[Mini RP] Pourquoi tu veux pas [Javier]

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Cela fessait plus d'une semaine que Javier était mon garde du corps. Ca se passait très bien et on avait fait connaissance. Sans le vouloir celui ci me fessait retrouver le moral et il devait pas s'en douter.

Ce soir la j'avais décidé de m'amuser un peu et me changer les idées c'est pour cela que j'avais décidé de partir m'amuser en boite de nuit. Je mettais préparer toutes la journée à la maison et j'avais alors contacté Javier espérant qu'il soit disponible pour y aller. J'étais dans ma chambre entrain de m'occuper de mes cheveux quand j'entends frapper à ma porte, je savais très bien que c'était lui et il avait une manière de taper. Avec mon fer à friser, j'arrive à la porte afin de lui ouvrir pour qu'il rentre.

_ Salut Javier

J'étais souriant contrairement à d'habitude où je souriais que très peu voir pas du tout

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Le boulot, toujours le boulot. Ce soir, je pensais passer une soirée tranquille à lire ou simplement à jouer de la guitare sans me poser de questions quand j’avais reçu un appel de ma protégée. De bonne ou de mauvaise grâce, je lui avais dit que j’arrivais. Ma fille était chez sa cousine adorée et l’appartement me paraissait vide de vie alors dans le fond, je m’étais convaincu que je n’avais rien d’autre à faire que de répondre présent et puis… Qu’on se le dise : j’étais quand même payé pour assurer sa protection et que je le veuille ou non, c’était le patron qui décidait ! Une demi heure plus tard, je toquais à la porte de son appartement et c’est une Savannah souriante comme si peu en temps normal qui m’accueillit. A voir son fer à friser dans les mains, elle s’apprêtait à sortir et vue l’heure qu’il était, cela annonçait rien de bon. Pitié, pas une sortie dans un club ! Je haïssais les ambiances ni même assurer une protection dans cette foule de gens qui se dandinaient sur une surface restreinte. Les gens n’avaient pas idée à quel point, il était difficile d’assurer une protection efficace dans ce genre d’endroit : on s’entendait pas parler, il n’y avait que peu de marge de mouvement ! La seule chose de bien c’était que le ménage était à peu près fait à l’entrée grâce aux videurs mais je n’étais pas naïf : un billet et hop, vous rentriez ! « Bonsoir Savannah » la saluais-je tout en entrant dans l’appartement que j’avais appris à connaître par cœur depuis une semaine. « Si je comprends bien, tu as envie de sortir ce soir ? » lui demandais-je tout en espérant qu’elle me dise : oui je compte aller me faire un cinéma.. Je n’aimais pas le cinéma mais c’était mieux que la boîte de nuit. S’il n’avait tenu qu’à moi, je lui aurais proposé un club cubain où la salsa se disputait à coups de pas de danse. J’adorais les ambiances latino en même temps, je n’étais pas mexicain pour rien.

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J'avais eu une bonne idée de vouloir sortir en boite pour une fois que j'en avais en ce moment. J’avais décidé ce soir de tout oublier et pour une fois depuis plusieurs jours penser qu'à moi et moi seule.
Alors j'avais opté pour une robe de couleur blanche qui allait jusqu'au niveau du haut de mes cuisses avec des talons de couleur blanche ni trop haute ni trop basse. J'avais opté pour me faire les cheveux légèrement frisés pas comme un caniche quand même.
C'est pour que lorsque j'entends frapper à ma porte, j'étais toujours entrain de me friser les cheveux qui ce soir n'avaient pas très envie d'être frisé mais je m'en fichais.

Je vais à la porte et je vois alors Javier, je souris et l'invite à rentrer dans l'appartement. Je le salue avec un léger sourire et je me dirige vers ma chambre pour finir tout en continuant à me friser mes cheveux.

_ Oui j'aimerais sortir en boite de nuit ca fait un moment qu je n'y suis pas aller à vrai dire

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En pénétrant dans l’appartement, mon regard fit un tour d’horizon jusqu’à se poser sur ma protégée qui me tournait le dos. Bordel, elle était habillée d’une manière sexy sans pour autant être provoquante. Depuis la mort de ma femme survenue il y a quelques semaines, j’avais été comme libéré. J’ignorais si je serais à nouveau capable de m’engager dans une relation mais une présence féminine me faisait cruellement défaut. Depuis trois longues années, je n’avais serré un corps féminin contre moi et j’avais beau essayé de me dire que je ne ressentais aucun manque, mon corps n’était pas d’accord. Alors, voir une femme très belle devant moi éveillait des émotions que je refrénais avec grande peine. C’est ta cliente, crétin ! Me sermonnais-je tout en fourrant mes mains dans les poches de mon pantalon noir. Ce soir, je portais une chemise blanche dont les premiers boutons n’étaient pas fermés, un pantalon noir. Bref, j’étais décontracté mais classe. « En boîte de nuit ? » grimaçais-je. Mes craintes étaient fondées ! Un club. Elle voulait ma mort ! « Ce n’est peut-être pas une bonne idée.. il y a du monde dans ce genre d’endroit ! Beaucoup de monde » tentais-je sans grande motivation à la faire changer d’avis. Malheureusement pour moi, je ne pouvais pas lui interdire à moins que sa vie soit clairement menacée. Or, ce n’était pas le cas. Comment lui faire comprendre qu’il n’avait aucune envie d’y aller ?! Elle était belle comme tout, préparée à sortir et je me voyais mal la priver de cette sortie car depuis une semaine, je crois bien que c’était la première fois qu’elle manifestait une envie de ce genre. « Dis-moi dans quelle boîte de nuit tu désires aller histoire que je puisse prévenir les propriétaires de faire attention à l’entrée de leur établissement » soupirais-je. Mes contacts allaient encore se montrer clairement utiles.

