It's New York City bitches ! And it's my motherfucking dream
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Astaria & Joey - But we're the gladiators

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MessageSujet: Re: Astaria & Joey - But we're the gladiators Astaria & Joey - But we're the gladiators - Page 2 EmptyMer 6 Aoû - 4:57

« Je parlais de me conduire moi... » Joey ferma les yeux avant de jurer légèrement en russe, oh, il n'utilisait que très rarement cette langue, vraiment très rarement, c'était celle de sa mère après tout ! Et il aimait dire à tout le monde qu'il n'était qu'australien, il avait tellement occulté sa mère de sa vie, que les quelques mots qu'il connaissait en russe était resté enfui de sa mémoire et il s'était toujours interdit de les utiliser. Mais cette fille lui faisait perdre pied, le contrôle qu'il avait toujours eu de lui-même volait en éclat et son corps réclamait avec un besoin presque vital d'être enfin en elle pour être soulagé, pour pouvoir respirer de nouveau normalement au lieu d'avoir besoin de... suffoquer. Il ne répondit pas, pas par des mots clairs du moins, juste... en montrant son application dans chaque caresse, chaque baiser, oh clairement, il lui promettait de la conduire longuement, profondément. Il en crevait d'envie déjà là si... les regards autour ne l'ennuyaient pas profondément. Le trajet dans le taxi fut une sorte de brouillard et il se rappelait juste de la sensation des doigts de la brune sur son bas-ventre, une douce caresse tortueuse qui lui donnait envie de sentir ces mêmes doigts sur une partie encore plus au sud de son anatomie. Ils finirent par arriver. Trop long, pas assez vite mais la torture allait prendre fin une fois chez lui, une fois chez lui, il pourrait découvrir son corps sans retenue, sans hésitation, il pourrait la caresser en son entier, perdre le contrôle, être en elle, sa langue, ses doigts, son sexe, peu importait, il voulait la gouter de toutes les façons possibles et inimaginables. Du moins, il aurait sans doute plus facile s'il n'était pas si fébrile et tremblant, c'était totalement sa faute, elle et le foutu effet qu'elle provoquait en lui. Délicieux mais aussi difficile à contrôler. Il se sentait fiévreux et malade... et son corps et sa bouche étaient son antibiotique. Ouep, carrément. « J’espère que tu auras moins de difficulté à l’intérieur... » il eut un faible sourire avant de tourner le regard vers elle et l'attirer par la hanche jusque son corps qui rappelait déjà à grand cri la chaleur de la brune. « Quand je serais à l'intérieur de toi il n'y aura vraiment plus de problèmes » lâcha-t-il avec un petit sourire entendu avant de secouer légèrement la tête pour la regarder avec une passion dévorante qu'il ne contrôlait pas. « T’étais prévenu, ma technique est redoutable. » évidemment... et honnêtement, il était prêt à se laisser harponner une nouvelle fois déjà. Si c'était possible, il signerait clairement pour ça. Mais avant tout, ils devaient rentrer et Joey réussit enfin à récupérer assez de contrôle que pour le faire. Mais son impatience était qu'elle que la française finit aussi tôt le dos contre la porte et lui qui se perdait à la caresser et à la débarrasser sans plus de cérémonie de ses vêtements de trop et totalement dans le chemin. Toutefois, il n'était clairement pas le seul à être impatient et avide de plus, parce que la brune l'aida à enlever son t-shirt, à peine cette peau à nue que la brune la couvrait de ses lèvres alors que ses ongles marquaient légèrement et provisoirement la chaire de son dos. « Ta chambre. Maintenant. » fit la jeune femme en enlevant ses chaussures et les mains de la brune se retrouvèrent à défaire sa ceinture, touchant son érection par... "inadvertance", il souriait sans pouvoir s'en empêcher, une si petite femme mais qui savait exactement ce qu'elle faisait et ce qu'elle voulait. En l’occurrence lui et il se sentait... flatté. Lorsque la ceinture fut à terre, son jean à moitié ouvert, il l'attira avec lui jusqu'au chemin de sa chambre qui jusqu'à présent ne lui avait jamais paru si long. Une fois dans celle-ci il la souleva une nouvelle fois pour la porter jusqu'au lit et la poser délicatement alors que les doigts de Joey s'évertuait à déboutonner le bouton de son short pour le faire glisser le long de ses jambes qu'il caressait avec une adoration certaine. Il se concentra ensuite à capturer ses lèvres encore une fois, il l'embrassait, mordillait ses lèvres tout en s'évertuant à détacher l'attache de son soutient-gorge qui finit par sauter. Il envoya valser le sous-vêtement dans un coin de la pièce sans ménagement avant que sa bouche ne lui embrasse le cou, la clavicule et ne descende jusqu'à un de ses mamelons qu'il embrassa, lécha, mordilla et aspira de façon successive. Son autre main malaxant son autre sein avant de le griffer légèrement à l'aide de son pouce, pour lui faire autant de bien que de mal, puis sa bouche passa à l'autre sein malmené qu'il cajola de sa langue avec une ferveur et une dévotion absolue. Puis avide de goûter plus, il commença sa descente, le ventre, il s'attarda un instant à son nombril aussi alors que ses deux mains glissaient le long de son corps pour passer sous l'élastique de sa culotte et la faire glisser, sa bouche se détacha du ventre de la brune le temps de se débarrasser du dernier tissus et il prit le temps de respirer pour l'observer dans son ensemble, offerte à sa personne, elle était haletant, ses lèvres étaient gonflées, ses seins tendues et il souriait. Ce n'était pas fini, loin de là. Il commença par embrasser l'intérieur de sa cuisse et il remonta doucement, et un moment donné, il prit le temps de l'embrasser, d'aspirer plus fortement à un endroit de sa peau pour la marquer sienne, il n'était pas un fervent admirateur des suçons dans le cou, non, lui préférait marquer les femmes à des endroits plus intimes, différent, pour qu'elles seules sachent où il avait décidé de les marquer au lieu de l'avoir au vu et au su de tout le monde. Puis satisfait de son suçon, il continua sa remonter jusqu'à son intimité et ce fut le clitoris qu'il embrassa en premier, doucement, du bout de la langue, pour vérifier sa sensibilité. Puis ce fut plus franc, il tournait sa langue, aspirait, léchait, appuyait plus fort son visage contre son intimité et pour que le plaisir soit plus grand, il finit par introduire un doigt en elle, puis deux, il avait besoin de la sentir, sentir les parois vaginale de la brune se contracter contre sa peau, il embrassait son clito et la pénétrait de ses doigts, vivement, profondément et lorsqu'il la sentit au bord de l'explosion, il arrêta et la pénétra de sa langue, il voulait la goûter de toutes les façons possible, et il voulait sentir son plaisir sur sa langue. Son pouce reprit l'ancienne place de sa bouche pour caresser son clito.
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MessageSujet: Re: Astaria & Joey - But we're the gladiators Astaria & Joey - But we're the gladiators - Page 2 EmptyMer 6 Aoû - 8:39

Astaria + Joey
Gladiators
« Quand je serais à l'intérieur de toi il n'y aura vraiment plus de problèmes » Fuck ! Et c’était l’occasion de le dire. Son air, son sourire, sa voix ! Comment retourner une situation à son avantage. Ça, il savait faire. Et mon corps contre le sien, je n’en menais pas large, peinant à déglutir, alors que je tentais un nouveau revirement, lui rappelant qu’il s’agissait de ma technique redoutable qui nous avait amené jusqu’ici. Ma technique, la mienne, rien qu’à moi ! Ma fierté ! Une fierté qui se faisait clairement la malle à mesure qu’il me possédait, refermant la porte avec mon dos, me plaquant, m’effeuillant, me découvrant, m'agrippant, mon contraignant à un mutisme plus ou moins total. Si je ne la ramenais plus, soupirs mêlant surprise et plaisir avaient squatté l’orée de mes lèvres chaque fois qu’elles n’étaient plus sur les siennes. Mais chacun son tour, mon pote. Partage des tâches, c’est le deal. Et le repoussant, je m’évertuais à le dénuder à mon tour. Que partiellement, évidemment, puisque son torse m’avait légèrement perdu en route, bouffant une partie de mon cerveau pour ne plus me laisser qu’une seule option ou obsession : toucher ! Toucher ! Toucher ! Avec mes paumes, avec ma bouche, avec ma langue, avec mes ongles qui se plaisaient à exciter sa peau, à se l’approprier. Parce que oui, qu’importe le temps que ça durera, qu’importe le nombre de minutes, d’heures ou de jours sur lesquels s’étalera ma démence, il m’appartiendra. Complètement. Absolument totalement ! J’userais et j’abuserais de lui à ma convenance, à notre convenance. Je ne lui laisserais le loisir de penser à autre chose, je l’habiterais, en haut, en bas, tout autour. Il serait à moi. Il l’était déjà. Et lorsque je lui indiquais sa chambre, maintenant, mon ton ne trompait pas. La chambre atteinte, je fus déposée sur un lit que je ne voyais même pas, pas plus que la déco ou ne serait-ce que la taille de la pièce. Rien à foutre, mais tellement rien à foutre ! Je ne parvenais plus à décrocher mon regard de lui. Si c’était déjà compliqué à la base, c’était devenu totalement impossible, voir impensable. Je ne voyais que lui, son air concentré, ses doigts s’acharnant sur les boutons d’un short devenu gênant, l’étincelle dans son regard quand ce dernier rendit les armes et qu’il pu m’en délester, glissant le long de mes jambes, et... Bordel, comment ce simple fait pouvait m’exciter autant ? Par anticipation ? J’en pouvais plus d’anticiper ! Je voulais toucher moi aussi, je voulais le goûter ! La mise-en-bouche trop longue n’en avait été que plus enivrante, et lorsqu’il revint vers moi, j’étais affamée. Mes lèvres torturées, les siennes n’étaient pas en reste, tandis que j’accrochais sa nuque, emprisonnais son cou de mes bras, le rapprochant, l'aplatissant tout contre moi. Rien à faire qu’il bataille dans mon dos pour détacher mon soutien-gorge ! Ou si, en fait ! Je voulais le sentir contre moi, sa peau s’écrasant contre la mienne, l’intégralité de la mienne. Aussi je me cambrais légèrement, lui offrant un espace entre le matelas et moi, n’en offrant plus aucun entre son bassin et le mien. Lorsque la dentelle céda, j’étais à deux doigts d’entonner ‘Libéréééée ! Déliviréééée !’ tant sa peau chaude au contact de ma poitrine déjà prête, déjà dressée, électrisa chaque parcelle de mon anatomie, de la plus intime à la plus improbable. Mon crâne résonnait de mon propre sang battant mes tempes, et... Mes mains, mes ongles n’en finissaient pas de remonter sur lui à mesure qu’il descendait sur moi. Mon cou, ma gorge, puis ce sein duquel il s’empara. D’une main j’empoignais une épaule, de l’autre le drap, et me cambrais encore, cherchant, quémandant toujours plus de contact. De légers gémissements avaient remplacés les soupirs, et je pinçais, mordais mes lèvres pour m’en empêcher. J’avais chaud, j’avais déjà incroyablement chaud... Et ce n’était pas fini. Il n’allait m’offrir aucun répit. Malmenant, punissant puis cajolant, il attisait plus qu’il n'apaisait, détruisant un peu plus les quelques bribes de raison qu’il me demeurait, de seconde en seconde. Puis ce fut au tour de mon ventre, ligne directe et étroite vers mes cuisses qui n’en finissaient plus de se plier et se déplier contre lui, autour de lui, caressant, chahutant ce que mes mains n’atteignaient plus ou pas. Lorsqu’il se détacha complètement, emportant mon dernier sous-vêtement, je grognais. Je me surpris à grogner en l’observant si loin, immobile et satisfait. Moi je ne l’étais pas, je ne le serais jamais tant qu’il resterait là à simplement me contempler. Non, c’était terminé ça, ou alors c’était mon jeu à moi. Lui il n’avait pas le droit, lui il devait revenir là. Maintenant !! Jambes légèrement tremblantes, je l’accueillis en leur sein, tandis qu’il revenait à la charge, ses lèvres obéissantes me couvrant à nouveau. D’abord une cuisse, une cuisse qu’il honora avant de la marquer. Je ne l’avais presque pas senti tant j’étais ailleurs et partout à la fois, dans l’anticipation et l’appréhension. C’était comme si tout mon sang avant quitté ma tête pour se diriger juste là, à l’endroit où ses cheveux, parfois, effleuraient un sexe qui demandait tellement plus que ça, désormais. Plus de subtilité, plus de teasing, je voulais le film. Et le film vint à moi. Ses lèvres, sa langue qui savaient parfaitement quoi faire et comment le faire, puis ses doigts prenant possession de moi, me colonisant tandis que je n’étouffais plus rien, ni soupirs, ni gémissements. Une main dans ses cheveux, l’autre contre mes lèvres, je sentais mon corps se cambrer, mes jambes se plier plus s’affaisser sous mon poids. Il allait me tuer. C’était dans ses projets, il ne pouvait en être autrement, il n’y avait plus d’autre explication cohérente ou rationnelle, il voulait me tuer, me brûler vive. Exactement ce que je m’apprêtais à faire à l’instant où il ôta ses doigts pour les remplacer par sa langue, ne m’apaisant qu’un court instant, un trop court, trop bref instant. À me triturer de la sorte il allait me faire lâcher prise trop tôt, bien trop tôt. Et mon bassin qui n’en finissait déjà plus de se mouvoir comme possédé. Au prix d’un courage sortit d’on ne sait où, cette  jambe qui lui avait emprisonné le dos, s’échappa, remonta, et le pied en appui contre son épaule, je m’accordais une petite seconde supplémentaire, un gémissement de plus, encore une secousse, avant de le repousser de toutes mes faibles forces. Ou bien mes forces décuplées, puisque je parvins à l’arracher à mes cuisses, là où mon coeur venait juste de choir, quittant mon sein gauche au profit de mon entrejambes, l’obligeant à retomber sur le sol. Si bien que, de mon emplacement, je ne le percevais plus, et qu’il me fallut bouger rapidement, avec la crainte qu’il ne le fasse plus vite que moi, pour l’atteindre avant qu’il ne le fasse. Quittant le matelas façon boulet de canon, je le rejoignais sur le sol, l’y clouant en m’étalant de tout mon long sur lui, récupérant ses lèvres au passage, me déchainant à hauteur de ce qu’il venait de me faire vivre. Je voulais jouer à mon tour, et surtout ne pas bouder mon plaisir. Ses lèvres avaient quelque chose d’addictif, sa façon de m’embrasser tout autant, mais rien n’aurait su m’empêcher de quitter cette zone pour une autre, et je descendais à mon tour, glissant, trainant, plantant gentiment mes dents par moment, avant d’atteindre cette zone si douce, si chaude, si balayée de veines que je me plaisais à embrasser l’une après l’autre, parfaitement consciente que cet afflux de sang n’avait qu’une seule et même destination : ce renflement toujours coincé dans ce jean. Cette fois, il ne m’en priverait pas, cette fois il ne partirait nulle part, cette fois j'achèverais d’ôter tout les boutons et les restes. Mais avant ça... Avant ça, j’allais le torturer un peu, me contentant de suivre la silhouette de son érection au travers du jean, d’abord de mes doigts, puis de ma bouche qui se plu à ne rater absolument aucun détail, ça aurait été dommage. Je m’y attardais un instant, prenant plaisir à sentir le renflement durcir encore, s’épaissir comme si ça pouvait ne jamais avoir de fin, avant de le quitter brutalement, reculant à genoux jusqu’à ses chevilles, le délestant d’une chaussure, puis d’une autre, d’une chaussette et de l’autre, sans le quitter du regard parce que... Parce que bordel ! J’avais beau le torturer, j’étais moi-même à l’agonie, et rapidement, sans demander mon reste, je remontais à nouveau, pour achever les boutons d’une main, tandis que l’autre cajolait la bête enfermée, allant et venant, plaquant bien le jean autour de la forme désormais très distincte. Si j’avais, dans un premier temps, songé à la débarrasser de son jean, je venais de changer d’avis, n’ayant plus vraiment le courage ou la force d’attendre. Aussi, ma main glissa rapidement contre son abdomen, s’infiltrant, par les boutons largement ouvert, sous le tissu d’un boxer ridiculement inutile, allant récupérer ma surprise contre sa cuisse. Une surprise bien en forme, que j’extrayais délicatement de sa prison avant de la laisser là, reposant contre son ventre, fière et esseulée. Alors je quittais l’intérieur de ses cuisses pour son flanc, déposant ma joue contre son torse, et recroquevillée contre lui, je laissais le bout de mes doigts venir se promener, flatter, effleurer son sexe dressé vers nous. Ils en parcouraient la longueur, tournaient autour, et j’observais ses réactions. Je soufflais dessus, et laissais entendre un léger rire de plaisir, avant de venir, plus franchement, du pouce, en flatter l’urètre. J’avais le pouvoir, et j’adorais ça. Je sentais ses muscles se tendre contre ma joue à mesure qu’elle glissait, elle aussi, presque imperceptiblement à la rencontre de mon tout nouveau jouet. Et lorsque je fus à hauteur, je déposais d’abord mes lèvres en un baiser sur sa pointe, ma main entourant, alors, le reste de son sexe pour y entamer de lents vas-et-viens. Et voilà que je soupirais à mon tour. Mes lèvres s’ourlèrent, ma bouche s’arrondit, j’allais entrer dans le vif du sujet, et surement sentait-il -à défaut de voir- la chaleur de mon souffle si proche de sa délivrance, lorsque je me ravisais. Reculant légèrement, ma joue quitta sa peau, remplacé par mon menton, tandis que je tournais un regard dans sa direction. Et j’espérais que ma voix fonctionnait toujours lorsque je lui soufflais « Astaria... » avant de remplacer mon menton par mes lèvres dans un simple baiser, puis de reprendre ma position d’origine, et d’attaquer, promenant mes lèvres le long de son sexe, l’humidifiant à loisir, une main suivant le mouvement, l’autre ne faisant que caresser très doucement ses testicules, avant de l’inviter dans la chaleur de ma bouche. Il ne pouvait pas voir, juste sentir, ressentir, imaginer, anticiper, craindre, désirer, réclamer et... Well, s’il devait gémir un prénom, autant que ce soit le mien.  
