tout.

Cela dit, le ton léger ne resta pas longtemps... quand Rosalie lui avoua avoir été enceinte avant d'avorter, il ne sut trop comment réagir, c'était tellement loin d'être son domaine tout ça... il s'inquiétait plus de l'état de Rosalie... le fœtus n'était pas un humain pour lui, juste une petite chose qui n'était plus désormais, donc ça ne servait à rien de s’appesantir dessus, non ? Rosalie lui avoua que si jamais elle voulait un gosse, elle prendrait un donneur, c'était mieux... pour elle, pour lui, pour... ce qu'ils vivaient, Luis savait que ce n'était pas là-dedans qu'on rajoutait un gosse, ce n'était ni censé, ni réfléchi du tout ! « Façon de parler, tu vois. Un homme, juste comme ça, que j’aurais plus besoin de revoir après. Non parce si en plus d’un bébé je dois me taper être en couple, non-merci ein. » il eut un sourire en coin avant de passer sa main dans la chevelure de la blonde. Il traça le contour de sa bouche à l'aide de son pouce avant de se pencher vers elle pour l'embrasser profondément. Gosh, il l'aimait vraiment bien. Pour tout ce qu'elle représentait. Pas d'attache, juste... un moment où il n'était pas un homme objet mais un homme avec des désirs, il pouvait faire ce qu'il voulait pour lui et pas pour elle et c'était comme ça qu'il arrivait à être heureux.

Quand Rosalie se dit "vierge", Luis ne put s'empêcher de la charrier et la provoquer quelque peu. Lui savait la vérité, gosh, il ne savait pas trop comment ou pourquoi des gens la croyaient vierge, mais cette(ces) personne(s) étai(en)t vraiment loin de la vérité. « Évidement, je sais pas du tout ce que tu veux insinuer Monsieur, mais … » Luis eut un sourire en coin, il avait encore en souvenir le dernier orgasme de la jolie blonde. Luis lui avoua qu'il voulait vérifier cette information, normal quoi. Rosalie se pencha vers lui pour l'embrasser profondément. « Si t’insistes, ce n’est pas l’endroit qui manque. » le chilien se sentit aussi tôt électrifier et il sut à cet instant qu'il allait la suivre où elle voulait.

Elle l'emmena finalement dans une ruelle, ils étaient à l'écart de la route, ils pouvaient tout faire ici. Et au regard de Rosalie, il comprit qu'elle voulait de lui ici. Il eut un sourire en ayant cette pensée qui le rendait soudain impatient. En une fraction de secondes son regard s'était fait désireux. « Tu crois que tu sauras me garder au chaud maintenant ? » Luis s'approcha tel un prédateur. « Je peux essayer » souffla-t-il le regard braqué dans celui de la blonde. Il ne fut pas long à l'embrasser avec fougue la plaquant sans ménagement contre le mur. Le jeune homme passa ses deux mains sur les cuisses de Rosalie et les souleva lentement pour caresser la peau de la blonde tout en remontant sa robe sans hésitation. Elle était définitivement trop longue à son goût, surtout pour son impatience. Il finit par passer ses mains derrière les cuisses de la jeune femme pour la soulever avec aisance et ainsi l'obliger à entourer sa taille de ses jambes. Elle était encastrée entre son corps et le mur et sincèrement, l'idée de la relacher n'était même plus une option en cet instant. Il l'embrassait avec fougue et une de ses mains remonta le long du corps de Rosalie pour emprisonner son sein sans trop de cérémonie, ils étaient dans la rue après tout, ce n'était pas pour faire dans la dentelle. Le jeune homme réussit à remonter plus haut sa main pour faire glisser les bretelles de sa robe, il sentit ses lèvres esquisser un sourire quand il vit qu'elle ne portait pas de soutient-gorge et il s'arc-bouta pour emprisonner un de ses tétons entre ses lèvres. Il le mordilla avec délectation mais il sentait la tension dans son pantalon de plus en plus forte. Il décida d'arrêter de se torturer et il laissa glisser Rosalie un instant pour s'éloigner et pour libérer son sexe. Il poussa un soupir d'aise avant de se rapprocher de nouveau Rosalie pour la coller. Il la resouleva avec aisance avant de la pénétrer sans plus de préambule. Un gémissement rauque s'échappa du fond de sa gorge et il attendit quelques secondes avant de se mettre à bouger. La friction de leur sexe dans cette position était juste parfaite et Luis avait fermé les yeux et entrouvert les lèvres pour mieux ressentir les choses. Il finit néanmoins par réouvrir les yeux pour avoir une vision de Rosalie au moment de la jouissance, il déposa sa tête dans le cou de la jeune femme tout en continuant avec des coups profond mais moins nombreux qu'en temps ordinaire, il la soulevait après tout et il sentait qu'il n'allait pas tenir encore très longtemps. Il finit par jouir en Rosalie mais ne s'arrêta pas de bouger pour autant. C'est en réouvrant les yeux qu'il réalisa qu'il n'avait toujours pas appris de son ancienne erreur et qu'il était supposé se protéger... il poussa un soupir contre la peau de la blonde et il s'éloigna quelques secondes avant de lancer un regard amusé à la jeune femme tout en remettant ses habits en place. « Tu sais, je pense que tu mérites un bon massage maintenant » avoua-t-il tout de même particulièrement fier de son coup.

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All I knew this morning when I woke is I know something now, know something now I didn't before....

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