It's New York City bitches ! And it's my motherfucking dream
Le Deal du moment : -50%
-50% Baskets Nike Air Huarache
Voir le deal
64.99 €

Partagez

Sohan A. Andersen - Most fuckin bastard ever

Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Aller en bas
AuteurMessage
MessageSujet: Sohan A. Andersen - Most fuckin bastard ever Sohan A. Andersen - Most fuckin bastard ever EmptyMar 27 Oct - 11:12

a

    Sohan A. Andersen - Most fuckin bastard ever Copiedechristianicon10
Sohan Andrzei Andersen
    October 8th in Copenhaguen, Denmark
    Pole & Dane
    Soho
    Art Student/model
    Single


    That is a Question,
    Voici un petit questionnaire, Répondez en quelques lignes, en vous mettant à la place du personnage.

    « Un avis sur le 44e président des États-Unis ?_ "Il s'est quand même fait sa petite pub, l'enfoiré. "Je vais tous vous sauver !" ..et ils y croient.."
    « L'Amérique, que représente-t-elle pour vous ?_ "Le monde de la désillusion.."
    « Réchauffement climatique; on y croit - on y croit pas ?_ "On s'en fout "
    « Vos bonnes actions pour la planète ?_ "hum.. "
    « Parlons religion; êtes vous croyant ? Non croyant ?_ " Quel humour, vraiment.."
    « Un avis sur l'homosexualité ?_ " C'te question.. Un avis sur l'hétérosexualité ?"
    « Cigarettes, substances illicites, joints et j'en passe.. En consommez-vous ?_ "Jamais.... .. ( J'crois que j'ai rarement été aussi peu crédible de ma vie ) "
    « Crise financière; info ou intox ?_ " Ca dépend pour qui, babe.."
    « Explosion de la technologie; bon ? Mauvais ? "Bon. Un jour, on baisera sur la lune."
    « Nouvelle génération & nouvelles mentalités; qu'en pensez-vous ? _ " Trop d'espoirs, trop de rêves, trop d'illusions.."
    « Demain, rêve ou cauchemar ?_ " Réalité. "


    « Et si un lapin géant attaquait la ville tu ferait quoi ?_ "Et si tu arrêtais le LSD ? "
    « T'as jamais rêvé d'avoir un super pouvoir ? Lequel ?_ "Rendre muettes les filles qui crient trop fort au lit.."
    « Qu'est ce que tu préfères manger ?_ "Cuisine française.. "
    « Quand tu étais petit(e) c'était quoi ton dessin animé préféré ?_ "Goldorak..?"
    « Le jour ou tu as eu le plus honte ?_ *pas de réponse*
    « Et si tu étais un animal ?_ "Et si tu étais une question con?"
    « Si tu avais un enfant ce serait quoi son prénom ?_ "Un enfant ? .. oh.. peut-être Alien ou paté-de-campagne, j'hésite.."
    « Ou est ce que tu aimerais vivre ?_ "Entre tes cuisses.."
    « Est ce que tu aimais Michael Jackson [ Cette question n'a aucun intérêt ] ? _ "Non, aucun.."
    « Ton style de musique préféré ? _ "Tous les styles, rock et electro essentiellement.."
    « T'es plutôt Malabar ou Carambar ?_ "J'suis plutôt poppers"



x


Dernière édition par Sohan A. Andersen le Mer 28 Oct - 10:16, édité 13 fois
Revenir en haut Aller en bas
MessageSujet: Re: Sohan A. Andersen - Most fuckin bastard ever Sohan A. Andersen - Most fuckin bastard ever EmptyMar 27 Oct - 11:13

    Scary Story


    Sohan A. Andersen - Most fuckin bastard ever Quoteok2

    Il fait partie de ces quelques personnes dont on peut dire que la vie a été particulièrement saccagée, qu’elle les a forgés et construits, qu’elle leur a donné un vécu singulier qu’aucun ne leur envierait, qu’elle ressemble à une mauvaise tragédie fictive… Quoiqu’il n’y ait malheureusement rien de fictif. Cela fait partie des nombreuses raisons pour lesquelles il ne parle jamais de lui, à personne. Inutile, de toute manière, de se remémorer sa vie passé. « Et puis franchement, qu’est-ce qu’on en a à branler? » comme il le dirait, crûment..
    Autant commencer par le début.

    Sohan naquit un 8 Octobre, à Copenhague d’une mère polonaise, Czeslawa Ankiewisc, et d’un père danois, Kjeld Andersen. L’un travaillait dans le monde des affaires, l’autre était simple serveuse dans un petit restaurant. Ils s’aimaient d’un amour passionnel, vivaient modestement mais agréablement. La vie était merveilleuse.. Et en cette sombre nuit d’octobre leur était donné un fils. Déjà, les complications s’imposaient et marquaient le début de cette longue succession de drames qu’allait devenir sa vie. Le cordon ombilical s’était tout d’abord enroulé par deux fois autour de son cou, l’empêchant de respirer et diminuant largement son rythme cardiaque. Bien que le cordon fut dégagé par la suite, il ne respirait toujours pas et fut mit sous assistance respiratoire pendant dix longues minutes. Puis son cœur lâcha. Il fut alors réanimé. Officiellement, Sohan était mort.. pendant deux longues minutes. Sa mère put enfin tenir son fils dans ses bras, elle exténuée, lui silencieux et vivant, au bout d’à peur prés une heure. Son père était absent lors de l’accouchement mais put recevoir la bonne nouvelle sur la messagerie de son téléphone. Le frère de Sohan, aîné de 5 ans, Emrys, se tenait quand à lui dans la chambre de la maternité et observait l’événement avec un sourire amoureux. « On l’appellera.. Sohan. Oui, Sohan. » Et pendant ce temps, La sœur de Czeslawa décédait dans un accident de voiture, alors qu’elle était sur le point de se rendre à l’hôpital pour rejoindre la petite famille.

