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Astaria & Kovu - KMF ? Kill Me First

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MessageSujet: Astaria & Kovu - KMF ? Kill Me First Astaria & Kovu - KMF ? Kill Me First EmptySam 23 Aoû - 8:43

Kovu + Astaria
Kill Me First
Je ne rentrais plus mon ventre, mais, maigre consolation, mon jean fermait encore. Suffisait juste que je le baisse un peu, histoire que mon début d’excroissance lui passe au-dessus de la ceinture, mais, dieu merci, je n’avais pas encore à arpenter, tel un zombie, les rayons grossesse des magasins de fringues. Déjà, en temps normal, je n’étais pas une grande adepte du shopping, mais là... Sérieusement, qui aurait envie d’acheter des legging à poche ventrale et des jean à ceinture élastique ? Après sept années de coma sexuel, j’en redécouvrais à peine les bienfaits que je m’en retrouvais déjà privée à cause de...cette chose, là ! Le seul avantage ? J’avais pris une bonne taille au niveau du décolleté et d’après Liliane, ce n’était pas près de s’arrêter. Si seulement ça pouvait ne pas aller de paire avec le reste. C’est comme si l’univers avait décidé de restaurer son équilibre sur ma gueule. Si ça poussait devant, fallait aussi que ça pousse derrière. Bah oui, des fois que je penche d’un côté en marchant, évidemment. Parait que c’était dans ma tête, mais je le voyais bien dans le miroir, moi, que j’avais pris du boule. J’allais finir difforme à ce train-là. Un cornet de glace cinq boules, trois devant, deux derrière. Putain, je détestais ma vie. Le mythe de la femme enceinte rayonnante ? Ce n’était que ça, un mythe, ou alors j’avais raté la distribution gratuite de LSD. Qui peut kiffer ça, sérieusement ? J’étais claquée en permanence, il m’arrivait de m’endormir n’importe où, j’avais faim sans cesse, et généralement des trucs un peu dégueu, et le pire du pire, l’envie de pisser. À croire que mon parasite avait déjà développé son potentiel emmerdeur dès les premières semaines et s’éclatait à m’appuyer sur la vessie rien que pour me faire regretter un peu plus mes choix. Parce que oui, malgré mon très grand manque d’enthousiasme, j’avais choisi, de mon propre chef et en pleine possession de mes moyens -et c’est peut-être ça le pire- de le garder. Et quand j’y réfléchissais, je veux dire vraiment et non sous la torture, je reconnaissais avoir fait le bon choix. Ma vie avait beau être un bordel complet, elle ne serait probablement jamais plus ordonnée que maintenant. J’avais l’âge, j’avais un géniteur chiant mais avec une bonne situation et qui, Ô miracle, se sentait impliqué, et j’avais des gens sur qui compter. Seulement, ces moments de conscience étaient rares, et je passais le plus clair de mon temps à maudire ce squatteur d’utérus. Comme maintenant, par exemple, alors qu’accrochée à la barre fixe du métro, je gigotais des genoux en tentant d’oublier cette envie pipi qui venait juste de me prendre. Et la station Allerton Av. qui se faisait désirer. Il m’avait appelé hier soir, comme presque tous les soirs, ou un soir sur deux en fonction de nos différentes avancées. Cette fois, c’était pour me prévenir d’une seconde visite programmée. La première fois, il y avait été seul, comme convenu, mais maintenant, il voulait mon avis concernant le choix sur lequel il s’était arrêté. J’aurais préféré hiberner sous mes draps et passer la journée à ne strictement rien faire, mais puisque j’avais encore plus de cinq mois à tirer, autant faire en sorte d’avoir un semblant de vie. Et puis j’y tenais à ce projet. J’y tenais vraiment. Encore plus désormais. Renouant mon foulard autour de ma gorge, je redescendais l’avenue à la recherche de cette fameuse adresse avant de les apercevoir, les Seaga. Enfin, une partie. Pas tous. C’était la surprise à chaque fois, je ne savais jamais combien il y en aurait, ni lesquels ce serait. Et finalement, je prenais conscience que ça faisait plusieurs mois que je n’avais pas vu Malyck. Enfin en chair et en os, quoi. « J’t’en prie, dis-moi qu’il y a des toilettes à l’intérieur. » j’entonnais en guise de bonjour, sautillant d’un pied sur l’autre. « Et pas de commentaire, s’il te plait ! » je le prévenais en le pointant d’un index super-trop menaçant. Je ne savais pas ce que lui avait dit Shania, je ne savais même pas si Shania lui avait dit quelque chose, et peut-être ignorait-il tout de mon état, mais lorsque j’ôterais ma veste... La faute à mon cul. Dans mon imaginaire mon cul s’était réincarné en pochette d’album de Nicki Minaj. « En tous cas, très bel emplacement... » je lâchais après un tour d’horizon du regard. « Ce qui serait un vrai plus, c’est qu’il y ait des toilettes à l’intérieur. » Promis, après j’arriverais à me concentrer sur autre chose que la visualisation de ma vessie en train d’exploser.
