Sujet: Quite a dangerous game (pv) Ven 19 Oct - 12:08
Ryan & Megan
En tant qu'architecte de monsieur Davenport je figurais parmi les invités convié à cette soirée servant à célébrer son acceptation à l'université, je dois avouer que j'ai toujours adoré la jeune femme et que nous sommes proches depuis que nous nous connaissons. Elle s'est toujours montré d'une grande gentillesse à mon endroit, s'assurant que tout allait bien pour moi, elle fait partie des rares personnes à être au fait de mon état de santé … d'ailleurs elle m'avait déjà vu faiblir et depuis ce jour elle semble vouloir se comporter comme si elle était mon infirmière personnelle et même plus. Je me rappellerai toujours de cette soirée ou son petit ami du moment avait trop bu et qu'elle me demanda de la raccompagner chez elle … arrivé à destination afin de me remercier elle s'était jeté à mon cou, m'embrassant à pleine bouche avant de conclure en me disant que si elle était un peu plus vieille c'est avec moi qu'elle se serait mise en couple … je dois vous avouer que je ne savais plus trop quoi penser à ce moment.
Revenons à la soirée, j'y étais depuis un bon moment et je discutais avec pleins de gens sans avoir eu l'occasion de passer un moment avec la princesse … elle semblait être occupée avec un jeune homme que je ne connaissais pas … probablement son nouvel amoureux me disais-je. Et puis elle vint vers moi et se jetant à mon cou elle me fit un câlin qui ressemblait davantage à un étranglement tellement elle semblait heureuse de me voir, me tirant par la main elle m'emmena danser et je vis par son regard qu'elle était d'humeur joueuse … elle se colla contre moi, glissant ses mains contre ma nuque tout en me murmurant de douces et tendres paroles … ce qui semblait rendre son cavalier plus que jaloux. Un peu plus tard au cours de cette soirée je ressentis une certaine fatigue et je demandai à Megan si il y avait un endroit ou je pouvais me reposer et elle me désigna une chambre dans le pavillon des invités.
J'avais donc fini par me diriger vers cette pièce et c'est après avoir retiré ma chemise et mes chaussures que je m'allongeai sur le lit afin de m'offrir un bref moment de répit. Évidement je ne m'attendais point à ce qui allait survenir par la suite. Je venais de m'endormir lorsque Megan décida de venir me rejoindre et qu'elle retira sa robe afin de prendre place à mes côtés en dessous signés Victoria Secret, probablement qu'elle se doutait que son chéri allait la suivre car au moment ou celui-ci avait décidé d'ouvrir la porte elle s'était laissé aller à me caresser le torse et et à m'embrasser dans le creux du cou. Évidemment l'amoureux blessé claqua la porte et quitta la fête avec fracas, bien évidemment ce boucan d'enfer avait bien fini par me réveiller mais alors que j'ouvris les yeux et que je la vis à mes côtés la belle glissa son index contre mes lèvres me faisant signe de ne plus dire un mot … elle savait parfaitement comment me déstabiliser.
Sujet: Re: Quite a dangerous game (pv) Lun 29 Oct - 0:08
Youpi ! J'allais me rendre enfin à l'université, l'une des plus prestigieuses et je n'aurais pas ma famille sur le dos ! Enfin, je n'aurais juste qu'à vivre ma vie et enfin m'éclater du mieux possible, enfin, j'aurais le champ libre pour mes objectifs sans devoir agir comme la dernière fois comme le film où un prof est accusé de viol, sans pour autant n'avoir rien fait alors que c'était une machination. Enfin, je devais me concentrer, j'étais la reine de la soirée. On allait me dire : "vive Megan, bon courage." Je dirais plus simplement : "vive moi !". Je ne me vantais pas non, mais j'avais passé une grande étape. J'avais été à cheval et très pointilleuse sur les invités. J'avais demandé à mon papa chéri de mettre notre architecte dans la liste. Je m'entendais bien avec lui, enfin, même très bien, plus encore, mais chut, il ne le savait pas encore. J'étais gentille, bien gentille et je m'inquiétais surtout de son état de santé. Je l'avais vu dans un moment de faiblesse et chaque homme avait besoin de son infirmière particulière. J'allais le devenir et personne ne devait s'inquiéter sur le fait que j'irais plus loin. Je me comportais comme une véritable petite princesse n'obtenant que ce qu'elle voulait. Ryan, j'avais déjà, quelque part, eu ne serait-ce qu'un moment de pur bonheur. J'avais l'idée déjà de me mettre près de lui. Je ne serais qu'en plus heureuse de l'avoir dans mes filets. J'avais déjà rendu jaloux mon petit ami de l'époque, aujourd'hui, j'en avais un nouveau, un assez pot de colle d'ailleurs et il pensait déjà à l'avenir et même mariage. Oh, le boulet, on ne me forçait pas déjà à prendre une décision. J'avais une telle capacité à rendre les hommes fous de moi que je ne me souvenais que d'une seule chose : j'étais irrésistible.