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Assise sur mon lit je continuais de friser mes cheveux tout en me regardant dans la glace, je ne mettais pas encore maquillée et j'étais entrain de réfléchir à ce que j'allais mettre comme maquillage. J'avais à peine regarder Javier préférant me dépêcher pour sortir afin que je loupe l'entrée de la boite de nuit où on allait aller. J'y allais assez souvent mais dernièrement je n'avais pas mis les pieds. Parfois dans cette boite ça m'arrivait de prendre le micro et de chanter. Mais ce soir je n'avais pas envie de chanter.
La boite de nuit était une boite assez VIP pas beaucoup de monde avait accès, il fallait juste connaitre le propriétaire ou être connu et pour ma part c'était les deux.
Je tourne mon regard vers Javier toujours le fer à friser en main.

_ Oui je le sais très bien mais tu sais je connais cette boite elle est très VIP pas n'importe qui entre dedans faut être connu ou connaitre le boss.

Puis je pose mon fer sur ma table de nuit avant de le débrancher. Je me lève et regarde alors Javier avant de lui répondre

_ Il se nomme le Mystic. Tu veux le numéro du patron enfin t'es vraiment obligé de l'appeler toi ca suffit pas?

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« Laisse-moi quand même faire quelques recherches ! » marmonnais-je pour garder la face alors que je faisais demi-tour pour décrocher quelques coups de fil afin de me faire une rapide idée quant au sérieux de cette boite de nuit. Bon sang, si elle commençait déjà à me prendre à mes propres arguments, je n’allais pas faire de vieux os face à elle. Dix minutes plus tard, je retournais dans la chambre de Savannah, la mine dépitée. « Bon et bien si tu as fini de te préparer nous pouvons aller à ton club. Il est réglo d’après mes sources » soupirais-je en me faisant à l’idée que j’allais devoir supporter une foule bruyante et de la musique qui ne me passionnait guère. Mon métier ne comportait pas que des avantages malheureusement pour moi. « Au fait, tu es très belle ainsi ! » la complimentais-je avec un petit sourire affectueux. Au bout d’une semaine, j’avais appris à la connaître et à la respecter. Savannah n’était pas une de ces starlettes superficielles et écervelée bien au contraire. Son passé lui avait forgé un caractère mais aussi une carapace derrière laquelle, elle se cachait pour ne pas souffrir et tenir à distance certaines personnes. Nous quittâmes son appartement pour nous diriger vers l’ascenseur où une voiture avec chauffeur nous attendait. « Tu vas souvent en club ? » lui demandais-je pour savoir si j’allais devoir me farcir ce genre d’endroit souvent ou occasionnellement.

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_ Je te laisse faire pendant que je vais finir de me préparer.

Puis celui ci part et je finis de me préparer. J'avais rajouter des accessoires tel que bijoux, plume dans les cheveux, bracelets et colliers. Je me lève de mon lit et mets mes chaussures à haut talon de couleur blanche. C'est la que je revois Javier venir vers moi et me dire que la boite était réglo. Je passe ma main dans mes cheveux en souriant largement et rougissant à son compliment. Cela fessait un moment que je n'avais pas eu de compliment surtout de la part d'un homme

_ Alors let's go.

On quitte l'appartement après que j'ai récupéré mon sac, étiens les lumieres et fermé ma porte à clé. Je rentre alors dans la voiture à coté de Javier qui me pose une question

_ Avant j'y allais souvent mais maintenant j'y vais beaucoup moins. Mais pourquoi tu me pose cette question. Tu n'aime pas les boites de nuit ou il y a autres choses, dis moi tout

