Mon ami David m’avait invité afin de pouvoir le voir pour parler sport. Il était là  à une journée où des joueurs connus allaient jouer pour les enfants. Je roulais donc dans ma voiture dans le but d’aller le voir. Il ne fallait pas être en retard, et je comptais bien le faire. Je me retrouvais alors devant le lieu de rendez-vous, et je me dirigeais pour aller voir mon meilleur ami. Je le saluais de la main, et je lui disais : « Comment va mon meilleur ami ?»[/teal] Je m’approchais de lui afin de pouvoir le voir de plus près, et je lui tendais donc son café. « Tiens ton café, je suis allé le prendre en chemin. Je me disais que tu pourrais en avoir besoin.  » Je lui tendais donc la boisson et je me demandais bien si tout c’était bien passé, je lui demandais : « Tout se passe bien ? Tu t’es fait bien draguer ? » Riant un peu plus, je me demandais bien s’il allait un jour me répondre ou pas sur ce sujet. Je patientais le temps qu’il réagisse, et je réalisais que notre journée allait sans doute être riche en émotions. Les enfants lui tournaient autour, et tout en souriant, je savais qu’il allait devoir sans doute être proches d’eux pour qu’ils s’amusent bien. Je le regardais faire tout cela comme il fallait, et je me demandais bien si je devais ou pas rester vu qu’il avait l’air bien occupé. Je réfléchissais à tout cela tout en sachant que je n’allais pas partir d’ici de sitôt sachant que je voulais rester avec mon meilleur ami pour la journée.

«  Ah oui ? Ah, c’est bien, non ? Cela se trouve, ils vont te dépasser plus tard…» Je me demandais bien comment est-ce qu’il fallait que je suive le tout, mais pour le moment j’aimais bien discuter avec mon meilleur ami. Je réalisais tout en buvant mon café que je devais lui répondre. « Ah tu vas en retrouver une ne t’inquiètes pas pour cela. Tu n’as pas d’ailleurs un interview avec une belle jeune femme ?  » Je suivais donc ce qu’il faisait des yeux, et je m’apercevais qu’il était nécessaire pour moi de continuer à lui parler parce que pour le moment, je désirais juste lui parler. Je patientais le temps qu’il le fasse, et je regardais autour de moi. Je regardais donc ce qu’il fallait que je lui dise, mais je ne pouvais pas m’en empêcher un peu plus : « D’ailleurs, au fait….Tu en penses quo du célibat ? » Voilà, pour le moment, je voulais donc aussi avancer et tout en attendant sa réponse, je buvais un peu plus de mon café et je comprenais que pour le moment, il était nécessaire pour moi de passer la journée avec David rien que pour aussi me changer les idées. J’observais la scène devant moi, et je me rendais compte que tout irait bien mieux si je lui parlais. « Dis-moi, tu penses qu’on va trouver nos âmes sœurs ? Ou est-ce qu’on va rester tous seuls toute notre vie ? » Une simple question qui serait donc assez stupide, mais enfin de compte, j’appréciais avoir une discussion entre hommes. Je patientais donc pour sa réponse, et je lui redemandais : « Après les ballons, tu veux faire quoi ? »

« Ah oui ? On dit que tu es un coureur de jupons ? C’est étonnant cela….» Riant un peu plus, je me disais que la suite serait bien drôle. Je lui disais en riant : « Ah les femmes….On a vraiment du mal à les comprendre. » Et donc, je me demandais bien comment est-ce qu’il fallait que je réussisse à ne pas m’énerver. Je trouvais que notre conversation serait donc assez masculine, et il était nécessaire que je lui réponde : « Bien, tout d’abord, aimer une femme n’est pas forcément un passage ay lit. Deuxièmement, tu aimes cette femme alors tu dois avoir des sentiments pour elle. Tu es un gentleman, et tu respectes cette femme. Alors oui, c’est un peu vieux jeu, mais je trouve que cela fait que tu es unique. Tu l’apprécie mais tu sais attendre, il n’y pas de soucis pour cela.» J’avais dit cela tout doucement, et je tenais donc à ne pas me tromper. Mais pour le moment, je comprenais donc que la suite serait amusante. Je lui disais tout simplement : « Alors, tout d’abord, tu dois te dire que je suis vieux jeu, mais j’aime bien, aussi cet aspect-là. Les femmes sont celles que l’on doit protéger. Tu as de la chance d’en avoir une…. » Pour moi c’était le calme plat, et il fallait bien l’avouer mais j’avais hâte de pouvoir me remettre en selle. Trouvant alors le ballon qu’il m’avait promis, je souriais doucement : «Merci mon ami pour le ballon. Je vais le mettre dans une armoire chez moi. Et pour le bar et le billard, on peut bien le faire oui. Tu en as un en tête ? » Le ballon dans les mains, je regardais patiemment ses coutures, ses couleurs et je lui demandais : « Au fait, tu voudras qu’on aille à la Coupe du Monde de foot ? »

« Toi, un coureur de jupons ? Ah, remarque chacun fait comme il veut, que veux-tu que je te dise ? Si tu ignores ce que les gens disent, oui, tu peux, effectivement faire comme bon te semble. » J’avais dit cela sans réellement me dire que je mettais les pieds dans une drôle de situation. Je préférais ne rien dire de plus et tout en essayant de prendre le sac qui ne contenait rien, je voulais donc mettre la balle nouvellement dédicacée. Je le déposais dedans, et tout en le rangeant, je répondais à mon meilleur ami : « Ah oui, j’avais oublié….Scuse, avec tout le boulot que j’ai, je n’ai pas forcément la tête au bon endroit. Ces temps-ci, je dois supporter plus de conneries au boulot. » Puis interloqué parce qu’il avait dit plutôt, je lui demandais : « Je suis vieux jeu alors ? » Surpris, je me contentais donc de ne pas trop savoir quoi dire ou faire mais, pour le moment, je désirais juste savoir ce qu’il avait dit par là. Je lui demandais ; « Tu penses à quoi là ? » Prenant le chandail, je ne voyais pas trop quoi dire, mais ému de voir que mon ami avait pensé à moi, je sortais de ma poche une petite pochette toute petite. Il s’agissait d’un CD, un comme il aimait bien, tout en prenant le chandail, je le regardais et je lui tendais son cadeau : « Tiens voilà le tien. » Je reprenais mon chandail tout beau, et le glissant dans mon sac je regardais alors prestement qu’on ne me voit pas le faire. Je l’observais donc, et je lui demandais : « Donc, pour Noël tu vas aller quelque part ? »