Alors que celui-ci commençait déjà à me donner des baisers dans le cou, à me mordiller l'oreille comme si j'étais sa chose, je m'occupais à regarder un peu partout tellement il était ennuyeux à mourir. Je pourrais bailler tellement qu'il était à mourir d'ennui. Pourquoi je l'avais choisi au fait ? Il était ennuyeux, bien ennuyeux. Je devais le jeter comme une vieille chaussette. Je voyais ma cible préférée. Je le jetais comme une vieille chaussette sur le côté afin de me précipiter vers ce beau gosse ténébreux que je désirais depuis bien longtemps. Je me jetais à son cou et je lui faisais un gros câlin. J'étais presque en train de l'étrangler. J'étais heureuse de le revoir, mais j'en profitais. Je lui tirais la main pour l'emmener danser. Je le regardais de haut en bas. Je ne déviais pas, en aucun cas de mon objectif. Je me collais contre lui. Je glissais mes mains contre sa nuque tout en lui murmurant des paroles qui donneraient bien envie d'une suite éventuelle. Mission accompli, le cavalier jaloux que j'avais pour la soirée se barrait sans dire un mot. Victoire ! J'allais la savourer avec plaisir.
La soirée continuait de plus bel et je ne pouvais que profiter de ses instants avec Ryan. Celui-ci commençait à être bel et bien fatigué. Alors qu'il voulait savoir où il y avait un endroit pour se reposer, je lui indiquais une chambre dans le pavillon des invités. Il allait donc dans cette direction, mais moi, je n'avais pas dit mon dernier mot. J'attendais quelques instants avant de finalement prendre la direction de la chambre de l'invité. Il était finalement endormi sur le lit, le beau petit ange que tout le monde pouvait admirer. Je poussais la porte car je n'avais que la possibilité d'en profiter et surtout je me souvenais qu'un pot de colle ne s'avouait jamais vaincu. Il faudrait que je lui mette un bon coup de pied là où je pense pour qu'il me laisse tranquille, enfin bref. La porte était poussée de telle sorte à ce que quelqu'un puisse nous voir. J'enlevais ma robe et je laissais apparaitre des dessous des plus sexy signés Victoria Secret. Je ne faisais pas dans la dentelle quand je voulais quelqu'un. Je me rapprochais de lui. Je me mettais à ses côtés et là, je sentais qu'il était là, que mon pot de colle était là. J'allais lui dépulper la pulpe comme un bon orangina, au moins, il comprendra sa douleur. Je caressais son torse. Je l'embrassais dans le creux de son cou. Je savais que quelqu'un allait se rincer l'oeil en me regardant, c'était obligé. J'entendais la porte en train de claquer, j'avais gagner comme il se devait. Je le voyais en train de se réveiller. Immédiatement, je pouvais voir cet air reconnaissable de partout. Là, je me devais d'intervenir. Je glissais mon index contre ses lèvres et avec mon autre main, je lui faisais un bon chut.
- Il ne pouvait que comprendre qu'il ne m'était pas destiné. A force que les hommes se comportent comme des petits toutous à sa mémère, ils deviennent vite très chiant, que l'on a envie de jeter comme une vulgaire merde. Je ne voulais qu'un homme, un vrai, pas ce looser à deux balles. Chut, tu seras un amour, en guise de remerciement pour m'avoir aidé, je t'offre un beau petit cadeau que seul tu pourras apprécier à sa juste valeur et même profité. Je t'ai toujours voulu et j'ai attendu d'être bien plus mûre pour n'être qu'à toi et revenir. Maintenant, c'est fait.
