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« un plat pour deux. ou pas ! »

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MessageSujet: « un plat pour deux. ou pas ! » «  un plat pour deux. ou pas ! » EmptySam 16 Jan - 19:45

«  un plat pour deux. ou pas ! » Yj16 «  un plat pour deux. ou pas ! » Cw4
« qui aime bien, châtie bien. »
Oméline&Icare

Le restaurant, c’était bel et bien le dernier endroit où on aurait pu voir notre jeune texan. Qui l’eut cru ? Pas nous en tout cas. Pourtant c’était bel et bien ici qu’il avait décidé de déjeuner aujourd’hui, dans un restaurant. Pas n’importe lequel bien entendu, un restaurant français. On disait tellement de bien de la gastronomie qu’on se devait la goûter un jour. Les plats concoctés ici font jouir vos faibles papilles d’un coup de fourchette dit-on. Alors si on écoutait tous les avis sur ce restaurant de fins gastronomes apprentis, Icare trouvera son bonheur gustatif en quelques senteurs. Etait-ce vrai ? Le seul moyen était alors d’y aller.

De l’intérieur, on vu rapidement la porte s’ouvrir petit à petit en affichant ainsi la silhouette d’un grand jeune homme. La vingtaine d’année pouvait-on lui donner comme ça à vu d’œil. Ce pauvre type avec son jean et sa chemise entre-ouverte n’était autre qu’Icare. Oui, Icare, notre fameux personnage. Ses yeux de pauvre garçon perdu rechercha une table tout en observant ses abeilles butiner ces assiettes remplis de bouffes. De nourritures françaises s’il-vous-plait. Tel un petit enfant, le militaire avança d’un pas timide dans le restaurant, tout semblait grand, trop grand même. C’est alors qu’une serveuse se précipita et se jeta presque sur notre petit gars de vingt-cinq ans – à croire qu’elle n’avait jamais vu de jeune homme de sa vie celle-là ! – et l’emmena à une table tout en lui fredonnant quelques paroles. Tellement impressionné par le nombre de tables et par les abeilles butineuses présentes en ce lieu qu’Icare ne prêta même pas attention à ce que pouvait lui dire cette fille. Elle aurait pu lui dire qu’il était con ou bien lui laissait son numéro de téléphone – enfin son 06 comme disait les jeunes de nos jours – qu’il n’aurait même pas réagi. Dans ce cas, disons ‘tant pis pour toi’ à cette serveuse aux airs pathétiques. Une fois installé, notre texan semblait légèrement intimidé par les lieux. Aucun geste, aucun bruit, c’était limite s’il ne se retenait pour respirer ! A vrai dire, on le savait bien et Icare lui-même le savait, ce n’était pas vraiment le genre d’endroit où il était à l’aise. On était bel et bien loin des petits bars où l’on rejoignait les potes de beuverie juste pour boire cinq ou six verres par-ci, par-là. Non, ici, on trouvait plus des gens en couple pour des repas aux ambiances romantiques et ceux qui étaient seuls et qui semblaient attendre quelqu’un. Icare ne faisait pas parti de ce dernier groupe, il ne faisait déjà pas du tout parti du premier, il était le profil anticonformiste. Rien ne l’avait obligé de venir là, seulement la curiosité. La curiosité était un vilain défaut lui répétait-on souvent, c’est vrai que quand on est curieux, on voit ou entend des choses qu’on n’était pas sensé voir ou entendre. Parfois la curiosité avait ses bons côtés, dés fois non. Il fallait juste juger le bon degré de curiosité au bon moment, tout semblait être digne d’une histoire d’un mathématicien qui se creusait la tête pour un calcul qui n’allait lui servir à pas grand-chose au final. Elle nous guidait à des endroits et aujourd’hui, c’était dans ce restaurant frenshy qu’elle avait guidé Icare, point.