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Elle était mignonne comme tout alors qu’elle rougissait. Je trouvais toujours cela adorable chez une femme car dans le monde où nous vivions actuellement, je me doutais que les hommes avaient oublié pour certains du moins à se comporter convenablement. Je devais quand même préciser qu’ayant été élevé par deux femmes, elles m’avaient inculqué très vite le respect de la gente féminine mais aussi l’art de la séduction. Dans le passé, ça m’avait été très utile notamment pour séduire Grace, ma défunte femme. Penser à elle m’était toujours aussi douloureux mais il me fallait aller de l’avant, pour ma fille principalement. Cette dernière méritait que je me batte pour elle et jour après jour, j’apprenais à être un bon père. Bien sûr, il y avait des ratés mais dans l’ensemble je pensais bien m’en tirer surtout grâce à mes amis. Ce soir pour exemple, c’était sa cousine de cœur qui la gardait. Kennedy et Katniss adoraient passer du temps ensemble pour mon plus grand cauchemar. Dernièrement ma nièce chérie apprenait la photographie à ma surdouée de fille. Je n’étais pas sortie de l’auberge. Nous étions donc dans la voiture quand Savannah me retourna la question. « Et bien, ce n’est pas que je n’aime pas les clubs mais t’imagine pas comme c’est un sacerdos de protéger quelqu’un dans ce genre d’établissement et pour t’avouer, je préfère les club latinos. L’ambiance y est nettement plus agréable sans compter la musique et la salsa. » Terminais-je avec un sourire rêveur car j’avais dans le sang les rythmes latinos. D’ailleurs, je me rendais souvent dans le même établissement où je connaissais les propriétaires comme ma poche et cela depuis des années. Il faut dire qu’avant de s’installer à New York pour recommencer une nouvelle vie, ils avaient leur adresse à Sydney. « Tu sais danser la salsa ? » lui demandais-je par curiosité

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Tranquillement installé dans la voiture, je regardais dehors tout en étant légèrement pensive. Je pensais à beaucoup de chose beaucoup trop à vrai dire car j'étais pas trop attentive face à Javier. Je repensais à cette dernière semaine ou je n'avais presque rien fait du tout ou j'avais passé mon temps dans mon appartement mais la je ne sais pas pourquoi j'avais envie de bouger un peu, faire comme si ces derniers événements étaient passé et surtout tournez la page.

Alors que Javier me dit qu'il n'était pas pour les boites de nuit, je penche ma tête sur le coté et je le regarde avec un léger sourire

_ Ben pourquoi tu ne m'as rien dis, je sais que tu dois me protéger mais si tu pense qu'un endroit n'est pas bon pour moi il faut me le dire tout de suite d'accord.

La salsa était une danse que je connais un peu dire que je savais la danser serait un mensonge car je ne savais pas trop la danser. Je ne l'avais jamais réellement pratiquer

_ Ben écoute pour être franche pas trop mais si tu veux me montrer comment tu la danse si tu sais la danser, je dis pas non. Et puis si tu nous autorise à aller la danser pourquoi pas

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« Ce n’est pas que tu cours un grand risque mais simplement que la protection s’avère plus compliquée. J’ai déjà vu pire je te rassure et le jour où je sais que ta sécurité est menacée, crois-moi, je te le dirais mais en attendant, un garde du corps doit s’adapter à son patron et non l’inverse. » Lui assurais-je tout en souriant avant de tapoter sa main puis de regarder dehors tandis que la conversation s’orientait sur les club latinos et la salsa en général. Celui qui ne connaissait pas l’univers de ce genre d’établissement manquait quelque chose. Chaleur, sensualité, festivité, tous les ingrédients pour passer la meilleure soirée de sa vie. D’ailleurs, cela faisait un petit moment que je n’étais pas allé saluer mes vieux amis. A coups sûrs, ils m’interrogeraient sur Peter, mon meilleur ami resté en Australie et dont le sixième enfant était en route. Bon dieu, déjà qu’avec Katniss j’étais débordé mais alors avec six, autant me coller une balle en pleine tête. « Je t’apprendrais, tu vas voir, une fois qu’on a essayé la salsa, cela devient addictif et on en redemande mais pour cela, il faut avoir un partenaire qui sache la danser sinon on y prend pas le même plaisir. Sans vouloir te faire peur, la salsa est une danse chaude qui a besoin de sensualité, d’énergie pour pouvoir pleinement être consommée. Avec le tango et la rumba, cette danse est une de mes préférées » lui avouais-je avec un sourire goguenard. « Les américains sont trop frileux pour s’y frotter convenablement et vos clubs manquent d’âme. » continuais-je en haussant les épaules montrant clairement ma façon de penser quant aux établissements dits night club. Toute cette musique électro où les gens ne peuvent danser qu’en sautant ou en se déhanchant sans but. Toutefois, je me voyais mal lui dire : changeons de programme et vient te laisser porter par la musique latine dans mes bras. Ce n’était franchement pas professionnel pour un sou.