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Caleb Smoak
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Astaria & Kovu - KMF ? Kill Me First Empty
MessageSujet: Re: Astaria & Kovu - KMF ? Kill Me First Astaria & Kovu - KMF ? Kill Me First EmptyMer 10 Sep - 0:07

Ses cadets devaient bosser pour l'école, Kovu n'avait pas beaucoup de règles vis-à-vis de ses cadets, mais ils devaient étudier un minimum, il ne pouvait clairement pas les aider, mais ils s'étaient toujours débrouiller, alors lorsque Kovu avait dit à Shemar de rester et d'avoir un oeil sur ses petites soeurs, il avait grogné mais accepté et Shania, Kenisha & lui étaient restés à la maison alors que Zolà et Ilya l'accompagnait pour son rendez-vous. Ilya était un bébé, un tout petit bébé, son neveu, mais il en était fier. Mais pas autant que Zolà qui se croyait soudain "tante" à son tour au lieu d'être la cousine, Kovu la laissait faire et il observait la petite pousser la poussette d'Ilya qui dormait paisiblement tandis que Kovu gardait une main sur l'épaule de la petite et sur la poussette dans un geste qui se voulait protecteur. Il était à l'adresse indiquée et il était arrivé un peu en avance, il vérifia que la veste de Zolà était bien fermée et s'assura qu'Ilya était couvert lui aussi, si les enfants de Shanice et Anthony étaient malades, il en entendrait parler un moment. Il avait voulu les amener eux, parce qu'il estimait que les bébés, c'était à lui qu'on les avait confié, et il préférait les garder à l'oeil plutôt que les confier à Shemar, il était... en pleine crise d'adolescence et soit, il préférait être prudent. Lorsque la brune fut à l'horizon, il eut une sorte de petite sourire avant de la voir débouler, Zolà la reconnut car elle la pointa de son doigt encore boudinée. « La madame » fit-elle alors. « Astaria » lui rappela-t-il du bout des lèvres. « Astajia » confirma-t-elle d'un hochement de tête très sérieux. « J’t’en prie, dis-moi qu’il y a des toilettes à l’intérieur. » fit alors la brune en arrivant à porté d'oreille. Il sourit légèrement avant de tapoter le sac d'Ilya. « Aucune idée mais j'ai des pampers pour le petit bonhomme » ricana Kovu alors que Zolà lui tirait légèrement la main. « C'est mon bébé » expliqua l'enfant de 3 ans en lui montrant la poussette qu'elle ne dépassait pas vraiment. Kovu la souleva un instant pour qu'elle puisse voir Ilya et Zozo rayonna aussi tôt avant de rigoler légèrement. « Et pas de commentaire, s’il te plait ! » Kovu arqua un sourcil. « Sur quoi ? » demanda-t-il un peu sur la défensive, il observa la brune, est-ce qu'elle avait été coupé ses cheveux ? Parce qu'il ne voyait jamais ça, et parfois, les filles aimaient se plaindre que c'était moche, que ça ne ressemblait à rien par rapport à avant... mais lui voyait peu de différence alors... est-ce qu'elle avait un bouton mal placé sur son visage ? Okay, elle avait un peu grossi, mais rien d'alarmant, ça arrivait. New York, la mal bouffe à pas d'heures et puis voilà. « En tous cas, très bel emplacement... Ce qui serait un vrai plus, c’est qu’il y ait des toilettes à l’intérieur. » Kovu observa autour de lui, c'était... pratique dirons-nous, mais il fallait encore voir l'intérieur... et puis ils allaient devoir rencontrer quelqu'un pour leur faire visiter l'endroit apparemment... « Et maintenant on attend que... » Kovu s'arrêta en pleine phrase quand il vit la voiture un peu trop... voyante s'arrêter devant le bâtiment, l'homme en costume trois pièce qui sortit du véhicule leur sourit légèrement avant de leur faire un signe de tête. « Bonjour, enchanté, je viens comme représentant de Monsieur Ubaldeschi, je suis son second, Monsieur Jones » expliqua-t-il sur un ton très rapide pour se présenter, il n'attendait pas vraiment leur réponse avant de les enjoindre à le suivre dans le bâtiment dont il avait la clé « Il s'est blessé et n'a pu faire le déplacement lui-même, il en