you're a troublemaker

MAJ & SEVDE

Il était tard, elle pouvait se permettre de ne plus filer comme une voleuse après ses heures d'antenne pour au plus vite rentrer récupérer Nina chez Lindsay, la baby sitter. Puis il y avait quand même eu Jade quand elle n'avait pas des cours trop tardifs, elle gardait la petite sans problème, c'était vraiment génial. Elle pouvait faire plus ample connaissance avec le personnel et se permettre de souffler un peu à son tour. Car prendre soin des autres c'est bien, mais il faut aussi penser à soi-même sans être dans l'excès et l'égoïsme. Ce que n'était point Solveig d'ailleurs. Depuis qu'elle avait eu sa promotion pour Smashbox cosmétiques et qu'elle tenait un blog quotidiennement, et bien elle arrivait à mieux gérer le coût, surtout qu'elle ne payait plus que la moitié du loyer maintenant avec jade. Enfin la situation se stabilisait. Et puis elle avait eu une agréable surprise quand Maj est revenue à la maison, elle, elle ne réalise pas encore la chose, mais sa meilleure amie est là, elle l'attend elle est avec sa fille chez elle, et cette image lui faisait tellement de bien, enfin tout semblait redevenir comme avant. Rien qu'à l'idée de rentrer et de voir Maj et Nina, ça la mettait d'une humeur folle. Après, Maj ne savait pas tout, mais elle lui apprendrait tout en temps et en heure, calmement au sujet de l'adoption dont elle allait arrêter désormais les démarches et surtout au sujet d'Anders, qui allait être quelque chose de très,... sensible. Elle voulait attendre, pas trop longtemps, mais juste ce qu'il faut pour, le temps de renouer avec Maj, de rattraper ses années, et de glisser ça en préparant le terrain. Elle finit donc sa journée, salua toute l'équipe en aidant même au rangement, s'autorisant à traînasser un peu. Sur le chemin du retour, elle passa chez son chocolatier, qui lui avait autorisé à passer aussi tard, bien qu'elle l'ait prévenu, mais c'était une perle ce garçon. Elle prit la boite qu'elle avait fait mettre de côté pour faire plaisir à la drôle de compagnie qui peuplait leur appartement. Elle rentra chez elle à pied pour profiter un peu de cette partie de coucher de soleil, bien que ça soit juste la luminosité qui baisse entre le building de New York.

Elle ouvrit la porte contente, joyeuse voyant déjà la visage de Maj de plus en plus beau au fil des heure, parce qu'elle était là de nouveau et qu'elle lui avait tellement manqué. « J'ai des chocolats ! » s'exclama-t-elle avant de se diriger vers Nina qui n'était pas en compagnie de Maj, de la soulever du sol avant de lui faire pleins de bisous et de la chatouiller. Puis elle le reposa au sol lui demandant si elle avait passé une bonne journée. Elle resta filou, et fit de petits airs angéliques, lui disant que tout allait bien. Puis la blonde se tourna vers sa meilleure amie, qui ne semblait pas aussi joyeuse que sa fille. Solveig ce dit qu'elle avait une petite déprime passagère, ben qu'elle ne l'avait pas vu comme ça depuis son retour. Elle posa les chocolats sur la table, avant de passer de l'autre côté là où se trouvait Maj qui la regardait d'un air grave. « Hé, fait pas cette tête, qu'est-ce qui t'arrive ? » Demanda-t-elle toujours aussi joyeuse. Ne prêtant pas attention aux papiers qui traînaient autour de son amie.