Ces gens parsemés à droite ou à gauche de la salle semblaient si déconnectés de cette planète sur laquelle notre petit gars semblait vivre. Des vieux, des moins vieux et des jeunes étaient présents dans cette lumineuse pièce. Tellement distrait à regarder, à examiner, à observer minutieusement chaque personne qui se trouvait sous ses yeux que l’américain en oublia totalement la carte. Vous savez la carte, cette espèce de papier cartonné où il y a d’écrits tous les petits plats que l’on peut déguster avec envie. Ah imaginez qu’à cet instant un serveur ou bien la serveuse de tout à l’heure vienne pour lui demander ce qu’il désire pour son repas, tellement pris au dépourvu que le jeune homme serait capable de répondre « un cheese burger please ! » avec un sourire digne des couvertures de magasine de mode. Oui, c’est vrai qu’à ce moment, on l’aurait pris pour l’abruti du SIECLE qui aurait confondu : restaurant avec fast-food. Heureusement pour lui, et pour nous aussi, cet épisode n’arriva pas. Il peut s’estimer heureux et continuer à regarder avec intention les gens. C’est vrai qu’il fallait l’avouer à cet instant, notre beau jeune homme –ben oui, il est beau quand même, hein- était comme déconnecté de cette maudite planète qu’est la Terre. Ses prunelles marron ne restèrent plus longtemps en mouvement, en effet, elles avaient trouvé un point fixe à observer avec attention. Tout juste à sa droite, une jeune femme, une ravissante jeune femme il ne fallait pas se le cacher. Une petite blonde, ses airs trahissaient son impatience. Elle attendait sûrement quelqu’un, un rendez-vous avec un jeune homme à tous les coups…

    Spoiler:
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MessageSujet: Re: « un plat pour deux. ou pas ! » «  un plat pour deux. ou pas ! » EmptyDim 17 Jan - 21:58

"-Excusez-moi ! J'ai rendez-vous avec un jeune homme, il se prénomme John, je sais pas à quoi il ressemble mais il doit avoir avec lui, une rose blanche. L'avez-vous vu ?

Une femme, qui devait être une sorte de réceptionniste, à qui s'adresser Oméline leva sa tête du cahier qu'elle été entrain d'observer et d'un regard plutot hautain et moqueur comme si elle avait jamais vu une jeune fille avoir un rendez-vous galant avec un jeune homme qu'elle n'avait jamais vu, c'est sûr qu'elle avec sa vielle tête de bique devait être marié avec deux enfants dans sa petite maison du bonheur. Elle lui fit non de la tête avant de l'amener à une table et repartie aussi tôt. Oméline s'installa à la table et décida d'attendre l'arrivée de son rendez-vous, elle se dit que c'était sa faute, elle avait dû arriver trop tôt, mal compris l'heure qu'il lui avait indiquait et si elle s'était trompé de restaurant ? ou même de jour qui sait ? Oméline se posat dès tas de questions, il faut avouer qu'elle était assez strésse, déja qu'on est stressé lors du premier rendez-vous mais alors qu'en plus on ne connait pas la personne c'est encore plus, on se demande si l'autre personne ne sera pas déçu, si on sera aussi jolie qu'il l'imaginait, va-t-il nous trouver intéressante, pas trop stupide ? Oméline avait rencontré ce jeune homme sur internet, et oui elle faisait partie de ces personnes qui avait décidé de tester les sites de rencontres, vous savez ces sites où après vous entendez dans les émissions télévisée ou dans les journaux féminin, où ces femmes raconte qu'elle ont rencontré le prince charmant grâce à Meetic, qu'elle était déçu de l'amour, qu'elle pensait que ça ne marchait pas mais finalement son rêve c'est réalisé alors vous vous dîtes pourquoi pas moi.Elle avait communiqué par E-mail avec lui pendant environ 3 semaines, ils avaient parlé de tout et de rien puis un jour il lui demande de se voir en vrai et elle accepta sans hésité, celui-ci proposa donc ce restaurant français dont les critiques était excellente, tout le monde disait que c'était de la vrai gastronomie, Oméline n'osa pas lui dire qu'elle aimait autant la cuisine américaine, elle adore manger au Fast-Food mais bon c'est pas le top pour un premier rendez-vous puis comme ça comme toutes les filles qui se respecte, elle fera croire au début à l'homme qu'elle ne mange pas beaucoup. Quelques minutes plus tard, une serveuse arriva et lui tendit la carte, d'un geste de main elle l'a refusa disant qu'elle attendait quelqu'un et qui n'allait pas tarder, la serveuse leva les yeux au ciel montrant qu'elle trouvait ça pathétique. Non, mais franchement Oméline se demanda où était-elle tombait, quelqu'un lui lançait encore un regard comme ça, elle les remettrait à leurs place du moinssi elle en avait le courage, faut pas oublier qu'Oméline est un bonne poire tout de même.