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MessageSujet: Re: Astaria & Joey - But we're the gladiators Astaria & Joey - But we're the gladiators - Page 2 EmptyVen 8 Aoû - 7:05

Joey n'avait jamais été le plus grand fan des cunni. Pour être honnête, cette passion était venu sur le tard, après Ozalee, après avoir réalisé qu'il n'y en avait pas que pour sa gueule et du coup... il avait tenté cette expérience qu'il avait trouvé amusante... voir une fille perdre le contrôle juste à cause de sa langue ça avait quelque chose d'excitant, ça amenait aussi une certaine fierté, une sorte d'accomplissement, parce qu'une fille ne pouvait rien feindre dans ce genre de situation... et c'était le cas de la brune, il était en elle avec sa langue et il aimait ça, sentir ses parois vaginales se contracter autour de lui alors qu'il léchait et s'enfonçait, la goûtant avec un réel plaisir. Il voulait tellement la faire venir au moins une fois avant de commencer, c'était l'objectif qu'il s'était fixé, et à l'entente de ses gémissements, des mouvements de son corps, il sut que ça n'allait pas tardé. Du moins, c'était ce qu'il pensait jusqu'à sentir un pied contre son épaule qui le repoussa... fort. Étendu sur le sol, il était légèrement déboussolé, il avait fait un truc de mal ? La respiration saccadée, il n'eut pas le temps de se relever que le corps de la brune le retrouvait comme un boulet de canon, et il s'étala avec elle dans ses bras sur le sol, il accueillit ses lèvres dans un baiser ravi alors que ses mains caressaient le corps de la brune avec un plaisir certain, il avait voulu connaitre la douceur de sa peau une grosse partie de la nuit, il avait eu envie de la goûter et honnêtement, il n'était absolument pas déçu, mais il en voulait encore, encore un peu plus, elle le poussait à toujours en demander plus et il ne savait même pas dire comment. Sa façon de le regarder ? De l'embrasser ? Il ne savait pas exactement choisir, il savait juste qu'il se sentait juste complètement à sa merci et prêt à tout pour son plaisir. Elle finit par se détacher de sa bouche pour descendre doucement, pour lui embrasser le corps, le mordre, le marquer à son tour, il sentit son ventre se tordre légèrement alors que son sexe gonflait un peu plus, il émit un rire nerveux qu'il ne réussit pas à contrôler, elle allait le rendre fou à faire ça, elle allait le rendre dingue, et le pire, c'était que si c'était à refaire... il était prêt à signer d'avance. Et puis elle le provoqua... à le toucher à travers son jean, à y mettre sa bouche en appuyant, il passa ses mains sur son visage alors que son bassin se soulevait légèrement dans un geste presque automatique. Il voulait être délivré de cette torture si douce, il était presque tremblant, mais il comprenait qu'elle voulait le pouvoir, elle voulait le posséder alors il attendait, la laisser jouer de lui alors que son excitation était à son comble. Puis elle éloigna son corps de lui et il se redressa sur les coudes pour la voir s'affairer à lui enlever ses chaussures et chaussette, il n'avait même pas réalisé, tout son esprit c'était juste focalisé sur elle qu'il n'avait pas réalisé à quel point il était encore habillé, il sourit légèrement. Quand elle remonta enfin, elle détacha le reste des boutons de son jean alors que sa main continuait de caresser son sexe à travers son jean qui lui faisait plus l'effet d'être prisonnier qu'autre chose, c'était vraiment de la torture à ce niveau-là et il grogna de mécontentement. Qu'elle l'achève plutôt que de lui faire subir tout ça. Et elle allait le faire, l'achever sans une once d'hésitation. Sa main glissa contre son abdomen laissant comme une trainée de feu sur sa peau, sa main glissa sous son boxer et elle attrapa son sexe, il émit des propos incohérent tout en poussant un soupir d'aise en sentant sa main si douce contre son érection proéminente qu'elle sortit de son boxer, Joey vit la brune se glisser contre lui, déposant sa tête contre son torse alors qu'elle continuait sa délicate torture tout en... tournant autour de son sexe ? Y avait-il torture plus délicieuse que celle-ci, il voulait seulement qu'elle le prenne dans sa main, ou dans sa bouche ou n'importe quoi. Il déglutit alors qu'un doigt glissait le long de sa verge, il sentit les battements de son corps partirent un peu plus vite, il mordait ses lèvres, il ressentait tant de choses, elle devait être si fière d'elle en cet instant, elle le tenait littéralement, elle l'avait complètement à sa merci. Puis il sentit le visage de la brune descendre et il savait ce qui allait se passer, il retint son souffle alors qu'il sentait son souffle à elle sur le bout de son gland, elle l'embrassa, doucement, alors que sa main faisait enfin ce moment de vas-et-vient pour lequel il se serait damné. Tout allait trop lentement, mais il la laissait faire, avant qu'une fois encore elle ne s'arrête et l'observe. « Astaria... » finit-elle par souffler d'une voix chaude. Il sourit aussi tôt, oh, il lui aurait bien dit qu'il était enchanté s'il avait usage de sa voix en cet instant. Et elle retourna à sa tâche : c'est-à-dire le torture de ses lèvres. Il ferma les yeux alors que son bassin bougeait par moment, oh gosh, il voulait tellement la posséder maintenant. Sentant qu'il ressentait sans doute trop de plaisir, il se redressa quelque peu avant de l'appeler. « Astaria, s'il te plait... » murmura-t-il enfin d'une voix grave et profonde. S'il te plait arrête, s'il te plait, continue, s'il te plait, je veux être en toi. Tant de choses, il ne savait pas trop choisir... enfin, si, c'était fini le teasing désormais. Il chercha son visage avant de la relever jusqu'à sa bouche pour l'embrasser avec délicatesse, il sourit légèrement avant de caresser son nez sur celui de la brune avant de se relever pour la remettre sur le lit, il ouvrit le tiroir de sa table de nuit pour prendre un préservatif qu'il ouvrit de ses dents, il jeta rapidement l'emballage avant de le mettre avec des gestes assurés. Il chercha de nouveaux la bouche d'Astaria pour l'embrasser avec profondeur tout en écartant ses cuisses pour se faire la place nécessaire, oh gosh, elle était vraiment petite, il sourit légèrement en le constatant avant de s'enfoncer finalement en elle tout en poussant un gémissement d'aise, il ferma les yeux en constatant qu'elle était étroite juste ce qu'il fallait. Il déposa son front contre l'épaule de la brune avant de reprendre ses mouvements de va-et-vient, il ne lui fallut plus de dix minutes avant de se décider de changer de positions, il n'avait jamais été le genre de type à n'aimer que le missionnaire, il avait besoin... de pimenter les choses au lit, il se redressa alors avant de glisser ses mains le long des jambes d'Astaria pour lui attraper les mollets et les redresser, il lui tenait les jambes en l'air et la pénétra avec plus de force et profondeur. « Si tu as le moindre fantasme, c'est le moment de le dire parce que je suis prêt à tout faire pour toi ce soir... » finit-il par dire après un mouvement plus profond, une légère pellicule de sueur commençait à recouvrir son corps.
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MessageSujet: Re: Astaria & Joey - But we're the gladiators Astaria & Joey - But we're the gladiators - Page 2 EmptySam 9 Aoû - 3:07

Astaria + Joey
Gladiators
Le torturer ? Non. Le découvrir, oui. Je ne ressentais pas le besoin d’avoir l’ascendant sur lui, essentiellement parce que je l’avais déjà eu et que mon rôle de prof tortionnaire s’était arrêté à peu près à l’instant même où il avait débuté. Parce que, finalement, je n’avais rien fait de magique, j’avais seulement accepté de débuter une danse... qui n’avait jamais pris fin. On dansait encore dans la rue, tout autant dans le taxi, dans l’ascenseur, contre sa porte, et désormais ici. Mon corps ondulait tout autant contre le sien lorsque nous étions dans ce bar que maintenant, sa langue au creux de mes reins. Il n’y avait jamais eu de musique, jamais. Il n’avait fait que m’offrir un rythme et la possibilité de le suivre. Et je n’avais pas fait que suivre, j’avais foncé. Dans ses bras, puis entre ses draps, même si, techniquement, ses draps je ne faisais que les tordre puis les quitter, leur préférant le sol ou qu’importe où il se trouverait, lui. Je n’aurais su l’expliquer et je ne le souhaitais pas non plus. Parce que ça aurait nécessité une forme de réflexion dont mon cerveau n’était plus capable, parce que ça m’aurait obligé à penser, et là, tout de suite, c’était probablement la dernière chose que je souhaitais faire. J’ai réfléchis pendant vingt-cinq ans de ma vie et... Rien. J’éteignais mon cerveau une toute petite seconde, et... Ça ! Alors, en toute objectivité, pourquoi voudrais-je me remettre à penser ? Donc non, il ne s’agissait pas de torture. Peut-être un peu de curiosité, mais surtout et avant tout un besoin de savourer, déguster, découvrir tout ce que j’avais raté jusque là. Pour commencer : son sexe. Et puisque je l’avais laissé agir à sa guise dans mes entrailles, j’espérais bien qu’il aurait la courtoisie de me laisser profiter à mon tour. Après tout, j’avais presque été prise de convulsions sur le lit, j’étais presque morte sous ses assauts, il pouvait bien me laisser jouer à mon tour, non ? Non. Ou alors, j’avais perdu la notion du temps, ce qui était possible aussi, finalement. Puisque j’eus le sentiment de ne l’avoir en bouche que depuis quelques secondes lorsqu’il m’appela. Merde, je savais bien que j’aurais du garder mon prénom pour moi. Quittant la zone sud une petite seconde pour l’observer, prendre la mesure de son regard implorant, j’hésitais un petit instant, oscillant entre mon envie capricieuse de rester là, à cet exact et même endroit afin de poursuivre mon exploration, ou accéder à la requête de ses yeux et remonter jusqu’à lui. J’optais pour la troisième option, celle incluant les deux premières. Je saluais ma nouvelle amie une dernière fois, puis remontais jusqu’à lui, reprenant ces lèvres qui me revenaient de droit. Des lèvres qui se plaisaient, de leur côté, à un court répit, perdant en voracité pour gagner en délicatesse, sans rien gâcher de cette intensité qui couronnait, encore et toujours, le moindre de nos échange, de l’effleurement d’un simple doigt à un rire contre sa bouche. Un rire amusé et nerveux, aussi, un peu, tandis qu’il frottait son nez contre le mien tout en nous relevant. Mon dos rencontra à nouveau le drap, et j’en grognais de contrariété et satisfaction. Je ne savais plus exactement ce que je ressentais, bon ou mauvais, c’était seulement fort, trop fort, et violent, très violent. J’avais envie de tout et son contraire, j'accueillais tout avec désoeuvrement et ravissement. Bordel c’était quoi mon problème ? Je perdais la tête. Fallait pas qu’il s’éloigne. C’était trop froid lorsqu’il n’était pas là. Pas même une seconde, pas même pour enfiler ce foutu bout de latex, pas même pour... Ha oui, non, c’est bon, il revenait. Les bras noués autour de sa nuque, je le gardais en captivité, lui laissant le loisir d’agir à sa guise en bas du moment que j’avais le haut, tout le haut pour moi. Je le sentis à peine écarter mes cuisses, je le faisais presque automatiquement, mais lorsqu’il entra en moi, dévastant tout sur son passage, conscience et raison, je relâchais sa bouche pour laisser échapper un juron dans un gémissement. Son visage se rangea contre mon cou, et mes mains s’en allèrent immédiatement s’emparer de sa nuque offerte. Une main arrimée là, l’autre progressait dans son dos, dérapant, caressant, pinçant en s’accrochant en fonction des mouvements et du rythme qu’il nous imposait, à ma main et moi. Si je le sentais m’emplir, ce ne fut rien comparé à cette sensation de débordement lorsqu’il releva mes jambes pour me posséder encore plus profondément, plus vigoureusement aussi. Seigneur, mon corps allait se démanteler. Il allait se déchirer, abdiquer à force de tressauts, de cambrures, et de contorsions. Car à chaque nouveau coup de rein, c’était les miens, de reins, qui accusaient le coup, déversant un torrent de lave dans mes entrailles, et ce choc électrique continuel et répété. Je fermais les yeux, mais comme dans les montagnes russes, c’était pire ainsi. « Si tu as le moindre fantasme, c'est le moment de le dire parce que je suis prêt à tout faire pour toi ce soir... » Tout faire ? Achève-moi, ressuscite moi, et achève-moi encore, autant de fois que nécessaire, jusqu’à ce que mes jambes lâchent et que mon coeur claque. C’est ce que j’aurais voulu lui répondre, mais voilà, je n’avais plus de voix, plus de souffle, plus d’esprit non plus. À la place, entre conscience et inconscience, je m’entendais lui répondre « J’m’en fous... Mais t’éloignes plus... » une de mes jambes s’échappant de son étreinte, et mon pied contre sa nuque l’invitant à revenir contre moi. J’avais besoin de sa peau, j’avais besoin de sa chaleur, et non, je ne l’expliquais pas. De nouveau au contact d’un peau à peau, je quémandais ses lèvres, je quémandais un baiser qui ne ressemblait plus vraiment à rien, et me redressais, l’entrainant avec moi. La position de l’étoile de mer, c’est bien sympa, mais pas pour moi, aussi je m’employais à l’asseoir et le chevaucher avec la difficulté supplémentaire que je refusais catégoriquement de le laisser sortir de moi. Alors je le bloquais, me contractant tout autour de lui, jusqu’à être parfaitement sur lui et pouvoir, non pas mener la danse, mais danser avec lui. Et dans un sourire, je me soulevais, puis me rabaissais, je me soulevais et me rabaissais, soulevais, rabaissais, soulevais, et « Toi, tu veux quoi ? » je soufflais, haletante, à son oreille. Parce que voilà, moi j’ai tout ce que je voulais sans même le savoir, parce que j’ai toujours été confinée dans cet épais brouillard m’insensibilisant, me laissant croire que c’était ça, la normalité, ma normalité. Et puis il y a eu ce gars, pas le genre que je rencontre habituellement, pas le genre qui s’intéresse à moi, mais un de ceux qui traverse la vie sur une ligne parallèle à la mienne, symétrique et isolée. Et pourtant, ce gars-là, il m’a vu. Il m’a vraiment vu. Il a tourné la tête, rompu son cou, dérivé de sa trajectoire. Il m’a vu. Il m’a laissé entendre, m’a permit de croire que j’étais quelque chose, que j’étais spéciale. Que j’étais précieuse. Alors oui, toi tu veux quoi, parce que tout le reste, je m’en fous.   