    L’enfance de Sohan, et le reste de son existence, s’étaient déroulées à l’image de ce 8 Octobre, tiraillées entre amour et désastres, douleurs et joies.
    Czeslawa n’avait jamais démontré une once d’affection pour son fils, inexplicablement. Il semblerait que l’accouchement n’ait put susciter en elle qu’un événement particulièrement douloureux, tant sur le plan moral que physique. Si d’autres mères n’en auraient que plus aimé leur enfant, celle-ci développa une sorte d’aversion mal dissimulée pour le sien. Où sûrement le décès de sa sœur lors de la naissance de son fils avait produit en elle une sorte d’explication étrangement logique à ce terrible hasard : la faute revenait à son fils cadet. Il fallait préciser qu’elle était quelque peu sensible, psychologiquement. Les drames de sa propre vie passée l’avaient extrêmement affaiblie, et lui avait donné ce caractère lunatique, versatile, parfois doux et parfois amer, ces mots parfois tendres et parfois haineux. Et cette hostilité envers son fils se développait, et grandissait, et s’intensifiait. Son alcoolisme aigu n’allait pas pour arranger les choses. Le père était trop absent pour remarquer l’étendue des sentiments dévastateurs de sa femme. Il préférait la quitter aussi souvent que possible, fuyant les épuisantes soirées d’interminables disputes. Il ne fut capable de ne remarquer qu’une seule chose : la complicité surprenante qui s’installait entre Sohan et son frère Emrys. Complicité qui ne protégea malheureusement pas le cadet. Tout avait véritablement commencé à l’anniversaire de ses quatre ans. – Emrys en ayant donc 9.
    Presque toutes les nuits, Czeslawa entrait dans la chambre de Sohan en lui lançant ce regard cruel qui laissait présager de ses intentions, tout en fermant doucement la porte à clé. S’en suivaient de longues séances pendant lesquelles elle le battait impitoyablement, une bouteille à la main et une cigarette au bout des lèvres, en lui lançant de ces mots blessants qu’aucun enfant de son âge ne devrait avoir à entendre de la part de sa mère,. Calmée, elle partait généralement se coucher en abandonnant son fils, en larmes et recroquevillé sous la couverture de son lit qui se répétait inlassablement tous ces mots piquants qu’elle lui avait craché à chaque fois qu’elle avait levé la main sur lui. Cela dura à peu prés quatre ans. Quatre ans pendant lesquels la tyrannie ne fit que s’accentuer et s'amplifier. Les absences répétées du père qui préférait travailler le plus tard possible de façon à ne pas retrouver les crises habituelles de sa femme ne facilitaient pas sa prise de conscience sur la situation.

    Sohan avait huit ans lorsque sa mère demanda finalement le divorce et réclama la garde exclusive de ses deux enfants, qu’elle obtint en misant particulièrement sur l’indisponibilité constante du père pour s’occuper de leur fils. Elle voulait le garder pour elle toute seule. Pour mieux le frapper, mieux déverser tout son orgueil et toute sa douleur, pour mieux le faire pleurer autant qu’elle avait pleuré. Le temps passait lentement et péniblement. Chaque mois, la mère semblait trouver une nouvelle façon de faire souffrir le cadet, de détruire sa vie, de le détruire lui. Il ne s’agissait même plus de le blesser moralement, mais bien de l’anéantir sous tous les aspects. Ainsi son enfance fut-elle certainement plus dévastée que toute autre.

    (Warning : si vous êtes facilement choqué, passez ce paragraphe)
    Certains soirs, il se retrouvait dans sa chambre close, fermée à double tour, et se tenait assis devant ce terrible spectacle qu’était sa mère faisant l’amour avec un inconnu, sur son propre lit. S’il osait fermer les yeux ou détourner le regard, elle l’empêchait de se nourrir pendant trois jours. Lorsque elle et l’inconnu quittaient la chambre, Sohan devait se coucher dans un lit maculé de sueur et de sperme.. Certains soirs, elle l’attachait fermement au barreaux de son lit et lacérait son dos à l’aide d’un cutter. Plus l’enfant pleurait, et plus elle ralentissait ses mouvements de façon à ce que le contact de la lame glacée et insupportablement tranchante soit plus douloureux qu’il n’était déjà.. Certains soirs, elle le poussait à fumer, à boire, à se droguer tout comme elle, lui concoctant de petits mélanges particulièrement toxiques, et souriait impitoyablement lorsqu’elle l’entendait vomir de longs moments dans les toilettes.. Certains soirs, elle le réveillait et l’emmenait dans sa chambre. Elle le déshabillait, le faisait se glisser sous les draps avec elle, et le plaquait contre elle. Là, elle lui retirait toute son innocence, parcourant son corps de petit garçon de huit ans. Elle lui faisait découvrir des parties de son corps qu’aucun enfant ne devrait connaître de sa mère. Nombre de fois, elle avait placé le grand miroir juste à coté du lit, de façon à ce que Sohan puisse voir le reflet de sa mère nue lascivement placée à califourchon au dessus de lui ; soit prés de son bassin, soit prés de son visage.
    C’était triste. Tout ça était triste. Mais c’était la réalité.

