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Supercalifragilisticaspialidocios

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MessageSujet: Supercalifragilisticaspialidocios Supercalifragilisticaspialidocios  EmptyDim 4 Mar - 21:33

Depuis quelques jours, Tamsin n’entendait parler que de cette épidémie qui décimait toute la côte est des Etats-Unis et qui touchait des tas de personnes. Comme elle ne faisait rien d’autre de ses journées que de regarder la télévision, elle n’avait pas pu y échapper. Puis son entourage ne cessait pas d’en parler, surtout son père qui n’arrêtait pas de l’appeler pour avoir de ses nouvelles. Pour le coup, elle était vraiment contente de ne pas avoir commencé son internat. Elle aurait été plus qu’exposée à la maladie, et quand bien même elle était forte et courageuse, elle ne se sentait pas assez forte et courageuse justement pour affronter les différents symptômes déjà connu de l’infection. Bon ça va, elle ne vivait plus seule. Il y avait cinq autres personnes – qu’elle ne connaissait pas particulièrement encore bien, mis à part Denver… (if you know what i mean) – qui partageaient l’appartement de Park Avenue avec elle, ils pourraient donc l’aider et elle pourrait se faire plaindre à longueur de temps – sous peine qu’eux non plus ne soient pas malades. Puis au pire, elle savait qu’elle pouvait compter sur sa sœur pour venir lui tenir compagnie pendant qu’elle agoniserait dans son lit. Enfin ceci n’était que l’unique bon côté du fait d’être malade : se faire chouchouter. Il n’y avait que de mauvais côtés sinon, et ceux-ci étaient nombreux.

A peine la jeune femme eut-elle posé le pied par terre ce matin-là qu’elle voyait des étoiles et sentit sa vision se troubler. Elle dut se rasseoir ; elle s’était sans doute levée trop rapidement. Elle tenta de se lever à nouveau, plus doucement cette fois et elle réussit à marcher sans trop de problèmes jusqu’à la salle de bain. Seulement, sa vue se troubla à nouveau légèrement, et l’espace d’une demi-seconde, elle se sentit partir en arrière. Elle s’appuya alors au rebord du lavabo et cligna des yeux plusieurs fois, pour reprendre ses esprits. Damn. Des vertiges ? Elle ne se souvenait pas avoir trop bu la veille ni avoir pris quelconque drogue – ce qui ne risquait pas d’arriver soit dit en passant ! Et puis elle avait beau vivre dans un grand immeuble, elle ne n’avait pas peur de la hauteur. En fait c’était presque ridicule de se dire qu’on pouvait avoir le vertige dans un appartement, tant qu’on ne se trouvait pas sur un balcon ou qu’on ne regardait pas par la fenêtre. Elle se passa un peu d’eau sur le visage, qu’elle frotta de ses deux mains, puis se remit en route vers la cuisine. Sur le chemin, elle sentit plusieurs ces vertiges qui l’assaillaient, et dès que sa route croisa celle d’un tabouret, elle se jeta dessus. Elle était dans la cuisine, et avait une vue parfaite sur l’extérieur. Il faisait beau pour une fois. Tamsin se mit ensuite à tousser. Elle avait surement pris froid… Ce n’était rien de grave. Malgré elle, son cœur s’emballa. La toux et les vertiges étaient des symptômes assez courants, pour diverses maladies. Cela ne voulait pas nécessairement dire qu’elle était elle aussi victime de l’épidémie. Elle toucha son front pour s’assurer qu’elle n’avait pas de fièvre ; ce n’était pas le cas. Elle toussa encore une fois, puis une autre. Mis à part les bruits qu’elle faisait en toussant, l’appartement était silencieux. Soit ses colocataires dormaient encore, soit ils étaient tous sortis. Elle jeta un coup d’œil à l’horloge murale qui se trouvait en face d’elle : bon en même temps il n’était que neuf heures, cela semblait plutôt logique. La blonde essaya ensuite de se lever pour attraper une pomme de la corbeille à fruits posée derrière elle. A peine eut-elle croqué un bout qu’elle toussa de nouveau. Le morceau s’était semble-t-il coincé dans sa gorge et elle n’eut d’autre choix que d’aller cracher dans l’évier. Seulement, il n’y avait pas que de la pomme qui était sorti de sa bouche ; une tache rouge était tombée sur l’inox. Du sang ! Cette fois, elle paniqua vraiment et ferma les yeux pour réfléchir. Elle était toujours penchée en avant, au-dessus de l’évier, les mains accrochées au bord. Elle n’y arrivait pas. Pour la première fois depuis qu’elle avait commencé ses études de médecine, elle se voyait paniquer face à des symptômes. Surement que le tapage médiatique autour de l’épidémie avait fait son effet. Et pourtant, elle n’était pas facilement impressionnable. Mais tout se chamboulait dans sa tête, elle n’arrivait plus à penser, elle ne savait pas si elle devait appeler à l’aide, aller chez le médecin, elle ne pensa même pas à appeler son père. Elle était confuse, ne sachant pas quoi faire. Elle resta alors penchée au-dessus du lavabo, les yeux fermés.