Cela faisait à présent plus d'une heure qu'elle était toujours là seule à sa table, John n'était toujours pas là. A chaque fois qu'elle voyait quelqu'un arriver, elle levait sa tête espérant voir ce mystérieux homme avec une rose blanche mais ce n'était jamais lui, elle ne cesser de regarder l'heure sur son portable, elle remettait correctement sa rose sur la table pour que ci il arrive, il l'a voit tout de suite. Cette scène lui rapella le film " Vous avez un message" avec Meg ryan et Tom Hanks, elle adorait ce film, bon son histoire ressemblait mais était tout de même très différente mais elle voulait bien que ça se termine de la même façon que le film, mais ses espoirs s'envola, il fallait qu'elle se face à l'idée qu'on lui avait posé un lapin, elle n'avait vraiment aucune chance en amour. Elle qui avait pris des heures à se préparer, elle ne trouvait pas dans toutes ses créations qui avait du succès pourtant auprès des autres femmes une qui lui convenait, elle changea de coiffure toutes les deux minutes, ne savait pas si elle devait beaucoup se maquiller de peur de ressembler à une prostituée ou de rester naturelle. Finalement elle avait opté pour une petite robe bustier jaune pâle coupé par une ceinture noir, ses cheveux elle avait fait une tresse sur le côté, maquillage plutot simple et le pire elle avait mis des escarpins de la même couleur de la robe à talons le plus haut qu'elle avait, et elle lui faisait un mal de chien. Tout ses efforts pour rien si au moins en lot de consolation elle avait le droit comme Ross dans la série "Friends" à une tarte aux crabes gratuit. Elle regardait autour d'elle, c'est là que son regard croisa celui d'un jeune homme qui lui était pas inconnu, Icare. Oméline se dit d'un coup "Oh non pas lui" , pas maintenant" et elle eut le réflexe de mettre son bras devant sa tête comme pour se cacher malgré le fait qu'elle savait que c'était trop tard qui l'avait remarqué et peut-être depuis longtemps.


Dernière édition par Oméline Ballexier le Mar 23 Fév - 14:39, édité 2 fois
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MessageSujet: Re: « un plat pour deux. ou pas ! » «  un plat pour deux. ou pas ! » EmptyVen 22 Jan - 20:10

Cette analyse aurait pu s’arrêter là, mais pourtant Icare semblait porter un regard insistant sur cette jeune fille. Non, il ne compte pas la violer, ni la mettre sur la table comme ça je vous rassure et puis ce n’est pas vraiment le genre, laissons cette scène érotiquement fantasmatique aux réalisateurs de film. Ils sont bien plus doués que moi dans ce type de scénario, je pense voyez-vous, mais retournons à nos moutons voulez-vous. Alors que les yeux de notre soldat ne se détachèrent pas de cette petite créature, soudainement, ou pas vraiment soudainement, leurs regards se sont croisés. Non, ce n’était pas comme dans les films remplis de romance qui dégouline à droite, à gauche, en haut, en bas de l’écran, ce ne fut pas … comment dire, le coup de foudre en un seul regard. Genre, la pauvre fille abandonnée regarde le jeune homme par hasard et comme par hasard, elle tombe amoureuse de lui. Hep, on retombe de ces pseudo-nuages, on est dans la réalité là. Bannissons ce scénario digne d’un film de notre esprit. Alors que la jeune femme essaya de faire comme si le soldat ne l’avait pas vu, un rictus se dessina au bout de ses fines lèvres quand il remarqua cette réaction. Non cette réaction ne se révéla pas être un signe d’intimidation, mais plutôt le fait que cette jeune demoiselle ne souhaita pas voir l’homme, ne pas l’avoir dans les pattes. En effet, ces deux là se connaissaient et cette jolie blonde n’était autre qu’Oméline.
Oméline. Oméline, c’était cette fille, une jeune femme, la vingtaine d’année, elle tenait une boutique d’habits –le genre de truc qui était le paradis des femmes– on ne savait pas vraiment pourquoi, mais ces deux là quand ils se retrouvaient nez à nez, ça se finissait en une querelle de mots et de reproche. Pourtant, ironiquement, il n’était pas surprenant de voir l’un ou l’autre frapper à la porte de l’autre pour des raisons vraiment inconnues. Il était sûr que si la jeune femme restait seule, un grand méchant loup allait prendre la place du beau prince charmant. Au moment où Oméline mit son bras devant son visage histoire de se cacher le visage, Icare se leva et approcha discrètement d’un pas de loup derrière la jeune femme assise et se mis à lui susurrer quelques mots à l’oreille :
    - Il faut croire que le beau prince charmant sur son cheval blanc s’est trouvé une autre princesse pour le déjeuner, pas trop déçu j’espère ?