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MessageSujet: Re: Astaria & Joey - But we're the gladiators Astaria & Joey - But we're the gladiators - Page 2 EmptyDim 10 Aoû - 4:50

C'était intense, c'était comme si un fil le reliait à la brune, un fil solide qui le poussait à... toujours être auprès d'elle, la toucher, l'embrasser, c'était étrange, mais il ne combattait pas son envie impérieuse de la découvrir de toutes les façons possibles. Cette passion il ne l'avait pas connue jusqu'à présent, ce feu qui s'était allumé dans son ventre ne s'était pas encore éteint, juste... attisé, et il le poussait à vouloir toujours un peu plus, mais il ne voulait pas non hâter les choses, il voulait déguster chaque instant parce que quelque part dans son coeur, il savait qu'une fois le soleil levé, la brune allait... récupérer ses esprits, retrouver sa conscience et juste partir sans se retourner... alors ce soir, juste ce soir, il la voulait pour lui, juste pour lui de façon la plus complète, dans la noirceur de la nuit, de sa chambre, il voulait faire d'elle la Reine de son lit, de son être. Et elle savait commander, elle savait le torturer, le rendre fou de sa bouche encore plus qu'avant, elle contre son sexe s'amusant à le découvrir était à la fois une torture et un délice, son sexe était tant gonflé, mais il ne voulait pas... il voulait être en elle maintenant, alors il la supplia de sa voix, elle l'observa hésitante, clairement, elle souhaitait continuer à le rendre fou... alors elle embrassa son sexe une dernière fois avant de l'embrasser sur les lèvres, il grogna contre ses lèvres avant que ses doigts ne glissent contre sa peau, dans son cou, dans sa nuque, contre sa clavicule, contre un sein, il devait être en contact direct avec sa peau, le plus possible, tout le temps, il l'obligea à se relever avant de la pousser vers le lit, il se débarrassa de son jean et de son boxer avant de la rejoindre rapidement, non sans avoir pris de quoi se protéger avant. Il prit le temps de se protéger et il entendit Astaria grogner, même sans parler, elle arrivait à se plaindre, il l'observa avec un petit sourire et lorsqu'il revint vers elle, les bras de la brune s'emparèrent de sa nuque, elle aimait le contact, elle le réclamait avec tant de force qu'il se faisait un plaisir de répondre à ce caprice de toujours avoir un maximum de contact physique avec elle, et il combla aussi son désir personnel en rentrant enfin en elle pour la posséder, elle jura légèrement et il sourit en entendant son français, elle ne l'avait sans doute même pas réalisé. Il se mit à tenir le rythme, pas trop rapide, très profond par contre, s'il allait trop vite, il allait juste exploser avant que les choses ne deviennent vraiment intéressantes... et il avait bien l'intention de faire durer le plaisir, les mains d'Astaria s'accrochait à lui, une dans sa nuque, l'autre caressait, griffait ou pinçait son dos, il grogna contre la peau de son épaule qu'il se mit à inspirer, il suçait, faisait onduler sa langue contre sa peau jusqu'à la marquer à un nouvel endroit, une fois satisfait de ce suçon, il se redressa pour changer de position et la posséder plus profondément, il émit un gémissement profond, la friction de leur sexe était juste délicieuse, il reprit avec plus d'énergie, aimant ce nouvel angle, il se mordit les lèvres avant de parler, voulant s'ajuster à elle et pas juste son propre désir et plaisir. « J’m’en fous... Mais t’éloignes plus... » se contenta-t-elle de répondre avant qu'une de ses jambes ne passe dans sa nuque pour le pousser vers elle, vers son corps, il sourit et se laissa faire tout en arrêtant un instant de bouger mais en refusant d'être hors d'elle. Elle chercha ses lèvres et il répondit aussi tôt à son baiser, mais elle finit par vouloir se redresser et il l'aida non sans peine, l'un comme l'autre avait du mal à quitter la peau de l'autre, ce besoin ardent de toucher l'autre était sans doute étrange, mais il le comprenait, dans le fond de ses entrailles, il comprenait pourquoi, c'était juste son esprit qui avait du mal à comprendre la logique de la chose. Assise sur lui, elle se souleva pour se rabaisser, il gémit tout en posant ses mains sur les hanches d'Astaria pour l'aider à faire le mouvement. Oh, elle était si délicieuse, il se mordit légèrement la lèvre alors qu'elle venait de se rabaisser avec un peu plus de force. « Toi, tu veux quoi ? » souffla-t-elle haletante. Il rigola alors qu'il venait de faire un mouvement de bassin pour pouvoir provoquer une friction plus profonde. Il chercha soudain ses lèvres en arrêtant un court instant de bouger. « Toi, juste toi, toute la nuit si possible... » avoua-t-il dans un souffle court avant de se remettre à bouger. Il ne voulait plus sortir d'elle, il voulait être en elle parce qu'il était intimement persuadé que c'était la place qui lui revenait de droit. Il resserra ses mains autour du corps de la brune, elle semblait si petite contre lui qu'il ressentait juste un immense sentiment de protection, de douceur à son encontre... marié à une passion qui ne se taisait pas, il pouvait être en elle autant qu'il voulait, cela ne semblait toujours pas être assez, il continuait de la vouloir avec la même force que quand ils étaient encore sur la piste de danse, il la serra un peu plus fort contre lui, pour que chaque centimètre carré de son corps soit recouvert de celui d'Astaria. « Levrette ? » demanda-t-il soudain lorsqu'il réalisa qu'il voulait augmenter le rythme que cette position ne permettait pas. Il se rapprocha du visage de la française pour la couvrir de baiser, il mordilla un instant sa mâchoire avant de rechercher ses lèvres encore et toujours, oh clairement, il avait envie de refaire cette position un jour... avec elle encore si possible...