    Emrys, lui, avait treize ans, et pleurait certainement autant que pleurait Sohan, absolument impuissant face à ce qu’endurait son petit frère. Deux ans passèrent. Et un soir, l’aîné prit pour la toute première fois la décision de s’opposer à sa mère, et d’être le grand frère protecteur qu’il aurait dut être depuis le début malgré son jeune âge. Seulement, il avait à présent quinze ans, était plus fort et plus résistant.. Plus à même de protéger son petit frère, également. C’était un de ces soirs pendant lequel Sohan se retrouvait attaché à son lit tandis que sa mère, assise à califourchon sur ses reins, meurtrissait sa peau à l’aide du même cutter qu’à son habitude, alternant parfois en écrasant sa cigarette sur ses omoplates. La porte n’avait pas été fermée à clé, et Emrys y avait vu une sorte de signe qui lui disait que c’était le moment. Il n’avait pas eut le temps d’hésiter. La porte de la chambre de sa mère s’était brusquement ouverte, révélant l’adolescent révolté et écœuré par la scène qui se déroulait sous ses yeux. La suite avait été trop brusque et trop rapide pour que Sohan réalise ce qu’il se passait. Insultes, menaces, pleurs, cris, gifles. De la haine. Encore de la haine. Puis un tiroir ouvert. Un revolver. Un coup de feu. Un silence significatif envahit la pièce, dans laquelle sembla encore résonner le bruit mat du corps qui était tombé à terre. Sohan, les yeux écarquillés, contemplait le visage d’Emrys, parcouru d’un filet de sang provenant de sa tempe. Sa mère s’était retournée, les larmes aux yeux, plongeant son regard azur dans celui de son fils détesté. Un très long moment passa pendant lequel aussi sanglotant l’un que l’autre, ils s’étaient fixés, leurs respirations saccadées résonnant dans la chambre. Puis elle plaça l’arme contre sa propre tempe, puis s’écroula à son tour. Un silence s’empara à nouveau de la pièce. La suite resta relativement floue, mais certainement baignée d’une suite classique à ce genre d’événement. Père, téléphone, police, hôpital ..et tout le reste.

    Sa mère et son frère étaient ainsi décédés un 8 Octobre, le jour de l’anniversaire de Sohan. Il avait 10 ans. Autant dire que ce fut ce jour précis que le jeune garçon apprit ce qu’était véritablement l’amertume et le goût âpre qu’elle laissait au fond de la gorge : Il n’avait pas versé une larme ni un sanglot devant la tombe de sa mère. Elle avait crevé.. et c’était tant mieux. Quant à son frère, Sohan était longtemps resté devant sa tombe, seul. Il avait versé une seule et unique larme, puis s’était doucement laissé ronger par le manque et les regrets. Et il se retrouvait donc seul avec son père dans un bel appartement du centre-vile. La vie semblait s’apaiser, doucement et progressivement. Les traumatismes de ses dernières années ne se laissaient pas soupçonner un seul instant, et restaient secrètement et profondément enfouies dans la mémoire du jeune garçon. Les seuls signes extérieurs furent les longues cicatrices qui zébraient son dos et son caractère qui fit de lui, peut-être déjà, un enfant plus renfermé sur lui-même, plus sombre. Sohan en voulut longtemps à son père d’avoir été trop naïf et trop aveugle, de ne s’être jamais suffisamment soucié et inquiété pour lui, d’avoir été aveugle au point d’avoir en totalité ignoré les évènements qu’il avait traversé chez sa mère.. et … et de l’avoir laissé seul chez un inconnu pour mieux rencontrer ses diverses amantes. C’était pendant les vacances d’été ( toujours pendant la dizième année de Sohan ). Kjeld, son père, dut partir une semaine‘pour un « voyage d’affaire » et confia son fils à l’un de ses amis de confiance. De toute évidence, il lui faisait suffisamment confiance pour les laisser dormir tous les deux dans le même lit ( l’appartement de l’ami en question ne comportait qu’une seule et unique chambre ). Il s’appelait Dorian. Grand, maigre, la cinquantaine, très aimable et particulièrement poli. Ses gestes trahirent pourtant rapidement son image. Pendant cette semaine, il était arrivé qu’une nuit, Sohan sente les mains de l’ami de son père se glisser sur ses cuisses, ou dans le bas de son dos.. puis la nuit suivante, il était arrivé qu’il sente ces même mains caresser son torse à peine formé ou ses petites fesses rebondie de gosse de dix ans.. Et la nuit d’après, c’était tout contre un corps nu qu’il s’endormait.. Le Samedi suivant, c’était la main de l’ami de confiance de son père qui tenait fermement ses fins cheveux blonds et le forçait à faire des mouvements réguliers tout contre son bassin, ignorant ses gémissement mêlés de dégoût et de détresse. Le dimanche, il rejoignait les bras de son père à l’aéroport, silencieux concernant sa semaine. Et plusieurs fois pendant les vacances, parfois le week-end en milieu d’année, Sohan retournait chez cet ami, et la même chose se reproduisait, inexorablement.

