It's New York City bitches ! And it's my motherfucking dream
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LENZO & AVA ♦ what kind of woman do you think I am?! [Hot]

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MessageSujet: Re: LENZO & AVA ♦ what kind of woman do you think I am?! [Hot] LENZO & AVA ♦ what kind of woman do you think I am?! [Hot] - Page 2 EmptyLun 2 Mar - 3:29



❝what kind of woman ... I am?!❞
ava & lenzo

Bordel. Pourquoi j’étais comme ça? Pourquoi je me laissais aller de cette façon, là? Je n’étais pas Renji, merde. Celui qui couchait comme ça, sans sentiments, c’était mon frère. Ce n’était pas moi. Non. Pas possible. Et pourtant, la voilà là. Ava, assise sur mon bureau, vision exquise face à moi, prête à s’abandonner. Oh putain. Qu’est-ce qu’elle avait de si particulier pour que je laisse tomber mes principes pour une nuit avec elle? C’était peut-être sa façon d’être provocatrice, allumeuse, manipulatrice, dominatrice… Ou alors au contraire son intelligence, son côté rusé, prête à tout pour mener à bien sa mission… Ou les deux… En général, c’était les femmes qui ressemblaient à sa couverture qui m’attiraient — et là, je parle d’attraction physique, qu’on soit bien d’accord. Qui allumaient le feu que je contenais en permanence entre mes reins. Sauf que ce genre de femme n’étaient jamais faites pour une réelle relation, et ça, ça me dérangeait pas mal. Du coup, niveau sentimental, mon genre de femme ressemblait… eh bien, à Ava. La vraie Ava. L’intelligente, la rusée, la dévouée, l’ambitieuse, la courageuse. Et le meilleur, au final, dans tout ça? C’est qu’elle avait les deux côtés. Elle avait le don d’embraser la flamme du désir logée dans mon bas-ventre avec son attitude provocatrice, tout en m’atteignant un peu plus profondément de par son côté réel, rationnel. Bordel, c’était possible d’avoir les deux en un? A croire… Et je devais vraiment chasser cette pensée de mon esprit car sinon, il se pourrait bien que je m’attache à la jeune femme. Et non pas que d’une façon sexuelle. Elle avait le pouvoir de combler tous mes désirs, sur tous les plans. Tout ce à quoi j’avais aspiré, ces dernières années. Merde, Lenzo. Cette flic faisait naître en moi des sentiments contradictoires tous plus les uns que les autres. Elle me donnait l’irrésistible envie de me soumettre, de la laisser mener le jeu à sa guise, de la laisser se jouer de moi, et à la fois la passionnelle envie de la posséder, de la dominer. De la faire mienne. Comment ça se pouvait ça, d’abord? D’être envahi d’émotions aussi paradoxales? Je n’avais jamais ressenti ça de ma vie, et en même temps… Ça me plaisait. Putain Lenzo, t’es pas en train de te dire qu’une fille qui sert la loi te plait, quand même? Merde merde merde. Est-ce qu’avec un décolleté plus plongeant elle arriverait à me convaincre de passer à l’action? C’était une question? J’veux dire, une question sérieuse? Non parce que là, je passais à l’action quand elle voulait, moi. D’ailleurs, je n’allais plus tenir longtemps. Je fis mine de réfléchir, ses mains caressant le haut de mon torse. Du coup, le ton joueur, je lui avançais que pour les aveux, c’était pas sûr, mais pour l’action, totalement, alors que mes mains devenaient de plus en plus baladeuses, se glissant vers l’intérieur de ses cuisses. Ses lèvres dans mon cou, ses dents s’amusant sur ma clavicule, sa langue se joignant aux festivités… Je déplaçais bien vite mes mains, les remontant pour venir agripper sa taille et la ravancer vers moi, collant son bassin contre le sien. Au diable mes bons principes. Je lui faisais sentir la manifestation de mon plaisir qui était toujours prisonnière de mon jeans, pressée contre son entrejambe. Et à en entendre son petit gémissement, je me disais que c’était loin de lui déplaire. J’étais quand même vachement soulagé que la pièce était insonorisée grâce aux murs bien trop épais pour laisser passer un seul petit son. Elle me paraissait ne pas se gêner niveau sonore, et c’était tant mieux. Heureusement que j’étais le patron et que du coup, je n’avais pas non plus de caméra dans mon bureau. Que des avantages d’être proprio, dis-donc. L’une de mes mains vint faire glisser une bretelle de sa robe pour me dévoiler un accès plus vaste à son buste, alors que mes lèvres venaient se poser sur son épaule, remontant peu à peu dans son cou, mêlant baisers, coups de langue et morsures. J’adorais voir comment son corps répondaient à mes gestes. Son bassin ondulait, créant quelques frictions entre nos deux sexes, et la façon dont elle dévorait mon torse de sa bouche me donnait envie de plus. Bien plus. Elle dézippait finalement sa robe d’elle-même, comme si elle perdait patience, laissant la soie glisser sur sa peau avant que le tissu ne s’évase autour d’elle, m’offrant une somptueuse vue. Évidemment, comme je l’avais deviné de moi-même, elle ne portait pas de soutien-gorge, et laissait découvrir maintenant ses seins nus, pointant fièrement vers moi, comme un appel. Et son regard provocant, sourire au coin des lèvres. « Je crois que nous avons les moyens de vous faire agir monsieur Wellington. » Je déglutissais quelque peu. Zen. On reste zen. On se contient, on maitrise ses pulsions. « Oui? Tu crois? » me contentais-je de répliquer, la voix teintée d’une fausse innocence, comme si je n’avais rien derrière la tête. Bon Dieu ce que j’en avais, des choses, derrière la tête ! Et encore plus là, quand elle se cambrait contre moi, ses seins s’écrasant contre mon torse, ma peau aussi brulante que la sienne. Clairement, je me ferais envoyer en taule tous les jours si c’était elle qui s’occupe de moi. Je la fis lever les bras, lui retirant sa robe par en haut, l’envoyant valser plus loin, sans vraiment me soucier d’où elle atterrirait. Qu’importe. Elle était là, devant moi, avec pour seul obstacle son bas de sous-vêtement, tissu si fin et qui en suggérait tellement… Et à croire qu’elle en voulait plus, elle aussi, puisque ses mains glissèrent le long de mon torse jusqu’à s’afférer à déboucler ma ceinture et descendre ma braguette, mes yeux suivant ses mouvements, la tête baissée. Mes mains, elles, dans le creux de son dos, la pressaient contre moi, comme si je craignais qu'elle ne s'échappe. Ses fins doigts si près, je me mordis la lèvre de… De quoi au juste? D’excitation, de désir, d’impatience, d’envie, de passion. Je relevais le visage vers elle, les yeux glissant sur son corps parfait qui m’était offert ce soir. « Bordel Ava… » Oui, il fallait qu’un gentil juron sorte d’entre mes lèvres. Il fallait qu’elle sache. Qu’elle sache qu’elle me rendait dingue. Et qu’aucune femme jusqu’à aujourd’hui ne m’avait fait un tel effet.

