It's New York City bitches ! And it's my motherfucking dream
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Gives you hell •• Noam & Win

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MessageSujet: Gives you hell •• Noam & Win Gives you hell •• Noam & Win EmptyJeu 28 Aoû - 21:31

Kaya était détendue. Pour le moment. Elle savait qu'à tout moment cela pouvait changer. Et ce très rapidement. Noam avait un certain don pour la faire sortir de ses gonds et elle ne doutait pas qu'avec Win en plus, le mélange pourrait être d'autant plus efficace. Elle n'avait pas vraiment écouté la conversation des deux pendant le trajet, plus perdu dans ses pensées qu'autre chose. Elle n'allait pas les laisser gâcher son jour de congé. Bon, avoir accepté d'y aller avec les deux n'étaient peut-être pas la meilleure des idées à la base. Mais il faisait chaud, elle n'était pas allée à la plage de l'été alors elle avait envie d'en profiter elle aussi. Elle avait pensé à amener Rambo mais comme les chiens n'avaient pas le droit de se baigner et devaient être tenus en laisse elle avait préféré le laisser chez son père. Il ne supporterait sûrement pas cette chaleur et elle l'amènerait courir en rentrant de la plage. Si elle en revenait en vie. Elle avouait avoir de légers doutes par moment. Elle avait l'impression de se trouver avec deux gamins. Mais elle n'avait pas l'intention de faire du baby-sitting. Elle espérait qu'ils seraient trop absorbés par leur propre bêtise pour faire attention à elle. La probabilité était mince mais elle avait quand même de l'espoir. Ils trouvèrent une place dans le parking sans trop de difficulté. Kaya prit son sac, sa serviette et n'attendit pas les autres pour s'avancer et regarder la plage. Elle lâcha un soupir en regardant l'horizon. Elle aimait cette odeur. Ça lui rappelait quand elle allait à la plage au Chili avec ses frères. Même si elles étaient plus belles là bas que celle-ci. Mais ça ferait l'affaire. Pour New York c'était déjà pas mal. Il y avait du monde mais la plage était assez grande pour qu'on n'ait pas à être collé aux gens. Elle ne supportait pas ça et ne comprenait pas ceux qui venaient se mettre juste à côté des autres. Elle déposa sa serviette quand elle trouva un espace assez grand qui la satisfaisait. Elle quitta ensuite son short et son débardeur puis leva le nez vers Noam et Win. « Vous pouvez aller construire un château de sable les enfants. Leur dit-elle. » Puis esquissant un petit sourire elle ajouta même : « Je t'autorise à enterrer Noam. » Elle s'approcha d'ailleurs de celui-ci pour déposer un bisou au coin de ses lèvres. Win n'était pas au courant alors ils allaient devoir jouer le jeu. Elle avait un peu de mal à accepter le fait qu'elle s'y faisait de plus en plus. Elle essayait de se convaincre qu'elle n'avait pas à s'y habituer, parce que la situation était temporaire. La date du procès n'était toujours pas tombée mais était sûrement pour bientôt. Elle se répétait ça tous les jours. « Ne faites pas de bêtises, conclut-elle enfin. » Puis la chilienne s'éloigna pour aller vers l'eau. Il faisait vraiment chaud alors elle ne supporterait pas de bronzer sans prendre un petit bain d'abord. Elle s'approcha doucement, laissant l'eau caresser ses pieds. Elle était assez fraîche mais rien d'insurmontable. Elle s'avança et s'arrêta quand l'eau était au dessus de ses genoux. Elle se baissa pour en prendre dans la main et s'en passer derrière la nuque. Elle ferma les yeux un instant. C'est fou comme ça faisait du bien.
