Sujet: ℓαuяєєи & нєℓєи → уσυиg αи∂ ¢яαzу Ven 2 Mar - 20:35
Je donnai un grand coup de bras sur mon réveil. À quoi me serait-il ? Manquant de le briser, je me souvins que le matin chatouillait les volets de ma chambre, encore fermés, à cette heure-ci. C'est nul le matin. Je me levai, sans hâte, traînant des pieds, me demandant toujours pourquoi j'avais acheté un réveil matin. Me retrouvant maintenant à la cuisine, je me hâtai de déjeuner et de faire tout ce qui suivait ensuite : lavage des dents, habillage, maquillage... La totale, quoi. Cette étape terminée, je fus soudainement soulagé.
J'étais fin prête à aller à la rencontre de Laureen, plutôt que de rester avec le lapin, Cottentail, qu'elle m'avait offert. Ce petit lapin blanc ajoutait une petite touche de vie, dans mon environnement fade. En parlant de Laureen, nous avions prévu journée shopping, toutes les deux, afin de garnir -encore- notre garde robe déjà pleine à ras bord de nouvelles choses. J'avais besoin de son avis, et de toute façon, je ne pouvais résister à mon pécher mignon : les boucles d'oreilles ! J'en avais tellement, que dès que je pénétrais un magasin, je ne pouvais m'empêcher de rester des heures, à hésiter.
Nous nous étions donné un rendez-vous, car elle en tant que pompier, avait un métier assez instable, et journaliste l'était tout aussi. c'est pour cela que nous nous réservions des journées. Je travaille rarement la journée, ou bien en fin d'après midi, puisque c'est le soir, où mon métier m'implique d'être présente.
J'étais à l'heure, au rendez-vous, près de la 5ème avenue. Plus précisément, dans la rue où les magasins de vêtements dominaient le plus. Idéal, non ? Je pris donc place sur le banc -vide- le plus proche et m'assis dessus. Attendant ma meilleure amie, je scrutais l'horizon, perdue dans mes pensées. Là où personne ne pouvait me trouver.
Quelque chose de flou se présenta à moi. Cette chose me remua vivement, un large sourire aux lèvres. Je repris rapidement mes esprits : Laureen. Une petite boule de feu vivante venait d'atterrir devant moi et me secouait vivement. Celle ci, voyant que j'étais revenue à moi, cessa de m'agiter, toujours avec ce sourire aux lèvres. Je me mis debout et lui fit une bise légère, comme à mon habitude, puis, me mit à sourire. A vrai dire, sa compagnie me réjouissais. Je me mis à la saluer vivement :
«Coucou ! Ça va ? J'espère que tu es armée d'une carte banquère, parce que ça va chauffer ! »
Dernière édition par Helen J. Eastwood le Ven 30 Mar - 18:39, édité 2 fois
Voilà plus de vingt quatre heure que j'étais debout. Lorsque j'avais commençais à travailler, jamais je n'aurai cru penser que cela pourrait être aussi dure. J'ai toujours voulu devenir journaliste, et j'ai tout fait pour y arriver. Mais à côté, je voulais faire un métier en rapport avec les gens, avec le contacte humain. Devenir sapeur pompier a alors était une évidence. Mais concilier les deux est très dure, mais je ne regrette rien. Je suis jeune, tant que je peux faire les deux choses qui me plaisent le plus, je le fais.
Voilà donc maintenant plus de vingt quatre heure que j'étais debout, ayant enchaîner mon travail de journaliste suivi d'une garde à la caserne. Et bien que fatigué, je n'allais pas tout de suite aller me coucher. En effet, aujourd'hui était prévu une sortie avec ma meilleure amie Helen. Je n'aurai manqué ça pour rien au monde, et même si la seule envie que j'ai et de me mettre dans un lit avec une grosse couette sur moi, je veux aller voir mon amie. Surtout depuis le temps que nous avions prévu ça.
