|  Sujet: Vos amis se lasseront de parler de vous ; vos ennemis, jamais ! [PV Ashlynn] Ven 6 Nov - 21:26 | |
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Vos amis se lasseront de parler
de vous ; vos ennemis, jamais;
![Vos amis se lasseront de parler de vous ; vos ennemis, jamais ! [PV Ashlynn] Paramo10](https://i.servimg.com/u/f84/11/94/08/59/paramo10.png) ![Vos amis se lasseront de parler de vous ; vos ennemis, jamais ! [PV Ashlynn] Mckee11](https://i.servimg.com/u/f84/11/94/08/59/mckee11.png) Le temps se faisait vraiment nuageux dans le ciel de la grosse pomme, refusant de laisser filer le moindre minuscule rayon de soleil qui pourrait réchauffer les cœurs des jeunes New-Yorkais. La journée du jeune Maxxie n’était pas vraiment meilleure, enfin, sauf si vous considérez que, pour votre réveil, de gros coups de poings bruyants seraient plus apaisants qu’une sonnerie douce venant vous titiller les oreilles et vous inciter à sortir de votre lit douillet. C’est pourtant ainsi que fut le commencement de la matinée du beau Sand, le sommeil agressé par la colère de sa chère mère qui n’avait surement pas avalé les deux vérités qu’il lui avait jetées au visage la veille, et qui s’était vengée sur son point faible. Ainsi, il fut contraint de se diriger d’un pas las vers la salle de bain, dans laquelle sa mère est restée une demi-heure après son réveil rien que pour l’énerver, chose réussie, mais le jeune homme avait plus d’un tour à son sac, et au bout de deux minutes, il alla se vider la vessie dans les toilettes de la suite parentale. Il s’habilla ensuite sans vraiment regarder ce qu’il mettait : Un baggy noir, un pull gris, des converses blanches et une veste de la même couleur vinrent cacher le corps du beau brun. Un verre de chocolat chaud avalé à l’arrache plus tard, et le voilà parti explorer de nouveaux horizons pour découvrir les surprises que lui réserve notre beau petit monde. On n’écrit pas un chapitre de Pokémon ? Et alors ? Il a bien le droit d’explorer le monde, le p’tit Max, nan ? Bref, les cheveux ébouriffés, n’ayant pas eu le temps d’être soignés ce matin, Le beau Wembley arriva enfin à sa destination, une belle plage déserte. Et non, pas de cours aujourd’hui, pas de casse-têtes, que les doux murmures de la mer qui se faufilaient dans ses oreilles pour créer une sérénité dans l’esprit de jeune homme. Allongé, seul sur le sable chaud, il commença à penser à tout et à rien, à son entourage, à la terre, au système solaire, à l’univers, puis à l’existence. Ah, l’existence, ce sujet qui arrivait à trouver son chemin vers les méninges de notre cher Max dès qu’il laissait libre court à son imagination, s’amusant à le torturer et à le faire tourner en rond, pour que la séance de relaxation du jeune homme ne dure jamais plus de 5 courtes minutes, mais il avait décidé que, cette fois, il y ferait face une fois pour toutes. Il plongea alors dans l’étendue de questions qui hantaient son esprit, essayant de trouver une réponse convaincante pour chacune d’entre elles, ou du moins, une réponse qui lui évitera le tourment psychologique qu’il vivait. D’accord, dieu a créé la terre, les hommes, l’univers, etc, c’était évident car ça ne pouvait pas être là comme ça… Mais pourquoi ? POURQUOI ? Et pourquoi ne nous a-t-il pas créés aussi parfaits que le système dans lequel nous vivons ? Et, est-il possible que nous soyons comme des fourmis sur une balle, dans un univers plus géant que le notre ? Ah, il avait réussi à s’auto-énerver encore une fois. Il s’assit alors, pour contempler la mer, et, pour ne plus penser à ce sujet qui le rendait fou, il décida de se prendre en photo. Ah, la photographie, la magie de faire durer un instant éternellement, de pouvoir le revivre à chaque fois qu’on en ressent le besoin, à chaque fois qu’on veut nous ressourcer ou puiser dans note passé pour mieux vivre notre avenir. Max s’étonnait encore que l’être humain, si imparfait, puisse penser et créer des choses aussi parfaites. Que d’idées en vrac que le beau Sand ne saura jamais mettre en ordre pour se convaincre une fois pour toutes d’arrêter de se martyriser. Et c’est en se retournant pour chercher son appareil photo dans son sac que ses yeux tombèrent sur une autre personne rompre déranger sa solitude, mais dieu sait qu’il espérer que cette dernière ne le voit pas, car il n’était vraiment pas d’humeur à se chamailler, il commença donc à ranger ses affaires pour ficher le camp.
[Désolée, c'est super court -__-] |
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