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MessageSujet: Re: Gives you hell •• Noam & Win Gives you hell •• Noam & Win EmptySam 30 Aoû - 4:22

La plage en plein été, c’était finalement une suffisamment bonne et évidente idée pour que Kaya accepte d’y bouger son séant, et me permette même d’emmener mon binôme cérébral. Elle avait beau râler et grogner contre mon petit cul, le fait qu’elle accepte sa présence aussi ‘bien’ prouvait qu’elle devait bien l’aimer dans le fond. Enfin, très au fond, quoi. Genre sous sa rate ou son pancréas, un truc comme ça. Pour sa peine, peut-être que je lui laisserais conduire ma voiture au retour. Peut-être. Si elle était sage, et si je subissais un trauma crânien entre temps. Ce qui n’était pas si inconcevable que ça puisque j’avais très envie de surfer un peu, et que je n’avais pas pratiqué depuis un bon siècle. À peine garé, la gosse à peine libérée du siège arrière, que la voilà qui traçait sans attendre. Soit elle était très très pressée d’atteindre la mer, soit elle en avait rien à foutre de nous, soit elle ne nous supportait déjà plus. Option deux et trois clairement recevables. « C’est fou comme on est fusionnel, elle et moi. » j’lançais à mon Wiwi en observant la brune creuser la distance. C’était pas avec une attitude comme ça que le néerlandois allait la penser moins frigide. Et c’était pas avec une attitude comme ça qu’elle allait se débarrasser de moi. Plus elle s’éloignait, et plus mon envie de l’emmerder profondément s’accentuait. C’était inversement proportionnel à la proximité, allez savoir pourquoi. Sac sur l’épaule, je redescendais l’allée jusqu’au sable en évitant de percuter deux ou trois mioches remontant en courant. D’ailleurs, ça me faisait penser... « Pourquoi t’as pas emmené les tiens ? » Non pas que je sois très porté sur la surveillance de marmots en terrain hostile - j’avais déjà ma propre target - mais ça aurait été l’occasion de rencontrer la chair de la chair de mon cher. Au moins le petit razomoket. Il en avait fait quoi, d’ailleurs ? Il l’avait vendu pour pouvoir venir avec moi s'étendre sur le sable fin ? Oooooh, ma couille ! Kaya, en bonne tête chercheuse, slalomait sur le sable façon chien de chasse, dressant museau et oreilles de temps à autre, pendant que nous, pauvres humains normaux, suivions sans trop s’en préoccuper. Elle devait avoir de tocs. Lorsqu’elle déposa enfin son sac et sa serviette, nous n’étions plus qu’à un mètre derrière elle, ses courtes jambes ne lui permettant pas de distancer un enfant de six ans, alors deux grands adultes encore moins. « Vous pouvez aller construire un château de sable les enfants. » Lâcha-t-elle en plein strip. Ah merde, c’était un détail que j’avais un peu occulté tout à mon enthousiasme : elle allait devoir se foutre à moitié à poil devant tout le monde. Y compris l’autre neuneu à qui j’administrais un gentil taquet à l’arrière du crâne. Au moins, désormais, il allait peut-être comprendre ce que le fake-moi trouvait à ce pas-fake-arrière train. J’en venais presque à regretter les burkinis croisés en Irak. Pas des bikinis, des burkinis. Concept très intéressant, à présent que j’avais le recul nécessaire pour m’en rendre compte. « Je t'autorise à enterrer Noam. » qu’elle poursuivait. Mais je ne l’écoutais plus. Les pieds nus dans le sable que je prenais plaisir à faire passer entre mes orteils, je répétais « Saaaaaaaable ! » en boucle comme un parfait rainmanien. Si je n’avais pas pratiqué le surf depuis un siècle, c’est parce que je n’avais pas foutu les pieds sur une plage depuis près d’un siècle également. Du coup, j’avais huit ans trois quart. Et la présence de Wiwi n’arrangeait rien. « Ne faites pas de bêtises. » Ouai, compte sur nous, tiens. Ôtant mon tee-shirt avant de le jeter là, quelque part, en vrac, je l’observais s’éloigner vers les flots - oui, j’cause bien - après un rapide contact avec le coin de ma bouche. Chaude comme les braises, ma meuf ! Wouhouuuu ! Pas de bêtise, donc... Je la laissais découvrir la température, se la jouer petite nature en se mouillant le nuque façon grand-mère, puis, les bras croisés sur le torse, j’échangeais un regard entendu avec ma couille. « Tu prends les pieds, j’prends les bras ? » Oui, qu’on se mette d’accord sur ce point, tout de même, parce que s’il était clair qu’on avait partagé la même idée - télépathie oblige - ça aurait été con de ruiner ça en s’emparant tous les deux des bras, ou des pieds. Et dans un cri d’assaut supposé terrifiant pour l’ennemi, je m’élançais jusqu’à la flotte, ne me laissant même pas distraire par la mèche au vent de mon fidèle accolyte, et cueillait la chilienne au passage. C’était l’heure du sacrifice rituel.  