Nous avions prévu, ma meilleure amie et moi, de faire une journée shopping. Que se soit la magnifique brune ou moi, nous ne pouvions pas manquer nos rendez-vous dans nos magasins préférés. D'ailleurs depuis le temps que je connaissais la jeune Eastwood je savais parfaitement qu'aujourd'hui encore, nous passerions dans un magasin de boucle d'oreille. En effet, c'était comme une tradition. A chaque fois que nous sortons toutes les deux, la jeune fille m'entraine toujours dans un de ses magasins pour s'acheter une nouvelle paire. Mais je le lui rend bien. En effet, de mon côté, les chaussures à talons sont mon pécher mignon, et je ne peux m'en passer. Chose obligé, passé dans un de ses magasins.
Nous nous étions donné rendez vous tout près de la cinquième avenue puisqu'elle n'était pas très loin de la caserne, c'était donc assez pratique pour moi. Puis il faut l'avouer, c'est une des rues ou il y a le plus de magasins, et bien sur, nos préféré sont aussi présent. J'arrivais une fois de plus en retard, la jeune fille déjà sur notre lieu de rendez-vous. Je me plaça alors devant ma meilleure amie un grand sourire sur le visage, toujours super contente de la voir. D'un coup, ma fatigue s'envola. J'allais passer une super journée avec la personne la plus importante pour moi, et c'est tout se qui comptait. Alors que je venais de la secouer, une fois revenue à elle je la laissa avant qu'elle ma fasse la bise. Toujours en souriant, j'écoutais la jeune fille qui commença à parler.
Je souriais en écoutant mon amie, puis avec un grand sourire, je fouilla dans mon sac avant de prendre ma carte bleue et de lui montrer fièrement. Je lui répondis donc dans un grand sourire.
« Super bien ! Et toi, comment vas tu ma belle ? Bien sur que je suis armée, regarde moi ça, je ne sors jamais sans elle. D'ailleurs la tienne va pas mal chauffer aussi, n'oublie surtout pas. »
Sujet: Re: ℓαuяєєи & нєℓєи → уσυиg αи∂ ¢яαzу Ven 30 Mar - 18:26
J'étais ravie de voir ma meilleure amie. Enfin une journée shopping tranquille, entre fille, rien que nous deux. Lorsque je lui avais parlé de ma carte bleue, elle aussi avait sorti la sienne et m'avait dit : « Super bien ! Et toi, comment vas tu ma belle ? Bien sur que je suis armée, regarde moi ça, je ne sors jamais sans elle. D'ailleurs la tienne va pas mal chauffer aussi, n'oublie surtout pas. » Nous étions parées, armées : la journée shopping pouvait débuter dès à présent !
Je commençais à emboîter le pas. j'aime marcher vite, mais à chaque fois, si on ne me ralentis pas, au bout de deux minutes, j'ai les tibias en feu. Heureusement pour moi, Laureen est du genre à avoir l'habitude de se genre de choses et me stoppe rapidement. « Bon, on fait quoi ? Ton cas ou le mien ? » Quand je dis "son cas", cela veut dire les chaussures ! Les boucles d'oreilles pour moi et elle c'est le chaussures. Pour son anniversaire, je lui en avait offertes de très belles, de belles sandales compensées en paille, adaptées au mois et les lanières étaient de cuir doré. j'avais mis longtemps à les dénicher, car je savais que la Parkins ne serait jamais assez contente.
Au bout du compte, je n'avais pas attendu sa réponse et m'étais engouffrée dans un magasin de chaussures très à la mode et aux prix exorbitants. Heureusement, que mon péché mignon n'est pas si cher, je serais déjà ruinée ! Bref, Laureen essayait des chaussure, et enchaînait les paires, en passant des ballerines aux bottes, sans oublier bien sûr les tallons aiguilles, s'il vous plaît. Son petit paradis, elle était sur un nuage. Moi, même m'émerveillais de la beauté de si petites choses, mais, je cédais et en essayais une paire. Finalement, Laureen et moi sommes sorties du magasin, avec chacune minimum une paire. Laureen plusieurs, pour les soldes. Moi, une seule, cependant.