Je l'embrassais du coin de la joue, descendant mes baisers lentement, pour aller directement sur ses lèvres, que j'embrassais passionnément, faisant durer ce plaisir le plus longtemps possible.
- Sache une chose mon chou, mon petit coeur, je ne dirais rien à personne, ce sera notre petit secret, notre coin rien qu'à nous. On ne sera rien que nous deux.
J'affichais un sourire des plus coquins et je ne prenais que plaisir à le déstabiliser, à faire qu'il soit finalement rien qu'à moi. Je me mettais à califourchon sur lui. Je descendais mes baisers le long de son torse lentement, histoire de bien faire monter la pression alors que je laissais mes mains se balader tranquillement, jusqu'à un endroit que je ne pouvais qu'apprécier à sa juste valeur. Je me rapprochais de lui et j'offrais tout simplement le meilleur des spectacles.
Sujet: Re: Quite a dangerous game (pv) Mer 28 Nov - 10:40
Après ce petit moment en compagnie de Megan , alors que nous avions dansés ensemble et qu'elle avait fait mine de tenter de me séduire sous le regard incrédule de son petit ami des plus jaloux, je lui avais demandé si elle pouvait me désigner un endroit afin que je puisse m'accorder un moment de répit et c'est alors qu'elle me désigna une chambre dans le pavillon des invités. Je m' y rendis en toute innocence, croyant que j'allais pouvoir m'y reposer mais c'était sans compter sur la ténacité de Megan qui, de son côté, semblait avoir des projets bien arrêté nous concernant.
Complétement endormi, somnolant à poings fermés tel un bébé, je n'entendis point que la porte venait de s'entrouvrir et ce n'est qu'en sentant les mains de Megan glisser contre mon torse, alors qu'elle glissait ses lèvres dans le creux de mon cou, que je finis par ouvrir les yeux afin de l'apercevoir à mes côtés. Évidemment elle m'en mettait plein la vue avec cette tenue des plus aguichante et puis j'entendis la porte claquer, c'était encore son pot de colle mais alors que je m'apprêtais à prendre la parole elle glissa son index sur mes lèvres m'implorant de me taire. Je l'écoutai me dire qu'elle m'avait toujours voulu, je dois avouer que j'étais sans voix devant une telle déclaration.
Je ne sais pas trop quoi te répondre, tu me prends par surprise, tu me troubles … tu sais on ne m'a jamais dit une telle chose alors je peine à y croire, bien qu'il s'agisse de la plus belle de toute les surprises.
Je me surpris à frissonner au contact de ses lèvres contre ma joue , se rapprochant de plus en plus de mes lèvres, j'étais paralysé ne sachant plus trop comment réagir et puis je sentis ses lèvres venir se glisser contre les miennes pour ensuite m'embrasser langoureusement … je la repoussai un bref instant tout en la regardant dans les yeux, je me disais que je ne pouvais pas faire une telle chose mais elle était si attirante qu'il m'était difficile de lui résister mais je me devais tout de même de combattre contre cette pulsion.
Non c'est pas bien nous ne devons pas faire une telle chose.
Lui dis-je tout en tentant de fuir son regard et puis lorsque je la regardai à nouveau je glissai mon front contre le sien, glissant lentement mes mains derrière son dos tout en me mordillant la lèvre, je dois avouer que je n'étais pas insensible à sa façon de me parler.
Tu sais bien qu'il est difficile de préserver un secret,
Lui dis-je tout en lui caressant les cheveux et l'embrassant tendrement sur la joue.