« Oh si, je crois que j'ai le droit de faire cette tête. » Elle arqua un sourcil d'un air interrogateur se demandant bien ce qu'avait Maj pour lui parler comme cela alors que tout semblait presque arrangé. Elle vit alors tout le contenu d'un tiroir personnel étalé sur la table, se disant que la tension allait montrer d'un cran, étant donné qu'elle n'avait pas eu un seul moment pour lui expliquer cela en toute 'zénitude' afin d'éviter cris et sanglots. Cela la vexa de voir que Maj avait fouillé dans ses effets personnels, c'était à elle après tout, elle n'avait pas à s'expliquer sur ses propres biens. « Ça tu comptais m'en parler quand ? » Fit-elle en lui montrant bien les papiers pour l'adoption. Puis elle prit d'autres documents des photos, de Solveig et d'Anders. « Et ça, c'est quoi ? Tu comptais m'en parler quand aussi ? » Continua-t-elle encore plus en colère. Elle fronçait les sourcils signe de son mécontentement total. D'où elle avait le culot d'avoir farfouillé dans tout cela et de lui cracher le tout en plein visage en montrant bien qu'elle n'était pas satisfaite, alors qu'elle était partie comme une voleuse comme Anders l'avait fait, pour faire un tour du monde. Bon d'accord, elle était revenue et Anders aussi, mais là ce n'était pas la même chose, c'était tout de même sa meilleure amie, et ça lui faisait vraiment de voir pour quoi elle pouvait bien la prendre. Elle qui voulait lui dire tout ça calmement, essayant, trouvant les bons mots, elle avait préparé un super texte en se pinçant les lèvres pour ne pas que le choc soit trop brutal. Mais là, c'était une bombe qu'elle avait dû recevoir en tombant sur tout ça d'un coup en fouillant sur la contre-indication de Solveig. Elle posa ses mains sur ses hanches se demandant si elle devait calmer le jeu, parce qu'elle aussi allait finir par s'énerver avec tout ça. « Maj ! Non, mais d'où tu te permets de fouiller comme ça, c'est mes affaires, ça te ferait plaisir que je fasse la même chose avec les tiennes ! » Commença-t-elle par affirmer d'une voix forte. Puis elle passa une nouvelle fois de l'autre côté de la table, prenant Nina dans ses bras en la mettant dans sa chambre, lui disant qu'elle devait peut-être jouer ici pour le moment. Nina lui demanda si c'était grave leur dispute et si c'était de sa faute. Elle se pencha pour lui faire un baiser sur le front, lui prenant la main, en lui disant qu'elle n'avait rien à voir dedans. Elle baissa la tête gonflant les joues, avant que Solveig ne sorte de la chambre et ferma la porte. Elle essaya de baisser d'un ton pour en pas affoler Nina. Bon allez restons calmes. Il ne t'ai pas venu à l'idée que j'allais te parler de tout ça ? Enfin Maj, t'es ma meilleure amie, je n'allais pas te le cacher. Mais t'as déboulé comme ça un beau matin, je ne voulais pas te donner ça en vrac, le temps que tu manges le tout. Non, j'attendais juste le bon moment... » Articula-t-elle alors qu'elle regardait les papiers. Pour l'adoption j'ai mis fin à ma demande hier, parce que tu es là à présent, mais tu n'as pas à m'en vouloir pour ça, t'es partie comme ça, j'ai jamais eu de nouvelle, et je voulais que la vie de Nina soit la plus stable possible, parce que c'est en ayant une enfance agitée qu'on finit par mal tourner. » Puis elle regarda les photos, ce qui la mise vraiment mal alaise comment lui annoncer ça. Pour Anders, c'est compliqué... Disons qu'il est venu un beau jour et qu'on s'est pris le chignon parce qu'il a déboulé comme une fleur pour prendre de tes nouvelles, des nouvelles des Nina et peu des miennes. Et que ça a mal fini. Maintenant, ben il a reconnue Nina, et il passe beaucoup de temps avec elle, elle l'a même appelé papa l'autre jour. Et pour les photos,... disons... que c'est devenu un peu plus ambigu entre nous... » Annonça-t-elle d'une voix angélique qui ne trompait personne.

