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Shakespeare is in the place ! ✘ Zahra

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MessageSujet: Shakespeare is in the place ! ✘ Zahra Shakespeare is in the place ! ✘ Zahra EmptyVen 1 Juin - 21:58




Nathan & ZAHRA



Il fallait que je sorte, absolument. Rester enfermer dans mon appartement de Manhattan qui me paraissait tellement minuscule me rendait dingue. Bon, objectivement, mon appartement était loin d’être minuscule, mais quand on a grandi dans un château immense comme moi, un rien parait minuscule. Les beaux jours commençaient à arriver, et moi, je devais encore rester enfermer pour réviser afin de réussir mes partiels à la fac. Si on m’avait dit que les études de Droit étaient aussi difficiles, je ne sais pas si je m’y serais lancé à corps perdu de cette manière. Bien sûr, cela me plaisait, mais parfois je me disais : à quoi bon faire des études ? Une fois que mon père viendrait à disparaître, j’allais gouverner le pays d’où je venais : le Luxembourg. Alors pourquoi me casser la tête à faire du droit ? Sans doute parce que je n’avais pas envie d’être un souverain ignorant ? Le droit ne pourrait que me servir dans mon futur titre. Et j’étais le prince de Luxembourg, je voulais que les gens soient fier de moi, de leur prince qui fait de belle études dans un pays magnifique qu’est les Etats-Unis. Je profitais d’une pause entre deux révisions pour appeler ma mère : ça n’était pas facile de s’avoir au téléphone avec le décalage horaire. Celle-ci me fit alors part d’un petit évènement qui se tenait à Central Park ce mois-ci du mardi au dimanche soir : des représentations ouvertes à tout le monde de pièces de théâtre du fameux William Shakespeare. Shakespeare, était mon écrivain préféré depuis toujours, et mes parents m’avaient fait apprendre sa langue à mon plus jeune âge en me faisant lire presque toutes ses pièces : du fameux « Romeo & Juliet » à « As you like it » en passant par « Hamlet », j’avais tout lu, encore et encore. Si il y a bien quelque chose que je dévorais, c’était les livres de cet écrivain célèbre.

Jetant un petit coup d’œil sur internet, un sourire se dessina sur mon visage en voyant que ce soir même, ils allaient jouer ma pièce préférée : Romeo & Juliet. Je jetais un coup d’œil à l’horloge : dix-huit heures. J’avais largement le temps d’aller à Central Park. Ce qui était bien, d’avoir été élevé à peu près normalement, c’était que j’étais très sociable et j’arrivais à me fondre dans la masse. Pas comme certains Princes qui étaient élevés comme des nobles et qui ne supportaient pas de vivre avec des gens tout à fait « normaux ». Il y avait déjà pas mal de monde quand j’arrivais à Central Park. Je fronçais les sourcils et plissais les yeux pour chercher une place assise quand j’en repérais une au quatrième rang. Je me dépêchais d’y aller, me penchant vers la personne assise juste à côté de la place vacante pour lui demander, « Excusez-moi…il y a quelqu’un ici ou je peux m’assoir ? »


Dernière édition par M. Nathan De Luxembourg le Mar 12 Juin - 10:31, édité 1 fois
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MessageSujet: Re: Shakespeare is in the place ! ✘ Zahra Shakespeare is in the place ! ✘ Zahra EmptyLun 11 Juin - 22:03

En ce mois de juin pas tout à fait fabuleux, je mourrais d’envie de me divertir. Comme toujours, car je déteste rester inactive ou passer des soirées à traîner devant la télévision. Mon travail m’occupait beaucoup, au moins autant que mes leçons de persan au centre pour réfugiés. J’y passais beaucoup de temps, depuis quelques semaines. A vrai dire, l’Iran me manquait et passer plus de temps au centre me permettait de renouer avec mon peuple, d’avoir un peu de nouvelles du pays. Ou du moins des nouvelles plus proches de la réalité que celle que je traite chaque jour au bureau. Le métier de porte-parole dans une ambassade a quelque chose de surfait, d’un peu faux, qui me dérange. Les nouvelles sont toujours manipulées pour coller à une bonne image que l’Iran n’a pas. Mais au moins, je n’ai pas perdu tout contact avec mon pays d’origine.