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MessageSujet: Re: Astaria & Joey - But we're the gladiators Astaria & Joey - But we're the gladiators - Page 2 EmptyLun 11 Aoû - 7:12

Astaria + Joey
Gladiators
Il était beau. Incroyablement beau. Et pas seulement dans la lumière diffuse d’une rue qu’on percevait par-delà les rideaux, pas seulement nimbé dans cet halo bleuté, pas seulement dans la symétrie de ses traits, dans l’esthétique d’un corps trop bien fait, non... Il était beau du dedans. Je n’aurais su expliquer comment je voyais ça, ni pourquoi je percevais les gens de cette manière-là, mais quand bien même mon oeil était avant tout esthétique, repérant la beauté dans l’inertie ou le mouvement, dans l’angle ou le linéaire, j’arrivais, et je ne sais toujours pas comment, à voir les gens. À les voir vraiment. Pas juste un peu, pas seulement dans ce qu’ils voulaient bien montrer d’eux. J’avais ce pouvoir bizarre que ma mère nommait ‘mystérieux’ de percevoir les gens pour ce qu’ils avaient au fond d’eux. Et lui, il était beau, incroyablement beau. Beau dans sa manière de m’accrocher, beau dans sa manière de me toucher, me contempler. Je le connaissais depuis trois minutes, mais... J’avais soif de son beau. Il ne me baisait pas, parce qu’il n’existait aucune forme de vulgarité dans ce que nous faisions, il ne me faisait pas l’amour non plus, puisque ce sentiment n’avait pas de raison d’être entre nous, mais il me possédait. Oui, c’était ça, il me possédait, il s’appropriait mon corps et tellement plus que ça, aussi. Sa façon de me marquer n’en était qu’un exemple de plus. Sa bouche sur l’intérieur de ma cuisse, ses lèvres dans mon cou, autant de marques que je découvrirais au matin et qui me prouveraient que tout ceci avait bien été réel. Des marques qui me suivraient sur plusieurs jours, comme son odeur, son touché, la sensation de son corps dans le mien, et cette absolue conviction d’appartenance. Parce qu’il y avait de ça, pas vrai ? On ne pouvait pas s’offrir de la sorte et espérer se récupérer toute entière au matin. Qu’importe ce qu’il adviendrait demain, j’en serais changée à jamais. Pas de manière incroyable ou spectaculaire, je serais toujours Astaria, mais j’aurais ce détail en plus, ce souvenir, cette marque que j'emmènerais partout avec moi. Il n’en avait peut-être pas encore conscience, mais moi je le savais déjà. Je n’avais certainement pas son expérience, mais ça aussi je le savais, ça ne pouvait pas être aussi intense, ça ne... Ça n’avait jamais été comme ça. Avant lui. Jamais. Après lui, certainement pas non plus. Parce que c’était dévastateur, n’est-ce pas ? C’était irrationnel aussi. Il débloquait un truc en moi, m’informait de tout ce que je ne savais pas encore. Pas physiquement, pas mécaniquement, ça, je savais tout ce qu’il y avait à savoir sur le sujet... mais intérieurement. Comme si sa peau parlait à la mienne, comme si son corps appelait le mien... Et je me retrouvais dans l’incapacité la plus complète de ne pas le réclamer, tout entier, dans son intégralité, dans son immensité, contre moi, tout contre moi. Pas seulement en moi, non, même ça ça ne suffisait pas. Il fallait qu’il soit là, à portée de main, à portée de bouche, la chaleur de sa peau apaisant et agaçant la mienne. Tout à la fois. Peut-être me découvrais-je capricieuse, mais c’est ce que je réclamais lorsqu’il m’interrogeait sur ce que je désirais. Je ne voulais rien d’extraordinaire, ni position téméraire, ni acrobatie improbable, juste lui, lui tout proche et plus jamais aussi éloignée de mon corps. Je voulais sa force tout autour de moi, et non contente de la réclamer, je venais la chercher. Tout ce que j'entreprenais découlant d’un besoin quasi vital et urgent, je ne faisais plus preuve d’aucune patience, et malgré le poids de son corps contre moi, j’exigeais plus, toujours plus, et me redressais avec son aide, optant pour une position qui m’offrait tout à la fois, la proximité et le plaisir qui ne cessait d’assaillir mon être. Et lui, il voulait quoi ? Parce que c’était la véritable question, ô combien plus importante que ce que moi je souhaitais, puisque tout ce que je souhaitais sur l’instant, je l’avais déjà. Son coup de reins me surpris autant qu’il me ravit, déclenchant le jaillissement de cette lave qui menaçait de m’engloutir totalement. Arrête tes conneries, bon sang, ou tu me perds temporairement. « Toi, juste toi, toute la nuit si possible... » souffla-t-il contre ma bouche dans un court instant de répit. Mais je m’en foutais, il pouvait bien m’achever à coups de reins, son souffle venait de m’apporter tout ce dont je pouvais encore avoir besoin. En temps normal j’aurais ri, je me serais moqué, aurais pointé du doigt une phrase type dont il aurait déjà usé à de très nombreuses reprises, mais... non, pas cette fois. Parce que c’était réel, c’était serein. Ça aussi je le savais, je le voyais, juste sous mon nez, dans ses yeux et dans ses mains. Il me voulait moi, et il m’avait déjà. Il ne le savait pas encore, c’est tout. Ça viendrait, bientôt, il comprendrait... Ses bras enserrant mon corps, je m’abandonnais à son étreinte, m’accordant une légère pause dans mes mouvements, calmant le jeu avant d’avoir à crever sous ses yeux. Une pause toute relative, puisque je prenais plaisir à alterner entre contractions et ondulations, le gardant bien au chaud m’emplissant complètement. J’haletais contre son cou lorsqu’il souffla ce « Levrette ? » qui me tira un éclat de rire incontrôlé. Un éclat de rire qu’il fit taire de sa bouche sur la mienne, me clouant sur place comme il savait si bien le faire. « Pouple ? » je contre-proposais lorsqu’il me permit de respirer à nouveau. Et joignant le geste à la parole, j’étendais jambes et bras tout autour de moi, façon étoile, avant de tout refermer sur lui à la manière d’un poulpe, une moue irrésistible aux lèvres, capturant sa proie. Un bras en travers du dos, l’autre s’enroulant autour de sa nuque, une main finissant dans ses cheveux, l’autre sur une épaule, les deux jambes cadenassant son bassin, je me laissais aller à rire à nouveau. « Poulpe. » j’affirmais une dernière fois, comme pour achever ma leçon, avant de relâcher la pression, légèrement, mes mains retournant encadrer son visage tandis que mes lèvres prenaient, une nouvelle fois, possession des siennes. Oui, je savais ce qu’il voulait, et oui, j’allais le lui offrir. Mais avant, je voulais me sustenter, et si possible me sevrer temporairement de cette promiscuité que j’avais réclamé et dont j’allais me priver. Délassant mes jambes de son bassin, je ramenais mes genoux contre le matelas, et d’une pression de mon corps contre le sien, je nous projetais sur les draps. Sur lui, je ne le quittais pas d’un centimètre, gardant mes lèvres dans son cou, électrisant, mordillant ou simplement soupirant contre cette peau tandis que je me remettais en mouvement, montant et descendant autour de cette érection qui n’en finissait pas, l'intégralité de mon corps frottant le sien avec ferveur, avec cette même dévotion que j’aurais tout aussi bien pu mettre dans un culte. Et lorsque je su que je ne pourrais pas aller plus loin sans m’énerver davantage, sans perdre pied et raison, et réclamer le plaisir pur, le plaisir brut, je m’arrachais de lui. Dans un mouvement plus ample que les autres, je le glissais hors de moi et m’en mordais immédiatement la lèvre de frustration. Bordel, c’était vraiment possible d’être autant en demande de l’autre ? Autant en manque de l’autre après seulement un dixième de seconde ? Sans perdre de temps, fébrile, agitée et vraiment pas sevrée, je me détournais de lui, lui tournant le dos afin de lui offrir une vue imprenable pour ce que j’avais, justement, à lui offrir. M'aplatissant sur les draps, surélevant mes reins, je l’invitais à reprendre possession des lieux sans tarder. Et à prendre soin de moi, également. Prends-moi. Ne laisse aucun doute. Proclame-moi. Make me yours.   
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MessageSujet: Re: Astaria & Joey - But we're the gladiators Astaria & Joey - But we're the gladiators - Page 2 EmptyMar 12 Aoû - 23:32

Il devait la toucher, tout le temps, sans arrêt, c'était... plus fort que lui, il devait... la faire sienne, il devait la caresser, la posséder, être en elle, être sur elle, partout. C'était bien là le problème, il se sentait accro à elle sans réellement la connaître, c'était terrassant mais au lieu de se fier à son trouble ou à sa crainte de s'abandonner de la sorte, il fonçait juste tête baissé, sans une once d'hésitation, sans avoir le moindre regret. Il demandait son corps, il recevait et il n'était pas prêt de la laisser glisser hors de ses bras et son emprise. Et elle le réclamait avec autant de force, elle exigeait leur proximité, elle voulait cette intimité avec la même force dévastatrice. La danse qu'ils effectuaient dans leur ébat ne laissait pas spécialement place à beaucoup de mouvements, parce qu'ils étaient trop proche, mais au final, ils préféraient l'un comme l'autre être à porté de caresses immédiates. Joey réclamait le corps d'Astaria, il pouvait autant être tendre, mais parfois plus intense ou être plus avide, elle faisait naitre en lui tant de sentiments controversés, comment avait-elle eu ce pouvoir sur lui ? Il n'en avait aucune idée, mais il avait rendu les armes il y a longtemps de toute façon. A l'instant où leur bouche s'était unie dans cette boite de nuit, le monde autour d'eux n'avait fait que disparaitre, le son aussi, tout ce qu'il restait dans les oreilles de Joey à ce moment-là c'était les battements de son corps et le souffle d'Astaria. Et encore maintenant, il était incapable de se concentrer sur autre chose qu'elle, juste elle. La marquer sienne, juste cette nuit il voulait être possessif, il voulait connaître chaque courbe de son corps, savoir où elle aimait être touchée, comment elle aimait être prise, il voulait satisfaire chaque désir avant même qu'elle ne les expose, mais au bout d'un moment, il voulait juste... il allait exploser, littéralement, il le sentait dans son bas ventre, tout était trop bon pour que cela dure éternellement, et il avait besoin d'augmenter le rythme et gosh, il voulait tellement la prendre différemment pour pouvoir aller enfin plus vite, il souffla d'un regard brillant son levrette et la seule réponse de la française fut de rigoler. Il sourit à son tour, surpris au début, puis se laissant porter par sa bonne humeur tout simplement. « Poulpe ? » contra-t-elle avant de lier geste et parole, il se sentit prisonnier mais se laissa simplement faire, déposant sa tête dans son cou pour humer simplement son odeur, il dégagea ses cheveux et l'embrassa un instant, très simplement, c'était si doux et serein par rapport à tous leurs autres baisers... mais c'était ce qui le rendait encore plus intime quelque part. « Poulpe. » finit-elle par redire alors que le corps de la brune encadrait complètement le sien. Il déposa ses mains sur les hanches d'Astaria avant de s'enfoncer de façon plus profonde, il poussa un grognement de satisfaction, ok, il aimait bien cette position, vraiment, il pourrait pleinement s'y faire. Mais la brune reprit le dessus en les faisant basculer sur le lit, toujours au-dessus, elle faisait des va-et-vient pendant qu'il fermait les yeux pour savourer la sensation de son vagin contre son sexe, il se mordit simplement les lèvres alors que ses mains s'emparaient de ses fesses pour les malaxer faiblement dans une caresse lascive. Encore, c'était ce que ses yeux criaient. Encore. Et finalement, dans un geste plus ample, elle sortit de lui et il poussa aussi tôt un grognement rempli de frustration. Pourquoi ? Non, non, non, il se redressa aussi tôt pour toucher son corps de ses mains, puis il comprit en la voyant s'offrir à lui d'une nouvelle façon... « Levrette » soupira-t-il alors que ses mains s'emparaient le plus rapidement possible de ses hanches avant de tendre son sexe encore gonflé en elle. Oh gosh, il resta là un instant, savourant le fait d'être de nouveau à cet endroit, c'était sa place ! Qu'elle ne lui retire plus sans le prévenir au préalable ! Satisfait, il se mit à bouger doucement avant de se pencher en avant pour glisser une de ses mains sur son dos dans un premier temps avant de glisser jusqu'à un sein qu'il malaxa, pinça, caressa, dépendant de la profondeur de sa pénétration. Puis il augmenta le rythme, plus vite, toujours, une de ses mains la tenaient par la hanche tandis que l'autre était tout simplement posée sur son coeur pour l'entendre battre, puis ferma les yeux avant de sentir son plaisir arriver à son paroxysme et il explosa mais n'arrêta pas pour autant de bouger tout de suite, oui, il était lessivé, mais il n'était toujours pas prêt à s'arrêter d'être en elle. Les battements de son coeur se calmèrent alors petit à petit et il déposa son front sur le dos d'Astaria tout en s'arrêtant et en reprenant son souffle. Il sortit d'elle avec cette même frustration et il se mit sur le dos, étendu et il l'attrapa pour qu'elle se couche sur lui, il lui caressait le visage, le bas du dos, le bras avec le sourire le plus satisfait au monde. « Est-ce que... » commença-t-il hésitant avant de se mordre les lèvres, sa voix le surprenant quelque peu, elle était différente non ? Il se sentait lui-même différent de toute façon. « Enfin, est-ce que tu veux un truc pour dormir, un t-shirt ou quoi ? Ou autre chose ? Fumer ? Boire ? Savoir où sont les toilettes ? » proposa-t-il incertain de ses paroles, est-ce qu'il voulait qu'elle s'habille ? Non, il voulait dormir en sentant son corps nu contre le sien. Mais il ne voulait pas être un connard en ne lui proposant rien du tout.Il se redressa quelque peu pour se défaire du préservatif plus qu'usagé. « Je dois aller le jeter... » finit-il par dire avant d'indiquer une porte dans sa chambre qui lui permettait de rejoindre la salle de bain plus vite.