    Cela n’avait stoppé qu’à ses douze ans : L’ami disparut subitement, sans donner de raisons ni de nouvelles. La vie ne fut pas plus belle pour autant.
    Quelques jours plus tard, à peine, Kjeld perdit son job en raisons de ses absences répétées. En quelques mois, ils passèrent d’un bel appartement spacieux à un bien plus petit dans lequel deux autres familles vivaient déjà – c’était finalement un squat, rien de plus -. Et le père, pour qui il devenait de plus en plus difficile de trouver du travail, passa d’une longue période de chômage à la dernière solution qu’il lui restait : la prostitution. Pensant en tout premier lieu à son fils et étant dans l’incapacité totale de se trouver un nouveau job, il ne put avoir recourt qu’à cette alternative afin de permettre à son fils de vivre décemment et d’être correctement scolarisé. Presque adolescent, Sohan de son coté affirmait sa personnalité et son caractère. Déjà, il se dotait de cette volonté qui serait plus tard le premier pilier de ce qui définirait sa personne. Les « revenus » du père ne suffisaient pas pour vivre.. alors de temps en temps, le jeune et innocent garçon qu’il était descendait dans la rue et, imitant secrètement son père, faisait quelques passes histoire de combler les fins de mois. Son père sembla ignorer volontairement ce que son fils faisait, bien que l’ayant plusieurs fois aperçu avec un client à l’angle d’une rue. Le sujet ne fut jamais abordé entre eux.

    Finalement, Sohan ne sut jamais véritablement si son père s’était toujours douté de ce qui lui était arrivé durant son enfance et avait été trop lâche pour intervenir, ou si il était simplement un mauvais père trop peu concerné et trop dupe. Ses relations avec lui planaient dans l’indifférence profonde. Les mois passèrent. Son père rencontra une femme qui le sortit rapidement des problèmes financiers : Karen Smith, une Londonienne de passage à Copenhague. La suite des événement fut plongée dans un stéréotype parfait : il s’aimèrent, se marièrent, Kjeld se trouva un nouveau job et ils vécurent heureux.. et tout fut parfait. A la différence que Sohan vécu son adolescence le plus loin possible de son père et de sa nouvelle femme. Il vivait de son coté, autant qu’il le pouvait. Treize ans : Il enchaîna déjà première clope, première cuite, premier joint ( la période clope/alcool/drogue passée avec sa mère ne comptant pas ) et première véritable petite amie. Vive l’adolescence et la découverte de la vie. Quatorze ans : il tua le chien du voisin en lui faisant prendre du poison à cause d’un pari fait avec ses amis. Il voulait prouver qu’il était capable de le faire. Quinze ans : Il prit de l’argent dans le porte-feuille de son père et partit se payer une prostituée pour devenir un homme. Il enchaîna ensuite les petites amies, son charme s’intensifiant à chaque secondes, et eut son premier petit ami, plus âgé que lui. Cela ne dura qu’une semaine, mais cela suffit à son initiation. Egalement premier rail de coke. Seize ans : Il essaya plus sérieusement toutes sortes de drogues, certainement dans un désir de repousser les limites – ou de prouver qu’il n’en avait pas -, plus particulièrement et régulièrement la cocaïne et l’ecstasy. Il expérimenta des pratiques sexuelles diverses mêlant parfois amis, amies, inconnus et inconnues dans une même pièce. C’est également à cet âge qu’il commença à réellement se rendre dans des soirées, des boites etc.. Dix-sept ans : Sa personnalité s’affirma véritablement et fatalement. Il devint le jeune homme singulier qu’il est aujourd’hui et s’immergea tout entier dans un monde de drogue. Il évita tout attachement et toute affection avec qui que ce soit et forgea l’image qui le suivrait durant toute son existence : celle de l’égocentrique junkie, de l’alpha male cynique, du beau blond mystérieux. L’image du mec impénétrable, à la fois troublant et détestable.. Celui qui a son passé gravé dans son dos et se noie dans le vice pour tout oublier. Dix-huit ans : Fin des études. Il fit en sorte d’être définitivement indépendant de son père en se trouvant un job de barman dans une salle de concert hype de Soho. Il y travailla deux ans. Vingt ans : Logé dans un petit duplex du quartier punk de Londres, Camden Town, il comblait tout juste ses fins de mois, mais s’endettait entre clopes, cocaïne, alcools, sorties. Son père se contentait de payer ses dettes sans rien dire – malgré les désapprobations de son fils - comme s’il savait qu’il avait quelque chose à se faire pardonner. Les relations restaient toujours aussi tendues entre le fils et le père, et s’aggravaient aussi largement avec la femme de ce dernier. Finalement, il arrêta de travailler et fit son entrée à la faculté pour des études d’art – étant secrètement un photographe de talent. Vingt-deux ans : Il passa sa licence de justesse et prit la décision de s’expatrier en Amérique et d’y poursuivre ses études. Une façon certainement, d’effacer au mieux son passé. A coté de ses études, Il débuta rapidement dans le mannequinat, histoire d’être financièrement indépendant.

    Vingt-quatre ans : Cela fait deux ans qu’il est à New-York et poursuit ses études. Logé dans un beau loft du centre-ville, il poursuit sa vie de débauche absolue, oublie tout ce qu’il y a à oublier - dont son père à qui il ne donne plus aucune nouvelle depuis son départ. Ceux qui le connaissent depuis deux ans auront remarqué qu’il mène une vie de plus en plus risquée.. Ses yeux perdent de leur vitalité au fur et à mesure du temps, ses cernes se prononcent.. comme s’il s'abandonnait. Comme s’il se laissait consumer, lentement. ..

    And the rain is falling and I believe my time has come
    And it reminds me of the pain I might leave behind
    Wait in the fire...