Dernière édition par Tamsin Sullivan le Dim 15 Avr - 18:46, édité 2 fois
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MessageSujet: Re: Supercalifragilisticaspialidocios Supercalifragilisticaspialidocios  EmptyDim 4 Mar - 21:33

Lancer de dés
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MessageSujet: Re: Supercalifragilisticaspialidocios Supercalifragilisticaspialidocios  EmptyDim 4 Mar - 21:33

Le membre 'Tamsin Sullivan' a effectué l'action suivante : Lancer de dés

'Maladie' :
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MessageSujet: Re: Supercalifragilisticaspialidocios Supercalifragilisticaspialidocios  EmptyMar 6 Mar - 23:56

L’œil droit de Denver s'ouvrit tout doucement. D'étranges bruits venaient de le réveiller. Pour être honnête, ces bruits tombaient vraiment mal. Le jeune homme avait pratiquement passé toute la nuit dehors avec son frère Phoenix. Autant vous dire que la soirée fut très agitée, entre alcool et substance illicites. C'était d'ailleurs un miracle que Denver n'ait pas fini dans une poubelle, et qu'il soit rentré sain et sauf à l'appartement. Son nouvel appartement. C'était encore tout nouveau pour lui. Cependant, il ne disait pas adieu à sa Denmobile, loin de là. C'était comme le bébé qu'il n'avait jamais eu. Limite il avait plus de respect pour sa voiture que pour les filles qu'il avait fréquenté. Non, peut être pas à ce point. Il aimait les femmes, et n'était donc pas misogyne. Juste un tout petit petit petit peu macho. Bref, il avait réussi à rentrer très tard cette nuit, ou bien très tôt ce matin, sans avoir réveillé personne. Enfin, c'est ce qu'il pensait. Il ne s'était pas rendu compte du boucan qu'il avait pu faire en rentrant dans l'appartement. Il avait réussi à se cogner un peu partout dans les tables, meubles, murs... C'est qu'en bougeant légèrement son genoux sous la couette qu'il sentit une douleur intense. Hier soir il s'était passé quelque chose de mauvais pour lui. Il s'était sûrement cassé la gueule à un moment donné. Il grimaça de douleur et leva son torse à mi hauteur. Le jeune brun jeta un coup d’œil au tour de lui. Il faisait noir, mais il sentait bien que Tamsin n'était pas présente dans la chambre. Oui, il n'était pas seul dans l'appartement, ils étaient genre six . Tamsin et Denver avaient décidé de partager leur chambre. On ne se demandait pas trop pourquoi d'ailleurs. Il jeta un coup d’œil au réveil présent dans la pièce. Il était genre neuf heure du matin. Denver soupira longuement. « Mon dieu Tamsin, comment fais tu pour te lever si tôt... » chuchota t-il pour lui même. Il se laissa retomber dans son lit, mettant bien sa couverture au dessus de sa tête pour tenter de se rendormir. Mais finalement, il n'y arrivait pas. Il réfléchissait. L'appartement semblait bien calme. Ça voudrait dire que personne n'était levé, mis à part Tamsin. Elle était donc seule. Il dégagea la couverture rapidement et se mit en position assise sur son matelas. Après s'être bien frotté ses yeux qui piquaient, il se mit debout sur le sol. Il était en caleçon, mais ça ne le dérangeait pas pour sortir de la chambre. Traverser le couloir fut une rude épreuve, étant donné qu'il était plutôt lumineux. Denver avait l'impression d'être un vampire. Tout en se grattant le crâne et en baillant, il se dirigeait vers la cuisine. Plus il s'approchait, plus il entendait des bruits étranges. Ceux qu'il avait entendu quelques minutes plutôt. Des toussotements. Il fronça les sourcils et entra dans la pièce. Là il vit une des deux blondes avec qui il partageait l'appartement. Il se rapprocha prudemment et hésitant. En tout cas, voir la silhouette penchée de cette manière n'était pas très bon signe. « Tamsin ? » interrogea t-il. C'était stupide comme question, il n'y avait sûrement qu'elle de réveillée. « Ça va ? » il se rapprocha jusqu'à se retrouver à côté d'elle. C'était bien Tamsin. Son regard se posa vers l'évier. Du sang se trouvait dans le fond. Il écarquilla les yeux, surpris d'une telle vision dès le matin. « Bah qu'est ce qui t'arrive ? »
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MessageSujet: Re: Supercalifragilisticaspialidocios Supercalifragilisticaspialidocios  EmptyMer 7 Mar - 3:14