« Moi au moins si tu avais fouillé dans mes tiroirs tu n'aurais rien trouvé qui puisse te blesser, parce que moi, je ne te cache rien ! » Elle toisa Maj du regard, elle trouvait qu'elle avait un certain culot de lui dire ça comme ça, telle une petite fleur, alors qu'elle avait fait tout ce qu'elle avait fait jusqu'à présent dans le simple intérêt de Nina et non le sien. Elle n'était pas de nature égoïste et faisait passer quasiment tout après cette petite perle blonde, surtout depuis qu'elle était partie. Elle n'avait pas le droit de lui mettre ça sur le dos, ce n'était pas elle qui était tombée enceinte, qui avait envoyé sa candidature pour un concours à New York, ... Au contraire, elle l'avait suivi, encouragé Maj, elle avait bien voulu arrêter des études pour Nina, mais Maj lui avait défendu et voilà que quelques mois après elle apprenait qu'elle avait un poste pour New York, ce qui lui faisait forcément arrêter ses études. On ne lui avait rien demandé du tout. Elle avait quitté l'école juste pour Nina et le fait qu'elle soit inscrite à ce concours débile, elle n'avait jamais demandé à être un visage devant des cartes à faire la gaffeuse professionnelle devant des écrans et être reconnu par des gens dans la rue, ou même recevoir ses lettres de menaces qui la faisaient vraiment flipper. Elle avait subi les humeurs de sa meilleure amie, de Nina et d'Anders, et c'était elle qui s'en prenait plein la figure ? Elle ne commençait plus à accepter cela. « On a tous des choses à cacher Maj. » Lui répondit-elle avant de déplacer Nina et de voir le regard furieux de Maj se poser sur elle alors qu'elle voulait juste protéger les oreilles de la gosse de la conversation qui s'en suit. « Et quand est-ce que cela aurait été le bon moment ? Tu penses qu'attendre qu'on soit toutes les deux devant la télé pour pouvoir me sortir "ah, au fait, je vais adopter ta fille et je me tape ton ex" ça aurait été une vraie bonne idée ? De toute façon j'aurais eu du mal à digérer l'information, que ce soit aujourd'hui, ou dans un mois » Solveig commençait à perdre patiente, elle n'acceptait pas vraiment qu'on l'accuse alors qu'elle n'avait fait que subir depuis le début la vie de Maj, on en peut même pas dire que tout soit d'elle, mais tout vient de Maj, ce qu'elle est aujourd'hui, ce qu'elle a laissé,... Le seul truc qu'elle a organisé dans sa vie, c'est le départ pour l'école en y emmenant Maj, après elle n'a fait que de subir la vie de cette dernière avec ses folies, son accouchement, le concours, son viol et son départ prématuré. Alors qu'après elle avait dû se démerder seule, et demander de l'aide, même si elle a fait des conneries, elle ne pouvait pas supporter qu'on lui reproche cela et encore moins venant de la part Maj. « Non mais arrête là tu débloques complètement ! Tu pars comme cela un beau matin sans nouvelles ni rien, et tu viens me reprocher de ne pas te dire ça au boute de quatre jours. Oui désolé qu'au moment où tu as passé la porte je ne t'ai pas accueilli en te disant 'Oh Maj, ça me fait plaisir, je vais adopter ta fille et je sors avec ton ex le père de Nina, sinon t'as fait quoi pendant ces derniers mois ?' Sois sérieuse Maj. J'allais te le dire, je savais que cela allait être un choque pour toi, mais tu ne cherches même pas à comprendre. Je ne voulais pas adopter Nina pour te remplacer ou te faire du mal, mais pour son propre intérêt. Et c'est quelque chose que tu devrais comprendre, alors ne me réprimande pas sur ça, d'autant plus que c'est annulé. » Fit-elle un peu poussé à bout. « Encore heureux que tu aies annulé ta demande ! » Elle roula des yeux avant de souffler lourdement, elle commençait à perdre patiente de voir son amie