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Il m'expliquait que s'il devait y avoir danger, il ferrait ce qu'il fallait ce qui me fait sourire. J'avouais qu'il était doué et savait faire son métier. On voyait très bien qu'il mettait du cœur et son âme à le faire. J'avais bien eu raison de faire appel à lui sous le conseil de Gabriel. Je ne regrettais pas du tout malgré que des amis m'avait dis qu'un garde du corps c'était l'enfer assurait et faire affaire à un pourrissait la vie. Moi c'était le contraire, Javier était quelqu'un qui m'avait fait sourire et refais vivre après les événements passés. Je regardais la route et je tourne la tête en l'écoutant. On voyait que celui ci aimait ce style de danse et il donnait surtout envie d'en faire. Mais devais je me laisser aller et gouter à celle ci. J'hésitais tout en l'écoutant, je laissais apparaitre un sourire mais j'étais pensive. Vu ce genre de danse, on allait sur le coup plus qu'un garde du corps et sa protégée. Cela ne me gênait pas mais lui ?. Je tourne mon regarde a nouveau vers lui en souriant largement

_ Tu .. Tu aimerais qu'on aille danser cette danse ? Enfin si tu veux bien tu viens de me vendre cette danse et j'avoue que j'ai bien envie de la tenter

Je souris encore plus demandant au chauffeur de s’arrêter sur un parking en attendant la réponse de Javier

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Un sourire attendrit étira mes lèvres quand elle me demanda presque timidement si je voulais bien qu’on aille danser car je lui avais mis l’eau à la bouche. Savannah était une jeune femme attachante je devais bien le reconnaître mais je me demandais comment elle réagirait lorsqu’elle serait dans mes bras pour danser. J’ignorais encore totalement ses réactions vis-à-vis des hommes donc qu’elle manifeste le désir de danser était en soi une chose. Du moins je l’espérais pour elle. « Avec plaisir Savannah ! » lui répondis-je simplement puis je me penchais vers le chauffeur pour lui indiquer l’adresse du club dont je lui avais vanté les mérites quelques minutes plus tôt. Un quart d’heure plus tard, je l’aidais à descendre de la voiture tout en la guidant parmi la file d’attente. J’avais mes entrées donc nous n’avions pas à attendre. « Javier mon pote, tu sors enfin de ton trou pour venir nous rendre visite ?! » s’exclama le videur puis après une rapide accolade et discussion, je faisais entrer Savannah dans l’antre latino. L’ambiance à l’intérieur était comme à son habitude : chaude, endiablée et surtout très dansante. Plusieurs couples évoluaient sur la piste au rythme d’une salsa fiévreuse. Avec un sourire, je la conduisis au balcon VIP où nous rencontrions rapidement mes amis propriétaires. Malheureusement ces derniers ne pouvaient pas rester pour le moment et durent s’absenter pour gérer le monde fou. « Alors prête pour ta première leçon de danse ? Regardent comment ils évoluent, les partenaires doivent être en parfaite harmonie mais surtout, la femme doit se laisser totalement aller car c’est l’homme qui mène la danse. » Lui expliquais-je à l’oreille car la musique était assez forte pour couvrir toute discussion. La musique s’arrêta mais très vite, elle fut remplacée par une autre (Click ici) qui me donna de suite envie de danser. « Allez viens ! » lui dis-je en la prenant par la main pour descendre sur la piste de danse.

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Il avait accepté ce qui me fait largement sourire. Je regardais alors dehors avant que Javier indique alors à notre chauffeur l'adresse du club. Je passe alors mes mains dans mes cheveux avant de les poser sur mes cuisses pour descendre un peu ma robe qui était remonté sur mes cuises.

Puis le chauffeur nous amène alors en direction de l'adresse que venait d'indiquer Javier. Je me demandais bien ou on allait aller, mais je savais une chose on allait surement s'amuser et peut être mieux que si on allait aller dans la boite de nuit.

Un quart d'heure plus tard, on arrive, je descend de la voiture et indique à notre chauffeur qu'on l’appellerait pour venir nous chercher. Je remercie Javier qui m'avait aider à descendre. Puis on rentre dans la boite après que Javier est salué son ami. J'avais juste lâché un léger sourire. Je suis alors Javier qui m'amène dans le salon VIP, je ne disais rien du tout et le regardais voyant que celui ci était heureux et dans son élément. Une fois dans le salon, il discute avec des amis et ceux ci partent. Je regarde alors Javier et celui ci me demande d'aller danser au creux de mon oreille