Tamsin commençait à se sentir de plus en plus mal. Elle ne savait pas si c’était dû à la panique qui venait de s’emparer d’elle - à la vue du sang principalement mais aussi en partie à cause de sa toux et de ses vertiges – et qui la paralysait et l’empêchait de penser ; ou bien si c’était parce qu’elle était vraiment malade. Le sang pouvait être la conséquence de pas mal de choses, certaines moins graves que d’autres. Mais la présence de sang n’était jamais anodine et toute personne normalement constituée s’inquiétait à sa vue. Cependant, en tant que médecin, Tamsin aurait dû avoir une autre attitude que celle qu’elle avait en ce moment. Elle n’aurait pas dû, en premier lieu, céder à la panique. Il aurait plutôt fallu qu’elle analyse ses symptômes, qu’elle réfléchisse et pense aux cours qu’elle avait vus durant ses quatre années à la fac. Elle n’était pas stupide, et avait la faculté de retenir plutôt bien ce qu’elle apprenait et ce qu’on lui disait sans avoir à fournir trop d’efforts. Or, là, elle était tout bonnement incapable de servir de sa tête. C’était tout simple : il y avait comme un trou noir. Comme si elle avait reçu un coup à la tête et qu’elle était amnésique. Ou alors… Non en fait, elle pensait plutôt à une pelote de laine. Tout était mélangé, c’était un bordel monstre, et elle n’arrivait plus à trier les informations stockées dans son cerveau.

La jeune femme toussa encore, et fut même prise d’une assez violente quinte de toux. C’est là qu’elle se remit à cracher du sang. Logiquement, la vue du liquide rouge ne la dérangeait pas. Après tout, c’était une part intégrante du métier de chirurgien, et ne pas le supporter aurait été plutôt embêtant pour atteindre son objectif. Seulement elle n’aurait pas à le gouter ce sang. Et heureusement, puisque le gout qu’elle avait en ce moment même dans sa bouche l’écœurait, et elle était à deux doigts de vomir. En ayant marre de la situation, et se rendant compte qu’elle ne pourrait pas rester penchée au-dessus de l’évier de la cuisine – un parce que son état n’allait pas s’améliorer si elle ne bougeait pas et deux parce que ses colocataires allaient très certainement finir par débouler un par un et qu’ils auraient tôt ou tard besoin de l’utiliser ou parce qu’ils trouveraient tout simplement la situation étrange – elle se releva brusquement bien décidée à prendre le téléphone et appeler son père. Qui mieux que lui pourrait la refuser ? Son père était son plus fidèle appui, son plus grand soutien, celui vers qui elle se tournait quand elle avait peur ou que quelque chose la dérangeait. Seulement, elle avait été semble-t-il un peu trop brutale, puisqu’un nouveau vertige la prit, et qu’elle se retrouva aussi sec de nouveau appuyée sur le lavabo. Elle donna un coup de pied dans le meuble qui soutenait l’évier. « Merde… » lâcha-t-elle, trop faiblement toutefois pour que quelqu’un puisse l’entendre. Bon bah ce n’était pas gagné. Si elle n’arrivait même pas à faire un pas pour attraper le téléphone… Peut-être que si elle s’écroulait par terre, là maintenant, elle se sentirait mieux. Peut-être qu’être allongé lui ferait du bien et la remettrait sur pieds. Ce n’était peut-être qu’un manque de sommeil. Ça aurait pu l’être s’il n’y avait pas eu tout ce sang. Mais la perspective de se laisser tomber sur le sol et d’atteindre que quelqu’un ne vienne l’aide lui plaisait pas mal.