Sujet: Re: Quite a dangerous game (pv) Ven 30 Nov - 0:55
Je n'aimais pas les pots de colle et je préférais les hommes, les vrais. J'avais Ryan enfin près de moi et je ne comptais pas du tout le laisser s'échapper. Il était si mignon quand il dormait mais il sera mieux auprès de moi, que je me retrouve dans ses bras, que je me sente enfin libre et heureuse. J'avais réussi à le réveiller, et là, c'était tout simplement la première des victoires. J'avais quand même "la tenue adéquate". Je me plaisais dans cette petite tenue. Je voulais en profiter. Il était tout simplement sous mon charme, surpris. Je ne devais que continuer dans cette voie et j'obtiendrais tout ce que je voudrais. Il ne savait donc pas trop quoi me répondre. Je le prenais par surprise, je le troublais ? Voilà que je pouvais savourer encore plus ce moment. A priori, on ne lui avait jamais dit une telle chose alors il peinait à y croire, bien qu'il s'agissait de la plus belle de toutes les surprises. J'étais un peu déçue de par cette déclaration, mais en même temps, c'était une belle surprise, alors, je devais le convaincre que j'étais celle qui lui fallait. Je le caressais encore plus intensément, le regardant d'une manière des plus coquines. Je le voulais, j'avais tellement besoin de lui près de moi.
- J'aime faire des surprises, c'est ma spécialité surtout quand j'ai un beau gosse comme toi dans ton genre devant moi. On a l'occasion d'être rien que tous les deux. Tout ceci est bien réel et crois-moi, tout ce que tu pensais être qu'un rêve va se transformer en une réalité des plus merveilleuses. Je vais combler tous tes désirs et plus encore.
J'étais vraiment très coquine et rien, vraiment rien ne pourra m'empêcher de réussir. Je ne pouvais le laisser partir, impossible, sinon, cela serait quand même une entache à ma réputation. Je sentais qu'il frissonnait au contact de mes lèvres sur sa joue. J'en profitais pour l'embrasser passionner mais il me repoussait. Je n'allais pas pleurer, non, je n'allais pas pleurer comme une petite fille qui ne réclamait qu'une seule chose : son jouet ! Il me regardait dans les yeux. Justement, je ne devais pas pleurer mais montrer quand même que j'étais déçu, ça je pouvais. C'était l'heure de ma moue légendaire. Il disait que ce n'était pas bien de faire une telle chose. Il fuyait mon regard. Mais euh, je le voulais moi ! Finalement, il me regardait de nouveau. Il se rapprochait de moi. Je sentais mon front contre le sien. C'était déjà un bonheur. Ce qui était encore mieux, c'était de sentir ses mains contre mon dos. Je sentais cette chaleur et cela me plaisait. Le voir, le regarder juste en face, se mordiller les lèvres était pour moi le signal de me jeter sur lui et enfin de l'avoir tout contre moi. Il essayait de me convaincre qu'il était difficile de préserver un secret mais pour moi, peu importe et de toute façon, j'arriverais à le garder. Il me caressait les cheveux et je sentais son tendre baiser sur ma joue. C'était insuffisant. Je voulais plus, j'obtiendrais plus. Je n'étais pas considérée comme une princesse pour rien. Tout était possible pour moi.
- Faire une telle chose, c'est pourtant, ce qui réunit deux êtres. Je t'ai attendu. Je ne saurais plus attendre tellement j'ai envie d'être tout près de toi et enfin pouvoir te montrer à quel point tu comptes pour moi, que je t'ai toujours désiré. Je ne peux te résister mon chou et je sais, je ressens que tu ne peux me résister non plus. Je sais bien qu'il est difficile de préserver un secret mais crois-moi qu'en étant tous les deux, on est plus fort que n'importe qui. Nous sommes tous simplement un bloc qui ne peut se briser. Je meurs de désir pour toi. Embrasse-moi, laissons ce désir enfin s'exprimer qui est en sommeil depuis tellement longtemps.
J'allais être des plus coquines et malicieuses. En effet, je mettais mes bras autour de lui. Je me rapprochais l'embrassant sauvagement, le caressant et le griffant légèrement pour montrer qu'il était rien qu'à moi. J'avais ma proie. Je ne voulais pas le voir s'échapper. Je l'incitais finalement à caresser mes hanches, allant jusqu'à mes fesses et ainsi, il verrait à quel point, j'étais devenu une femme fatale. J'en avais encore des idées et il n'avait rien vu encore. On allait passer un moment des plus inoubliables.
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