Dernière édition par Sohan A. Andersen le Mar 27 Oct - 12:56, édité 4 fois
Revenir en haut Aller en bas
MessageSujet: Re: Sohan A. Andersen - Most fuckin bastard ever Sohan A. Andersen - Most fuckin bastard ever EmptyMar 27 Oct - 11:13

    My Character


    Sohan A. Andersen - Most fuckin bastard ever Quoteok1j


    Daring
    Wise
    Brave
    Secretly Devoted
    Seductive
    Heartless
    Treacherous
    Cynical
    Uncaring
    Devastating

    La liberté. Ce simple mot suffirait à définir toute sa personne. La liberté, qu’elle soit dans l’expression, dans le geste, dans la conception de la vie, dans l’attitude. Il n’aime pas les contraintes et les règles, abhorre ces notions floues de ce qui se fait ou ne se fait pas, méprise les convenances. Il ne supporte pas la simplicité.. parce qu’être simple revient à être comme tout le monde, et être comme tout le monde revient à répondre aux systèmes, aux dogmes, aux bienséances. Et il est entendu qu’obéir ne permet pas d’être libre. Ainsi peut-il compter parmi ces personnes tout à fait différentes, caractérisées par ce mystère particulier qui les entoure. Ces personnes dont on n’ose à peine imaginer la complexité, et dont on sait qu’elles se démarquent sans véritablement en connaître l’exacte raison.
    Ainsi Sohan Andrzei Andersen compte parmi les personnes les plus évitées de la faculté. Ceux qui l’évitent sont ceux qu’il a blessé, ceux qu’il a sentimentalement torturé, ceux qu’il a humilié, ceux qu’il fascinent malgré tout, ceux qu’il a trahi, ceux qui l’aiment, ceux qui le haïssent, ceux qui l’admirent. Paradoxe. Sohan dévaste la vie des personnes dont il croise le chemin. Il pique là où ça fait mal. Il anéantit, saccage, bouleverse tout. Un peu, beaucoup, passionnément.. Il est à craindre, que l’on soit son ami ou ennemi.. C’est en tout cas ce que tout le monde pense.
    Il est profondément et inexorablement.. détestable : insupportablement égocentrique, terriblement je-m’en-foutiste, exagérément cynique et plongé dans le vice jusqu’au plus haut point. Voici la façon dont le jeune homme est perçu en société. Il est clair que Sohan n’est pas aimé pour son caractère ni son comportement avec et envers autrui. Ceux qui le connaissent à peu prés ont apprit à passer outre et à se contenter de soupirer tout en se disant avec désespoir « on ne le changera pas ». Ceux qui ne le connaissent pas ont généralement du mal à tenir leur émotions face à lui. Larmes, cris, regards assassins, sanglots, gifles, douloureuses remises en causes.. Il est agaçant. Frustrant. Dévastateur. Il maîtrise quiconque se trouve en face de lui avec presque trop de facilité : Sohan fait partie de la classe des prédateurs, des dominants, ceux à qui l’ont n’ose rarement s’attaquer. Il a toujours le dessus, quelle que soit la situation, ou semble au moins constamment penser que c’est le cas. ( Pourtant ni particulièrement narcissique, ni mégalomane. ) Lucjan apparaît extérieurement comme un drogué à l’appétit du vice et du sexe incroyablement insatiable, au cynisme exaspérant, à l’égocentrisme inégalable et à la dépravation constante et absolue. Il est cependant interdit de croire que sa complexité s’arrête là.. Sinon qu’aurait-il de si particulièrement inhumain aux yeux des autres ?