Soudain, au milieu de deux élans d’inquiétude suivant d’autres crachats de sang, Tamsin entendit des bruits de pas dans le couloir. L’espoir venait de renaitre en elle, quelqu’un allait l’aider. Enfin si ce quelqu’un ne prenait pas peur. Avec l’épidémie et tout ça, personne ne voulait risquer d’attraper quoi que ce soit, et donc de se trouver si près d’une personne malade. La paranoïa était donc de mise et la jeune priait pour que quel que soit celui de ses colocataires qui venait de se lever, il ne fuie pas en courant. La voix qu’elle entendit peu après, appelant son prénom, lui apporta une nouvelle vague de soulagement. « Denver… » Celui qu’elle avait espéré voir le plus parmi tous ses colocataires, même si elle doutait grandement du fait qu’il puisse être le premier levé. Elle releva la tête, plus doucement cette fois - elle ne se ferait pas avoir à nouveau – puis se tourna de façon à se retrouver face à lui. L’une de ses mains resta néanmoins accrochée au bord de l’évier, et elle était appuyée contre le plan de travail. Pendant ce temps, le jeune homme s’était approché d’elle, si près qu’il n’était plus qu’à quelques centimètres d’elle et avait de ce fait une vue imprenable sur l’évier et ce qui s’y trouvait, à savoir son sang. Il semblait légèrement inquiet, mais il ne semblait pas non plus assez réveillé pour pouvoir comprendre totalement ce qui était en train de se passer dans cette cuisine. Il lui demanda si ça allait. Tamsin hocha tout d’abord la tête, doucement, d’un air peu assuré. Il était clair qu’elle n’allait pas bien, mais en même temps, elle ne voulait pas l’admettre. Il fallait qu’elle se dise que c’était rien pour ne pas paniquer davantage. Il finit cependant par secouer la tête de gauche à droite, un peu plus rapidement. « En fait j’en sais rien. » Elle leva un regard plein de détresse vers lui, avant de tousser encore une fois. Elle mit sa main devant sa bouche, de peur qu’un microbe ne s’échappe et ne contamine le pauvre Denver. En fait, rien qu’en restant près d’elle il risquait de tomber malade, et elle s’en voulait de l’exposer, et d’exposer tout le monde qui dormait encore et qui vivait ici de la même façon. « Je n’arrive pas vraiment à comprendre tout ce qui vient de m’arriver… Je viens à peine de me lever et… j’ai failli m’écrouler plusieurs fois, et j’ai manqué de réveiller tout le monde en toussant. Désolée d’ailleurs, si c’est le cas pour toi… » En y repensant bien, quand elle s’était endormie la veille au soir, Denver n’était pas là. Il avait surement dû rentrer tard… Quelque chose comme très tôt le matin, cinq ou six heures. Or, il n’était que neuf heures. « Tu devrais retourner dormir, ça devrait aller, il faut juste que j’arrive à… » Elle fut coupée par sa toux qui reprit. Elle cracha de nouveau du sang. Elle devait faire peur à voir. Après s’être essuyé la bouche, elle se retourna vers le jeune homme. « Je suis vraiment… désolée... pour tout ça ! Je vais nettoyer ne t’en fais pas. »


Dernière édition par Tamsin Sullivan le Dim 15 Avr - 18:49, édité 2 fois
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MessageSujet: Re: Supercalifragilisticaspialidocios Supercalifragilisticaspialidocios  EmptyJeu 8 Mar - 0:20

Évidemment qu'elle n'allait pas bien. Si elle n'avait pas finalement avoué qu'elle ne savait pas, Denver ne l'aurait pas cru. Il passa de nouveau ses mains sur ses yeux pour vérifier que tout était bien réel. Elle crachait du sang. Le jeune homme écoutait ses explications sans rien dire et en hochant la tête. Il est vrai qu'elle l'avait réveillé, c'est d'ailleurs pourquoi il le souligna légèrement. « Oui, c'est vrai, mais bon... » Denver n'était pas du genre à cacher ce qu'il pensait, elle devait le savoir. Ce n'était pas pour autant qu'il voulait la vexé ou quelque chose dans ce genre, loin de là. C'est juste qu'il avait besoin de dire les choses telles qu'elles étaient. Il hocha sa tête pour lui faire comprendre que ce n'était pas grave. Ce n'était totalement sa faute après tout. Elle était malade. En plus de ça, Denver avait du faire plus de bruit qu'elle lorsqu'il était rentré cette nuit donc... Ceci dit, si il avait eu devant lui un de ses frères et sœurs, il n'aurait pas eu la même réaction. Bien au contraire, il aurait râlé, et ce même si ils étaient malades. Aucune compassion lorsqu'il s'agissait de son sommeil. Mais là, c'était différent. C'était Tamsin. Et cette jeune femme, il ne fallait pas qu'il la perde, bien au contraire. Alors qu'elle lui proposait de se rendormir, le jeune McDaniels fit un signe de la main pour lui dire de laisser tomber, que ce n'était pas grave, mais il ne pensait pas qu'elle eut le temps de le remarquer. En effet, elle fut coupée en pleine phrase par une grosse toux. Il eut le réflexe de reculer d'un pas. Elle avait craché de nouveau du sang. Ce n'était décidément pas normal. Denver était dégoutté mais il se força à ne pas le montrer en pensant qu'il y avait bien pire comme tue l'amour. Par exemple perdre ses cheveux. Puis ce n'était pas non plus comme si elle vomissait devant lui. Ça, c'était vraiment horrible pour Denver, mais si en soit c'était moins grave que cracher du sang. Les vomissements, le jeune homme avait vraiment du mal avec ça -ça avait un effet boule de neige avec lui, d'autant plus qu'il avait la gueule de bois à l'heure qu'il était, et que les maux de cœur ne se faisaient pas rares dans ces cas là. « C'est pas très glamour... Mais j'ai vu pire. » répondit il avec un léger sourire, essayant de prendre la situation à la « rigolade ». Ce n'était pourtant pas drôle. Il se reprit. « Faut appeler un médecin Tamsin. Ce n'est pas normal ce qui t'arrive. Je peux m'occuper de l'appel si tu veux. En attendant, viens. » Il lui tendit sa main pour l'emmener autre part que dans la cuisine. Il l'entraîna jusqu'au salon et la fit s’asseoir sur le canapé. « Attends, deux secondes. Je reviens de suite. » Il retourna dans la chambre en se précipitant et y récupérer sa couverture. A la même vitesse il retourna au salon, la couette dans les bras, un peu à l'aveuglette. Il la déposa sur la jeune femme. « Tiens enroule toi comme un rouleau de printemps avec, je reviens ! » et il repartit aussitôt, cette fois ci dans la cuisine. Il prit un verre qu'il rempli d'eau ainsi que le paquet de sopalin. Cependant, par soucis de situation, il ne put se dépêcher pour le retour. Les mains légèrement tremblante, et à l'allure d'une tortue, Denver se retrouva devant la jeune femme. « Tiens, le sopalin c'est pour que tu tousses dans un truc qui peut se jeter après ... » il jeta le sopalin juste à côté d'elle, et tendit ensuite le verre d'eau. « Et ça, c'est pour te rincer la gorge... pour que ça passe mieux... tu veux que je t'apporte autre chose ? Je peux te faire un thé … Peut être que t'as la gorge sèche ? Ou je ne sais pas moi … » Un peu speed le Denver. Conchita Denver.
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MessageSujet: Re: Supercalifragilisticaspialidocios Supercalifragilisticaspialidocios  EmptyJeu 8 Mar - 3:21