fraîchement revenue lui parler sur ce ton en la prenant pour ce qu'elle n'est pas. « Je n'aurais peut-être pas dû. » Lacha-t-elle sans vraiment le penser, mais elle trouvait sur le coup Maj trop immature pour la comprendre la-dessus. la jalousie l'emplissait alors que Solveig avait eu tellement de mal à élever Nina sachant que la petite fille ressentait énormément le manque de sa mère et voyait bien que sans Maj ce n'était pas pareil avec Solveig et lui en avait fat voir de toutes les couleurs. « Ah parce qu'Anders est revenu, qu'il a pu voir sa fille et qu'il a pu venir gazouiller avec elle pendant que toi tu les surveillais d'un air bienveillant ? Ce salaud m'a abandonné, je te rappelle ! Quand on était dans la merde il ne s'est pas gêné pour s'en aller comme un voleur, alors maintenant que tout va mieux il revient pour voir sa fille ? Et toi, non seulement tu le laisses faire, mais en plus tu trouves rien de mieux à faire que de sortir avec lui ? » Elle essaya de garder son calme alors qu'elle avait juste envie de lui en mettre une ou de fondre en larme devant son amie la voyant dans cet état. « Tu sais quoi Maj ? T'es vraiment qu'une gamine. T'essayes même pas de te mettre à ma place trente secondes. Ok Anders est un salaud il est parti mais il m'a tout dit, et ce n'est pas moi qui vais te parler de ça, c'est entre vous deux que vous devez vous expliquer. Après lui au moins il était là tu vois. J'ai toujours subi ta foutue vie Maj. J'aurais jamais dû t'emmener avec moi à l'école, à cause de toi t'as vu où j'en suis ? j=J'aurais pu finir mes études et peut-être exercer le métier que je voulais faire. Mais non toi tu m'as dit de pas lâcher mes études et après tu m'inscris à un stupide concours pour faire présentatrice météo, que je n'ai pu refuser voyant dans quelle situation on était. T'as bien du culot de venir me dire ça comme ça ma grande, vraiment. » Dit-elle en perdant vraiment patiente.

La conversation s'emportait peu à peu, si elle avait su qu'à son retour ça finirait comme ça, elle ne l'aurait même pas laissé passer la porte d'entrée. Même si elle parlait sous le coup de la colère, c'est que les mots de sa meilleure amie la blessait énormément. Comme si à chaque mot on lui enfonçait une lame en pleine poitrine. Elle qui avait remué cil et terre après son départ, pour s'occuper au mieux de Nina, qui avait tellement pleuré au début avant de se relever juste pour les yeux de cette petite fille. Et bien que Maj n'était pas là, elle pouvait au moins comprendre ses efforts. Jamais elle n'avait voulu prendre sa place dans le coeur de Nina, elle voulait juste essayer d'être à la hauteur et lui offrir ce qu'elle pouvait, ce qu'elle aurait de mieux, pour ses beaux yeux, pour son sourire, pour que sa meilleure amie où qu'elle soit soit fière d'elle. Au-delà de ça, elle avait le droit à ses cris, et ses paroles blessantes qui l'avait mise hors d'elle-même et elle avait simplement envie de péter un câble vraiment, limite de lui sauter au cou, comme si tout ce qu'elle avait donné était tombé en miette parce que madame n'était pas satisfaite et horriblement jalouse. « Oui, mais des trucs aussi énormes que ça. » Solveig sentait la colère l'envahir peu à peu, mais pourtant essayait tant bien que mal de la contenir pour ne pas exploser et finir par dire ou faire des choses qu'elle pourrait regretter. « C'est sûr, pardon toi t'es parfaite. » Lacha-t-elle de plus en plus sèche, au visage de son amie. Cela ne lui ressemblait en rien d'être aussi agressive, mais là c'était comme si chaque goutte en plus faisait déborder le grand vase dont elle était le récipient. « Il n'empêche que tu as quand même fait ces choses, et que sur le moment