    Ainsi l’on qualifiera Sohan comme un paradoxe vivant, Singulier, Contradictoire, Absolu et neutre à la fois, Versatile mais invariable, Prévisible et imprévisible, Détaché pourtant brûlant, Flegmatique cependant sensible. [Non, rayer l’adjectif « sensible »] Il a de ces manières de penser qui le font unique, de cette conscience sur le monde qui l’entoure qui fait son mystère et sa véritable force, secrètement. Il est quelqu’un de particulièrement résistant mentalement : Il encaisse et supporte facilement les coups durs quels qu’ils soient. Il semble insensible au point que rien au monde ne puisse l’affecter un jour. Sohan n’aime pas éprouver de sentiments.. il préfère vivre. Se contenter d’exister par ses pulsions et ses envies, et non par ses ressentis. Il a arraché son cœur de sa poitrine et l’a oublié, quelque part. Et c’est de cette poitrine vide qu’est née sa force : ne plus éprouver de sentiments, c’est être véritablement intouchable. HEARTLESS. Ainsi est-il, par la même occasion, quelqu’un qui n’est ni capable de regrets ni capable de remords. Il peut donc se montrer hypocrite, manipulateur, traître [Il est loin d’être une personne de confiance], menteur, méprisable au possible sans avoir le moindre repentir ni altruisme. Il ne vis que par lui-même, n’agis que dans son propre intérêt. Il peut également agir pour sa simple distraction, se fichant alors de blesser ou de décevoir un ami avec des paroles trop vraies et trop directes. Désinvolte et antipathique. C’est Le jeu du bad guy désagréable, froid, et direct. Il est destructeur. Il dit les choses en face, il dit ce qui est vrai, parfois même lorsque cela ne paraît pas être utile. Il a d’ailleurs la manie particulièrement vicieuse de s’acharner sur les autres. Il détruit la vie de ceux qui le détestent, de ceux qui le trahissent, de ceux qui tentent de se foutre de lui mais tout particulièrement ..de ceux qui l’aiment et qui se persuadent qu’il y a du bon en lui : Plus ces personnes chercheront à prouver que ses attaques, son cynisme venimeux et ses mots douloureux ne les atteignent pas, et plus Sohan s’évertuera à les faire souffrir jusqu’à ce qu’elles comprennent qu’il n’y a rien de bon en lui, qu’il n’a pas de limites et qu’il n’hésitera pas à littéralement ruiner la vie de quelqu’un, à détruire ses rêves et ses ambitions. Parce que dans un sens, recevoir les sentiments des autres serait comme éprouver des sentiments soi-même : on finit par en être prisonnier. Et c’est quelque chose qui ne lui est pas envisageable.
    Enfin, pour continuer, il est rare que les mots sortent de sa bouche autrement que pour affecter, provoquer, choquer, déranger ou murmurer des mots salaces et impudiques. Il se fiche également de se mettre ses rares amis à dos puisqu’il a, de toute manière, le don de percevoir n’importe qui à faire n’importe quoi – et a donc une certaine facilité à les reconquérir -. Il sait se faire obéir, en employant parfois des stratagèmes subtiles ou en se suffisant à employer le pire des chantages. Il convainc avec certitude et facilité parce qu’il anticipe les réponses, les réactions. Il connaît l’art du détail, et de se fait éprouve une certaine aisance à sonder quiconque se présente à lui, analysant ses gestes, ses mots, sa voix, son regard ,son attitude, et le comprenant donc rapidement. Il manipule, et joue sans laisser soupçonner son illusion. Que ce soit pour son intérêt, que ce soit pour celui de quelqu’un d’autre, que ce soit pour le divertissement. Contre un ennemi, contre un ami, contre lui-même. Il a obligatoirement une raison incontestable, et inattaquable, quoiqu’il fasse et aussi surprenant cela soit-il. Il est en fait quelqu’un de particulièrement opiniâtre et déterminé. D’ailleurs, lorsqu’il décide quelque chose ou lorsqu’il a un but particulier, il obtient forcément ce qu’il veut, d’une manière ou d’une autre et ignore volontairement les conséquences – justement, il s’en amuse la plupart du temps.
    Cynique et sarcastique. Il ne perd jamais une occasion pour se foutre de quelqu’un ouvertement et de façon désobligeante ou offensante, pour critiquer de manière insultante, ou pour faire de l’humour noir qui ne fait rire que lui. C’est un anti-social, un marginal, un solitaire, un anti-conformiste. Voilà, il a une sainte horreur du conformisme. Horreur de ces codes de politesses et de comportement en société. Il respecte ses propres codes et ses propres lois comportementales. Il ne connais ni bienséance ni convenance, ignore l’importance de l’image de soi et préfère crier la vérité. Son audace et son courage bousculent, parfois dérangent, suscitent le dégoût ou l’admiration – plus souvent l’un que l’autre, cela dit.
    Autre travers de Sohan serait son incapacité totale à pardonner. Il a sa fierté, son insupportable petit orgueil et ne pardonne ni ne s’excuse jamais. Il est colérique et susceptible et ne supporte pas d’être trahi. Si lui même n’éprouve aucun remords à trahir qui que ce soit, il part du principe que s’il accorde sa confiance à quelqu’un, c’est pour une bonne raison et que cette personne sait de toute façon à quoi s’en tenir avec lui. Partant de cela, le moindre travers de la part d’un amis lui vaudrait une impossibilité de récupérer le semblant d’amitié que lui aurait auparavant accordé Sohan. Parlons-en, de ses amis : Il se comporte avec eux comme il se comporte avec n’importe qui. Il reste, inchangé, ce chieur à la répartie cinglante et au je-m’en-foutisme absolu. A la différence qu’il porte ses amis dans son cœur et est capable de faire preuve d’un temps soit peu d’humanité pour eux. Il ne le montre malheureusement pas et ne fait que très rarement preuve d’affection ou d’intérêt quel qu’il soit pour ces personnes qui parfois s’en lassent progressivement. Il peut apprécier quelqu’un, l’estimer, lui vouer quelconque sentiment positif.. Cette personne n’en saurait jamais rien. Et pourtant.. Pourtant et même s’il refuserait de l’avouer, il est des personnes auxquelles il tient tant qu’il donnerait tout pour elles. Il serait prêt aux plus douloureux sacrifices pour une personne qui lui est chère. Il donnerait jusqu’à sa vie s’il le fallait .. Et le ferait certainement de façon à ce que la personne concernée ne réalise pas qu’il s’est sacrifié pour elle. Il garderait le secret, comme toujours..

    Reste à présent à parler de ce qui régente son existence : Le sexe, la drogue, l’alcool, les soirées. La véritable vie, selon lui. Malgré sa forte personnalité, Sohan est doté d’un pouvoir de séduction à toute épreuve et là réside tout le paradoxe. Il est révulsant et attirant à la fois, est doté d’un pouvoir d’attraction incroyable et a pourtant un caractère qui en ferait fuir plus d’un. Il n’est pas plus beau que la majorité des garçons, seulement il porte cette pointe d’audace dans son attitude et ce regard particulier qui font de lui un séducteur n’ayant encore jamais connu le refus. Il aime les plaisirs charnels, il aime la luxure. Il aime planer, et il aime boire. Il aime la vie sans les petites complications qui s’y parsèment. Il aime l’indécence et la provocation. Il aime les nuits blanches passées à danser et à faire l’amour. Il aime être libre. Et il ne supporte pas que l’on lui retire son indépendance, de quelque manière que ce soit. Ainsi s’est-il solidement protégé de tout ce qui pouvait l’atteindre, si bien qu’il ne semble plus avoir une seule faiblesse. Intouchable. Intouchable parce qu’il est insensible .. insensible parce qu’il a oublié ce qu’étaient la douleur, les sentiments, les regrets ou les remords. Intouchable parce que personne ne le connaît réellement, et si tant est que quelqu’un puisse réellement le cerner, un jour, cela serait loin de suffire .. pour la raison suivante : il cache et enterre et oublie et supprime un peu plus chaque jour les souvenirs de son passé. Et là est sa seule et unique faiblesse.