Un petit rire amusé sourd s’étouffa entre ses deux lèvres et le jeune homme décida de s’asseoir à la table juste à côté de celle de la ‘princesse’, la chaise étant positionnée de manière à ce qu’il lui tourne le dos. Icare s’imagina dés alors la tête de la jeune femme à cet instant au moment où il venait de lui dire ce quelques mots qui auraient pu être très blessant pour une gamine dans une cours de récréation. On savait tous que les filles croyaient au prince charmant, le garçon idéalement parfait pour elle, après tout la perfection est tout à fait relative et donc difficile de généraliser la description de la perfection. Les petites filles, elles, elles le veulent grand, fort, intelligent et très beau… les jeunes femmes, elles ? Elles le veulent comment dites-moi ? Certaines le veulent junky, d’autre bad boy, d’autres petit dandy bien sur lui, un marginal, enfin la liste est longue… Et les garçons dans l’affaire, hein ? On les stéréotype tous de la même manière, comme s’ils étaient tous dans le même sac. Genre les ‘messieurs’ aiment les grandes blondes avec pas grand-chose dans le cerveau et une bonne paire de seins qui ressemblent plus à des airbags à vrai dire. Oui, ben non ! Ce n’est pas vrai ! Les stéréotypes, ces bons vieux clichés qui nous suivent une bonne partie de notre vie. Après tout, il était très facilement de stéréotyper tel ou tel personne de nos jours, les personnes se montrant de plus en plus superficielles. A croire que dans le monde dans lequel nous vivons, des étiquettes sont réellement collés sur notre face. Nul ne pourra dire le contraire, gommer cette étiquette sur notre front est difficile, très difficile. Bonne chance à ceux qui voudront supprimer leur très jolie étiquette donnait par la société.
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MessageSujet: Re: « un plat pour deux. ou pas ! » «  un plat pour deux. ou pas ! » EmptyMer 27 Jan - 17:11

Tout le monde le sait, restaurent français rime avec restaurent romantique, parfais pour les rendez-vous amoureux. Oméline qui était encore et toujours seule à sa table, observa les autres personnes présente, et comme je vous le disez, il y avait quelques hommes d'affaires avec des collaborateurs sûrement mais géneralement il n'y avait presque que des couples, Des hommes qui tout en parlant avait leur main dans celle de leurs fiancées et on pouvait lire de l'amour dans leurs yeux, des femmes qui faisaient du pied sous la table, on savait tous comment ça se finirait pour eux et certains qui comme Oméline était venu ici pour leur premier rendez-vous, c'était facile à remarquer c'étaient les tables où on pouvait apercevoir une jeune femme rire aux blagues du jeune homme, rougissant aux moindre compliments. Oméline les enviait, avant de venir, elle c'était exactement imaginé à la place de ces couples et non pas à être la pauvre blondasse seule, que les serveurs regaidait avec pitié se demandant si elle allait enfin commander, se rendant compte que son homme mystérieux ne viendrait pas. Oméline qui continuait son observation, c'est donc à ce moment là qu'elle croisa le regard de ce cher Icare, et sincérement c'était pas vraiment le moment où elle avait envie de le voir. Vous vous demandez sûrement mais pourquoi ? On lui a posé un lapin, alos pourquoi pas inviter ce beau soldat de 25 ans à venir à sa table pour s'occuper. Mais Icare et Oméline ne sont pas amis, c'est plutot le contraire dès qu'ils se voient, le ton monte et les noms d'oiseaux fusent de tout les côtés,mais comme on dit "entre l'amour et la haine, il n'y a qu'un pas" et il faut avouer qu'il arrive souvent qu'un des deux sonne à la porte de l'autre quand il sont trop seul,mais pour Oméline une chose est sûre du moins c'est ce qu'elle dit, elle le déteste point !

