|  Sujet: numero 1; irreversible' Lun 15 Fév - 2:19 | |
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" La pire drogue, c'est l'amertume, elle empoisonne la vie, mais conserve son homme. "Qui ne rêverait pas d'avoir un centième de la vie de Samantha, les privilèges, la richesse, la beauté ... Trois facteurs enviés par tout le monde et dont peu de personne pouvait se venter d'avoir hérité dans leurs gênes. Samantha était des jeunes femmes qui étaient du cercle très fermé de "la jeunesse dorée". Héritière d'une des plus grosses fortune Anglaise, sa famille à même des titres de noblesse. Elle vivait pratiquement depuis toujours à New York; ne reniant pas pour autant ses origines, les américaines sont grosses et n'ont aucunes classes. Sa vie en apparence était parfaite, mais pas vraiment, elle était parfois aussi malheureuse qu'une pauvre caissière de supermarché quand elle se retrouvait seul pour dormir, car si la belle héritière avait peur d'une chose, c'était la solitude. Elle comblait ses nuits avec un partenaire différent, oubliait son mal-être dans la drogue et l'alcool. A même pas vingt-quatre ans, elle avait fait deux cures qui n'avait strictement servie à rien à part faire parler d'elle dans la presse. Pour en venir au présent, c'était un dimanche matin, la veille elle était sortie faire la fête dans deux endroits différent de la ville, toujours dans les endroits les plus sélectes évidemment. Elle ouvrit ses yeux, il était neuve heure du matin, elle n'avait que très peu dormis, comme toujours. Elle ouvrit les rideaux de son lit à baldaquin et sortit de son lit, la tête en feu, vacillante, elle ouvrit les stores de sa chambre pour laisser entre cette lumière blanche et aveuglante du ciel hivernal New-Yorkais. Premier réflexe du matin, s'allumer une cigarette d'une main tremblante et fébrile; manque de quelque chose peut-être ... Elle appela sa bonne par l'interphone, lui demandant de préparer son petit-déjeuné et de ranger sa chambre, elle rejoignit la salle de bain pour enfin remarquer du sang séché sur ses petites narines. Elle poussa un juron en écrasant sa cigarette dans un cendrier près du lavabo, se passant de l'eau froide sur le visage pour qu'elle se réveille et puisse nettoyer les preuves d'une nuit de débauche. Elle enfila une robe de chambre et quitta sa chambre pour aller prendre son petit-déjeuné dans la grande salle à manger de son immense appartement. Comme elle n'était pas vraiment du matin, ni une personne gentille, le pauvre Martin et la gentille Dorotha, ses employés; étaient les souffres douleurs de Samantha. Elle fit rapporter son assiette en cuisine, réalisant qu'elle n'avait pas faim et qu'elle préférait un verre de whisky, sec ...
Les heures avançaient, Samantha trônait sur un siège à la décoration baroque tel une reine, en lisant les nouvelles, comme le suicide de son ami et talentueux créateur, Alexander McQueen. Vous croyez quoi, que Samantha est du genre à connaître que les petites célébrités local de cette ville ? Détrompez-vous, Miss Caldwell connait beaucoup de monde, dont la famille royal Anglaise, ayant jouer au polo avec les princes William et Harry lors de son enfance. Elle irait sans doute aux funérailles, si elle trouvait rien d'autres à faire. Mais pour le moment elle devait organiser son voyage au Mexique avec son meilleur ami, l'homme de sa vie, Jonah. Elle donna une liste de course à faire à la bonne, prenant son blackberry pour envoyer un message à Sohan, avec qui elle avait passée la soirée et même le début de matinée avec lui, pour qu'il vienne la voir. Elle se demandait bien pourquoi elle avait envie de le voir, mais depuis peu, Samantha s'attachait un peu trop à lui, et elle n'aimait pas ça. Elle se dirigea vers sa salle de bain pour se doucher, ensuite ce fut une inspection de son immense dressing dont une pièce lui était consacrée. Son dressing était la caverne de Ali Baba pour toutes les fashionistas. Ce lieu réunissait tout les articles de mode les plus luxueux et rare. Étant journaliste pour le prestigieux magazine Vogue, elle n'allait pas s'habiller dans les friperies. Samantha était de ces filles qu'ont voyaient rarement sans dix centimètres de talons aux pieds, elle adorait la mode, elle ne la suivait pas, elle la faisait, c'était devenue une icône. Vous connaissez beaucoup de fille qui ont la chance de poser pour Marc Jacobs ? Elle opta pour une robe courte noir, dentelé à manche longue signé Valentino. Assise sur son lit elle reliait ses bas à son porte-jarretelle, chaussant ses pieds d'une paire d'escarpin Yves Saint Laurent, paix à son âme. Il était midi, elle n'avait toujours pas faim, et avait commencé la journée avec de l'alcool dans l'estomac, elle attendait avec patience que Sohan débarque pour casser son ennuie, elle en était réduite à passer trop de temps sur des sites comme twitter ou facebook, c'était affligeant selon elle. |
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