Le fait d’avoir toujours le nez dans les journaux au travail me permet d’être toujours au courant de tout ce qui se passe à New York. Et ce mois de juin était particulièrement riche en évènements en tout genre : concerts, théâtre, musées… tout était fait pour me mettre l’eau à la bouche. En petite musaraigne que j’étais, je m’étais plutôt bien renseignée et avait déniché une représentation de Shakespeare dans Central Park, rien de moins. L’étrangeté et l’ampleur de la chose me faisait sourire. Les New Yorkais ne font jamais rien à moitié. Rien n’est assez bien pour eux, et ce qu’ils n’ont pas, ils l’inventent. Et voilà qu’ils inventèrent le théâtre dans les parcs. Curieuse, j’avais tout de suite mis une option sur mon calendrier. Je ne pouvais pas manquer cela !

Et j’eus pourtant toutes les peines du monde à arriver à destination. Mon travail m’avait accaparée plus longtemps que je ne l’aurais voulu et je dus me résoudre à un rapide saut à mon appartement pour me changer avant de sauter dans le métro direction Central Park. Pas mal de monde était déjà installé lorsque je finis par arriver et je dus me faufiler pour trouver une place de choix. Quatrième rang. Je me contenterais de cela. En réalité, c’était mieux que bien. Surtout que la place à ma gauche était libre. Je ne détestais pas les foules, mais n’avais jamais été très à l’aise, coincée entre deux inconnus. Mais soit, j’aurais tôt fait d’oublier mon malaise lorsque le spectacle commencerait. J’étais plongée dans le petit programme disposé sur le siège en plastique lorsqu’une voix masculine me sortit de ma concentration. Je ne pus réprimer un sursaut. C’était mon grand défaut : lorsque j’étais absorbée dans quelque chose, j’en oubliais le monde extérieur, si bien que je pouvais très bien foncer dans un passant ou hurler de peur lorsqu’on me tirait de mes pensées. En l’occurrence, j’avais plutôt bien géré ma frayeur et m’étais contentée d’un saut. Je jetai un rapide coup d’œil à mon futur voisin. Présentable, l’air bien élevé. Poli, de toute évidence, puisqu’il me demandait s’il pouvait s’asseoir à côté de moi. Je lui décochai un large sourire, il venait de gagner toute mon estime. Je détestais les gens qui s’imposaient et prenaient leurs aises. « Oh allez-y, installez-vous. Je suis venue toute seule. » Oui, seule, car aucun de mes collègues n’avait accepté de m’accompagner. Non pas que je les portais énormément dans mon cœur, mais je m’entendais plutôt bien avec certains jeunes de mon âge. Et aucun de mes amis n’aurait été mettre son derrière dans un siège en plastique moulé fort peu confortable pour écouter déclamer du Shakespeare au milieu d’une sacrée foule. Mes amis étaient un peu trop huppés pour cela, à mon grand désarroi. Ils gagneraient à se mêler à ce qu’ils appelaient la « populace ». « Alors, amateur de Shakespeare ? » J’étais plutôt sociable, et surtout curieuse. Cette question était sans doute stupide puisque ce garçon venait s’installer au quatrième rang. S’il avait voulu se contenter de passer du bon temps entre amis sur fond de théâtre, il aurait été s’asseoir dans l’herbe.