© Pando
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MessageSujet: Re: LENZO & AVA ♦ what kind of woman do you think I am?! [Hot] LENZO & AVA ♦ what kind of woman do you think I am?! [Hot] - Page 2 EmptyMar 3 Mar - 22:02


what kind of woman do you think I am?!
Lenzo et Ava
« Oui? Tu crois? » Je n’étais pas du genre à ronronner mais j’avouais que lorsqu’il me tenait la dragée haute ainsi, c’était excitant. Lorsque je revoyais mes amies de l’université, fraichement installée dans un cabinet de droit ou dans celui d’un procureur, les mêmes questions revenaient sans cesse. N’étais-je pas fatiguée des flirts ? Des relations éphémères sans lendemain ? N’avais-je pas envie d’une relation stable, de ne plus chercher l’amusement ou le partenaire de quelques semaines mais quelqu’un avec qui partager mes vacances, mes soirées, ma vie ? Contrairement à l’image qu’on pouvait avoir de moi je ne collectionnais pas les aventures d’une nuit. Mon dernier « amant » en date remontait à près d’un an plus ou moins. Je sélectionnais mes amants, donnait un cadre définit à ces relations. Je ne m’impliquais pas émotionnellement au point d’être blessée par une rupture ou déçue par mes partenaires. Nous nous séparions bons amis et chacun reprenait sa vie. Mais les femmes mariées avaient une furieuse envie de vous « trouver le bon ». Rares étaient ceux qui comprenaient mon choix de vie : le boulot avant de chasser un éventuel homme de ma vie. J’évitais les moutons de Panurge, mes relations étaient stables, profitables et sans conséquences. Elles duraient le temps qu’elles duraient, je n’y perdais rien de particulier. Mon cœur n’était jamais en jeu. Une de mes amies qualifiait cela de « sexe récréatif avec des partenaires éphémères ». Le plaisir évanescent comme seul but. Les hommes qui partageaient parfois mes nuits ne devenaient jamais des petits amis pour autant ils n’étaient pas des inconnus, des substituts, chaque relation avait été épanouissante à sa façon. Mais je ne recherchais pas de prince charmant. Au grand désarroi de ma mère. J’étais une grande fille indépendante et assez libérée quand je le désirais. Je ne cherchais rien d’autre qu’un partenaire occasionnel, choisi avec soin. Alors, pourquoi étais-je en train de risquer mon badge en serrant entre mes cuisses un homme qui pouvait m’attirer des ennuis. Bon sang Ava, il tient un Casino illégal ! Bon sang. Ce n’est pas logique, ce n’est pas rationnel. Ce n’est pas ce que j’avais voulu en venant ici. Je ne l’avais pas choisi, prémédité, calculé. Aucunement. C’était arrivé. Spontané, surprenant, inattendu. J’aurai dû y mettre fin. On ne s’envoyait pas en l’air avec un homme qui pouvait faire partie de sa mission. Ce n’était pas raisonnable. Ce n’était pas éthique. C’était prendre un risque inutile. Et pourtant je ne m’arrêtais pas. « Bordel Ava… » C’en était finit de toute pensée cohérente. Reflet parfait de ce qui ce qu’il agitait en moi. Ce n’était pas cohérent. Ce n’était pas rationalisable. C’était brut. Intense. Et inédit aussi. Je perdais pied. Moi la maniaque du contrôle. Il me rendait dingue, littéralement. Je ne me maitrisais pas. Trop tard. Mes mains sur sa peau, sur sa braguette, le dos de ma main effleurant son sexe. Juste sentir, sentir, sentir. Son ventre, ses hanches étroites, son souffle sur mon visage. Ressentir. Sans regret, sans doute. Mais jamais je n’aurais pu deviner que ce serait si intense. Je rivais mon regard au sien, laissant mes yeux parler pour moi, révélant l’ampleur de mon trouble et de l’effet qu’il avait sur moi. La main posée sur sa joue, l’autre glissant son jean et son caleçon plus bas sur ses