_ Je suis tout à toi monsieur le professeur

Je prends sa main et la sers avant de le suivre vers la piste de danse

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En pénétrant dans mon antre, je me sentis comme revigoré. Ces derniers temps, j’enchaînais les déceptions : le départ d'Ayhalina, la mort de ma femme étaient surtout les événements majeurs. A la fois triste, coupable et soulagé, je naviguais en eaux troubles avec pour seul phare, le sourire de ma fille de onze ans. Toutefois, je sentais qu'elle était aussi triste que moi dans cette histoire car je n'étais pas ignorant du fait qu'elle désirait qu'Ayhalina devienne sa mère. Au fond de moi, j'avais partagé cette envie mais nous n'étions tout simplement pas fait pour être ensemble. Son départ m'avait causé un grand manque que j'avais comblé dans le travail et Savannah, en acceptant d'aller dans mon endroit préféré à New York m'avait fait plaisir comme jamais. Alors, je me jurais de lui rendre la pareil en lui apprenant les rudiments de la salsa. La musique changea et je l’entraînais sur la piste de danse parmi les couples plus ou moins confirmés. Il y avait bien sûrs des habitués comme moi qui dansaient à vous faire pâlir d'envie mais aussi des couples amoureux ou amis qui se lançaient pour la première fois dans cette danse. Je fis tourner sur elle même ma chanteuse avant de la prendre dans mes bras. « Le principe, c'est que tu alternes les pas. A droite et à gauche tandis que je ferais le contraire, tu vas voir c'est très simple » lui expliquais-je tout en mettant en pratique le pas le plus basique qu'il soit. Je continuais à lui expliquer les différents mouvements mais surtout rythmique à respecter tout en la forçant à prendre le rythme de la musique. Elle n'avait que très peu de difficulté certainement due à sa propre profession. Quoi qu'il en soit, Savannah se montrait très bon élève et d'une agréable compagnie sur la piste de danse. Au bout de quelques minutes, nous pouvions évoluer sans trop de gêne. « Alors, cela te plaît ? » lui demandais-je un peu inquiet quand même.

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Je prenais alors sa main dans la mienne pour aller sur la piste. Il me fait tourner sur moi et me prends dans ses bras, je pose alors mes mains sur ses épaules avant de commencer à danser au rythme de la musique. J'écoutais ses conseils tout en dansant en même temps et surtout en fessant les pas qu'il m'indiquait. Je regardais autour de nous , des couples dansaient tout comme nous, certains étaient confirmés d'autres comme moi débutant.
Mais au fur et à mesure qu'on dansait avec Javier, je m'améliorais. En tant que chanteuse, je me devais de savoir danser mais aussi de m'adapter assez rapidement au danse qu'on m'imposait. Apprendre les chorégraphies pour mes passages en scène ou tout simplement les clips que je jouais.
Alors qu'on dansait celui ci me demande si ca me plaisait avec un large sourire je lui réponds

_ J'adore et en plus j'ai une superbe professeur de danse, si un jour je dois tourner un clip latino je t'engage ca c'est sure

Puis je continue de danser aimant et me serrant de plus en plus contre lui pour danser au mieux cette danse si sulfureuse qui pouvait donner des envies en tout genre

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Faisant tournoyer ma partenaire au rythme de la musique avant de l’entraîner au fur et à mesure dans une salsa endiablée, je mesurais à quel point sortir m'avait manqué. Pour cela, je devais bien remercier Savannah qui sans elle et surtout son envie de sortir, je me serais pas rendu compte de qui manquait à ma vie ces derniers temps. Plus les musiques se succédaient et plus je la sentais se rapprocher de moi dans une danse de plus en plus sensuel qui mettait mes sens en éveil. Ma main glissa au creux de ses reins la maintenant contre moi tandis que je nous faisais évoluer vers plus de technique et donc plus de sensualité, de débauche d’énergie. Dans sa robe blanche, elle était magnifique et je prenais conscience d'une chose : elle était une femme à part entière. A force de nous mouvoir l'un contre l'autre, nos corps s'habituaient à l'autre mais je devais y mettre un terme avant de perdre la raison. « Faisons une pause pour nous désaltérer, il fait une chaleur monstre ici » soufflais-je à son oreille tout en la conduisant à notre table, la tenant par la main. Une fois assis, je fis signe au serveur de venir. « Une margarita pour moi et pour toi Savannah ? » lui demandais-je. Le serveur prit nos commandes et s'éloigna tandis que je reprenais contenance. Bon dieu, l'espace d'un instant, j'avais oublié qu'elle était ma cliente. Je devais me reprendre. « Pour te répondre, je ne pense pas que mettre ton garde du corps dans un de tes clips soit une bonne idée » soufflais-je en souriant avec malice. Et puis, je me voyais franchement pas à la télévision, ce n'était pas du tout mon monde. « Toutefois, je te conseillerai un danser très talentueux ! ». Dans le club, une rumba s'annonçait et l'ambiance se fit encore plus caliente.

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Cette danse était vraiment magnifique et sensuel. On dansait de plus en plus proche et ça ne me déranger pas du tout au contraire. Je savais que je pouvais avoir confiance en lui et qu'il ne ferrait rien qui me blesse. Parfois je croisais son regard et je voyais qu'il se donnait à fond tout comme moi. Je sentais cette danse me relevait des sens et des envies que je n'avais pas senti depuis un long moment. Par moment je me demandais si ça le gênait d’être ainsi et je compris que oui lorsqu'il me demande si on pouvait allait boire.

