Rockefeller Center. C'était l'un des endroits qui avait énormément manqué à notre bouclé. En effet, à chaque semaine, lui et ses copains venaient y faire un tour. Surtout lorsqu'il ne sortait pas encore avec Jayless. Or, c'était bien pour regarder les filles qui passait. Il faut s'attendre un peu a tout, il est quand même un garçon, non? D'ailleurs, le jeune homme se rappela son adolescence qui n'était pas très loin derrière lui. Ce dernier marchait plus ou moins lentement, les mains dans les poches avant de son jeans, regardant un peu partout. N'ayant que la belle brune en tête, il préféra n'adressé la personne a personne. Même s'il y avait quelqu'un qu'il connaissait, il jouerait certainement à la personne non sociable. Puisqu'en effet, notre cher bouclé ne voulait que sa belle et personne d'autres. Il entra finalement dans un magasin de sous-vêtement pour femme. Bah quoi? Il pouvait toujours prétexter qu'il venait ici pour faire un cadeau de Noël à sa copine? Quelques femmes l'ont regardés de travers, ne comprenant pas ce qu'un homme pouvait faire ici alors que c'est très bien indiquer «pour femmes» sur la gigantesque affiche au dessus du magasin. À cet instant, sentant les regards fixés sur lui, il baissa la tête se "cachant" dans une rangée. Lorsqu'il releva la tête, la première chose qu'il vu? Une petite brunette. Elle ressemblait drôlement à Jayless ... Mais ce ne pouvait pas être elle. A moins que ... « Jay... ? » dit-il. Ce dernier se mordit la lèvre inférieur, voulant de tout son cœur que cette fille entende. Certes, il n'y eu rien. Que le simple brouhaha des autres femmes. « Jayless Burberry ! » répéta le jeune homme plus fort. Lorsqu'elle releva la tête, son cœur rata un battement. C'était elle.

Cela faisait exactement une semaine que j'avais repris les cours, je dois avouer que rien n'étais comme avant dans le sens que même si Lukàs était partit je n'arrivais pas à l'oublier même s'il me faisait énormément souffrir de son absence .. C'était horrible chacun des objets que je regardais me rappelais un moment où j'étais avec lui. Il fallait que j'arrête, Lukàs était parti et à l'heure qu'il est il doit être à dés kilomètres dans les bras d'une autre fille. C'était décidé je n'allais plus pleurnicher sur mon sort et j'étais sur le point de me releveer de toutes les catastrophes qui c'était passée dans ma vie ces dernière semaines, je décidais d'aller faire un peu les boutiques pour me changer les idées, je marchais dans les allées de chaques magasins quand un soudaine envies de nouveau sous-vêtement me vint à l'esprit. Je rentrais dans le magasin qui était remplie de fille, je trainais dans les rayons en cherchant un ensemble qui me plairait. Il y avait beaucoup de bruit dans ce magasin mais aussi j'étais totalement dans mes pensées, je ne faisais pas attention où je marchais et sans le vouloir je bouscula une femme, je m'escusais aussitôt et je repartis dans un rayon quand soudain j'entendis mon prénom, la voix m'etait très familière ce qui me faisait plutôt bizarre parce que je ne pensais pas rencontrer quelqu'un que je connaisse ici. Je me retournais et là ce fût le choc, Lukàs était là . Je le regardais un instant dans les yeux, je savais pas quoi faire n'y quoi dire, au plus profond de moi je le détestais parce qu'il m'avait laissé tomber au moment où j'avais le plus besoin de lui mais d'un côté je l'aimais toujours, je baissais les yeux au sol un instant : " Tiens un revenant." Dis-je d'un ton froid. Je ne lui laissais pas le temps de répondre, je partis à l'extérieur du magasin, je marchais sans me retourner.