est désolée, je ferais office de guide et je vais tenter de vous expliquer les quelques exigences de monsieur Ubaldeschi par rapport aux différents sites que nous pouvons visiter et qu'il veut bien... céder gracieusement pour votre cause... » lâcha-t-il avec une petite grimace. Clairement, c'était un homme d'affaire, et le fait que son patron se lance dans quelque chose qui ne fera pas de bénéfice assez intéressant ne l'emballait pas plus que ça. « Avant d'aller trop loin, est-ce que vous auriez des toilettes, elle en a besoin ! » expliqua Kovu en l'arrêtant avant qu'il ne déblatère encore une des ses phrases sans fin. Il pointa du pouce Astaria et l'homme l'observa une seconde avant d'indiquer un coin. « Tout droit, et lorsque vous êtes au fond à droite, l'électricité ne marche pas vraiment, enfin, on doit encore s'occuper de ça ici. » lança l'homme d'une voix neutre sans bouger. Sur le temps d'attente, l'homme sortit juste son téléphone, il semblait manager il ne savait trop quoi du coup, Kovu l'ignora pour se contenter de faire des grimaces à sa nièce pour l'amuser.
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MessageSujet: Re: Astaria & Kovu - KMF ? Kill Me First Astaria & Kovu - KMF ? Kill Me First EmptySam 13 Sep - 23:32

Kovu + Astaria
Kill Me First
« Aucune idée mais j'ai des pampers pour le petit bonhomme » Il était en train de me proposer une couche de bébé pour soulager ma vessie d’adulte, là ? J’haussais un sourcil comme si son ‘bonjour’ s’avérait plus indélicat que le mien. « Idée recevable si on oublie le fait qu’il me faudrait pouvoir l’enfiler en toute discrétion. » donc dans des toilettes. Finalement, on en revenait au même problème. Cela dit, ma vessie devrait attendre puisque Zozo me tirait par la main pour me montrer son bébé. « Wahouuu ! Sont précoces dans ta famille ! » je proclamais en me penchant légèrement en avant pour mieux apprécier la miniature Seagienne. Et lorsque je me redressais en me faisant l’effet d’un pachyderme, mettant Kovu au défi de me faire le moindre commentaire, ce dernier sembla sincèrement n’absolument pas voir de quoi je voulais parler. Tant mieux ! Je devais probablement être une future obèse à ses yeux, mais tant mieux ! Je n’avais pas spécialement envie d’évoquer ma grossesse surprise, ni de devoir argumenter, expliquer, justifier mes choix qui n’avaient rien d’explicables ou justifiables, pas plus que je ne souhaitais exposer mon absence totale d'engouement face à cet ‘heureux’ évènement. Je culpabilisais déjà suffisamment comme ça d’être incapable de me réjouir, alors face à un Malyck qui ne vivait que pour ses mômes, j’allais encore plus me faire l’effet d’une anomalie cruelle et dépourvue d’émotion. Pourquoi n’étais-je pas capable de sourire bêtement en me caressant le bidon à longueur de journée ? Ça avait l’air si simple chez les autres. Moi je ne faisais que râler, soupirer, grimacer, et lever le majeur à l’attention du premier connard m’invitant à sourire un peu plus. En même temps, si ce squatteur ne s’éclatait pas à m’appuyer sur la vessie dans les pires moments -comme s’il observait par le nombril pour s’assurer que je me trouvais bel et bien en pleine cambrousse sans toilettes à proximité, avant d’y aller franchement- peut-être que je parviendrais à mieux tolérer cette sous-location forcée, mais... Non, là, j’arrivais pas à me concentrer, il me fallait absolument des toilettes. Après je serais à 250% avec Malyck, promis ! « Et maintenant on attend que... » Ah non ! Pas ce foutu verbe ‘attendre’ !!! Je détestais ce verbe, presque autant que les allures du type qui venait d’interrompre Kovu en se garant bruyamment à nos côtés. C’était quoi cette voiture ? C’était quoi ce costume ? On était dans le Bronx, là, pas à Las Vegas. « Bonjour, enchanté, je viens comme représentant de Monsieur Ubaldeschi, je suis son second, Monsieur Jones » Monsieur Jones ? Qui se présentait encore