Dernière édition par Zahra N. Radan le Mar 12 Juin - 20:55, édité 1 fois
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MessageSujet: Re: Shakespeare is in the place ! ✘ Zahra Shakespeare is in the place ! ✘ Zahra EmptyMar 12 Juin - 10:47

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Nathan & ZAHRA



Ca n’était pas forcément mon genre, de m’incruster, mais la jeune femme assise avait l’air seule. Enfin, c’était ce que je déduisais : au pire, elle m’aurait dit que quelqu’un était assis à cette place, et j’aurais cherché un siège ailleurs. Ca me faisait toujours bizarre qu’à New-York, les gens ne me connaissent pas. Là où je venais, le Luxembourg, tout le monde savait qui j’étais : pas étonnant puisque j’étais l’héritier du trône, je faisais partie de la famille Royale et comme tout pays qui se respecte, les gens savaient qui faisait partie de cette famille. C’était comme la famille royale d’Angleterre, à la seule différente que le Luxembourg est beaucoup plus méconnu que l’Angleterre. C’était un tout petit pays, et c’était quelque chose qui me changeait aussi beaucoup, à New-York. Parfois, je me demandais si la taille de la ville n’équivalait pas à la taille du pays où je venais, tellement elle était immense. Mais je m’y plaisais beaucoup, car j’étais sûr de ne pas y croiser Apollinaria, cette fille que mes parents voulaient absolument que j’épouse. « Oh allez-y, installez-vous. Je suis venue toute seule. », me répondit la jeune femme alors que je lui avais demandé si la place près d’elle était libre. Un sourire se dessina sur mon visage et je m’avançais pour m’asseoir sur la chaise, remerciant la demoiselle au passage en me mettant le plus à l’aise possible. Je continuais de regarder autour de moi, commençant à chantonner "je voudrais déjà être roi" du dessin annimé de Walt Disney "Le Roi Lion", c'était le dessin animé préféré de mon frère lorsque nous étions petits, et en ce moment, j'avais cette chanson qui tournait en boucle dans ma tête sans arriver à m'en débarrasser. Lle petit coin aménagé pour le spectacle était noir de monde. En même temps, c’était un bon pari : qui n’aimerait pas aller voir une pièce de Shakespeare, une si agréable soirée et ça, gratuitement ? « Alors, amateur de Shakespeare ? » Je tournais mon regard vers la jeune femme près de moi. J’haussais les épaules et je regardais le programme que j’avais eu à l’entrée avec toutes les dates de tous les spectacles qui seraient joués ici. « J’adore Shakespeare, c’est mon écrivain préféré », lançais-je à la jeune femme. « En même temps, j’ai appris l’Anglais avec ses pièces depuis que je suis tout petit », continuais-je en souriant. Elle devait bien entendre que j’avais un sacré accent : enfin, je me débrouillais en Anglais, mais même si j’avais un plutôt bon accent, les gens comprenaient tout de suite que l’Anglais n’était pas ma langue maternelle. Je tendais ma main vers la belle brune pour serrer la sienne en guise de présentation, avant de continuer, « Je m’appelle Nathan, Nathan De Luxembourg, enchanté ». Je lui serrais la main, toujours en souriant, j’aimais beaucoup rencontrer de nouvelles personnes, surtout celles qui partageaient les mêmes centre d’intérêts que moi. « Je présume que vous aimez aussi Shakespeare ? » La pièce n’était pas prête de débuter, alors autant discuter un peu plutôt que de rester tout seul dans mon coin.
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MessageSujet: Re: Shakespeare is in the place ! ✘ Zahra Shakespeare is in the place ! ✘ Zahra EmptyMer 20 Juin - 20:56

D’ordinaire, je ne me montrais pas toujours très avenante avec les inconnus qui s’asseyaient à côté de moi. Bien que j’aimais New York et que j’avais plutôt tendance à être confiante, quelques rares expériences de pickpocket m’avaient assez refroidie sur la bonté humaine, ou du moins sur les bonnes intentions. Depuis mes rapts de portefeuille, je serrais toujours mon sac à main contre moi dans le métro et j’évitais surtout de me laisser trop approcher par les individus douteux. Mais ce garçon avait l’air bien sous tous les aspects et il m’inspirait assez confiance. Pour autant, je ne lui laisserais aucun accès à mon sac, que j’avais déposé sur mes jambes et duquel je ne décollais pas mes mains. Chat échaudé crains l’eau froide.