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MessageSujet: Re: Gives you hell •• Noam & Win Gives you hell •• Noam & Win EmptyJeu 4 Sep - 2:19

Winthrop aimait bien la mer, il adorait plutôt même l'endroit et il était content d'être là aujourd'hui avec son Nono... et le rayon de soleil que représentait Kaya. Ouais... en quelque sorte, si on plissait assez fort les yeux et qu'on fixait le soleil un moment puis qu'on la regardait de nouveau, on pouvait apercevoir un semblant de sourire. La jeune femme traça d'ailleurs rapidement sa route une fois à destination. Tant d'amour c'était si beau. « C’est fou comme on est fusionnel, elle et moi. » Win poussa Noam de l'épaule plus qu'amusé. « On dirait presque toi & moi » répondit-il légèrement moqueur. Si peu, c'était à peine perceptible. Ils marchèrent à la suite de Kaya tout en prenant leur temps, ils manquèrent de renverser des gamins et Win se tenait loin d'eux, en soit, il détestait les gamins, il aimait juste les siens. « Pourquoi t’as pas emmené les tiens ? » il haussa les épaules. « Ils voulaient être avec leur tante Gemma » fit-il simplement, ses gamins avaient toujours préférés la rousse à lui, elle était plus cool, et elle leur laissait faire encore plus de trucs que lui donc bon, il ne faisait pas vraiment le poids. Les garçons rattrapèrent assez facilement Kaya, comme elle était haute comme trois pommes aussi. « Vous pouvez aller construire un château de sable les enfants. » fit la chilienne tout en se déshabillant. Et il gagna un coup grâce au spectacle ! Noam l'avait frappé quoi ! C'était clairement pas sa faute si sa copine voulait faire étalage de ses atouts. Il grogna et tourna le dos à la scène pour se mettre à son tour torse nu en faisant attention de ne pas trop regarder Kaya, il ne voulait pas d'autres coups ! « Je t'autorise à enterrer Noam. » fit la jeune femme et Win se passa la main dans les cheveux avant d'observer son ami qui répétait sable... okay... il arqua un sourcil interrogateur en direction de Kaya pour savoir si c'était normal ou pas sans poser la question à voix haute, prudence est mère de sûreté. « Ne faites pas de bêtises. » « Mais je suis toujours sage moi » bouda légèrement Winnie n'aimant pas tellement être pris pour un gamin. Okay, il l'était, ce n'était pas pour autant qu'il appréciait le fait d'être traité comme tel. Kaya se dirigea donc, seule, encore une fois, vers les flots. Okay, juste la voir là dans la mer ça donnait des mauvaises idées, et à voir la tête de Noam, il n'était clairement pas le seul à avoir eu ce plan-là. « Tu prends les pieds, j’prends les bras ? » Winnie hocha vivement la tête. « C'est ta copine, je te laisse la vision des seins sans soucis » répondit l'hollandais avant de se mettre à hurler après Kaya. Oh, elle allait avoir peur... mais ce n'était pas avec ses jambes courtes sur pattes qu'elle allait aller loin donc bon. En accord avec le plan, Win attrapa les pieds et tout sourire, il observa Kaya à leur merci. Il avait presque envie de compatir... mais pas tellement, puis il voulait voir sa tête mortifiée une fois qu'elle serait lancée sauvagement dans l'eau. Cette simple idée eut le mérite de faire sourire Win de façon carnassière. « A trois ? Un dernier mot Kaya avant d'être jetée à l'eau ? » proposa alors le joueur de foot plus qu'amusé. Il fit un clin d'oeil complice à son ami, honnêtement, il était vraiment content de partager ce moment avec eux.