hanches. J’effleurais de mes lèvres les pectoraux ciselés sur son torse, laissant ma langue en dessiner le contour, savourant le goût salé de sa peau sous ma bouche. Grisant. Ses mains sur moi, ma poitrine, ma taille, mes cuisses. Il est partout et en même temps si éloigné de là où je le désirerai. Electrisée par le contact rugueux de sa barbe naissante sous mes doigts, j’entrepris d’explorer les limites de sa tolérance. Glissant une main entre nos deux corps pressés l’un contre l’autre, je refermais la main autour de sa virilité. Emettant un petit son satisfait, je ne quittais pas son regard du mien. Lentement, je commençais à le caresser, le voyant se tendre, j’accélérais légèrement la cadence. M’emparant de sa bouche, sentant son souffle roque contre mes lèvres. Je séparais ma bouche de la sienne une seconde. « Dit moi que tu as des préservatifs quelque part. » Soufflais-je contre sa bouche, haletante. Je frissonnais contre lui. Bon sang c’était une mauvaise idée mais .... Qu’y avait-il de plus important là, immédiatement, que le rythme de ses va-et-vient, la perception de lui en moi et le début exquis de l’orgasme qui finirait par venir ? Bon sang, je perdais bien le contrôle. Cela n’avait rien de rationnel. Mais ça ne l’avait jamais été. Il me rendait folle. Il m’électrisait et c’était bon et effrayant. Bon sang... et je le voulais. Ardemment. Faites qu’il ait des capotes, quelque part. Une réserve secrète. « Prends-moi... » Je murmurais en mordillant sa mâchoire.
electric bird.
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MessageSujet: Re: LENZO & AVA ♦ what kind of woman do you think I am?! [Hot] LENZO & AVA ♦ what kind of woman do you think I am?! [Hot] - Page 2 EmptyMer 4 Mar - 20:03



❝what kind of woman ... I am?!❞
ava & lenzo

C’était tellement pas moi d’agir comme ça. Tellement pas. Et pourtant… A cet instant précis, je m’en foutais. Complètement. Je crois bien que la partie rationnelle de ma conscience s’était fait la malle et était partie se cacher dans un coffre, enfermée à double tour pour éviter de voir ça. La pauvre, elle n’avait jamais rien vu de tel, et elle était prude. Tout le contraire de ce qu’Ava et moi allions faire. Mais au diable les principes de saint. C’était bon pour une fois de toute façon, n’est-ce pas? Ce qui allait suivre n’allait pas se reproduire. Non. Mais franchement, je n’avais pas envie de penser à ça. Je ne voulais pas que ça s’arrête. Elle était impressionnante. Et elle avait tout pour me plaire. Mais… non. J’évitais surtout de penser à ça, en fait. Comment on en était arrivés là, au fait? Je n’y aurais pourtant jamais cru si on me l’avait prédit quand on l’avait jetée dans mon bureau. J’aurais mis ma main à couper du contraire, littéralement. Et pourtant j’étais là, la tirant contre mon corps brûlant, poussé par un désir passionnel sans nom. Elle se cambrait, ses seins s’écrasant contre mes pectoraux, et je ne tardais plus un seul moment pour lui retirer sa robe, la laissant vêtue uniquement de son bas de dentelle. Ses mains s’affairaient à déboucler ma ceinture et ouvrir mon jeans, ses doigts se rapprochant dangereusement de ma virilité. Merde merde merde. Et je laissais un juron d’ailleurs s’échapper de mes lèvres, suivi de son prénom. Ce qui au final, la poussait encore plus, le dos de sa main m’effleurant l’entre-jambe alors que je me mordais la lèvre pour retenir un soupir. Je relevais mes yeux azurs sur elle, les plongeant dans les siens. J’avais comme l’impression que son regard la disait perdue, désemparée… et pourtant, ses gestes ne paraissaient pas être d’accord. Non, elle ne m’avait pas l’air perdue du tout.