Dernière édition par Sohan A. Andersen le Mar 27 Oct - 12:39, édité 3 fois
Revenir en haut Aller en bas
MessageSujet: Re: Sohan A. Andersen - Most fuckin bastard ever Sohan A. Andersen - Most fuckin bastard ever EmptyMar 27 Oct - 11:17

    Love; glory & beauty ?


    Sohan A. Andersen - Most fuckin bastard ever Sohan

    Son cercle social ? Il est fait de coups d'un soir, de potes de débauche, de dealers et d'ennemis multiples. Ses relations sont inexistantes – ou ne se résument qu’à ces quelques personnes. Il n'a que de rares "potes" avec qui il traîne de temps en temps et avec qui il se rend à des soirées, mais il ne compte sur personne - et personne ne compte sur lui. Il accorde difficilement son estime à quelqu'un et est incapable de se lier d'amitié avec qui que ce soit. Trop peu de gens seraient capable de le supporter, de toute façon.. Certains le désignent comme "un fouteur de merde", d'autres comme "un salaud", d'autres encore comme "une salope", et d'autres plus créatifs comme "un sale pédé drogué, égocentrique et vraiment trop con qui mériterait de crever". Ceux qui n’ont pas croisé sa route connaissent au moins son nom. On sait qu'il se drogue, qu'il fume, qu'il boit, qu'il baise et que c'est son rythme quotidien. On sait qu'il s'est tapé 50% de la faculté depuis qu’il est arrivé et que bien qu'aimant autant les filles que les garçons, il a une très forte préférence pour la gente masculine. La plupart des gens préfèrent ne pas l'approcher et parlent de lui sur son passage. Les rumeurs vont bon trains sur son compte et on différencie très rarement le vrai du faux. Le fait est qu’il ne cherche jamais à démentir ces rumeurs.. Parfois il s’en sert, en joue, les détourne, les concrétise.. Et les utilise à son avantage. Autant dire que sa réputation n’est plus à faire depuis ses deux années passées ici. On ne lui trouve qu’une seule et unique qualité : Il sait réellement faire l’amour, ses ex-coups d’un soir aux cœurs brisés le confirmeront. Excepté le fait que cela soit certainement la seule chose qu’il ait réellement sut faire dans sa vie, il se trouve que – tout à fait paradoxalement – lorsqu’il fait l’amour, lorsqu’il partage cet instant avec une personne ..Cette dernière se sent étrangement aimée. Il fait presque l’amour avec.. sentiments, comme si son/sa partenaire était la personne la plus importante à ses yeux, comme s’il lui était entièrement dévoué. Il aime à travers le sexe, faute d’avoir un cœur. Peut-être est-ce pour cette raison que ses coups d’un soir subissent d’aussi douloureux réveils ? – quand ils ont la chance de rester jusqu’au lendemain matin évidemment..




    + 'Cause yo I got that something


    Sohan a un physique particulier, à la fois très attirant mais inquiétant, désirable mais assombrit. Comme s’il avait été autrefois d’une beauté peu commune et que l’abus de drogue et d’alcool avaient terriblement abîmé ses traits. Soit on lui trouve un charme rare, un regard irrésistible, une sorte d’attitude séductrice et un naturel captivant .. Soit on lui trouve un nez un peu trop long, les yeux éteints et trop cernés, l’air morne et menaçant. Il est un peu de tout ça à la fois.
    De longs cheveux blonds, des traits fins, gracieux et androgynes, un regard insipide ou absent terriblement cerné et bordé de noir la plupart du temps, des joues creuses et pâles qui lui donnent parfois l’air malade, une bouche généreusement voluptueuse et rosée qui contraste largement avec le reste de son visage. Quant à son corps, il est relativement bien sculpté : Grand et élancé, peut-être un peu maigre mais loin d’être dénué de musculature. Des fesses galbées et des jambes presque infinies. Si Sohan avait lui-même rédigé cette description, il aurait certainement eut l’audace de mentionner la longueur parfaite de son cinquième membre, histoire de faire de la provocation. Finalement, sa peau particulièrement laiteuse achève le portrait de l’homme typé nordique. De longues cicatrices blanches, presque invisibles puisque trop peu contrastantes sur sa peau, restent les vestiges de son passé, gravées dans son dos. Il s'habille globalement dans un style rock/sexy/cuir/vintage ou urban. Adepte des jean, des chemises semi-transparentes et des vestes en cuir. Il aime être à l'aise tout en donnant une certaine importance à son image. Donc, toujours habillé de façon masculine et subtilement aguicheuse, faussement nonchalante et dans une idée générale très "bad guy" ( bien que son attitude en elle-même soit plutôt la raison de cette image ). Souvent une ou deux chaîne autour du cou ou des poignet. il a de multiples anneaux aux oreilles et un piercing sur le téton gauche ( qu'il laisse parfois entrevoir à l'aide de ses fameuses chemises blanches, particulièrement lors de soirées ). Il a une démarche masculine, et une attitude naturelle plutôt nonchalante. Une voix sombre, dont le ton est souvent froid et doux à la fois, légèrement enrouée par moments et accompagné d'un accent anglais bien différent de celui des Américains On le vois rarement sans une clope entre les doigts.