en tant que ‘monsieur’ de nos jours ? « Vous n’avez pas de prénom ? » je demandais, faussement innocente, sans qu’il ne relève ma réflexion pour autant. Il ne m’avait même pas regardé, il continuait sur sa lancée. « Il s'est blessé et n'a pu faire le déplacement lui-même, il en est désolée, je ferais office de guide et je vais tenter de vous expliquer les quelques exigences de monsieur Ubaldeschi par rapport aux différents sites que nous pouvons visiter et qu'il veut bien... céder gracieusement pour votre cause... » Je roulais ostensiblement des yeux avant d’échanger un regard avec mon partenaire de business. On nous avait collé dans les pattes un type opposé à notre projet ? N’était-ce pas un peu risqué ? « Avant d'aller trop loin, est-ce que vous auriez des toilettes, elle en a besoin ! » Saint Kovu ! Merci ! C’est le message que transmirent mes yeux lorsque je les braquais sur lui avec soulagement. « Tout droit, et lorsque vous êtes au fond à droite, l'électricité ne marche pas vraiment, enfin, on doit encore s'occuper de ça ici. » Heu... Il ne comptait pas m’accompagner ? On était dans un bâtiment pas des plus praticables, sans électricité, auquel je ne connaissais rien, et on m’envoyait en expédition sans la moindre aide extérieure ? J’étais quoi, Bear Grylls ? « Si j’suis pas de retour d’ici cinq minutes, contacte le GIGN ! » je lançais à Kovu puisque l’autre, clairement, je lui parlais pas, tout en avançant vers l’endroit indiqué à contre-coeur. Il me fallut un peu de temps et plusieurs portes entrouvertes avant de tomber sur les toilettes en question, et m’éclairais à la lueur d’un iPhone pour faire mon affaire. À l’aveugle, pour plus de fun ! Fallait savoir vivre dangereusement. Lorsque je retournais vers eux, Jones devait être en pleine partie de Candy Crush et les Seaga s’occupaient entre eux. « Quelle ambiance ! » j’annonçais mon retour. « Bon, alors, Monsieur Jones, qu’avez-vous à nous apprendre sur ce lieu ? Pourquoi devrions-nous arrêter notre choix sur celui-ci plutôt qu’un autre, Monsieur Seaga et moi-même, Mademoiselle de Salignac ? Oh, et je vous rappelle qu’en vertu de la loi immobilière sur les associations à but non-lucratif Monsieur Ubaldeschi bénéficiera, pour son entreprise, d’une réduction de tranche non négligeable en matière d’imposition. Aussi, vous avez tout intérêt à ranger votre portable et à nous vendre du rêve... On est très difficile à satisfaire. » Les hormones me rendaient irritable. Enfin, plus que d’ordinaire. J’avais du mal à tenir ma langue lorsque quelque chose m’irritait, et ce type nous prenant de haut et grimaçant à la simple évocation de notre projet me collait la nausée. Ok, on avait peut-être pas l’allure d’homme et de femme d’affaire, surtout avec mon bide et les deux adorables miniatures, mais on n’en était pas moins très sérieux, et très au fait de ce qu’on était en droit d’attendre et réclamer. « Donc, Jones, on commence par quoi ? » je l’invitais de la voix et d’un mouvement de bras à nous précéder et entamer la visite. Avec un peu plus de professionnalisme et de respect cette fois. « Laisse-moi la poussette, faut que je m’entraine. » J’ajoutais ensuite, à l’attention de Malyck, en passant sous son bras pour réquisitionner le bolide infantile. « C’est moi ou ce type est absolument infecte ? » je lui demandais discrètement, suffisamment pour que ledit type en question ne m’entende pas. Je n’aurais aucune gêne à lui faire savoir ce que je pensais de lui, mais je n’avais pas envie de mettre le jamaïquain mal à l’aise avec mon franc-parlé. Cela dit, il fallait que je lui demande son avis puisque les hormones avaient fait fuir mon objectivité et qu’hier encore, j’étais persuadée que le facteur m’en voulait personnellement et qu’il tentait une prise d’otage sur mon courrier. Un avis extérieur pour absolument tout m’était devenu indispensable.
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