Elle glissait une main sur ma joue, reposant ses lèvres sur mes pectoraux, terrain de jeu de sa langue baladeuse, alors que je sentais mon jeans et mon boxer descendre sur mes hanches, avant de tomber de long de mes cuisses. Et bien vite, l’une de ses mains se frayait un chemin entre nos deux corps et ses doigts se refermèrent autour de mon membre. Long soupir incontrôlable alors qu’elle aussi, lâchait un son. Elle aimait ce qu’elle touchait? J’espérais bien, en tout cas. Elle entamait quelques vas-et-viens alors que mon érection atteignait son maximum, et s’emparait de mes lèvres. J’agrippais l’une de ses hanches pour la maintenir contre moi pendant que ma bouche dévorait la sienne. « Dis moi que tu as des préservatifs quelque part. » me souffla-t-elle. J’en avais, au moins? Je me penchais sur le bureau et ouvrais un tiroir, avant d’en sortir un ‘franger’ comme on disait chez nous, Down Under, après quelques secondes de fouille hâtive. Dieu merci, je prierai plus souvent à l’avenir, c’est promis. Je lui montrais l’emballage pour simple réponse. « Prends-moi... » A elle de donner des réponses simples, apparement. Elle avait murmuré ça contre ma peau, mordillant ma mâchoire, et avait déclenché une relation directe dans mon bas-ventre. J’humectais ma lèvre inférieure, avant de finalement lui sourire malicieusement. Elle croyait vraiment que j’allais céder aussi facilement? La voir là, soumise, à gémir ses plaintes et son désir d’une voix soufflée, ça me rendait toute chose. Je fis valser tout ce qui se trouvait sur le bureau en bois massif d’un revers de manche et l’y allongeais rapidement, collant son dos sur la surface froide. Je glissais mes mains de ses hanches le long de ses cuisses, les passant à l’intérieur pour la faire ouvrir les jambes et me poster entre elles. Mes caresses remontaient, et mes indexs passaient sous le dernier bout de tissu qu’il lui restait pour le descendre et le faire glisser le long de ses jambes jusqu’à ce qu’il rejoigne le sol. Une main sur l’intérieur de sa cuisse, assez haut, l’autre remontait lentement, très lentement, trop lentement sur son ventre, jusqu’à se glisser sur l’un de ses seins. Mes caresses se faisaient trop lentes, trop douces, trop chastes. Je coinçais son téton entre mon pouce et mon index et jouais quelque peu avec, la regardant dans les yeux, insistant, perçant. J’attendais qu’elle me le redemande. Qu’elle relance une plainte désespérée de cette façon, ce genre de mots qui agissaient directement sur mon excitation. Mes yeux parcouraient son corps de haut en bas, mémorisant chaque millimètre carré de sa peau. Elle était exquise. Sans déconner. Oh et puis merde, je n’en pouvais plus d’attendre et de jouer à la faire languir. Ça m’impatientait moi aussi. J’attrapais la capote que j’avais laissé là, déchirais l’emballage de mes dents et l’enfilais sur ma masculinité tendue. Je l’agrippais une fois de plus par les hanches pour la ramener vers moi et me glissais en elle de tout mon long, d’un coup de reins quelque peu brutal, alors que qu’un râle rauque s’extirpait de mes lèvres, comme si je venais enfin d’acquérir ce que j’avais attendu durant des millénaires.