Dernière édition par Sohan A. Andersen le Mar 27 Oct - 14:47, édité 5 fois
Revenir en haut Aller en bas
MessageSujet: Re: Sohan A. Andersen - Most fuckin bastard ever Sohan A. Andersen - Most fuckin bastard ever EmptyMar 27 Oct - 11:18

    Who Are You

    Ton Pseudo :; zStardust
    Ton Age :; 17 y.o
    Ton Avatar :; Christian Brylle
    Acceptes tu de partager ton avatar ? :; Bien sûr.. que nooon xD
    Que penses-tu du forum ? :; Extra +__+ Design nikel et .. ahh, coup de coeur quoi xD
    Comment trouves-tu la reconstitution de NY ? :; pas mal du tout :p
    Comment as-tu atterri ici ? :; Par un partenariat avec un autre fo' je crois.. J'étais à la recherche DU forum ^^
    Multinick :; pas encore babayyy
    Personnages :; Personnage inventé
    Le mot de la fin ? :; J'suis libre, en théorie, tous les soirs mais mon internet bug énormément et je passe mon bac cette année so..
Revenir en haut Aller en bas
MessageSujet: Re: Sohan A. Andersen - Most fuckin bastard ever Sohan A. Andersen - Most fuckin bastard ever EmptyMar 27 Oct - 12:36

WELC♥️ME
Bonne chance pour ta fiche Razz
Revenir en haut Aller en bas
MessageSujet: Re: Sohan A. Andersen - Most fuckin bastard ever Sohan A. Andersen - Most fuckin bastard ever EmptyMar 27 Oct - 12:58

thanks =DD
Revenir en haut Aller en bas
MessageSujet: Re: Sohan A. Andersen - Most fuckin bastard ever Sohan A. Andersen - Most fuckin bastard ever EmptyMar 27 Oct - 13:05

Bienvenue Smile
Revenir en haut Aller en bas
MessageSujet: Re: Sohan A. Andersen - Most fuckin bastard ever Sohan A. Andersen - Most fuckin bastard ever EmptyMar 27 Oct - 13:09

merci merci ^.^

Fiche enfin terminée =D

j'ai vu qu'il y avait déja pas mal de mannequins, j'espère que ce sera bon pour Sohan x_x
Revenir en haut Aller en bas
MessageSujet: Re: Sohan A. Andersen - Most fuckin bastard ever Sohan A. Andersen - Most fuckin bastard ever EmptyMar 27 Oct - 14:00

Bienvenue =)
Revenir en haut Aller en bas
MessageSujet: Re: Sohan A. Andersen - Most fuckin bastard ever Sohan A. Andersen - Most fuckin bastard ever EmptyMar 27 Oct - 14:33

thx =DD !
Revenir en haut Aller en bas
MessageSujet: Re: Sohan A. Andersen - Most fuckin bastard ever Sohan A. Andersen - Most fuckin bastard ever EmptyMar 27 Oct - 23:20

    Bienvenue ♥️
    Je m'occupe de ta fiche (:
Revenir en haut Aller en bas
MessageSujet: Re: Sohan A. Andersen - Most fuckin bastard ever Sohan A. Andersen - Most fuckin bastard ever EmptyMer 28 Oct - 13:47

Welcome !
Bon jeu parmis nous et bonne chance avec Nixy d'amour ♥️
Revenir en haut Aller en bas
MessageSujet: Re: Sohan A. Andersen - Most fuckin bastard ever Sohan A. Andersen - Most fuckin bastard ever EmptyMer 28 Oct - 14:50

    Bienvenue ! :face:
Revenir en haut Aller en bas
MessageSujet: Re: Sohan A. Andersen - Most fuckin bastard ever Sohan A. Andersen - Most fuckin bastard ever EmptyMer 28 Oct - 14:53

merci les enfants =DD!
Revenir en haut Aller en bas
MessageSujet: Re: Sohan A. Andersen - Most fuckin bastard ever Sohan A. Andersen - Most fuckin bastard ever EmptyMer 28 Oct - 20:04

Bon bienvenue Smile
et bon courage pour celui ou celle qui s'occupe de ta fiche :face:
Revenir en haut Aller en bas
MessageSujet: Re: Sohan A. Andersen - Most fuckin bastard ever Sohan A. Andersen - Most fuckin bastard ever EmptyMer 28 Oct - 22:37

OMG 22

J'adore cette fiche, elle est vraiment bien, ton personnage a une histoire dure et touchante, on comprend parfaitement tout ce qui lui arrive.

Donc, devant une aussi belle fiche, je n'ai qu'une chose à te dire : tu es officiellement validé. Bon jeu sur You Can.

Tu peux désormais faire tes demandes de logements, métier, etc...

Si tu ne veux pas habiter seul, va voir les petites annonces ^^ Ici
Revenir en haut Aller en bas
MessageSujet: Re: Sohan A. Andersen - Most fuckin bastard ever Sohan A. Andersen - Most fuckin bastard ever Empty

Revenir en haut Aller en bas

Sohan A. Andersen - Most fuckin bastard ever

Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Revenir en haut
Page 1 sur 1

Sujets similaires

-
» "I'm sorry but I'm a bastard" PV Keyllan
» magnus&lynn ❝ did you call me selfish bastard ? ❞
» Sohàn&Manuela - You and me? Forget It!

Permission de ce forum:Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
i have a dream ::  :: Archives :: Anciennes Archives-