En une fraction de secondes, son cœur avait arrêté de battre. C'était fou comment il pouvait l'aimer comme avant. Or, ce ne devait pas être la même chose pour elle. Avait-elle trouvé un nouveau copain? Le bouclé n'en savait rien, mais il espérait de tout son cœur d'être toujours le seul dans son cœur. Aussitôt, des millions de scènes de leur relation repassait devant ses yeux, le laissant presque le mettre en colère. La dernière fois que ça lui était arrivé, il avait fait une énorme crise. Lukàs remarqua qu'elle n'était pas du tout ravie de le revoir. « Tiens, un revenant ! » Elle avait employé le même ton froid que sa mère avait prise lorsqu'elle a quitté la maison. Ce dernier avait quitter le pays pour la revoir à Londres en même temps de se faire à l'idée que Jay' était de son passé... Les choses avaient tellement changé. Il remarquait que lorsqu'il n'était plus dans le décors, tout changeait. Tout devenait "plus simple". Il n'eu même pas le temps de placer de nouveaux mots qu'elle avait prise la poudre d'escampette. Le bouclé la poursuivit, se mettant devant elle. « Tu veux jouer à ce jeu de mxrde? On va y jouer. » dit-il en la regardant dans les yeux, marchant a reculons, essayant de suivre son rythme. Certes, elle marchait de plus en plus vite ; certainement pour l'éviter. Il s'arrêta, attrapant son bras, essayant le moins possible de la serrer fort, mais assez pour ne pas qu'elle ne le quitte à nouveau. « J'suis pas ici pour te faire du mal, crois-moi. » avoua-t-il, cherchant son regard. Pourtant, il ne retrouvait pas dans les yeux de Jay', le même regard qu'elle avait lorsque leurs yeux se croisaient.

Je m'étais rendu aux magasins pour me changer les idées , en se moment mon cerveau était entrain de complétement débloqué entre tous se qui c'était passée dans ma vie j'avais besoin de repos. Je me balader dans les rayons d'un magasin de souvêtement quand soudain je tombais sur Lukàs, je n'arrivais pas à le croire qu'il était là, je me souvenais toujours de son petit mot me disant qu'il me quittait pour une raison qu'il n'avait jamais eu le courage de me dire, j'étais partit dans une dépression assez importante tout simplement j'avais perdu mon bébé et je venais de perdre mon petit ami donc autant dire que j'avais tout perdu. Je n'avais pas envie d'être chaleureuse avec lui étant donné que j'avais énormément souffert de son absence et s'il pensait que du jour au lendemain tout aller redevenir comme avant c'est qu'il ne me connaissait pas . Je l'aimais toujours mais j'étai très rancunière envers se qu'il m'avait fait, j'étais directement partit dans les allées de tous les magasins pour essayer de l'éviter mais il m'avait rattrapé et marchait avec moi : " De quel jeu tu veux parler ? Attend je vois du quel tu veux parler, tu veux peut-être que je t'écrive sur post-it ? " Dis-je en le regardant dans les yeux. Je faisait référence au post-it qu'il m'avait laisser pour me quitter, j'étais du genre à avoir un fort caractère mais c'était certain qu'il n'était peut-être pas habitué à se que je lui tienne tête. Il me stoppa en me tenant le bras, j'écoutais se qu'il disait avat de répondre : " Tu crois pas que le mal tu l'as déjà fait ? te croire ? tu te fou de ma tête là . " Dis-je en plongeant mon regard dans le siens.

« De quel jeu tu veux parler ? Attend je vois du quel tu veux parler, tu veux peut-être que je t'écrive sur post-it ? » Il la regarda avec un sourire en coin ainsi qu'un sourcil hausser. Si elle essayait de lui faire du mal de cette manière, c'était perdu. De toute manière, le jeune homme s'attendait justement à une réponse de ce genre. Essayant de se retenir de rire, il ne pu s'empêcher... Il baissa la tête, laissant un rire s'échapper de ses cordes vocales. Le bouclé se calma enfin, relevant la tête en sa direction, la regardant dans les yeux avec le même petit sourire. « Comme c'est dommage... Tes petits propos ne m'atteignent plus. » dit-il, laissant une petite mèche de froid à l'intérieur. C'est sur, ce n'était pas du tout lui la victime la dedans. Peut-être pour les propos de la femme de sa vie, mais pas dans les siens. Il l'avouait, il était un pauvre cxn de l'avoir laisser tomber... Mais tout le monde à le droit de se faire pardonner et c'est ce qu'il voulait. « Tu crois pas que le mal tu l'as déjà fait ? te croire ? tu te fou de ma tête là. » Le bouclé la regarda quelques instants, essayant de voir s'il restait toujours une petite partie de lui dans son cœur. Pour le moment, il n'y avait aucunes indices qui pouvait lui prouver. Or, il allait la trouvé, il se l'était promis. « Non, puisque je l'aimes bien moi ta tête. » ajouta-t-il.