Mais soit, ce garçon chantait « Je voudrais déjà être roi », il ne pouvait pas être mauvais. C’était assez comique, bien que touchant. Peu d’hommes avouaient de manière aussi éhontée aimer les Disney. J’avais moi-même un faible pour ces dessins animés et ne pus m’empêcher de sourire en l’entendant chantonner discrètement. Je ne fis pour autant pas de remarque, cela me semblait assez déplacé.

Je l’appréciai d’autant plus lorsqu’il donna une réponse à ma question sur Shakespeare, bien que la question était ridicule. « J’adore Shakespeare, c’est mon écrivain préféré. En même temps, j’ai appris l’Anglais avec ses pièces depuis que je suis tout petit » Cela m’intriguait. Apprendre l’anglais avec les œuvres de Shakespeare était peu courant. Ce n’était pas l’auteur le plus accessible, ni le plus au goût du jour. Mais soit, c’était un choix intéressant. Je ne pus empêcher mes sourcils de se froncer d’intérêt. Son accent était assez intriguant également, un mélange de français avec un soupçon germanique. Mais je n’avais rien à dire, mon accent n’était pas parfait, bien qu’il s’en approchait. Je n’avais jamais réussi à me défaire de la prononciation persane de certaines lettres et il m’arrivait parfois de rouler les « r » si je ne faisais pas attention. Il me tendit une main que j’eus un peu de mal à décoller de mon sac, mais je m’y résolus rapidement, si bien qu’il ne dût pas remarquer mon hésitation. Ce n’était pas tant de lui que je me méfiais, mais de mon voisin de droite auquel j’aurais bien du mal à accorder toute confiance. « Je m’appelle Nathan, Nathan De Luxembourg, enchanté. » Un instant, je faillis le reprendre. Je n’étais pas américaine, mais je savais qu’on disait « du » Luxembourg. Mais à voir son allure, ses manières polies, j’eus brusquement un flash. De Luxembourg ? Comme dans héritier du trône ? Je me sentis m’écraser sur ma chaise. Et il se présentait avec un naturel déconcertant. « Bonjour, je suis grand-duc héritier. Ce matin j’ai mangé un croissant. » Mais soit, il devait vivre avec. Je sentis ma voix hésiter un moment. « Euh… enchantée également. Zahra Radan. » J’étais un peu gênée et il dut le remarquer, alors avant qu’il ne fasse une remarque, je le devançai, un peu plus assurée, cette fois. « Désolée, c’est que je ne rencontre pas souvent de membre de familles royales. » Je l’avais dit pratiquement en murmurant, car je ne voulais pas que tout le monde l’entende. Qui sait, il était peut-être ici incognito ? L’idée m’amusait assez, bien que ce fut fort peu probable. Les grands-ducs luxembourgeois étaient moins chassés par les journalistes que les héritiers de la couronne anglaise, par exemple. « Vous présumez bien. Et tout particulièrement Le Songe d’une nuit d’été. C’est une de ses pièces les plus réussies. Enfin, à mon sens. » Cette soirée s’annonçait plutôt bien. En dehors du fait que je venais de rencontrer un illustre personnage, j’allais pouvoir discuter avec quelqu’un qui avait les mêmes centres d’intérêt que moi. Cela me changerait de mes collègues.
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MessageSujet: Re: Shakespeare is in the place ! ✘ Zahra Shakespeare is in the place ! ✘ Zahra EmptyMar 26 Juin - 9:34