_ Oui j'ai soif j'avoue

Puis on quitte la piste pour aller au niveau à notre table, il me demande ce que je voulais je lui réponds avec un sourire

_ Un mojito s'il te plait.

Le serveur prends notre commande et j'enlève doucement mes talons hauts pour me masser un peu les pieds pour que je n'ai pas mal par la suite

_ Je sais mais tu sais que normalement on aurait pas du danser comme on a dansé mais si ca te gene on arrete car moi ca me gene pas du tout.

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Le corps fiévreux, je pris l’excuse d’une pause pour refaire descendre la pression. Bon sang, je m’étais pas rendu compte à quel point le contact du corps d’une femme pouvait me manquait ! Finalement j’étais l’arroseur arrosé dans le sens où en ne voulant pas aller dans ce club, je m’étais retrouvé pris à mon propre jeu. La salsa s’était révélée beaucoup plus sensuelle que je l’avais imaginé. Savannah était une très bonne danseuse je devais bien le reconnaître et elle s’ajustait parfaitement comme si nous étions destinés à danser ensemble. Je commandais une Margarita, la seule dans la soirée car j’étais tout de même de service et elle, commanda un mojito. Elle me taquina alors sur mes qualités de danseur allant jusqu’à me dire qu’elle m’engagerait si jamais elle tournait un clip latino. Malgré moi, je souris, amusé mais déclina gentiment l’offre. J’étais son garde du corps, il ne valait mieux pas qu’on commence à mélanger nos professions sinon, ce serait le bordel. Puis, les caméras et moi, ça faisait deux voire plus ! « Je sais mais tu sais que normalement on n’aurait pas dû danser comme on a dansé mais si ça te gène on arrête car moi ça me gêne pas du tout. » me répondit-elle. Je ne savais pas trop comment prendre sa réponse. Soit, on avait ressenti le même trouble et elle s’en fichait, soit j’étais le seul et elle ne voyait pas le mal où il était. Le serveur déposa nos commandes et je bus une gorgée de mon cocktail tout en l’observant silencieusement. Durant la danse, je l’avais senti s’abandonner de plus en plus dans mes bras mais il était encore trop tôt pour en tirer les conclusions. Toutefois, je savais quelle danse me permettrait de tirer cette information au clair : la rumba. « Prenons le temps de nous reposer et après, j’ai bien envie de voir ce que tu donnes sur une rumba. Tu connais cette danse ? »

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Il ne me réponds pas sur ce que je venais de lui dire ce qui me perturbe pas mal. Qu’es ce que cela voulait dire? Sentait il ce que je ressentais à l'heure actuel? Un sentiment assez suspect et malsain entre garde du corps et protégé. J'étais géné mais je ne le montrais pas du tout, je ne voulais pas gâché cette soirée magnifique avec lui après avoir bu mon mojito, celui ci me propose alors une autre danse après qu'on soit reposer, je lui réponds alors en souriant très légèrement

_ Oui je connais la rumba et je sais la danser bon pas comme une pro mais je sais la danser. C'est très entrainant et je serais ravie de danser une rumba dès qu'elle passe avec toi.

J'appelle alors un serveur pour lui demander de nous amener de quoi se rafraichir c'est à dire de l'eau en bouteille

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Je jouais avec le feu et ma raison me poussait à stopper net ce petit jeu qui pourrait mal se terminer. Toutefois, poussé par l’ambiance survoltée du club et par l’abandon de ma partenaire de danse d’un soir, je me laissais aller comme jamais. Dans le fond, je revivais tout simplement car j’avais mis en sourdine durant trois ans, ma vie. Grace était partie et je n’avais que trente-cinq ans. J’étais trop jeune pour me condamner à une vie d’ermite mais j’ignorais si dans mon cœur, je serais capable d’aimer une autre femme. Enfin tout ça pour dire que j’avais envie de m’amuser en oubliant les contraintes… Du moins pour ce soir, dans la limite du raisonnable car j’étais quand même de service. Savannah était ma cliente et je devais le faire comprendre à mon corps qu’elle ne laissait pas de marbre ce soir. Bon sang, cela faisait une semaine que j’étais à son service et voilà que je fantasmais comme un adolescent sur elle. Oui, l’eau froide était une bonne idée mais j’aurais préférais prendre une douche qu’un verre. Heureusement, la programmation musicale était centrée sur la salsa mais je savais qu’il y aurait au minimum deux ou trois morceaux de rumba car les propriétaires adoraient la rumba. D’ailleurs, en parlant du loup, les voici qui pointaient le bout du museau. « Alors tout se passe bien ? » nous demande mon ami. Je lui répondis alors que oui après avoir consulté du regard Savannah. « Javier, j’espère que tu me feras l’honneur d’une salsa hein ! Cela fait longtemps que nous n’avons pas dansé ensemble » bouda la femme de mon amie. Je levais les yeux au plafond d’un air amusé. « Oui promis ! » . Beaucoup de monde pensait que j’étais son amant et nous adorions laisser planer le doute et son mari adorait tout autant clamer qu’il était le cocu le plus heureux de la terre. Après quelques minutes de conversation, ils nous laissèrent à nouveau et je me concentrais sur Savannah. « Je ne suis pas son amant » annonçais-je amusé. Autant être clair pour une raison que j’ignorais.