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MessageSujet: Re: Gives you hell •• Noam & Win Gives you hell •• Noam & Win EmptyMar 9 Sep - 20:54

Kaya savait qu'elle avait accepté d'aller à la plage, et que Win s'ajoute à la partie, mais ça ne voulait pas pour autant dire qu'elle devait les supporter toute l'après-midi. Elle comptait bien profiter elle aussi et pouvoir se reposer un peu – elle avait beaucoup d'espoir sur ce deuxième point elle en avait conscience. C'est pourquoi dès que le moteur de la voiture s'arrêta elle n'attendit pas une seconde pour aller au bord de l'eau. Elle n'accorda son attention vers les deux jeunes hommes que lorsqu'elle était prête à aller à l'eau. Elle autorisa même Win à enterrer Noam, ça les occuperait. Ce à quoi Noam trouva à répondre : « Saaaaaaaable ! » Son cerveau avait visiblement déjà cramé au soleil – ou bien l'inexistence de cet organe chez Noam ne faisait que se confirmer. Et ça ne faisait que deux minutes qu'ils étaient arrivés. Elle leur tourna finalement le dos pour aller se baigner. C'était difficile de résister à l'appel de la mer avec une telle chaleur. Elle avança cependant par étapes dans l'eau, prenant le temps de s'habituer à la température à mesure qu'elle avançait. C'est quand elle entendit soudain deux cris de sauvage qu'elle se douta que son instant de paix était terminé. Elle se retourna pour voir Noam et Win courir comme deux dératés. Elle n'aurait pas eu le temps de s'échapper même si elle avait voulu. Ils étaient trop grands. Et trop bêtes – ça c'était relever l'évidence. Elle avait bien tenté de faire quelques pas pour fuir, en vain. La seconde d'après Noam la tenait par les bras et Win par les pieds. « Relâchez-moi tout de suite ! S'écria-t-elle en gigotant pour essayer de les faire lâcher. » Évidemment elle ne faisait pas vraiment le poids face à ses deux géants. Et leurs sourires idiots ne faisait que l'irriter encore plus. Mais d'un autre côté elle avait du mal à réprimer son sourire. C'était difficile de garder son sérieux dans ces circonstances. « A trois ? Un dernier mot Kaya avant d'être jetée à l'eau ? » Elle n'eut pas à réfléchir longtemps avant de sortir avec sarcasme : « Fuck you. » C'était probablement les mots qui seraient gravés sur sa tombe à sa mort. Elle avait tendance à jurer un peu trop. Juste un peu. A la fin du décompte Kaya se retrouva jeter en l'air avant d'atterrir avec un plouf dans l'eau. Elle se redressa avec les cheveux dans la figure mais son premier réflexe fut de vérifier que son maillot était toujours en place. C'était cool les bikinis mais niveau fiabilité quand on était un peu trop secoué c'était zéro pointé. Elle repoussa ensuite ses cheveux et leva la tête vers les deux idiots. « Vous êtes nulles, déclara-t-elle. » Puis parce qu'elle pouvait être une gamine elle aussi, elle leur jeta de l'eau dessus. Ils ne pouvaient pas rester sec après lui avoir fait ça. Et elle ne voyait pas d'autres manières de se venger, elle n'avait pas vraiment la force de les pousser à l'eau. Surtout qu'ils étaient à deux contre elle, ce qui n'était pas juste.