Nathan & ZAHRA



Ce que j’adorais, à New-York, c’était le fait que mon anglais parfois mal parlé ne choquait jamais personne : il y avait tellement de gens de nationalité différente, que finalement, je ne rencontrais pas souvent d’Américains pur souche. Ça a l’air bête à dire, mais New-York était un vrai flot de cultures différentes et ça me faisait du bien, car je ne me sentais pas être le seul à être totalement dans cette immense ville. Mais ce qui me plaisait, plus que tout, c’était l’anonymat, et très peu de gens faisaient la relation entre mon nom de famille, et le statut que je pouvais avoir dans mon pays. Bien sûr, ils devaient très vite comprendre que l’Anglais n’était pas ma langue maternelle mais je dois avouer que d’avoir parlé Allemand couramment dès mon plus jeune âge m’avait beaucoup aidé dans l’apprentissage de la langue Anglaise. Le Luxembourg, chevauchant beaucoup de pays m’avait obligé à savoir en parler un bon nombre, comme le Français, langue que la plupart des Luxembourgeois parle, et l’Allemand. Mais du à mon statut, j’avais aussi dû apprendre à parler l’Anglais, langue presque universelle, mais aussi l’Italien, l’Espagnol et j’avais quelques notions en Russe et en Chinois. C’est certain que j’avais eu une éducation très suivie par mes parents, et si petit je trouvais qu’apprendre autant de langues était inutile, aujourd’hui, je me réjouissais de savoir parler autant de langues, car c’est monnaie peu courante tout de même.

Dès que je me présentais à la jeune femme, je vis tout de suite dans son expression faciale qu’elle avait compris ce que « De Luxembourg » signifiait. Dans le monde, le Luxembourg n’est pas un pays fort connu au vue de sa petite taille, mais les gens, quand ils s’y intéressaient, connaissaient plus mes parents que moi-même puisque je n’étais pas encore sur le trône, et j’espérais devoir attendre encore longtemps avant d’endosser toutes les responsabilités que cela implique. « Euh… enchantée également. Zahra Radan. » J’hochais la tête, son accent me laissait croire qu’elle non plus ne venait pas d’ici, certainement d’un pays oriental. « Désolée, c’est que je ne rencontre pas souvent de membre de familles royales. » Je ris légèrement, j’avais l’habitude de ce genre de réaction quand les personnes connaissaient mon rang, mais en Amérique, j’étais plus un jeune immigré comme les autres qu’un descendant du trône. Les gens pensent toujours qu’au vu de mon statut, je n’ai pas grandi normalement et pourtant, ma famille a, au fond, tout ce qu’il y a de plus normale. « Vous n’imaginez même pas à quel point les familles royales sont comme les autres, à la seule différence qu’elles ont un peu de pouvoir et qu’elles vivent dans un grand château », répondais-je en lui lançant un clin d’œil. Les meilleurs souvenirs que j’avais avec ma famille étaient les souvenirs les plus simples, comme les petits déjeunés sur la terrasse du château près du jardin sous le soleil levant ou les barbecue que faisait mon père. « Vous présumez bien. Et tout particulièrement Le Songe d’une nuit d’été. C’est une de ses pièces les plus réussies. Enfin, à mon sens. » Je souris, en général, les étrangers n’aiment pas trop Shakespeare car le vieil Anglais est très compliqué à comprendre pour un étranger. C’était rare de trouver quelqu’un qui appréciait ça presque autant que j’appréciais cet auteur. Je ne regrettais vraiment pas d’être venu. « Je dirais que je préfère Romeo & Juliet, ça a l’air bateau, mais même si les gens trouvent cette pièce dramatique, au fond, je pense que c’est la plus belle histoire d’amour jamais écrite. Car même si leur fin est tragique, elle prouve aux gens que le nom et la classe sociale ne devrait pas empiéter sur l’amour qu’on porte à une personne. » Je souris légèrement, en disant ça, je pensais à Apollinaria que mes parents voulaient que j’épouse pour en faire la future reine du Luxembourg.
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Shakespeare is in the place ! ✘ Zahra

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