© Pando
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MessageSujet: Re: LENZO & AVA ♦ what kind of woman do you think I am?! [Hot] LENZO & AVA ♦ what kind of woman do you think I am?! [Hot] - Page 2 EmptyMer 4 Mar - 22:25


what kind of woman do you think I am?!
Lenzo et Ava
Je n’étais pas de celle qui soupirait ou suppliait un homme. En général je prenais ce que je désirais, dans la majorité des cas je n’avais pas trop à insister pour convaincre que ma position était la bonne. Que ce soit dans la vie quotidienne ou dans une chambre à coucher. Je ne me prétendais pas une acrobate du sexe ou une apprentie geisha dans ce domaine. J’étais réceptive, relativement ouverte d’esprit (tant que ça restait casher) et assez souple (les années de cheerleading probablement) mais je ne prétendais pas être le meilleur coup du siècle. Je savais rendre un homme heureux, enfin la plus part du temps, quand j’avais la bouche close. Mais pour la première fois depuis ... ma première fois et là encore je n’étais pas certaine, je ressentais le besoin, intense, de succomber. De faire ce que je savais être une erreur et de supplier pour obtenir ce que je voulais. Lui. Maintenant. Sur ce bureau. A la sauvette alors que rien me destinais à me retrouver dans cette situation. C’était .... Electrique, irréfléchi et incroyablement excitant. Sa virilité prisonnière de mes doigts, son souffle anarchique contre ma peau. Tout cela contribuait à me faire perdre pieds. Je le voulais. Maintenant. Comme je l’avais décidé. Sans préliminaire subtils ou poussée délicate. Je n’étais pas en sucre et le désir qui me consommait J’avais envie de lui, c’était aussi violent que soudain, comme une ondée en mars. Mais il résistait, il me tenait tête et cela accroissait mon désir. Après avoir fouillé dans son bureau, à la recherche d’un préservatif, il balaya le plateau de son avant-bras, envoyant au sol les objets qui s’y trouvaient. Il y eut un bruit de verre brisé, mais alanguit sur la surface en bois patinée je n’y prêtais guère attention. Mon esprit était seulement focalisé sur le ballet de ses mains sur ma peau. Je ressentais tout, le contact froid du bois qui se réchauffait à la chaleur de ma peau, ses mains qui dansaient sur mon épiderme, créant des réactions en chaîne. Mes seins se dressant à la rencontre de sa paume. Les mamelons érectiles tendus vers ses doigts, suppliant une caresse. Mon souffle s’était fait anarchique, mon corps se cambrait contre le bois, tendant vers le sien. Je brûlais de le ceinturer aux hanches et de le prendre en moi mais je résistais à mes propres désirs pour le laisser m’explorer à sa guise. Il jouait une étrange partition sur ma peau, enchanteresse et excitante. Bientôt ma lingerie en dentelle rejoignit ma robe sur le sol. Je ne portais plus que mes bas de soie et mes talons aiguilles. L’image même de l’Escort-Girl troussée par son client. Mais je n’en avais que faire. Lorsque ses doigts encerclèrent l’un de mes mamelons, je lâchais un feulement de plaisir en m’arquant plus avant pour que sa paume englobe mon sein dans toute sa plénitude. Arquée vers lui, mes yeux rivés aux siens, je sentais que lui aussi perdait le contrôle. Il se gaina rapidement d’un des préservatifs péchés dans l’un de ses tiroirs. Me saisissant par les hanches il me fit glisser le long du plateau, cuisses ouvertes, chaire palpitante contre la dureté de son sexe. Il n’eut pas de douceur dans cette première rencontre de nos deux corps. C’était brut, c’était ce que je voulais. Lui en moi. Son râle se répercuta en moi, attisant mon désir. J’avais voulu le sentir, lui, Lenzo, dur, sauvage, en moi, j’avais voulu qu’il fasse trembler mon corps, mon univers parfaitement contrôlé. Et j’avais eu ce que je désirais. Des émotions brutes, primordiales étaient expulsées par une force extérieure à mon corps, une force aussi vieille que le temps. Qui me commandait de bouger. Je restais une seconde immobile, savourant cette sensation de plénitude avant d’encercler sa taille de mes cuisses, pressant mes talons contre ses fesses pour le prendre plus profondément. J’ondulais des reins, l’attirant contre moi pour partager son souffle, ses lèvres. Ce n’était pas ce que mes amies appelaient « faire l’amour » ; Nous ne nous faisions pas l’amour, c’était une guerre, un jeu, c’était un coït brut, primal, instinctif. Et pourtant ... Pourtant c’était une erreur. Je ne faisais que rarement des erreurs. Mais celle-ci était l’une des seules qui me procureraient un tel plaisir. Mes mains exploraient son dos, ses fesses, le pressant contre moi, plus fort, plus vite. Sa bouche contre la mienne étouffait mes gémissements. Bon sang, je n’étais pourtant pas une novice en la matière, alors était-ce la situation scabreuse ? Le décor ? Le début prochain de ma mission ? Qui générait cette sensation en moi, ce vent de folie, une dernière chevauchée avant de plonger dans l’âge adulte ? Ou bien était-ce simplement lui ? Lui et moi, ensemble, quelque chose de primaire contre lequel nous n’avions pas pu lutter. Cela ne devait pas se reproduire alors ... Autant en profiter jusqu’au bout. Ses muscles étaient tendus à se rompre sous mes doigts. Mon corps frissonnait, ma conscience oscillait. Il m’en fallait pourtant plus d’ordinaire, j’étais du genre « jouisseuse psychologique », a jouir de l’homme, du décorum, de l’émoustillement intellectuel. Je ne couchais pas avec des inconnus, une mission ... Peut-être le frisson de l’interdit accentuait le sentiment d’urgence, celui de prendre rapidement sa jouissance pour aplanir la situation. Et à la fois je ne désirais pas que cela s’arrête. Lui en moi. Oh bon sang Ava, dans quoi tu t’es encore fourrée ? Fut la dernière pensée cohérente que j’eu alors qu’un coup de rein déclenchait l’ultime vague de plaisir.
electric bird.
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MessageSujet: Re: LENZO & AVA ♦ what kind of woman do you think I am?! [Hot] LENZO & AVA ♦ what kind of woman do you think I am?! [Hot] - Page 2 EmptyJeu 5 Mar - 0:07