Le ton de rigolade qu’avait employé Denver l’aida à se détendre. Elle esquissa un sourire à son tour. Ce qu’elle aimait aussi chez lui, c’est qu’il était la plupart du temps trop défoncé – drogue, alcool, fatigue, peu importe – pour réaliser ce qui se passait sous son nez. Du coup il ne paniquait. Et il ne manquait plus que ça, qu’il panique avec elle. Cela ne ferait qu’aggraver la situation et ils ne seraient pas sortis de l’auberge. Elle apprécia aussi le fait qu’il ne lui en veuille pas de l’avoir réveillé, qu’il n’aille pas se recoucher comme elle le lui avait proposé et qu’il le ne fuie pas non plus face à son état et tout ce sang. Soit il tenait assez à elle pour risquer d’attraper son maudit virus en l’aidant, soit il avait pitié. Oh, il pouvait aussi être inconscient. Peu importait de toute façon, il restait avec elle c’était ça qui comptait le plus.

Ne pas être au top du glamour lui importait peu pour être honnête. Bon certes elle était une femme, une vraie fille, qui aimait plaire et se sentir belle, être au top de sa forme et être présentable en toutes occasions. Surtout face à son amant, bien que non officiel. Cependant il s’agissait là de Denver, et il n’en avait sans doute pas grand-chose à faire. Il l’avait déjà vu dans des états similaires – il la voyait tous les jours au réveil par exemple, quand elle se levait après lui, ce qui était assez rare pour être souligné. Puis leur relation était sans prises de tête, elle ne sortait jamais le grand jeu.

Il finit par être un peu plus sérieux. Pourtant Tamsin voulait continuer de prendre ce qui était en train de lui arriver à la légère avec lui. C’était le seul moyen pour qu’elle ne fasse pas une crise d’angoisse. Il lui proposa cependant d’appeler un médecin – sans oublier d’ajouter que ce qui lui arrivait n’était pas normal. Merci Captain Obvious ! Il venait de sauter dans le plat les deux pieds joints. Mais elle reconnut néanmoins sa volonté d’être gentil, encore une fois. La jeune femme ne put qu’hocher la tête. Elle attrapa ensuite la main qu’il lui tendit, et la serra de toutes ses forces. Elle sentait ses vertiges reprendre et nous voulait pas risquer de tomber. L’espace de quelques secondes, elle l’arrêta dans son élan, alors qui la conduisait hors de la cuisine vers le canapé, pour lui demander quelque chose. « Appelle mon père. Mon téléphone est sur ma table de nuit, le numéro est enregistré… Présente toi comme étant un ami et du lui que c’est urgent… S’il te plait… » Elle se laissa ensuite entrainer vers le canapé, telle une poupée de chiffon. Denver pouvait faire d’elle ce qu’il voulait, elle ne cherchait plus à résister. Il l’abandonna là, partit, puis revint avec une couverture. Qu’elle se roule dedans ? Et puis quoi encore ? Tamsin secoua rapidement la tête de gauche à droite pour mon montrer son refus. « Merci je n’ai pas franchement envie de ressembler à un burrito. Ou à un rouleau de printemps si tu préfères. » Elle repoussa la couverture sur le côté et soupira. Elle éprouvait des sentiments contradictoires. D’un côté elle avait peur et voulait qu’on s’occupe d’elle, de l’autre, elle n’acceptait pas toute l’aide qui lui était apportée. Elle n’arrivait plus vraiment à décider de ce qui était bon pour elle ou non.