tu n'as pas même pas dû te demander si ça allait me blesser ou non. Encore, pour Nina je comprends, même si je ne te cache pas que ça reste difficile à avaler, mais Anders... Enfin tu ne t'es même pas posé la question une seule seconde ? Tu n'as pas pensé que ce n'était pas l'idée du siècle de sortir avec lui ? » Comment pouvait-elle affirmer qu'elle n'avait pas penser à elle ? Tous les jours elle pensait à sa meilleure amie, à sa belle Maj, et sa vie, se demandant ce qu'elle pourrait faire à l'heure actuelle, imaginant les beaux et plus plus horribles de scénarios, se faisant du mal pour ça, voyant comment elle la regardait, c'était vraiment dur pour elle de l'avaler, de plus en plus dur. « Tu te fous de moi ?! Comment tu peux dire que je n'ai pas pensé à toi ? Je n'ai fait que ça, mais comment veux-tu que j'avance si je dois toujours me dire que tu vas revenir dans trois jours ? Je savais même pas où tu allais. En plus t'as fait le tour du monde, très bonne idée quand on a le virus du VIH, pour chopper toutes les maladies de chaque pays, tu voulais te tuer plus vite ou quoi ? Oui tu t'es amusé, j'en suis heureuse, t'as réussi à prendre du bon temps. Moi je n'en ai pas vraiment eu du bon temps en cinq mois, j'en ai simplement eu quand je voyais Nina sourire enfin, et quand Anders a pris soin d'elle. Il a tellement changé, comment tu peux encore le juger comme ça sur notre relation sans lui avoir parlé, lui il a réussi à me rendre plus heureuse tu vois, pas comme toi, là maintenant. Tu me tues Maj, tu me tues ! » Dit-elle en explosant ce qu'elle redoutait, elle avait envie de pleurer. Elle sentit son visage rougir, chauffer, avec les yeux qui commençait à lui piquer, les joues brûlantes, elle essayait de contenir ses larmes. « Ben oui, c'est vrai, tu as raison. Vas-y, adopte Nina comme ça vous pourrez reformer la jolie petite famille parfaite avec Papa Anders, Maman Solveig et Bébé Nina pendant que Maj pourrira sous la terre bouffée par des asticots une fois morte. Grand bien vous fasse ! Tu sais quoi moi je vais retourner m'assommer de médicaments et vous laisser vous aimer tranquillement. » Elle trouvait l'image affreuse, car elle aimait vraiment Nina et Anders, mais elle aimait aussi Maj, avec tut ce qu'elles avaient vécu. Cette conversation était en train de la mettre à bout. « C'est ça ! » Dit-elle à contrecoeur, alors qu'elle voulait tout sauf voir son amie s'éteindre, mais elle s'était tellement battu, que là tout de suite, elle n'avait pas envie de se battre, elle ne se sentait pas capable de le soutenir dans une telle ambiance. Avec ses mots, c'est comme si elle venait de souhaiter sa mort, mais elle n'en pensait pas un seul, elle voulait juste que ça s'arrête. « Moi ? Une gamine ? T'as du culot de me dire ça, vraiment. T'as même pas idée de combien c'est dur de porter tout ça à longueur de journée, ma grossesse indésirée, ma maladie... Tu dis que tu as toujours subi ma vie ? Et tu crois que moi, je ne subis pas ? Qu'un matin je me suis réveillée en me disant 'Alors aujourd'hui je vais me faire larguer par mon premier amour après être tombée enceinte et puis d'ici quelques mois je vais me faire violer et choper le SIDA, quel beau programme' ? Tu crois que j'ai choisis de supporter tout ça, constamment, de me gaver de médicaments jusqu'à l'implosion ? Non, je n'ai rien choisi du tout. » Elle sentait comme une pression elle commençait à avoir le souffle court et avait les jambes qui tremblaient, elle se sentait si mal. « T'es pas obligé de faire subir ta vie de merde aux autres, on n'en veut pas ! » Cria-t-elle avant de fondre en larmes pour de bon. « Casse-toi !! » Explosa-t-elle en lui désignant la porte du doigt.