❝what kind of woman ... I am?!❞
ava & lenzo

Peu à peu, peau à peau, l’idée qu’elle était flic me sortait du cerveau. Je ne savais pas si c’était parce que je ne voulais pas y penser et je me forçais à laisser ça de côté, ou si c’était simplement parce que j’avais clairement autre chose en tête là, mais en tout cas, je passais au dessus. Ouais elle était flic, mais tant qu’elle ne portait pas sa plaque entre ses cuisses, franchement ça ne me dérangerait pas tant que ça, pour être tout à fait clair. Je savais que la faire languir et lui résister la rendrait folle. J’avais bien capté que cette femme, c’était une maniaque du contrôle. Elle tenait les ficelles chaque seconde. Mais pas maintenant. Sa contenance avait pris ses jambes à son cou, et la voilà nue devant moi, allongée sur mon bureau, soumise et réclamante. Bureau d’ailleurs duquel j’avais tout envoyé valser d’un avant-bras balayeur. Bruit de verre cassé. Je jetais quand même un regard rapide sur le sol. Oh putain, la mini oeuvre d’art que j’avais tout juste acheté cette semaine, un petit arbre de la vie en verre soufflé. Et forcément, j’avais lancé à l’artiste que je n’avais pas besoin de garantie, parce que je prenais extrêmement soin de mes affaires. Merde. Bon, tant pis. Je reposais mon regard sur elle, et laissais mes mains se balader et explorer son corps à leurs envies, passant un peu partout, trop lentement. Son souffle s’accélérait, devenait irrégulier et saccadé, et elle arquait le dos. Son être appelait le mien, avidement. Ma langue glissa sur ma lèvre inférieure, inconsciemment. Bas de soie et talons aiguilles, encore plus aguicheuse qu’avant. Elle allait me rendre dingue cette fille. Littéralement. Mes doigts coincèrent un de ses tétons pour le titiller, et un gémissement s’échappait de ses lèvres. Elle se cambrait un peu plus vers moi, et j’en profitais pour refermer ma paume sur son sein, le malaxant franchement. Ça faisait combien de temps que je n’avais pas couché avec une femme? Un bail, c’était sûr. Tellement que je ne me souvenais pas de la dernière. Ouais, quand je disais que je n’étais pas ce genre de mec, je ne mentais pas le moins du monde… M’enfin, c’était comme le vélo, ça ne s’oubliait pas, hein? Aller, c’est parti. J’enfilais le préservatif et la tirais le long du bureau pour qu’elle soit plus près de moi avant de m’insérer en elle d’un coup de reins brutal, un premier râle s’échappant de mes lèvres. Le mâle en moi ressortait apparement. Je devais bien avouer que ça m’avait manqué. Je restais un mec, et on est tous d’accord pour dire que les mecs en ont besoin bien plus souvent que les nanas. Sauf que moi, j’étais tellement con que je m’abstenais. Mais Ava fit taire bien rapidement ces pensées négatives en entourant ma taille de ses jambes, l’intérieur de ses cuisses brûlantes contre mes hanches, talons contre mes fesses, pour s’empaler sur moi entièrement, encore plus profondément. Elle en voulait plus? Il fallait juste demander… Pour simple réponse, un coup de bassin sec, sourire provocateur au coin des lèvres. Et j’entamais mes vas-et-viens alors qu’elle ondulait du bassin. Je me penchais un peu sur elle pour venir chercher passionnément ses lèvres, entamant un baiser langoureux pour réprimer quelques gémissements de plaisir. Je sentais ses mains dans mon dos, sur mes fesses, me serrant contre elle, ne laissant aucune chance à la distance de s’installer, même pour quelques centimètres. Et ça me plaisait. Ses gémissements se perdaient entre mes lèvres, lèvres que je déviais sur sa mâchoire avant d’enfouir ma tête dans son cou pour arpenter sa chair si fine, y laissant quelques marques de mes dents. Quoi? Ce n’était pas mon problème si elle devrait justifier les suçons violacés qu’elle avait sur la gorge par la suite. Moi, je laissais ma marque. Je voulais qu’elle se souvienne de ce moment. J’attrapais ses poignets pour relever ses bras au-dessus de sa tête et les coincer entre mes mains, mes coups de reins se faisant encore plus violents, plus brutaux, plus hâtifs. Et je la sentais peu à peu défaillir. Et bon sang ce que ça me plaisait. Je voyais comment son corps réagissait à chacun de mes gestes au tac-au-tac, et ça ne pouvait pas plus me faire plaisir. Mes lèvres descendirent jusqu’à ce que mes dents capturèrent l’un de ses tétons, celui qui n’avait pas eu le court plaisir de mes doigts. Ma langue y passait également, alors que je maintenais ses mains toujours d’une prise ferme. Je me redressais quelques secondes plus tard quand je la sentais perdre pied pour de bon, pour me concentrer uniquement sur moi en elle. J’accélérais, entrant et sortant avec force et vitesse, mon bassin claquant contre le sien, alors que je n’essayais même plus de retenir mes gémissements. Je sentais finalement ses muscles se contracter, son corps se mettre à trembler… Et il ne lui en fallut pas plus pour atteindre l’orgasme, ce qui, évidemment, déclencha le mien. Bon sang, il lui en fallait si peu? Tant mieux pour moi — et pour elle, en fait — mais je restais surpris. Je restais quelque instant en elle, puis déglutissais et me retirais lentement, à bout de souffle, le coeur battant bien trop fort et bien trop vite. Wow.