Denver la laissa ensuite seule une nouvelle fois, puis revint avec un verre d’eau et du sopalin. Il était décidément plein de surprises et d’attentions. Elle lui jeta un regard reconnaissant. « Sopalin… Verre d’eau… » repeta-t-elle en observant les objets qu’il venait de poser à côté d’elle. Le jeune homme venait tout juste de lui expliquer à quoi ils serviraient qu’elle ne s’en souvenait déjà plus. Elle lui lança un nouveau regard, interrogateur cette fois ci. La jeune femme était totalement perdue, et elle détestait cette sensation. Elle se mit à tousser encore une fois. Seulement cette fois, elle ne cracha pas de sang. «Je… Putain !» Elle mit sa tête entre ses mains tout en soufflant. Elle ne comprenait rien, elle ne comprenait pas pourquoi c’était elle qui était malade, pourquoi elle crachait du sang, pourquoi elle avait des vertiges. Elle voulait juste dormir et se réveiller en allant bien. Comme si tout ça n’avait été qu’un mauvais rêve. Parce que sérieusement, on se serait cru en plein épisode de Dr House. « Qu’est ce qui m’arrive ? » Elle avait Presque envie de pleurer. Au lieu de ça, elle ramena la couverture sur elle, puis serra ses jambes contre son corps. « J’ai super peur. » dit-elle en relevant la tête vers lui.


Dernière édition par Tamsin Sullivan le Dim 15 Avr - 18:50, édité 1 fois
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MessageSujet: Re: Supercalifragilisticaspialidocios Supercalifragilisticaspialidocios  EmptyDim 15 Avr - 18:43

« Mais on en a rien à foutre à quoi tu ressembles dans la couverture... » dit il, même si l'image de voir Tamsin confinée de dans le faisait rire. « Bon, je vais pas te forcer hein, t'es assez grande pour décider toute seule. » Oui, après tout, il ne faisait qu'apporter ce dont elle aurait peut être besoin, après elle en faisait ce qu'elle voulait, Denver n'était pas son père et il n'avait pas franchement envie de prendre sa place. Lui, il n'était que son ami, son colocataire et le garçon avec qui elle couchait régulièrement. Ça fait beaucoup de statuts quand même. Ils auraient pu résumer ça à « couple », mais non. Tamsin de nouveau, mais cette fois ci il n'y avait pas de sang. En fait, ce qui étonnait le plus Denver c'est qu'elle faisait des études de médecine et qu'elle ne semblait pas savoir ce qu'elle avait bien pu attraper. Il fronça les sourcils. « Ah oui, le téléphone, attends. » Le jeune homme quitta la pièce pour se retrouver quelques secondes plus tard dans sa chambre. Il alluma la lumière pour y voir plus clair et trouva finalement le portable de la jeune femme sur la dite table de nuit. Il le prit et retourna auprès d'elle. Maintenant il devait appeler son père. Ohlala, dans quoi s'était il lancé ? Parler aux parents n'a jamais été son fort, il n'y avait qu'à voir sa relation avec les siens. « Qu’est ce qui m’arrive ? » lui demanda t-elle. Son expression faisait de la peine à Denver. Il avait beau être un déconneur et tout, mais lorsqu'il voyait quelqu'un qu'il aimait bien souffrir de cette manière, ça le mettait mal. Le pire était qu'il n'avait aucune réponse à lui donner puisqu'il n'en savait pas plus qu'elle. Et dire des choses style 'ne t'inquiètes pas, tout ira bien'... Ça faisait tellement drama, et ça ne lui correspondait pas du tout. Il passa sa main dans son cou, essayant de réfléchir. Elle avait peur, et par conséquence c'était un mauvais signe... Enfin pour lui. Il doute que Tamsin ait peur pour un rien. Le jeune homme soupira et finit par s'asseoir à ses côtés. Il n'avait dormi que quelques heures cette nuit et il ne savait plus comment réfléchir à cette situation. Le mieux serait qu'elle aille à l’hôpital. « Tu veux aller à l'hôpital ? Je peux t'y emmener. » Il baissa son regard sur le téléphone de son amie. « Donc, tu veux que j'essaye d’appeler ton père ? » se risqua t-il d'insister. Il pourrait faire un effort pour elle, mais il sentait déjà que ce n'allait pas être du gâteau. Les seuls contacts qu'il avait eut avec des adultes étaient avec ses parents, ses grands parents, des vendeurs/caissiers... ah oui, et les flics aussi. « Ou sinon, on peut essayer aussi de voir si les autres peuvent peut être t'aider ? Car je ne suis pas des plus grandes aides... » Oui, sûrement quelqu'un comme Lloyd pourrait être plus intelligent que lui et trouverait plus facilement une solution.
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MessageSujet: Re: Supercalifragilisticaspialidocios Supercalifragilisticaspialidocios  EmptyVen 20 Avr - 18:11