Oméline eut un réflexe de gamine, elle mit sa tête derrière son bras, pour se cacher,priant pour que le jeune homme ne l'est pas vu mêe si elle savait que c'était trop tard leurs regard c'étaient croisé. Oméline toujours le visage cachait derrière son bras lorsque d'un coup elle sursauta, elle n'avait pas fait attention qu'Icares'était levait, glisait derrière elle et il lui chuchota une phrase à l'oreille avant de rire légerementet de s'assoeir à la table d'un coté de façon à lui être de dos. Pour qui se prenait-il pour lui parler de prince charmant ? Oméline avait horreur de ça, qu'on se moque d'une fille juste parce que elle rêvait du prince charmant mais pourquoi n'aurait-elle plus le droit d'y croire, pourquoi y croire serait-il interdit ? Et puis c'est la faute aux parents, pourquoi continue-t-il à lire lorsqu'on est enfin des contes de fée, si c'est pour après nous dire qu'il existe pas ou c'est aussi la faute de Disney. Oméline savait qu'il fallait qu'elle réplique quelque chose, elle ne pouvait pas le laisser gagner, la ridiculiser, elle se retourna vers lui.

- Mais qui te dis que j'attend quelqu'un d'abord ?

Oui, je sais question idiote, cela se voyait à des kilomètres qu'elle attendait quelqu'un et que cette personne lui avait posé un lapin, elle n'avait cesser de regarder son portable toutes les deux minutes, levait sa tête dès que quelqu'un rentrait et en plus une rose blanche sur la table. Celui qui ne l'aurait pas deviner, devrait vraiment être imbécile alors.

- Oh et puis zut ... T'es .... Tu... Je t'emmerde voila.

Oméline lui donna une sorte de claque derrière la tête, après sa question débile, elle savai qu'il fallait qu'elle dise de nouveau quelque chose avant qu'il réplique lui aussi mais voila Oméline ne trouvait pas les mots Oméline n' jamais été très doué pour ça, elle n'a pas vraiment le sens de la répartie et depuis toute petie, elle ne gagne jamais à ces petits jeux-là. Et comme d'habitude elle eu une réaction qu'une petite fille de cinq ans aurait eu.


Dernière édition par Oméline Ballexier le Mar 23 Fév - 14:38, édité 2 fois
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MessageSujet: Re: « un plat pour deux. ou pas ! » «  un plat pour deux. ou pas ! » EmptyDim 7 Fév - 15:58

Voyez-vous les gens seuls à leur table se faisaient rares, très rares. Ils étaient ce genre d’espèce en voie d’extinction qu’il fallait tant protéger, oui c’est décidé demander, je monte une association pour la survie des gens solos au resto ! Parce que vous me prenez vraiment au sérieux ?! Ahaha, pauvre lecteur ! Plus sérieusement. Certains hommes venaient en solitaire traquer les jolies filles qui venaient en groupe, bien entendu ce type de filles n’étaient pas comme toutes les autres. Elles avaient l’argent et étaient en général de futures héritières, certaines étaient loin d’être inoffensive, loin d’être ces petites filles sages. Oui alors, pendant que je ne vais pas terminer ma théorie sur la population des restaurants français au plein cœur de New-York, vous vous demandez bien pourquoi Icare n’invite pas la jolie fille à sa table ? Si seulement vous saviez ce qui se passe dés qu’ils sont ensemble… enfin vous allez bientôt le voir sous vos yeux, en direct live comme le disent ces stupides animateurs télé.

C’est vrai quoi, il ne faut pas le nier. N’importe quel gars se serait jeté sur l’occasion pour l’inviter à sa table, à dîner, lui payer son repas même tout cela en lui faisant la cour pour avoir un numéro, un autre rencart ou même mieux encore se donner rendez-vous en pleine nuit dans le lit pour achever orgasmiquement cette journée. Vous voyez vous Icare entrain de proposer à Oméline : ‘viens donc à ma table !’, vous rêvez donc petits lecteurs. Si vous voulez une guerre armée de fourchettes, de couteaux et de petites cuillères, c’est ce qu’il faut. Ceci dit mise à part qu’ils décident de quitter le restaurant sans même prendre un repas, de se quitter à la porte et de suivre chacun son chemin, il y avait une infime chance qu’ils mangent ensemble. A vrai dire, la scène serait plutôt marrante. Imaginer les deux êtres qui ne peuvent pas se sentir, qui se détestent quoi, l’un en face de l’autre dans un restaurant, un restaurant français en plus.
La France, on lui avait dit que c’était un beau pays, beau, beau tout était relatif à vrai dire. La langue était assez étrange et difficile, mais avouons-le c’est toujours marrant de voir des petits français essayer de parler en anglais. Ils ont un accent si… si spécial, enfin il leur est propre et ça, on ne va pas leur piquer, hein. Au cours d’une de ses missions, le soldat Zetterman a eu l’occasion de rentrer quelques êtres de cette patrie quelques peu chauvins sur les bords. Cela lui avait permis de remplir son bagage linguistique de quelques insultes et phrases types grivoises ; ils n’allaient comme même pas lui apprendre des phrases scolaires, cela aurait beaucoup moins intéressant. Ceci dit ce détail n’a vraiment pas d’importance pour notre déjeuner français. Il n’allait quand même pas se mettre à insulter de tous les noms une minable assiette rempli de nourriture…