© Pando


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MessageSujet: Re: LENZO & AVA ♦ what kind of woman do you think I am?! [Hot] LENZO & AVA ♦ what kind of woman do you think I am?! [Hot] - Page 2 EmptySam 7 Mar - 22:29


what kind of woman do you think I am?!
Lenzo et Ava
Bon sang en termes de « récréatif », ce petit interlude dans son bureau atteignait pleinement ces objectifs. Je frissonnais, tanguait, gémissait sous lui, réceptive à chacune de ses caresses, sans fausse pudeur. Certaines femmes se retenaient pour ne pas donner une image trop « charnelle » d’elle-même. On était rarement plus vulnérable qu’en faisant l’amour. On se mettait à nu, au sens figuré et littéral. Je donnais autant que j’offrais, c’était ma vision de l’acte « charnel ». Je ne réfrénais pas qui j’étais, je ne jouais pas un « rôle » ou ne me donnais pas une attitude. Je laissais s’exprimer mes émotions, mes envies également. Je n’éprouvais pas de culpabilité face à mes attentes et mes désirs. Certaines femmes disaient souvent être honteuses de se laisser aller à leur plaisir. Pour moi c’était une vision réductrice et aussi foncièrement « mauvaise » de la femme, en quoi céder à ses désirs, à son plaisir pouvait être source de culpabilité ? Si on ne trompait pas son conjoint, je ne voyais pas où était le mal d’éprouver ce que je ressentais là ... entre ses bras ! C’était rétrograde et malsain aussi de se réfréner ainsi. Et cela vous faisait passer à côté d’une chose ... Exceptionnelle. Même avec lui, alors que je le connaissais depuis quoi à peine une heure, je le ressentais. Cette connexion, à la fois sexuelle et aussi psychologique. Ce moment était vécu à deux. Il avait son importance. Peut-être serait-il unique, mais nous le vivions sans barrières. Je n’étais plus flic, il n’était plus le gérant d’un casino clandestin. J’étais la fille qui gémissait alors que sa main se refermait sur mon sein et que ses doigts torturaient délicieusement mon mamelon. Mon buste s’arqua vers le sien, suppliant pour d’autres caresses alors que mon bassin se mouvait contre le plateau de chêne, réclamant aussi sa présence. J’enregistrais son sourire taquin, provocateur. Il dominait et en avait conscience. Cette fois mon grand, seulement cette fois. Je le serrais entre mes cuisses, l’attirant plus fort, plus profondément en moi alors que nous partagions un baiser qui aurait pu mettre le feu aux murs du bureau. Je n’étais que sensation. Prolongement de ses caresses, intimement lié à lui, dépendante de lui pour mon plaisir. Et c’était grisant. Cette sensation de perdre le contrôle pour une fois, d’avoir été dépassée par la situation, de l’avoir poussé à révéler sa nature passionnée. Ses lèvres étouffaient certaines de mes miaulements de plaisir. Accroissant la tension magnétique entre nous, ses dents mordillèrent la chair tendre de mon cou, de ma mâchoire, imprimant une trace sur la peau délicate. Dieu bénisse l’hiver et les cols roulés. Etrangement être marqué ne provoqua pas le sentiment d’indignation que l’on pourrait attendre de moi. Je prendrais ma revanche bien assez tôt. Alors qu’il emprisonnait de ses mains mes poignets, au-dessus de ma tête, je profitais d’un moment où il me labourait de ses coups de reins pour imprimer mes lèvres sur sa gorge, aspirant sensuellement la saveur salée de sa peau. Nos peaux moites coulissaient l’une contre l’autre tandis qu’il mordait passionnément le sein qui n’avait pas l’eu la grâce