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MessageSujet: Re: Astaria & Joey - But we're the gladiators Astaria & Joey - But we're the gladiators - Page 2 EmptyMer 13 Aoû - 6:16

Astaria + Joey
Gladiators
« Levrette. » J’aurais bien laissé échapper un nouveau rire, mais... pas là, non. Là, je n’étais juste pas en état. Plus en état de rien, finalement, si ce n’est attendre, espérer, geindre et soupirer. Je n’en pouvais plus. Ce n’est pas que je n’en voulais plus, au contraire j’en voulais encore plus, mais mon corps ne le tolérerait pas, mon coeur ne le supporterait pas. Il y avait eu quelque chose d’évident dans chaque chose que l’on avait entreprit ensemble. L'échéance aussi, était évidente. Parce que ça ne pouvait finalement pas durer toujours, ce n’était pas prévu pour durer toujours. Nous avions déjà repoussé les limites, redessiné les frontières, mais on ne pourrait pas défier la nature. Mon corps était programmé pour s’envoler, et rien ne pourrait plus l’empêcher, même la force de ma volonté. C’est pourquoi j’avais changé de position, parce que je l’avais sentis, cette échéance, elle avait été là, bien visible, trop évidente tandis que j’ondulais sur son corps. Ce n’était pas supposé se dérouler ainsi, j’avais prévu de céder à sa requête, de lui octroyer cette position qu’il m’avait réclamé avant que je ne l’empoulpe. Alors j’avais agis précipitamment, parce qu’on avait plus le temps, j’étais une bombe à retardement, mais surtout et avant tout parce que m’arracher à lui, anticiper ce vide en moi, c’était si inconcevable que j’avais appliqué la théorie du sparadrap. Un coup sec. Et la croupe en l’air, j’implorais pour qu’il y revienne. Aussi sec. Il ne tarda pas, et presque aussi agité et fébrile que moi, se réinstalla dans mes entrailles, comblant le vide qu’il y avait laisser, me permettant de me sentir à nouveau... complète ? Étrange sentiment sur lequel je ne m’attardais pas, préférant me concentrer sur la douce et brutale sensation de son sexe m’emplissant, me caressant de l’intérieur, sans pour autant parvenir à me combler totalement. Le serais-je jamais ? Avec lui, j’avais le sentiment que c’était impossible. Pas que je ne prenais pas de plaisir, j’en prenais trop au contraire. Le trop est l’ennemi du bien, disait... j’sais plus qui, on s’en fout. Le bien, on s’en satisfait, on s’en contente. Le trop est violent, il est brutal, il submerge et distille le manque. Alors non, je savais d’avance que je n’aurais jamais trop de lui, justement parce qu’il n’était pas bien, il était trop. Bordel, est-ce qu’au moins ça avait du sens ? Mes pensées s’entrechoquaient, mon esprit se vidait, s’emplissait, se vidait et s’emplissait encore à mesure que son corps faisait de même dans le mien. Et je m’aplatissais davantage, à bout de force, mes coudes ne soutenant plus mon plaisir. Je m’aplatissais, la joue contre le drap, le corps parfaitement plié. Et ses mains... Ses mains... Il allait me tuer. Est-ce qu’il voulait me tuer ? Moi je voulais le tuer. Mes doigts froissèrent les draps, et je ne fus bientôt plus que gémissements, ne lui laissant plus d’autre choix que de m’achever, là, maintenant. Lorsqu’il implosa, mon coeur claqua, ratant plusieurs battements qu’il s’empressa de rattraper à toutes vitesses, c’est ce qui déclencha ma propre jouissance. Pas les battements de mon coeur, non, le simple fait de l’entendre et le sentir jouir en moi. Ça ne me demanda que quelques secondes de plus que lui pour venir à mon tour, mordant le drap pour ne pas gémir trop fort. Dans la réalité ça ne devait être qu’un filet de voix, mais dans ma tête c’était assourdissant, le vrombissement d’un volcan expulsant son magma partout en moi, la brûlure n’émanant pas du sommet, cette fois, mais de la base. Son front contre mon dos, j’aurais voulu le couvrir de tendresse, de cette douceur qui devait toujours, selon moi, succéder à la férocité du plaisir. Mais je ne pouvais même pas, bien trop vidée pour ébaucher le moindre mouvement. J’avais le sentiment d’être un château de cartes, au moindre coup de vent j’allais m’effondrer. Pourtant, le vent se leva lorsqu’il s’échappa de moi, et si je m’effondrais bien, ce fut contre lui, tandis qu’il me ramenait au contact de sa peau, entre ses bras. Et, à cet instant-là, je fis ce que je ne me pensais pas capable de faire, je m’y abandonnais. J’avais froid, j’avais chaud, j’étais pleine et vide à la fois, exténuée et pourtant très réactive, j’étais tout à la fois, mais je m’en foutais, j’étais bien, là, ne touchant que sa peau, jamais les draps. Les yeux grands ouverts je fixais le vide sans rien voir, je ne faisais que... planer. Et lorsqu’il se mit à parler, je sentis sa voix gonfler et se former dans son thorax avant même de l’entendre. « Est-ce que... » hésita-t-elle, cette voix, rauque, presque éteinte. Divinement sensuelle, délicieusement sexy. La voix post-sex. « Enfin, est-ce que tu veux un truc pour dormir, un t-shirt ou quoi ? Ou autre chose ? Fumer ? Boire ? Savoir où sont les toilettes ? » Il y avait quelque chose d’incroyablement troublant et attendrissant dans sa manière de faire. Comme si, justement, il ne savait pas du tout ce qu’il était en train de faire. « Chuuuuuuuut... » je soupirais, ramenant le bout de mes doigts sur ce que j’imaginais être sa bouche, je ne sais pas, je ne voyais pas. « Laisse-moi redescendre... » J’étais encore bien trop high. Il n’obtiendrait rien de moi. Enfin rien nécessitant l’intervention de mon cerveau. Pour le reste, à savoir rester couchée sur lui à m’extasier bêtement des battements de son coeur comme une junkie sous coke, là j’étais parfaitement douée. Alors il patienta... Enfin un peu, avant de se redresser légèrement, occasionnant mon redressage à moi aussi, par la même occasion. « Je dois aller le jeter... » Quoi ? Ho, ça ? Et il attendait quoi ? Ma permission ? Ou peut-être simplement que je bouge. Oui, évidemment. Aussi, après avoir déposé mes lèvres sur le haut de son torse, je roulais sur le côté, lui permettant de se relever et partir faire ce qu’il avait à faire. Profitant de son absence, je me redressais à mon tour, jetant un oeil autour de moi, sur cette chambre que, finalement, je découvrais pour la première fois. Verdict : j’aimais bien. Il avait du goût. Est-ce que le reste de l’appartement était ainsi ? J’avais été dans l’entrée, dans le couloir aussi, il me semble, mais n’avais prêté attention à rien d’autre qu’à lui. M’enroulant dans le drap façon Jules César, je sortais du lit, accusant un léger flanchement de mes jambes. Demain, je ne saurais plus marcher. J’avais soif, j’avais faim aussi, et bien déterminée à trouver quelque chose pour survivre, je quittais la chambre par la porte par laquelle j’étais certaine, enfin je crois, d’être entrée. Objectivement, je ne sais pas vraiment le temps que ça me demanda, mais lorsque je revins de la cuisine, le regard qu’il me lança trahissait un je ne sais quoi qui me surprit. « Quoi ? J’avais faim. » je tentais de me justifier en jetant un oeil à l’assiette sur laquelle reposaient deux sandwichs. « Mais j’en ai fait un pour toi aussi ! T’as vu comme je suis altruiste ? » j’ajoutais, un genou sur le matelas, en lui tendant l’assiette, justement. J’étais nulle en cuisine, mais en matière de sandwichs j’étais la reine. Sérieusement ! Y avait pas mieux que moi. Avec le maigre contenu de son frigo et de ses placards, j’étais parvenue à créer de toutes pièces deux sandwichs thon/avocat/laitue et même des morceaux de pommes pour la petite touche acidulée et surprenante. J’avais même poussé le vice jusqu’à toaster le pain de mie. Ok, je m’étais peut-être absentée un peu longtemps, mais surtout parce que j’avais cherché une boîte de crabe dans ses placards... en vain. Ça aurait été meilleur avec du crabe. « Et j’ai pris de l’eau, aussi. » je concluais, comme s’il s’agissait d’un exploit et que je revenais d’une expédition de huit mois dans l'antarctique armée d’un antitode à ebola. Débarrassée de mes fardeaux que je venais de lui refiler,  je rejoignais le matelas à mon tour. Récupérant l’assiette, d’une main, occasionnant une légère poussée sur son épaule de l’autre, je l’invitais à s’allonger de nouveau, tandis que, à l’horizontale sur le ventre, toujours en toge, je déposais l’assiette sur son torse me faisant clairement office de table. Je voulais pas mettre de miettes sur son lit, ça partait d’un excellent sentiment de ma part. « Dis, mon canard... Tu t’y connais en droit associatif ? » je demandais brusquement, déposant un baiser sur sa peau, avant de croquer dans mon sandwich. Je n’avais pas vraiment réfléchis avant de parler. Si je l’avais fait, peut-être n’aurais-je pas posé cette question qui sonnait comme un prétexte pour le revoir, encore et encore. J’aurais pu tout aussi bien lui avouer que je n’avais jamais connu un truc pareil, que de vagues intenses s’échouaient encore contre mon corps, que j’entendais mon cerveau chanceler dans mon crâne, que je me sentais vide à en chialer depuis qu’il n’était plus en moi, mais... À la place, je préférais lui préparer à manger et lui parler de droit. Comprendra qui voudra.    