Quelques secondes après s’être installé à la table, la voix de la petite blonde retentit aux oreilles du Texan.
    - Mais qui te dis que j'attends quelqu'un d'abord ?
Un petit hochement de tête, un sourire amusé presque cynique se dessina sur ses lèvres. Que cette phrase pouvait dégouliner de niaiserie. Par moment où on pouvait se demander si les gens étaient réellement niais ou ils le faisaient exprès. C’est vrai certaines situations faisaient que sans le vouloir, elles nous donnaient l’impression d’être un sombre idiot. On ne pouvait pas en vouloir à ces personnes, mais c’est tellement marrant de les voir ainsi. Que voulez-vous Icare ne pouvait donc pas en vouloir à la petite blondinette d’avoir sortie une phrase assez peu recherchée. Peut-être était-ce vrai, elle aurait pu ne pas attendre quelqu’un, mais tout traduisait chez Oméline l’inverse. Tout du moins, c’était ce qu’Icare en avait conclu.
    - Oh et puis zut ... T'es .... Tu... Je t'emmerde voila.
Quelques secondes après que la jeune femme répliqua, le militaire reçut une petite tête derrière la tête loin d’être dangereuse, voire même douloureuse. Un petit geste gentillet et inoffensif d’une fille. Sans dire un mot, il se retourna en direction de la petite Suisse.
    - C’est ce genre de réaction qui me le fait dire vois-tu…

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MessageSujet: Re: « un plat pour deux. ou pas ! » «  un plat pour deux. ou pas ! » EmptyMar 23 Fév - 14:31

- Oh et puis zut ... T'es .... Tu... Je t'emmerde voila.

Bah oui, je vous l'avez dis et même répeté plusieurs fois Oméline et la répartie ça fait deux pourtant depuis quelques semaines elle passait pas mal de temps avec samantha, normalement elles se s'entendent pas elles sont bien trop différente, mais depuis quelques temps Oméline avait pris une décision radical, elle en avait marre d'être une bonne poire, de devoir faire semblant d'être toujours joyeuse, de toujours sourire quand elle était petite sa mère ne cessait de lui répeter "Aime la vie, souris lui, et tu verras, tout te sourira." et sincérement elle doutait de plus en plus de cette phrase, elle a suivie ce conseil et pourtant la vie ne lui a pas tout le temps rendu bien au contraire surtout si on regarde sa vie sentimental, un vrai désastre. Alors en trainant avec samantha elle se disait que celle-ci réussirait à la rendre un peu plus ... bitch ! Mais pour l'instant c'est pas gagné mais sûrement parce que oméline et une bonne poire, une fille gentille et souriante, niaise pour certains mais on ne peut pas chasser qui on est vraiment. Puis sincérement c'est pas ce qui l'a rend attachante ? Oméline qui lui avait demandé ce qui lui faisait dire qu'elle attendait quelqu'un alors que ça se voyait gros comme la figure, elle faisait tellement désespéré seule à sa table, rose blanche sur la table, fixant sans arrêt son portable ou à chaque claquement porte pour voir si son mystérieux rencart allait enfin franchir le seuil, lui dit que justement c'était sa réaction qui lui faisait que de le confirmer, c'est vrai qu'avec la petite tappe de fillette de sept ans qu'on donne à son camarade de classe parce que il s'est moqué de notre jolie pull tricotait par notre grand-mère et qui géneralement ne cesse de nous gratter, cela confirmait encore plus qu'on lui avait posé un lapin.