de ses hommages. Bon sang ! Je n’entendais plus que le son de nos souffles erratiques, les claquements de ses hanches contre les miennes à chaque poussée, les sons étouffés de mes gémissements contre sa peau. Le désir était comme une douleur, une pulsation lancinante et infernale au creux de mon ventre. Puis, la jouissance déferla en moi, insupportable de violence et de volupté. Une exclamation m’échappa, forte et brève. Un râle. Son prénom. Merde, il allait pouvoir prétendre m’avoir fait crier son nom. La prochaine fois il crierait le mien... Je laissais reposer sa tête contre ma gorge. Son souffle haché caressait ma peau, son cœur battait si fort que je ressentais ses pulsations contre ma poitrine. Pour lui aussi cela avait été bon. Je pensais paresseusement alors que les palpitations de ma féminité s’apaisaient peu à peu. Cela faisait trop longtemps que j’avais fait abstinence ... Voilà pourquoi cela avait été aussi beau, fort et aussi passionné. Mais lorsqu’il se retira, je pris conscience de ce que je venais de penser. « La prochaine fois ? » Bon sang Ava, tu venais de risquer ta plaque. Pour ça. Pour une seule cartouche avec ce type. Merde Crevette, il était un des voyous que tu étais censés coffrer si tu faisais trop travail correctement, au lieu de ça tu lui promettais un accord et tu lui ouvrais les cuisses ? J’étais une très vilaine fille, et c'était exactement ce que j’avais été cette nuit. Mais il m’était difficile voire impossible de reprendre ce qui avait été donné cette nuit. Un acte consentit mutuellement. Mais qui ne devrait pas se reproduire. Je le repoussais doucement, pivotant sur mes hanches pour qu’il repose contre le bureau et non plus sur moi. Je n’étais pas habituée de ce type de situation, normalement je couchais avec des « amants » avec qui j’avais tissé un lien, l’après coït n’était jamais embarrassant, je n’hésitais jamais sur quoi dire ou quoi faire. « C'était vraiment un moment incroyablement charnel. Mais il est temps que je tire ma révérence. » Je murmurais avant de prendre sa bouche, gage de remerciement. Je me redressais, cherchant des yeux ma robe au milieu de notre tas de vêtements, je croisais mon reflet dans la glace d’un cadre imposant. Bon sang, entre les cheveux ébouriffés, les paupières encore lourde de plaisir, les bas de soie et les talons aiguilles. J’avais vraiment ... La dégaine qu’aurait eue une femme avec ma « profession d’emprunt » après une rencontre avec un client. Je ramassais ma robe, que j’enfilais rapidement avant de me tourner pour lui faire face. Bon sang, il était terriblement attirant. « Je tiens à le préciser ... Tout ça. » Je l’englobais, lui et moi d’un mouvement de la main. « Ce n’était pas pour le boulot .... » Il fallait que je le lui dise. Il comprendrait. Demain serait un autre jour. Tout devrait recommencer de zéro, comme si rien ne s’était produit. Pas vrai ? C’était ce qu’il fallait faire. Pour ma plaque, pour ma mission et aussi pour lui. Bon sang, même si je lui obtenais une « amnistie » ... son boulot était à 50% criminel ! « Mais ce ne sera pas plus .... » J’ajoutais en récupérant dans le tiroir de son bureau ma pochette, j’en sortis une carte professionnelle que je donnais d’ordinaire aux indics avec mon numéro personnel et professionnel. « Je te recontacte lorsque j’ai le contrat .... »  Furent mes derniers mots avant que je quitte son bureau, puis le casino.

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