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MessageSujet: Re: Astaria & Joey - But we're the gladiators Astaria & Joey - But we're the gladiators - Page 2 EmptyVen 15 Aoû - 3:10

Joey était vidé, littéralement, et il était heureux, il était euphorique, le moment post-orgasme, il se sentait toujours heureux, mais il atterrissait vite sur terre, mais il ne savait pas vraiment quoi dire. En général, ses premiers propos pour la gente féminine était plus de l'ordre du "dégage", "tu retrouveras la sortie ?", "j'ai un truc à faire très tôt demain...", ouais, le genre de truc très classe, sauf que là, il venait de partager quelque chose de si... intense que se séparer de son corps n'était toujours pas possible. Déjà durant tout leur échange la moindre distance entre eux avaient été pesante, mais là, non, il la maintenait contre lui, près de lui, il touchait sa peau de toutes les façons possibles et inimaginables. Soupirant d'aise un moment avant que son esprit et ses pensées ne se remettent en marche. Il ne savait pas trop quoi dire ou quoi faire, ce genre de situation ? C'était clairement exceptionnelle mais il tentait... que ça ne se voit pas trop, il était prêt à lui offrir tout ce qu'elle désirait, à boire, à manger, la direction des toilettes, elle n'avait qu'à exiger, il pourrait faire l'effort de se plier en quatre pour elle. « Chuuuuuuuut... » fut sa seule réponse. Il sourit légèrement et remonta sa main le long du dos de la brune, la touchant à peine du bout des doigts, la brune tenta de le faire taire de sa main, il lui embrassa doucement le bout des doigts dans un geste tendre et rempli d'affection. « Laisse-moi redescendre... » tout ce qu'elle voulait, il ferma un instant les yeux avant de réaliser qu'il avait toujours le préservatif et qu'il avait toujours détesté cette sensation, il tenta de se redresser légèrement mais avec Astaria encore sur lui, ça s'annonçait... compliqué. Cependant, elle dut comprendre le message car elle bougea enfin, non sans avoir embrassé son torse au préalable. Le jeune homme se redressa alors et se retrouva dans la salle de bain, il en profita pour pisser et aussi regarder s'il avait une quelconque marque dans le cou, il n'avait pas envie de commencer sa première semaine de boulot avec son père avec un gros suçon, son père le tuerait à tous les coups... mais ça allait, juste... des petites marques, mais rien de compromettant. Il se passa un peu d'eau sur le visage avant de revenir dans la chambre pour la trouver... vide... elle était partie ? Il cligna des yeux clairement pris au dépourvu, il ne s'était pas attendu à ça, à... gosh, elle était juste partie ? Il se mordit légèrement les lèvres et il détourna le regard. Évidemment. Il avait été con de penser que ce serait différent, ce n'était pas parce qu'il se sentait différent que tout allait changer. Il était entrain de marcher dans sa chambre, ramassant ses affaires afin de s'occuper l'esprit et le corps, et c'est en le faisant qu'il remarqua qu'Astaria avait toujours ses affaires chez lui... elle était sans doute partie dans la cuisine... ou elle s'était perdue en chemin... oh, il pourrait tenter de la rejoindre mais ça n'avait jamais été son genre... ni de paniquer, ni de suivre, alors il continua de ranger et il alla mettre ses habits dans la corbeille et plier ceux d'Astaria pour les mettre dans un coin, il mit son pyjama qui consistait juste à un pantalon de pyjama bien large qu'il enfila avant de se mettre sur son lit, allumer la lampe de chevet pour se mettre à lire en attendant qu'elle revienne... si elle se décidait à revenir... peut-être qu'elle préférait dormir dans son fauteuil ? Il lançait de temps en temps des regards agacés vers la porte, elle en mettait du temps, et son impatience touchait à sa fin, il était prêt à aller la chercher et à la ramener près de lui, mais elle finit par enfin revenir avec une assiette et à manger... il arqua un sourcil avant de sentir un sourire étirer ses lèvres. « Quoi ? J’avais faim. Mais j’en ai fait un pour toi aussi ! T’as vu comme je suis altruiste ? » il roula des yeux avant de se redresser pour accueillir l'assiette qu'elle lui tendait alors qu'elle reprenait place sur son lit, elle était de nouveau a porté de main et c'était dans le fond tout ce qui comptait. « La meilleure » répondit simplement Joey légèrement moqueur. « J'ai super faim n'empêche, merci » lança-t-il sur un ton rempli de gratitude, il se frotta légèrement le ventre, il priait juste pour que ce soit mangeable et pas infecte. Des gens rataient des simples sandwiches après tout... aka sa petite soeur. « Et j’ai pris de l’eau, aussi. » il sourit, elle avait vraiment fait comme chez elle, tant mieux quelque part, il ne voulait pas qu'elle se sente mal à l'aise de base, donc le résultat était probant, non ? Il se retrouva avec la bouteille d'eau en main et attendit qu'elle soit bien installée pour s'en débarrasser. Sauf qu'à peine sur le lit, elle le poussa en arrière pour qu'il se couche ce qu'il fit tout en arquant un sourcil, un bras passé derrière la tête, il observait simplement la brune qui usait de son corps pour en faire une table. « Dis, mon canard... Tu t’y connais en droit associatif ? » elle l'embrassa rapidement sur la peau avant de se mettre à manger. Joey fronça un instant les sourcils alors que sa main se mettait à glisser le long du bras de la brune. « Suffisamment pourquoi ? » finit-il par répondre le regard brillant de curiosité, il attrapa le sandwiche qu'on lui avait préparé avant de mordre dedans avec appétit. « C'est bon ta connerie » finit-il par dire vraiment impressionné pour la peine. Il aurait voulu se redresser pour au moins l'embrasser, mais son ventre était un peu pris comme repose assiette en ce moment ce qui rendait tout mouvement nul. Il se contenta d'avoir une petite moue frustrée avant de redéposer son sandwiche sur l'assiette et avaler calmement. Il l'observa avec attention, elle s'était fait une toge qui lui allait à ravir... mais clairement, il préférait la voir nue. Sous lui de préférence, soupirante, gémissante, les cuisses écartées pour l'accueillir. « Je te préfère sans drap » lâcha-t-il sans même le réaliser, faisant preuve d'une véritable honnêteté.