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Je regardais tout autour de moi, ce club était magnifique et je pensais déjà revenir une prochaine fois. Seule ou accompagné on verra bien mais maintenant je savais ou se trouvait celui ci. Je ne voyais pas un seul instant ce qui arrivait à Javier puisque moi même j'étais concentrée pour éviter de déraper auprès de lui. Après tout c'était mon garde du corps mais ca ne devait pas aller plus loin même si après la danse sensuelle qu'on venait d'avoir m'avait rendu ainsi à lutter pour ne pas faire d'erreur avec lui. Devais je vraiment lutter ou me laisser aller? Voila la question qui fusait dans ma tête à chaque instant depuis la danse qu'on avait eu ensemble. Je passais ma main sur ma robe pour la remettre et passer mes doigts dans mes cheveux afin de les déméler un peu.

Comme je venais de commander des bouteilles d'eau, le patron arrive avec sa femme, une conversation commence entre eux et Javier et au moment ou la femme du patron propose une salsa. Je garde mon rire pour moi et ne dis rien de plus. Javier me dit alors qu'il n'était pas son amant et je me mets à rire

_ Tu sais t'étais pas obligé de me le dire Javier tu fais ce que tu veux

Après cette affirmation, je me demandais pourquoi il avait dit. Voulait il me le dire pour que je comprenne qu'il était libre ou c'était rien que pour m'en informer et que je me fasse pas d'idée

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Tu sais t'étais pas obligé de me le dire Javier tu fais ce que tu veux. Elle n’avait pas tort, je n’étais aucunement obligé de le lui dire mais je ne sais pas. Je n’avais pas envie qu’elle s’imagine des choses sur moi et encore moins qu’elle pense que j’étais le genre d’homme à pouvoir être l’amant d’une femme mariée. Je tenais trop en respect les sacrements du mariage pour m’aller à ce genre d’aventure. « Je sais mais je ne voulais pas que tu t’imagines des choses. La plupart des gens s’imaginent une histoire de coucherie ou de plan à trois mais ce n’est qu’une plaisanterie pour nous » expliquais-je tout en haussant les épaules. Le respect avait toujours été quelque chose de très important chez moi. Je n’imaginais pas qu’on puisse manquer de respect à une femme et encore moins à une femme mariée. Bien sûr, je n’étais pas naïf en pensant que la faute revenait à l’amant. La femme avait sa part de responsabilité mais bon, c’était quelque chose d’important pour moi. On ne me changerait pas ! Peut-être est-ce l’éducation que j’ai reçu de mes deux mères qui m’avait fait ainsi ?! je n’en avais aucune idée et encore moins l’intention de me faire une thérapie comportementale ce soir. Non, je voulais bouger, danser et faire en sorte que Savannah oublie ses problèmes le temps d’une soirée normale. Elle n’était pas une chanteuse à succès ou la proie de paparazzi sans scrupule ici mais simplement Savannah. « Tu m’excuses un instant ? Je reviens »puis, je me relevais pour rejoindre le bureau de mon ami. Ici, j’étais comme chez moi c’est pour dire. J’entrais dans le bureau et ouvrit le coffre-fort pour y déposer mon arme. Je crevais de chaud et ma veste de costume noire commençait à me peser. Or, je me voyais mal l’enlever et afficher clairement mon holster avec mon colt à l’intérieur. Une fois l’arme en sécurité, je déposais ma veste sur le porte-manteau et sorti. Je préviens néanmoins mon ami qui m’assura qu’il y avait aucun souci et que mon arme resterait en sécurité bien au chaud jusqu’à ce que j’aille la rejoindre. « Alors mademoiselle, une rumba vous tente ? » lui demandais-je en revenant près d’elle, relevant les manches de ma chemise blanche sur mes avant-bras puis, je lui tendis la main pour l’amener sur la piste de danse. J’aimais bien aussi la rumba. Une danse très mais très sensuelle à croire que les latinos avaient réellement le sang chaud. Me glissant dans son dos, je déposais mes mains sur ses hanches tout en murmurant à son oreille « Montre-moi comme tu danses la rumba Savannah. »

Invité

Au vu de sa réponse, je compris dans ma tête que j'avais tort et j'avais par la même occasion répondu à la question que je posais.