« Peut-être que toi, tu n’en as « rien à foutre » de ce à quoi je ressemble dans cette couverture, même si une part de moi est convaincue que tu dis ça juste pour me faire plaisir, mais pour une fille, son apparence compte beaucoup. Surtout devant un garçon à qui elle veut plaire. » Tamsin sourit timidement. Vu leur relation, à elle et Denver, elle n’avait pas forcément besoin de fournir énormément d’efforts pour lui plaire. Déjà parce qu’ils ne sortaient pas vraiment ensemble et qu’ils ne cherchaient pas à plaire l’un à l’autre. Il n’y avait pas de sentiments autres qu’amicaux entre eux, et des amis devaient s’accepter tels qu’ils étaient, sans artifices. Puis honnêtement, si elle ne lui plaisait pas, Denver ne passerait pas son temps à coucher avec elle. Ce qui lui plaisait en ce moment même, et qui la rassurait par la même occasion, c’était que Denver ne semblait pas être plus paniqué que ça. Il y avait assez d’elle qui paniquait alors qu’elle était censée être la plus calée des deux en matière de médecine. Mais ce n’était pas une encyclopédie, et elle n’était pas encore arrivée à la fin de ses études, donc elle était loin de tout connaitre sur le sujet. Puis il y avait ce elle ne savait quoi qui faisait qu’elle avait l’esprit totalement embrouillé et qu’elle n’arrivait plus à réfléchir. La seule chose qu’elle arrivait à faire c’était paniquer. Et tousser. Heureusement, grâce à sa position assise, elle ne ressentait plus vraiment les vertiges qui l’assaillaient depuis qu’elle s’était levée. Elle adressa un sourire et un regard reconnaissants au jeune homme lorsqu’il partit chercher son téléphone portable, qu’il ne pouvait pas voir bien entendu, puisqu’il lui tournait déjà le dos. Le fait qu’il s’occupe d’elle de cette façon la touchait. Il aurait pu fuir, mais non, il avait choisi de rester. Peu l’auraient fait. Pendant qu’il était, elle toussa deux fois, reçut quelques gouttes de sang la première fois seulement. Quand son ami revint, elle lui murmura un « merci. » accompagné d’un grand sourire.

Denver finit par s’asseoir à côté d’elle. Il avait l’air vraiment fatigué, et pour un peu, Tamsin se sentait coupable. Elle l’avait réveillé, il se démenait pour l’aider la soulager. Elle tourna la tête vers lui. « Tu peux retourner te coucher si tu veux. Tu m’as déjà bien aidé… Et maintenant que j’ai mon téléphone, je peux me débrouiller… » dit-elle pas vraiment convaincue. En fait la dernière chose dont elle avait envie c’était de se retrouver seule. Mais elle ne pouvait pas l’empêcher de dormir, il l’avait déjà bien aidée. Cependant, elle n’eut pas bien le temps de peser le pour et le contre quant au « départ » du jeune homme qu’il lui proposa d’aller à l’hôpital. « Je… Oui, éventuellement… Enfin, il faudrait bien que j’y aille à un moment ou à un autre parce que je ne vais clairement pas réussir à guérir sans rien faire. » dit-elle en se mordant la lèvre. Avant d’aller à l’hôpital, elle aurait voulu voir son père. Il aurait su la rassurer, peut-être même faire un diagnostic. A l’hôpital, dans la salle d’attente, elle aurait eu mille fois le temps de paniquer encore plus. Puis elle n’aurait pas été à son aise, sur des chaises dures et inconfortables. Tamsin posa ensuite sa main sur celle du jeune homme. « C’est bon, je vais l’appeler. » dit-elle avec un ton qui se voulait rassurant. Elle savait que Denver n’était pas à l’aise avec les adultes, d’autant plus qu’il s’agissait du père de la jeune femme avec qui il couchait régulièrement, sans qu’il n’y ait quoi que ce soit de sérieux entre eux. Il y avait de quoi être mal à l’aise. « Merci pour tout. » Une quinte de toux la repris, et elle s’empara de sopalin pour éviter de cracher du sang partout. Elle ne saignait pas à chaque fois, mais elle ne pouvait pas être sûre à l’avance. « Tu t’en sors très bien tu sais. Mais je comprends, si tu préfères que quelqu’un d’autre prenne la relève… » Elle voulait Denver, mais elle savait qu’elle serait entre de bonnes mains aussi avec n’importe lequel de ses colocataires. Ils avaient eu le temps de prendre à se connaitre, et des amitiés étaient en train de naitre.
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MessageSujet: Re: Supercalifragilisticaspialidocios Supercalifragilisticaspialidocios  EmptyLun 23 Avr - 20:36