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MessageSujet: Re: Gives you hell •• Noam & Win Gives you hell •• Noam & Win EmptyMer 10 Sep - 23:28

« On dirait presque toi & moi » Tellement... pas. J’avais tellement tenu à ce que ma couille en sucre soit de la partie que j’avais oublié à quel point cette partie allait être serrée. Autant que la culotte de Kaya. Serrée voir carrément soudée à ses sous-bassement tant elle avait l’air heureuse de vivre. Wiwi avait probablement raison, peut-être que si elle s’envoyait un peu plus en l’air elle parviendrait à se détendre un peu ? Oui, sauf que là la notion de ‘qui’ entrait en jeu et c’est pas que ça posait problème, c’est que ça faisait carrément chier bien comme il faut. Oui, donc non, avec du recul -une demi-seconde de recul- qu’elle conserve sa culotte incrustée, mais qu’elle y mette un peu plus du sien dans l’illusion de notre relation épanouie. Parce que là, elle avait l’air tellement ravie qu’on était à deux doigts du suicide collectif. Aussi souriante qu’un témoin de Jehovah. Surtout qu’une fois qu’elle eut fait tooooooooooout le tour de la plage pour nous trouver une place, et après que mon homme m’ait informé que ses mioches étaient avec leur tante Gemma -fallait que je l’interroge à ce propos, d’ailleurs, elle est bonne tante Gemma ?- elle décida de se désolidariser pour aller faire la mamie dans l’eau, pendant que nous étions supposés nous entretuer dans le sable. Bah oui, tiens, excellente idée, et après on pourrait peut-être s’amputer d’un membre ou deux pendant que tu feras bronzette... Non, nous ce qu’on voulait, c’était faire chier. Et puisqu’elle se montrait aussi réceptive qu’une méduse monocéphale, elle s’auto-désignait en guise de victime de notre futur assaut. C’était l’évidence même, à tel point qu’on avait pas besoin de communiquer verbalement, avec Winnie, pour savoir qu’on partageait la même envie. Cela dit, fallait quand même se répartir la charge de travail. Tête ? Pieds ? « C'est ta copine, je te laisse la vision des seins sans soucis » Ouais, enfin... « Ils sont visibles depuis Mars, t’inquiète. Sur le site de la Nasa, t’as même des images de ein’s shooté par Curiosity. Booooom ! » Et p’t’être même qu’ils brillaient dans le noir en plus. Bref, ils étaient pas très discrets. Cela dit, un peu plus que nous dévalant le sable en direction d’une Kaka qui s’était figée. Bizarre réflexe de survie, quand même. Chais pas, quand un danger imminent s’approche de ta tronche, la logique voudrait que tu prennes la fuite et t’en éloignes le plus rapidement possible plutôt que de rester en place et attendre que le truc te pète à la gueule. En l'occurrence, le truc en question c’était nous, l’un se saisissant des chevilles, Winnie, l’autre de son buste, moi-même. « Relâchez-moi tout de suite ! » Mais bien sûr, tout de suite même ! « Détends-toi, ça va bien s’passer. » je susurrais façon Hannibal Lecter. Et pour ajouter au suspens haletant, Wiwi en rajouta une couche. « A trois ? Un dernier mot Kaya avant d'être jetée à l'eau ? » « Fuck you. » Ok, ça c’est fait, mais... « Au risque de plagier mes références cinématographique... On y va à trois, ou on compte jusqu’à trois et on y va ? Non, parce que c’est pas t’à fait la même chose. C’est un, deux, on jette, ou alors un, deux, trois eeeeeeet là, on jette ? » A trois, ok, d’accord, au temps pour moi. « Uuuuuuun... » Oui, on prenait notre temps, savourant cet instant de suprématie absolue et totale sur le genre kayien. « Deuuuuuuuuuu.....euuuuuuuuuuu...eu...eu...eu... Deux. » Sadiques ? Absolument pas. « Et... Trois ! » Ouais, allez, t’es lourde, on abrège, et tu plouffes ! Et pas le petit plouf, non le bon gros plouf qui t’explose à la tronche façon tsunami tant on y était allé fort, couille gauche et moi-même. Si bien que lorsqu’elle s’érecta des eaux telles une naissance de Vénus se remettant les seins en place -grande classe- en nous certifiant qu’on était nul, avant de nous balancer de la flotte à l’aide de ses petites bras rachitiques, c’était un peu contre-productif, puisqu’on était déjà trempé. Enfin pas totalement, la somptueuse coiffure de mon hubby. Oula, malheureuse ! Elle allait tout lui niquer les cheveux. Ce fut donc dans une intervention totalement héroïque et donc, digne de moi-même, que je m’interposais entre les balles et lui, enfin entre l’eau et ses cheveux, et dans un bond latéral, je choppais la brune pour la noyer avec moi. Enfin moi je ressortais rapidement, Kaya, elle, restait sous l’eau maintenue par ma main sur le sommet de son crâne. « Ca va tes cheveux, mon zob ? » J’m’inquiétais et me rassurais, tout à la fois, avant de sortir la chilienne des flots en la tenant par le haut du bras. « On avait dit quoi, Chewbaka ? Pas les cheveux » je grondais la version ‘Cousin Machin’ d’elle même. « Dis pardon ! » J’insistais, masochiste. Parce que si avec ça j’m’en prenais pas une en travers la tronche...
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