_ Je ne m'imagine rien du tout Javier tu fais ce que tu veux je n'ai rien à dire sur toi par rapport à ce que tu viens de me dire. Je ne dois en aucun te juger alors qu'on se connait à peine même si par moment j'ai l'impression qu'on se connait depuis plus d'une ce semaine

Puis celui ci me dit qu'il revient, je le vois se diriger vers un bureau qui devait surement être celui de son ami. Je me demandais ce qu'il pouvait aller faire dans celui ci. Je ne comprenais pas et je ne cherchais pas à comprendre. En attendant son retour, je prends un peu d'eau et masse légèrement mes pieds avant de remettre mes talons.
Je tourne alors la tête et je vois revenir Javier sans veste. Je compris alors qu'il devait juste poser son arme quelque part dans le bureau de son ami. Il revient vers moi et je souris légèrement prenant sa main pour me lever posant par la même occasion mon verre d'eau. Je sentais alors ses mains dans mon dos qui me donnèrent quelques frissons. Il me murmure des mots et je souris avant de lui répondre

_ Prépare toi alors ca va danser à fond.

Puis on arrive sur la piste et je me mets en place avant de commencer à danser la rumba avec lui avec sensualité

Invité

Enfin débarrassé de ma veste, je me sentais déjà mieux dans ma peau. Danser dans un club donnait chaud, avoir une femme magnifique dans les bras faisait le même effet ! Donc, me débarrasser de ma veste devenait quelque chose de primordiale dans ma vie à l’instant présent. Toutefois, j’imaginais bien la panique si on me voyait avec un flingue sous le bras. Non, finalement, je ne préférais ne pas savoir. Dès fois l’homme fait bien de rester dans l’ignorance. Par contre, j’avoue que ce n’était pas très professionnel de ma part que de me débarrasser de mon arme mais je savais de source sûre que cet endroit était bien sécurisé. Comment je le savais ? Tout simplement parce que j’avais mis au point personnellement le service de sécurité qu’il soit matériel ou humain. Quand je disais que j’étais comme chez moi, ce n’était pas des mots en l’air. Retrouvant ma belle danseuse, je ne pus m’empêcher de sourire quand elle répondit à ma petite provocation. J’aimais beaucoup ce côté de sa personnalité. « Je suis ton homme ! » lançais-je à la cantonade tout en me laissant guider sur la piste de danse où effectivement la danse fut des plus sensuelles. Je sentais que cette histoire allait déraper. D’habitude, je dansais avec des femmes, ce même genre de danse mais il n’y avait pas cette connotation érotique comme entre elle et moi à moins que je m’invente des histoires à dormir debout. L’attrapant par la main, je la fis brusquement revenir se coller contre mon torse, ma main glissant dans son dos pour se stabiliser au creux de ses reins tandis que je maintenais le même rythme qu’elle avait imposé à notre danse. « C’est à l’homme de conduire Savannah » soufflais-je à son oreille alors que mes lèvres effleuraient son cou offert dans un geste qui aurait pu paraître accidentel avant de lui sourire. Mes gestes se firent plus doux à mesure que la danse se poursuivait jusqu’à nous laisser essouffler au beau milieu de la piste tandis qu’une autre musique débutait. « Que veux-tu faire ? » lui demandais-je la tenant serrée contre moi.

Invité

Il arrive vers moi et je le regardais de haut en bas en fessant attention à ce qu'il ne me voit pas. J'avais chaud et je sentais que j'allais avoir encore plus chaud que la danse dernière. Je me leve en prenant sa main et je souris encore plus. D'un coup je sens la chaleur montait en moi au fur et à mesure qu'on se dirige vers la piste. Je sens ses mains sur mes reins et je sens encore plus la chaleur montait en moi.
Il me fait venir proche de son torse et je prends sa main pour la serrer afin de commencer à danser avec lui. Mon autre main se pose alors au creux de ses reins et je le regarde droit dans les yeux.
On commence alors à danser et je ne cessais de le regarder droit dans les yeux et je le laissais me guider puisque Monsieur voulait me diriger. Je sens ses lèvres effleurer mon cou, et je ferme les yeux afin de ne pas déraper et pourtant j'en avais envie mais je ne voulais pas que cela nous mette mal à l'aise l'un pour l'autre.
La danse continuait entre nous deux jusqu'à que la musique s’arrête, je reprends doucement mon souffle. J'étais assez perturbé par tout ce qui venait de se passer. Cette danse, ses mouvements son effleurement, le fait qu'on était tous les deux collés serrés. Je lève les yeux alors qu'il me demande ce que je voulais faire. J'eus du mal à lui répondre essayant de me remettre de mes émotions.

_ Je... Je... sais pas...

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» J’veux sentir ton âme épier la mienne. J’veux que la nuit s’étende jusqu’au bout du monde. J'veux qu'la planète nous appartienne. J'veux que la vie soit vierge, j'voudrais qu'on soit comme Adam et Eve. - Pedro & Fee
» (hot) Je veux tes mots, je veux ta peau, c'est jamais trop...| Vitaly
» je veux une maman - Norah

[Mini RP] Pourquoi tu veux pas [Javier]

[Mini RP] Pourquoi tu veux pas [Javier]

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