Désolée d'avoir répondu si tard et d'avoir poussé le Rp =) Et d'avoir fait si court ^^'
A peine lui avais-je demandais comment elle allait, et lui avait parlait de sa carte de crédit que ma meilleure amie commença à marcher. Elle me demanda par quoi nous allions commencer. Mon cas ou le sien, se qui signifiais, chaussures ou boucle d'oreilles. Je n'eus même pas le temps de répondre que la jeune brune m'entraina dans un de mes magasins fétiches. Nous allions donc commencer par mon cas.
A partir du moment ou l'on me lâche dans un tel magasin, il en faut beaucoup pour pouvoir m'en sortir. Mais Helen commence à me connaitre et c'est très bien se qu'il faut faire. Cependant pendant un long moment je regarda les chaussures. J'eus un gros coup de cœur pour des bottes à talons que je peux mettre avec beaucoup de tenu. Puis après plusieurs minutes, alors que nous nous dirigions vers la caisse pour pouvoir payer nos achats mon regard s'arrêta sur une paire d'escarpins romaine en argent juste magnifique.
« Helen regarde celle là ! Je ne peux pas passer à côté, elle sont juste magnifique. Tu ne trouve pas ? »
Je regarda alors mon amie avant de me diriger vers cette sublime paire de chaussure. Bien évidement, elle feront aussi partie de ma collection et je pense sincèrement que dès ma prochaine sortie cette magnifique paire de chaussure se trouvera à mes pieds. Nous achetions donc toutes les deux des chaussures, une paire pour la brune et plusieurs pour moi. En même temps, si je n'en avais pas acheter plus que mon amie, cela aurait voulu dire qu'il y avait un problème. Nous sortîmes donc de se magasin, avec nos paquet à la main puis quelques mètre plus loin, je vis la boutique parfaite pour le pechet mignon de mon amie. Je la regarda alors et dans un petit rire lui dis :
Comme j'étais heureuse de voir ma meilleure amie comblée. Son sourire ne cessait pas. La paradis des chaussures. Que rêver de mieux pour une fane de ces petits escarpins ? Laureen était aux anges et maintenant, presque plus rien ne pouvait l'arrêter. La jeune femme ressortit les mains chargées de chaussures. Une paire de chaussures argentées lui alla droit au coeur. « Helen regarde celle là ! Je ne peux pas passer à côté, elle sont juste magnifique. Tu ne trouve pas ? » Je souriais. Sans attendre ma réponse, elle fila vers ces souliers et les essaya. Elles aillaient parfaitement à son pied et je fis un sourire en la rejoignant. Pas la peine que je lui conseille de les acheter, elles seront à ces pieds pour la prochaine sortie. Une fois sorties, Laureen était chargée comme une bourrique, avec ses trois paires de chaussures. Je me suis simplement achetée une paire de sandales à talons pas trop excessives. Cette journée shopping était très agréable, d'autant plus qu'il y avait du soleil et que la température était très bonne et agréable. Le bonheur parfait. Une fois sorties du magasin fétiche de mon amie, je me suis automatiquement dit que nous allions aller dans un autre de ses magasins, car elle ne pouvait pas s'empêcher d'enchaîner et mon pécher mignon passait en dernier, ce qui ne me gênait pas du tout, vu le caractère de ma jeune amie. Mais, dans un petit rire, elle coupa mon élan et me fit : « Tourne la tête, mais ne cris pas hein. » Je fonçai les sourcils, en signe d'incompréhension et je tournai doucement la tête avant de découvrir ce que m'avais caché Laureen : un magasin d’accessoires, donc, plein de boucles d'oreilles ! Un énorme sourire se dessina sur mes lèvres et je me retins de hurler tellement mon bonheur était au comble. « Qu'est-ce qu'on attend ? » Puis je fonçais dans ce magasin en prenant ma meilleure amie sous le bras.
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