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MessageSujet: Re: Astaria & Joey - But we're the gladiators Astaria & Joey - But we're the gladiators - Page 2 EmptyVen 15 Aoû - 22:02

Astaria + Joey
Gladiators
Partir ne m’avait même pas effleuré l’esprit. Non pas que je considère de rester comme un acquis ou que j’ai pris ses mots pour une invitation à demeurer à ses côtés, je ne m’étais vraiment pas penchée sur le sujet. Je n’y avais pas songé un seul instant. Je restais. Point. C’était naturel et évident. Ou bien était-ce mon manque d’expérience qui parlait ? Après tout, les fois précédentes j’étais en couple voir carrément fiancée, alors la question de rester ou de partir ne s’était, bien évidemment, jamais posée. Quoique... Parfois, je l’avais chassé, refusant de dormir avec son corps collé au mien, préférant ma tranquillité à la chaleur suffocante et agaçante de son étreinte. Il n’y avait jamais rien eu d’évident avec Matteo. Que de l’habituel. Et à la lumière de ce qui venait de se passer ici, et dans mon corps, je comprenais m’être plantée pendant des années. Non pas que j’ai pu encore nourrir quelques doutes à propos de mes récentes décisions, disons qu’il était juste rassurant d’en obtenir une forme de confirmation. Alors non, je ne m’étais posée aucune question, et rien de ce que j’avais entreprit depuis que j’avais quitté le lit ne s’était fait avec calcul ou arrière-pensée. J’avais faim : je faisais à manger. J’avais soif : je prenais à boire. C’était aussi simple que ça. J’avais besoin de sa peau : je retournais auprès de lui. Simple. Très simple. Si je ne concevais pas de partir c’est avant tout parce que je ne concevais pas de m’éloigner de lui. Pas encore, je n’étais pas prête. Pas après ça. Je me souvenais lui avoir demandé de ne plus s’éloigner, et ça valait aussi pour moi, et pas seulement à la limite de ses draps. Cela dit, en réintégrant la chambre, sous son regard étrange, je me justifiais en brandissant mon assiette en guise de preuve. J’avais trop pris mes aises ? Ça ne se faisait pas ? J’avais tout à apprendre, finalement, et peut-être que mon trop grand naturel venait de se heurter aux frontières de sa patience ? Son sourire me détrompa, son sourire me rassura, et bientôt je me retrouvais, à nouveau, sur le matelas, réceptionnant ses compliments. « La meilleure » j’étais, selon lui. Bon, bien sûr, il l’avait dit avec moquerie, mais je décidais d’occulter ce léger petit détail sans importance. Et alors qu’il me remerciait pour la nourriture, je brandissais l’eau comme pour justifier le fait que j’étais réellement la meilleure. J’avais pensé à tout. Sauf peut-être à une bonne installation pour manger à mon aise. Du coup, j’optais pour Joey en guise de table. Du deux en un, proximité et utilité. Là, au-dessus de lui, je pouvais me sustenter de toutes les manières de ce soit, mes lèvres tantôt sur le sandwich, tantôt contre sa peau. C’était vital, c’était instinctif, irréfléchi, encore une fois évident et naturel. Tout comme ma question concernant le droit associatif. Pourquoi je lui avais demandé ça ? D’accord, j’avais retenu qu’il était avocat, désormais, débutant mais avocat tout de même. Était-ce une raison pour sauter sur l’occasion et m’offrir ses services ? Les conseillers juridiques ne manquant pas, je n’avais aucune nécessité à le brancher là-dessus, et pourtant... Ça aussi, c’était venu naturellement. « Suffisamment pourquoi ? » me répondit-il, ses doigts allant et venant contre mon bras. Oui, pourquoi Astaria ? Bonne question. Excellente question. « J’aurais besoin de tes services... » je me surpris à répondre tout de même, mon impulsivité ayant clairement pris une décision sans consulter mon cerveau. « C'est bon ta connerie » Quelle connerie ? Je ne lui avais encore rien expliqué. Oh, mon sandwich ? Relevant un oeil vers lui je le remarquais en train de galérer, à moitié allongé, pour ne pas avoir à me déranger moi. C’était ridicule. D’autant plus que, visiblement frustré, il reposa sa pitance dans l’assiette tout en luttant pour avaler. Il allait finir par s’étouffer comme ça, et puisque j’étais nulle en premiers secours, mourir à coup sûr.  « Je te préfère sans drap » me surprit-il alors que j’entreprenais de me redresser. « J’aime pas trop ton pyjama non plus, mais je râle pas. » je m’entendis lui rétorquer sur le même ton. Reposant l’assiette sur le matelas, je m’empressais d’enjamber ma table pour retrouver une position qui rappelait bizarrement quelque chose, lui sous moi, mes genoux encadrant son bassin. Sauf que la dernière fois, j’étais bien moins couverte. Lui tendant ma main, je l’invitais à me rejoindre, et accrochais sa nuque de mes doigts. « Et puis, j’suis Jules César. » je soufflais, sur le ton de la confidence, avant d’attraper ses lèvres qui, étrangement, représentaient un besoin de première nécessité au même titre que boire ou manger. Alors, impressionné ? Jules César, c’est pas rien. « Tiens. Mange sans mourir, s’il te plait. » Récupérant l’assiette, je la lui tendais pour qu’il la tienne tandis que je me réinstallais plus confortablement entre ses jambes. J’y restais une seconde ou deux, immobile, sourcils froncés, avant de décider que non, ça n’allait pas. Trop éloigné. Me redressant, je me relevais complètement, et debout sur le matelas, tentais de déterminer où je devais aller. J’échouais à ses côtés, assise comme lui, adossée à la tête de lit, son épaule contre la mienne, toujours aussi perdue dans mes réflexions. Je jetais un coup d’oeil à ces épaules justement, avant de relever le nez jusqu’à lui. Nop, toujours pas. Me redressant pour la énième fois, je retournais entre ses jambes, mais de dos cette fois, m’en allant coller le mien contre son torse. Je patientais une seconde, puis deux, immobile, attendant que mon corps me donne son avis, puis lâchais un soupir de satisfaction dans un sourire. Voilà, parfait ! J’étais tout contre lui, ma petite silhouette perdue, imbriquée dans l’immensité de la sienne, je pouvais manger, il pouvait manger, personne ne risquait de s’étouffer et mourir. Parfait. « Donc, pour le droit associatif... » je reprenais, comme si de rien était, la bouche pleine et le bout de mes doigts se promenant machinalement sur un avant-bras. « Je suis sur un projet dans le Bronx, la création d’un espace réservé à la jeunesse et la culture. Ça existe en France, en Belgique et au Quebec, mais visiblement pas ici. Et comme il s’agit d’un truc à but non lucratif, il nous faut de l’argent. En France, l’état finance une grosse partie, mais ici... Je ne connais pas les lois en matière d’associations et de financement. » Quittant mon sandwich des yeux, je me tordais le cou et renversais la tête en arrière pour l’apercevoir lui et qu’il puisse comprendre tout le sérieux de ma proposition. « T’es pas obligé de m’aider, d’autant que ce n’est pas payé, mais... » je commençais, très responsable et pro, avant d’achever le tout d’un « ...si je retire le drap, tu dis oui ? » dans un sourire en coin. Et joignant le geste à la parole, je défaisais, d’un geste rapide, le noeud grotesque au-dessus de ma poitrine, invitant le drap à se répandre tout autour de mon buste. Non, c’était pas du chantage, juste d’habiles négociations.    
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MessageSujet: Re: Astaria & Joey - But we're the gladiators Astaria & Joey - But we're the gladiators - Page 2 EmptyDim 14 Sep - 23:43

« J’aurais besoin de tes services... » Joey fronça les sourcils avant de mâcher le sandwiche qu'on lui avait préparé, enfin, qu'Astaria avait fini par lui ramener après ce qu'il lui avait semblé être une éternité. Honnêtement, il ne savait pas trop où voulait en venir la française mais il ne posa pas trop de questions, il n'avait jamais été le genre de gars... à s'impliquer dans quoique se soit ou à faire la moindre promesse, il voulait d'abord savoir ce qu'on attendait de lui avant de foncer tête baissé la première. Il était plus prudent et sur ses gardes qu'on aurait pu le penser. Lorsque la brune remua pour se trouver une place plus confortable, Joey lui fit savoir qu'il n'aimait pas trop son attirail improvisé, il la préférait nue, ça ne faisait aucun doute. « J’aime pas trop ton pyjama non plus, mais je râle pas. » il ricana légèrement tout en déposant ses mains jointes sur son ventre. « Il fait froid » lui rappela-t-il, du moins c'était le cas quand elle n'était pas tout contre lui. Elle écarta l'assiette qu'elle avait prise pour la mettre sur le matelas avant de se mettre sur lui, il arqua un sourcil avant de se redresser suite à sa demande, okay, ça rappelait des choses le fait d'être comme ça, il souriait sans pouvoir s'en empêcher. « Et puis, j’suis Jules César. » « Rien que ça... » fit-il amusé par sa remarque, mais il ne put pas réellement développer car la brune l'embrassait déjà. Lorsqu'elle s'écarta de lui, elle se remit aussi tôt à parler. « Tiens. Mange sans mourir, s’il te plait. » « Quelle attention, ça me va droit au coeur » fit Joey en se remettant à manger, en effet, plus facile comme ça, pas de doute à avoir. Puis l'autre devait vraiment se prendre pour une romaine vu tout le cirque qu'elle se mit à faire pour trouver juste une position qui lui convenait, il servait un peu de cobaye mais bon, si ça pouvait faire plaisir à la brune. Finalement, elle se mit entre ses jambes, son dos appuyé contre son torse, il resserra tranquillement ses bras autour du corps de la brune tout en jouant distraitement avec des plis du drap. « Donc, pour le droit associatif... Je suis sur un projet dans le Bronx, la création d’un espace réservé à la jeunesse et la culture. Ça existe en France, en Belgique et au Quebec, mais visiblement pas ici. Et comme il s’agit d’un truc à but non lucratif, il nous faut de l’argent. En France, l’état finance une grosse partie, mais ici... Je ne connais pas les lois en matière d’associations et de financement. » oh, l'australien devinait ce qu'elle voulait... des informations complémentaires, ça ne devrait pas prendre trop de temps, mais faudrait-il encore qu'il ait ce temps, son père n'allait pas être clément avec lui et il savait qu'il allait devoir faire deux fois plus d'effort que quiconque du coup. Il se mordit les lèvres avec hésitation, il n'aimait pas les promesses... parce qu'il était ce genre de type à toujours faire en sorte de les tenir, alors il n'en faisait pas sans réfléchir à toutes ses options. « T’es pas obligé de m’aider, d’autant que ce n’est pas payé, mais... » ouais en plus... c'était vraiment sur son temps libre quoi... « ...si je retire le drap, tu dis oui ? » finit par dire la brune avant de joindre le geste à la parole tout en se redressant, son regard glissa sur son corps dévoilé, il se sentit sourire alors qu'il écartait définitivement l'assiette sur le sol avant de tendre l'autre main pour l'attirer à lui, il la fit rapidement basculer sur le lit pour se mettre au-dessus. « Je suppose que ça ne coûte rien d'essayer » finit-il par dire dans un soupire avant de capturer ses lèvres dans un baiser avide, autant ne pas trop penser à ses propos, elle avait bien plus et mieux à lui offrir là tout de suite de toute façon. Et son pyjama ne tarda pas à finir sur le sol et son bras partit rechercher un nouveau préservatif dans son tiroir, il lui avait promis toute la nuit si elle le désirait... et il comptait bien l'honorer de cette promesse là aussi.
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