« Tu peux retourner te coucher si tu veux. Tu m’as déjà bien aidé… Et maintenant que j’ai mon téléphone, je peux me débrouiller… » A cette phrase, Denver posa ses deux mains sur sa poitrine. « Quoi ? Moi fatigué ? Noooon ! » Il brassa de l'air devant lui avec un coup de main tout en faisant une grimace. Il ne savait pas vraiment si il était très convainquant, mais ce n'était pas faute d'avoir essayé. Évidemment qu'il était fatigué, mais il n'allait pas faire son gros salaud et la laisser seule comme ça. Ça pouvait être sa jumelle, son frère Phoenix ou même Minnie tiens, ça serait la même chose. Il avait tout de même un bon fond. Bon, lorsqu'il était complètement high, c'était un peu différent. Dans ces moments là il pensait principalement qu'à lui, et comme il prenait des drogues relativement souvent... Ce matin, il n'avait juste pas eu le temps. « T'inquiètes, je reste. De toute façon, je ne pense pas réussir à me rendormir. » Ou pas. C'était le genre à se rendormir si il venait à s’allonger, et ce même si il avait fait un nuit complète juste avant. Denver était un gros dormeur, et généralement il lui fallait au minimum dix heures de sommeil. Les heures supplémentaires n'étaient que du bonheur. « Bah dès que tu veux y aller, on ira. » Il tripotait le téléphone portable de la jeune femme assez nerveusement, mais la demoiselle su plus ou moins le rassurer en posant sa main sur la sienne. Puis elle avait aussi réussi à trouver les mots. C'est elle qui allait s'en occuper. Parfait. Denver ne se voyait pas vraiment dans ce job là. Il lâcha un soupir rassuré. « Ah, merci de ne pas me faire subir ça. » dit il sincèrement. Il passa alors le téléphone, bien content d'avoir cette tâche en moins à réaliser. Il fronça cependant les sourcils lorsqu'elle se remit à tousser. Il espérait que tout ça n'était que passager, et que dans l'après midi elle irait bien. Il n'allait cependant pas exprimer son inquiétude toutes les deux secondes. Une fois, ça suffisait, après, c'était inutile. Denver passa sa main sur sa nuque embêté. « Bah en soit, ça ne me dérange pas de m'occuper de toi, mais j'ai pas l'impression de bien faire... Enfin, il y aura peut être quelqu'un d'autre de plus qualifié que moi dans cette tâche. Attends deux secondes, je reviens. » Il se leva et sortit de la pièce pour se retrouver dans le couloir. Son but était maintenant de trouver au moins une personne pour l'aider. Ils étaient six dans cette baraque, il y allait bien y en avoir un. La première chambre qu'il fit fut celle Milo. Il ouvra la porte en grand, mais la pièce était vide. Tiens ? Denver haussa légèrement les épaules pour lui même et tenta une deuxième chambre. Cette fois ci, celle de Lys, l'autre jolie blonde de l'appartement. Là, une nouvelle fois il se permit d'ouvrir la porte en faisant un bruit monstre, mais cette fois, il y avait quelqu'un. « Lys ? » chuchota t-il. Il vit une tête dans le noir se lever. « Putain, casse toi ! » grommela la demoiselle. Après quoi, il se prit un oreille en plein visage. Roooh. Il referma la porte, légèrement énervé. Elle semblait être comme lui, c'était à dire pas une lève tôt. La chambre qui allait suivre était celle de Lloyd. Encore une fois, il ne se gêna pas pour s'inviter à l'intérieure. Personne. « Putain, y a personne ici ou quoi ? Jamais là quand on a besoin. » Enfin, ceci dit, la collocation était encore fraiche, mais c'était juste histoire de faire genre. En sortant, il passa devant celle de Minnie. Mais là, il n'osa pas. Il pensait que ça serait inutile et qu'elle serait pas plus qualifiée que lui. Il revint dans le salon en soupirant. « Bon, de toute façon, il n'y a personne. » annonça t-il en haussant les épaules.
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Supercalifragilisticaspialidocios

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