La serveuse qui était venu tout à l'heure lui tendre la carte des menus mais qu'oméline avait refusé lui expliquant qu'elle attendait quelqu'un et cette dernière était parti avant de lui lancer un regard pathétique revient à la table, oméline pensait que celle-ci allait retenter de lui proposer la carte, et cette fois-ci elle allait accepté car elle s'était enfin fait à l'idée que son rendez-vous le viendrait plus mais elle c'était trompé, elle et à peine le temps de faire ou de dire quelque chose que cette serveuse lui débala ses quatres vérités, lui expliquant que soit elle se décidait enfin à prendre sa satané commande soit elle serait obligé de quitter la table et d'aller manger ailleurs car il n'avait pas que ça à faire,d'autres personnes attendait et que sincérement il fallait qu'elle se fasse à l'idée qu'il viendrait jamais et qu'en là regardant elle comprennait qu'il lui est posé lapin. Oméline en restait bouche-bée, elle n'arrivait pas à croire que cette conne de serveuse se permettait de lui dire des chose pareil, sa n'existe pas où quoi des réunions de travail où on leurs apprend à respecter les clients car à mon avis si ça existe, celle-ci à du les sécher. Elle se demandait dans quel restaurent elle était tombé et une chose était sûre c'était la dernière fois qu'elle y mettait les pieds. Oméline se leva donc de sa chaise, se plaça en face la serveuse sincérement à se moment là elle avait une envie de la frapper mais elle savait très bien qu'elle ne le ferait pas, elle ne savait pas trop quoi faire à ce moment devait-elle essayer de répliquer quelque chose ou devait-elle quitter le restaurent, mais si elle le faisait c'est comme si elle donnait raison à cette fille en plus se faire traiter de la sorte devant Icare l'homme qu'elle déteste le plus, elle était déja entrain d'imaginer ce dernier se moquer d'elle et de lui resortir ce qui s'était passé à chaque fois qu'ils se croiserait de nouveau. Il fallait qu'Oméline fasse quelque chose mais quoi ? là était la question, c'est à ce moment qu'en regardant le serveuse, elle remarqua que celle-ci ne la regardait plus mais avait le regard fixait sur Icare, comme si elle était en admiration devant lui c'est donc là qu'Oméline eu un flash, elle avait enfin trouvé la solution pour foutre la rage à la jeune femme. Oméline lui avait tourné le dos, pour faire dorénavant face à Icare

- Chéri, tu sais bien que je déteste ta blague de faire exprès d'arriver en retard pour que tout le monde croit qu'on m'a posé un lapin, à la fin c'est plus très drôle.

Oméline ne laissa pas le temps à Icare de faire quoi que ce soit, qu'elle se pencha vers lui et d'un coup elle l'embrassa, ce n'était pas un léger baiser bref et rapide, non c'était le baiser long et bien tendre, vous savez le baiser que se font les amoureux sur les bancs public pour bien faire voir à tous le monde qu'il sont fou amoureux et vous lorsque vous êtes célibataires vous les détester au plus haut point. Bon vous avez compris je ne vais tout de même pas vous faire à dessin - en plus je ne sais pas dessiner donc ça ne vous aidera pas plus - Il faut aussi rectifier une chose si Oméline l'embrasse ce n'est pas pour le plaisir, non c'est juste pour emmerder la serveuse, elle était déja entrain de l'imaginer les regarder dégoutés.

- S'il te plait joue le jeu.

Losqu'Oméline retira ses lèvres de celle d'Icare, elle lui chuchota cette phrase à l'oreille espérant qu'il accepte car imaginait qu'il refuse, oméline risque d'avoir bien la honte . Elle s'assit à la table d'Icare et d'un claquement doigt demanda la carte à la serveuse dès qu'ils eut enfin choisit ce qu'ils allaient prendre, la serveuse s'en alla vers les cuisine mais avant se retourna de nouveau vers eux, elle lança d'un regard déçu et surtout d'incompréhension se demandant sûrement comment Icare pouvait sortir avec Oméline. Oméline soupira et oui maintenant grâce ou plutôt à cause de son plan si géniallisime, elle allait être obligé de passer un rendez-vous romantique et de faire croire qu'ils forment un couple avec l'homme qu'elle ne pouvait pas supporter. Je sens qu'on va bien s'amuser les amis !
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